• Une véto tue sa fille avec du produit pour animaux

    Une femme aurait tenté de se suicider en emportant sa fille. Elle est jugée pour avoir tué l'enfant avec du poison pour animaux.

    Une assistante vétérinaire de 50 ans comparaît à partir de lundi devant la cour d'assises du Maine-et-Loire pour l'assassinat près d'Angers de sa fille de 6 ans, un crime commis à l'aide de produits utilisés pour anesthésier et euthanasier des animaux.

    Les faits se sont déroulés en juillet 2013 dans la commune du Lion d'Angers (Maine-et-Loire) dans un contexte de séparation difficile avec le père de la fillette, Lilou. Venu la récupérer pour exercer son droit de garde pendant les vacances d'été, ce dernier avait trouvé porte close.

    Un ami de la mère la découvre le soir même avec sa fille, toutes deux inconscientes, étendues sur le canapé du salon, les deux chiens Terre-Neuve de la famille morts sur le sol, à leurs côtés. Une lettre d'explications avait été laissée sur une table.

    Les examens médicaux et toxicologiques révèlent l'empoisonnement de l'enfant et des chiens via des injections de T61 et de kétamine, deux produits euthanasiants et anesthésiques utilisés notamment pour les chevaux, que l'auteur s'était procurés au cabinet vétérinaire où elle exerçait.

    L'enquête a également mis en évidence des «accents de préméditation», le compte épargne de la mère ayant été quasiment vidé les mois précédents et, en dépit de la résiliation du bail de la maison, elle n'avait entrepris aucune démarche pour se reloger.

    Incapable, selon les experts psychologiques, de faire face à la séparation d'avec son ex-époux intervenue pourtant six ans plus tôt, elle se serait enfermée dans une relation fusionnelle avec sa fille jusqu'à commettre l'irréparable.

    24 Heures.ch

    Que c'est triste ces gens qui n'arrivent à se remettre d'une séparation !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Ariège: Un gendarme tué par un automobiliste lors d'un contrôle

    Un gendarme a été tué samedi soir par un automobiliste dans l'Ariège, la piste de l'acte délibéré est privilégiée par les enquêteurs...

    Un gendarme a été tué samedi soir entre les communes d'Ussat et Tarascon-sur-Ariège, dans l'Ariège, par un automobiliste qui l'a renversé lors d'un contrôle routier, a indiqué dimanche matin la procureure de la République Lisa Bergereau.

    L'automobiliste, un délinquant connu pour des délits plutôt mineurs, a été immédiatement interpellé et placé en garde à vue. «Le véhicule a délibérément foncé sur les gendarmes», a précisé le général Bernard Clouzot, commandant de la région de gendarmerie. Le gendarme grièvement blessé a été héliporté à l'hôpital Purpan à Toulouse, où il est décédé à 5h du matin. 

    «Un acte odieux»

    Dans un communiqué, Bernard Cazeneuve, a exprimé sa très vive émotion et sa très grande tristesse après le décès de ce commandant de la brigade de gendarmerie de Tarascon-sur-Ariège, un major de 55 ans. 

    «Le conducteur du véhicule a été aussitôt interpellé et devra répondre de ses actes devant la justice, qui devra passer avec toute la fermeté nécessaire, a ajouté le le ministre de l'Intérieur. Cet acte odieux rappelle que chaque jour, les gendarmes, comme les policiers, exposent leur vie pour protéger celle des autres. Ils méritent à cet égard le respect et la gratitude de tous nos concitoyens.» Il s'agit du huitième gendarme à décéder dans l'exercice de ses fonctions en 2016, le cinquième dans la région.

    20 Minutes.


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    CHANTOUVIVELAVIE : Clip de rap montrant des mineurs couteaux à la main: le réalisateur relaxé en correctionnelle

    Exhibition de couteaux et de hachoir de boucher, glorification de l'argent facile: le tribunal correctionnel de Paris a relaxé vendredi soir un jeune réalisateur, poursuivi pour un clip de rap tourné avec des mineurs et qui était considéré comme "violent" par l'accusation.

    Le prévenu, Josué Sombo Motakasie, 19 ans, casier vierge, récemment diplômé d'un CAP d'électrotechnique, s'est fait connaître sur la toile avec un label "Vision Industry" sous lequel il a réalisé une cinquantaine de clips de rap, dont une vingtaine accessibles sur Youtube.

    La justice lui reprochait la diffusion dans un de ses clips de "messages susceptibles d'être vus par des mineurs, à caractère violent ou de nature à inciter des mineurs à se livrer à des jeux les mettant physiquement en danger", un délit passible de trois ans d'emprisonnement et de 75.000 euros d'amende.

    La procureur, Morgane Aubert, a estimé l'infraction constituée et requis "une peine d'exemplarité" de 3 mois de prison avec sursis ainsi que la confiscation du matériel audiovisuel du réalisateur. Le tribunal en a décidé autrement.

