• Une policière, suspendue depuis le début du mois de novembre, va passer en conseil de discipline au début du mois de décembre. Il y a plusieurs années, elle a écopé d'un rappel à la loi après avoir partagé des posts sur Facebook sur la situation humanitaire au Proche-Orient. Elle dénonce une "chasse aux sorcières" après l'attaque de la préfecture de police de Paris.

     

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/ils-essaient-de-montrer-lexemple-une-polici%c3%a8re-musulmane-d%c3%a9nonce-sa-suspension/ar-BBWQjEt?ocid=WidgetStore


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  • La police du Nord a dénoncé une « fake news », assurant que le port du voile n’était pas le motif de l’interpellation

    Depuis mardi soir, la police de Roubaix, dans le Nord, a les oreilles qui sifflent à cause d’une vidéo montrant l’interpellation d’une femme voilée. Le document, publié et partagé à de nombreuses reprises sur les réseaux sociaux, a suscité l’indignation. Le postulat global étant que la femme en question a été interpellée parce qu’elle portait le voile. La Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) a donné, mercredi, sa version de l’histoire.

    Sur les différents comptes Facebook ou Twitter où elle a été relayée, cette fameuse vidéo cumule des dizaines de milliers de vues et presque autant de commentaires. Une quarantaine de secondes d’images montrant deux policiers tenter de menotter une jeune femme portant le voile sous les cris de personnes, notamment de celle qui tient le téléphone. On y voit aussi une femme tomber au sol, repoussée par un agent alors qu’elle tentait d’agripper la personne interpellée.

    Ce que l’on sait, c’est que cette scène s’est effectivement déroulée au parc du Nouveau monde, dans le quartier de l’Hommelet, à Roubaix, mardi en fin d’après-midi. Le contexte est ensuite très différent selon les versions. Sur Twitter, certains avancent une interpellation à cause d’une fessée donnée à son enfant. D’autres affirment que seul le port du voile était le motif. Sur la page Facebook de l’auteure supposée de la vidéo, on parle d’une « bagarre entre communautés » qui dégénère à l’arrivée de la police puis d’un « simple contrôle » qui a mis le feu aux poudres.

    L’interpellation d’un homme recherché qui dégénère

    C’est cette dernière version que la police avance elle aussi, reléguant le reste au statut de « fake news ». Selon la version de la DDSP, une patrouille de police a repéré aux abords du parc un homme qui faisait l’objet d’une fiche de recherche. L’homme avait été condamné et devait partir en prison. Les fonctionnaires ont contrôlé cet homme et l’ont interpellé une fois son identité confirmée. C’est alors qu’un couple a tenté de s’interposer. Selon la police, l’homme et la femme ont agressé à trois reprises les agents, notamment à l’aide d’un bâton et d’une bouteille. Ces deux personnes ont finalement été interpellées elles aussi et c’est la femme de ce couple que l’on voit menottée sur la vidéo.

    Une troisième femme a aussi tenté de s’interposer avant de se faire sèchement repousser par un policier. Le couple a été placé en garde à vue après avoir été examiné par un médecin : « Ils ne présentent aucune lésion ni traumatisme », affirme la DDSP, insistant sur le fait que « non, des policiers de Roubaix ne s’en prennent pas à une femme parce qu’elle est voilée ».

    20 Minutes

    Ces femmes en burka veulent se faire passer pour de pauvres victimes !

    Je croyais que la burka était interdite en France !


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  • Parmi les 11 Français qui vont être expulsés de Turquie vers la France figureraient 4 femmes membres de l'Etat islamique et leurs enfants. Voici ce que l'on sait d'elles.

    Onze Français détenus en Turquie vont être renvoyés en France dans les prochains jours, a annoncé lundi Ankara. Selon une source proche du dossier citée par l'AFP, il s'agit "en majorité des femmes". Elles seront toutes interpellées et présentées à un juge à leur arrivée en France dans le cadre du "protocole Cazeneuve". Signé en 2014, cet accord de coopération policière entre la France et la Turquie permet que des djihadistes rentrant de Syrie via le territoire turc soient immédiatement interceptés à leur retour.

