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  • Je précise que cela n'est pas de moi !


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  • L' hostilité d'une partie du monde musulman envers le pouvoir français ne désenfle pas à en croire la dernière sortie d'une ministre pakistanaise.

    Chargée des droits de l'Homme, Shireen Mazari a affirmé samedi dans un tweet que « Emmanuel Macron fait aux musulmans ce que les nazis infligeaient aux Juifs ».

    Elle a aussi prétendu que « les enfants musulmans devront avoir un numéro d'identification, comme les Juifs étaient forcés à porter l'étoile jaune sur leurs vêtements pour être identifiés ». Une information formellement démentie par le gouvernement français.

    Fin octobre, un ancien Premier ministre malaisien avait « appelé à tuer des Français ».

    « Profondément choquants et injurieux »

    « Un membre du gouvernement pakistanais s'est exprimé aujourd'hui sur les réseaux sociaux dans des termes profondément choquants et injurieux à l'égard du président de la République et de notre pays », s'est indigné la diplomatie française. « Le Pakistan doit rectifier ces propos et retrouver le chemin d'un dialogue fondé sur le respect », insiste la porte-parole du ministère français des Affaires étrangères.

    Comme dans de nombreux endroits dans le monde musulman, le Pakistan a été le théâtre depuis le mois de septembre de manifestations anti-françaises, souvent houleuses, après la republication des caricatures du prophète Mahomet par l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo.

     

    Le Parisien


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  • Le secrétaire général de la Ligue islamique mondiale : "Les musulmans doivent respecter les lois" françaises

     

    Avec le recteur de la mosquée et de l’université al-Azhar du Caire, Mohammad Abdelkarim Alissa, est l’un des deux porte-voix mondialement reconnus du l’islam sunnite. À 55 ans, l’homme a été remarqué depuis de nombreuses années pour ses propos visant à lutter contre le concept du choc des civilisations. Il est l’une des rares personnalités du monde islamique à s’être rendue à Auschwitz et à faire vivre le dialogue des religions. Pour lui, le musulman français doit se soumettre aux lois de la République ou partir.  

    Il y a un peu plus d’un mois, le professeur d’histoire-géographie Samuel Paty était assassiné pour avoir montré à ses élèves des caricatures du prophète Mahomet parues dans le magazine satirique Charlie Hebdo. Quelle est votre position à ce sujet?  

    L'assassinat du professeur d'histoire et de géographie Samuel Paty est un horrible crime terroriste, et en aucun cas un musulman digne de ce nom ne pourrait commettre un tel acte. Cet extrémiste qui a commis ce meurtre ne représente en rien l'Islam, il est plutôt le porteur d’une idéologie terroriste qui l'a incité à commettre ce crime. En plus d’avoir commis l’irréparable en ôtant la vie à ce pauvre professeur, ce terroriste a porté préjudice à l’image de l’Islam. Nous avons l’ultime conviction que la valeur des prophètes est beaucoup trop importante pour pouvoir être atteinte par de simples dessins aussi irrespectueux soient-ils.   

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    Les séparatistes se sont en premier isolés des sociétés musulmanes avant de s’isoler dans les autres types de sociétés comme en France ou ailleurs

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    Les musulmans vivant en France doivent-ils reconnaitre que la caricature du prophète fait partie d’un droit au blasphème? 

    Il faut bien comprendre que lorsque vous offensez le prophète Mohamed (paix sur lui), c’est la susceptibilité de près d'un milliard huit cents millions de musulmans que vous heurtez, et lorsque vous offensez Jésus, (paix sur lui), vous offensez ce même nombre de musulmans ainsi que les chrétiens. Les libertés ont un sens profond qui ne doit pas être source de division. L’ensemble des savants et des penseurs avec qui nous avons échangé à la Ligue Islamique mondiale ont unanimement reconnu le droit aux libertés, sans aucune équivoque, à ceci près que le principe essentiel est qu’elles ne doivent pas servir de prétextes pour attiser la haine des uns envers les autres, auquel cas ces libertés seraient dénudées de leurs sens profond. Nombreux ont été les dessins et les écrits allant parfois de la simple critique jusqu’à la moquerie, et pourtant les musulmans ne leur ont pas donné plus d’importance que cela. En revanche, bien que nous ne soutenions nullement les caricatures offensantes, nous sommes tout autant opposés à toute forme de violence, comme au fait de leur répondre par la haine. Si finalement ce journal a le droit d’exprimer son point de vue, il est plus que certain que nous avons tout autant le droit d’exprimer notre point de vue sur ces caricatures. Nous ne sommes pas contre les libertés, c’est une évidence, seulement nous appelons à leur bonne utilisation, c’est notre point de vue. 

    Comment comprenez-vous la politique annoncée par le président Macron pour lutter contre ce qu’il appelle le "séparatisme", qui est une forme de combat contre le "communautarisme"?  

    Nous avons toujours appelé les Français musulmans ainsi que les résidents musulmans en France à respecter la Constitution, les lois et les valeurs de la République française au même titre que nous, dans le monde musulman, nous attendons des autres qu’ils respectent nos constitutions et nos valeurs. Nous continuons d’en appeler au "dialogue civilisationnel et culturel" entre les nations et les peuples et nous mettons en garde contre les concepts du choc des civilisations. Les séparatistes se sont en premier isolés des sociétés musulmanes avant de s’isoler dans les autres types de sociétés comme en France ou ailleurs. Vous avez fort heureusement dans votre pays une grande majorité des musulmans qui aiment la France, cette France pour laquelle beaucoup se sont sacrifiés, notamment pendant la Seconde Guerre mondiale et dont les noms sont écrits sur les murs de la Grande Mosquée de Paris. Les musulmans de France qui expriment le désir d’être enterrés en France disent ainsi clairement leur fidélité à la France. On trouve également des milliers de français musulmans dans l’armée, dans la police et la gendarmerie. En opposition à ces honnêtes patriotes, vous avez ceux qui veulent vivre séparés de leur société française alors qu’ils doivent respecter la cohésion française. Personne n’est obligé de rester dans un endroit où il ne veut pas vivre. 

