• Les conducteurs suivent des formations pour affronter les passagers violents, les CRS escortent les bus. Afin d’empêcher les embuscades, le maire de Tremblay fait même arracher le long de la ligne tous les buissons qui servaient de cachette aux agresseurs.

    La Seine St Denis, un département pourri, mais on n'arrête personne !

    Les truands font la loi ! Pauvre France !


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  • Figaro Live : 

    Officiellement commencée le 25 février 2020 au Brésil, la pandémie de coronavirus n’a cessé d’être dénigrée par le président Jair Bolsonaro. Soutenu par une partie de la population, il n’a jamais accordé de crédit à la maladie et aux risques sanitaires qu’elle cause. Retour sur plusieurs mois de déclarations controversées.


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  • Depuis le déconfinement, les vols à l'arraché se multiplient, notamment dans la capitale. Les auteurs de ces délits portent des masques, ce qui rend difficile leur identification.

    La délinquance s'adapte avec l'épidémie de coronavirus et en tire même un avantage. Depuis plusieurs semaines, les policiers sont confrontés à une nouvelle difficulté dans leur travail: le port du masque par les délinquants. Un bout de tissu sur le visage qui n'attire pas l'attention alors que le port du masque est recommandé par les autorités pour lutter contre le Covid-19.

    "Avant le confinement, porter un masque pouvait interroger les passants alors qu'aujourd'hui c'est devenu banal et les délinquants l'ont bien compris", confirme Rocco Contento, secrétaire départemental Paris du syndicat Unité SGP Police.

    Vols à l'arraché

    Le port du masque, pour éviter d'être identifié, concerne surtout les affaires de vol à l'arraché, comme le montre une vidéo diffusée sur Twitter. Les images tournées le 25 mai dernier montrent un couple de personnes âgées rentrant chez lui, dans le 13e arrondissement de Paris. Un individu portant un masque passe derrière, puis quatre autres encercle le couple. L'un d'eux s'empare violemment du collier et du sac à main de la femme, avant que le groupe ne prenne la fuite. Les agresseurs ont pu être interpellés le lendemain.

    "La chance que nous avons eu dans cette affaire c'est que les jeunes vivent dans la rue et étaient habillés exactement de la même façon le jour suivant", explique une source judiciaire au Parisien.

    Avec la fin du confinement, ce type d'agression se multiplie. Et depuis le début du mois de mai, le chiffre des vols avec violence ne cesse de grimper. Un peu moins de 600 faits recensés la semaine du 4 au 10 mai, 1000 la semaine suivante et près de 1100 la semaine du 18 au 24 mai, selon la note Interstats du ministère de l'Intérieur

    Le travail des policiers rendu complexe

    Hors période d'état d'urgence sanitaire, il est interdit de dissimuler son visage sur la voie publique, un délit sanctionné par une amende de 150 euros. Depuis le déconfinement, le port du masque est recommandé voire obligatoire dans les transports en commun. Dans le cadre des affaires de vol à l'arraché, très souvent, faute d'autres preuves, l'identification et l'interpellation de délinquants repose sur l'étude des images des caméras de surveillance et l'extraction d'un visage joue très souvent dans la résolution de l'enquête.

    "Cela va rendre le travail des policiers plus compliqué quand on utilise ces logiciels de reconnaissance faciale et ça rendra aussi plus compliqué le travail permettant de confondre une personne interpellée dans le cadre d'une affaire, si elle n'a pas été notamment interpellée en flagrant délit", estime Me William Julié, avocat pénaliste au barreau de Paris.

    A Paris, les policiers ont pu résoudre certaines affaires, notamment grâce à des interpellations au moment où les délinquants commentent leurs actes. "On a eu des interpellations heureusement en flagrant délit, notamment par la brigade des réseaux ferrés sur des arrachages et les auteurs étaient évidemment tous masqués. Pour eux, c'est une sécurité supplémentaire", conclut Rocco Contento.