    "Que retiennent les mineurs qui voient ces images, qu'il faut exhiber des armes et avoir un discours violent pour devenir célèbre, que porter des armes est normal", a-t-elle dénoncé en établissant un lien entre l'idéologie du rap et une certaine délinquance des mineurs. "En 2016, le parquet de Paris a ouvert une trentaine de procédure pour des regroupement armés de mineurs", a-t-elle expliqué. La magistrate a indiqué qu'elle n'excluait pas de faire appel du jugement.

    En cause, un clip de 2 minutes 37, vu plus de 12.000 fois sur internet qui met en scène un groupe d'adolescents de 11 à 15 ans autour de deux leaders âgés de 14 ans.

    Mimiques, gestuelle, lunettes de soleil, casquettes à l'envers, liasses de billets et balancement syncopé, le groupe adopte les codes du genre. Certains des jeunes brandissent une batte de baseball, un pistolet et, au premier plan, un couteau Opinel. Les paroles parlent "de se faire de la monnaie sans se faire menotter" de "coups de machettes", de tarpé (pétards) ou de de 9M (arme de calibre 9 mm).

    Cette vidéo a provoqué le courroux de la principale du collège Daniel-Mayer (Paris XVIII) qui a reconnu dans les images certains jeunes de son établissement classé en zone d'éducation prioritaire et régulièrement confronté à des problèmes de violence.

    - 'Le second degré du rap' -

    Après un signalement au rectorat et une enquête du parquet, huit collégiens figurants du clip se sont vus signifier des rappels à la loi ou des mesures de réparation pénales. Restait pour l'accusation à faire juger le réalisateur.

    A la barre, Josué Sombo, visage juvénile, a expliqué qu'il s'agissait d'un jeu d'acteurs et que le rap parle toujours de grosses voitures, d'armes et d'argent, comme une figure imposée.

    Cité par la défense, un universitaire Benoît Dufau, créateur d'un séminaire sur le rap à l'Ecole normale supérieure, a expliqué les dessous d'une musique "qui joue avec le second degré".

    "Tout y est théâtralisé, mis en scène avec une gestuelle codée. On joue à faire peur et les armes ont un rôle d'accessoire", a-t-il expliqué, citant un rapeur qui expliquait écrire sur "une feuille de boucher".

    "Le rapeur assume les clichés sur les banlieues et les renvoient à la figure de ceux qui les énoncent. Ce qui est mis en scène dans ce clip, ce n'est pas la violence, il n'y a pas de sang ni de blessure, c'est une attitude, une manière de se tenir et de s'affirmer", a-t-il ajouté.

    Pour l'avocat du réalisateur, Me David Marais, la jurisprudence est claire: "pour être pénalement répréhensible, le message diffusé doit "non seulement montrer des images violentes" mais il faut que ces images "dépassent une limite acceptable". Elles doivent avoir un caractère "traumatisant pour les mineurs. Elles doivent en outre être +dénuées de tout intérêt artistique+" ce qui, a-t-il estimé, est "loin d'être le cas" dans le clip incriminé"

    Exhibition de couteaux et de hachoir de boucher, glorification de l'argent facile: le tribunal correctionnel de Paris a relaxé vendredi soir un jeune réalisateur, poursuivi pour un clip de rap tourné avec des mineurs et qui était considéré comme "violent" par l'accusation.

    Le prévenu, Josué Sombo Motakasie, 19 ans, casier vierge, récemment diplômé d'un CAP d'électrotechnique, s'est fait connaître sur la toile avec un label "Vision Industry" sous lequel il a réalisé une cinquantaine de clips de rap, dont une vingtaine accessibles sur Youtube.

    La justice lui reprochait la diffusion dans un de ses clips de "messages susceptibles d'être vus par des mineurs, à caractère violent ou de nature à inciter des mineurs à se livrer à des jeux les mettant physiquement en danger", un délit passible de trois ans d'emprisonnement et de 75.000 euros d'amende.

    La procureur, Morgane Aubert, a estimé l'infraction constituée et requis "une peine d'exemplarité" de 3 mois de prison avec sursis ainsi que la confiscation du matériel audiovisuel du réalisateur. Le tribunal en a décidé autrement.

    "Que retiennent les mineurs qui voient ces images, qu'il faut exhiber des armes et avoir un discours violent pour devenir célèbre, que porter des armes est normal", a-t-elle dénoncé en établissant un lien entre l'idéologie du rap et une certaine délinquance des mineurs. "En 2016, le parquet de Paris a ouvert une trentaine de procédure pour des regroupement armés de mineurs", a-t-elle expliqué. La magistrate a indiqué qu'elle n'excluait pas de faire appel du jugement.

    En cause, un clip de 2 minutes 37, vu plus de 12.000 fois sur internet qui met en scène un groupe d'adolescents de 11 à 15 ans autour de deux leaders âgés de 14 ans.