    Est-ce à dire que vous respectez cette notion presque unique au monde de "laïcité" en France?  

    La France a le droit de choisir les idées, les philosophies constitutionnelles et juridiques voulues par son peuple. Pour ce qui est des pays à forte diversité comme c’est le cas pour la France, seul le concept de laïcité peut les régir. Il n’y a pas véritablement d'autre choix, car elle est le garant de la neutralité des institutions de la République tout comme elle garantit la liberté de culte pour toutes les religions. 

    Que dites-vous aux musulmans vivant en France sur l’interdiction du port du voile ou de la burqa, de la polygamie ou des mesures visant à ce que les filles musulmanes aillent aux cours de natation mixtes ou visitent des musées où sont exposés des nus? 

    Celui qui vit dans un pays quel qui soit, en France ou ailleurs, doit obligatoirement en respecter les lois ou quitter ce pays. Et si dans les lois concernant ce pays il y a dans le cadre de la loi des possibilités juridiques de pouvoir bénéficier de spécificités religieuses ou autres, au niveau individuel ou collectif, c’est par la voie législative qu’il faut en demander les droits.    

    L'Islam est par essence la religion de la tolérance

    Des philosophes, comme Bernard-Henri Levy ou des écrivains comme Kamel Daoud espèrent la renaissance d’un "Islam des Lumières et de la tolérance". Pourquoi est-ce si difficile à organiser? 

    L'Islam est par essence la religion de la tolérance. J’en veux pour preuve le rassemblement en décembre 2018 à la Mecque de près de 1.200 muftis et 4.500 intellectuels lors d’un congrès international organisé par la Ligue islamique mondiale sur le thème du "Danger de la classification et l’exclusion". Ou encore lors du congrès qui a permis d’établir "La Charte de La Mecque" qui stipule l’obligation de respecter les particularités des pays, les lois ainsi que les cultures, en soulignant l’importance du dialogue positif et constructif avec toutes les composantes de la société afin de créer une vraie cohésion sociale plutôt que de partir dans une logique de conflits et de choc de civilisation.    

    Souhaitez-vous que les musulmans vivant en France puissent être représentés par une institution, comme le souhaite le gouvernement français, qui fasse fonctionner un "Islam de France", respectueux de la laïcité et de la République? 

    Le terme "Islam de France" vise à prendre en compte le contexte local dans les décisions de la jurisprudence islamique. C’est un fondement essentiel. Car l’un des principes de loi islamique c’est la tolérance prônée par l’Islam. La fondation "Islam de France" est dirigée par mon ami Ghaleb Bencheikh. C’est pour moi une personnalité française très inspirante. Il a d’ailleurs participé à la conférence de la Mecque que je viens d’évoquer. Il fait partie selon moi des personnalités françaises musulmanes qui peuvent faire bloc contre les musulmans voulant s’isoler dans la société française. Il a permis de diffuser une bonne compréhension de l’Islam et présenter la modération de l’Islam tout en défendant les valeurs françaises. 

    Pendant des décennies, votre pays, ainsi que d’autres, ont financé le culte musulman en France à travers des envois ou des formations d’imams ou des constructions de mosquées. Est-ce normal? 

    D’abord, je rappelle que je représente la Ligue islamique mondiale. Mes propos sur ce sujet ne représentent pas la position du gouvernement du Royaume saoudien. Mais le Royaume a récemment décidé que ces centres et lieux de culte devraient être gérés par les musulmans de chaque pays sans aucune intervention extérieure, et le Royaume a officiellement remis la gestion des centres et des mosquées aux responsables locaux sans envoyer d'imams ou de prédicateurs et sans former d'imams en France. Selon un rapport publié par le Sénat français en 2016, le nombre d'imams en France venus de l’étranger était de 301, et aucun d'entre eux n'est saoudien ou soutenu par le Royaume. J’ai été ravi d’apprendre la décision du président français de créer un comité national pour les imams de France, tout comme ce serait une chose très constructive s’il pouvait y avoir un fonds global pour financer les mosquées et les centres religieux. Nous sommes convaincus que tout financement partiel vers telle ou telle communauté ne servira pas l'intégration nationale. Au contraire, il pourrait être une cause de séparatisme au détriment de l'unité de la société française. 

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    Nous espérions que la France franchirait un pas significatif pour criminaliser l'islam politique par la loi

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    En quoi le wahhabisme est-il une réponse à l’islam politique des Frères musulmans, ou au djihadisme d’Al-Qaïda ou Daech?   

    Premièrement, il n’existe pas de doctrine wahhabite. Deuxièmement, à la Ligue islamique mondiale, ainsi qu’en Arabie saoudite, nous sommes contre les idées des "Frères musulmans". Ils ont été officiellement classés dans le Royaume comme un groupe terroriste, car l'islam politique réduit l'Islam à des objectifs politiques extrémistes. D’ailleurs, nous espérions que la France franchirait un pas significatif pour criminaliser l'islam politique par la loi, seul représentant porteur de cette idéologie terroriste et des partis qui en dérivent, à savoir la confrérie des "Frères musulmans". Le retard de la France pour empêcher les financements étrangers destinés à la formation d’imams étrangers a été source de problèmes et pourrait avoir de lourdes conséquences.  

