• Qamar Gul a saisi une mitraillette appartenant à sa famille et a tué les deux talibans qui ont abattu ses parents, et blessé plusieurs autres.

    Une adolescente afghane a tué deux talibans et en a blessé plusieurs autres, pour venger ses parents que les insurgés venaient d'abattre devant leur maison, en raison de leur appui au gouvernement, ont indiqué des responsables locaux. L'incident s'est produit la semaine dernière lorsque des insurgés ont fait irruption au domicile de Qamar Gul, l'adolescente dont le père était le chef du village de la province centrale de Ghor.

     

    Les talibans recherchaient son père parce qu'il soutenait le gouvernement, a indiqué le chef de la police locale Habiburahman Malekzada. Ils l'ont traîné hors de la maison et lorsque sa femme a résisté, les talibans ont abattu le couple devant leur maison, selon le chef de la police. "Qamar Gul, qui se trouvait à l'intérieur de la maison, a alors saisi une mitraillette appartenant à la famille. Elle a tué les deux talibans qui ont abattu ses parents, et blessé plusieurs autres", a-t-il ajouté.

    L'adolescente est âgée entre 14 et 16 ans, selon les différents responsables. Il est courant pour beaucoup d'Afghans de ne pas connaître leur âge exact. D'autres membres des talibans sont par la suite venus pour attaquer sa maison, mais des villageois et des miliciens pro-gouvernementaux ont pu les repousser après une fusillade.

    Une idole sur les réseaux sociaux

    L'adolescente et son frère, plus jeune, ont été emmenés par les forces de sécurité afghanes en lieu sûr, a indiqué Mohamed Aref Aber, porte-parole du gouverneur provincial. Depuis l'incident, les réseaux sociaux ont été inondés de commentaires saluant l'acte "héroïque" de la jeune fille. Une photo de l'adolescente, portant le voile, une mitraillette sur les genoux, est devenue virale.

    "Chapeau bas à son courage! Bien fait", a affirmé Najiba Rahmi sur Facebook. "Le pouvoir d'une fille afghane", a écrit une autre internaute, Fazila Alizada, sur Facebook. Les talibans tuent régulièrement des villageois qu'ils soupçonnent d'être des informateurs pour le gouvernement ou les forces de sécurité.

    Au cours des derniers mois, ils ont également intensifié leurs attaques contre les forces de sécurité, bien qu'ils aient accepté d'entamer des pourparlers de paix avec Kaboul.

    L'Express


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  • L'islamiste enragé Erdogan transforme la basilique Sainte-Sophie de Constantinople en mosquée

    La décision, prise par Erdogan et validée par son Conseil d’État fantoche, de faire de la basilique Sainte-Sophie de Constantinople une mosquée est une provocation, un message de leadership adressé au monde islamique et un affront à la civilisation européenne et chrétienne.

    Sainte Sophie est certes, depuis 1934, un musée après avoir, hélas, été déjà transformée en mosquée au XVe siècle de notre ère.

    Mais la puissance du souvenir de ce que fut le grand empire byzantin et la force de son rayonnement continuent d'en faire un symbole lumineux de notre Histoire missionnée, du destin de notre continent, et de la spiritualité vraie.

    L'Europe d'aujourd'hui, celle de tous les abandons et de l'apostasie, s'aplatira une fois de plus devant le diktat du nouveau sultan.

    Celle de demain — que construiront les forces nationales tôt ou tard — aura sa revanche.

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

    Blog politique de Thomas JOLY


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  • Les assassins du chauffeur de Bayonne se prénomment Mohamed, Mohamed, Moussa et Selim !

    Pour écouter Christine Tasin :

    https://resistancerepublicaine.com/2020/07/10/les-assassins-du-chauffeur-de-bayonne-se-prenomment-mohamed-mohamed-moussa-et-selim/

    Des français, oui mais des français musulmans d'origine étrangère !


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  • L'équipe médicale est en train de tester les migrants pour savoir s'ils sont infectés au nouveau coronavirus, après quoi ils seront transférés à bord d'un navire de quarantaine.

    L'Italie procède à des tests sur les 180 migrants secourus par le bateau humanitaire Ocean Viking en Méditerranée en vue de les transporter à bord d'un navire de quarantaine en Sicile, a indiqué ce samedi une source au ministère de l'Intérieur.