    Mimiques, gestuelle, lunettes de soleil, casquettes à l'envers, liasses de billets et balancement syncopé, le groupe adopte les codes du genre. Certains des jeunes brandissent une batte de baseball, un pistolet et, au premier plan, un couteau Opinel. Les paroles parlent "de se faire de la monnaie sans se faire menotter" de "coups de machettes", de tarpé (pétards) ou de de 9M (arme de calibre 9 mm).

    Cette vidéo a provoqué le courroux de la principale du collège Daniel-Mayer (Paris XVIII) qui a reconnu dans les images certains jeunes de son établissement classé en zone d'éducation prioritaire et régulièrement confronté à des problèmes de violence.

    - 'Le second degré du rap' -

    Après un signalement au rectorat et une enquête du parquet, huit collégiens figurants du clip se sont vus signifier des rappels à la loi ou des mesures de réparation pénales. Restait pour l'accusation à faire juger le réalisateur.

    A la barre, Josué Sombo, visage juvénile, a expliqué qu'il s'agissait d'un jeu d'acteurs et que le rap parle toujours de grosses voitures, d'armes et d'argent, comme une figure imposée.

    Cité par la défense, un universitaire Benoît Dufau, créateur d'un séminaire sur le rap à l'Ecole normale supérieure, a expliqué les dessous d'une musique "qui joue avec le second degré".

    "Tout y est théâtralisé, mis en scène avec une gestuelle codée. On joue à faire peur et les armes ont un rôle d'accessoire", a-t-il expliqué, citant un rapeur qui expliquait écrire sur "une feuille de boucher".

    "Le rapeur assume les clichés sur les banlieues et les renvoient à la figure de ceux qui les énoncent. Ce qui est mis en scène dans ce clip, ce n'est pas la violence, il n'y a pas de sang ni de blessure, c'est une attitude, une manière de se tenir et de s'affirmer", a-t-il ajouté.

    Pour l'avocat du réalisateur, Me David Marais, la jurisprudence est claire: "pour être pénalement répréhensible, le message diffusé doit "non seulement montrer des images violentes" mais il faut que ces images "dépassent une limite acceptable". Elles doivent avoir un caractère "traumatisant pour les mineurs. Elles doivent en outre être +dénuées de tout intérêt artistique+" ce qui, a-t-il estimé, est "loin d'être le cas" dans le clip incriminé"

    AFP

    Vraiment une justice de merde !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Mort de Fiona: le verdict est tombé

    La mère de la petite Fiona, Cécile Bourgeon, a été condamnée à 5 ans de prison, vendredi 25 novembre, par le tribunal de Riom (Puy-de-Dôme). Son ancien compagnon, Berkane Makhlouf, écope de 20 ans. L'avocat général avait requis trente ans de réclusion à l'encontre de la mère de Fiona et de son ex-concubin pour la mort de la fillette, survenue en 2013.

    Les ex-concubins, jugés depuis deux semaines par les assises du Puy-de-Dôme, avaient fait croire à un enlèvement pendant des mois, avant d'avouer la mort de la fillette de cinq ans dont le corps n'a jamais été retrouvé.

    Des questions sans réponses

    Au terme d'un procès riche en rebondissements, l'incertitude demeure sur le rôle d'une Cécile Bourgeon insaisissable et inconstante dans ses versions, et celles d'un Berkane Makhlouf parfois touchant, et qui persiste à nier les violences sur Fiona dont l'accuse son ex-concubine.

    "C'est un dossier extrêmement difficile pour l'accusation, vous n'avez pas de corps", a rappelé l'avocat général, Raphaël Sanesi de Gentile. Mais "Fiona a lourdement été victime de ce couple infernal" et "la peine doit être exemplaire", a-t-il asséné. "Ce qui m'insupporte, c'est que la vérité est là dans le box et que tout cela n'est que mensonges", a-t-il poursuivi, ajoutant que "le comportement de ce couple, le scénario macabre, la mise en scène de la disparition (...) va à l'encontre de la thèse accidentelle" soutenue par la défense.

    Si la défense n'a eu de cesse de plaider l'accident domestique, la cause de la mort de Fiona n'a pas été éclaircie, faute d'autopsie : coups, absorption de médicaments ou drogues. Même le sort réservé à la dépouille de l'enfant, enterrée en lisière d'une forêt ou jetée aux ordures, reste une énigme.

    Franceinfo

    L'avocat général avait demandé 30 ans de prison. Le verdict est un cadeau surtout pour la mère ! C'est une honte !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Aisne: une jeune femme tuée par son mari devant une crèche

    Une jeune femme de 29 ans a été tuée ce vendredi de plusieurs coups de couteau par son mari dont elle est séparée à Hirson, dans l'Aisne, devant la crèche où elle déposait un de ses enfants, explique le parquet de Laon.      

