• Sa femme atteinte d’un cancer doit quitter l’hôpital faute de lits, il s’en prend aux antivax

    Aux États-Unis, un homme a déploré, sur les réseaux sociaux, la situation dans laquelle se trouve sa femme, qui est privée de lit d’hôpital malgré son cancer du sein à cause de l’afflux de patients Covid. Il s’en est notamment pris à ceux qui « courent à l’hôpital après avoir été infectés » alors qu’ils refusaient de se faire vacciner.

    Sur les réseaux sociaux, un Américain a mis en lumière la situation de sa femme qui ne peut plus avoir de lit à l’hôpital, alors qu’elle suit des traitements pour son cancer du sein, à cause de l’afflux de patients infectés par le virus du Covid.

    Il s’en est notamment pris à ses compatriotes qui ne souhaitent pas se faire vacciner et se retrouvent à l’hôpital après avoir été infectés. « Pourquoi 99 % [ce chiffre correspond aux données délivrées par le gouvernement américain le 29 juin dernier] des personnes infectées par le virus du Covid à l’hôpital ne sont pas vaccinées ? », s’interroge-t-il dans une vidéo publiée sur le réseau social TikTok.

    « Si vous ne croyez pas que le Covid existe vraiment, que vous pensez que ce n’est rien et que vous croyez vraiment que vous n’avez pas besoin de vous faire vacciner, c’est votre droit. Je ne vais pas débattre de cela. Par contre, je souhaite discuter du fait que vous couriez à l’hôpital dès que vous êtes contaminés par le virus », dénonce-t-il.

    « Les dommages collatéraux sont les personnes comme ma femme »

    Il raconte qu’il a amené sa femme à l’hôpital pour son cancer du sein au stade 4. « Elle était à l’hôpital depuis deux jours. Au troisième jour, elle aurait honnêtement pu rester un jour de plus, peut-être même deux. Mais lors du troisième jour au lieu de faire son drainage […] ils nous ont dit qu’elle devait quitter l’hôpital parce qu’ils n’ont plus de chambre disponible à cause du Covid », déplore le mari.

    « Les dommages collatéraux sont les personnes comme ma femme qui a besoin d’une aide médicale pour une maladie chronique », assène-t-il.

    Pour soutenir sa femme, le mari a lancé une ligne de vêtements et une cagnotte pour l’aider à « combattre » la maladie.

    Ouest-France

    Réaction stupide de l'hôpital !


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  • Un chasseur américain a tué un lion au Zimbabwe près d’un parc national, le 5 août dernier. Un acte qui « montre l’humanité sous son plus mauvais jour » condamne la présidente de The Humane Society of the United States.

    Au Zimbabwe, un lion de 12 ans a été touché par une flèche d’un chasseur américain, qui l’aurait ensuite abattu un jour plus tard le 12 août, selon les informations du média local NewsDay .

    L’animal nommé Mopane a été victime d’une flèche tirée sur une concession de chasse à côté du parc national de Hwange. Il y aurait été attiré par un appât.

    Un clan désormais vulnérable

    Dans ce pays d’Afrique, la chasse aux trophées est légale, sous certaines conditions. Néanmoins des associations et ONG sont montées au créneau pour dénoncer la mort de l’animal, qui pourrait avoir des conséquences dramatiques pour son clan, comme l’explique l’organisation de protection animale The Humane Society of the United States.

    « Mopane était un père et jouait un rôle important dans son clan. Sans lui, son clan est maintenant vulnérable à la prise de contrôle par un autre mâle ou un groupe de mâles, ce qui peut conduire au meurtre des lionceaux et des femelles de sa troupe », a déploré sa présidente, Kitty Block, dans un communiqué.

    « Un autre chasseur de trophées dépensant des dizaines de milliers de dollars pour une escapade à sensations fortes à travers le monde montre l’humanité sous son plus mauvais jour. Il est honteux que les États-Unis aient la distinction d’être le plus grand importateur mondial de trophées de chasse. Trop, c’est trop », a-t-elle dénoncé.

