• Al-Qaïda appelle à tuer toute personne qui insulte le prophète et menace Emmanuel Macron

    Le groupe terroriste Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) appelle ce lundi ses partisans à tuer toute personne qui insulte le prophète Mahomet.

    C’est dans un communiqué que le groupe djihadiste AQMI appelle ce lundi à tuer toute personne insultant le prophète Mahomet, menaçant dans le même temps de se venger du président de la République Emmanuel Macron, qui a défendu le droit à la caricature.

    « La campagne de la France pour nuire au Prophète, (…) les Français doivent savoir que la poursuite de cette campagne par leur Président ne fera qu’augmenter la détermination des musulmans de venger ceux qui s’attaquent au prophète (…) », a écrit Al-Qaïda dans ce message traduit par le journaliste de France 24, Wassim Nasr.

     

    AQMI appelle également « au boycott des produits français », comme l’ont fait plusieurs pays arabes la semaine passée, notamment la Turquie. L’organisation terroriste évoque également l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine et appelle « tout musulman » a « tuer celui qui insulte le prophète »« Le tchétchène [Abdoullakh Anzorov] tueur du professeur, mort en martyr, comme tout musulman en capacité d’exécuter cette sentence qui ne revient pas exclusivement au gouverneur mais à tout musulman ».

    Un communiqué diffusé le jour où un hommage a été rendu dans toutes les écoles de France à Samuel Paty, assassiné le 16 octobre dernier par un terroriste.

    Emmanuel Macron s’est exprimé sur Al-Jazeera

    Dans un entretien diffusé sur la chaîne qatarienne Al-Jazeera ce dimanche, le chef de l’État Emmanuel Macron est revenu sur les appels au boycott visant la France et sa position vis-à-vis des caricatures. Le Président de la République a notamment pointé la « confusion » qui a été « entretenue par beaucoup de médias, parfois des dirigeants politiques et religieux ».

    « Je comprends et respecte qu’on puisse être choqué par ces caricatures, mais je n’accepterai jamais qu’on puisse justifier une violence physique pour ces caricatures et je défendrai toujours dans mon pays la liberté de dire, d’écrire, de penser, de dessiner. Ça ne veut pas dire que je soutiens à titre personnel tout ce qu’on dit, pense, dessine », a-t-il ajouté.

    ACTU 17 - 02 11 2020


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  • Une cinquantaine de djihadistes affiliés à Al-Qaïda ont été tués vendredi 30 octobre au cours d'une opération menée au Mali par l'armée française dans la zone dite des « trois frontières », à proximité du Burkina Faso, a annoncé, lundi 2 novembre, la ministre des Armées, Florence Parly.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/mali-une-cinquantaine-de-djihadistes-abattus-par-l-arm%C3%A9e-fran%C3%A7aise/ar-BB1aCYDs?ocid=msedgntp


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  • J'engage nos dirigeants à stopper l'immigration de masse ...

    Robert Ménard a bien parlé et a été très applaudi !

    Si vous êtes pressé, vous pouvez commencer à 4m !


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  • Caricatures de Mahomet : Les Emirats arabes unis apportent leur soutien à Emmanuel Macron

    © Oded Balilty/AP/SIPA Le drapeau des Emirats arabes unis, sur la mairie de Tel Aviv en Israël le 13 août 2020.

     

    Le ministre des Affaires étrangères emirati estime que le président français « ne veut pas de ghettoïsation des musulmans en Occident »

    Alors que la France fait face à un boycott de ses produits de la part de nombreux pays musulmans, Emmanuel Macron vient de recevoir un soutien clair des Emirats arabes unis. Par la voix de son ministre des Affaires étrangères, le pays a pris la défense du président français dans la polémique qui a enflé à son encontre, au sujet des caricatures du prophète Mahomet.

     

    Dans une interview parue ce lundi dans le quotidien allemand Die Welt, Anwar Gargash, a rejeté l’idée selon laquelle Emmanuel Macron aurait exprimé un message d’exclusion des musulmans. « Il faut écouter ce que Macron dans son discours a vraiment dit, il ne veut pas de ghettoïsation des musulmans en Occident et il a tout à fait raison », a-t-il déclaré. Selon le ministre, les musulmans doivent mieux s’intégrer et l’Etat français est en droit de chercher des moyens d’y parvenir tout en luttant contre le radicalisme et l’enfermement communautaire.

