• J'espère que cela n'est pas grave pour on mari

    Les gendarmes de la Mayenne ont déployé un dispositif de recherches jeudi, après qu'un routier a signalé la présence d'un lion en rase campagne, rapporte France Bleu Mayenne. Selon plusieurs témoignages rapportés par nos confrères samedi 22 juillet, il s'agirait d'une lionne ou d'un jeune adulte. L'animal n’aurait pas de crinière mais serait trop grand pour être un lionceau.

     

    Des biches seraient brusquement sorties du bois

    "Un agriculteur du secteur de Vaiges nous a dit avoir vu une lionne dans un champ, explique à France Bleu Mayenne le colonel David Bièvre qui commande le groupement de gendarmerie départemental de Mayenne. Dans le même secteur, une dame nous a appelés, effrayée : elle a entendu un bruit qu’elle décrit comme un rugissement. Son chien se serait mis à hurler et des biches seraient brusquement sorties du bois en face de chez elle."

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    Aucun cirque dans les environs

    "Il n'est pas impossible que cet animal soit un NAC, les Nouveaux Animaux de Compagnie. Il a pu être importé illégalement très petit... Si tel est le cas, il faut absolument que le propriétaire nous contacte de toute urgence pour qu'on puisse mieux cibler l'animal... et éviter qu'un drame se produise", a-t-il ajouté. Il n y a aucun cirque stationné en ce moment à Mayenne et les refuges animaliers n'ont pas signalé de disparitions d'animal. Jeudi matin vers 9h30, un chauffeur routier avait contacté la brigade de gendarmerie de Vaiges, affirmant avoir vu un lion d'un mètre de haut en passant à Saint-Jean-sur-Erve, à l'est de Laval. Les gendarmes ont pris l'affaire au sérieux, et une quinzaine de militaires, assistés d'une équipe cynophile, ont été mobilisés pour une chasse au lion.

    Franceinfo


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  • Une mouvance anarcho-autonome fait parler d'elle en Rhône-Alpes

    De nombreux actes de sabotage, à chaque fois revendiqués par une mouvance anarcho-autonome, ont été perpétrés ces derniers mois en Rhône-Alpes contre des équipements publics ou privés, conduisant les autorités à ouvrir plusieurs enquêtes.

    Dernier en date : l'incendie d'une antenne relais de TDF à Saint-Laurent-sous-Coiron, en Ardèche, dans la nuit de lundi à mardi.

    Résultat, 165.000 foyers ont été privés de TNT et des antennes de Radio France et NRJ, sans compter les 40.000 usagers de SFR privés de réseau.

    Dans son communiqué, intitulé "Les communications ennemies partent en fumée", un collectif baptisé "Individualités sauvages" a expliqué s'être introduit sur le site après avoir "coupé les clôtures, forcé les portes avec pince et pied de biche" et avoir "foutu le feu avec de l'essence au matériel électronique de plusieurs locaux et antennes".

    "Il n'est pas si simple d'entrer sur nos sites, assure pourtant Amélie Zenone, directrice régionale de TDF. Ce sont des sites stratégiques donc sécurisés".

    Le site visé lundi soir est un des principaux de la région. Les dégâts sont importants et jeudi, certains foyers restaient privés de radio ou de télévision. Un retour à la normale était prévu au plus tard en milieu de semaine prochaine.

    Le parquet de Privas a ouvert une enquête et saisi la section de recherches de Grenoble. Les incendiaires "étaient très bien organisés et savaient très bien ce qu'ils faisaient", assure une source judiciaire, "ils n'ont pas visé ce site au hasard. Mais pour l'instant, on a peu de pistes".

    - "Pensée intellectuelle commune" -

    Ce n'est pas le premier acte du genre dans le secteur. Dans la nuit du 14 au 15 juin, un autre pylône de TDF, à Piegros-la-Clastre, dans la Drôme voisine, avait été visé par un incendie.

    Dans la nuit du 8 au 9 juin, c'est un local du distributeur d'électricité Enedis qui partait en fumée, à Crest, encore dans la Drôme. À chaque fois, un communiqué diffusé sur le site internet Indymedia, proche de la gauche radicale, a revendiqué l'action.

    Le parquet de Valence a lui aussi ouvert une enquête, confiée également aux gendarmes de Grenoble. La préfecture de l'Isère a elle-même été touchée par plusieurs actes de sabotage, de moindre envergure, mais toujours revendiqués.

    Le 21 mars, un local du parti Les Républicains était saccagé en centre-ville, pour lutter contre "les sentinelles de l'ordre marchand". Le 23 mars, sept véhicules étaient incendiés, dont trois du centre communal d'action social (CCAS) de Grenoble, accusé de "cogérer la misère".