    « Il y avait plus d’un million de lions en Afrique, il en reste moins de 20 000 »

    « Pourquoi cette polémique ? Tant que ce lion avait six ans, la chasse était légale », s’est défendu Tinashe Farawo, de l’Autorité de gestion des parcs et de la faune sauvage du Zimbabwe, au Mirror.

    « En 2015, il y a eu du tumulte lorsque Cecil (un autre lion, ndlr) a été abattu. Mopane a été attiré au même endroit. C’était un magnifique mâle reproducteur. Les chasseurs de trophées massacrent certains des animaux sauvages les plus rares du monde. Il y avait autrefois plus d’un million de lions en Afrique. Il en reste moins de 20 000 », a de son côté déploré Eduardo Goncalves, le fondateur de Campaign to Ban Trophy Hunting au quotidien britannique.

    Ouest-France


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  • Au Royaume-Uni, un chat a porté secours à sa propriétaire de 83 ans, tombée dans un ravin, en attirant l'attention des passants par ses miaulements.

    La police de Bodmin (Cornouailles, Angleterre) a partagé cette histoire sur Facebook, expliquant que ses agents étaient alors à la recherche de cette femme, portée disparue depuis plusieurs heures. Elle a été localisée par une voisine qui a remarqué le chat, «miaulant au coin d'un grand champ de maïs près de son domicile», rapporte USA Today.

    «La femme âgée était tombée de plus de 20 mètres, en bas d'un talus très raide, dont l'accès est particulièrement difficile et où le terrain est accidenté», a indiqué la police sur Facebook. Après que le chat noir, nommé Piran, a guidé les secouristes vers sa propriétaire disparue, ils ont hissé cette dernière sur une civière qu'ils ont pu porter jusqu'au champ de maïs, avant de l'emmener à l'hôpital par hélicoptère. La police de Bodmin a précisé que la rescapée était de «bonne humeur» et qu'elle recevait des soins médicaux après sa chute, sans oublier de rendre hommage au «héros» ainsi: «Le chat Piran a sauvé la situation!»

    «Le chat est très attaché à elle»

    Tamar Longmuir, l'une des voisines de la dame âgée, a raconté à Sky News qu'elle et d'autres habitants du quartier l'avaient cherchée dans les champs alentour, «mais il n'y avait aucun signe d'elle». Ils ont cependant vite remarqué que Piran n'arrêtait pas de miauler devant un portail situé à proximité du lieu où elle a été découverte. «Le chat est très attaché à elle, il allait et venait dans l'entrée et miaulait, alors j'ai décidé d'aller chercher dans le champ de maïs», a relaté Tamar Longmuir.

    Elle a alors crié le nom de sa voisine, mais elle est restée sans réponse. Du moins au début. «Juste au moment où je m'apprêtais à sortir du chemin pour commencer à traverser les épis de maïs, j'ai entendu une réponse très faible à mon appel... Je me suis alors rendu compte que ma voisine était en bas d'un ravin de 20 mètres.»

    «Elle était passée à travers des barbelés et était allongée dans un ruisseau. Nous pensons qu'elle était étendue là depuis des heures, a déclaré Tamar Longmuir. Si le chat n'avait pas attendu à l'entrée du champ, il aurait pu se passer encore longtemps avant que moi ou quelqu'un d'autre n'aille vérifier à cet endroit.»

    Slate


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    Passez une bonne soirée


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  • Une femme de 93 ans a reçu plusieurs coups de couteau et a été frappée, à Achicourt, près d’Arras (Pas-de-Calais). Un mineur de 13 ans a été placé en garde à vue. Il est déjà connu de la justice.

    Une nonagénaire a été victime d’une violente agression dans la rue Ernest-Renan à Achicourt, vers 16 heures ce mardi raconte La Voix du Nord. L’agresseur présumé qui n’est âgé que de 13 ans, est notamment accusé de lui avoir porté trois coups de couteau.

    La police a précisé que c’est un ballon qui serait au départ de cette affaire. Un ballon qui aurait atterri dans le jardin d’une riveraine, alors que l’adolescent jouait avec. Pour le récupérer, il a décidé de passer par-dessus la clôture. Une retraitée de 93 ans l’a aperçu puis l’aurait invité à dire bonjour, ainsi que de bien vouloir demander la permission avant de pénétrer dans cette propriété.