    Les faits se sont produits dans la matinée, lorsque le père de trois de ses cinq enfants a empêché la femme de fermer la porte de sa voiture, lui portant "six coups de couteau, au cou, au torse et aux cuisses", a rapporté le parquet à l'AFP.      

    La victime a pu sortir de la voiture, "mais elle est morte en se dirigeant vers la crèche", a ajouté cette même source, confirmant une information du Courrier Picard.    

      Le suspect, âgé de 51 ans, père de 12 enfants, a été interpellé par les gendarmes vendredi en début d'après-midi à Landouzy-la-Ville et a été placé en garde à vue. L'homme est déjà "connu des services de police et de la justice, car il a déjà été condamné pour des violences sur ses précédentes compagnes". Une enquête a été ouverte pour "assassinat sur conjoint".

    BFM.TV


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Hérault: ce que l'on sait du meurtre dans une maison de retraite pour religieux

    Un homme toujours en fuite et des motivations inconnues à ce stade. Plusieurs heures après le meurtre d'une employée de maison de retraite pour religieux de l'Hérault, de nombreuses questions demeurent en suspens.

    Que s'est-il passé?

    Il est un peu avant 22 heures jeudi soir, quand un individu seul et cagoulé pénètre dans la maison de retraite pour religieux de Montferrier-sur-Lez. L'homme est armé d'un couteau et d'un fusil à canon scié, selon les premiers éléments de l'enquête. Il a tué à l'arme blanche une employée après l'avoir ligotée. La victime a été retrouvée à l'extérieur du bâtiment, précise LCI.

    Une autre employée de l'établissement, elle aussi ligotée et bâillonnée, a réussi à s'enfuir et à donner l'alerte, a relaté dans la nuit de jeudi à vendredi le procureur de la République de Montpellier Christophe Barret. Aucun résident de l'établissement n'a été blessé ou malmené. Tous les pensionnaires sont indemnes.

    Qui est le meurtrier présumé?

    Ni son profil ni son identité ne sont connus. Ce vendredi matin, l'homme, activement recherché, n'était toujours pas interpellé. Des équipes du Raid et du GIGN, les unités d'élite de la police nationale et de la gendarmerie, sont sur place. L'unité spéciale de la gendarmerie déployée, le PSIG-Sabre, a méticuleusement fouillé le bâtiment, sans retrouver la trace du fuyard.

    L'enquête a été confiée à la gendarmerie nationale et au service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier.

    Lors de leurs investigations vendredi matin, les forces de l'ordre ont retrouvé une arme factice dans une voiture garée près de la maison de retraite, rapporte France Bleu Hérault. Il s'agissait d'un faux fusil mitrailleur.

    Pour le moment, toutes les pistes sont envisagées. "Nous ne connaissons pas les motifs de la personne qui a causé la mort de cette dame. Aucun élément ne permet de caractériser les motifs de cet homme", a annoncé dans la nuit le procureur de la République de Montpellier. A l'heure actuelle, il n'y a pas eu d'interpellation. L'hypothèse terroriste n'est, à ce stade, pas privilégiée, a indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête.

    L'Express


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  • Mercredi 23 novembre, vers 21 heures, au TGI de Bobigny, les effectifs du dépôt ont coupé cours à une évasion. 

    A l'énoncé de sa condamnation à de la prison ferme, un prévenu qui était jugé pour des détournements de colis postaux s'est énervé et a tenté de s'évader. Deux policiers du dépôt se sont lancés à sa poursuite, et ont tenté de l'interpeller. Tombé au sol avec le fuyard, un fonctionnaire a failli se faire voler son arme. Le second policier a mis en joue le fuyard, finalement interpellé sur le parvis par d'autres policiers arrivés en soutien.

    Les deux fonctionnaires ont été transportés a l'hôpital pour des examens.

    Le Parisien


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Brésil: six chercheurs d'or tués à l'arc par des Indiens Yanomami

    photo d'illustration qui montre des Indiens amazoniens sortis pour la première fois de la forêt amazonienne en 2014

    Une histoire digne d'un autre temps. Six chercheurs d'or sont morts après une attaque à l'arc menée par des Indiens, dans l'Etat amazonien du Roraima,au Brésil, au début du mois novembre. Les orpailleurs brésiliens exploitaient de l'or clandestinement sur des terres indigènes. Ils ont été tués à l'arc par des Indiens Yanomami, a indiqué vendredi la Fondation nationale de l'Indien (Funai).

    "Les morts nous ont été communiqués par l'Association des peuples Yanomami de Roraima Hwenama et une équipe de la Funai se prépare à se rendre sur place", a précisé un porte-parole de la Funai. Un porte-parole de la police de Boa Vista, la capitale de l'Etat de Roraima, a indiqué "ignorer les causes du conflit" survenu dans la région reculée d'Homoxi (centre-ouest du Roraima) et qu'une équipe de policiers accompagnerait la Funai, probablement le 20 novembre.