    N’est-ce pas pourtant en vertu de la Charia et au nom de la religion que la peine de mort existe dans votre pays, ainsi que l’amputation pour les voleurs ou le fouet pour l’adultère ? En quoi cet islam-là est-il si différent de celui de Daech?  

    La peine de mort n'a pas fait de consensus international, car il y a de grands pays qui la pratiquent en dehors des pays musulmans comme les États-Unis, la Chine ou l’Inde. La France, avant 1981, pratiquait encore la peine de mort. Il y a malgré tout aujourd’hui un grand nombre de français qui sont pour la peine de mort. Au XVIIIe siècle, le grand philosophe et écrivain Voltaire s'opposa à la peine de mort alors qu’au cours du même siècle, Montesquieu soutenait ce châtiment. Les textes religieux qui sont venus fixer ces peines spécifiques représentent la croyance de plus d'un milliard huit cents millions de musulmans, et quand vous exigez leur abolition, c’est comme si vous demandez indirectement d'abolir le Saint Coran. Nos sanctions pénales sont proportionnelles à la gravité du crime commis et l’Islam ne fait pas preuve d’indulgence vis-à-vis des criminels. Cependant, l'Islam, même dans les peines sévères, cherche une justification pour les réduire et la loi islamique accorde une grande place à la contrition pour atténuer leur application. 

    Le sort qui a été réservé au journaliste Jamal Khashoggi au sein du consulat d’Arabie saoudite à Istanbul ne mérite-t-il pas un acte de contrition de la part des autorités saoudiennes dont vous avez été l’un des ministres? 

    Le Royaume d'Arabie saoudite a officiellement déclaré que le meurtre de M. Jamal Khashoggi était un crime odieux. Des décisions de justice sévères ont été rendues contre les criminels impliqués dans ce meurtre. 

    Le JDD.fr


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  •     J''ai un petit boulot peinard,

    Je dors bien, je me lève tard,

    Pas de rendement, pas d'horaire,

    Pas de patron, pas d'actionnaires,

    Je prêche à tort et à travers

    Des couplets plus ou moins pervers,

    Sans risque de me faire saquer,

    Je suis l'Imam de la mosquée !

    >  

    Pas besoin d'aller au turbin,

    J'ai une douzaine de bambins

    Et tous les mois grâce aux fistons

    J'encaisse les allocations

    J'suis un seigneur, j'suis un Imam,

    J'ai le droit d'être polygame,

    Et tous les soirs à la casbah

    Je hisse les voiles sur le grand mat.

    >  

    On me laisse faire mon p'tit biz'ness

    Une femme et deux ou trois maîtresses

    Ici c'est cool, c'est le bonheur,

    J'ai le beurre et l'argent du beur !

    J'suis un barbu, j'suis un notable,

    Un protégé, un intouchable,

    Et j'appelle mon avocat,

    Dès qu'on pince mes femmes en Burqa.

    >  

    Pendant que les Français turbinent

    Pour nourrir toutes mes concubines,

    Moi je me promène en djellaba

    La France c'est beau comme là-bas !!!!  

       

       Faire circuler !

    L'auteur mériterait d'être connu.


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  • Un collégien de 14 ans a menacé une enseignante d'un collège de Savigny-le-Temple, en Seine-et-Marne, de la "découper comme Samuel Paty" pendant un cours consacré à la liberté d'expression.

    Une enquête a été notamment ouverte pour menaces de mort sur une personne chargée d'une mission de service public, a indiqué le parquet de Melun. L'adolescent, en classe de 3e, qui portait par ailleurs dans une de ses poches un pistolet à impulsion électrique Taser, devait être présenté à un juge pour enfants vendredi après-midi. Il a été interpellé jeudi par la police, alertée par le principal de l'établissement, suite aux menaces proférées envers sa professeure d'histoire-géographie lors d'un cours d'éducation civique, au cours duquel l'enseignante a montré "une photo d'une manifestation relative aux attentats", selon une source policière.

    Pendant ce cours, il lui a déclaré qu'il allait la "découper comme Samuel Paty", poursuit cette source, en référence au professeur décapité par un terroriste islamiste le 16 octobre à Conflans-Saint-Honorine (Yvelines) pour avoir montré des caricatures de Mahomet en classe. A la suite de l'incident, l'enseignante, accompagnée par le principal du collège, a déposé plainte.

    En garde à vue, le jeune a indiqué qu'il avait repris les paroles d'un morceau de rap et n'a donné aucune précision sur les raisons du port du Taser au sein du collège, selon la source policière.

    Aucun signe de radicalisation au sein de son milieu familial n'a été identifié, a indiqué de son côté une source proche du dossier. Inconnu des services de police, il avait "l'habitude d'être un élève provocateur et dans la rébellion", d'après le parquet.

    Le collégien a été mis à l'écart par une "mesure conservatoire" avant la tenue d'un conseil de discipline, a indiqué le rectorat de Créteil, précisant que l'enseignante allait être accompagnée sur le plan juridique et médical.

    RMC


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  • L'homme qui a tué trois personnes à l'arme blanche le 29 octobre à Nice est dans le coma, a-t-on appris de source médicale auprès de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris. Une information confirmée par une source proche de l'enquête.

