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  • Une Tesla en mode Autopilot heurte à pleine vitesse un camion renversé sur la route

     

    Un accident routier à Taïwan montre une Tesla foncer sur un camion à l’arrêt. Selon les informations disponibles, la voiture électrique était en mode Autopilot et le camion couché en travers de la route.

    Les images sont impressionnantes à plus d’un titre. D’une part parce qu’elles montrent une Model 3 éventrer complètement le toit d’un camion, mais surtout parce que la vidéo de l’accident accable l’Autopilot de Tesla qui ne juge presque pas utile de freiner à l’approche de l’impact. La scène a lieu à Taïwan, plus exactement sur l’autoroute 1 et montre un accident pour le moins étonnant. Un camion accidenté est couché sur les deux voies de gauche lorsqu’une Tesla qui circule sur la voie la plus rapide vient s’encastrer dans la carcasse du poids-lourd. 

     

    D’un point de vue extérieur, l’accident semble évitable et d’ailleurs avant qu’il ne survienne, il est possible de constater que les autres voitures contournent le camion à l’arrêt. D’après les déclarations du propriétaire (sorti indemne du choc), l’Autopilot de la Model 3 était activé et la vitesse réglée à 110 km/h. « Il pensait que la voiture détecterait d'elle-même l’obstacle et freinerait automatiquement, mais il a été surpris de constater que la voiture ne ralentissait pas », détaille le rapport de police.

    L'Autopilot n'est pas (encore) infaillible

    La cause de l’accident semble évidente. L’Autopilot de la Tesla n’a pas réussi à identifier le camion comme un obstacle et n’a donc pas freiné en conséquence. Cette mésaventure rappelle le premier accident mortel à bord d’une Tesla Model S. En effet, en mai 2016 une voiture californienne sur laquelle l’Autopilot était activé avait percuté un poids lourd qui s’engageait dans un virage. Détail important, le camion était blanc et le ciel clair, des conditions que l’on retrouve dans la scène taïwanaise. À l’époque, le constructeur expliquait que les capteurs du véhicule n’avaient pas réussi à discerner le blanc du camion du ciel lumineux.

    Certes, en quatre ans, l’Autopilot de Tesla a connu de nombreuses améliorations mais force est de constater qu’il peut encore être pris en défaut, y compris vis à vis de  situations dont il est supposé avoir tiré des enseignements. Les prédictions d’Elon Musk qui estimaient que l’Autopilot de ses Tesla permettrait une conduite entièrement autonome d’ici la fin de l’année paraissent dès lors quelque peu ambitieuses.  

    Microsoft 01 Net


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  • Je ne comprends pas que l'on ne lui  ait pas fait un petit chariot !


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  • Une femme enceinte âgée de 40 ans est morte noyée ce dimanche à Sourzac (Dordogne) après que la petite embarcation sur laquelle elle se trouvait avec ses proches se soit retournée.

    Le drame s’est produit ce dimanche après-midi sur la commune de Sourzac, sur la rivière de l’Isle, au niveau du barrage du lieu-dit Coly explique France Bleu. Une femme enceinte âgée de 40 ans se trouvait sur la rivière avec son compagnon et ses beaux-parents, à bord d’un petit bateau à moteur.

    La petite embarcation est tombée en contrebas du barrage et s’est retournée ont indiqué les gendarmes. Les parents et leurs fils sont parvenus à remonter à la surface, aidés par des jeunes.

     

    La quadragénaire n’a pas eu cette chance et se serait retrouvée prisonnière d’un tourbillon précise Sud-Ouest. Cette dernière est décédée malgré les tentatives de réanimation du SMUR qui sont restées vaines. La victime était enceinte de cinq mois et ne portait pas de gilet de sauvetage.

    Un jeune homme meurt dans les mêmes circonstances

    48 heures plus tôt dans cette même rivière, un jeune homme de 31 ans sans gilet de sauvetage lui aussi, est mort noyé, à Saint-Médard-de-Mussidan, après le chavirage de son bateau.

    Deux décès qui ont conduit le préfet à lancer une mise en garde sur les réseaux sociaux. « Le préfet rappelle que le port du gilet de sauvetage est obligatoire sur les rivières du département. Même lorsque l’on sait nager, même lorsqu’il fait chaud, la rivière peut être dangereuse », peut-on lire.

    ACTU 17


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  • Un élément d’une grue de chantier a chuté sur une partie d’une maison de retraite d’Annonay (Ardèche). Au total, quatre blessés dont le grutier ont été pris en charge par les secours en urgence relative. Douze pensionnaires doivent être relogés.

    Les pompiers et les gendarmes ont été mobilisés, ce lundi peu avant 15 heures, après un accident survenu à la maison de retraite Montalivet à Annonay. Il s’est produit pendant qu’une entreprise démontait une grue se trouvant dans l’enceinte de la résidence, relate France Bleu.

    L’engin a basculé, et sa flèche a percuté le toit-terrasse d’une salle collective de l’unité Cantou, avant de passer au travers. Quinze pensionnaires se trouvaient dans cette aile de la maison de retraite, à ce moment-là.