     

    Les membres d'une équipe médicale dépêchée par les autorités dans le port sicilien de Pozzallo "ont établi l'absence de problèmes sanitaires particuliers et ont également rapporté que les tensions enregistrées sur le bateau (de l'ONG SOS Méditerranée) sont en voie d'être apaisées", selon cette source.

    Transbordés le 6 juillet

    L'équipe médicale est en train de tester les migrants pour savoir s'ils sont infectés au nouveau coronavirus, après quoi ils seront transférés à bord d'un navire de quarantaine se trouvant actuellement à Porto Empedocle, sur la côte méridionale de la Sicile.

    "La situation est surveillée attentivement en vue du transbordage des migrants, prévu le lundi 6 juillet, sur le Moby Zaza", toujours selon la même source.

    "état d'urgence"

    Bagarres, tentatives de suicide, menaces physiques envers l'équipage: la tension était devenue telle à bord que le navire humanitaire s'était déclaré vendredi en "état d'urgence", une première. Depuis jeudi, plusieurs bagarres avaient éclaté, principalement entre groupes ethniques, et six tentatives de suicide avaient été recensées.

    Cela fait plus d'une semaine que le navire a effectué sa première demande d'attribution d'un port pour débarquer ces personnes, mais après plusieurs requêtes auprès des autorités italiennes et maltaises - l'un des sauvetages a été effectué à cheval sur les eaux dépendant de ces deux pays, tandis que les trois autres l'ont été dans celles de Malte -, l'Ocean Viking n'avait jusqu'ici reçu que des réponses négatives des deux pays.

    Les 180 migrants, parmi lesquels des Pakistanais, des Nord-Africains, des Erythréens et des Nigérians, ont été secourus par le navire de SOS Méditerranée lors de quatre opérations distinctes, les 25 et 30 juin. 25 d'entre eux sont mineurs.

    BFM.TV

    Vive l'Europe, bienvenue aux migrants !


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  • Saint-Ouen : Un colistier du nouveau maire interpellé sur un scooter volé par les policiers de la BAC

    Le nouveau maire PS de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), Karim Bouamrane, a appris que l’un de ses colistiers avait été interpellé sur un scooter volé avant d’être placé en garde à vue. Il lui a demandé de « se mettre en retrait de la vie politique ».

    Le benjamin de la future équipe municipale de Saint-Ouen s’est retrouvé en garde à vue dans la nuit de jeudi à vendredi. Zakaria Zigh, 19 ans, circulait en effet sur un scooter volé dans la rue Godillot, peu après minuit.

    Les policiers de la Brigade anticriminalité (BAC) de Saint-Ouen étaient en patrouille lorsqu’ils ont repéré deux scooters sans plaque d’immatriculation. Deux personnes se trouvaient sur chacun des deux-roues et ont tenté de leur échapper, n’hésitant pas à prendre des sens interdits.

    Il explique qu’il est conseiller municipal

    Bloqués par un autre véhicule de police sérigraphié, les fuyards ont décidé de lâcher leurs scooters et de s’enfuir en courant.

    Pas pour longtemps puisque les policiers de la BAC les ont arrêtés. Les deux scooters étaient volés. Zakaria Zigh faisait partie des quatre interpellés et a révélé aux fonctionnaires qu’il était l’un des colistiers du nouveau maire de Saint-Ouen.

     

    Le jeune étudiant a été remis en liberté après avoir écopé d’un rappel à la loi, mais sa carrière politique a pris une tournure délicate. Il occupait en effet la 27e place de la liste « Réinventons Saint-Ouen » qui a été élue dimanche dernier, et était donc éligible puisque 32 sièges ont été attribués à la nouvelle majorité municipale, qui sera installée ce samedi.

    « Je prendrai les mesures qui s’imposent »

    « Je lui ai demandé de se mettre en retrait de la vie politique municipale », a réagi au journal Le Parisien le nouveau maire de Saint-Ouen (PS) Karim Bouamrane, qui l’a emporté avec 38,08% des voix sur le sortant UDI, William Delanno.

    « Je le convoquerai au plus vite pour qu’il puisse s’expliquer et je prendrai les mesures qui s’imposent », a ajouté Karim Bouamrane, qui souhaite que le reste de son équipe ne soit pas impactée par cette affaire.

    ACTU 17

    Cela commence bien à St-Ouen !


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  • Trois Franco-marocains ont été élus maires, respectivement de Goussainville, Saint-Ouen et Trappes, suite au second tour des élections municipales en France.

