• Une personne a été tuée lors d’une fusillade ce vendredi 6 décembre sur la base aéronavale américaine de Pensacola, en Floride, a indiqué la marine américaine, qui a confirmé que le tireur était également mort.

     

    « Le tireur est décédé. Une mort supplémentaire a été confirmée. Un nombre inconnu de personnes blessées ont été transférées dans des hôpitaux », a annoncé la Navy américaine.

    « Le bureau du shérif du comté d’Escambia peut confirmer qu’il n’y a plus de tireur en action sur la base aéronavale de Pensacola. La mort du tireur est confirmée », a pour sa part écrit la police locale sur Facebook.

    Au moins 5 blessés

    Selon un bilan diffusé par l’antenne locale de la chaîne ABC et par CNN, cinq personnes ont été blessées.

    La Navy américaine a indiqué sur son compte Twitter que la base avait été placée en état de confinement.

    Cette fusillade rapportée intervient deux jours après qu’un marin américain a tué deux personnes par balle et en a blessé une troisième sur le chantier naval de la base militaire de Pearl Harbor, à Hawaï, avant de se suicider.

    Plusieurs bases militaires américaines ont été endeuillées ces dernières années par des soldats pris par des coups de folie meurtriers.

    L'OBS


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  • L’unique tort de sa femme ce jour-là a été de passer l’aspirateur dans leur voiture. Lundi, un homme de 62 ans a été interpellé vers 14 heures à Saint-Priest, près de Lyon, pour des violences conjugales. Le suspect, qui avait bu au moment des faits, est accusé d’avoir jeté six jardinières sur sa femme depuis le balcon de leur villa.

    Placé en garde à vue, le sexagénaire a reconnu s’être énervé contre son épouse car elle faisait trop de bruit à son goût en passant l’aspirateur, indique ce mercredi la police lyonnaise. Il a ajouté qu’il n’avait pas l’intention de la toucher.

    Présenté au parquet

    La femme, qui n’a pas été atteinte pas les bacs à fleurs et n’a donc pas été blessée, a assuré aux enquêteurs que son mari lui faisait régulièrement subir des violences.

    Le suspect, qui avait bu cinq à six verres de vin le matin des faits, doit être déféré au parquet de Lyon ce mercredi, ajoute la sûreté départementale.

    20 Minutes

    En voilà une que l'on risque de retrouver morte un de ces jours !


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  • Quatre jeunes auraient profité de l’occasion pour partir au volant sa voiture

    Elle a dû détourner le regard un instant pour décharger sa voiture. Un court moment qui a suffi aux malfaiteurs. Dans la nuit de mardi à mercredi, une jeune femme de 29 ans s’est fait voler sa voiture avenue de Pressensé à Vénissieux, près de Lyon, alors qu’elle était en train de vider ses affaires du coffre de son véhicule.

     

    Selon la police, quatre jeunes hommes, des sans-abri âgés de 16 à 29 ans, auraient alors pris la fuite au volant, suivis par une patrouille qui venait de les repérer. Après avoir multiplié les infractions sur la route, le conducteur a fini par perdre le contrôle du véhicule et s’est encastré dans un poteau.

    En état d’ivresse

    Les quatre hommes ont été interpellés. Le plus vieux d’entre eux, au volant du véhicule volé, était en état d’ivresse au moment de l’arrestation, selon la police. L’homme, connu de la justice, aurait reconnu les faits. Il doit être présenté au parquet de Lyon ce vendredi.

    Ses trois copains, qui ont nié avoir dérobé la voiture, ont été laissés libres, précise la sûreté départementale.

    20 Minutes

    Elle avait laissé ses clés ?


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  • Deux garçons de 15 ans ont été interpellés deux semaines après un important incendie dans la cathédrale d’Eauze, dans le Gers. La bêtise d’ado prend le pas sur la piste sataniste

    Vade retro satanas. La piste sataniste, un temps évoquée après l’important incendie qui a dégradé la cathédrale d' Eauze, dans le Gers, a du plomb dans l’aile. Deux semaines après le sinistre, France Bleu Occitanie affirme que deux adolescents de 15 ans viennent d’être placés en garde à vue.

    Les deux jeunes suspects, originaires des environs et inconnus des services de police, auraient avoué leur participation aux faits.

