• CHANTOUVIVELAVIE : Décès brutal d'un sénateur LR "à quelques mètres du Sénat"

    Le sénateur de l'Indre Louis Pinton, du parti Les Républicains, est mort brutalement ce jeudi "à quelques mètres du Sénat", selon le président de la Haute Assemblée, Gérard Larcher, et une information de France Bleu.  Il était âgé de 68 ans, et avait récemment apporté son soutien à Alain Juppé, candidat à la primaire de la droite et du centre. 

    BFM.TV

    Moralité : Réfléchissez avant d'apporter votre soutien à Juppé voire de voter pour lui (humour noir mais humour tout de même)


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  • CHANTOUVIVELAVIE : A 94 ans, il meurt attaqué par un mouton

    La victime avait des contusions sur le visage et les genoux. Le mouton sera euthanasié.

    Il avait disparu depuis quelques heures. Ses proches sont partis à sa recherche. Ils ont découvert, lundi 14 novembre aux alentours de midi, son corps inanimé à Cestas, une commune située au sud de Bordeaux. Âgé de 94 ans, il était recouvert de contusions sur le visage et les genoux, rapporte Sud Ouest. 

    Une enquête a été ouverte et, note le quotidien, "face à ce décès mystérieux, les gendarmes ont appelé la cellule d'investigation criminelle (CIC) en renfort." L'auteur du crime aurait déjà été identifié. Il pourrait s'agir d'un mouton dont le maître serait "un éleveur et propriétaire terrien, chez qui le retraité se rendait pour discuter de sa commande de bois."

    Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime, attaquée par le mouton, serait tombée par terre avant de recevoir des coups de tête et de sabots. Selon Sud Ouest, divers individus ont été contactés et ont pu renseigner les enquêteurs sur "l'agressivité de l'animal qui a également attaqué une élue venue épauler la famille." Cette dernière, blessée, a été soignée aux urgences de l'hôpital Pellegrin de Bordeaux. 

    Quant au mouton, une décision semble déjà avoir été prise: il sera euthanasié.

    BFM.TV

    Pauvre mouton, de toute façon, il était destiné à mourir pour finir à la boucherie !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Le calvaire de Fiona, 5 ans, devant la justice

    C'est l'histoire d'un crime sordide et d'un mensonge insupportable. Le 12 mai 2013 au soir, Cécile Bourgeon, 26 ans, très affolée, signale la disparition de Fiona, 5 ans. La petite fille se serait volatilisée dans le parc Montjuzet de Clermont-Ferrand pendant que sa mère faisait une courte sieste. Immédiatement, des recherches de très grande envergure sont mises en place ; toutes restent vaines.

    Les enquêteurs fouillent le domicile que Cécile Bourgeon partage avec son compagnon, Berkane Makhlouf, 32 ans à l'époque. Ils découvrent des traces sans ambiguïté de leur toxicomanie mais, dans un tout premier temps, rien qui permette de retrouver Fiona. Cependant, la police nourrit rapidement des soupçons à l'encontre des deux drogués, bien connus des dealers clermontois et habitués d'un squat où ils consomment différentes substances en présence, parfois, de Fiona et de sa petite sœur, Eva.

    Ce n'est qu'en septembre qu'ils sont interpellés, alors qu'ils sont partis vivre à Perpignan. Placés en garde à vue, ils multiplient les déclarations fantaisistes, qui ne collent pas avec les constatations de l'enquête: les policiers n'ont, en particulier, trouvé aucun témoin qui puisse attester de la présence de Fiona au parc Montjuzet le 12 mai 2013. Cécile Bourgeon craque la première, et charge Berkane Makhlouf. Selon elle, son compagnon maltraitait la fillette, qui aurait succombé à une série de coups plus violents que d'habitude. Le petit corps sans vie aurait alors été placé dans un sac de voyage posé sur la banquette arrière de la voiture, à côté d'Eva, et conduit jusqu'à un bois où il aurait été enterré.