    Après l'attaque qu'il avait menée dans la basilique Notre-Dame de l'Assomption et à proximité, l'assaillant avait été grièvement blessé par les tirs des policiers municipaux qu'il menaçait. Comme l'avait révélé Le Point, il continuait de crier Allahou akbar sur sa civière durant son évacuation en urgence absolue. Son pronostic vital était alors engagé. Pour les besoins de l'opération, il avait été plongé dans un coma artificiel qui a permis aux chirurgiens de lui retirer 5 balles de calibre 9 mm logées dans le corps. 

    Il insulte le personnel

    Ensuite, selon une information du Figaro, le terroriste de 21 ans, un migrant originaire de Sfax en Tunisie, a été testé positif au Covid-19. Son pronostic vital n'était alors plus engagé. Revenu à un état conscient, il aurait, selon une source syndicale hospitalière, insulté médecins et infirmières. L'homme, en hypoxémie, a dû être intubé en raison d'une complication pulmonaire et a été transféré en avion vers Paris, où il a été accueilli dans un hôpital parisien le vendredi 6 novembre. « Nous avons été soulagés qu'il quitte le CHU Pasteur grâce à l'action du député Éric Ciotti, indique Michel Fuentes de Force ouvrière. Nous avions déjà été traumatisés en 2016 après l'attentat du 14 juillet. En plus, nos conditions de sécurité ne permettent pas de mettre nos personnels à l'abri du danger. »

    Alors que les enquêteurs de la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire et ceux de la DGSI avaient prévu de l'interroger, son état de santé s'est brusquement dégradé. Il est aujourd'hui plongé dans le coma avec un pronostic vital engagé.

    Le matin du 29 octobre, Brahim A. commettait une attaque au couteau, tuant trois personnes : deux femmes et un homme. L'assaillant avait été blessé avant d'être interpellé. Un hommage solennel, en présence du Premier ministre Jean Castex, a été rendu aux trois victimes le 7 novembre à Nice.

    Le Point

    C'est fou ce que l'on a dépensé pour ce salaud !


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  • Une attaque terroriste menée dans la province du Cabo Delgadon au Mozambique aurait entraîné l’assassinat de plusieurs dizaines de civils la semaine dernière.

     

    Une scène d’horreur. Plusieurs médias dont la BBC et le site lusophone Plataforma media rapportent qu’une cinquantaine de civils ont été retrouvés décapités sur un terrain de foot dans la province du Cabo Delgado, au nord du Mozambique. Les faits remonteraient à la semaine dernière selon le site d’informations local Pinnacle News .

    Des militants islamistes radicaux, affiliés à Daech, en seraient les auteurs selon les informations locales. Cette région, riche en gaz, attise les convoitises des terroristes. Les terroristes auraient attaqué le district du Muidumbe pour chasser la population avant de piller les lieux et de les incendier.

    Les civils capturés ont été emmenés sur le terrain de foot à proximité et assassinés. La plupart étaient des adolescents. « La police a été prévenue par des habitants qui ont trouvé les corps dans les forêts », a indiqué un officiel du district voisin de Mueda, qui a refusé d’être identifié.

    SI le média local parle de 51 victimes, Luiz Fernando Lisboa, l’évêque de Pemba, la capitale régionale de la province du Cabo Delgado, confirme les faits mais, pour lui, « il est impossible de définir le nombre précis de victimes ». Les terroristes auraient saboté les réseaux de téléphonie sur place, rendant difficile l’accès à l’information.

    Ouest-France

    De vrais sauvages !


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  • Plus de 50 personnes ont été décapitées dans le nord du Mozambique par des djihadistes dont les attaques s’intensifient ces derniers mois.

    La police a annoncé lors d’une conférence de presse ce lundi que des militants liés à l’État islamique (EI) avaient décapité et démembré plus de 50 personnes dans la province de Cabo Delgado, au nord du Mozambique, durant les trois derniers jours.

    Plusieurs villages ont été attaqués dans les districts de Miudumbe et Macomia. Des femmes et des enfants ont également été enlevés, et des maisons ont été brûlées a ajouté Bernardino Rafael, commandant général de la police mozambicaine. « Ils ont brûlé les maisons puis ont poursuivi la population qui avait fui dans les bois et ont commencé avec leurs actions macabres », a-t-il ajouté.

     

    Les djihadistes ont rassemblé leurs victimes sur un terrain de football du village de Muatide avant de les tuer sauvagement. D’autres ont été tuées dans les bois. Depuis 2017, les forces de sécurité de la province de Cabo Delgado combattent sans relâche un groupe armé qui a prêté allégeance à l’EI explique Al Jazeera.

    De plus, l’agence de presse publique du Mozambique a annoncé que des hommes avaient attaqué le village de Nanjaba ce vendredi soir. Deux personnes ont été décapitées et des femmes ont été enlevées. En avril dernier, ces djihadistes ont abattu puis décapité plus de 50 jeunes alors qu’ils auraient refusé de rejoindre leurs rangs.

    Au moins 2000 morts en trois ans

    Selon l’ONG Armed Conflict Location & Event Data group, installée aux États-Unis, ces terroristes ont fait au moins 2000 morts – dont plus de la moitié sont des civils – et provoqué le déplacement de plus de 400 000 personnes, depuis 2017.

    Leurs attaques se sont amplifiées ces derniers mois et ils se sont emparés de nouveaux territoires, faisant fuir les habitants. Par ailleurs, la province de Cabo Delgado est le siège d’un projet de gaz naturel liquéfié de plusieurs milliards de dollars, de la multinationale française Total.