    20 Minutes


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  • Deux semaines après l’assassinat de Samuel Paty, enseignant décapité aux abords du collège de Conflans-Saint-Honorine après avoir montré des caricatures de Mahomet, un instituteur a été suspendu cette semaine à Bruxelles pour des faits similaires. Il avait diffusé à ses élèves de 10-11 ans une caricature publiée par "Charlie Hebdo" montrant le prophète Mahomet nu à quatre pattes. Un dessin qui a été jugé "obscène" par sa direction. 

     

    Le faits se sont déroulés à Molenbeek-Saint-Jean, dans la banlieue de Bruxelles, dans le cadre d’un cours sur la liberté d’expression, d’après les informations du quotidien La Libre Belgique

    Rachid Barghouti, le porte-parole de la bourgmestre (maire) de la commune, Catherine Moureaux, rapporte que "deux ou trois parents" se sont plaints à la direction de cette école qu'une caricature qui dévoile les parties génitales du prophète soit brandie devant "des enfants de 5e et 6e primaire".

    Notre décision est uniquement basée sur le fait qu'il s'agit d'images obscènes

    Le directeur de l’établissement a dénoncé l’initiative de l’instituteur à l’autorité de tutelle, à savoir les élus de l'exécutif municipal. L'enseignant "a été entendu jeudi par le collège communal (la bourgmestre et ses adjoints) et écarté", a expliqué M. Barghouti. "Ce n'est pas une sanction, cela revient à lancer la procédure disciplinaire", a-t-il ajouté.

    Une nouvelle audition devant les mêmes élus se déroulera jeudi prochain pour décider d'une éventuelle sanction. "Notre décision est uniquement basée sur le fait qu'il s'agit d'images obscènes, si ça n'avait pas été le prophète, on aurait pris exactement la même décision", a affirmé le porte-parole de Catherine Moureaux, la bourgmestre socialiste qui gère la ville en coalition avec les libéraux francophones.

    Molenbeek-Saint-Jean : un berceau du djihadisme

    Selon Rachid Barghouti, aborder à l'école la liberté d'expression "est important, il n'y a aucune censure par rapport à ça". Il estime toutefois que "cela doit se faire dans un cadre un tout petit peu pensé, réfléchi". "Montrer de manière brute des images obscènes à des enfants aussi jeunes, ça n'est pas très malin sur le plan pédagogique", a-t-il déclaré.

     

    Molenbeek-Saint-Jean, commune populaire d'environ 100.000 habitants, compte une importante communauté d'origine marocaine. 

    La ville avait acquis la réputation d'être un berceau du djihadisme en Europe quand l'enquête franco-belge sur les attentats parisiens du 13 novembre 2015 avait mis en évidence que plusieurs assaillants en étaient originaires.

    RTL


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  • L’homme armé d’un couteau de 30 cm qui a été interpellé en pleine rue à Lyon ce jeudi, avait agressé des policiers la semaine dernière. Il est connu des services de renseignement.

    Il était vraisemblablement décidé à passer à l’acte. Un Afghan âgé de 26 ans a été interpellé dans le 2ème arrondissement de Lyon ce jeudi midi, dans le secteur de la gare de Perrache, rue Victor Hugo. Ce dernier était armé d’un couteau de 30 cm qu’il a exhibé, alors qu’il se trouvait à proximité d’une station de tramway. Des témoins ont composé le « 17 » pour alerter la police.

    L’homme a été interpellé et placé en garde à vue. Il est déjà connu des services de renseignement pour islamisme radical selon Le Figaro. En outre, il se trouvait déjà en garde à vue le 19 octobre dernier révèle Lyon Mag, pour avoir agressé des policiers.