     

    Coauteurs

    Berkane Makhlouf, lui, nie farouchement les violences dont l'accuse sa compagne, et la désigne en retour comme responsable de maltraitance sur Fiona. Lors d'une confrontation organisée par la juge d'instruction le 8 novembre 2013, les deux mis en examen, après s'être mutuellement accablés, tombent dans les bras l'un de l'autre et se font des déclarations d'amour. Le corps de Fiona, à ce jour, n'a jamais été exhumé, sa mère et son beau-père n'ayant pas pu - ou pas voulu, en dépit de leurs semblants d'efforts - conduire les enquêteurs sur le lieu où ils disent l'avoir dissimulé.

    Cécile Bourgeon et Berkane Makhlouf ont été renvoyés devant les assises du Puy-de-Dôme pour y répondre de «violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur mineure de 15 ans», par ascendant pour la mère, par «personne ayant autorité» pour le beau-père. Considérés, à ce stade, comme coauteurs, ils encourent tous les deux une peine de trente ans de réclusion criminelle.

    Le procès doit durer deux semaines, à Riom: pourquoi des débats aussi longs pour un tel crime? Que peut-on attendre de ces journées d'audience, auxquelles se sont invités, aux côtés des parties civiles légitimes - à commencer par le père de Fiona -, le ban et l'arrière-ban des associations de défense de l'enfance maltraitée? Est-il vraiment besoin de deux semaines pour juger l'alliance de la bêtise, du mensonge et de la lâcheté?

    Le Figaro

    J'espère qu'ils seront condamnés au maximum soit 30 ans sans possibilité de remise de peine. Pour moi, ils méritent la peine de mort.


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Isère : un retraité alcoolisé abat sa femme d'un coup de revolver

    Un retraité fortement alcoolisé a abattu son épouse avec une arme à feu jeudi soir à Clonas-sur-Varèze, en Isère, affirme ce vendredi le parquet de Vienne, confirmant une information du Dauphiné Libéré. 

    L'homme, un ancien employé d'EDF tout juste à la retraite, s'est emparé d'un revolver et a tiré plusieurs fois sur sa femme, une seule balle l'atteignant en pleine tête, jeudi peu avant 20h00. Selon le quotidien régional, les coups de feu auraient suivi une «violente altercation» entre les époux. 

    «Nous ne connaissons pour l'heure pas les motifs de son geste. Il n'a pas encore pu être entendu», a précisé le procureur de la République de Vienne Jérôme Bourrier, qui se veut prudent sur les circonstances du drame. Le magistrat n'a pas souhaité communiquer davantage d'informations sur cette affaire. Selon France Bleu Isère, c'est le retraité qui a contacté les secours. Mais à leur arrivée, la victime avait déjà succombé à ses blessures.

    Des tendances suicidaires ?

    En effet, après avoir été interpellé par les gendarmes, l'homme a été placé en garde-à-vue, mais a dû être hospitalisé par la suite, celle-ci s'étant «très mal passée», selon France Bleu Isère. Inconnu des services de gendarmerie, le sexagénaire semblait souffrir de dépression et «avait des tendances suicidaires», a simplement indiqué le parquet de Vienne.

    «La victime travaillait encore. Elle était plus jeune que son époux. C'était un remariage et ils avaient deux enfants ensemble», a ajouté la radio d'informations locales. L'enquête a été confiée à la brigade de recherches de Vienne.

    Le Parisien

    La violence est partout, chez les jeunes comme chez les vieux


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Deux-Sèvres: une mère soupçonnée d'avoir poignardé ses deux enfants de 5 et 8 ans

    Une mère de famille de 42 ans est suspectée d'avoir poignardé jeudi soir ses deux garçons de 5 et 8 ans. L'aîné est mort et le cadet est dans un état critique, hospitalisé au CHU de Poitiers

    La meurtrière présumée, qui habite Bressuire, dans les Deux-Sèvres, a été hospitalisée d'office au service psychiatrique de Niort, rapporte France Bleu Poitou.

    Les victimes ont été retrouvées par leur père dans la salle de bain de la maison, située dans le quartier de la gare de Bressuire détaille Le Courrier de l'Ouest. Selon les premiers éléments de l'enquête, la quadragénaire serait bien l'auteur des coups de couteau. Elle avait été retrouvée jeudi vers 20h30, dans sa voiture accidentée sur une route des environs par des sapeurs-pompiers.

    "Les secouristes ont découvert une femme au volant d'une voiture qu'ils connaissaient comme l'épouse séparée d'un collègue sapeur-pompier professionnel", relate La Nouvelle République.