    Cinq jours plus tard, c'est la Métropole de Grenoble qui était visée avec sept véhicules brûlés. Cette fois-ci, le communiqué revendiquait cette action au nom de la lutte contre les "sites de stockage et d'exploitation de la ressource humaine".

    Le 11 avril, 185 composteurs du réseau de tramway ont été dégradés, avant que 11 véhicules d'Enedis ne soient incendiés, le 30 mai, au nom de la lutte contre "un des mille avatars de l'infrastructure capitaliste".

    La Police judiciaire et la Sûreté départementale ont été chargées d'enquêter. En mai, une source proche du dossier faisait part de son "inquiétude" face à "ce type d'actions ciblées", une nouveauté à Grenoble.

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    Pour l'instant, un rapprochement des dossiers n'est pas à l'ordre du jour. "On a peut-être une pensée intellectuelle commune" chez les auteurs de tous ces délits, concède à l'AFP une source proche de l'enquête. "Ils sont peut-être issus d'une mouvance commune mais chacun enquête de son côté pour le moment", complète le parquet de Valence.

    AFP


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    Au volant à 14 ans, l'ado sème la police à 130 km/h

    L'adolescent a percuté une voiture de policiers municipaux près de Libourne (Gironde) avant de prendre la fuite.

    Il a cumulé les infractions au Code de la route sans avoir l'âge de posséder le permis de conduire. Un adolescent de 14 ans s'est distingué la semaine dernière, près de Libourne (Gironde), par une conduite particulièrement dangereuse, rapporte «Sud Ouest» ce mardi. 

    Le 11 juillet, au volant d'une Clio, il commence par percuter une voiture de police municipale sur la commune de Vayres. Refusant de se faire contrôler, il prend la fuite et file à 130 km/h. Les policiers renoncent à le poursuivre. 

    Ce chauffard précoce a finalement été interpellé à une dizaine de kilomètres plus au sud, à Nérigean. Gardé à vue, il devra répondre en justice de conduite sans assurance, sans permis, délit de fuite après accident et mise en danger d’autrui.

    Le Parisien


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  • Béziers : un jeune pompier poignardé après la cérémonie du 14 juillet

    Un jeune pompier volontaire de la caserne de Saint-Pons-de-Thomière, âgé de 23 ans, a été blessé d'un coup de couteau, à la fin de la fête du 14 Juillet, dans la nuit de vendredi à samedi, selon une information du Midi Libre. L'auteur présumé, un mineur, s'est enfui après ce coup de couteau qui n'a touché aucun organe vital.

    La victime devrait sortir ce dimanche du centre hospitalier de Béziers où il a été transporté après l'incident. Suite à l'enquête lancée par les gendarmes de la compagnie de Béziers, ces derniers ont retrouvé le mineur, auteur présumé de l'attaque. Il a été placé en garde à vue.

    Le Parisien


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  • Privé de nourriture et battu, un berger allemand dévore sa maîtresse

    Liliane, une habitante de Nevers de 57 ans, a été tuée par son berger allemand, rapporte "Le Journal du Centre".

    L'animal se serait vengé. Privé de nourriture et battu, un berger allemand a dévoré sa maîtresse à Nevers (Nièvre), rapporte mardi 4 juillet Le Journal du Centre. Le corps de cette dernière a été retrouvé au début du mois par son mari, avec des blessures à l'aine et la jambe en partie déchiquetée.

     

    "Elle les tabassait"

    Selon le quotidien local, les enquêteurs privilégient la thèse selon laquelle Liliane aurait été attaquée par Cyra, son berger allemand, avant de succomber à une hémorragie provoquée par le sectionnement de l'artère fémorale. Peu après la mort de sa maîtresse, l'animal aurait en effet vomi un mélange de sang et de vêtements.

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    Cet accès de violence trouverait sa source dans les mauvais traitements subis par les deux chiens du couple. "Elle les tabassait", reconnaît le mari de la victime. Le quotidien local précise que Liliane était connue pour ses excès de boisson et les deux canidés n'avaient plus de croquettes à manger au moment du drame. En attendant une décision sur leur sort, les chiens ont été placés à la fourrière départementale.

    Franceinfo

    Justice plus expéditive que les tribunaux !

    Espérons que les chiens ne soient pas euthanasiés. L'autre chien semble innocent.