    Deux policiers blessés

    Ce jour-là, il s’était présenté sans masque devant la préfecture du Rhône dans le 3e arrondissement. Les policiers lui avaient demandé de bien vouloir se recouvrir le bas du visage. La situation avait ensuite dégénéré et le mis en cause avait frappé les fonctionnaires. Deux d’entre-eux avaient été légèrement blessés.+

    Déféré et jugé dans le cadre d’une comparution immédiate, ce ressortissant afghan avait écopé d’une peine de prison avec sursis, avant d’être remis en liberté. Dix jours plus tard donc, il a été interpellé en pleine rue alors qu’il brandissait un couteau de 30 cm, montrant une volonté de passer à l’acte, quelques heures seulement après l’attentat de la Basilique Notre-Dame de Nice qui a coûté la vie à trois personnes.

     

    Cette enquête pour port d’arme prohibé et menaces avec arme est menée par la police judiciaire de Lyon. « Les investigations concernant les motivations, la personnalité et le profil du mis en cause sont en cours », a précise le parquet.

    ACTU 17

    Cet afghan aurait dû être mis en prison !

    Quelle justice de merde !


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  • Quatorze étrangers en situation irrégulière "radicalisés" ont été "expulsés" de France depuis la fin septembre, a déclaré le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin vendredi 30 octobre sur RTL, au lendemain de l'attentat de Nice.

    "Depuis un mois, j'ai fait procéder à 14 expulsions", a déclaré le ministre, interrogé après l'attaque mortelle au couteau qui a fait trois morts dans la basilique Notre-Dame-de-l'Assomption de Nice jeudi matin.

    Ces 14 personnes expulsées depuis "fin septembre" étaient inscrites au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), a précisé l'entourage du ministre à l'AFP.

    L'assaillant de Nice était inconnu des services de renseignements

    Quatre d'entre elles étaient de nationalité tunisienne, les autres étaient Russe, Algérien, Irakien, Géorgien, Bangladais ou encore Marocain, a expliqué son entourage. "Si on doit lutter contre les étrangers radicalisés, ce n'est pas le cas de ce terroriste", a ajouté Gérald Darmanin en évoquant l'auteur présumé de l'attaque, un Tunisien de 21 ans arrivé en France courant octobre par l'Italie. Il "n'était connu dans aucun des fichiers, Français ni Européens", a-t-il répété.

    "Dans les 30 derniers terroristes qui ont assassiné, tué sur notre sol, 22 sont Français. Et leur profil est très divers", a encore dit le locataire de la place Beauvau.

    Mi-octobre, le ministre de l'Intérieur avait affirmé que la France comptait sur son territoire 231 étrangers en situation irrégulière suivis pour radicalisation "qu'il nous faut expulser". Parmi eux, 180 étaient incarcérés. A cette date, 851 immigrés clandestins étaient inscrits au FSPRT.

    franceinfo


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  • Twitter retire un tweet de l'ex-PM malaisien pour qui "les musulmans ont le droit de tuer des Français"

    Au lendemain d'une audition chahutée aux Etats-Unis sur sa politique de modération, et quelques heures après un attentat en France, Twitter a supprimé jeudi, après un temps d'hésitation, un message incendiaire de l'ex-Premier ministre malaisien, Mahathir Mohamad.

    "Au cours de leur histoire, les Français ont tué des millions de gens. Beaucoup étaient musulmans. Les musulmans ont le droit d'être en colère et de tuer des millions de Français pour les massacres du passé", a écrit Mahathir Mohamad, peu après un attentat survenu à Nice, sans y faire référence.

    La plateforme a réagi en deux temps, maintenant d'abord le tweet avec un message d'avertissement, invoquant un "intérêt pour le public", avant de le gommer, mais sans suivre le gouvernement français qui a réclamé la suspension du compte.

    Trois personnes ont été tuées jeudi, dont au moins une égorgée, dans une église de la ville du sud de la France, lors d'une attaque considérée par les autorités françaises comme terroriste.

    Facebook, où le message avait aussi été publié, l'a également supprimé. "Nous n'autorisons pas les discours de haine sur Facebook et condamnons fermement tout soutien ou appel à la violence, au meurtre ou aux atteintes physiques", a indiqué la filiale française du réseau social.