    Des joints et des cierges

    Selon le récit qu’ils ont fait aux enquêteurs, ils sont rentrés dans la cathédrale Saint-Luperc d’Eauze pour s’abriter du froid et fumer quelques joints. Ils ont soigné le cadre, posant une bougie allumée sur la tête d’une statue de la Vierge et en disposant d’autres autour d’un crucifix. Puis ils sont repartis, en oubliant de souffler les cierges.

    Le parquet d’Auch a confirmé à France Bleu que l’inscription « Satan est plus fort que Dieu » retrouvée sur une porte condamnée de la cathédrale est antérieure à l’incendie.

    D’après Michel Gabas, le maire de la commune de 3.900 âmes, les dégâts à l’intérieur de l’édifice s’élèvent à 150.000 euros.

    20 Minutes


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  • Les deux jeunes suspects ont menacé avec un tournevis un employé d'un hôtel situé aux Tourrettes (Drôme)

    Deux jeunes Drômois se sont trouvés au mauvais endroit, au mauvais moment, jeudi en début de soirée. D’après Le Dauphiné Libéré, une fille de 16 ans et un garçon de 17 ans auraient en effet voulu braquer vers 19 heures un hôtel situé aux Tourrettes (Drôme). Munis d’un tournevis, ils auraient menacé un employé puis auraient récupéré le contenu de la caisse de l’établissement.

    Au moment de repartir avec quelques centaines d’euros, le tandem s’est heurté à un problème de taille : des CRS logeaient dans cet hôtel. L’un des suspects a immédiatement été interpellé par ces clients particuliers, et le second a été arrêté peu après par des gendarmes. Les deux adolescents ont été placés en garde à vue.

    20 Minutes


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  • Cet homme de 57 ans a été mis en examen pour assassinats. Le fils de l’une des victimes, jusque-là mis en cause, a été remis en liberté.

    Coup de théâtre dans l’affaire du double meurtre de Montauban (Tarn-et-Garonne). Alors que le fils d’une des victimes et petit ami de l’autre était jusque-là suspecté, un homme de 57 ans a été mis en examen pour assassinats et écroué, a annoncé ce jeudi le procureur de la République Laurent Czernik, dans un communiqué, confirmant des informations de La Dépêche du Midi.

     

    Le 14 novembre dernier, Élodie Gayrard, 38 ans, et sa belle-fille Laura, 18 ans, avaient été retrouvées mortes dans une maison de Montauban. La première gisait au rez-de-chaussée et présentait une plaie par arme à feu au niveau du cou, ainsi que de nombreuses plaies par coups de couteau. Le corps de la jeune femme était au premier étage, tuée par balle.

    C’est Mehdi, le fils d’Élodie et petit ami de Laura, lui-même blessé par arme à feu à la main, qui avait donné l’alerte vers 4h du matin. Il avait prévenu les voisins, affirmant qu’une tierce personne s’était introduite dans la maison, qu’elle avait tué sa mère et qu’elle « était » à ce moment-là avec sa petite amie.

    3000 euros de retard de loyer

    Interpellé mardi, l’homme de 57 ans, déjà entendu une fois, a reconnu mercredi en garde à vue avoir tué les deux femmes. Le quinquagénaire, qui possède une vingtaine de biens immobiliers dans la ville, se serait rendu chez sa locataire dans la nuit du 13 au 14 novembre pour récupérer 3000 euros de loyers impayés.

    Équipé d’un fusil à « canons juxtaposés » et de « brouilleurs de portable », il « avait pris soin de charger deux cartouches et d’en prendre trois supplémentaires », a précisé le procureur de Montauban dans un communiqué. En garde à vue, le suspect a expliqué que « la conversation avait dégénéré et qu’il s’était battu avec le fils de la victime ».

    « Lors de l’affrontement, deux coups de feu étaient partis, blessant mortellement les deux femmes. Pour l’heure, ses aveux » n’expliquent pas « les nombreux coups d’arme blanche reçus par » la mère, selon le procureur.

    Vers une « démise en examen » du fils

    Plusieurs éléments ont permis de confondre le propriétaire. Son téléphone portable « était éteint la nuit des faits » et « une paire de lunettes supportant son ADN ainsi que celle de la plus jeune des victimes était retrouvée dans la chambre du jeune couple ».

    De plus, « deux objets identifiés comme étant des antennes de brouilleurs de smartphones » ont été découverts « dans cette chambre ». Lors des perquisitions, « trois autres antennes de brouilleurs issues de la même boîte » ont été retrouvées à son domicile. Enfin, « des prélèvements très rapidement analysés » ont permis « d’identifier des traces de sang du mineur et de sa petite amie victime sur le volant du véhicule du mis en cause », selon le procureur.