    L'enquête devra dire si elle avait tenté de mettre fin à ses jours ou tenté de fuir.

    BFM.TV

    La violence est de plus en plus présente dans notre société


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Autriche: mort d'un nouveau-né abandonné dans l'aéroport de Vienne

    Un nouveau-né est décédé ce jeudi à Vienne après avoir été abandonné par sa mère dans les toilettes de la zone de transit de l'aéroport de Vienne-Schwechat. 
        
    L'enfant, découvert tôt dans la matinée par une femme de ménage, a été immédiatement amené aux urgences mais n'a pu être réanimé après avoir subi une trop longue sous-oxygénation. Il avait été placé dans un sac en plastique et mis dans une poubelle.
        
    La mère présumée, une Nigériane âgée de 27 ans qui se trouvait en transit à Vienne, a été identifiée et hospitalisée, selon des sources médicales et policières. 

    BFM.TV

    CHANTOUVIVELAVIE : Autriche: mort d'un nouveau-né abandonné dans l'aéroport de Vienne


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    CHANTOUVIVELAVIE : Lille : une ado de 16 ans soupçonnée d'avoir tué son bébé puis caché le corps

    Une adolescente, âgée de 16 ans, a été mise en examen, mardi, à Lille (Nord), pour homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans après la découverte du corps de son bébé par les policiers.

    Alors que l'adolescente nie avoir tué son bébé, une information judiciaire a été ouverte par le parquet de Lille pour préciser les circonstances du drame, rapporte le journal La Voix du Nord.

    Elle aurait accouché dans une baignoire 

    Selon le quotidien régional, l'adolescente aurait accouché dans une baignoire, au domicile de ses parents, rue des Bois-Blancs à Lille, il y a une quinzaine de jours. Le nouveau-né est mort dans des circonstances qui restent à déterminer, mais la très jeune mère aurait cherché à cacher le corps du nouveau-né pour l'enterrer, avec l'aide d'une amie. Dénoncée par une autre amie, l'adolescente, après une hospitalisation d'office pour des troubles psychiatriques, a été placée en garde à vue lundi dans les locaux de la brigade des mineurs de la Sûreté urbaine de Lille.

    L'adolescente avoue l'accouchement mais nie avoir tué son bébé

    Selon le parquet de Lille, cité par la Voix du Nord, la jeune mère a avoué l'accouchement, mais nie avoir tué le nouveau-né : «Elle a déclaré qu’il était mort-né et qu’elle a essayé de lui trouver une sépulture.» Des déclarations en contradiction avec l'autopsie du nourrisson selon le parquet de Lille : «Il semblerait que l’enfant soit né vivant. Mais cette question n’est pas complètement tranchée. Il faut attendre les résultats d’examens complémentaires pour avoir des certitudes.» Toujours selon le parquet, même si elle a dissimulé sa grossesse à son entourage, il n’y aurait pas eu de déni de grossesse de la part de la jeune mère.

     
     
    L'amie de l'adolescente qui aurait gardé pendant plusieurs jours le corps du nouveau-né a également été placée en garde à vue dans cette affaire, avant d'être relâchée. Selon le parquet, des poursuites pour recel de cadavre sont envisagées à son encontre.
    Le Parisien  

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  • CHANTOUVIVELAVIE : Seine-Saint-Denis : un nouveau-né retrouvé mort dans un canal à Aubervilliers

    Lundi soir, deux riverains ont retrouvé le corps d'un bébé dans le canal de Saint-Denis, à Aubervilliers. Une autopsie est en cours.

    Le parquet de Bobigny a ouvert une enquête pour meurtre, ce mardi. La veille, vers minuit, deux hommes ont aperçu le cadavre d'un nourrisson, qui flottait à la surface du canal de Saint-Denis, à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis. Les deux témoins, qui habitent à proximité l'ont sorti de l'eau, avant de prévenir la police.  

    Selon des sources concordantes, il s'agirait du corps en état de décomposition d'une petite fille dont l'âge n'a pas pu, pour le moment, être déterminé. Une autopsie est en cours ce mardi, mais selon les premiers éléments de l'enquête, le nourrisson serait "mort avant et aurait été jeté dans le canal", a indiqué l'une des sources. L'enquête a été confiée par le parquet à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis. 