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  • Val-d'Oise : la main coincée dans l’escalator, un enfant est amputé de plusieurs doigts

    Ce samedi 1er juillet 2017 restera à jamais gravé dans la mémoire de Fethia. Le jour où son fils haut comme trois pommes, âgé d’un an et demi à peine, s’est coincé la main gauche dans un escalator, sous ses yeux, impuissante. Ce mardi, le petit Yahya est sorti de l’hôpital Robert-Debré, spécialisé en chirurgie orthopédique de l’enfant et de l’adolescent, amputé de son annulaire et de son majeur ainsi que d’une partie de son petit doigt.

    Il est 20 h 30, samedi, au centre commercial des 3 Fontaines à Cergy. Fethia finit ses emplettes, profite des soldes pour acheter des vêtements en vue de la rentrée scolaire. Elle est avec sa fille, son fils et des amies. À la fin de la journée, elle laisse son fils jouer en attendant le prochain bus pour Saint-Ouen-l’Aumône. Il court autour des écrans à poissons situés au rez-de-chaussée juste derrière l’escalator, il essaye d’attraper les petites bestioles, il touche à tout, elle le reprend finalement voyant qu’il s’écarte un peu trop.

    «Je pensais qu’il était mort»

    Elle s’installe sur le fauteuil avec lui, une amie lui dit de le laisser jouer autour d’elles. Elle le relâche. «Et là, je le vois courir vers l’escalator, je le suis mais c’est trop tard, il se prend la main dedans, je parviens à lui retirer la main, il est blessé au petit doigt, je me dis encore ça va, ce n’est pas trop grave», raconte la maman dans un souffle, la voix tremblante et les larmes aux yeux. Mais l’escalator change soudainement de sens. La main du petit est happée à nouveau. «J’ai fait tout ce que j’ai pu pour le tirer vers moi, je l’ai pris par les pieds, j’entendais ses os craquer, le sang partout… Ça faisait tchik tchik tchik, je criais pour que la machine stoppe mais ça ne s’arrêtait pas». Et puis, c’est le trou noir. Fethia perd connaissance. Quand elle reprend ses esprits, sa fille est en pleurs à côté d’elle.

    Elle voit un drap blanc sur son fils : «Je pensais qu’il était mort», se souvient-elle. Et puis, un secouriste tente de la rassurer. Son fils est bien vivant mais il est toujours coincé. «La machine était arrêtée mais sa main était toujours dedans».

    Un témoin raconte la scène insupportable : «Le petit criait, il y avait tellement de gens autour de lui, je ne voyais que ses pieds, ça a duré tellement de temps que je suis parti tellement c’était difficile à entendre», raconte-t-il. Arrivés à 21 h 10, les pompiers ont fini par le sortir en un peu moins de trente minutes, une éternité pour l’entourage. Il est directement conduit à l’hôpital spécialisé. «On ne dort plus depuis même la petite est sous le choc et moi aussi», témoigne à son tour le papa.

    Une commission de sécurité était passée en juin LP/M.Len.

    Ce mardi matin, l’escalator où a eu lieu l’accident était déjà en cours de réparation. De quoi étonner un membre de la famille de Yahya venu constater sur place les circonstances du drame accompagné de Fouad Ben Ahmed. Ce membre du collectif «plus sans ascenseur» luttant contre les pannes et problèmes de sécurité s’étonne. «Ils interviennent sans faire venir d’abord un expert indépendant en laissant les choses en l’état pour constater si oui ou non il y avait une défaillance», remarque-t-il. «Car s’il manquait un peigne (stries des escaliers, NDLR) dans l’escalator, l’enfant peut facilement mettre les doigts dedans», poursuit-il.

    Mais la direction assure qu’aucun problème particulier de sécurité n’a été constaté. «De toute façon, une enquête est diligentée par la police, nous leur avons fourni tous les documents réglementaires, notamment le rapport annuel effectué par un organisme agréé n’attestant d’ailleurs pas d’une non-conformité», explique Karl Tailleux, directeur du centre commercial. Il ajoute qu’une commission de sécurité diligentée par la préfecture est passée en juin dernier comme elle le fait tous les trois ans.

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    Le Paisien

     


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  • Suède: le plus grand festival de musique annulé après plusieurs viols

    Les organisateurs du plus grand festival de musique en Suède ont annulé l'édition 2018 après une série de viols et d'autres agressions sexuelles commis ce week-end et l'an dernier, des actes qualifiés de "répugnants" par le Premier ministre.

    "Certains hommes, car ce sont des hommes, ne peuvent manifestement pas se comporter correctement. C'est une honte. C'est pourquoi nous avons décidé de ne pas rééditer Bråvalla en 2018", ont fait savoir dans un communiqué les organisateurs du festival de Bråvalla qui s'est déroulé du 28 juin au 1er juillet près de Norrköping (sud-est).