    Le parquet va maintenant étudier « la rédaction de réquisitions supplétives en vue de la mise en examen du propriétaire pour tentative d’assassinat sur le mineur », a ajouté le magistrat. Les investigations vont se poursuivre pour « définir le plus précisément possible » le déroulement des faits.

    Mehdi, qui avait été mis en examen pour meurtre sur ascendant et sur concubin et écroué quelques heures après le drame, a été remis en liberté mercredi. Le juge d’instruction va « envisager » sa « démise en examen », a précisé Laurent Czernik.

    Le Parisien


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  • Plusieurs hommes ont tenté de brûler vive une jeune femme de 23 ans dans le district de Unnao en Uttar Pradesh. Victime d’un viol, elle se rendait au tribunal.

    Après avoir été violée, cette Indienne de 23 ans espérait sans doute obtenir justice. Mais au petit matin sur le chemin du tribunal, alors qu’elle marche aux abords de son village de l’Uttar Pradesh, cinq hommes l’aspergent d’essence pour la brûler vive.

    La jeune femme devra ensuite parcourir près d’un kilomètre criant à l’aide, avant qu’un homme ne l’aperçoive et appelle les secours. La jeune femme se trouve actuellement dans un état critique. Parmi ses agresseurs, elle parvient à reconnaître les deux hommes qu’elle accuse de l’avoir violée.

    Au mois de mars 2019, elle avait eu le courage de porter plainte contre eux. Pour la police, les accusés ont donc cherché à se venger en mettant le feu à cette jeune femme. L’un d’eux venait tout juste d’être libéré sous caution. Cette terrible agression intervient alors que le pays est encore sous le choc après le meurtre et le viol, la semaine dernière, d’une vétérinaire de 27 ans, à Hyderabad dans le sud du pays.

    De nombreuses manifestations avaient alors été organisées travers tout le pays réclamant plus de justice et plus de sécurité pour les femmes. Selon les statistiques officielles, plus de 33 000 viols ont été recensés dans le pays en 2017. Des chiffres bien deçà de la réalité.

    RFI

    Un pays de sauvages !

    Les quatre suspects du viol qui a révulsé le pays abattus par la police !

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/faits-divers/inde-les-quatre-suspects-du-viol-qui-a-r%c3%a9vuls%c3%a9-le-pays-abattus-par-la-police/ar-BBXQ5UL?li=AAaCKnE&ocid=PerDHP


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  • Pour récupérer leur nièce en Sibérie, un couple de Parisiens implore Poutine et Macron

    C’est, pour eux, l’appel de la dernière chance. Barbara et Pierre Sion-Caggini espèrent profiter de la présence en France de Vladimir Poutine, le 9 décembre pour un sommet sur la situation en Ukraine, pour alerter le Président russe et Emmanuel Macron sur la situation de leur nièce, Christina.

    Cette fillette de 9 ans vit actuellement en Sibérie auprès de ses grands-parents maternels depuis que sa mère, Dina Sysoeva, a tué son mari, Christophe Sion, un Français expatrié en Russie. « Nous sommes revenus très inquiets de notre dernier séjour en octobre. Christina est en grande détresse, elle est prostrée. Ses grands-parents lui lavent le cerveau », indique le couple de Parisiens qui souhaite adopter la fillette. Le mois dernier, ils ont déjà adressé un courrier aux deux chefs d’Etat pour plaider leur cause.

     

    L’histoire de Christina s’inscrit dans un enchaînement tragique. Son père, Christophe Sion, gestionnaire de patrimoine fortuné, s’installe à Saint-Pétersbourg à la fin des années 2000. En 2008, via Internet, il fait la connaissance de Dina Sysoeva, une jeune Russe de 30 ans qui a travaillé dans la communication. Leur fille voit le jour un an plus tard. Barbara, la sœur de Christophe Sion, devient sa marraine.

    Mi-août 2013, alors âgé de 51 ans, l’entrepreneur français cesse brusquement de donner des nouvelles. Son épouse est également injoignable. Mais le 16 octobre 2013, Barbara et Pierre Sion-Caggini reçoivent enfin un appel de la jeune femme qui leur explique que son mari a dû partir en urgence au Luxembourg. Sauf qu’en réalité ce déplacement n’a jamais eu lieu. Ils apprennent également que le couple a explosé, la jeune Russe entretenant une relation avec un autre Français.