    Une dizaine de points de suture

    Des remarques que l’adolescent n’aurait pas apprécié. Il aurait donné trois coups de couteau au niveau d’un avant-bras de la nonagénaire, puis se serait saisi de sa canne pour la molester avec, décrit le quotidien régional. La victime a été amenée à l’hôpital d’Arras où elle s’est fait poser une dizaine de points de suture. Elle a néanmoins pu regagner son domicile le soir même.

    La police a rapidement identifié l’auteur présumé des faits. Cet adolescent de 13 ans aurait récemment été placé dans un foyer à Achicourt, après en avoir fréquenté d’autres. Déjà connu de la justice, il devrait être déféré au parquet de Béthune ce jeudi matin en vue de sa mise en examen.

    ACTU 17

    Ce jeune devrait être mis en maison de redressement jusqu'à sa majorité mais, hélas, ces maisons n'existent plus !


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  • Strasbourg : Un homme de 67 ans victime d’un malaise à son domicile, son chat lui sauve la vie

    Ce sont les miaulements d’un chat à une fenêtre d’un appartement à Strasbourg (Bas-Rhin) qui ont attiré l’attention de plusieurs voisines. Ces dernières ont donné l’alerte. Un homme de 67 ans a pu être secouru à temps.

    Cet habitant peut remercier son chat. Des voisines l’ont aperçu alors qu’il miaulait à la fenêtre du logement ce mardi. Elles ont alors décidé de prévenir la police. « Les policiers strasbourgeois sont intervenus suite à un appel 17 pour venir en aide à un chaton seul dans une véranda depuis 3 jours », détaille la police nationale du département sur Twitter.

    « Sur place, ils se sont introduits dans l’appartement par une fenêtre laissée ouverte et ont découvert un homme affaibli au sol », précise la police. Cet homme de 67 ans avait été victime d’un malaise et serait resté par terre durant 72 heures. Il a pu être pris en charge par le SAMU à temps.

    Le félin a quant à lui été confié à la SPA de Strasbourg. « Cet homme ne le sait certainement pas, mais c’est son chat et la bienveillance de ses voisines qui lui ont sauvé la vie ! Bravo ! », conclut la police.

    ACTU 17

     
     
    @PoliceNat67
    ·
    18 août
     
    Merci à la de nous avoir fait parvenir la photo de l’héroïne du jour, dont on ignore pour l’heure le p’tit nom! Chat-peau bas mademoiselle!

    Strasbourg : Un homme de 67 ans victime d’un malaise à son domicile, son chat lui sauve la vie


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  • Maltraitance animale : Images et témoignage choc de L214 dans un élevage de porc de l’Yonne

    « Ils coupent les dents à la tenaille (…) Ils ont donné 14 coups de matadors pour tuer une truie… », a témoigné un ancien employé de l’élevage

    LIEN de l'article pour voir video entretien ancien employé :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/maltraitance-animale-images-et-t%C3%A9moignage-choc-de-l214-dans-un-%C3%A9levage-de-porc-de-l-yonne/ar-AANuGpO?ocid=msedgntp


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  • Brigitte Bardot en colère : cette décision qui l’a scandalise

    Engagée dans la défense des animaux par le biais de sa fondation, Brigitte Bardot a rédigé une lettre ouverte, publiée mercredi 18 août 2021 dans Le Parisien, afin de dénoncer un arrêté préfectoral autorisant l'abattage de 3.000 renards dans l'Oise.

    Ancienne tête d'affiche du cinéma français, Brigitte Bardot lutte depuis maintenant de nombreuses années en faveur des droits des animaux, par l'intermédiaire de la fondation qui porte son nom. N'ayant pas la langue dans sa poche, ce qui lui a parfois coûté cher, la comédienne s'est insurgée contre une récente décision de la préfète de l'Oise. Dans une lettre ouverte publiée dans les colonnes du Parisien mercredi 18 août 2021, Brigitte Bardot a dénoncé un arrêté préfectoral autorisant l'abattage de 3.000 renards d'ici le mois de mars 2022. Une décision qui a provoqué la fureur de l'actrice, habituée à pousser des coups de gueule.