    Une vingtaine de plaintes pour viols et agressions sexuelles

    La police locale a déclaré lundi à l'AFP avoir reçu quatre plaintes pour viol et 23 plaintes pour d'autres agressions sexuelles. Selon le responsable de l'enquête Martin Hedberg, aucun suspect n'avait été identifié lundi.

    "De nombreuses plaintes nous sont parvenues après les faits et nous n'avons que de vagues signalements", a-t-il expliqué.

    L'édition 2016, déjà émaillée d'incidents

    L'édition 2016 avait également été marquée par des agressions sexuelles qui, selon les organisateurs, peuvent expliquer la relative désaffection du public cette année : 45.000 billets ont été vendus contre 52.000 l'an dernier.

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    Une vague d'agressions imputées à de jeunes migrants en marge de plusieurs festivals de musique suédois en 2014 et 2015 avait suscité un vif débat politique avant la clôture de la plupart des enquêtes faute d'éléments matériels.

     


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  • Hauts-de-Seine : le cadavre de son fils était enroulé dans le tapis depuis plus d'un an

    Le cadavre découvert mardi dans un appartement d'un immeuble cossu de Neuilly-sur-Seine est celui du fils du locataire algérien de 65 ans, désormais soupçonné du meurtre. 

    Le locataire endetté de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) cachait de très lourds secrets. Depuis un an et demi, il vivait dans son deux-pièces rez-de-jardin avec le… corps de son fils, qu’il a très vraisemblablement tué à la fin de l’année 2015. Sans que personne ne s’inquiète de la disparition de l’adolescent. Ni à l’école, ni dans sa famille.

    Dissimulée derrière les murs et la lourde porte de ce petit appartement d’un immeuble chic du quartier Bagatelle, l’horreur n’a pas filtré. L’odeur du corps en décomposition non plus, ou si peu que les voisins ne se sont pas alarmés. Tout juste a-t-on senti une mauvaise odeur dans la salle de bains du premier étage pendant une courte période. Le père, un homme de 65 ans qui se présentait toujours comme un homme important, distingué mais pas très avenant, que l’on croisait chaque jour dans le hall de l’immeuble ou dans le quartier, est clairement soupçonné du meurtre. Le parquet de Nanterre vient d’ouvrir une information judiciaire contre lui pour homicide volontaire.

    Il ne voulait pas l’autoriser à fêter la Saint-Sylvestre avec des copains

    Jeud, en fin de journée, il a été interrogé en garde à vue à l’hôpital, où il est soigné pour des blessures qu’il s’est lui-même infligées en se poignardant l’abdomen. Et même s’il ne reconnaît pas avoir tué son fils, qui n’avait que 14 ans et demi, il admet «une dispute», selon un proche du dossier. Le père ne voulait pas l’autoriser à fêter la Saint-Sylvestre avec ses copains. La dispute a dégénéré en bagarre, a encore reconnu le père. Il affirme n’avoir aucun souvenir de ce qu’il s’est passé avant de réaliser la mort de son enfant. Toujours selon ses dires, la sidération l’a figé au point qu’il n’a rien fait. Pas d’appel aux secours, ni à la police. Le corps est resté là, dans l’appartement, dans un couloir menant à la chambre de l’adolescent. Le père a fermé la porte du couloir, le cadavre s’est décomposé au fil des mois, dans un tapis enroulé.

    Le sexagénaire aurait pu garder son secret encore longtemps. Mais voilà, il ne payait plus son loyer depuis bientôt deux ans et la propriétaire a fini par obtenir son expulsion. Mardi, l’huissier s’est présenté chez lui. Acculé, il a saisi un couteau pour s’éventrer. Une fois la porte ouverte, l’huissier, accompagné d’un serrurier et de la police, ont vu le sang au sol. Puis, dans l’appartement, c’est le corps putréfié qu’ils ont découvert. «Asséché, presque momifié», détaille un proche de l’affaire. D’après les résultats de l’autopsie, des blessures mortelles à l’arme blanche apparaissent sur ce qu’il reste de peau, dans le dos et sur l’avant du corps.