    ACTU 17


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  • Le maire de l'Ile-Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis, Mohamed Gnabaly a annoncé qu'il allait déposer plainte à la suite de la découverte mardi de croix gammées et d'une menace de mort taguées sur le portail de son domicile.

     

    "Ce matin, j'ai été réveillé par des voisins m'expliquant qu'il y avait des croix gammées et l'inscription 'A mort' sur mon portail. Ça s'est passé dans la nuit de lundi à mardi", a déclaré à l'AFP Mohamed Gnabaly, édile trentenaire à la tête de cette commune insulaire de près de 8000 habitants.

    Une campagne "très délétère"

    Les tags peints en rouge ont depuis été retirés, a précisé le maire (sans étiquette), annonçant qu'il se rendrait dans l'après-midi au commissariat pour porter plainte. "Il s'agit de préserver ma personne et ma famille mais aussi de préserver le symbole" que représente le maire, a-t-il souligné.

    Réélu en 2020 pour un second mandat, Mohamed Gnabaly a indiqué ne pas connaître les auteurs de ces tags, mais a fustigé "une campagne très délétère" qui a laissé "énormément de tensions" à l'Ile-Saint-Denis, une ville où cohabite "85 nationalités".

    "La banalisation de la violence envers les élus et également une sorte de discours ambiant qui est un peu violent" peuvent aussi favoriser ce type de fait, a-t-il estimé, tout en indiquant "rester calme".

    Un observatoire des agressions envers les élus

    "Faisons front face à la haine, au racisme et à la violence. S'attaquer à un élu du peuple, c'est s'attaquer à la République française toute entière", a réagi la Ville dans un communiqué.

    Les menaces ou injures racistes touchent régulièrement des maires issus de l'immigration. 

    L'association des maires de France (AMF) a annoncé début octobre la création d'un "observatoire des agressions envers les élus", face à la recrudescence des incivilités et agressions dont ils font l'objet.

    Un premier bilan doit être dressé au printemps 2021, selon l'AMF, notamment pour évaluer l'application des mesures annoncées dans une circulaire de la Chancellerie, visant à mieux défendre pénalement les maires victimes d'outrages.

    BFM.TV


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  • Mali : «Une dizaine» de djihadistes éliminés par la force Barkhane

    C’est la seconde opération de la force Barkhane dans le nord du Mali depuis la semaine dernière. « Une dizaine » de djihadistes ont été éliminés cette fois annonce l’état-major de l’armée française. 

    Une nouvelle opération a été menée par la force Barkhane au Mali a annoncé ce samedi l’état-major des Armées dans un communiqué. Elle a eu lieu vendredi soir à proximité d’In Tillit, à 90 km au sud de Gao. « Vendredi 06 novembre après-midi, un drone Reaper alors en vol dans le Gourma malien est orienté pour caractériser un rassemblement suspect à proximité d’In Tillit (90 km au sud de Gao). Les renseignements obtenus permettent de conclure à la présence d’un groupe armé terroriste (GAT) », indique l’état-major.

    Il s’agit d’une « zone de prédation » où s’affrontent les deux grands groupes terroristes rivaux de la région, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) affilié à Al-Qaïda, et l’État islamique au grand Sahara (EIGS), a expliqué le colonel Frédéric Barbry, porte-parole de l’état-major.

    « Leurs armements, leurs moyens de communication » détruits

    « Une frappe par le drone est alors ordonnée. Compte tenu de l’ampleur du rassemblement, un groupe de commando de montagne embarqué sur Caïman et appuyé par deux hélicoptères d’attaque Tigre alors d’alerte sont dépêchés sur place », détaille le communiqué. « Identifiant des GAT dissimulés encore sur place, le Tigre débute l’engagement et les commandos sont déposés au sol afin de ratisser la zone de frappe. Au milieu de la nuit, l’action se conclue et les commandos sont récupérés ».

    Aucun blessé n’est à déplorer dans les rangs de l’armée française qui a fait deux prisonniers. « Une dizaine » de djihadistes ont été éliminés a mentionné le colonel Frédéric Barbry. « Cette opération coordonnée entre différentes composantes de la force Barkhane a permis de neutraliser de nombreux GAT et de saisir ou détruire leurs armements, leurs moyens de communication et une vingtaine de motos », précise-t-on également.

    50 djihadistes neutralisés la semaine passée

    La semaine dernière, la ministre des Armées Florence Parly avait revendiqué la « neutralisation » de 50 djihadistes liés au GSIM d’Iyad Ag Ghaly lors d’une opération menée vendredi, dans la zone dite des « trois frontières », à proximité du Burkina Faso.

    ACTU 17

    Il se réjouissent pour pas grand chose !


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  • Visé par une fatwa, l'imam de Drancy appelle Emmanuel Macron au secours

    Hassen Chalghoumi appelle Emmanuel Macron à l'aide. L'imam de Drancy (Seine-Saint-Denis) vient d'adresser une lettre au président de la République pour l'alerter sur les menaces de mort dont il est la cible.

    Depuis l'assassinat par un terroriste islamiste du professeur Samuel Paty, le 16 octobre, elles se "sont largement accentuées, entraînant même une véritable fatwa à son encontre", souligne-t‑il dans ce courrier, avant de demander un renforcement de sa "protection républicaine". Par le biais de son avocat David-Olivier Kaminski, il a aussi déposé plusieurs plaintes à Paris. Le religieux, partisan d'un islam modéré, vit sous protection policière constante depuis 2015 et la fatwa lancée contre lui par le groupe État islamique (EI).