    "Je suis scandalisée par votre arrêté condamnant à mort 3.000 renards", a écrit Brigitte Bardot à l'attention de la préfète de l'Oise, Corinne Orzekowski. "Ces animaux sont une richesse pour la biodiversité et de précieux alliés pour les agriculteurs. Nous n'avons pas de droit de vie et de mort sur les autres espèces, cet arrêté est une honte. Comment pouvez-vous encourager un tel massacre ?", s'est interrogée la comédienne. "J'ose croire que vous ne céderez pas à la pression des chasseurs et que vous déchirerez votre arrêté imbécile", a finalement conclu celle qui fut un jour agressée par une infirmière avec une fourchette.

    "On est en train de regarder sous quel angle on peut attaquer le texte"

    "C'est un coup de gueule de sa part. Ce nouvel arrêté a été vécu comme une provocation chez les défenseurs des animaux", a expliqué le porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot, Christophe Marie. Pour mémoire, un premier arrêté préfectoral publié le vendredi 23 juillet 2021 autorisait au départ 8 lieutenants de louveterie à tuer 1.370 renards. Des associations de défense des animaux avaient alors attaqué ce texte, au motif qu'il n'avait pas été soumis à la consultation publique au préalable. L'association AVES France compte attaquer cette nouvelle version de l'arrêté préfectoral devant le tribunal administratif d'Amiens. Brigitte Bardot n'exclut pas elle aussi de lancer une action en justice. "C'est en cours, on est en train de regarder sous quel angle on peut attaquer le texte", a révélé Christophe Marie.

    Femme Actuelle

    Brigitte Bardot en colère : cette décision qui l’a scandalise


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  • Benoît Payan estime qu'à Marseille, on achète "une kalachnikov comme on achète un pain au chocolat"

    Le maire de la cité phocéenne était invité ce jeudi sur France info à réagir à la mort d'un adolescent de 14 ans tué par balles la nuit dernière à Marseille.

    "Ça doit s'arrêter". Le maire de Marseille, Benoît Payan, a appelé à la lutte contre le trafic d'armes après la mort mercredi soir dans la cité phocéenne d'un jeune adolescent de 14 ans, tué par balles par un commando armé d'une kalachnikov. Un fait qualifié de "drame absolu" par l'élu marseillais.

    "À Marseille, on peut acheter une kalachnikov comme on achète un pain au chocolat", a déploré l'édile chez nos confrères de France Info, "si les gens se tuent à coups de kalachnikov, c'est parce que les kalachnikov sont en vente quasiment libre dans cette ville."

    "Ça doit s'arrêter, c'est à mon avis un des objectifs que doit poursuivre le ministère de l'Intérieur et je sais que le ministre de l'Intérieur y est sensible", a poursuivi Benoît Payan qui a souligné la nécessité de "démanteler les réseaux, lutter contre la criminalité, faire cesser le trafic d'armes et le trafic de drogue, c'est à dimension de l'État".

    Un adolescent de 14 ans a été assassiné, un autre blessé et un enfant de huit ans légèrement touché à la tête par un commando armé d'une kalachnikov qui a semé la désolation mercredi soir à Marseille, à proximité de la cité des Marronniers abritant un trafic de drogue.

    Darmanin dénonce "la terreur qui s’installe dans des quartiers"

    Des habitants d'une résidence voisine de la cité des Marronniers et devant laquelle s'est déroulé le crime, ont raconté à l'un de nos confrères de l'AFP -sous couvert d'anonymat par peur de représailles- que les adolescents semblaient être des guetteurs, utilisés par les trafiquants pour avertir d'arrivées pouvant gêner la vente de drogue.

    "Ces faits absolument inacceptables" montrent "la terreur qui s’installe dans des quartiers ou des cités dont on sait qu’ils sont la proie des trafiquants de drogue", a martelé Gérald Darmanin.