    Dans le cadre de l’information judiciaire, une expertise psy devrait être ordonnée. La personnalité de cet Algérien, au vague passé de diplomate, trouble. «C’est un intellectuel, quelqu’un qui a eu des fonctions importantes, décrit une connaissance. Mais il n’est pas facile, très fier.» «Très secret», abonde un voisin du quartier avec lequel il discutait régulièrement. De son histoire, on sait que son épouse est décédée au début de l’année 2015. Quelques mois plus tard, il a cessé de payer son loyer. L’agence de conseil en communication qu’il avait montée en Algérie, tout en habitant Neuilly, il y a une dizaine d’années, n’était visiblement pas lucrative. Pas plus que sa société française enregistrée à Neuilly.

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    Le sexagénaire n’a pas été mis en examen car vendredi, il n’était plus en état d’être interrogé. La suite des investigations est suspendue à son état de santé.

    Le Parisien

     


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  • Allemagne: un enfant de 5 ans tué à coups de couteau dans un foyer de migrants

    Un enfant de cinq ans a été tué à coups de couteau par un Afghan qui a ensuite été abattu par la police dans un foyer de migrants dans le sud-est de l'Allemagne, ont annoncé dans la nuit de samedi à dimanche la police et le Parquet.

    L'assaillant de 41 ans a également blessé la mère de l'enfant, de nationalité russe, selon le communiqué commun qui ne précise pas la nationalité de l'enfant tué.

    Un enfant de six ans, qui a assisté à la scène, était également sous le choc et a été conduit à l'hôpital.

    La police a expliqué ne pas connaître pour le moment les raisons de ce drame, qui a débuté par une dispute samedi dans ce foyer de demandeurs d'asile à Arnschwang, près de la frontière avec la République tchèque.

    L'Allemagne a accueilli en 2015 et 2016 plus d'un million de demandeurs d'asile, dont beaucoup venus de Syrie et d'Afghanistan.

    AFP


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  • Hautes-Pyrénées: Il passe la nuit au bord de l’Adour après la chute de sa sœur et de son chien

    Ils se souviendront longtemps de cette nuit en pleine nature. Vendredi matin, un homme de 24 ans et sa sœur de 29 ans ont été secourus par les pompiers après avoir passé la nuit au bord de la rivière Adour, suite à la chute accidentelle de sa sœur ainsi que son chien, rapporte La Nouvelle République des Pyrénées.

    Secourue par son frère

    Ces deux habitants d’Odos, dans les Hautes-Pyrénées, étaient venus jeudi soir en bord de la rivière pour passer du bon temps. Pendant que l’homme pêchait, sa sœur et son chien se promenaient au bord de l’eau. L’animal est alors tombé dans les eaux tumultueuses du torrent, gonflées par les orages de ces derniers jours. Entraîné dans la chute, la jeune femme a cependant réussi à attraper une branche.

    Son frère a traversé la rivière pour lui porter secours, ainsi qu’à son chien. Fort d’une mauvaise expérience antérieure, le jeune homme a préféré attendre le lendemain matin pour prévenir les secours, craignant de ne pas reconnaître son chemin à la tombée de la nuit.

    Vendredi matin, c’est une quinzaine de pompiers et six spécialistes du groupement de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux qui sont intervenus au bord de la rivière pour secourir les promeneurs malheureux. Grâce à une tyrolienne, le frère, la sœur et leur animal ont rejoint la terre ferme sains et saufs.

    20 Minutes

     


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  • Interpellé après avoir roulé à 225 km/h dans la voiture d’un enfant de 11 ans

    Ce fou du volant ne perdra pas ses points de permis, grâce à une astuce que peu de personnes connaissent.

     

    Un jeune homme pris au volant à 225 km/h

    Vendredi 28 avril dernier, un jeune Parisien de 21 ans était interpellé entre Laon et Soissons, en Picardie, au volant d'une Audi TT, à 225 km/h, sur la Nationale 2. Une vitesse pour le moins excessive, quand on sait que les limitations sur ce tronçon oscillent entre 90 km/h et 110 km/h. Lors des premiers contrôles, la police réalise bien vite que la voiture est enregistrée au nom du petit frère du conducteur, âgé de 11 ans.

    Une pratique tout à fait légale, mais que peu d'automobilistes connaissent. Il n'existe en effet aucune loi qui interdise d'inscrire comme propriétaire de la voiture un mineur, qui n'est pas titulaire du permis de conduire. C'est d'ailleurs une pratique assez courante quand un adulte fait don de son véhicule à ses enfants, ou petits-enfants.

     

    Il ne paiera que l'amende, sans retrait de permis

    Pour ce faire, il suffit d'effectuer une demande de carte grise à la préfecture au nom d'un enfant, en la faisant signer par l'un des deux parents, ou par le tuteur légal. C'est le signataire de la demande qui devra par ailleurs aller déposer le dossier de demande au guichet, et attester sur l'honneur que le futur titulaire vit bien sous son toit.