    "Nous ne connaissons pas le motif du conflit"

    Le conflit se serait produit le 1er novembre mais les décès n'ont été confirmés qu'en début de semaine. Jusque là, les chercheurs d'or étaient considérés comme "disparus". "Nous ne connaissons pas le motif du conflit parce que les Indiens du village où ont eu lieu les décès nous ont dit par radio qu'ils n'expliqueraient ce qui s'est passé que lorsque nous nous rendrons personnellement sur les lieux", a déclaré le président de l'Association des peuples Yanomami de Roraima Hwenama, Junior Hekuari, au site d'information G1. D'après lui, les corps des "garimpeiros" (orpailleurs) se trouvent dans une zone reculée de forêt vierge à quelque 16 kilomètres du village Xereu II.

    Environ 900 000 indiens de 305 ethnies vivent encore au Brésil, sur une population de 204 millions d'habitants. Les terres indigènes représentent 12% du territoire du pays, la plupart en Amazonie, mais beaucoup d'entre elles n'ont pas été délimitées et ont été occupées par des colons.

    L'Express 


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Deux Qataries braquées aux portes de Paris: au moins 5 millions d'euros de butin

    Le braquage est spectaculaire et le montant du butin colossal. Deux touristes qataries ont été braquées lundi soir sur l'autoroute A1 aux portes de Paris, selon une source policière à L'Express, confirmant une information de LCI. Elles circulaient à bord d'une Bentley conduite par un chauffeur lorsqu'elles ont été forcées à se garer par deux hommes cagoulés.

    Les braqueurs sont repartis avec leurs valises

    Les deux femmes qui venaient d'atterrir à l'aéroport du Bourget ont été malmenées, et le conducteur gazé au lacrymogène, précise à L'Express une source proche de l'enquête. Les braqueurs sont repartis avec leurs valises qui contenaient des effets d'un montant de 5 millions d'euros, notamment des bijoux, selon les premiers éléments de l'enquête. Les deux victimes doivent être entendues ce mardi après-midi par les enquêteurs de la Brigade de répression du banditisme (BRB), selon notre source.

    D'après LCI, seul le chauffeur a déposé plainte, pour le moment. Les deux agresseurs, toujours en fuite, sont activement recherchés.

    La portion de l'autoroute qui dessert les aéroports de Roissy-Charles-de-Gaulle et du Bourget est souvent le théâtre de vols à la portière, ciblant dans les embouteillages les voitures luxueuses ou les étrangers supposés transporter d'importantes sommes en liquide. En octobre, un taxi à bord duquel se trouvait Philippe Ginestet, le PDG de la solderie Gifi a été attaqué à sa sortie de l'aéroport du Bourget par trois hommes qui ont dérobé les bagages des passagers pour un préjudice estimé à 100 000 euros.

    L'Exprss

    Sont-ce des musulmans qui auraient voler des musulmanes ? (humour)

    Quelle idée de transporter autant d'argent et de bijoux !

    Cela prouve la richesse du Qatar qi pourrait bien recevoir des migrants musulmans !


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  • Dimanche 20 novembre au soir, un incendie "très important" a ravagé la Halle de la Madeleine dans le centre-ville de Nantes. Cet ancien relais de poste du 19e siècle abrite notamment la Cantine numérique, une pépinière d'entreprises et espace de co-working. "La Halle, un bâtiment de 3 étages, s'est embrasée" vers 20h30, "il n'y a pas de blessé identifié", indique la préfecture. Plusieurs dizaines d'habitants évacués par précaution.

    Selon le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis) de Loire-Atlantique, Plus de 80 sapeurs-pompiers et une trentaine de véhicules incendies étaient déployés pour circonscrire l'incendie, et 17 lances étaient à la manœuvre. Par crainte que le feu ne se propage aux bâtiments voisins - principalement des immeubles d'habitation -, il a été décidé d'évacuer une vingtaine d'appartements dans les immeubles voisins, ont indiqué les pompiers. Deux appartements ont été détruits. Le feu a été maîtrisé avant minuit.

    Selon 20 minutes, "le départ de feu est d’origine inconnue, rapporte le colonel Serge Delaunay, chef des opérations pour le Service départemental d’incendie et de secours (Sdis). Sa violence a entraîné un affaissement complet de la toiture et de la charpente en bois. C’est un incendie qui sort clairement de l’ordinaire par son intensité et le contexte urbain qui le rend difficile d’accès". D'après un témoin travaillant sur le site, les premières flammes se seraient déclarées dans un local abritant des poubelles.

     

    Mobilisation sur les réseaux sociaux

     

    Sur les réseaux sociaux, la mobilisation s’organise pour venir en aide aux entreprises victimes de l’incendie.

    L'Obs.

    Accident ou incendie volontaire ?