    Quatre femmes et leurs enfants

    Selon le Centre d'analyse du terrorisme (CAT) et Le Parisien, il s'agirait en fait de 4 femmes membres de l'Etat islamique qui ont été capturées en Syrie avec leur 7 enfants avant de réussir à s'enfuir en Turquie :

    • Amandine Le Coz, originaire de Domont (Val-d'Oise), avait rejoint l'EI à Raqqa en 2014 en compagnie d'un Marocain qui est mort au combat depuis. Elle s'est rendue début 2018, indique Le Parisien, avec son enfant alors âgé d'un an et demi.
    • Sarah Ali Mehenni (23 ans), originaire de Lézignan-Corbières (Aude), s'était aussi rendue en Syrie en 2014, avant de se marier avec un djihadiste tunisien.
    • Tooba Gondal (25 ans), surnommée Umm Muthanna al-Britaniyah, est une résidente britannique de nationalité française, selon le CAT. "Elle a contribué à recruter plusieurs adolescentes. Elle fait l'objet d'une interdiction de séjour des autorités britanniques depuis novembre 2018", écrit le CAT sur Twitter. 
    • La dernière des 4 femmes interpellées serait Nawel Hassani.

    Une fuite provoquée par l'offensive turque

    Amandine Le Coz, Nawel Hassani et Sarah Ali Mehenni étaient détenues jusqu'à récemment encore dans le camp kurde d'Aïn Issa, comme Tooba Gondal, écrit Le Parisien. Elles auraient profité de l'offensive turque pour s'échapper vers la Turquie. "Voilà des mois et des années qu'elles demandent à être rapatriées, a réagi sur Franceinfo Marie Dosé, avocate des trois femmes. Elles demandent à faire face à leur responsabilité pénale. Elles ont risqué leur vie et la vie de leurs enfants pour pouvoir rejoindre la Turquie et être expulsées vers la France."

    A Paris, on avance que la situation n'a rien d'exceptionnelle. Le Quai d'Orsay a rappelé que des djihadistes et leurs familles sont régulièrement renvoyés en France depuis la Turquie et arrêtés à leur descente d'avion. "La plupart du temps secrètement, l'information ne sort pas ou beaucoup plus tard", souligne-t-on au ministère. Selon une source aéroportuaire citée par l'AFP, les modalités et le lieu d'arrivée de ces 11 personnes "sont encore en discussion".

    Le JDD.fr

    "Voilà des mois et des années qu'elles demandent à être rapatriées" !

    Mais bien sûr, elles savent le laxisme de la justice française, on va bien s'en occuper et leur donner du pognon pour leurs nombreux enfants !


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  • J'ai regardé cette video en entier. Très intéressant, cela permet un peu de comprendre ce qui se passe dans cette région ! On parle aussi de la Coupe du monde  de football au Quatar en 2022 ! Puis le pétrole, l'intervention de Trump ...


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  • Attaque au couteau lors d'un spectacle musical en Arabie saoudite

    Trois membres d'une troupe de théâtre sont dans un état stable après avoir été poignardés sur scène lundi à Riyad. C'est la première attaque du genre depuis la mise en place d'un plan de promotion du divertissement par les autorités.

     

    Trois personnes ont été blessées, lundi 11 novembre, dans une attaque au couteau à Riyad alors qu'elles participaient à un spectacle musical, a rapporté la télévision d'État d'Arabie saoudite.

    "La police de Riyad a arrêté un résident arabe en possession d'un couteau, après qu'il a poignardé deux hommes et une femme faisant partie d'une troupe de théâtre", a indiqué la chaîne Al-Ekhbariya, précisant que les blessés étaient dans un état stable.

    Selon des images de la télévision d'État, l'homme s'est rué sur la scène pour attaquer les comédiens, vêtus de costumes.

    La télévision n'a pas précisé la nationalité de l'assaillant, mais le journal pro-gouvernemental Okaz a avancé qu'il s'agissait d'un Yéménite de 33 ans, en citant la police de la capitale.

    "Vision 2030"

    C'est la première attaque du genre depuis la mise en place d'un plan de promotion du divertissement par les autorités auprès des citoyens saoudiens. Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane souhaite débarrasser l'Arabie saoudite de son image de pays ultraconservateur avec l'autorisation de conduire pour les femmes, la réouverture de salles de cinéma, des concerts mixtes et autres spectacles.