    En cas d'infraction, c'est donc l'enfant qui recevra la contravention. Ce dernier n'aura qu'à affirmer qu'il ne conduisait pas la voiture au moment des faits, sans toutefois dénoncer le conducteur. In fine, ce dernier ne perdra pas ses points, mais devra tout de même s'acquitter de l'amende. Ce qui, dans cette affaire, devrait arriver au jeune homme au volant de l'Audi TT.

    Turbo.fr

    Cette pratique devrait être interdite !


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  • Argelès-sur-Mer : deux adolescentes violées et laissées pour mortes

    Deux adolescentes de 14 et 16 ans ont été violées et laissées pour mortes, et leurs agresseurs présumés ont été interpellés et mis en examen, rapporte le quotidien régional L'Indépendant jeudi. 

    Les deux adolescentes ont été hospitalisées

    Une adolescente a été prise en charge par une patrouille qui l'a trouvée errant sur le bord de la route, avec du sang sur le visage, lundi soir, aux alentours de 22h30. Grâce à son témoignage, les agents ont pu retrouver une autre adolescente, laissée pour morte. Les deux jeunes filles, dont l'une d'elle a subi un enfoncement du visage et a dû être opérée, ont été hospitalisées à Perpignan, relate L'Indépendant. L’une des deux victimes aurait eu un rendez-vous avec l'un des agresseurs.

    Mises en examen

    Deux suspects, dont un mineur, ont ensuite été rapidement interpellés par les forces de l'ordre. Le second suspect serait défavorablement connu des services de police et sortirait de prison, selon L'Indépendant. Les deux hommes ont été mis en examen mercredi pour "viols et violences". Le majeur a été écroué et un mandat de dépôt a été déposé contre le second.

    Europe 1 

    Les deux hommes, c'est vague, des noms !


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  • Deux morts dans une fusillade à Avignon

    Deux hommes ont été abattus de plusieurs balles de gros calibre dans la nuit de mercredi à jeudi à Avignon, dans le Vaucluse, a-t-on appris de source policière. La piste d'un règlement de comptes est privilégiée par les enquêteurs.

     

    Les victimes, âgées d'une trentaine d'années, ont été tuées dans une épicerie de nuit du centre-ville, peu avant 01h00.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, une moto s'est présentée au niveau d'une épicerie de nuit située dans le centre-ville peu avant 1h00 et un ou plusieurs tireurs ont fait feu sur deux hommes qui se trouvaient a priori à l'intérieur, a indiqué le parquet d'Avignon, confirmant une information du quotidien La Provence.

    Les deux hommes étaient au sol à l'arrivée des secours, touchés par une arme de «gros calibre» à la tête pour le premier, selon les secours et dans le dos pour le second d'après les constations du médecin légiste.

    Les deux victimes étaient connues de la justice, a indiqué le parquet, qui ignorait jeudi matin si d'autres personnes se trouvaient dans l'épicerie au moment des faits.

    «Il y a des témoins de la fin de la scène qui voient la moto repartir et entendent des choses, mais des témoins directs de la scène, on n'en a pas pour l'instant», a précisé le magistrat de permanence.

    20 Minutes.ch


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  • Pascal Darmon, l'ancien président du Football club de Rouen, poignardé en plein centre-ville de Rouen

    Pascal Darmon (à droite) avait succedé à René Bertin à la présidence du FCR en 2005 © Maxppp - B. Maslard

    L'ancien président du FC Rouen, Pascal Darmon, a été poignardé mardi en plein centre-ville de Rouen. Il n'a pas survécu. Son agresseur a été interpellé par les policiers. Le drame s'est déroulé dans le commerce de Pascal Darmon "Le Sens des Vins", rue Alsace-Lorraine.

     

    La victime a reçu plusieurs coups de couteau. Son meurtrier présumé s'est retranché dans un immeuble voisin après le drame survenu vers 18h15. Un impressionnant dispositif policier a aussitôt été déployé dans ce quartier de la rue de la République. Il s'agit d'une des artères les plus commerçantes de la ville.

    Certains témoins affolés ont d'abord évoqué une fusillade, mais aucun coup de feu n'aurait été tiré. Le suspect a été arrêté par la police et placé en garde à vue. Selon nos sources , une arme de poing aurait été retrouvé sur lui. On ne connait pas pour l'instant le mobile de ce meurtre. L'homme vivait à proximité de la boutique de vin de Pascal Darmon.