    BFM.TV


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  • Paris : Des milliers de manifestants dans la rue pour la régularisation des sans-papiers malgré l’interdiction

    Des milliers de manifestants ont arpenté les rues parisiennes, ce samedi, en solidarité aux sans-papiers. La « Marche des solidarités aux sans-papiers » a été maintenue par les organisateurs, malgré l’interdiction de se réunir à plus de 10 personnes en raison de la crise sanitaire du Covid-19

    Ce samedi après-midi, des milliers de personnes se sont réunies dans les rues de la capitale pour demander une régularisation des sans-papiers et une révision de la politique migratoire française, malgré l’interdiction de la Préfecture de Police qui leur avait été faite.

    L’appel à cette manifestation a été relayé par près de 210 organisations et 300 personnalités, d’après un texte diffusé sur les réseaux sociaux, et ce, en dépit du contexte de crise liée à la pandémie de coronavirus.

    « Pour ces populations, la crise sanitaire actuelle est en train de devenir une véritable bombe sanitaire », ont indiqué les organisateurs de la marche, qui avaient appelé ses participants à venir « avec masques » et à observer une « distanciation physique » adaptée.

    D’abord sans incident le rassemblement a du être dispersé dans certains quartiers de la capitale. Les forces de l’ordre ont été contraintes à user de gaz lacrymogène.

    Une interdiction et des craintes

    Les autorités craignent particulièrement à devoir faire face à un foyer épidémique de Covid-19 qui serait causé par un tel rassemblement.

    Cette marche parisienne contrevient au décret du 11 mai, pris dans le cadre du prolongement de l’état d’urgence sanitaire et qui prévoit l’interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes, pour lutter contre l’épidémie de Covid-19, a indiqué la préfecture de police de Paris.

    « Les risques sanitaires qu’un tel événement est susceptible de générer, justifient que le préfet de police, n’autorise pas, à titre dérogatoire, cette manifestation », a-t-elle précisé dans un communiqué.

    Le cortège est passé par le quartier de l’Opéra avant de rejoindre la place de la République. Les manifestants se sont dispersés vers 17 heures.

    ACTU 17

    Manifestation interdite qui a quand même eu lieu !

    Cela  me fait bien rire, parmi ces manifestants, surtout des étrangers dont beaucoup de noirs !


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  • Michel Drucker au coeur d'un scandale immobilier...

    France Télévisions a connu de nombreux changements ces derniers temps. On pense notamment au départ de figures emblématiques comme Patrick Sébastien, Julien Lepers ou encore William Leymergie. Mais à 77 ans, Michel Drucker est plutôt confiant quant à son avenir sur la chaîne : « La direction de France 2 me fait confiance. Pour l’instant je suis là jusqu’à la fin du mois d’août et je suis très content, après on en reparlera » a-t-il expliqué. Concernant son confinement, il avouait : « Ça n’a pas changé grand-chose, car je me lave les mains beaucoup, il m’arrivait de mettre mon masque quand je faisais du vélo et je mets souvent des gants ». Une bonne nouvelle pour ses proches qui n’ont, visiblement, pas de quoi s’inquiéter.

     

    Confiné à Eygalières, Michel Drucker y possède deux maisons. Il est tombé amoureux de la ville en 2007. Il y a d’ailleurs obtenu un permis de construire pour une maison de 293m2 avec piscine. Mais le document a été contesté par la Ligue de défense des Alpilles, qui avait déposé une demande d’annulation devant la justice. L’association ne voulait pas qu’une maison soit construite « dans le champ de visibilité de la chapelle Saint-Sixte, inscrite à l’inventaire des monuments historiques ». Le scandale a duré des années. L’association a assuré que le maire de la commune avait délivré le permis de construire sans consultation préalable de l’architecte des Bâtiments de France. Une plainte avait même été déposée pour « faux et usage de faux ».