    Cet épisode intervient au lendemain d'une audition mouvementée des patrons des réseaux sociaux dominants, Facebook, Twitter et Google (YouTube), devant le Sénat américain.

    Leur politique de régulation des contenus publiés par des tiers y a été critiquée de toutes parts, les Républicains leur reprochant d'en faire trop, et les Démocrates pas assez, alors qu'approche l'élection présidentielle.

    Twitter et Facebook, notamment, qui se sont longtemps défendu avec virulence d'être des "arbitres de la vérité", se montrent de plus en plus interventionnistes sur leurs contenus. Mais ils ne veulent pas être tenus légalement responsables des publications, comme le seraient des journaux par exemple.

    - La France "exige" la suspension du compte -

    Se référant à la décapitation le 16 octobre d'un enseignant français qui avait montré des caricatures du prophète Mahomet à ses élèves, M. Mahathir a par ailleurs déclaré dans une série de messages incendiaires sur son compte Twitter qu'il n'approuvait pas l'attentat mais que la liberté d'expression n'incluait pas "les insultes à l'égard d'autrui".

    "Quelle que soit la religion mise en cause, les gens qui sont en colère tuent", a affirmé l'ex-dirigeant, âgé de 95 ans, auteur dans le passé de déclarations controversées sur les juifs et les homosexuels.

    Celui qui fut Premier ministre de Malaisie, pays à majorité musulmane, jusqu'à la chute de son gouvernement en février, a jugé que le président français Emmanuel Macron était "très primitif".

    "Les Français devraient enseigner à leurs citoyens le respect des sentiments d'autrui. Puisqu'on accuse tous les musulmans et la religion des musulmans pour ce qu'une personne en colère a fait, les musulmans ont le droit de punir les Français", a-t-il poursuivi.

    Le secrétaire d'Etat français au numérique Cédric O a appelé la plateforme américaine à suspendre le compte.

    - "Complice d'un appel au crime" -

    "Je viens de m'entretenir avec le Directeur Général de Twitter France. J'ai exigé que le compte de (Mahathir Mohamad) soit immédiatement suspendu. Twitter ne saurait se rendre complice d'un appel au crime", a-t-il indiqué sur son compte personnel, en français et en anglais.

    Twitter a maintenu, dans un premier temps, le message en y ajoutant la mention suivante: "Ce tweet a enfreint les règles relatives à la glorification de la violence. Toutefois, Twitter a déterminé que sa disponibilité peut présenter un intérêt pour le public".

    Puis le tweet en question a finalement été retiré quelques minutes après. Contacté par l'AFP en France, Twitter a indiqué que ce tweet a été supprimé "pour avoir violé (sa) politique en matière d'apologie de la violence".

    Les autres propos mis en ligne par Mahathir Mohamad restaient eux visibles.

    Après la décapitation de l'enseignant français Samuel Paty par un jeune Russe tchétchène de 18 ans, Emmanuel Macron a promis que la France ne renoncerait pas aux caricatures, au nom de la liberté d'expression.

    Des propos qui ont entraîné de vives tensions dans plusieurs pays musulmans, allant de manifestations jusqu'au boycott de produits français.

    AFP


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  • Le rachat d’une abbaye par un homme d’affaires turc pro-Erdogan fait polémique

    L’abbaye Saint-Martin de Sées, dans l’Orne, a été rachetée en 2017 par un certain Muharrem Nureddin Coşan, qui entretient le mystère sur son projet depuis le début. Son représentant en France a répondu à Valeurs actuelles.

    LIEN de l'article :

    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/enquete-le-rachat-dune-abbaye-par-un-homme-daffaires-turc-pro-erdogan-fait-polemique-103026

     


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  • À Avignon aussi, la peur s'est emparée des habitants, jeudi 29 octobre. Deux heures après les faits survenus à la basilique Notre-Dame de Nice, un homme armé d'un couteau aurait attaqué des policiers dans la rue, criant « Allah Akbar », selon les informations d'Europe 1. Les forces de l'ordre ont alors fait feu sur le suspect, qui a succombé à ses blessures. La radio ajoute qu'une enquête est ouverte. L'homme aurait également menacé des passants, avance BFM TV.