    Sept ans à la tête du FC Rouen

    Pascal Darmon, 55 ans, avait été président du Football club de Rouen de 2005 à 2012. Le club de football évoluait alors en National, la troisième division française. Il visait la montée en Ligue 2. Mais la gestion trouble de Pascal Darmon lui avait valu une mise en examen pour abus de biens sociaux. Il avait toujours clamé son innocence. Le club a été rétrogradé en Division d'Honneur à cause des mauvais comptes.

    Sur son compte Twitter, l'ancienne ministre des sports et ex maire socialiste de Rouen Valérie Fourneyron exprime son immense tristesse en apprenant la mort de Pascal Darmon

    France bleu Normandie

    Maintenant, on règle tout au couteau !


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  • USA : Il se promène avec la tête de sa mère dans ses affaires

    Un homme arrêté après avoir poignardé l’employé d’une épicerie américaine dimanche transportait avec lui une tête humaine. 

    Une scène profondément choquante. Dimanche, un homme a été arrêté après avoir poignardé l’employé d’une épicerie d’Estacada, dans l’Oregon. Ce sont des témoins qui ont appelé les secours après avoir aperçu le suspect couvert de sang, indique CBS.

    D’après ces riverains cités par la chaîne américaine, il était armé d’un couteau et semblait transporter une tête humaine. Les faits se sont produits vers 14 heures 30, lorsque l’homme a pénétré dans le magasin et a attaqué l’employé. Ce dernier a été transporté en hélicoptère à l’hôpital, grièvement blessé. Selon le rapport de la police, le suspect se trouvait dans un état catatonique lorsque les secours sont arrivés.

    Le chagrin du père

    La tête que transportait Joshua Webb, âgé de 36 ans, était celle de sa mère de 59 ans, Tina Marie Webb. Elle aurait été tuée le jour de la fête des mères, célébrée dimanche dernier aux Etats-Unis. Le suspect a été hospitalisé avant d’être écroué lundi pour meurtre et tentative de meurtre. «Je n’arrive pas à croire que j’ai perdu ma femme et mon fils en une journée… Je ne comprends pas. J’aimerais avoir des réponses, mais ce n’est pas le cas. J’ai attendu toute ma vie pour prendre ma retraite avec ma femme et maintenant, je ne peux pas, c’est tout ce que je sais», a commenté à AP le père du suspect.

    Il a également expliqué que son fils vivait avec ses parents à cause de problèmes de vue. Mais d’après sa mère, le garçon était également dépressif et avait besoin d’aide. 

    ParisMatch

    L'humanité est de plus en plus malade


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  • Gard : il égorge sa compagne et s'endort au côté de la victime

    Le meurtrier présumé, âgé d'une cinquantaine d'années, aurait avoué les faits mardi soir au cours de sa garde à vue.

     

    Une femme de 31 ans a été retrouvée morte dans la nuit de lundi à mardi dans son appartement d'Alès. Elle présentait plusieurs coups de couteau, dont un à l'abdomen et deux à la gorge. Son compagnon est soupçonné d'être l'auteur du meurtre, rapporte Midi Libre ce mercredi matin. 

    Ce sont les pompiers qui ont découvert le corps sans vie de la jeune femme. Ils avaient été prévenus par des voisins pour une importante fuite d'eau qui coulait sous la porte de l'appartement du rez-de-chaussée. En jetant un oeil à l'intérieur, les pompiers ont aperçu un couple allongé sur un lit. 
     

    Il inonde l'appartement en nettoyant les traces de sang

    Ivre, le compagnon de la victime, âgé d'une cinquantaine d'années, se serait assoupi auprès du corps de la jeune femme. Mais il aurait d'abord entrepris de nettoyer l'appartement à grandes eaux pour effacer toutes les traces de sang. Ce qui aurait provoqué le début d'inondation signalé par les voisins. 

    Le compagnon, qui souffrait de blessures aux mains comme le précise Objectif Gard, a été placé en cellule de dégrisement puis en garde à vue. Il aurait reconnu les faits mardi soir. L'enquête a été confiée au pôle criminel de Nîmes. 

    Une autopsie devrait être menée ce mercredi pour définir quelle blessure a entraîné la mort de la jeune femme. 

    Le Parisien


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  • Italie : chasse à l'homme pour retrouver «Igor le Russe», ex-soldat «entraîné pour tuer»

    L'homme est soupçonné d'avoir tué deux personnes en une semaine dans le nord-est de l'Italie. Son ancienne avocate dit de lui qu'il est une machine à tuer.