    En 2012, Michel Drucker a réussi à faire annuler la décision par la cour administrative d’appel de Marseille, qui avait annoncé n’avoir trouvé aucun « élément de nature à établir l’existence d’un faux ou d’une intention frauduleuse ». Il n’aura rien lâché pour sauver sa maison, si chère à son cœur. Sa ténacité est à l’image du travail qu’il fournit à la télévision depuis des années.

    PUBLIC

    On se demande pourquoi tous les anciens ont été virés sauf Drucker ?

    Celui qui a fait cet article doit bien l'aimer !


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  • Depuis samedi, la puissante tempête tropicale Amanda qui souffle sur l'Amérique centrale a fait au moins 14 morts. Le président du Salvador a décrété l'état d'urgence en raison des glissements de terrain que l'intempérie provoque.

    La première tempête de la saison s’est abattue dans l'océan Pacifique. Amanda a soufflé dimanche 31 mai sur le Guatemala et le Salvador, provoquant la mort d'au moins 14 personnes dans ce dernier pays, où l'état d'urgence a été décrété.

    La puissante tempête Amanda se maintient depuis samedi au large des côtes du Guatemala et génère de fortes intempéries qui balaient les deux pays d'Amérique centrale, faisant déborder les fleuves et provoquant des coupures de courant généralisées.

    "Une situation sans précédent"

    Face au risque additionnel de glissements de terrain, le président du Salvador, Nayib Bukele, a décrété dimanche l'état d'urgence pour 15 jours renouvelables. "Nous avons vécu une situation assez difficile (...). Nous déplorons 14 décès" et "ce nombre peut augmenter", a déclaré le ministre de l'Intérieur du Salvador, Mario Duran.

    Dix personnes sont mortes dans la capitale San Salvador et sa banlieue, et trois membres d'une même famille ont péri à San Juan Opico dans le département de La Libertad (centre) selon les autorités, qui n'ont pas précisé où s'était produit le 14e décès. De plus, une personne est portée disparue à San Salvador.

    À San Salvador, au moins 4 200 personnes se sont réfugiées dans des abris mis en place par la Protection civile après avoir perdu leurs maisons ou avoir été évacuées en raison des risques, selon le maire de la capitale, Ernesto Muyshondt.

    "Nous vivons une situation sans précédent, une urgence de grande ampleur qui s'ajoute à une autre urgence énorme, comme jamais notre pays n'en a connu", a affirmé M. Muyshondt, en faisant référence à la pandémie de coronavirus.

    Glissements de terrain et éboulements

    La Protection civile salvadorienne avait précédemment déclaré l'alerte rouge, impliquant le sauvetage des victimes par des brigades d'organismes de secours et par l'armée.

    Le directeur de la Protection civile salvadorienne, William Hernandez, a rapporté l'inondation de plus de 200 maisons dans tout le pays, provoquée par le débordement des fleuves, et l'évacuation de riverains. Il a également fait état de glissements de terrain, rues inondées et coupures de courant.

    "Dans les prochaines heures, il va continuer à pleuvoir, ce qui provoquera l'augmentation (du débit) des fleuves, des éboulements pourraient se produire sur les routes (...) et des inondations sur la côte sud", a indiqué l'Agence guatémaltèque de prévention des catastrophes (Conred).

    Comme les pluies doivent se poursuivre jusqu'à lundi, le ministère de l'Environnement du Salvador a demandé à la population de se préparer à la "forte probabilité" de multiples glissements de terrain et éboulements.

    Le ministre de l'Environnement, Fernando Lopez, a indiqué que les pluies diluviennes avaient déversé au cours des dernières heures 400 millimètres d'eau, alors que la moyenne annuelle est de 1 800 millimètres.

    Au Salvador, qui compte 6,6 millions d'habitants, 87 % des 20 742 kilomètres carrés du territoire sont considérés comme très vulnérables face aux phénomènes climatiques.