    Des stars internationales comme la chanteuse américaine Janet Jackson, le rappeur américain 50 Cent ou encore le groupe sud-coréen BTS se sont ainsi déjà produites sur une scène saoudienne, chose inimaginable il y a encore deux ans.

    Le développement de l'industrie du divertissement mais aussi du tourisme fait partie du plan "Vision 2030" du prince héritier, qui vise à diversifier l'économie du royaume ultradépendant du pétrole.

    Mais ces réformes ont entraîné la crispation des plus conservateurs dans le royaume. Cette année, des militants des droits de l'Homme ont annoncé l'arrestation du religieux Omar al-Muqbil pour avoir critiqué l'organisme chargé du plan de promotion du divertissement, affirmant que les concerts qu'il organisait étaient en train "d'effacer l'identité originale de la société saoudienne".

    FRANCE 24


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  • Marche contre l'islamophobie

    Beaucoup de musulmanes ont suivi Marwan Muhammad  debout sur une camionnette scandant  «Allahu Akbar»  devant une foule de manifestant(e)s, qui reprennent l'expression en chœur.


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  • Un radicalisé surveillait les geôles du TGI de Paris !!!!!!!!!

    Panique au Tribunal de Grande instance de Paris.

    En urgence, le parquet a demandé l’exfiltration immédiate d’un premier surveillant de prison, connu pour sa radicalisation, qui officiait depuis quelques mois au dépôt du Palais de Justice de Paris !!! 

    Les sous-sols de ce dernier abritent 250 geôles dont une centaine au sein de la «Souricière». Cette partie de la détention reçoit tous les jours les détenus extraits de leur prison et sur le point d’être jugés. C’est là que ce personnel de la pénitentiaire avait été affecté. De quoi faire froid dans le dos. 

    La direction interrégionale de l’administration pénitentiaire a confirmé le signalement et discrètement muté l’agent dans des services administratifs «sans lien direct et habituel avec des personnes détenues». Il aurait fait l’objet d’une surveillance du renseignement pénitentiaire bien avant sa nomination au TGI de Paris !!! 

    De son côté, le procureur de Paris, Rémy Heitz, aurait demandé aux différents services du tribunal une attention accrue sur ces dérives et exigé un criblage plus serré sur le recrutement et les profils des agents amenés à travailler au tribunal. Aujourd’hui, entre magistrats, fonctionnaires et agents affectés à différentes tâches, 2 000 personnes travaillent dans cet immeuble de grande hauteur pour lequel la sécurité est un enjeu majeur. 

    Le Figaro.fr

    On en tombe sur le cul ! Pauvre France !


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  • Racisme anti-musulmans : «L’échec de notre modèle d’intégration», estime Marlène Schiappa

    Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat en charge de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, organisait ce mardi un séminaire de restitution des données de l’enquête réalisée par l’Ifop à la demande de la Dilcrah, l’agence gouvernementale de lutte contre le racisme et les discriminations, et la fondation Jean Jaurès.

     

    Cette enquête révèle que les musulmans en France sont soumis à un niveau très élevé de discriminations, du fait de leurs origines mais aussi, spécifiquement, de leur religion.

    La réalité du racisme et des discriminations ont été largement documentées ces dernières années. Qu’est-ce que cette nouvelle enquête apporte en plus ?

    MARLÈNE SCHIAPPA. La méthode est nouvelle : c’est la première fois qu’on interroge les musulmans eux-mêmes. C’est important de disposer de chiffres sur leur vécu, pour montrer la réalité des discriminations afin de mieux les combattre. C’est aussi la première fois qu’une telle étude est commandée par un gouvernement.

    Quels sont les principaux enseignements de l’étude, selon vous ?

    Elle montre que la discrimination touche des citoyens français, dont les familles sont en France depuis plusieurs générations. Le niveau de discrimination dans l’accès au logement est extrêmement élevé, quelle que soit la situation des personnes. Et paradoxalement, plus vous êtes diplômé, plus vous êtes discriminé. C’est un constat d’échec de notre modèle d’intégration, c’est aussi ce qui nourrit le communautarisme. Quand des personnes se sentent exclues de la République, elles sont attirées par ceux qui s’organisent en marge de la République.

