• Le parquet avait requis son placement en détention provisoire après sa mise en examen. Il a finalement été remis en liberté sous contrôle judiciaire !!!

    Un adolescent âgé de 17 ans est accusé d’avoir percuté et tué un retraité de 72 ans dans le quartier de Pissevin à Nîmes (Gard) ce mercredi après-midi, lors d’un rodéo rapporte 20 minutes.

    Le mis en cause roulait à contresens au volant de sa voiture, alors qu’il était sous l’emprise de stupéfiants. Après le choc mortel, il a pris la fuite puis s’est finalement rendu à la police le soir du drame.

     

    Par ailleurs, au moment des faits, l’adolescent se trouvait sous contrôle judiciaire dans le cadre d’une affaire de vol avec violences.

    Mis en examen pour homicide involontaire aggravé

    Il a été déféré à l’issue de sa garde à vue vendredi et a été mis en examen pour homicide involontaire avec plusieurs circonstances aggravantes : délit de fuite, conduite sans permis et sous stupéfiants, ainsi que mise en danger de la vie d’autrui.

     

    Déjà condamné à deux reprises par le passé, le mis en cause originaire du quartier de Pissevin qui vit aujourd’hui à Marseille, a été remis en liberté avec un nouveau contrôle judiciaire délivré par un juge des libertés et de la détention (JLD).

    L’homme âgé de 72 ans avait été hospitalisé au CHU de Nîmes dans un état grave, il est décédé ce vendredi après-midi.

    ACTU 17

    Quelle honte !


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  • Les secours n’ont rien pu faire pour sauver la victime qui a été déclarée morte sur place.

    Un adolescent âgé de 13 ans s’est suicidé dans la nuit de dimanche à lundi à Chatou (Yvelines). Le jeune garçon s’est jeté par la fenêtre de sa chambre, au domicile familial situé au 3ème étage d’un immeuble, vers 23 heures raconte Le Parisien.

    Les sapeurs-pompiers et le SAMU sont rapidement arrivés sur les lieux. Ils ont constaté que l’adolescent était en arrêt cardio-respiratoire et ont tenté de le réanimer à plusieurs reprises.

    Malheureusement, le petit garçon a été déclaré mort peu après. Son corps a été transporté à l’institut médico-légal de Garches (Hauts-de-Seine) où une autopsie sera pratiquée, afin de confirmer le décès consécutif à cette chute d’environ douze mètres.

    Une punition après une mauvaise note

    Ses parents se trouvaient dans le logement au moment du terrible drame. Ils ont expliqué aux enquêteurs qu’ils venaient de punir leur fils lorsqu’il s’est donné la mort.

     

    Selon une source policière, l’adolescent qui travaillait à distance durant les mesures de confinement, n’avait pas fait un devoir et avait reçu une mauvaise note. « Ses parents avaient décidé de marquer le coup en le privant de téléphone et d’ordinateur », précise cette source au quotidien francilien

    Le jeune garçon se serait rendu peu après dans sa chambre avant de se jeter dans le vide. Une enquête a été ouverte afin de confirmer l’hypothèse d’un acte volontaire.

    ACTU 17


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  • C’est un témoin de la tentative de meurtre qui est intervenu, alors que l’homme poignardait à plusieurs reprises son ex-compagne. Il a malgré tout pu prendre la fuite, et n’a été interpellé que le lendemain à plusieurs centaines de kilomètres de là.

    Un homme de 44 ans, originaire de Perpignan (Pyrénées-Orientales), est poursuivi pour avoir tenté de tuer son ex-compagne à Wattignies (Nord). Il se trouve en garde à vue depuis samedi, rapporte France Bleupour « tentative d’assassinat ».

    La violente agression a eu lieu vendredi sur le parking de l’hypermarché Cora de Wattignies, près de Lille. L’homme et son ex-conjointe âgée de 34 ans se trouvaient dans une voiture avec leur fils de 10 ans. 

    Le quadragénaire a porté six coups de couteau à la femme, lorsqu’un témoin, intrigué par les hurlements de la victime, est intervenu. Il a extrait l’agresseur de l’habitacle avant que ce dernier ne prenne la fuite.