    France 24


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  • En ce 1er juin doit débuter en Italie une grande opération de régularisation. Après d’âpres discussions, le décret « Rilancio » (Relance en français), pris mi-mai entre autre pour soutenir l’économie face à l’épidémie de coronavirus, comporte un article permettant potentiellement à des milliers de clandestins d’obtenir des papiers, au moins temporairement.

    Il existe plusieurs cas de figure, mais cet article 103 du décret de Relance devrait, en effet, principalement bénéficier aux immigrés en situation irrégulière. Soit l’employeur demande la régularisation pour un travailleur arrivé avant le 8 mars, soit un étranger dont le titre de séjour est arrivé à échéance depuis le 31 octobre 2019 peut le faire directement. Mais il faut travailler ou avoir travaillé dans le secteur agricole ou de l’aide à domicile.

    Une restriction qui chagrine Yvan Sagnet, président de l’association NoCap qui lutte contre l’exploitation des ouvriers agricoles et a participé à des tables de travail dans le cadre de réunions préparatoires à l’élaboration de la stratégie nationale de lutte contre le caporalato, l’exploitation des travailleurs dans le secteur agricole.

    « Nous voulons, dit-il, une approche basée sur le droit universel des personnes. Donner des papiers non pas en fonction du fait que cette personne me sert, mais parce que c’est un droit ! Cela dit, c’est un petit pas en avant. »

    Agriculture et aide à domicile

    Alors pourquoi ces deux secteurs ? Avec la fermeture des frontières en raison de l’épidémie, les agriculteurs ont fait face à une pénurie de main-d’œuvre. Mais l’efficacité de cette mesure de régularisation est discutée. Officiellement, il s'agit aussi de « garantir un niveau adéquat de couverture santé en période de pandémie » et de combattre les « rapports de travail illégaux » entre employés et employeurs, même si le sujet était dans les tiroirs avant la crise du Covid-19.

    Quoiqu’il en soit, pour Paolo Naticchioni, professeur à Roma Tre et économiste à l’Institut national de protection sociale (INPS), ce choix répond à des critères essentiellement politiques. « Le secteur agricole est un secteur qui l’a demandé en premier. Et la ministre qui s'est particulièrement impliquée, c’est la ministre de l’Agriculture », explique-t-il. « C’est donc né du secteur et de la sensibilité de la ministre. Cela a ensuite été élargi au secteur de l’aide à domicile. Mais selon des études que nous avons faites, cela posera des problèmes. Les immigrés agiront de manière stratégique, ils essaieront de se faire régulariser dans ces secteurs pour ensuite éventuellement changer de travail. Il aurait peut-être été plus logique d’élargir à d’autres domaines. »

    Environ 200 000 régularisations envisagées

    Environ 200 000 clandestins pourraient ainsi obtenir des papiers, a estimé le ministère de l’Intérieur de manière très imprécise. Cela dépendra de plusieurs facteurs.

    Pourront en bénéficier les personnes arrivées en Italie avant le 8 mars dernier ou des personnes qui ont déjà eu un titre de séjour mais qui est arrivé à expiration depuis fin octobre 2019. Et pour Andrea Zini, vice-président d’Assindatcolf, l’association des employeurs des aides à domicile, certaines preuves seront difficiles à fournir.

    « Il faut qu’ils aient des relevés d’empreintes ou des photos, comme ceux effectués auprès des clandestins lors des débarquements sur les côtes par exemple. Ou alors, il faut que le citoyen extracommunautaire ait fait une déclaration à la préfecture, mais personne ne le fait. Donc il n'y a pas de preuve de la date de leur arrivée » assure-t-il. Et d’ajouter : « En général, c’est le cas pour les citoyens des pays de l’Est. La douane qui sanctionne l’arrivée, c’est souvent celle de l’Allemagne ou de la Pologne, et non la douane italienne. »

    Convaincre les employeurs

    En outre, certains points manqueraient encore de clarté, selon Andrea Zini qui estime qu’il faudrait laisser au moins jusqu’à fin août pour déposer les dossiers. Ce qui laisserait aussi plus de temps pour sensibiliser la population.