    Le grand-père maternel complice de l’assassinat

    En Russie, la police poursuit ses investigations. Les enquêteurs s’aperçoivent que Dina a récupéré 100 000 euros sur les comptes de son mari grâce à une procuration falsifiée. La jeune Russe est placée en détention provisoire. En novembre 2014, la perquisition réalisée dans l’appartement du couple est déterminante. Une importante trace de sang appartenant à Christophe est découverte sous le plancher. Trois mois plus tard, son corps est découvert démembré et partiellement calciné dans une forêt à 300 km au sud de Saint-Pétersbourg. Le père de Dina avoue avoir aidé sa fille à se débarrasser du corps, en le démembrant et brûlant les restes.

    Le 25 avril 2016, Dina Sysoeva est condamnée à onze ans de prison pour assassinat et escroquerie. Son père, lui, n’est pas poursuivi. Quant à Christina, sa garde est confiée à sa grand-mère maternelle qui vit avec son mari en Sibérie orientale. Et, alors qu’elle avait été déchue de ses droits parentaux après sa condamnation, la mère de la fillette est rétablie dans ses droits en appel en novembre dernier.

    Pour récupérer leur nièce en Sibérie, un couple de Parisiens implore Poutine et Macron

    Christophe Sion, ici avec sa fille Christina, a été assassiné en 2013. La fillette vit actuellement en Sibérie avec ses grands-parents maternels./DR

    « Nous n’avons pas la possibilité de faire un pourvoi contre cette décision, regrettent l’oncle et la tante de la fillette. C’est pourquoi nous demandons au Président Poutine d’intervenir. Nous faisons pleinement confiance au système judiciaire russe mais il y a manifestement un dysfonctionnement localisé, en Sibérie orientale, à Khabarovsk. » « Vous avez le pouvoir de faire cesser le kidnapping légalisé par lequel notre nièce Christina est aux mains d’un petit groupe qui soutient l’assassin de son père et la maintient en grande détresse psychologique », écrivent-ils dans le courrier qu’ils ont déjà adressé au président russe.

    La Garde des Sceaux est intervenue en début d’année

    Le 29 novembre, Barbara et Pierre ont reçu une lettre de l’Elysée. « Je puis vous assurer qu’il a été pris connaissance avec la meilleure attention de la situation que vous évoquez, avant de la signaler à Madame la garde des Sceaux, ministre de la Justice, ainsi qu’à Monsieur le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, afin qu’ils fassent procéder à un examen approfondi du dossier », leur indique le chef de cabinet d’Emmanuel Macron. Le couple a néanmoins appris que la Garde des Sceaux était déjà intervenue au début de l’année auprès de l’ambassadeur de Russie en France, malheureusement sans succès. Les autorités consulaires françaises en Russie sont pleinement impliquées dans ce dossier. « Mais pour que les choses avancent, il est urgent que les présidents s’impliquent en personne », estiment Barbara et Pierre.

    La priorité de ce couple de Parisiens, lui médecin à la retraite, elle infirmière, est donc d’adopter l’enfant. « Mes clients s’inquiètent également de la manière dont le patrimoine de Christophe Sion est géré, précise leur avocat Me Nicolas Graftieaux. Ils veulent s’assurer que l’argent de son père profitera bien à Christina. » Des démarches judiciaires sont en cours sur ce volet financier en Russie.

    Le Parisien


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  • Une femme de 55 ans a été tuée par son mari de 61 ans dans la nuit du 25 au 26 novembre dernier à La Chataigneraie, en Vendée, a-t-on appris jeudi auprès du parquet de La-Roche-sur-Yon.

    «L'homme a tué son épouse avec un fusil de chasse avant de se donner la mort et il a lui-même été retrouvé avec le fusil de chasse à la main. Il n'y avait aucune trace de violence au domicile», a déclaré à l'AFP la procureure Emmanuelle Lepessier. «Les résultats de l'autopsie ont confirmé ces éléments», a précisé la magistrate.

    Le 118e féminicide de l’année selon le décompte de l'AFP

    Aucun courrier n'a jusqu'à présent été découvert permettant d'éclairer les faits. «L'homme n'était pas connu des services de police ou de gendarmerie ni de la justice et son épouse non plus», a-t-on indiqué de même source, ajoutant, que l'épouse «n'avait jamais déposé plainte».