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Marseille: le corps d'un adolescent découvert brûlé, une balle dans la tête

    Le corps d'un adolescent a été découvert vendredi dernier par un passant, dans le 13e arrondissement de Marseille. La victime a été ligotée et en partie brûlée. L'autopsie a également révélé un impact de balle dans la tête.  Le lycéen de 15 ans a brusquement disparu, jeudi dernier, après avoir été déposé au métro par son père, à Marseille. La famille, inquiète de ne plus avoir de nouvelles, a signalé sa disparition. La brigade criminelle de la police judiciaire marseillaise est en charge de l'enquête. 

    Selon un décompte de l'AFP, il s'agit de la 32e personne tuée par balle depuis début de l'année dans le département des Bouches-du-Rhône. La plupart des ces homicides - au moins 28 d'entre eux - sont des règlements de comptes, liés au banditisme ou au trafic de drogue. Aucun mineur n'avait en revanche été abattu depuis le début de l'année à Marseille et dans ses environs. 

    BFM.TV

    Si cette exécution est liée au trafic de drogue, c'est que les trafiquants recrutent des personnes de plus en plus jeunes !

    Comment peut-on lutter contre le trafic de drogue et ouvrir des salles de shoot ?

     


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Cour d'assises	Cour d'assises	 Un accusé s'évade avant le délibéré !

    Il n'a pas eu la patience d'attendre le verdict et a faussé compagnie aux policiers. Condamné à cinq ans de prison, il s'est vu délivrer un mandat d'arrêt. 

    Il a été condamné, jeudi soir, à cinq ans de prison ferme par la cour d'assises du Loiret. Mais il n'était pas présent pour entendre la sanction, ni être incarcéré. Pierre-Charles Bosso Ndoume Vinzon, 26 ans, comparaissait libre, comme les trois autres accusés de ce procès, pour répondre du braquage commis le 12 août 2011 au bar tabac Le Cheverny à Saran.

    Au moment où la cour d'assises allait se retirer pour délibérer, le jeune homme, qui aurait normalement dû rester dans la salle d'audience sous bonne garde, est parvenu à s'enfuir.

    Lorsque plusieurs heures plus tard, la cour a rendu son verdict, il n'était pas réapparu. Considéré comme évadé, il s'est vu délivrer un mandat d'arrêt, afin qu'il exécute les cinq ans de prison ferme auxquels il a été condamné pour sa participation au braquage.

    Déjà, au premier jour du procès, l'accusé s'était fait remarquer par son absence. Il avait toutefois une bonne excuse : il se trouvait, depuis la veille, en garde dans les locaux du commissariat d'Orléans pour une toute autre affaire.

    La République du centre

    C'est ça la France d'aujourd'hui !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Morbihan : un ado de 15 ans meurt percuté par un TGV

    Un adolescent de 15 ans est mort vendredi soir après avoir été percuté par un TGV à un passage à niveau à La-Vraie-Croix, à une quinzaine de kilomètres à l'est de Vannes (Morbihan).

    Les sapeurs-pompiers du Morbihan ont été appelés peu avant 20 h 30. A leur arrivée, l'enfant, un adolescent des environs, était déjà mort. Selon France Bleu Breizh Izel, l'adolescent était sur les voies à la heuteur d'un passage à niveau lorsque l'accident s'est produit.

    Le trafic ferroviaire a été interrompu pendant trois heures. Par ailleurs, deux TGV Paris-Quimper qui devaient arriver à destination à 21 h 30 et 23 h 12 ont été retenus vendredi soir en gare de Redon où des boissons ont été distribuées aux passagers selon Ouest France. Dans le sens Lorient-Nantes, un TER avec quarante personnes à son bord a été arrêté en gare de Vannes avant une prise en charge vers 22 heures par autocars. Au total, près de 660 passagers ont été concernés et retardés par l'accident.

    Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame, a précisé la gendarmerie.

    Le Parisien

    Accident ou suicide ? Condoléances aux pauvres parents.


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Une chatte sauve in extremis la vie de son maître

    Dans la nuit de mardi à mercredi dernier, une chatte de Bourg-Argental (Loire) s’est fait l’ange gardien de son propriétaire. Sans son intervention, le presque nonagénaire y passait…

     

    Depuis le décès de son épouse, Jules, 89 ans, vit seul dans son appartement du centre-ville de Bourg-Argental avec sa chatte, Jacotte, 5 ans. Sa fille et son infirmière viennent le visiter la journée. Mais la nuit, personne n’est à ses côtés et celle de mardi à mercredi la semaine passée a bien failli lui être fatale, a rapporté Le Progrès. Le vieil homme est en effet tombé de son lit et est resté inanimé plusieurs heures sur le sol de sa chambre…

     

     

    Jacotte, la minette héroïque

    Voyant son propriétaire ainsi, le félin ne s’est posé aucune question : il est venu lui mordiller les mains et lui lécher le visage pour le ramener à lui. Reprenant ses esprits, Jules a finalement pu alerter sa fille – sur les coups d’une heure du matin - en appuyant sur le bouton de son bracelet d’assistance. Cette dernière est arrivée et a pu dépêcher l’infirmière sur les lieux qui a ensuite appelé les pompiers. «S’il était resté toute la nuit par terre, sans son chat, on l’aurait sûrement retrouvé mort au petit matin», a par ailleurs témoigné la fille du presque nonagénaire.