    « Tous les immigrés ne savent pas que le gouvernement a approuvé cette loi. Notre association NoCap va faire de son mieux pour sensibiliser le plus d’agriculteurs et le plus de travailleurs possible. Le plus dur sera de trouver un employeur qui puisse régulariser parce qu’il y a des frais et des taxes à payer. »

    Un aspect qui n’inquiète pas Andrea Zini dans le domaine du travail à domicile.

    Les titres de séjours délivrés aux immigrés qui se présentent spontanément sans contrat auront six mois pour chercher un travail et espérer obtenir un renouvellement. C’est trop court aux yeux d'Yvan Sagnet. Néanmoins, Paolo Naticchioni estime que ce décret pourrait avoir un effet plus durable. « En analysant les effets des régularisations de 2002 et de 2012, on voit que les personnes régularisées sont restées longtemps sur le marché italien du travail, explique cet économiste de l’INPS. On estime que cinq ans après la régularisation, 75% à 80% d'entre eux étaient encore répertoriés comme travaillant légalement. C'est une proportion très haute. Cela veut donc dire que l'effet est durable. »

    En théorie, le décret n’est pas dédié qu’aux sans-papiers. Il doit aussi permettre de faire « émerger » les Italiens ou les étrangers qui ont des titres de séjours mais qui travaillent au noir. Andrea Zini est dubitatif : « Cette législation ne donne aucune raison de changer quoi que ce soit, s’ils ont décidé de travailler au noir et que les familles sont d'accord. Il n'y a aucun avantage économique pour les familles, comme des déductions fiscales par exemple, qui incite au moins l'employeur à régulariser la situation. »

    Bataille politique

    Cette régularisation est donc très encadrée mais il n’a déjà pas été simple de parvenir à ce texte, le premier du genre depuis 2012. Au cours de la bataille interministérielle, la ministre de l’Agriculture, Teresa Bellanova, ancienne représentante syndicale, a même menacée de démissionner pour parvenir à ses fins.

    Il y a un an encore, cet article 103 n’aurait sans doute pas pu voir le jour. La Ligue, présente dans le gouvernement de coalition entre juin 2018 et septembre 2019, était « opposée » à une régularisation massive rappelle Paolo Naticchioni. Cette fois, le Mouvement 5 Étoiles ne s’est pas montré favorable dans un premier temps, « mais un point de convergence a été trouvé, probablement avec des accords politiques sur un éventail plus large », suppose Paolo Naticchioni.

    RFI


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  • La Sécurité routière s'est dite inquiète samedi de "premiers chiffres alarmants" depuis le déconfinement.

    Un père et son fils ont été tués dans un accident de moto dimanche soir à Dampierre-en-Bresse (Saône-et-Loire).

    La moto, sur laquelle circulaient un homme âgé de 50 ans et son fils, un adolescent dont l'âge n'a pas été précisé, a heurté la pile d'un pont après une "perte de contrôle", a rapporté le Codis (Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours) de Saône-et-Loire. Les deux victimes ont été éjectées et sont mortes "sur le coup", selon les pompiers.  

    Trois semaines après le début du déconfinement et le retour des Français sur les routes, la Sécurité routière s'est dite inquiète samedi de "premiers chiffres alarmants" avec une hausse des accidents mortels et un bond de 15% des grands excès de vitesse.

    Une campagne appelant à la prudence lors du déconfinement avait été lancée début mai.

    RMC

    Vous avez échappé au virus chinois, alors roulez doucement, ne vous tuez pas sur la route!


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  • Une visite inattendue... 

    Profitant du long week-end de l'Aïd-el-fitr et de l’Ascension réunis, notre célèbre concitoyenne et enfant du pays,  femme d'affaire et amateure d'art parisienne, politicienne française, présidente d'association caritative et jet-setteuse internationale, madame Brigitte M. est venue se ressourcer dans sa maison familiale, sans son mari retenu dans la capitale pour des raisons professionnelles. 