    Etude réalisée par l’Ifop pour Dilcrah - Fondation Jean Jaurès auprès d’un échantillon de 1 007 personnes représentatif de la population de religion musulmane âgée de 15 ans et plus (méthode des quotas), du 26 août au 18 septembre.

    Comment comptez-vous agir ?

    En faisant connaître leurs droits aux gens. Nous avons par exemple lancé avec Julien Denormandie une BADI, brigade antidiscrimination, qui permet aux personnes de signaler des faits, afin que les pouvoirs publics puissent faire des contrôles dans les lieux et les entreprises où des problèmes sont identifiés. Sur le terrain, le gouvernement soutient chaque année plus de 850 initiatives pour faire reculer la haine. 1,8 million d’euros y sont consacrés en 2020 pour des projets luttant contre le racisme et l’antisémitisme.

    Cette brigade a-t-elle déjà des résultats ?

    Nous ferons un bilan dans quelques mois. On s’aperçoit d’ores et déjà qu’il est difficile de libérer la parole sur ces sujets et que ce dispositif doit être davantage connu. Dans le monde du travail, nous avons aussi lancé 1 000 opérations de testing, sur toutes les grandes entreprises, et nous avons reçu, avec Julien Denormandie, l’ensemble des patrons des agences immobilières pour leur demander de prendre des engagements. Les entreprises ne peuvent plus botter en touche, en disant que ce sont leurs clients qui ne veulent pas de telle ou telle personne. Elles doivent clairement refuser de discriminer : c’est illégal.

    Le Parisien


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  • Dans un appel téléphonique accordé à eMarrakech concernant sa dernière Fatwa à propos de la nécrophilie, Cheikh Abdelbari Zamzami a tenu à confirmer sa Fatwa en assurant que le mari a le droit d’avoir une relation sexuelle avec sa femme morte.

    Zamzami a assuré que le mariage reste valable même après la mort qui ne peut en aucun cas annuler ce lien. Il a pris comme preuve un verset coranique qui dit que les musulmans croyants seront au paradis avec leurs épouses.

    Ainsi, le mari peut laver le corps de sa femme morte, et la femme aussi a ce droit. Mais aussi, il peut avoir un rapport sexuel avec le cadavre de sa femme.

    Cependant, Zamzami a tenu à rappeler que cette nécrophilie, quoique Halal, reste un acte écœurant qu’il serait préférable d’éviter.

    Yabiladi.com


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  • Islam et zoophilie - Source :Aqveyli N-Jerjer  crédit: © kabyle.net

    LIEN de l'article :

    https://lislampourlesnuls.blogspot.com/2017/10/islam-et-zoophilie.html?m=1

    Je n'ai aucun avis sur cet article, je transmets juste

     


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  • Un imam algérien justifie la pédophilie

    ALGERIE (Tamurt) – Les imams algériens semblent faire une sérieuse concurrence à leurs homologues Saoudiens, en matière d’ignorance et de perversion bien sûr.  Chams Dine, un imam vedette de la chaîne islamiste algérienne d’Ennahar, a poussé le bouchon plus loin que personne ne l’imagine.

    Dans une émission radiophonique à la radio algérienne Jil FM, il a justifié et a même défendu la pédophilie. Pour lui, le viol par un homme de 37 ans d’une fillette de 12 ans s’explique scientifiquement.  L’imam a déclaré « Il y a une explication scientifique pour cet amour entre cet homme de 37 ans et cette fillette de 12 ans. Lui, il a 37 ans dans le corps, mais dans l’esprit, il a peut-être le même âge que la fille ». Le quotidien francophone  algérien l’Expression, qui  a rapporté l’information, a indiqué que Chams aurait déclaré qu’il « se peut qu’il soit adulte même dans son esprit et que cette fille de 12 ans soit mûre. 12 ans, mais c’est une femme ! S’ils s’aiment tous les deux. Dans ce cas, si ses intentions sont sincères, c’est-à-dire qu’il la veut pour épouse, je ne vois pas de contrainte à ce genre de mariage ».

    Des déclarations qui font froid au dos. L’Imam est remercié même et considéré comme un savant très sage et une référence pour la société algérienne.