    L'Express

    Comment peut-on jeter son bébé ainsi ?

    Sûrement une femelle humaine bien inférieure aux femelles animaux !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Une mère condamnée à 12 ans de prison pour avoir torturé son bébé

    Jugée pour actes de torture et de barbarie sur sa fille de trois mois, une mère de famille a été condamnée à douze ans de réclusion criminelle, vendredi, au palais de justice d’Angoulême.

     

    Une jeune mère de famille, âgée de 22 ans, a été condamnée vendredi à douze ans de réclusion criminelle par la cour d'assises de Charente pour avoir commis des actes de torture et de barbarie sur sa fille de trois mois, en mars 2014, rapporte Sud-Ouest.

    Mise en place d'une mesure de suivi socio-judiciaire. Une mesure de suivi socio-judiciaire a été mise en place. La mère, qui se voit retirer l'autorité parentale, devra également verser 10.000 euros à l'association de protection de l'enfance, l'Apige, représentante de la petite Lyloo, ainsi que 15.000 euros à son ex-compagnon pour le préjudice moral, et un euro symbolique aux grands-parents paternels de l'enfant.

    Frappée, mordue, brûlée. Dans la nuit du 20 au 21 mars 2014, la fillette avait été grièvement brûlée au visage et mordue à onze reprises. L'accusée a également avoué avoir appliqué du détergent sur le visage de sa fille, qui garde aujourd’hui encore des séquelles de ce drame.

    Europe 1

    Espérons qu'elle les fasse bien.

    Faudrait lui ligaturer les trompes !


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  • CHANTOUVIVELAVIE ; Seine-Saint-Denis : meurtre sanglant chez un couple de Mongols

    Un immeuble du Bourget, en Seine-Saint-Denis, a été le théâtre d’une véritable scène de carnage

    Un meurtre sordide à Seine-Saint-Denis

    Les autorités de Seine-Saint-Denis ont été confrontées à une scène macabre dans l’appartement d’un couple de Mongols, au Bourget, rue du Colonel-Moll. Elles ont découvert le corps d’une femme de 59 ans recouvert de plusieurs blessures à l’arme blanche, le lundi 31 octobre. Le mari de la victime, quant à lui, a été blessé au cou et aux poignets. Il a été hospitalisé et son pronostic vital semble engagé, d’après le parquet de Bobigny. Selon les informations communiquées par la police, ce serait une voisine qui les a prévenus après que l’homme, vacillant et ensanglanté, ait tambouriné à la porte de cette dernière.

    Incertitude des autorités sur le déroulement du meurtre

    "Il y avait des traces d’excréments" dans tout l’appartement "les meubles étaient retournés", ont également relevé les enquêteurs, comme rapporté par Europe 1. Un couteau ensanglanté a été retrouvé sur les lieux du crime, ce mardi 1er novembre. Les voisins ont également affirmé avoir entendu des cris venant de la maison. Pour l’heure, les enquêteurs penchent pour la thèse d’un drame familial, mais aucune piste n’est écartée. "On ne sait pas si on se trouve en face de deux victimes, ou de la victime et de son agresseur", a déclaré une source policière de Seine-Saint-Denis. La police judiciaire du département est en charge de l’enquête. 

    LINFO.re


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Cannes: les passagers d'un train gazés et frappés par une bande de jeunes

    Un groupe d'adolescents a surgi samedi soir dans un TER reliant Vintimille à Grasse. En gare de Cannes-Ranguin, ils s'en sont violemment pris à des passagers pour des raisons qui restent à déterminer.

    Une dizaine d'individus, armés de bombes lacrymogènes, est entrée ce samedi soir dans un TER en gare de Cannes-Ranguin et se sont mis à gazer et frapper des passagers, tout en lançant des insultes, informe Nice-Matin.

    Le quotidien régional précise que l’agression n’a duré que quelques minutes. La bande d'adolescents est repartie aussi vite qu'elle est arrivée en courant en direction d'un jardin à proximité. Trois personnes ont été légèrement blessées et ont été transportées à l'hôpital des Broussailles.