    La Gazette du Touquet

     

    Elle a pleinement profité d'une météo particulièrement clémente pour se rendre sur la plage municipale, en respectant toutefois les gestes barrières et la distanciation physique, une distanciation par ailleurs appliquée spontanément et avec une rigueur exemplaire par toutes les personnes présentes. 

    Pris chez bedeau : http://aumilieuduvillage.eklablog.com/


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  • A la fin, je ne sais pas si c'est leur vrai maman ou une maman de substitution?

    D'après mes connaissances en anglais, ce serait leur vraie maman !


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  • Les deux hommes, condamnés pour assassinat en leur absence, ont vécu plus de dix ans aux Etats-Unis. Ce n’est qu’à la faveur d’un contrôle des autorités, qu’ils ont été expulsés du pays car ils étaient en situation irrégulière.

    Marouana B. et Ahmed C. avaient été jugés coupables, par défaut le 6 septembre 2018, d’avoir tué de quatre balles un habitant de Montmagny (Val-d’Oise). Le crime avait eu lieu au moment où il sortait de son domicile de la cité des Lévriers, dans la nuit du 26 au 27 avril 2008.

    Pour la première fois, les deux meurtriers ont comparu devant la cour d’assises du Val-d’Oise, ce vendredi, pour l’assassinat de Gangny Sangaré. Ils ont vécu en cavale durant plus de 10 ans aux Etats-Unis, relate Le Parisien.

    Condamnés à 25 ans de réclusion criminelle en leur absence

    Les deux hommes avaient écopé de 25 ans de réclusion criminelle par défaut. « Ils ont soudainement et volontairement disparu dès le lendemain des faits. Ils ont été en fuite à partir de ce moment-là », a déclaré l’avocat général, Stéphanie Paget.

    Le juge d’instruction en charge de cette affaire criminelle avait été alors émis un mandat, de même que le parquet à l’origine d’un mandat d’arrêt européen, en vain. Durant plus de dix ans, les deux fugitifs ont vécu aux Etats-Unis.

    Expulsés vers la France et interpellés à leur arrivée

    Les autorités américaines ont interpellé chacun des deux hommes, de nationalité française, car ils se trouvaient sur leur territoire en situation irrégulière. Concernant Ahmed C., ce sont les services de l’immigration qui ont mis fin à sa cavale, le 25 juillet 2019, dans le Massachusetts. Il a été trouvé en possession d’un faux permis de conduire.

    Son complice Marouana B., quant à lui, s’est fait intercepté au moment où il traversait la frontière entre le Texas et le Mexique, le 29 août 2019. Les autorités américaines les ont finalement expulsés vers la France, respectivement le 11 septembre 2019 pour l’un, et le 22 janvier dernier pour l’autre. Les enquêteurs français les ont interpellés à leur arrivée.

    Un procès en cour d’assises très attendu

    Les deux hommes, qui n’ont jamais pu être interrogés sur le fond de cette affaire, devront désormais comparaître lors d’un nouveau procès en cour d’assises. L’avocat général a requis un supplément d’information sur le fond, en ce sens.

    Les avocats de la défense, qui approuvent cette demande, ont assuré que leurs clients n’avaient pas pris la fuite. L’avocate d’Ahmed C., Me Daphné Pugliesi, a rappelé ses liens antérieurs avec les Etats-Unis, où il avait développé un commerce de vêtements.

    Elle a souligné qu’il était entré légalement sur le territoire américain. Pour sa part, Me Sophie Garcia, l’avocate de Marouana B., a ajouté que ce supplément d’information permettra d’établir les circonstances de ce départ.

    Un « soulagement » pour la partie civile

    « C’est à la fois un soulagement pour la partie civile et une nouvelle épreuve qui s’annonce » a déclaré Caty Richard, avocat de douze proches de la victime, Gangny Sangaré, qui espère que les contours de cet assassinat seront enfin connus avec précisions.