    Onze personnes sont officiellement mortes depuis le début de l'année dans des règlements de compte dans les Bouches-du-Rhône, selon des chiffres de la préfecture de police du 14 août, dont une jeune fille de 17 ans, victime collatérale.

    BFM.TV


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  • Ces parents étaient croyants mais Dieu n'a pas pu sauver leurs enfants !


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  • Alors qu’elle se rendait à un simple examen médical à Nîmes, Stéphanie a contracté une maladie nosocomiale et a dû être amputée des quatre membres pour pouvoir survivre.

    Il y a six ans, Stéphanie, une femme de 46 ans originaire du Gard, s’est rendue à l’hôpital pour un simple examen médical de l’estomac à la polyclinique Grand Sud à Nîmes, rapporte le quotidien Midi Libre . Sur place, elle a contracté une maladie nosocomiale qui a nécrosé plusieurs de ses organes, aggravé par un mauvais traitement.

    Alors que son dossier mentionnait bien son allergie à la pénicilline, elle en a tout de même reçu et a fait un œdème de Quincke. À la suite de cette erreur médicale, elle a été opérée plus de sept fois et s’est fait amputer des quatre membres.

    Une nouvelle vie

    Après plusieurs années de rééducation au Grau-du-Roi, elle a réappris à marcher avec ses prothèses. Malgré cette épreuve de la vie, Stéphanie a fait preuve d’un grand courage et élève aujourd’hui ses deux enfants avec l’aide d’une aide de vie présente dix heures par jour. Elle a même réussi à conduire à nouveau.

    Grâce aux indemnisations de l’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, elle a pu acheter une maison et une voiture aménagées en fonction de son handicap.

    Une association de sensibilisation

    Elle souhaite aujourd’hui créer une association de sensibilisation aux handicaps chez les plus jeunes. « Au départ, je voulais créer une association pour aider d’autres personnes comme moi mais le contact avec les enfants me manque réellement car avant, j’étais assistante maternelle », précise-t-elle à Midi Libre. L’association s’appellera « les Achilles sans talon ».

    Ouest-France

    Amputée des quatre membres après un séjour à l’hôpital, Stéphanie a réappris à marcher


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  • «Hier le 24 décembre, un «nouveau-né» a été trouvé dans une étable. La police s'est rendue immédiatement sur les lieux et a fait appel au SAMU.
      

    Un charpentier et une mineure (vraisemblablement la mère) ont été placés en garde à vue.

    Ce matin très tôt, les autorités ont été avisées par un citoyen de la banlieue de Bethléem qu'une famille de S.D.F s'était installée dans son étable.
      

    À son arrivée sur les lieux, la police a découvert un nouveau-né enveloppé dans des morceaux de tissu sans précaution d'hygiène et dormant sur une litière de paille.
      

    Le charpentier, identifié plus tard, Joseph (de Nazareth), s'est opposé à ce que les autorités emmènent l'enfant afin de le mettre en lieu sûr. Il était aidé de plusieurs bergers ainsi que de trois étrangers sans papiers. Ces trois étrangers, se présentant comme mages, ont été arrêtés. Ils sont passibles de reconstitution de secte dissoute. 
       

    Le ministère de l'Intérieur s'interroge sur l'origine de ces trois hommes probablement en route vers Calais. Le préfet a confirmé qu'ils n'avaient pas de papiers d'identité mais qu'ils détenaient de l'or ainsi que des produits suspects et illicites. Ils prétendent que Dieu leur a dit de ne pas répondre aux questions... Les produits suspects ont été envoyés en laboratoire pour analyse.

    Le lieu où le nouveau-né se trouve actuellement n'a pas été communiqué.
       

    D'après le service social en charge de l'affaire, le père avoisinerait la cinquantaine tandis que la mère n'est certainement pas majeure. On vérifie pour le moment la relation entre les deux. Mais à défaut de soupçon de pédophilie, le détournement de mineure est très suspecté....
       