    6 semaines d’ITT

    Le témoin a ensuite alerté les secours, qui sont rapidement arrivés sur les lieux du drame. Grièvement blessée à l’abdomen, la trentenaire a été conduite au CHRU de Lille, alors que son pronostic vital était engagé.

     

    Elle a subi une opération chirurgicale dans la foulée et ses jours ne sont plus en danger. Six semaines d’incapacité totale de travail (ITT) lui ont été délivrées.

    L’enquête a été confiée aux policiers de la sûreté urbaine de Lille. Ils ont recueilli plusieurs témoignages et n’ont pas eu de mal à identifier l’agresseur, domicilié à Perpignan.

    Interpellé dans les Pyrénées-Orientales

    Des policiers locaux ont été sollicités et l’ont interpellé là-bas dès le lendemain de l’agression, ce samedi après-midi. Une perquisition a été menée à son domicile. Des couteaux et plusieurs armes de poing factices ont été retrouvés chez lui. L’homme avait déjà été condamné par le passé pour des violences volontaires.

    Il devait être déféré ce lundi en fin après-midi devant un magistrat, avant une probable mis en examen dans le cadre d’une information judiciaire ouverte pour « tentative d’assassinat ».

    ACTU 17


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  • Les policiers ont interpellé deux cambrioleurs en flagrant délit en plein cœur de Paris ce jeudi. L’un a été remis en liberté sans faire l’objet de poursuites le lendemain, avant d’être interpellé de nouveau quelques heures plus tard pour un vol aggravé.

    C’est le genre de situation qui agace les policiers. C’est pourtant en flagrant délit que deux hommes, bien connus de leurs services, avaient été interpellés ce jeudi dans le IIe arrondissement de Paris.

    Vers 13h40, les policiers de la Brigade anticriminalité (BAC) ont remarqué les deux suspects qui sortaient du métro Quatre-Septembre, non loin de la place de l’Opéra. Les deux hommes n’avaient pas vraiment l’attitude de promeneurs ou de touristes. Ils regardaient sans cesse derrière eux pour s’assurer qu’ils n’étaient pas suivis et marchaient chacun sur un trottoir différent.

     

    Les fonctionnaires qui sont expérimentés dans le repérage des cambrioleurs et autres voleurs, ont décidé de les suivre et de les observer. Ils ont bien fait.

    Couteau et gazeuse lacrymogène

    Les deux suspects se sont arrêtés devant un immeuble de la rue de la Michodière et se sont mis d’accord en se faisant des signes de la tête. Ils ont alors pénétré dans le bâtiment, sous les yeux des policiers. Quelques minutes plus tard, les deux hommes sont ressortis. Chacun avait un sac à dos bien rempli.

     

    Les policiers n’ont pas perdu un instant et leur ont annoncé qu’ils allaient faire l’objet d’un contrôle d’identité. L’un des suspects a pris la fuite en courant et s’est rapidement débarrassé de son sac à dos ainsi que d’une gazeuse lacrymogène qu’il avait sur lui. Il a été rattrapé et maîtrisé. Tout ce qu’il venait de jeter au sol, notamment des objets visiblement volés, a été saisi.

    Quant au premier suspect, il n’a pas bougé et a tenté de faire disparaître le couteau de marque Opinel qu’il avait dans sa poche, en vain. Le duo a été interpellé.

    Deux appartements cambriolés

    Après vérifications, les forces de l’ordre ont constaté que deux appartements venaient d’être cambriolés, l’un au deuxième étage, l’autre à l’étage supérieur. Les deux hommes ont été conduits avec leur butin, au commissariat du centre qui regroupe les quatre premiers arrondissements de la capitale.

    Durant le transport, le mis en cause qui avait tenté de prendre la fuite a essayé une nouvelle fois. Les deux hommes ont été placés en garde à vue. Ces derniers qui n’avaient aucun document d’identité sur eux, ont affirmé être âgés de 18 et 17 ans et d’être nés en Algérie, mais également d’être sans domicile fixe.

    Les premières recherches ont montré qu’ils étaient bien connus des services de police, pour des faits similaires. L’un avait déjà utilisé huit identités différentes lors de ses précédentes interpellations relève une source policière.