    Ce jeune homme, âgé de 20 ans, avait été abattu de quatre balles dans le dos, le 27 avril 2008 à Montmagny, après avoir été ciblé par de précédents tirs, trois heures plus tôt.

    Lors du procès qui s’est tenu le 6 septembre 2018, le seul accusé présent à l’audience était Gary P., qui comparaissait libre. Cet homme, âgé de 33 ans au moment du jugement, était poursuivi pour complicité par fourniture de moyens : l’arme du crime.

    Pour sa défense, il avait affirmé qu’il était convaincu d’avoir apporté un pistolet à grenaille. Or, il s’agissait d’un vrai 9 mm. La cour d’assises l’a condamné pour « complicité d’assassinat » à 7 ans de prison. « Je compatis à votre douleur, je n’avais aucune intention de tuer. J’ai remis une arme, j’ai été trompé », avait-il déclaré à l’attention des proches de la victime, leur demandant de ne rien entreprendre contre lui et sa famille.

     

    ACTU 17


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  • La nouvelle est tragique. Noah, un jeune garçon de 9 ans recherché depuis jeudi après avoir disparu à Condé-sur-l’Escaut, a été retrouvé mort noyé ce samedi 30 mai, non loin de la médiathèque de la ville. Ce sont des promeneurs, apercevant un corps flotter, qui ont alerté les pompiers. Une équipe de plongeurs est sur place. 

    Depuis que le petit Noah avait quitté le foyer logement urgence de la ville, sa mère ne l'avait plus revu. Un important dispositif policier avait alors été déployé. Au-delà des recherches menées par la famille du jeune garçon de 9 ans, le maire de la ville, Grégory Lelong, avait également lancé un appel aux volontaires pour organiser des battues sur le terrain, largement suivi par les habitants de Condé-sur-l'Escaut.

    Le garçon de 9 ans, autiste, avait fait l'objet de plusieurs signalements des habitants de la commune l'ayant aperçu ces dernières 48 heures, en vain.

    france info 3 - 30 05 2020


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  • Corruption de mineur: le parquet de Paris demande un procès pour Jean-Marc Morandini

    Le parquet de Paris a requis un procès pour "corruption de mineur" de l'animateur Jean-Marc Morandini, visé par des accusations qu'il conteste. Une information de source judiciaire, qui confirme une information du Parisien.

     

    Près de quatre ans après l'ouverture d'une enquête, le ministère public a demandé le 3 avril à ce que l'animateur de CNews et NRJ12 soit jugé devant le tribunal correctionnel. Il appartient désormais au juge d'instruction de décider de la tenue éventuelle d'un procès.

    Harcèlement sexuel et travail dissimulé

    Jean-Marc Morandini, 54 ans, avait été accusé de "harcèlement sexuel" et "travail dissimulé" par plusieurs comédiens en 2016, dans le cadre d'un article du magazine culturel Les Inrocks sur des castings dénudés organisés par l'animateur télévisé.

    Ces comédiens, qui ont depuis porté plainte, avaient accusé l'animateur et sa société "Ne Zappez pas ! Production" d'avoir profité des castings d'une web-série érotique, Les Faucons, pour les pousser à s'exhiber nus en étant filmés ou en se filmant. 

     

    Saisi de cette plainte, le parquet de Paris avait classé sans suite son enquête en janvier 2017. Mais les plaignants ont obtenu en 2018 la reprise des investigations, désormais entre les mains d'un juge d'instruction parisien.

    Deux autres plaintes, sans lien avec la web-série, ont été déposées à l'encontre de Jean-Marc Morandini par deux jeunes hommes, mineurs à l'époque des faits qu'ils dénoncent. Dans cette autre affaire, il a été mis en examen pour "corruption de mineur aggravée".

    BFM.TV


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  • Des folles !


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