    Selon Atlas info, il s’agit d’Abdelaziz Hamida, Karim Bouamrane et Ali Rabeh. «Abdelaziz Hamida a été élu sur la Liste Citoyenne. Karim Bouamrane a été élu sur la liste PS-Ecologie les Vert et Ali Rabeh sur la liste La gauche unie (Génération.s, PCF, EELV)», explique le média.

     

    Entrepreneur, âgé de 43 ans et titulaire d'un master en droit des collectivités territoriales et locales à l'Université de Paris VIII, Abdelaziz Hamida a été conseiller municipal de Goussainville. Il a été élu avec 38,58% des suffrages et «distance de 426 voix le maire sortant Alain Louis (Candidat DVG) et de 745 votes l’ex-maire Elisabeth Hermanville (Candidate DVD)», écrit ViaGrandParis.

     

    Karim Bouamrane, 47 ans, devance de plus de 600 voix le maire sortant, William Delannoy (UDI), qui obtient 32,53 %. Avec 38,09 %, ce chef d' entreprise dans le domaine de la sécurité informatique d’origine marocaine ainsi élu maire de Saint-Ouen.

     

    Pour sa part, Ali Rabeh, Originaire de Trappes, dans les Yvelines devient aussi maire de sa commune. Trentenaire, d’origine marocaine et est considéré comme le bras droit de Benoît Hamon, il déloge ainsi le maire PS de Trappes Guy Malandain, 83 ans, qui dirigeait la ville depuis 2001.

    Microsoft News*

    Les musulmans doivent être contents ! Il faut croire que ce sont des villes où il y a plus de musulmans que de cathos !

    Et ce n'est que le début !


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  • Municipales à Trappes : un nouveau maire et déjà des frictions

    Ali Rabeh est devenu le premier magistrat de Trappes et a assuré travailler pour l’union de la ville. Mais la campagne difficile a laissé des traces qui se sont déjà fait jour.

    Sans surprise ni suspense, Ali Rabeh est devenu le maire de Trappes ce vendredi soir à 19 h 45. Mais le public, venu nombreux, en a eu pour son argent. Les stigmates d'une fin de campagne douloureuse ont rejailli juste après l'élection du premier magistrat.

    La séance avait démarré presque comme d'habitude : Guy Malandain officiait comme maître de cérémonie malgré sa cuisante défaite, privilège de l'âge. L'ancien député-maire a joué de son sourire et de sa bonhomie habituelle pour donner à ses derniers instants dans ce fauteuil le petit goût doux-amer de la nostalgie.

    Il ne s'est pas épanché pour autant, expédiant ses adieux en quelques mots, énonçant que ces 19 années passées à la tête de la ville faisaient remonter à sa mémoire « des regrets et des amitiés » et qu'il partait avec le sentiment d'avoir œuvré « pour faire évoluer la commune au plan social, éducatif et urbain ».

    Guy Malandain quitte la salle du conseil

    Lui et les trois autres élus de son équipe ont disparu juste après le vote à bulletins secrets qui a consacré Ali Rabeh. Il n'a donc pas entendu l'hommage que lui a rendu son successeur et les applaudissements qui ont suivi : « Nous avons eu des désaccords et des oppositions mais j'ai pour Guy Malandain beaucoup de respect et d'estime a assuré son ancien adjoint à la Jeunesse et aux Sports. En tant que député, il a porté de grandes lois, en tant que maire, il a beaucoup travaillé et je le sais viscéralement attaché à notre ville. »

    Ali Rabeh n'a toutefois pas pu s'empêcher de faire référence à une campagne difficile et même à une dernière semaine « irrespirable » durant laquelle il assure n'avoir « pas voulu réagir aux provocations ». Avant de proposer de « passer à autre chose ».

    Un recours pour invalider l'élection déposé par l'opposition

    C'était compter sans Othman Nasrou, challenger malheureux de ce deuxième tour et qui a pris la parole pour justifier le recours qu'il a déposé contre l'élection du 28 juin : « Des gens ont mélangé politique et religion, un tract m'a qualifié d'islamophobe. Je suis révolté, ces méthodes sont indignes et n'ont pas leur place dans un combat politique. J'ai porté plainte et j'espère que nous pourrons confondre les gens à l'origine de cette attaque. Dans l'attente du règlement de ce dossier, sur lequel je ne reviendrai plus, nous serons une opposition ferme sur ses valeurs et ses idées mais constructive. Nous avons, nous aussi, envie de sérénité pour travailler à la réussite de la ville. »