    Interpellé de nouveau en flagrant délit

    Lors de son audition, le mis en cause qui a tenté de prendre la fuite à deux reprises a déclaré être l’auteur de ce double cambriolage, insistant sur le fait que son complice n’avait joué aucun rôle.

    Le parquet a ordonné la remise en liberté de ce dernier vendredi matin, avec un « classement 21 », c’est à dire pour une « infraction insuffisamment caractérisée ». En d’autres termes, il ne fait l’objet d’aucun poursuite dans cette affaire. « Il était pourtant armé d’un couteau au moment de son interpellation, a pénétré dans l’immeuble lui aussi et était en possession d’objets volés », observe cette même sourc !!!

    Cet homme n’est toutefois pas resté longtemps en liberté. En fin de journée vendredi, il a été interpellé par d’autres policiers en gare du Nord (Xe), en flagrant délit de vols en réunion.

    Lui et ses complices venaient de s’emparer de plusieurs valises appartenant à des voyageurs. Retour en garde à vue pour ce voleur qui a donné cette fois un autre nom, pour tenter de se faire passer pour un débutant auprès des forces de l’ordre. « Les vols en réunion et avec violences sont en nette augmentation depuis le début du déconfinement, et ce n’est pas avec ce type de réponse pénale que nous parviendrons à faire face », déplore cette source policière.

    ACTU 17

    Après lecture de cet article, on voit que l'on a une justice de merde!


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  • Titre : Le voile

    Poète : Victor Hugo (1802-1885)

    Recueil : Les orientales (1829).

     

    La sœur.

     Qu'avez-vous, qu'avez-vous, mes frères ?
     Vous baissez des fronts soucieux.
     Comme des lampes funéraires,
     Vos regards brillent dans vos yeux.
     Vos ceintures sont déchirées.
     Déjà trois fois, hors de l'étui,
     Sous vos doigts, à demi tirées,
     Les lames des poignards ont lui.

     Le frère ainé.

    N'avez-vous pas levé votre voile aujourd'hui ?

     La sœur.

     Je revenais du bain, mes frères,
     Seigneurs, du bain je revenais,
     Cachée aux regards téméraires
     Des giaours et des albanais.
     En passant près de la mosquée
     Dans mon palanquin recouvert,
     L'air de midi m'a suffoquée :
     Mon voile un instant s'est ouvert.

     Le second frère.

    Un homme alors passait ? un homme en caftan vert ?

     La sœur.

     Oui... peut-être... mais son audace
     N'a point vu mes traits dévoilés...
     Mais vous vous parlez à voix basse,
     A voix basse vous vous parlez.
     Vous faut-il du sang ? Sur votre âme,
     Mes frères, il n'a pu me voir.
     Grâce ! tuerez-vous une femme,
     Faible et nue en votre pouvoir ?

     Le troisième frère.

    Le soleil était rouge à son coucher ce soir.

     La sœur.

     Grâce ! qu'ai-je fait ? Grâce ! grâce !
     Dieu ! quatre poignards dans mon flanc !
     Ah ! par vos genoux que j'embrasse...
     Ô mon voile ! ô mon voile blanc !
     Ne fuyez pas mes mains qui saignent,
     Mes frères, soutenez mes pas !
     Car sur mes regards qui s'éteignent
     S'étend un voile de trépas.

     Le quatrième frère.

    C'en est un que du moins tu ne lèveras pas !

     Le 1er septembre 1828.

    Victor Hugo.

     

    Toujours d'actualité hélas, ce poème de Victor Hugo publié en 1829 dans son recueil « Les Orientales », nous raconte le dialogue entre une jeune fille dont le voile s'est ouvert un instant en revenant du bain, et ses quatre frères qui la poignardent pour ce "crime" :


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  • Divisée à l'Assemblée, la majorité LREM en plein brouillard

    Après le départ de plusieurs députés vers un nouveau groupe, les macronistes s'interrogent sur la suite.