    Plus d'informations à suivre...

    Le Point


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  • Attaque terroriste dans une église de Nice, au moins trois morts

    L'attentat s'est déroulé ce jeudi matin dans un quartier populaire de la ville. L'assaillant a été arrêté. La parquet antiterroriste est saisi.

    Au moins trois personnes sont mortes et plusieurs blessées dans une attaque au couteau ce jeudi matin à Nice. Le Parquet national antiterroriste a annoncé dans la foulée qu’il ouvrait une enquête pour «assassinat en relation avec une entreprise terroriste». L’auteur a été interpellé et transporté à l’hôpital. Selon le maire de Nice, Christian Estrosi, qui a tenu une conférence de presse sur place, l’assaillant «n’a cessé de répéter Allah Akbar devant nous alors qu’il était médicalisé sur place». L’attaque s’est déroulée «au sein de la basilique Notre-Dame de Nice», selon Estrosi.

     

    L’alerte aurait été donnée par un témoin ayant appuyé sur la borne d’alerte de vidéoprotection installée par la mairie de Nice. L'édile a précisé que la police nationale et le raid progressaient petit à petit à l’intérieur de l’église «car il y a encore des objets douteux» dans l’édifice. Ils vérifient surtout qu’il n’y ait pas d’autres victimes.

    Lors de son point presse, Christian Estrosi avait évoqué un bilan de deux personnes tuées à l’intérieur de l’église et au moins un blessé grave, une personne qui aurait réussi à s’échapper de l’église, et que les médecins essayaient «de garder en vie». Mais un peu plus tard, selon l’AFP qui cite des sources policières, le bilan s'est monté à trois morts. Le ministère de l’Intérieur a ouvert une cellule de crise, où devait se rendre Emmanuel Macron dans la matinée.

    A l’Assemblée nationale, où l’on débattait du reconfinement décidé mercredi soir par Emmanuel Macron, Richard Ferrand a demandé peu avant 10 heures aux députés de respecter une minute de silence «en solidarité à l’égard de la ou des victimes et de l’ensemble de leurs proches». Le Premier ministre a quitté l’hémicycle immédiatement pour se rendre place Beauvau.

    A Nice, tout le quartier Notre-Dame et les alentours ont été bouclés et une vaste opération policière était en cours en milieu de matinée. Eric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes, a annoncé la venue sur place du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin.

    Peu après l’attaque, les habitants ont pu entendre deux grosses explosions – probablement une opération de déminage – ainsi que des salves de tirs provenant de l’église. Les policiers dans les rues ont demandé à tous les riverains de ne pas rester sur leurs balcons. Nice a déjà été endeuillé par un attentat, le 14 juillet 2016, faisant 86 morts et 458 blessés sur la Promenade des Anglais. 

    Libération

    On ne nous a pas encore indiqué l'identité de l'attaquant !!!

    Ce serait un tunisien  qui dit s'appeler Brahim!


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  • Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé ce mercredi matin que l’ONG humanitaire musulmane BarakaCity avait été dissoute en Conseil des ministres.

    L’ONG BarakaCity a été officiellement dissoute en Conseil des ministres ce mercredi. Selon Gérald Darmanin, elle « incitait à la haine »« entretenait des relations au sein de la mouvance islamiste radicale » et « se complaisait à justifier des actes terroristes ».

    BarakaCity avait été créée en 2008 et était présidée par Driss Yemmou, dit Idriss Sihamedi. L’ONG était installée à à Evry-Courcouronnes (Essonne). Elle était dans le viseur de la place Beauvau depuis l’attentat terroriste de Conflans-Sainte-Honorine, dans lequel le professeur Samuel Paty a été assassiné.

    « Cette association et son président-fondateur, derrière un paravent humanitaire, diffusaient antisémitisme, menaces de mort et apologie de crimes contre l’humanité », a déclaré le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, lors de sa conférence de presse. « Nous poursuivons cette lutte contre les ennemis de la démocratie », a-t-il ajouté.