    « Moi-même, j'ai été calomnié dans cette campagne et nous n'avons pas répondu, a rétorqué Ali Rabeh. Certains candidats ont voulu porter le débat sur le terrain des communautés religieuses et je n'en fais pas partie. Je mets quiconque au défi dans cette ville d'affirmer que mon équipe aurait fait des promesses à n'importe quelle communauté religieuse que ce soit. »

    Dans le public, l'assistance a commenté à voix basse : « Et voilà ! Le consensus n'a pas duré bien longtemps. L'élection est encore trop proche pour que les cicatrices se referment. »

    En voyant Guy Malandain quitter la salle, accompagné de sa fidèle adjointe Jeanine Mary, on a bien réalisé que, pour le nouveau conseil municipal, un trait était tiré sur le passé … Mais pas TOUT le passé.

    Le Parisien

    Ali Rabeh est un fraco marocain !


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  • Carcassonne. Suspecté d’avoir aidé le terroriste, il est libéré

    Un des huit mis en examen vient d’être remis en liberté par la chambre de l’instruction. Il a été placé sous contrôle judiciaire.

    Vendredi 26 juin, un homme, âgé de 28 ans, soupçonné d’avoir aidé Radouane Lakdim à obtenir des armes avant l’attaque terroriste de Trèbes et Carcassonne le 23 mars 2018, a été remis en liberté par la chambre de l’instruction et placé sous contrôle judiciaire. Il était incarcéré à la maison d’arrêt de Seysses depuis presque un an. Il fait partie des huit personnes qui ont été mises en examen dans cette affaire.

    Cet homme est suspecté "d’association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste" et "détention et cession d’armes de catégorie A et B en relation avec une entreprise terroriste".

    Cinq suspects incarcérés

    Sa demande de remise en liberté sous contrôle judiciaire a été examinée la semaine dernière. À l’issue de la plaidoirie de son avocat toulousain, il a obtenu cette libération par un arrêt rendu ce vendredi.

    À ce jour, cinq autres personnes, mises en examen dans ce dossier, sont toujours incarcérées. Rappelons que cette attaque terroriste avait fait quatre morts et quinze blessés. L’auteur présumé avait été abattu par l’antenne du GIGN de Toulouse.

     La compagne du terroriste Redouane Ladkim, fichée S, âgée aujourd’hui de 20 ans, fait partie des mis en examen. Elle avait été interpellée dans les heures qui ont suivi les attentats de Carcassonne et de Trèbes. 

    La Dépêche.fr


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  • Lutter contre la haine antimusulmane

    IIEN pour ce très long article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/lutter-contre-la-haine-antimusulmane/ar-BB1698hC?ocid=msedgntp

     

    Un bel exemple pour les petits français cathos blancs : la famille Traoré, un père, deux femmes blanches, deux femmes noires et 17 enfants !

    Oublions aussi les gentils petits trafiquants de drogue des banlieues françaises, d'ailleurs on a dit aux flics de les laisser tranquilles !

    Tout le monde il est beau, tout le monde  il est gentil ! Un point c'est tout !


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  •  

    Corse : Privé d'agrément, un imam fiché S qui intervenait en prison gagne en appel

    Un imam fiché S a été réautorisé par la cour administrative d’appel à intervenir en prison en Corse

    Privé par deux fois de son agrément lui permettant d’intervenir dans les prisons corses, un imam fiché S a obtenu jeudi une décision favorable de la cour administrative d’appel de Marseille, qui a confirmé un jugement du tribunal administratif de Bastia d’octobre 2019.

    Dans leur arrêt jeudi, les magistrats marseillais ont rejeté le recours de la garde des Sceaux, Nicole Belloubet, du 17 décembre 2019, estimant que la ministre de la Justice « n’est pas fondée à soutenir que c’est à tort que le tribunal administratif de Bastia a annulé la décision » de l’administration pénitentiaire du 4 mai 2018.

    Intervenant dans deux prisons corses

    L’habilitation de l’imam Hamid Lamrani Elhouabi, qui intervenait dans les prisons de Borgo (Haute-Corse) et d’Ajaccio, lui avait été retirée une première fois en février 2017. Après une première annulation de cette décision par le tribunal administratif de Bastia, l’administration pénitentiaire lui avait retiré son agrément une seconde fois, « sur la base de nouveaux éléments », en 2018.