    Macronistes, combien de divisions? Trois ans après que s'est installé à l'Assemblée nationale un groupe LREM pléthorique détenant à lui seul une confortable majorité absolue, cette dernière vient cette semaine de lui échapper, à une voix près. Trois années qui ont vu un groupe majoritaire composé "en même temps " de gens venus de la gauche comme de la droite et de parfaits novices en politique s'étioler peu à peu. Jusqu'à quel point? Cette semaine, le groupe majoritaire, initialement fort de 314 élus, n'en compte plus que 288.

    "J'ai la conviction que d'autres nous rejoindront"

    Une étape supplémentaire de la désagrégation d'un collectif qui, promettaient ses dirigeants, ne connaîtrait pas de "frondeurs", contrairement au précédent quinquennat… Un premier groupe, à la fibre sociale, s'était déjà créé dès l'hiver 2017 autour de l'ex-socialiste Brigitte Bourguignon. A l'été 2018, plusieurs députés LREM partaient du groupe macroniste pour fonder Libertés et Territoires. Un an de plus, et c'était le Collectif social-démocrate qui se lançait, à l'intérieur de la majorité celui-là. Et puis, cette semaine, plusieurs Marcheurs, tendance aile gauche, ont quitté la majorité pour rejoindre le nouveau – et neuvième – groupe parlementaire, Ecologie Démocratie Solidarité.

    Certes, les macronistes devraient à court terme récupérer la majorité absolue : Olivier Gaillard, qui a quitté LREM, devrait abandonner son mandat au Palais-Bourbon pour devenir maire, et sa suppléante l'y remplacer en retournant, elle, dans le giron du groupe majoritaire. Mais les risques de fuite demeurent, prévient le député des Deux-Sèvres Guillaume Chiche, qui vient de claquer la porte pour rejoindre Ecologie Démocratie Solidarité : "J'ai la conviction que d'autres nous rejoindront." Quoi qu'il en soit, cette scission rend la majorité plus dépendante encore de ses alliés du MoDem. Et souligne cruellement combien le groupe LREM, déjà hétérogène à l'origine, est aujourd'hui fragmenté façon puzzle.

    Un agenda compliqué

    "C'est la balkanisation, soupire la députée des Yvelines Aurore Bergé. C'est frustrant de voir naître des courants et des sous-groupes… On n'a pas adhéré au PS!" "Le groupe est en proie à beaucoup de tiraillements, confirme un de ses collègues. Il reste très hétéroclite et l'est même encore plus avec les municipales, où certains topent ici avec les Verts ou la gauche, et où d'autres topent là-bas avec la droite. A part une grosse inquiétude sur les sujets économiques, je ne vois pas quelle position est unanimement partagée au sein du groupe…"

    Voilà ce qui rassemble aujourd'hui les députés macronistes : la nécessité d'une réponse forte, et sociale, à la crise. Un peu court… Tout comme le temps imparti à la majorité pour donner une nouvelle impulsion politique dans les prochains mois, avec le second tour des municipales, puis les élections locales de 2021, et enfin le démarrage de la campagne présidentielle. "Dans un agenda contraint par la gestion d'une crise sans précédent et par plusieurs scrutins, on va avoir des difficultés à exister, prévient Aurore Bergé. Quelle empreinte politique va-t‑on laisser? Pour l'instant, ce débat-là n'existe pas." A part sur des dizaines de boucles Telegram ouvertes par les différents chapelles. Beaucoup pointent la "faiblesse" de Gilles Le Gendre, président d'un groupe compliqué à gérer. "Ce n'est plus possible, râle un député. Ça ne marche pas!" Pas sûr, pourtant, que Macron opte pour un changement de casting alors qu'il cherche encore son cap.

    "On est dans un brouillard politique total"

    "Il y a vraiment une impatience, note Guillaume Chiche. Les collègues, avant la crise, étaient d'accord pour s'engager dans des processus à long terme, rapports ou missions d'information… Mais là, tout le monde sait que ce seront les dernières opportunités de passer des réformes. " Lesquelles seront décisives, résume un proche d'Emmanuel Macron : "Le sujet n'est pas tant le neuvième groupe parlementaire que la capacité de rebond que nous aurons en septembre, et notre nouvel agenda." Un député fidèle au chef de l'Etat soupire : "On est dans un brouillard politique total." Peut-être le seul constat qui rassemble aujourd'hui tous les députés macronistes.