     

    Trois d’entre eux ont été blessés légèrement, de même que le grutier, a indiqué la préfecture de l’Ardèche. Tous ont été pris en charge en urgence relative et conduits au centre hospitalier d’Annonay. L’opération de secours a nécessité le déploiement de 45 sapeurs-pompiers.

    Un périmètre de sécurité a été établi pour permettre l’intervention des secours et des techniciens. La préfecture a demandé aux personnes présentes sur le secteur de ne pas interférer avec les opérations, qui se sont tenues durant plusieurs heures.

    Les causes de l’accident ne sont pas encore connues

    Vers 17 heures, les pompiers étaient toujours sur place et réalisaient des opérations de consolidation du bâtiment et de la grue. Une tâche qui s’annonce longue. Les causes exactes de cet accident ne sont pas encore connues.

    En fin d’après-midi, la préfecture indiquaient que douze pensionnaires, dont six personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, doivent être relogés d’ici ce soir. C’est l’Agence Régionale de Santé (ARS) Auvergne Rhône-Alpes qui se chargera de cette mission. Ils devraient rejoindre d’autres maisons de retraites du secteur, rapporte France 3

    ACTU 17


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  • Gad Elmaleh infecté par la Covid-19, "avec des symptômes très douloureux"

    Gad Elmaleh craint pour son métier d'humoriste. Que lui réserve l'avenir ? Sa profession est aujourd'hui sinistrée, mais pour combien de temps encore ?

     

    Invité de Thomas Sotto le 31 mai 2020, dans 20h30 le dimanche (après le JT de France 2), le comédien et spécialiste du rire de 49 ans n'a pas seulement partagé ses inquiétudes, il a également admis avoir été touché personnellement pas le coronavirus. Amené à partager son expérience de la maladie, Gad Elmaleh a d'abord été quelque peu gêné, ayant en premier lieu une pensée pour les plus de 28 000 victimes du coronavirus. "C'est très délicat, au moment où je dis ça, je pense à ceux à qui ça a coûté la vie et aux milliers de familles endeuillées. Je pense d'abord à ça, avant toute chose", a-t-il d'abord déclaré.

    Lancé ensuite dans "un registre plus personnel", l'humoriste a avoué avoir eu peur lorsqu'il a découvert qu'il avait été infecté par la Covid-19. "Ça a été un épisode douloureux, qui m'a bousculé", a-t-il confié. Il s'est considéré comme "au milieu", entre les personnes asymptomatiques et les cas tragiques, "une position avec des symptômes très douloureux, très très compliqués". L'ex-compagnon de Charlotte Casiraghi en a ensuite tenu à remercier le personnel de l'hôpital Saint-Antoine à Paris "et toute l'équipe des urgences de l'hôpital Saint-Antoine".

    Cette pandémie de coronavirus a forcément poussé le papa de Noé (19 ans) et Raphaël (6 ans) à revoir quelques parties de son spectacle Gad Elmaleh - Et d'ailleurs, en y intégrant le virus. Mais il ne souhaite pas trop s'étaler sur le sujet et craint que d'autres aillent trop loin en la matière. Reste maintenant à savoir quand il pourra remonter sur scène et dans quelles conditions.

    Pure People


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  • o

    On ne voit pas ce qu'ils ont fait pour son cou !


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  • "Il se croyait protégé" : ces révélations sur Stéphane Bern qui font mouche...

    Au lendemain de l'annonce du départ de Stéphane Bern de RTL, les langues se délient... 

    Qu'a-t-il bien pu se passer pour que RTL se sépare de Stéphane Bern ? Le 20 mai dernier, dans un communiqué, il a été annoncé qu'à "l'issue de la saison en cours, (...) leur collaboration qui avait démarré en 2011" prendrait fin. Un dénouement qu'on n'avait pas non plus prévu pour Jacques Pradel , Thomas Hugues et Sidonie Bonnec.

    "Pas impressionné par sa proximité avec le couple Macron"

    Et s'il a été dit qu'après "vingt ans passés à animer chaque matin une émission en direct et en public, Stéphane Bern souhaitait trouver une autre formule qui n’a pu trouver sa place dans la grille de RTL", à la radio, un autre son de cloche (anonyme) vient d'être émis... Dans les colonnes du Parisien, un "ponte" rapporte les vraies raisons du départ de l'animateur dans les colonnes du Parisien...

    Tandis que le directeur des programmes Gauthier Hourcade avoue bien volontiers à nos confrères que : "l'émission s'était essoufflée après neuf saisons. C'est très difficile de se renouveler", cet autre informateur est moins tendre avec l'animateur spécialiste des têtes couronnées.

    Il tacle férocement : "La vérité, c'est que Stéphane Bern s'est reposé sur ses lauriers, car il se croyait protégé, comme du temps de l'ancien patron Christopher Baldelli". Et apparemment, le nouveau patron "n'est pas impressionné par la proximité de l'animateur avec le couple Macron " assure cette source bien renseignée.