    Dans son recours contre le jugement du tribunal administratif de Bastia du 17 octobre 2019, la garde des Sceaux avait notamment mis en avant une réunion de février 2016 dans une école d’Ajaccio, lors de laquelle Hamid Lamrani aurait refusé de serrer la main « de plusieurs femmes ». Sur ce point, la cour administrative de Marseille répond qu’Hamid Lamrani aurait seulement refusé de serrer la main d’une institutrice, geste qu’il aurait ensuite « publiquement regretté ».

    20 Minutes

    Après les noirs que l'on ne peut plus arrêter parce qu'ils sont noirs, il ne faut pas toucher aux imans fichés S !

    Il semblerait que les juges soient de plus en plus cons !


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  • Video qui a déclenché cette affaire !!!

    La présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, est également renvoyée en procès pour diffamation.

    Le 7 décembre 2016, un reportage diffusé dans le 20H de France 2 suscitait la polémique. Intitulé «  Lieux publics : quand les femmes sont indésirables », le sujet assurait que les femmes n’étaient pas les bienvenues dans un bar de Sevran. Quatre personnes, dont la présidente de France Télévisions et le présentateur du journal de France 2, sont aujourd’hui renvoyées en procès pour diffamation, selon une ordonnance dont a eu connaissance vendredi l’AFP.

    Amar Salhi, le patron du Jocy Club de Sevran (Seine-Saint-Denis), avait déposé plainte pour diffamation en raison de la race et de l’origine contre la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, le présentateur du journal, David Pujadas, la journaliste auteure du reportage, Caroline Sinz, et la militante Nadia Remadna, qui avait filmé en caméra cachée des clients de son établissement.

     

    Tous les quatre ont été mis en examen et renvoyés devant le tribunal correctionnel de Paris, selon une ordonnance rendue le 3 juin. En matière de diffamation, la mise en examen est quasi automatique et les débats de fond se déroulent à l’audience.

    Un lieu comme un symbole de la mainmise supposée des islamistes

    Il y a plus de trois ans, France 2 avait diffusé dans son journal télévisé un reportage dans lequel deux militantes féministes de la « Brigade des mères » s’aventuraient en caméra cachée dans ce bar-PMU, pour dénoncer les lieux publics où les femmes seraient « indésirables. »

    « Dans ce café il n’y a pas de mixité », « on est à Sevran, pas à Paris (…) Ici, c’est une mentalité différente, c’est comme au bled », leur assènent des clients. « Aller dans un bar, ici, c’est braver un interdit pour une femme », dit la voix off.

    Le sujet agite très vite les réseaux sociaux, où certains érigent le lieu en symbole de la mainmise supposée des islamistes sur les banlieues. Les caméras du monde entier se succèdent devant ce café français supposément « interdit » aux femmes. Dans les semaines qui suivent, plusieurs médias publient toutefois des contre-enquêtes montrant que les femmes ne sont pas plus bannies du Jockey Club que les jeux d’argent ou l’alcool.

    Le bar est désormais fermé

    Avec ce procès, dont la date n’a pas encore été fixée, Amar Salhi, qui a fini par fermer son établissement, espère pouvoir « retrouver son honneur. » « Ça a été affreux. Ça a changé ma vie, j’ai perdu beaucoup de choses. Ils m’ont assassiné », dit cet homme de 62 ans.

    Sollicité par l’AFP, le groupe France Télévisions a indiqué ne « pas faire de commentaires car la procédure est en cours. » Pour Me Farid Bouzidi, l’avocat du patron du bar, ce reportage est « une supercherie », « un reportage en caméra caché pour dénoncer des faits que l’on savait faux. » « La journaliste de France 2 n’est jamais allée sur place », dénonce-t-il.

    20 Minutes

    Pourtant cette video montrait bien la vérité !

    Plus de liberté d'expression ! C'est la honte !


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  • Les tchetchènes ont pour religion prédominante l'islam ! Donc à Dijon, c'est musulmans contre musulmans !


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  • Marseille, c'est le maghreb !


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  • L’étonnant geste d’Ikea envers les musulmans

    Un magasin de l'enseigne d'ameublement suédoise, situé près de Francfort en Allemagne a proposé son parking à une mosquée locale pour la prière de l'Aïd.

    Un joli geste de solidarité. La direction du magasin Ikea situé près de Francfort en Allemagne a offert son parking à la communauté musulmane locale pour la prière de l'Aïd, le 24 mai dernier, rapporte la BBC. Environ 800 musulmans se sont donc réunis sur place afin de marquer la fin du mois sacré du Ramadan. "La prière de clôture avec tous les musulmans de Wetzlar a été comme une récompense pour nous", s'est réjoui le président de mosquée.