    Un message en anglais a été repéré le 24 octobre sur la messagerie cryptée Telegram par une organisation spécialisée dans la surveillance du cyberdjihad. Avant d'être supprimé, il a été largement diffusé par des sympathisants de l'EI. Sa conclusion : "Votre nouvelle cible est ce vieil homme. Exécutez-le! Parce qu'il est encore plus crasseux que ces mécréants de Français." "Cette fatwa intervient dans le cadre de ma prise de position concernant la mort de M. Paty Samuel", indique Hassen Chalghoumi dans sa plainte du 26 octobre que le JDD, comme Le Parisien, a pu consulter.

    Je crains pour ma vie

    "Je vous précise qu'il s'agit de ma quatrième plainte en une semaine", ajoute-t‑il. Deux jours plus tôt, il signalait une autre menace rédigée en arabe sur Twitter. Encore un appel au meurtre : "Nous demandons aux vrais musulmans en France de permettre à Chalghoumi de rejoindre le professeur d'histoire et de devenir aussi un martyr de la nation."

    Sa sécurité avait été renforcée au début du procès "Charlie"

    Père de cinq enfants, Hassen Chalghoumi, né en Tunisie en 1972, a suivi une formation religieuse en Syrie et au Pakistan avant de s'installer en France. Avec l'appui du député et maire centriste de Drancy Jean-Christophe Lagarde, il devient en 2008 l'imam de la mosquée Al‑Nour. Ses prises de position contre le voile intégral et ses bonnes relations avec la communauté juive en font un interlocuteur privilégié des pouvoirs publics et des médias mais lui valent en retour l'hostilité d'une partie de la communauté musulmane. En 2010, le collectif Cheikh Yassine s'était opposé à lui de manière virulente. Le leader de ce groupe, Abdelhakim Sefrioui, vient d'être mis en examen et écroué pour son rôle dans l'engrenage qui a conduit à la décapitation de Samuel Paty.

    Sur les réseaux sociaux, l'imam est encensé pour son engagement en faveur d'un islam ancré dans la République, mais son nom est aussi stigmatisé par des milliers d'internautes qui ne voient en lui qu'un "faux imam", un "clown", un "sioniste", voire un "islamophobe".

    "Je crains pour ma vie", a insisté Hassen Chalghoumi auprès des policiers lors de ses plaintes. "Avec le recteur de la mosquée de Paris et les 'Charlie', il fait partie des personnalités dont la sécurité a été renforcée au début du procès de l'attentat de Charlie Hebdo" en septembre, précise un policier spécialisé. Depuis la décapitation de Samuel Paty, les procédures pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine se multiplient à travers le pays. À Paris, au moins 70 enquêtes ont déjà été ouvertes.

    Le JDD.fr


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  • Une petite victoire dans la course-poursuite en montagne qui dure depuis un mois. Après s'être échappée, avec des congénères, du parc Alpha à Saint-Martin-Vésubie (Alpes-Maritimes) détruit par la temp

    © AP Photo/Hassene Dridi Le ministre de l'Intérieur français Gérald Darmanin en conférence de presse avec son homologue tunisien Taoufik Charfeddine, à Tunis, le 6 novembre 2020.

    Après le Maroc le mois dernier et avant l’Algérie prochainement, le ministre français de l’Intérieur s’est rendu vendredi 6 novembre en Tunisie où il a rencontré le président et le chef du gouvernement. Cette visite prévue de longue date a pris un relief particulier après l’attentat du 29 octobre en la basilique de Nice perpétré par un ressortissant tunisien.

    Un Tunisien radicalisé a déjà été renvoyé cette semaine. Et Tunis s’engage d’ici quelques jours, une fois les vérifications faites, à en accepter sur son sol une vingtaine d’autres qui ont purgé leurs peines de prison. Une quarantaine de Tunisiens radicalisés devraient suivre le même chemin une fois libérés ou les recours épuisés. M. Darmanin a présenté lors de sa visite une liste de ressortissants tunisiens en situation irrégulière en France et soupçonnés d'être radicalisés, une démarche qu'il compte répéter dimanche en Algérie, après avoir fait la même chose au Maroc en octobre, selon son entourage.

    La Tunisie  est « prête à recevoir n'importe quel Tunisien », a indiqué à la presse le ministre tunisien de l'Intérieur Taoufik Charfeddine, après un entretien avec son homologue français. « Mais cela doit se faire selon les conditions et règlements » prévus par le droit international et en « préservant la dignité du Tunisien », a-t-il ajouté. La présidence tunisienne a également indiqué que les autorités allaient « essayer de trouver une solution aux obstacles » en matière d'expulsion, après une rencontre entre M. Darmanin et le président Kais Saied.

    Des retours qui suscitent néanmoins des inquiétudes quant à la capacité de surveillance des autorités locales de ces ressortissants dangereux une fois rentrés au pays.

    La France demande également à la Tunisie d’accorder davantage de laisser-passer consulaires, document indispensable pour les reconduite à la frontière de toute personne en situation illégale. Actuellement, les services tunisiens répondent favorablement dans 55% des cas, davantage que le Maroc ou l’Algérie.

    Le second volet de la visite a porté sur la lutte contre l’immigration clandestine. Depuis le début de l’année, 1000 personnes par mois ont traversé la Méditerranée de manière illégale au départ des côtes tunisiennes. Paris vient ainsi d’octroyer une enveloppe de 10 millions d’euros afin que le pays puisse mieux contrôler ses frontières. En matière de partage d’informations confidentielles, notons simplement la présence dans la délégation de hauts représentants du renseignements français.