    Une enquête ouverte

    Les autres passagers ont pu rentrer chez eux après avoir été interrogés par la police. Une enquête a été ouverte par les services du commissariat central pour comprendre les motifs de tels gestes.

    Certains témoins mettent en relation cet assaut avec l’interpellation de deux jeunes Grassois mercredi pour l’agression d’agents ferroviaires.

    "Ils voyaient dans l’agression de Ranguin une mesure de représailles", rapporte Nice-Matin.

    BFM.TV

    Des petits "sauvageons" qui voulaient rigoler !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Un homme tué par balle à Marseille

    Un homme de 29 a été tué par balle, samedi 5 novembre vers 19h30, à Marseille, selon une information de France Bleu Provence.

    La victime circulait sur un scooter dans le quartier de La Rose, au nord de la ville. Elle a été abattue avec une arme de poing de calibre 9 mm ou un 38 Spécial. Six coups de feu ont été tirés, deux ont atteint la victime. L'un à l'épaule, l'autre à la tête.

    Aucun témoin direct n'a assisté à la scène. La police a affirmé à France Bleu Provence que l'homme visé n'était pas connu, a priori, pour des faits de grand banditisme ou de trafic de stupéfiants. Le mobile de ce crime pour l'instant inconnu, mais le mode opératoire fait penser à un règlement de compte, d'après France Bleu Provence.

    Une autre agression dans la soirée

    Quelques minutes plus tard, un autre homme a été blessé par balle, cette fois dans le 16e arrondissement de la ville.Touché par des tirs de fusil de chasse, son pronostic vital n'est pas engagé.

    L'homicide du quartier de la Rose porte à 29 le nombre de personnes tuées par balle dans les Bouches-du-Rhône en 2016, dont 26 dans des règlements de comptes.

    Franceinfo


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Un braqueur tué par le tir d'un gendarme dans l'Essonne

    Le braquage a mal tourné. Un braqueur, surpris pendant une tentative de vol sur un distributeur automatique de billets (DAB) à Briis-sous-Forges dans l'Essonne, a été tué par un tir de gendarme dans la nuit de vendredi à samedi, a indiqué le procureur de la République d'Évry. L'équipe de malfaiteurs, composée de "trois ou quatre" individus, a tenté vers 03h30 du matin de s'attaquer au DAB en y introduisant du gaz pour le faire sauter, dans cette petite commune rurale de 3.600 habitants, a indiqué Éric Lallement. "Les services de gendarmerie ont tenté de les interpeller. Dans le cadre de cette tentative, des coups de feu ont été tirés par les gendarmes" et "l'un des coups de feu a été mortel", a-t-il ajouté, sans préciser si les auteurs de la tentative de vol étaient eux-mêmes armés.

    Un gendarme traîné par la voiture

    Selon une source proche de l'enquête, une patrouille de gendarmes du Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (PSIG) de Palaiseau effectuait un contrôle sur le véhicule des braqueurs, jugé suspect, lorsque ceux-ci ont surgi de l'agence bancaire. Les braqueurs sont parvenus à entrer dans le véhicule pour prendre la fuite. Un des gendarmes, un "gradé de la gendarmerie", a alors "tenté d'interpeller le conducteur du véhicule", dans lequel les malfrats avaient pris place, "en essayant de lui retirer la cagoule qu'il portait", selon le procureur d'Évry. Traîné par le véhicule "sur plusieurs mètres", ce gendarme s'est retrouvé "en situation de danger", a expliqué Eric Lallement. Selon une source proche de l'enquête, le gendarme "agrippé par le conducteur" a tiré à deux reprises sur le véhicule, tandis qu'un autre gendarme a tiré une fois sur un pneu.

    Le conducteur retrouvé mort plus tard

    Les malfaiteurs ont finalement réussi à s'enfuir, le conducteur ayant été seulement blessé dans un premier temps. Un quart d'heure plus tard, les gendarmes ont été informés que le véhicule avait été retrouvé dans un fossé, selon le procureur. A bord se trouvait, mort, le conducteur du véhicule, un homme de 36 ans "condamné à de multiples reprises". Deux enquêtes ont été ouvertes, selon le procureur d'Évry. La première, sur la tentative de vol avec moyens explosifs en bande organisée, a été confiée à la Section de recherches de Paris de la gendarmerie. La seconde, qui devra éclaircir les circonstances des tirs des gendarmes et de la mort du conducteur, a été confiée à l'Inspection générale de la gendarmerie nationale. Une autopsie devrait être pratiquée dimanche.