     

    Les photos de la prière de l'Aïd publiées sur les réseaux sociaux ont été largement partagées, et beaucoup ont félicité la mosquée pour avoir trouvé un moyen sûr pour la communauté de prier ensemble. À la recherche d'un espace alternatif pour accueillir les fidèles tout en respectant la distanciation sociale, le président de la mosquée Wetzlar, Kadir Terzi, s'était alors rapproché d'Ikea, sans grand espoir. "Mais le directeur du magasin n'a pas hésité une seconde et a dit 'oui, vous pouvez prier'. J'ai été surpris et heureux en même temps", a expliqué à BBC News Kadir Terzi. Les fidèles avaient été invités à apporter leur propre tapis de prière sur le parking d'Ikea, où le port du masque était également obligatoire.

    Après un début un peu chancelant avec une file d'attente à l'entrée, une vidéo montre que par la suite les règles sanitaires ont pu être observées. Des centaines de personnes se sont ainsi allongées à distance avec leur tapis de prière, aidées par des intendants, avec l'emblématique vitrine Ikea bleue et jaune en arrière-plan. Cette prière était particulièrement importante pour la communauté musulmane, car de nombreux fidèles se sentaient isolés pendant le Ramadan en raison des restrictions imposées par les coronavirus. Habituellement, le mois de jeûne est une période chargée avec des familles et des communautés qui se réunissent tous les soirs pour rompre le jeûne.

    CAPITAL


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  • Pour avoir fui avec son petit ami, la jeune fille a été décapitée dans son sommeil par son père, qui est son propriétaire selon le Code pénal islamique en vigueur en Iran. 

    C’est ce qu’on appelle un « crime d’honneur » en Iran. Jeudi 21 mai, une fillette de 13 ans a été décapitée à la faucille par son père, dans son sommeil, rapporte notamment le Courrier international. Son « crime » ? Avoir fui le domicile familial avec son petit ami. Et si la peine capitale est normalement de mise pour le meurtre en Iran, l’assassin ne risque cette fois qu’entre trois et dix ans de prison car selon le Code pénal islamique en vigueur en Iran, le père est considéré comme le propriétaire de son enfant. Le père qui assassine sa progéniture bénéficie donc d’une peine réduite. 

    Le père reprochait au petit ami de sa fille d’être sunnite

    Tout commence lorsque la fillette, nommée Romina Ashrafi, fuit la maison familiale avec son petit ami âgé de 30 ans, car son père s’oppose à leur mariage. Pourtant, ce n’est pas tant la large différence d’âge entre les deux amoureux qui rebute le paternel, mais bien le fait que l’amoureux de sa fille est d’obédience sunnite, alors que la famille Ashrafi est chiite. Après la disparition de sa fille, le père de Romina Ashrafi décide de porter plainte contre son petit ami pour « enlèvement ». Le couple est finalement arrêté cinq jours plus tard. A ce moment, l’adolescente supplie les autorités de ne pas la remettre à son père, mais rien n’y fait. Le lendemain, ce dernier tente de l’étrangler dans son sommeil avant de la décapiter avec une faucille. 

    Silence des « néo-féministes » européennes

    Ce meurtre atroce a déclenché un véritable tollé sur les réseaux sociaux en Iran, où les internautes se sont insurgés contre les lois patriarcales et l’absence de protection pour les femmes et les jeunes filles. En France, cet acte barbare n’a en revanche été que très peu commenté par les féministes de tout poil, comme l’a relevé l’avocat Gilles-William Goldnadel. « Une fois de plus, je constate que le néo-féminisme bruyant s’arrête aux frontières d’Occident. Il ne donne de la voix que contre le seul mâle blanc », a-t-il déploré sur Twitter.

    Sur le réseau social, rares sont les personnalités politiques à s’être ému de cette tragédie. Seuls les députés LR Éric Ciotti et Valérie Boyer ont jugé bon de rendre hommage à la fillette. Le premier a dénoncé « un crime d’honneur légal qui vient nous rappeler à quel point la barbarie islamiste qui avilit les femmes est à combattre de toutes nos forces ». La seconde a voulu « rappeler l’extrême fragilité des conditions des femmes en Iran »

    Valeurs Actuelles

    Décapiter sa propre fille : islam religion de paix, d'amour et de tolérance !


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