    La mère se trouve pour l'instant à l'hôpital universitaire de Bethléem pour des examens médicaux et psychiatriques. Elle prétend être encore vierge et affirme que le bébé vient de Dieu. Si son état mental le permet, elle sera mise en examen pour non-assistance à personne en danger.
       

    La consommation de stupéfiants, probablement amenés par les trois étrangers, doit sans doute être prise en compte dans cette affaire.
       

    Des prélèvements et des prises de sang ont d'ailleurs été faits en vue de retrouver les empreintes d'ADN nécessaires à l'enquête.
       

    Aux dernières nouvelles on apprend que les bergers présents sur les lieux affirment avoir vu un grand homme, tout de blanc vêtu, qui leur a ordonné de se rendre à l'étable, avant de s'envoler mystérieusement. Aucune hypothèse n'est écartée, comme celle d'embarquement à bord d'un OVNI qui n'est pas à exclure…
      

    Les verts rappellent que faire un feu de bois dans une étable est source de pollution…

    L'extrême gauche dénonce ce capitalisme sauvage qui augmente les loyers et empêche les familles modestes d'avoir un logement décent.
       

    Le président déclare que depuis son élection le gouvernement a ouvert de nombreuses nouvelles places d'accueils pour éviter de laisser des familles à la rue alors que son prédécesseur en avait supprimées.
       

    Une cellule de crise a été installée sous la direction du préfet Hérode, l'autorité craignant un complot dont les rumeurs avaient persisté ces derniers temps.
       

    On pourra également suivre les images en direct sur BFM télé… et, à 17h30, « C'est à vous » organisera un débat sur le thème « peut-on encore accoucher dans une étable de nos jours ? » en présence de plusieurs invités : notre confrère de libération auteur dune enquête sur "la rue pour toute vie ", d un sociologue enseignant à l'Institut d'Étude Politique, spécialiste de la précarité sociale ,de l'écrivain Hugo Victor qui a écrit" les Misérables" et de M. Pilate Ponce représentant le gouvernement
       

    Et, pour conclure, après examen médical, la fille mineure ayant effectivement été reconnue vierge, le couple a été placé en garde a vue pour rapt d'enfant.....

    Par gilles.huvelin, 21/11/2017 


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  • Ado tué à Marseille: Gérald Darmanin dénonce la "terreur qui s'installe dans des quartiers"

    Le ministre de l'Intérieur a fait le lien entre les faits, survenus mercredi soir aux Marronniers, et l'emprise des trafiquants de drogue dans certaines cités. Selon le parquet, les agresseurs ont fait usage d'une arme de type kalachnikov. Deux autres mineurs ont également été blessés.

    La cité des Marronniers, dans le 14e arrondissement, a été le théâtre de tirs à l'arme automatique mercredi soir. Un adolescent de 14 ans a été tué, un autre du même âge a été blessé et un enfant de 8 ans également. En déplacement à Gardanne, près de Marseille, Gérald Darmanin a condamné ce jeudi "des faits absolument inacceptables".

     

    Le ministre de l'Intérieur a fait le lien entre cette affaire et la "terreur qui s’installe dans des quartiers dont on sait qu’ils sont la proie des trafiquants de drogue".

    "Les enquêtes judiciaires sont en cours, mais a priori, il apparaît assez évident que la guerre des territoires que des cités peuvent se livrer pour récupérer des points de deal très rémunérateurs est sans doute une des raisons de ces attaques à main armée qui touchent des jeunes", a-t-il ajouté.

    Le ministre de l'Intérieur s'est néanmoins félicité d'une division "par deux" des règlements de comptes dans la ville de Marseille sur les dix dernières années.

    Deux personnes en fuite

    Interrogé par l'Agence France-Presse (AFP), le parquet de Marseille a fait état d'une "intervention d'une moto avec a priori deux personnes armées d'au moins un fusil d'assaut, type kalachnikov, qui ont fait feu (...) dans la rue" mercredi soir. Ces deux personnes sont en fuite, a-t-il ajouté.

    Le parquet n'a pas précisé si les mineurs étaient spécifiquement visés par les personnes armées.