    Lounès B pourTamurt


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  • Ankara veut renvoyer dans leurs pays les djihadistes capturés en Syrie

    « Nous n’allons pas pouvoir les garder jusqu’à la fin des temps. Nous ne sommes pas un hôtel pour les membres de Daesh », a déclaré le ministre turc de l’Intérieur Süleyman Soylu

    La Turquie  a affirmé samedi qu'elle ne garderait pas « jusqu'à la fin des temps » les prisonniers étrangers du groupe Etat islamique (EI) capturés en Syrie et finirait par les renvoyer dans leurs pays d'origine, notamment européens. «En ce qui concerne les (djihadistes) étrangers, nous allons les garder sous notre contrôle pendant encore un certain temps. Ensuite, nous les renverrons dans leurs pays », a déclaré à la presse le ministre turc de l'Intérieur Süleyman Soylu.

    « Nous n'allons pas pouvoir les garder jusqu'à la fin des temps. Nous ne sommes pas un hôtel pour les membres de Daesh », a-t-il insisté.

    Conséquences de l'offensive contre les kurdes

    Le ministre turc a en outre accusé plusieurs pays européens, comme les Pays-Bas et la Grande-Bretagne, de déchoir certains de leurs ressortissants de leur nationalité pour empêcher Ankara de les expulser. « Ils ont trouvé une solution facile (...) Ils disent : "Je l'ai déchu de sa nationalité, débrouillez-vous." C'est inacceptable de notre point de vue. C'est totalement irresponsable. »

    La Turquie a lancé le mois dernier une offensive dans le nord-est de la Syrie contre une milice kurde qu'elle qualifie de « terroriste » mais qui a été le fer de lance de la lutte contre l'EI avec l'appui des pays occidentaux. Dans le cadre de cette incursion, stoppée après la signature d'accords avec les Etats-Unis et la Russie, les forces turques ont mis la main sur des membres de l'EI qui avaient été faits prisonniers par les combattants kurdes.

    Selon plusieurs pays, comme les Etats-Unis, d'autres prisonniers de l'EI se sont échappés de prison en Syrie en profitant du chaos causé par l'offensive turque.

    20 Minutes


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  • Elle devrait aussi cacher ses fesses !


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  • Plusieurs organisations et une cinquantaine de personnalités appellent à manifester contre l'islamophobie le 10 novembre à Paris

    Les hommes politiques Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon figurent notamment parmi les signataires de cet appel, tout comme le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez.

    Le 10 novembre, à Paris, nous dirons STOP à l’islamophobie !" Dans un texte publié vendredi 1er novembre par Libération, plusieurs organisations et une cinquantaine de personnalités appellent à manifester "contre la stigmatisation des musulmans de France", dans un contexte notamment marqué par l'attaque de la mosquée de Bayonne et les débats au sein de la classe politique sur le port du voile, notamment par les accompagnatrices scolaires.

     

    "Depuis des années, la dignité des musulmanes et des musulmans est jetée en pâture, désignée à la vindicte des groupes les plus racistes qui occupent désormais l'espace politique et médiatique français", écrivent les signataires de cette tribune.

     

    "Une criminalisation de la pratique religieuse"

    Outre "l'attentat contre la mosquée de Bayonne" et "l'humiliation d'une maman et de son enfant par un élu RN au conseil général de Bourgogne-Franche-Comté", ils dénoncent l'"exclusion progressive" des femmes voilées "de toutes les sphères de la société" ainsi que les "délations abusives" et la "surveillance de masse" qui vise selon eux les musulmans, et "conduisent à une criminalisation pure et simple de la pratique religieuse."

    L'appel a été initié par l'élu municipal de Saint-Denis Madjid Messaoudene et plusieurs organisations, dont le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), l'Unef, mais aussi le Comité Adama ou encore le NPA.

    Le chef de file de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, et celui de Génération.s, Benoît Hamon, figurent dans la liste des signataires, aux côtés du secrétaire général de la CGT Philippe Martinez ; d'Assa Traore, la sœur d'Adama Traoré ; de Jérôme Rodriguez, une des figures des "gilets jaunes" ; des journaliste Rokhaya Diallo, Aïda Touihri et Edwy Plenel ; ou encore de l'humoriste Yassine Belattar, qui a récemment annoncé sa démission du Conseil présidentiel des villes.

    Le 27 octobre, déjà, plusieurs centaines de personnes s'étaient rassemblées à Paris pour dénoncer "l'islamophobie" et la "stigmatisation des musulmans" par des responsables politiques et dans les médias.

    franceinfo

    Non à l'islamophobie, vive les gentils musulmans, pas d'amalgame !