    Malgré une cassure du col du fémur, le vieil homme se porte bien. Et sa survie, il le sait… c’est bien à sa chatte Jacotte qu’il la doit.

    Wamiz - 15 11 2016

    Est-ce vraiment les mordillements et les léchouilles du chat qui l'ont sauvé ? Bon, on veut bien  y croire !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Gers : une agricultrice piétinée à mort par une de ses vaches

    Photo d'illustration

    Une agricultrice de 64 ans, installée dans le village depuis de nombreuse années, a été mortellement piétinée par une de ses vaches jeudi à Lussan (Gers) rapporte le journal La Dépêche du Midi.

    Selon le quotidien régional, l'accident s'est produit jeudi aux environs de midi, au lieu-dit A Sentous, sur la commune de Lussan, alors que l'éleveuse, Noëlle Aragon, guidait plusieurs de ses vaches vers la bétaillère du marchand de bestiaux. L'agricultrice a été bousculée par un de ses bêtes et a ensuite été piétinée à mort. Elle serait décédée sur le coup selon La Dépêche du Midi qui précise que les pompiers de Gimont sont arrivés rapidement sur les lieux mais n'ont pas pu ranimer la victime.

    L'émotion est grande dans le village car la victime, installée depuis 1981 à Lussan, avait pris sa retraite agricole depuis deux ans et se séparait de ses dernières vaches. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Gimont pour déterminer les circonstances exactes du drame.

    Cet accident intervient trois jours après la mort d'un autre éleveur de 94 ans à Cestas, en Gironde. Le corps de l'homme de 94 ans avait été retrouver couvert d'ecchymoses, vraisemblablement attaqué et tué par le jeune bélier agressif d'un voisin. 

    Le Parisien

    Une revanche pour ces pauvres vaches à qui on arrache leurs veaux, puis, un jour, qui finissent à l'abattoir où elles sont maltraitées avant de mourir.


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  • CHANTOUVIVELAVIE : En panne, il demande l'aide des gendarmes à bord d'une voiture volée

    Un homme tout juste sorti de prison a volé une voiture. L'histoire aurait pu s'arrêter là mais après être tombé en panne, le voleur a tout simplement décidé d'appeler les gendarmes pour obtenir de l'aide.

    Un jeune homme de 19 ans, en panne sur une aire d'autoroute dans l'Aveyron, a passé un coup de fil à la gendarmerie. Le hic, c'est qu'il se trouvait à bord d'une voiture volée. Cette histoire improbable a, en tout cas, beaucoup amusé la gendarmerie.

    "Oui, c'est ça, je suis en panne avec une voiture volée. D'accord, j'attends, je ne bouge pas, merci", peut-on lire sur l'image que la gendarmerie a partagée sur son compte officiel. (image ci-dessus)

    L'homme sortait de 18 mois de prison. Sans permis et sans voiture, ce dernier avait alors volé le véhicule de l'association, en Lozère, qui lui venait en aide pour sa réinsertion, ajoute France Bleu. "Parce qu'il y avait les clés dessus", lance-t-il dans une tentative de défense. Verdict? Trois mois de prison ferme et maintien en détention.

    BFM.TV

    Vraiment un pauvre mec, irrécupérable !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : L'Haÿ-les-Roses: elle tue son compagnon après avoir croisé une autre femme dans l'appartement

    Un homme âgé de 36 ans a été tué à l'arme blanche jeudi matin à son domicile de L'Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne), signale Le Parisien. L'auteure des faits, qui entretenait une relation intime avec la victime, s'est immédiatement rendue au commissariat pour avouer son crime.

    Selon le quotidien, la jeune femme de 27 ans aurait sonné à l'appartement de son compagnon dans la nuit de jeudi, aux alentours de 5h du matin. C'est là qu'elle serait tombée nez-à-nez avec une autre femme.

    Une dispute éclate alors, à l'issue de laquelle la jeune femme plante un couteau dans le thorax de l'élu de son cœur. Dépêchés sur place, les pompiers ont tenté de prodiguer les premiers soins à la victime. En vain: en arrêt cardio-respiratoire, l'homme décédera peu de temps après à l'hôpital du Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine).

    La question de la préméditation

    Si la jeune femme reconnaît les faits qui lui sont reprochés, reste à trancher la question de la préméditation. N'est en effet pas encore établi si elle s'est rendue au domicile de son petit-ami avec son couteau ou si elle l'a trouvé sur place. 

    La jeune femme était encore jeudi soir entendue dans les locaux de la police judiciaire du Val-de-Marne, à Créteil.