    Le JDD.fr


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  • Toujours un plaisir de revoir ça !


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  • L’Akhal-Teke, ou cheval turkmène, est une race de chevaux de selle très ancienne, originaire d'Asie centrale. Traditionnellement élevé par la tribu des Tékés, il doit son nom à l'oasis d'Akhal-Téké. Son berceau se situe au Turkménistan et au Nord de l'Iran actuels. Cette race est l'emblème du Turkménistan. Très rapide, l'Akhal-Teke est aussi extrêmement endurant, robuste et sobre. Doté d'une morphologie atypique, très fine et athlétique, il est surtout connu pour sa robe aux reflets dorés, qui l'a popularisé. C'est un cheval apte à toutes les disciplines, détenteur d'un record olympique en dressage. La race a failli disparaître dans les années 1950 sous l'ère soviétique avec la lutte contre le nomadisme et l'arrivée de la motorisation. Elle a été sauvée par quelques éleveurs disséminés dans le Proche-Orient. L'Akhal-Teke a depuis dépassé les frontières de son pays natal, puisqu'il est élevé au Kazakhstan, en Russie, ainsi que dans plusieurs autres pays comme l'Allemagne, les États-Unis et la France, où l'Akhal-Teke est reconnu comme race étrangère de cheval de selle depuis 2004.

    Wikipédia


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  • Nicolas ARNDT

     Edgar MUELLER


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  • Loire-Atlantique : 4 hommes interpellés à Vertou après le vol de près d’une centaine de moutons

    Une importante opération de la gendarmerie a eu lieu dans un camp de Roms à Vertou (Loire-Atlantique), ce lundi.

    Une quarantaine de gendarmes, dont des militaires des Pelotons de surveillance et d’intervention (PSIG) de Nantes et de Rezé, ont investi un camp de Roms à Vertou, ce lundi matin.

    Quatre hommes, âgés de 18 à 47 ans, ont été interpellés sur cet ancien site Chronopost situé dans la rue de la Maladrie, rapporte France Bleu. Ils ont été placés en garde à vue.

     

    Ils sont soupçonnés par les enquêteurs de s’être emparés d’environ une centaine de moutons lors d’une dizaine de vols commis dans plusieurs exploitations agricoles des Deux-Sèvres et de Loire-Atlantique, depuis janvier dernier, précise Ouest-France.

    Repérés en flagrant délit

    Lors d’une intervention, les gendarmes avaient déployé un hélicoptère qui s’était mis à poursuivre les fuyards à bord d’une Renault Espace. Le véhicule avait été retrouvé à proximité de ce camp de Roms. Une trentaine de moutons avaient été récupérés.

     

    Le propriétaire des entrepôts Chronopost, où s’est installée la communauté d’environ 200 personnes, a de nouveau déposé plainte. Une évacuation de ce terrain et de ces locaux avait déjà eu lieu en mars 2019.

    ACTU 17


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  • Il en a de la patience le petit chien !


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  • Un tragique accident s’est produit ce dimanche dans la cour d’une maison familiale à Mormoiron (Vaucluse).

    Un garçonnet de 17 mois a perdu la vie alors qu’il se trouvait sur la propriété familiale située à la sortie de Mormoiron, sur la route de Saint-Pierre-de-Vassol, ce dimanche après-midi. Une mère de famille au volant de sa voiture faisait une manœuvre dans la cour de cette maison lorsqu’elle a percuté son enfant, relate Le Dauphiné.

    Le petit garçon jouait à proximité à ce moment-là. La mère l’a immédiatement ramené dans l’habitation alors que les secours étaient alertés. Lorsqu’ils sont arrivés, le garçonnet était en arrêt cardiaque.

    Réanimé deux fois, il finit par succomber

    Les pompiers locaux, puis ceux de Carpentras et Vaison-la-Romaine ont tout fait pour le sauver. Ils sont parvenus à le réanimer à deux reprises avant qu’il ne décède. Un hélicoptère de la Sécurité civile avait été mobilisé et se tenait sur place prêt à transférer rapidement l’enfant vers Marseille. En vain.