    Plusieurs homicides par balles ont eu lieu ces derniers mois dans la deuxième ville de France, dans des cités et quartiers touchés par les trafics de drogue. Il y a une semaine, un homme a été abattu et un autre blessé par balles lors d'une fusillade dans le quartier de la Belle-de-Mai.

    Des renforts de police attendus

    Onze personnes ont officiellement été tuées depuis le début de l'année dans des règlements de compte, selon des chiffres de la préfecture de police de la mi-août.

    C'est dans ce contexte que le ministre de l'Intérieur a rappelé que les effectifs de police allaient être augmentés "de manière considérable". Une centaine de nouveaux membres doivent renforcer les rangs des forces de l'ordre marseillaise, a-t-il souligné. Une partie d'entre eux est déjà sur place, "les autres arriveront en septembre".

    BFM.TV


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  • La pandémie provoque le plus haut taux de décès dus à l'alcool depuis dix ans en Écosse

    Les décès liés à l'alcool ont augmenté de façon spectaculaire en Écosse l'année dernière, affirment les experts en santé publique. Le nombre de morts a en effet bondi de 17% en 2020, pour atteindre le niveau le plus élevé depuis plus d'une décennie, indique The Independent. On a enregistré un total de 1.190 décès, du jamais-vu depuis 2008. Maree Todd, ministre de la Santé publique écossaise (Parti national écossais, indépendantiste), a annoncé que les confinements dus au Covid-19 avaient conduit les personnes consommant beaucoup d'alcool à boire encore plus.

    «Bien que la consommation d'alcool en Écosse ait baissé en 2020, les résultats de plusieurs enquêtes montrent que ceux qui buvaient beaucoup avant la pandémie étaient plus susceptibles d'augmenter leur consommation pendant le confinement, a-t-elle expliqué. Nous avons travaillé avec des organisations de lutte contre l'alcoolisme pour que les services reviennent le plus rapidement possible à leur niveau d'avant-Covid.»

    Glasgow et les quartiers défavorisés très touchés

    Les villes de Glasgow et Inverclyde ont enregistré les plus hauts taux de morts dus à l'alcool, alors que ces deux régions avaient connu la plus forte baisse de cette cause de décès depuis 2004. Selon Sir Ian Gilmore, président de l'Alcohol Health Alliance UK, ces chiffres suivent un «schéma similaire à celui observé ailleurs au Royaume-Uni pendant la pandémie de Covid-19 et démontrent le besoin urgent d'agir sur cette autre crise sanitaire».

    «Même si le gouvernement écossais a ouvert la voie avec des politiques innovantes, comme le prix unitaire minimum, il reste beaucoup à faire pour s'attaquer aux dommages causés par l'alcool, notamment en garantissant l'accès à des traitements pour ceux qui en ont besoin, avance-t-il. Ces mesures doivent être soutenues par une réponse urgente du gouvernement britannique, sous la forme de taxes sur les boissons alcoolisées et d'une régulation des publicités à la télévision et en ligne pour protéger les enfants. Des vies en dépendent.»

    Le gouvernement écossais a été le premier au monde à instaurer un prix minimum à l'unité sur l'alcool en mai 2018. La même année, il a déclaré que les Écossais avaient acheté assez d'alcool pour qu'un adulte en boive 19 unités par semaine, soit presque 40 bouteilles de vodka, ou environ 100 bouteilles de vin en un an. En moyenne, chaque adulte vivant en Écosse buvait donc 36% d'alcool de plus que la quantité recommandée au Royaume-Uni pour éviter les risques, fixée à 14 unités par semaine.

    «L'Écosse a un vrai problème de traitement des addictions, qui n'a fait qu'empirer depuis que le parti indépendantiste est au pouvoir, a dénoncé Annie Wells, porte-parole du Parti conservateur écossais. Ce serait une grave erreur de penser que cette hausse est uniquement due à la pandémie.»

    Le Parti travailliste suggère, par la voix de sa cheffe, Jackie Baillie: «Avec des décès quatre fois plus élevés dans les zones les plus défavorisées, il est évident que des mesures sont nécessaires pour s'attaquer aux causes sous-jacentes de l'abus d'alcool.»

    Slate


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