    ACTU 17


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  • La Turquie s'insurge contre une caricature moquant Erdogan en une de "Charlie Hebdo"

    La tension monte d'un cran entre la France et la Turquie. Ankara a vivement réagi, mardi 27 octobr, à une caricature de son président Recep Tayyip Erdogan à paraître en une mercredi dans Charlie Hebdo, accusant l'hebdomadaire satirique français de "racisme culturel".

    "Nous condamnons cet effort tout à fait méprisable de la part de cette publication pour répandre son racisme culturel et sa haine", a déclaré le principal conseiller pour la presse du président turc, Fahrettin Altun, sur Twitter. Il a présenté cette publication comme le résultat du "programme anti-musulman du président français Macron".

    La caricature, diffusée en ligne mardi soir, montre Recep Tayyip Erdogan, en tee-shirt et sous-vêtements, en train de boire une bière et de soulever la jupe d'une femme portant le voile, dévoilant ainsi ses fesses nues. Une polémique très vive oppose depuis des semaines le président Emmanuel Macron et son homologue turc, ce dernier étant allé jusqu'à mettre en doute "la santé mentale" du président français à propos de ses prises de position sur l'islamisme radical et la liberté d'expression.

    franceinfo


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  • La justice valide la fermeture de la mosquée de Pantin

     La justice française a confirmé mardi la fermeture administrative pour six mois de la grande mosquée de Pantin (Seine-Saint-Denis), accusée par le gouvernement d'avoir contribué à la campagne contre Samuel Paty sur les réseaux sociaux avant l'assassinat de ce professeur de collège à la suite de la présentation de caricatures de Mahomet en classe.

    "Le tribunal administratif de Montreuil vient de confirmer la fermeture administrative de la mosquée de Pantin", a annoncé le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, sur Twitter.

     

    Les autorités reprochent notamment à cette mosquée le partage sur son compte Facebook de la vidéo dans laquelle Brahim C., père d'une des élèves de Samuel Paty, appelait "tous les musulmans" à faire pression sur l'enseignant et le collège du Bois d'Aulne, dont il donnait l'adresse, pour dénoncer son comportement et obtenir son renvoi.

    Samuel Paty a été décapité le 16 octobre par un jeune islamiste présumé d'origine tchétchène, quelques jours après avoir montré des caricatures de Mahomet publiées par Charlie Hebdo lors d'un cours d'éducation morale et civique, une initiative à l'origine d'une campagne hostile sur les réseaux sociaux via notamment cette vidéo sur Facebook.

     

    L'avocat de la Fédération musulmane de Pantin, William Bourdon, a annoncé sur BFM TV qu'il allait contester la décision du tribunal administratif devant le Conseil d'Etat.

     Challenges


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  • En France, la menace terroriste a rarement été aussi élevée.

    Après plusieurs attaques terroristes en moins de trois semaines - deux blessés rue Nicolas Appert devant les anciens locaux de Charlie Hebdo et la mort de l'enseignant Samuel Paty, décapité par un jeune homme de 18 ans pour avoir montré des caricatures du prophète -, les appels à la haine contre la France pullulent. Ils ont notamment augmenté après les appels en faveur de la liberté d'expression et de la republication de caricatures de Mahomet du président Emmanuel Macron, en plein procès des attentats de janvier 2015.

     

    Le directeur de la DGSI, le renseignement intérieur, a même évoqué une menace à un "niveau extrême" auprès des préfets réunis en visioconférence, lundi matin, en présence du ministre de l'intérieur Gérald Darmanin.

    Les célébrations de la Toussaint sous surveillance

    Récemment, une agence proche d'Al Qaida a appelé à cibler la France. Les menaces visent Charlie Hebdo, Emmanuel Macron, mais aussi les imams modérés qui ont condamné publiquement les attaques terroristes. En ligne, les appels à la haine se multiplient. Une avocate, partie civile au procès des attentats de 2015, a été récemment menacée de mort. L'homme responsable a été condamné à trois ans de prison lundi.