    Europe 1

    On va encore donner tort aux gendarmes !


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    CHANTOUVIVELAVIE : Dijon : un surveillant pris en otage à la maison d'arrêt

    Une prise d'otage a débuté vers 18h30, ce vendredi, à la maison d'arrêt de Dijon (Bourgogne), annonce le ministère de la Justice, dans un communiqué. Un détenu a pris en otage un surveillant pénitentiaire et le retiendrait dans sa propre cellule. Selon nos informations, cet homme est suivi par l'administration pénitentiaire, pour «suspicion de radicalisation». 

    Les motivations de cette agression restaient confuses dans l'immédiat, mais, selon une source proche du dossier, elle «serait liée à un refus de transfert vers un autre établissement pénitentiaire, et à un refus de demande de mise en liberté conditionnelle, deux décisions qui lui ont été signifiées hier». 

    Une cellule de crise mise en place 

    Des négociations sont en cours avec le détenu, qui est armé d'un couteau, selon le ministère de la Justice. Une cellule de crise a été ouverte. Des personnels des Équipes régionales d'intervention et de sécurité (Eris) sont sur place ainsi que des forces de police, précise le ministère.

    La cellule de crise en cas d'incidents en détention avait, avant vendredi, déjà été activée à six reprises depuis le début de l'année par le ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas. Les prisons françaises ont été, ces dernières semaines, le théâtre de nombreux incidents, dont le plus violent a été l'agression, début septembre, de deux surveillants à Osny (Val d'Oise) par un détenu radicalisé.

    Le Parisien

    Je ne peux m'empêcher de penser à ce cher Zemmour !

    Dernières nouveles : Le détenu s'est rendu

    Lien : http://www.bfmtv.com/societe/dijon-un-surveillant-pris-en-otage-par-un-detenu-a-la-maison-d-arret-1055862.html


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Harcèlement : à 11 ans, elle se suicide après avoir survécu à son cancer

    Des cheveux bouclés, des yeux foncés et un sourire tordu. Bethany Thompson, 11 ans s’est tuée à l’aide d’une arme à feu après des moqueries incessantes sur son sourire, séquelle de sa lutte contre le cancer.

    La jeune américaine de l’Ohio a mis fin à ses jours avec une arme à feu, relaient les médias états-uniens. 

    Touchée par une tumeur au cerveau, Bethany Thompson avait subi une opération chirurgicale huit ans plus tôt. Celle-ci lui avait endommagée les nerfs du visage, l’empêchant de sourire normalement.

    Les moqueries de l'école

    Ses parents, divorcés, se disent persuadés que les moqueries à l’école l’ont poussé à se suicider, le 19 octobre. Leur fille avait fait part de ses intentions à sa meilleure amie, peu avant dans le bus de retour de l’école.

    "Elle lui a dit qu’elle l’aimait et qu’elle serait sa meilleure amie pour la vie. Mais qu’elle allait se suicider quand elle rentrerait chez elle".

    Bethany Thompson s’est alors emparée d’une arme à feu avant de la retourner contre elle.

    BFM.TV

    Quelle tristesse. Je plains les parents

    Ces jeunes que se moquaient, juste des humains ! Ils sont responsables de ce suicide.


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  • CHANTOUVIVELAVIE : "Jungle" de Calais: une rixe éclate entre une centaine de migrants mineurs

    Une rixe a éclaté mardi soir entre une centaine de migrants mineurs sur l'ancienne "Jungle" de Calais, dont le démantèlement s'est achevé lundi soir, mais où des mineurs isolés vivent toujours dans les conteneurs du Centre d'accueil provisoire (CAP).

    Aux alentours de 18h, "une rixe a éclaté sur la partie sud du campement de la Lande de Calais entre plus d'une centaine de migrants mineurs érythréens et afghans", a affirmé la préfecture du Pas-de-Calais.