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  • Depuis le 3 octobre et l'attaque de la préfecture de police de Paris, il y a eu "33 signalements" pour soupçons de radicalisation, a indiqué mercredi le préfet Didier Lallement.

    Sept policiers ont été "désarmés" à la suite de signalements pour radicalisation "depuis le 3 octobre", date de l'attaque à la préfecture de police de Paris, a annoncé mercredi le préfet Didier Lallement.

    Auditionné par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur cette attaque meurtrière, Didier Lallement a ajouté qu'il avait demandé "trois suspensions" dont "une" a été mise en oeuvre. Au total, depuis le 3 octobre, il y a eu "33 signalements" pour soupçons de radicalisation.

    Le préfet de police a rappelé qu'il avait adressé le 7 octobre une note à l'ensemble de ses services afin qu'ils signalent systématiquement tous les signes de radicalisation.

    Mickaël Harpon n'avait pas fait l'objet d'un signalement formel

    L'auteur de la tuerie, Mickaël Harpon, était chargé de la maintenance informatique au sein de la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP). Selon un rapport interne de son service après l'attaque, il avait justifié auprès de certains de ses collègues l'attentat de Charlie Hebdo en 2015, sans faire l'objet d'un signalement formel.

    Le président de la commission d'enquête, Éric Ciotti (LR), a interrogé Didier Lallement sur un signalement de Mickaël Harpon dans le Val d'Oise à Gonnesse où il fréquentait une mosquée, par un autre service de renseignement - renseignement territorial ou DGSI (direction générale de la sécurité intérieure). "Le profil" de Mickaël Harpon "a-t-il été signalé à la DRPP?", a demandé Eric Ciotti.

    Le préfet de police a renvoyé à l'enquête judiciaire, ce que les membres de la commission, dont Marine Le Pen (RN), ont peu apprécié, considérant que la représentation nationale méritait "des réponses".

    Europe 1

    Ils peuvent tuer avec un couteau !


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  • Laïcité et islam : le CFCM promet des "annonces fortes" après sa rencontre avec Macron

    Le Conseil Français du culte musulman (CFCM) fera des "annonces très fortes" sur les questions du voile et de la détection de la radicalisation, a annoncé lundi son vice-président Anouar Kbibech à l'issue d'une réunion à l'Elysée. Le CFCM tiendra mardi une réunion exceptionnelle de son conseil religieux "à l'issue duquel des annonces très fortes seront faites", a déclaré Anouar Kbibech, à l'issue d'un entretien des représentants du culte musulman avec Emmanuel Macron et le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner. 

     

    Le président Emmanuel Macron a appelé lundi le Conseil français du culte musulman (CFCM) à "combattre, aux côtés de l'Etat, le communautarisme et l'islamisme", a rapporté de son côté le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner.

    Cet entretien avait été annoncé par le chef de l'Etat, pressé par l'opposition de droite de prendre position sur la laïcité et l'islam.  "Deux points sont à l'ordre du jour. La première question, c'est : que dit l'islam sur la question du voile ? (...) Il faut une parole très forte et très claire là-dessus et c'est ce qui sera fait demain", a poursuivi Anouar Kbibech. Ensuite, "nous allons saisir le conseil religieux pour travailler sur les signes avant-coureurs de radicalisation religieuse vus par les musulmans parce que jusqu'à maintenant, les signes qui nous sont avancés sont les signes d'un regain de religiosité", a-t-il ajouté.

    "Aller à la mosquée, porter une barbe, jeûner le ramadan avec ferveur, ce ne sont pas des signes de radicalisation et cela contribue à un amalgame honteux entre islam, islamisme et terrorisme", a-t-il détaillé. Le vice-président du CFCM a également indiqué avoir convenu avec le président de se revoir "d'ici la fin" novembre "concernant un programme de lutte contre le communautarisme que le gouvernement est en train de mettre en place". "Le CFCM sera totalement associé à cette démarche", a-t-il assuré.