    Le portrait qu'en ont fait les médias italiens est terrifiant : «entraîné pour tuer», sans pitié, capable d'attaquer avec un arc et des flèches... Son nom : «Igor le Russe». Son statut : en cavale. Les forces de l'ordre italiennes ont lancé samedi soir une vaste chasse à l'homme pour mettre la main sur ce criminel soupçonné d'avoir commis au moins deux meurtres en une semaine dans le nord-est du pays.

    Les recherches ont duré toute la nuit et se poursuivaient dimanche avec la participation de nombreux policiers et carabiniers et membres des forces spéciales dans une zone à l'est de Bologne, en Emilie-Romagne, précisent les médias de la péninsule.

    Le criminel présumé d'une quarantaine d'années, Igor Vaclavic surnommé «Igor le Russe» par les médias, est peut-être russe, mais vient peut-être aussi de l'ex-Yougoslavie. Il a utilisé de nombreux faux noms ces dernières années en Italie où il a été arrêté à plusieurs reprises, selon les journaux.

    Un barman et un policier tués

    Il est soupçonné d'avoir tué il y a huit jours un barman qui a tenté de s'opposer à une attaque à main armée dans la petite localité de Budrio, près de Bologne.

    Les forces de l'ordre le soupçonnent également d'avoir tué samedi soir un volontaire de la police locale et d'avoir grièvement blessé un autre au cours d'un banal contrôle d'identité. Il aurait abandonné alors le véhicule sur lequel il se trouvait pour se lancer à pied dans une zone marécageuse et boisée où se trouverait son abri.

    Attaques aux flèches

    Igor Vaclavic a une plusieurs autres surnoms, «le ninja», en raison de plusieurs attaques avec un arc et des flèches qui lui sont attribuées alors qu'il avait le visage cachée par un bonnet noir, ou «le loup solitaire». Selon les médias ce serait un ex-militaire, «un soldat entraîné pour tuer», écrit «La Repubblica». «Il n'a pas besoin d'armes, lui-même est une arme», a déclaré son ex-avocate, Stefania Smanio, citée par le journal.

    Le Parisien

    Alors, ouvrez l'œil !


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  • Rennes. Deux enfants de 3 ans s’échappent du centre de loisirs et prennent le métro

    Mercredi vers 16 h, à Rennes, deux enfants de trois ans ont échappé à la vigilance des animateurs du centre de loisirs Pascal Lafaye. Ils ont marché jusqu’à la station de métro Triangle avant d’entrer dans une rame. C’est une autre mère de famille qui les a repérés fortuitement deux stations plus loin.

     

    Mercredi 29 mars, vers 16 h, deux bambins, une fille et un garçon, âgés de trois ans, ont échappé à la vigilance des animateurs du centre de loisirs Pascal Lafaye, boulevard du Portugal, dans le quartier du Blosne, à Rennes.

    Deux stations de métro

    Ils ont marché sur plus de 800 mètres avant de descendre à l’intérieur de la station de métro Italie et de monter à bord d'une rame. « C’est une autre maman dont le fils fréquente le même centre de loisirs qui les a aperçus et qui les a récupérés deux stations plus loin, vers 17 h » raconte un peu sonnée la mère de la fillette.

    La police pas alertée

    L’assistante maternelle avait eu la surprise de ne pas apercevoir l’enfant qu’elle venait récupérer au centre comme tous les jours, à 16 h 15. « J’ai été sidérée de ne pas avoir été alertée et que personne n’ait appelé la police », confie la mère de famille. « On n’a même pas dit à la nounou que les enfants avaient disparu ! »

    C’est en rentrant du bureau que la jeune femme a appris que sa fille s’était échappée avec un camarade. « Il était déjà 18 h. Je n’en revenais pas, j’étais vraiment sous le choc. »

    « Une défaillance inacceptable »

    Dans un communiqué, la Ville de Rennes confirme que les deux enfants ont échappé à la vigilance des encadrants « entre le moment du goûter et de la récréation alors que le groupe d’enfants traversait à ce moment-là l’espace public, sur quelques mètres, entre l’espace goûter et l’espace de récréation ».

    « Cette défaillance est inacceptable. Une enquête interne a été ouverte afin de faire toute la lumière sur ce dysfonctionnement et prendre dans les plus brefs délais les mesures nécessaires pour qu’un tel incident ne puisse se reproduire ».

    Une rencontre vendredi

    Les deux familles seront reçues ce vendredi 31 mars par Lénaïc Briéro, adjointe à l’éducation, accompagnée des directrices du service enfance et du centre de loisirs.

    « Je me réserve le droit de porter plainte après cet entretien. C’est grave ce qui est arrivé », n’en revient toujours pas la maman de la petite fille.

    Ouest-France


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