    BFM.TV


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  • CHANTOUVIVELAVIE : En prison, Jawad Bendaoud refuse de quitter sa cellule pour son procès

    Incarcéré depuis un an pour avoir logé des terroristes du 13 novembre, le jeune homme devait comparaître ce jeudi dans une autre affaire de stupéfiants. Il a refusé de quitter sa cellule.

    Les juges de Bobigny l'attendaient dans le box des prévenus pour une affaire de trafic de drogue. Mais Jawad Bendaoud, soupçonné d'avoir fourni une planque à deux djihadistes des attentats du 13 novembre, a refusé ce jeudi d'être extrait de sa cellule.

    Incarcéré à l'isolement à la maison d'arrêt de Villepinte (Seine-Saint-Denis) depuis son arrestation le 18 novembre 2015 en marge de l'assaut mené par le Raid à Saint-Denis, le jeune homme de 30 ans sera finalement jugé à Bobigny le 26 janvier prochain. Il comparaîtra pour des faits de trafic de stupéfiants en récidive, commis entre "courant septembre et le 1er décembre 2015".

    Un complice jugé en même temps

    Comparaîtra également à cette date, pour le même délit, Mohamed Soumah, soupçonné d'avoir été un intermédiaire entre la cousine du djihadiste Abdelhamid Abaaoud, qui lui cherchait un abri de repli, et Jawad Bendaoud, présenté comme un petit caïd au service de marchands de sommeil.

    Avant son interpellation, Jawad Bendaoud, déjà condamné pour homicide involontaire en 2008, s'était défendu en assurant ne pas savoir qu'il avait logé des terroristes. "On m'a demandé de rendre service, j'ai rendu service", avait-il déclaré sur une vidéo réalisée à Saint-Denis et qui a tourné en boucle sur internet et fait l'objet de multiples détournements.

    Une lettre de protestation écrite au juge

    Mais il a "lui-même [...] accueilli les terroristes le 17 novembre vers 22H45", dans un logement qui ne lui appartenait pas, contre rémunération, avait souligné le procureur de Paris, François Molins. Il "ne pouvait douter [...] qu'il prenait part en connaissance de cause à une organisation terroriste", selon le procureur.

    En mars, Jawad Bendaoud avait violemment apostrophé ses juges dans une lettre écrite depuis sa cellule. "Depuis ma sortie de prison [en septembre 2015, ndlr], je n'ai même pas préparé un repas et vous me parlez de préparer des attentats. Je n'ai rien à voir avec tout ça", y écrivait-il. "J'ai vu Abaaoud moins de dix minutes vous croyez que je suis profiler pour savoir ce qu'il a fait avant d'arriver chez moi", s'énervait-t-il, rappelant avoir "consommé de la coke et du shit en quantité" ce jour-là.

    L'Express

    Ce "Monsieur" fait comme il veut, on lui obéit, on le respecte ! C'est à mourir de rire !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Poignardée pour une histoire de coeur

    Une lycéenne de 17 ans a été poignardée mardi par une adolescente du même âge à un arrêt de bus à Soyaux, en Charente. 

    Une adolescente de 17 ans a été poignardée à coup de couteau mardi matin à Soyaux, en Charente. Transportée à l’hôpital dans un état grave, elle était hors de danger dans la soirée. 

    C’est une jeune fille du même âge qui est l’auteure du coup de couteau, raconte «Sud Ouest». Cette dernière connaissait les habitudes de sa victime et lui a tendu un piège, l’attendant à la descente du bus, accompagnée d’une complice. Elle lui a alors porté un coup à l’aisselle. La lame du couteau, d’une vingtaine de centimètres, a touché un poumon.

    Selon un camarade de la victime, l’agresseuse aurait crié en partant : «On peut y aller, y’a du sang sur le couteau», rapporte «Charente Libre». La jeune fille et sa complice ont ensuite pris la fuite. Elles ont été retrouvées grâce au téléphone portable de l’un d’elles, explique encore «Sud Ouest». Le couteau reste introuvable. Selon les dires de la complice, elle s’est chargée de le jeter dans une poubelle au hasard.

     

    En garde à vue, elle reconnaît une "intention de tuer"

     

    Les deux jeunes filles ont été placées en garde à vue et ont reconnu les faits. Selon «Sud Ouest», celle qui a porté le coup de couteau a avoué l’avoir fait «avec l'intention de tuer».

    Elle et sa victime se connaissaient et s’appréciaient. Mais les deux amies se sont déchirées à cause d’une histoire sentimentale qui a mal tourné, explique encore le journal sans donner davantage de précisions. La victime avait déjà fait l’objet de menaces et avait reçu des SMS violents de la part de sa camarade, explique «Charente Libre». L'un d'entre eux, «Je vais te percer», était tristement annonciateur.   

    Paris Match

    C'est très tendance, coup de couteau, coup de révolver comme on dit bonjour voire plus tendance car la politesse n'existe plus !


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