    Cette visite de Gérald Darmanin, quelques jours après celle de son collègue des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, veut s’inscrire selon Paris dans une volonté de soutenir l’effort de stabilisation du pays.

    RFI


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  • Invité de la matinale de RTL vendredi, le ministre de l'Education nationale a détaillé les chiffres remontés lors de la minute de silence en hommage à Samuel Paty lors de la rentrée scolaire.

    L'hommage à Samuel Paty n'a pas été unanime dans tous les établissements en France. "Il y a eu environ 400 violations de la minute de silence" en hommage au professeur Samuel Paty lundi 2 novembre dans les établissement scolaires, "dans des formes parfois légères, parfois lourdes", a annoncé Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Education nationale, vendredi 6 novembre sur RTL.

    "Bien entendu, chacune de ces violations est suivie de poursuites disciplinaires, parfois même il y a eu des poursuites pénales", a ajouté Jean-Michel Blanquer. "Aucun incident ne reste sans suite", a-t-il encore souligné.

     

    Dans un communiqué publié vendredi matin, le ministère donne quelques détails : ces 400 incidents se sont déroulés "dans 52% des cas dans des collèges, dans 27% des cas au sein des lycées et dans 21% des cas dans des écoles".

     

    franceinfo

    Je pense que ce sont des élèves musulmans qui ont manifesté !


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  • Le cheikh palestinien Abou Taqi Al-Din Al-Dari a déclaré, dans un discours prononcé à la mosquée Al-Aqsa et mis en ligne sur Internet le 12 mars 2019, que les Français ne valorisent pas le mariage autant que les musulmans, mais que c’est bien le djihad, plutôt que la démographie, qui fera de la France une Etat islamique. En effet, a-t-il expliqué, les musulmans ont besoin d’un pays à même de transmettre le message islamique à l’Occident.

    Il a rappelé les nombreuses conquêtes de l’Empire ottoman, qualifié d’« l’État islamique », en Occident et en Asie, estimant que la nation islamique était capable de « revenir à son état d’origine » et de diffuser l’islam.

    Cheikh Taqi Al-Din a ainsi estimé que le monde entier serait à l’avenir soumis au règne de l’islam de l’une des trois manières suivantes : la conversion à l’islam, l’impôt de la jizya, ou le combat pour Allah.


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  • 17 députés musulmans à l'Assemblée

    Il y a du souci à se faire ... 

    Macron ne se vante pas de ça  ! 

    ll a taillé le bâton pour nous faire battre.

     

    17 DEPUTES MUSULMANS à l'Assemblée Nationale...

    En Marche en compte 10
    Dans 5 ans ils seront 130 et dans 10 ans ils seront majoritaires.
    Il faut se préparer et apprendre quelques versets du Coran, sauf si les français         réagissent.

    .Record de députés musulmans à l' Assemblée  Nationale...

    17 députés musulmans à l'Assemblée Nationale.

    > - Said Ahamada LREM 7e circonscription du 13

    > - Mohamed Laqhila MDM 11e circonscription du 13
    - Fadila Khattabi LREM 3e circonscription du 21
    - Mostafa Laabid LREM 1ère circonscription du 35
    - Sarah El Haïry MDM 5e circonscription du 4
    - Sonia Krimi DIV 4e circonscription du 50
    - Belkhir Belhaddad LREM 1ere circonscription du 57
    - Brahim Hamouche MDM 8e circonscription du 57
    - Anissa Khedher LREM 7e circonscription du 69
    - Mounir Mahjoubi LREM 16e circonscription du 75
    - Sira Sylla LREM 4e circonscription du 76
    - Nadia Haï LREM 11e circonscription du 78
    - Naima Moutchou LREM 4e circonscription du 95
    - Elad Chakrina LR 1ere circonscription du 976
    - Mansour Kamardine LR 2e circonscription du 976
    - M'Jid El Guerrab DIV 9e circonscription 99
    - Amal Amelia Lakrafi LREM 10e circonscription du 99

     

    Houellebecq a raison, la soumission est "En  Marche"!......Droit dans le mur......
    OUI ! C’est un record
    Tous ces élus (ou élues), sont des bi-nationaux d’ origine marocaine, algérienne, tunisienne, togolaise, sénégalaise.

    Ils ont la double nationalité. Il serait trop long de rapporter ici les articles de presse dithyrambiques parus dans les pays d’ origine.


    La conquête de la France s’ accélère.

    Elle se manifeste maintenant dans  un lieu de Pouvoir.

    Nous sommes hélas bien peu nombreux à être conscients et nous préoccuper de cette situation qui voit notre pays être submergé par des populations qui n’ont rien à y faire...

    Bientôt la burka à l'Assemblée Nationale française !

     Par contre dans les autres pays européens : AUCUN !

     Bravo la France !

     

    Liberté Politique.com


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  • Mosquée Al-Aqsa  :  Sheikh Issam Amira : La décapitation de S. Paty, un grand honneur pour les musulmans


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  • Des incidents signalés lors des cérémonies d'hommage à Samuel Paty, le jour de la rentrée. À Strasbourg, une enquête pour "apologie du terrorisme" a été ouverte à l'encontre de deux collégiens.

    Quelques incidents ont émaillé les cérémonies d’hommage à Samuel Paty, lundi, dans les établissements scolaires de France.

    A Strasbourg, une enquête a même été ouverte pour "apologie du terrorisme" à l’encontre de deux collégiens de 12 ans. Une enquête qui vise deux adolescents de 12 ans, lundi dans leur classe ils auraient laissé entendre qu’ils justifiaient l’assassinat de Samuel Paty.