    La création de conseils départementaux du culte musulman

    L'instance représentative du culte musulman entend également "parachever", à l'issue de ses élections le 24 novembre, sa "départementalisation" avec la création de conseils départementaux du culte musulman (CDCM), nouvel échelon venant compléter les conseils régionaux (CRCM) déjà existants. "Cela assurera une meilleure proximité avec les lieux de culte, les imams et pourra identifier les interlocuteurs officiels des préfets et des maires", a estimé Anouar Kbibech.

    Il a également évoqué la création d'un "conseil de l'ordre des imams", sur le modèle de l'ordre des médecins ou des avocats, qui "permettra d'habiliter les imams". "Si jamais tel ou tel imam fait une déclaration ou porte un discours contraire aux lois et aux valeurs de la République, le CFCM pourra lui retirer son agrément et la mosquée sera de fait obligée de mettre fin à la mission de l'imam", a-t-il expliqué.

    Europe 1


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  • Calais: huit migrants, dont des enfants, trouvés en hypothermie dans un camion frigorifique

    Un homme a semé la panique ce dimanche soir au Grand Rex en criant "Allahou akbar" lors de la séance de 21h30 du film Joker, a appris BFM Paris, confirmant une information du Parisien. Un mouvement de foule s'est ensuite produit dans la salle.

    L'individu a dans un premier temps été maîtrisé par un spectateur et un vigile, avant de prendre la fuite par la rue du Faubourg Poissonnière. Il a ensuite été retrouvé et interpellé rue de Hauteville dans le 10e arrondissement.

    Non armé, l'individu né en 1985 en Algérie a été placé en garde à vue pour "apologie du terrorisme". Le cinéma Le Grand Rex a porté plainte. 

    BFM.TV

    Encore un algérien comme à Grenoble !


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  • Grenoble : Un jeune homme, armé de deux couteaux et hurlant «Allah akbar», interpellé devant la gare

    Gare de Grenoble

    L'individu a été appréhendé après avoir déambulé dans les rues de la ville, torse nu, muni de ces deux couteaux de cuisine et hurlant en arabe

    Un jeune homme de 19 ans a été interpellé ce dimanche matin devant la gare de Grenoble. Il a été arrêté alors qu’il représentait un danger pour la population. L’individu était armé de deux couteaux de cuisine « à grande lame », indique ce jour le parquet de Grenoble. Il s’est mis à crier à plusieurs reprises « Allah Akbar » tout en faisant la prière, précise-t-il également.

    Aucun blessé

    Selon Le Dauphiné Libéré, le suspect avait été repéré en train de déambuler torse nu dans les rues de la ville, muni de ses couteaux. La BAC, brigade anticriminalité, est intervenue vers 10h20 alors que le jeune homme se trouvait à l’entrée de la gare mais ce dernier a refusé de lâcher ses armes à terre, menaçant au passage l’un des policiers. Peu d’informations ont filtré.

    L’individu est né en 2000 en Algérie mais habite actuellement à Grenoble, révèle le Eric Vaillant, le procureur de la République. L’enquête a été confiée à la sûreté départementale de Grenoble. Aucun blessé n’est à déplorer.

    20 Minutes


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  • Le leader de Daesh s'est fait exploser avec sa "veste" chargée d'explosifs, a déclaré le président des États-Unis.

    L'information qui a été relayée dans la nuit de samedi à dimanche par plusieurs médias américains est officialisée. Le chef de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi, a été tué ce week-end, a confirmé Donald Trump lors d'une allocution depuis la Maison Blanche.

    "Abou Bakr al-Baghdadi est mort", a-t-il déclaré un peu après 14h, ajoutant que le chef de l'organisation terroriste avait fait exploser sa "veste" explosive et qu'il avait été tué "comme un chien." 

    Le président américain en a également profité pour remercier la Russie, la Turquie, la Syrie, l'Irak et les Kurdes. 

    Rumeurs persistantes 

    Plus tôt dans la journée, la Maison Blanche avait confirmé que le chef d'état américain allait faire une annonce "très importante" dans la journée. Sur Twitter, Donald Trump avait d'ailleurs indiqué sur Twitter que "quelque chose d'énorme (venait) de se passer."

    Outre-Atlantique, plusieurs médias avaient déjà affirmé, avant même l'officialisation de la nouvelle, que le président américain avait donné son accord, plus tôt dans la semaine, à un lancement d'une opération contre Daesh, visant en particulier son leader. 

    BFM.TV


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