    Sécurité renforcée

    "Les forces de l'ordre sont intervenues immédiatement pour séparer ces deux groupes", a précisé cette source, ajoutant que "le dispositif de sécurité a été renforcé au sein du CAP" et qu'il sera maintenu "toute la nuit".

    Les migrants sont actuellement reconduits au sein du Centre d'accueil provisoire, selon la préfecture.

    Ces heurts ont eu lieu à proximité de l'église de la zone sud de la "Jungle". Cette petite église, tout comme deux petites mosquées, n'ont pas encore été démolies "pour permettre aux mineurs encore présents au sein du CAP de s'y recueillir", avait affirmé la préfecture du Pas-de-Calais.

    Dernier départ mercredi ???

    Lundi soir, un an et demi après la naissance du camp, le démantèlement de la "Jungle" de Calais s'est achevé, mais le gouvernement doit encore régler le sort de ces 1.500 mineurs isolés qui vivent dans le CAP.

    Des informations recueillies de plusieurs sources font en effet état de l'affrètement ces jours prochains de nombreux cars pour conduire ces jeunes vers des Centres d'accueil et d'orientation pour mineurs. Ces départs pourraient avoir lieu "très prochainement", éventuellement dès mercredi, selon des sources proches du dossier.

    BFM.TV


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  • C'était un restaurateur bien connu en Béarn. Porté disparu depuis le 24 octobre, le chef palois, Thierry Lassala, est décédé dans dans un accident de montagne dans les Pyrénées. Son corps a été retrouvé samedi soir par des sauveteurs.

    Comme tous les lundis, le matin du 24 octobre, Thierry Lassala est parti à la chasse à la bécasse avec son chien. Son dernier signe de vie: un appel téléphonique à l'un de ses deux fils à 15h30. Depuis, malgré les moyens engagés chaque jour par le Peloton de gendarmerie de haute-montagne (PGHM), les pompiers et, dans un élan de solidarité, plus d'une centaine de bénévoles, aucune nouvelle du disparu.

    Chute ou malaise ? 

    Samedi, en fin d'après-midi, des bénévoles-chasseurs donnaient l'alerte et les secours retrouvaient le corps sans vie de Thierry Lassala au Pic du Mail d'Arrouy (1.251 m), au-dessus d'Oloron-Sainte-Marie (Pyrénées-Atlantiques).

    Le Parquet de Pau a ouvert une enquête pour déterminer les causes de sa mort: chute ou malaise.

    BFM.TV

    Un chasseur de moins !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Seine-Saint-Denis: il étrangle puis enterre son épouse dans la cave

    Un homme a avoué le meurtre de sa femme, après que son corps a été retrouvé enterré dans la cave de l'immeuble, à Montreuil, en Seine-Saint-Denis.

    Un homme de 39 ans, soupçonné d'avoir étranglé puis enterré sa femme dans la cave de son immeuble à Montreuil, en Seine-Saint-Denis, a été interpellé et placé en garde à vue ce lundi.      

    C'est le frère de la jeune femme de 35 ans, inquiet d'être sans nouvelles depuis plusieurs jours, qui a alerté la police. 

    Le mari a rapidement avoué aux policiers le meurtre de sa femme. Il aurait également conduit les policiers dans la cave, à l'endroit même où il avait enterré le corps. Le décès de la victime n'a pas encore été daté. Le couple, parent d'un enfant, n'habitait pas sous le même toit. 

    Le parquet de Bobigny a saisi la police judiciaire du département d'une enquête pour "meurtre sur conjoint".

    BFM.TV


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Vaucluse : un enfant ejecté d'un camping-car en marche

    Drame de la route dans le Vaucluse. Dimanche, vers midi, un garçon de 9 ans voyageait camping-car avec ses parents sur la nationale 7 entre Orange et Montélimar. Au niveau de la ville de Lapalud, alors que le véhicule emprunte un rond-point, le porte latérale du véhicule s'ouvre et le petit garçon chute sur le bitume, relate «Le Dauphiné Libéré». 
     

    La petite victime est grièvement blessée à la tête et souffre d'un traumatisme cranien. Elle a été évacuée par un hélicoptère du Samu vers l'hôpital de la Timone à Marseille (Bouches-du-Rhône). 

    Le Parisien

    Du moment que le camping car roulait, l'enfant aurait dû être attaché !


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