     

    À Marseille, un collégien de 14 ans aurait déclaré à haute voix en pleine classe, juste avant la minute de silence : "Je connaissais l'agresseur et je soutiens son geste". L’adolescent, inconnu des services de police a été interpellé à son domicile et placé en garde à vue.

    Trois gardes à vue

    Dans les bouches du Rhône toujours, à Miramas, deux élèves de 16 ans ont eux aussi été placés en garde à vue. Ils auraient affirmé qu’il y en a "marre de bafouer l’islam", et que Samuel Paty "l'a bien cherché". 

    Enfin à Vitry-Sur-Seine, dans le Val de Marne, une petite fille de CM1 a, elle, refusé de se lever et de se taire pendant la minute de silence. Elle aurait déclaré à son instructrice, que ce sont ses parents, qui lui ont ordonné de ne pas respecter ce temps de recueillement.

    RMC

    De petits musulmans qui obéissent bien à leurs parents !

    Ils peuvent retourner dans leur pays d'origine, pourquoi restent-ils en France ? Pour les allocations sûrement !


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  • Le sport français est au cœur de la stratégie d’infiltration de la pieuvre islamiste, dans la guerre de civilisation qu’elle mène sur notre territoire.

    Une note de la DGSI (renseignement intérieur) datée de 2018 dressant l’état des lieux de la pénétration de l’islam fondamentaliste en France détaille la stratégie des différentes mouvances pour prospérer dans l’espace social, le monde de l’entreprise, l’éducation… et le sport.

    Il existerait, à ce jour, sur notre sol une trentaine d’associations sportives identifiées comme pratiquant le communautarisme et le prosélytisme religieux.

    Cela soulève un certain nombre de questions d’ordre politique et social, d’autant plus que ces structures sont souvent hébergées dans des bâtiments appartenant aux collectivités et que ces clubs sont parfois même subventionnés.

    La presse avait notamment déjà fait état de la ville de Bobigny, qui loge un club privé de fitness et d’arts martiaux non mixte, le « Sunna Club », dont le nom désigne la loi coranique et les règles et préceptes imposés par Allah. Les très jeunes générations sont, bien évidemment, au cœur de cet projet.

    Alors qu’ils étaient censés représenter des creusets d’intégration républicaine, de mixité sociale et de laïcité, notamment dans les quartiers les plus sensibles, certains clubs sportifs sont en passe de devenir des groupes ethnico-religieux.

    Il a, ainsi, été constaté dans de nombreux quartiers sous surveillance l’émergence de structures mêlant ouvertement le sport, l’aide aux devoirs et les activités religieuses, phénomène rendu possible par la nature du cadre juridique et institutionnel délimitant la pratique sportive, qui reste très largement permissif et propice au mélange des genres. La note analyse également le phénomène de radicalisation religieuse par le sport, qui serait aujourd’hui le premier foyer de radicalisation.

    On y apprend, notamment, qu’un grand nombre d’éducateurs sportifs seraient fichés S. L’univers du football est régulièrement cité dans les signalements qui remontent aux autorités. Il existerait même une forme de compétition entre les groupuscules pour noyauter les associations et recruter de nouveaux fidèles.

    Si la mouvance salafiste est en première ligne, les services soulignent l’émergence du mouvement tabligh, particulièrement dans le sud de la France, et plus précisément dans la région de Toulouse, où ce mouvement ultra-rigoriste, qui prône un retour à l’islam des origines, est très implanté.

    La note met au jour une récurrence de phénomènes préoccupants, tels que le refus d’être encadré par un éducateur féminin, de serrer la main aux femmes ou encore de s’entraîner avec elles, refus de la nudité sous la douche (en l’imposant, parfois, aux autres pratiquants), prières sur le terrain ou dans les vestiaires, la modification des horaires d’entraînement pour le ramadan ou pour la prière du vendredi, l’exclusion ou la marginalisation des femmes ou des non-musulmans, le refus en dojo du rituel du salut du maître fondateur du judo Jigoro Kano… La radicalisation par le sport est, par ailleurs, clairement identifiée comme étant un point de bascule qui mène au djihadisme.

    De nombreux « guides pratiques » publiés régulièrement sur Internet demandent explicitement aux aspirants au djhad de se renforcer musculairement, pratiquer des sports de combat et prendre des cours d’autodéfense impliquant le maniement d’armes blanches, de préférence dans une salle fréquentée par des musulmans et à des horaires où il n’y a pas de femmes.

    L’immense majorité des terroristes ayant commis des attentats en France, de 2012 à 2020, pratiquaient la boxe, la boxe thaï, la lutte ou le MMA, pour la plupart dans des clubs affiliés aux différentes fédérations nationales.

    C’est, notamment, le cas de l’auteur de la décapitation de , qui a participé plusieurs fois aux championnats régionaux de lutte, sport prisé de la communauté tchétchène.

    Le séparatisme se définit comme la « volonté attribuée à un groupe possédant une homogénéité géographique, ethnique ou religieuse, de se détacher de l’État dont il fait partie pour constituer une entité politique autonome ». Dans cette optique, les réseaux islamistes ont investi un ensemble de champs et d’institutions leur permettant de fabriquer des individus dont la vision du monde est étrangère au legs de l’héritage politico-culturel français afin d’ériger une véritable contre-société sur le territoire national.

    Le sport est au cœur de ce projet diabolique.

    Boulevard Voltaire


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