    Le ministère de l'Intérieur et le directeur de la police nationale appellent donc les forces de l'ordre à une vigilance accrue et prioritaire. Les célébrations de la Toussaint approchent et les symboles de la chrétienté pourraient être des cibles.

    Europe 1


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  • Boycott des produits français, n'oublions pas les allocations familiales !


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  • Boycott : le CFCM appelle les musulmans de France à "défendre l'intérêt" du pays

    Face à la campagne de boycott visant les produits français, Mohammed Moussaoui, le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) a appelé lundi les musulmans de l'Hexagone à "défendre l'intérêt" de la France, "grand pays où les musulmans ne sont pas persécutés".

    "Toutes les campagnes de dénigrement de la France sont contreproductives"

    "La France est un grand pays, les citoyens musulmans ne sont pas persécutés, ils construisent librement leurs mosquées et pratiquent librement leur culte", a-t-il déclaré à l'AFP, alors que manifestations et appels au boycott se multiplient dans le monde musulman après de récents propos du président Emmanuel Macron sur l'islam.

    Europe 1

    Voilà un musulman intelligent !


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  • La Fédération musulmane de Pantin a déposé un recours devant le tribunal administratif pour dénoncer l'arrêté de fermeture de la mosquée de la ville décidée après l'attentat de Conflans-Sainte-Honorine.

    Sa fermeture avait été annoncée par le gouvernement. La mosquée de Pantin, pointée du doigt après l'assassinat de Samuel Paty, attaque le recours pris pour fermer pendant six mois le lieu de culte. Le tribunal administratif de Montreuil examine la demande formulée par la Fédération musulmane de Pantin ce lundi à 15 heures, la décision devrait être rendue mardi.

     

    "Nous considérons que l'arrêté est disproportionné par rapport aux arguments avancés par la préfecture de Seine-Saint-Denis, explique à BFMTV.com Me Vincent Brengarth, l'avocat du bureau exécutif de la mosquée. Fermer une mosquée pendant 6 mois, c'est une mesure grave qui porte atteinte à la liberté de culte et à la liberté d'association."

    Fermée depuis mercredi

    La mosquée de Pantin, qui rassemble 1300 fidèles, est dans le collimateur du gouvernement notamment pour avoir relayé la vidéo du père de la collégienne qui dénonçait l'enseignement proposé par Samuel Paty, ce professeur d'histoire-géographie assassiné à Conflans-Sainte-Honorine le 16 octobre. Trois jours plus tard, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin avait demandé la fermeture du lieu de culte. L'arrêté avait été publié dans les 48 heures. La mosquée a fermé ses portes mercredi dernier.

    En publiant sur sa page Facebook la première partie de la vidéo du père de la collégienne de Conflans-Sainte-Honorine qui appelait à se mobiliser contre Samuel Paty après qu'il a montré des caricatures du prophète Mahommet en classe, "il y a eu une faute morale, une erreur, que la mosquée regrette", insiste Me Brengarth. "Elle a été rapidement retirée", rappelle l'avocat.

    "Faire un exemple"

    Le préfet de Seine-Saint-Denis considère également dans son arrêté que le recteur de la mosquée de Pantin, M'hammed Henniche, avait tenu en 2018 des propos sur son compte personnel Facebook appelant les internautes à retirer leurs enfants de l'école publique. Il dénonce également la présence d'un imam radical au sein du lieu du culte.

    La proximité entre M'hammed Henniche et l'islamologue suisse controversé Tariq Ramadan est également visée par cet arrêté préfectoral, dont le préfet en personne devrait venir défendre ce lundi la teneur à l'audience.

    La partie adverse, qui prévoit des "débats argumentés", tient à rappeler les échanges constants instaurés entre la direction de la mosquée de Pantin et les autorités locales, dont la préfecture. Cet arrêté a donc été accueilli avec "incompréhension." "On veut faire un exemple avec une mosquée qui était dans le dialogue avec les autorités décentralisées", déplore Me Vincent Brengarth, qui espère que "le contexte pesant, pas favorable aux libertés" n'influe pas sur la décision.

     

    BFM.TV


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