    Les gendarmes de la brigade de Mormoiron se trouvaient également sur les lieux du drame. Une enquête a été ouverte, qui a conduit les gendarmes à privilégier la piste accidentelle. Toute la famille était présente dans la propriété au moment des faits.

     

    Les enquêteurs doivent auditionner les différents témoins de la scène. Une cellule psychologique de l’hôpital de Montfavet est intervenue pour prendre en charge les proches, particulièrement choqués.

    ACTU 17

    On ne manoeuvre pas sa voiture quand un enfant en bas âge est dehors. Ce n'est pas la prmière fois que cela arrive !


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  • Une jeune femme âgée de 25 ans a été retrouvée sans vie dans son appartement de Saint-Dié-des-Vosges (Vosges), il y a une dizaine de jours. Un homme, déjà condamné pour meurtre, a été interpellé puis placé en détention provisoire.

    Les policiers ont été alertés par des habitants de l’immeuble Artois situé rue Marcel Jacquot dans le quartier de Kellermann, à Saint-Dié-des-Vosges, il y a une dizaine de jours. Ces derniers ont expliqué aux forces de l’ordre qu’une odeur nauséabonde se dégageait de l’appartement d’une jeune femme, relate Vosges Matin.

    Dans le logement, les policiers ont fait une macabre découverte. Le corps de la jeune mère d’un petit garçon, était en état de décomposition et était donc décédée depuis un certain temps.

    Les premiers examens ainsi que les résultats de l’autopsie ont montré que la victime qui était âgée de 25 ans, avait été tuée par strangulation. Le Parquet d’Épinal a demandé l’ouverture d’une information judiciaire et a saisi un juge d’instruction. L’enquête a alors été confiée au Service régional de police judiciaire de Nancy (SRPJ).

    Déjà condamné à 17 ans de réclusion pour le meurtre de sa compagne

    Après quelques jours d’investigations, les policiers se sont intéressés à un suspect âgé d’une cinquantaine d’années, qui serait le beau-père de la victime. Il a été interpellé ce vendredi dans la Moselle.

     

    Ce dernier a un lourd passé judiciaire. L’homme avait été condamné à 17 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle, pour avoir tué sa compagne de l’époque précise le quotidien. En outre, il était sorti de prison il y a quelques mois.

    Le mis en cause a été placé en garde à vue avant d’être déféré au parquet d’Épinal. Il a ensuite été placé en détention provisoire. De leur côté, les enquêteurs poursuivent leurs investigations.

    ACTU 17

    Il aurait mieux fallu le laisser en prison !


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  • Le conducteur d’une voiture a volontairement foncé sur les policiers du RAID qui participaient à une opération ce lundi matin à Montpellier (Hérault). L’un a été sérieusement blessé et trois suspects ont été interpellés.

    Une opération de police a débuté vers 6 heures ce lundi matin sur l’avenue Louis Ravas, dans le quartier des Cévennes à Montpellier.

    Les policiers du RAID ont participé à l’intervention pour appuyer leurs collègues de la police judiciaire, dans le cadre d’une enquête liée à une affaire de règlement de comptes où des coups de feu avaient été tirés, il y a quelques jours, raconte France 3.

     

    C’est alors qu’une voiture a foncé délibérément sur les fonctionnaires du RAID. « Un policier du RAID a été gravement blessé à une jambe, écrasée entre son propre véhicule et celui de ces agresseurs qui avaient volontairement foncé en sa direction », déplore le syndicat Unité SGP Police FO de l’Hérault qui dénonce un acte de « violence gratuite ».

    Tibia fracturé

    « Nous souhaitons maintenant qu’une réponse pénale ferme soit apportée à ce qui relève d’une tentative d’homicide », ajoute l’organisation syndicale.

     

    La victime a un tibia fracturé. Trois suspects ont été interpellés, ils se trouvaient a priori tous dans le véhicule qui a foncé sur les forces de l’ordre. Ces derniers, qui seraient en état d’ébriété et sous l’emprise de produits stupéfiants, auraient d’abord filmé le début de l’opération avant leur passage à l’acte.

    ACTU 17


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