    Grand ménage chez RTL

    En mai 2019, Régis Ravanas est arrivé à la tête de la station qui est désormais passée 2ème, derrière France Inter . Et devant la crise économique qui se profile, un grand nettoyage a été organisé rue Bayard. Outre le départ de plusieurs animateurs, RTL va également baisser les salaires de ses chroniqueurs et de ses intervenants extérieur. et va mettre en place des réductions de budgets.

    Heureusement, Monsieur Patrimoine serait sur le point de rebondir ailleurs, sur Europe 1. Il projetterait de rejoindre "L’Équipée sauvage" de Mathieu Noël sur la radio concurrente.

    Public


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  • La police nationale a ouvert une enquête après la mort jugée suspecte d’un étudiant de 20 ans, samedi dernier à Montpellier (Hérault), rapporte France Bleu Hérault.

    Cet étudiant avait été retrouvé sans vie, aux alentours de 18 heures, au pied de sa résidence universitaire située près de l’université Paul-Valéry.

    Le jeune homme aurait fait une chute de plusieurs mètres. Il vivait dans une chambre, au 4ème étage de cet immeuble du Centre régional des œuvres universitaires et scolaires (Crous).

    Selon les premiers éléments de l’enquête, la piste du suicide serait privilégiée, mais les policiers n’écartent cependant aucune piste car des zones d’ombre et de nombreuses questions demeurent dans ce drame, souligne La Gazette Live de Montpellier. Un élément interroge notamment au plus haut point les enquêteurs : pourquoi les services de police n’ont-ils été prévenus que plusieurs heures après la mort du jeune homme ?

    Le Parisien


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  • D'autres personnes ont du le voir mais n'ont rien fait


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 01 06 2020


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  • Un homme a appelé les secours pour annoncer un péril imminent, mais il s’agissait d’une déclaration fantaisiste.

    D’importants moyens de secours ont été mobilisés à Pontcharra (Isère) dans la nuit de dimanche à lundi, vers 1h20, rapporte France Bleu. Ils venaient de recevoir un appel de détresse de la part d’un homme leur annonçant qu’une personne s’était jetée dans les eaux tumultueuses de l’Isère, depuis le pont de la Gâche.

    Pas moins de 7 véhicules d’intervention avec 27 sapeurs-pompiers et deux équipes cynophiles ont été dépêchés sur les lieux du drame annoncé. Ils étaient assistés des gendarmes. Les plongeurs du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) se sont mis à l’eau pour aider à retrouver la victime.

     

    Les recherches ont duré une partie de la nuit, avant que le requérant n’avoue aux gendarmes qu’il avait menti.

    Une procédure initiée par les forces de l’ordre

    Les gendarmes ont dressé un procès-verbal, précise le quotidien régional, et l’homme à l’origine de cet appel malveillant a été hospitalisé au CHU de Grenoble. Ce lundi à la mi-journée, ses motivations n’étaient toujours pas connues des enquêteurs.

    Le SDIS n’a pas indiqué s’il allait déposer plainte suite à cette intervention. Le parquet s’est vu transmettre la procédure et devra décider de poursuivre, ou non, cet homme sur le plan judiciaire.

    ACTU 17

    Ce con de mec mériterait une peine de prison mais il ne risque rien puisque qu'on doit mettre le minimum de gens en taule !


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  • Au début, j'ai pleuré, pauvre petit chien


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  • Un adolescent de 16 ans jouait au football avec des amis à Montigny-le-Bretonneux (Yvelines) lorsqu’ils ont été pris à partie par un individu. Son père policier s’est interposé et a été frappé, tout comme son fils.

    L’annonce de sa qualité de policier n’a pas calmé les esprits, bien au contraire. Un groupe d’adolescents jouait au football, rue Magellan, dans le quartier de la Sourderie à Montigny-le-Bretonneux ce dimanche vers 17h45 lorsqu’un individu agressif est arrivé, relate Le Parisien.

    Le père de l’un des adolescents âgé de 16 ans, qui était présent, a aperçu ce qu’il se passait et a décidé d’intervenir. Le ton est rapidement monté et l’homme âgé de 43 ans a demandé à l’intrus de se calmer. Il a ensuite précisé à ce dernier qu’il était policier. L’annonce n’a pas eu l’effet escomptée, elle a même poussé le perturbateur à aller plus loin.

     

    Ce dernier a fait appel à trois autres hommes qui sont rapidement arrivés. L’un était armé d’une matraque télescopique. Le père et son fils ont été violemment frappés.

    Plaies sur le crâne et poignet cassé

    Les quatre agresseurs ont ensuite pris la fuite à bord d’une voiture. Les forces de l’ordre ainsi que les sapeurs-pompiers sont arrivés sur place peu après.

    Le fonctionnaire qui souffrait de deux grosses plaies sur le crâne a été pris en charge par les secours, tout comme son fils qui avait le poignet cassé. Ils ont été conduits à l’hôpital André-Mignot du Chesnay-Rocquencourt.

    Une enquête a été ouverte pour retrouver les auteurs de cette agression. Les investigations ont été confiées aux policiers de la sûreté urbaine d’Élancourt.

    ACTU 17

    J'espère qu'ils vont retrouver ces vermines, hélas les juges ne mettent que du sursis !!!


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  • La La maman a disparu !


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