    Depuis le début de l'année 2019, en incluant ce meurtre, au moins 118 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-conjoint, selon un décompte et une étude au cas par cas menés par l'AFP. Chaque année, plus de 210.000 femmes sont victimes de violences physiques ou sexuelles de la part de leur conjoint.

    20 Minutes


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  • - La victime a été retrouvée inanimée au bord d'une route, mercredi soir

    Elle n’a pas survécu à ses blessures. Une femme de 34 ans, retrouvée inanimée par des passants sur une route de Loire-Atlantique mercredi soir, est décédée quelques instants plus tard, rapporte le journal Ouest-France. La victime est une mère de famille habitant à Corsept. Selon les résultats de l’autopsie pratiquée jeudi, elle aurait été percutée par une voiture. Plus précisément celle de son mari, qui porte des traces de l’accident, a indiqué le procureur.

    Cet homme a été interpellé et placé en garde à vue jeudi « dans le cadre d’une enquête pour homicide volontaire ». Les cinq enfants du couple, âgés de 5 à 13 ans, ont été placés. « Une procédure d’assistance éducative était déjà ouverte au cabinet d’un juge car la famille était en grande précarité », indique France Bleu Loire Océan. L’enquête se poursuit.

    20 Minutes


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  • Les gendarmes de l’Hérault ont lancé un appel à témoins, après la découverte d’un corps, mardi, sur l’autoroute A709, au niveau de Montpellier.​ Un quadragénaire a été retrouvé sans vie, sur la bande d'arrêt d'urgence, près d'une bretelle d'accès.

    Selon les gendarmes, qui ont ouvert une enquête, c’est un poids lourd qui aurait percuté, aux alentours de 5h40, mardi, le piéton, qui était « allongé sur la voie de circulation ».

    L’homme, âgé d’une quarantaine d’années, était dépourvu de tout papier d’identité permettant de l’identifier. Il a les cheveux courts et une grosse barbe poivre et sel, les yeux marron. Il était vêtu d’un jean bleu, d’une veste bordeau, d’un sweat-shirt noir et de chaussures beiges. Toute personne ayant des renseignements permettant de faire progresser les investigations est invitée à contacter les gendarmes au 04.99.02.25.80.

    20 Minutes


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  • Le corps d'une jeune femme de 36 ans a été retrouvé dix mois après sa mort.

    Macabre découverte pour les pompiers de Loire-Atlantique mardi après-midi. Appelés vers 16h45 pour une fuite d’eau dans un immeuble du quartier Chêne des Anglais, au nord de Nantes, les soldats du feu décident de déployer la grande échelle et de briser une vitre afin d’accéder à un appartement du sixième étage. Une résidente du cinquième étage estimait en effet que la fuite provenait du logement situé au-dessus d’elle.

    Une fois à l’intérieur, les pompiers découvrent alors le corps d’une personne momifiée par le temps, en position couchée, sur un lit. Un courrier trouvé juste à côté laisse à penser que la victime était décédée depuis le 15 février 2019 !

    L’autopsie, réalisée ce mercredi, a démontré que la défunte avait trouvé la mort à la suite d’une intoxication volontaire médicamenteuse, rapporte la police. Elle était âgée de 36 ans. Sa lettre justifiait son suicide par le décès de sa mère survenu le 11 février.

    20 Minutes


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  • Les corps sans vie d'un père et de ses deux enfants, un garçon et une fille, ont été découverts mercredi matin à Landerneau (Finistère) devant le siège d'une association qui s'occupe notamment d'enfants handicapés, où l'un des deux était scolarisé.

    "Le corps d'un père et de ses deux enfants, deux faux jumeaux, un garçon et une fille âgés de 11 ans, ont été retrouvés vers 08H00 ce matin" près de bâtiments de l'association Don Bosco dont dépend l'IME (Institut médico-éducatif) "où la jeune fille, qui souffre d'un handicap psychique, était scolarisée", a déclaré à l'AFP le commandant du groupement de la gendarmerie du Finistère, le colonel Nicolas Duvinage. 

    "La piste privilégiée est que le monsieur, dont le corps a été retrouvé pendu à l'extérieur, près des bâtiments de l'association, aurait tué ses deux enfants avant de se suicider", a-t-il précisé, ajoutant qu'une lettre avait été retrouvée à son domicile brestois annonçant son intention de mettre fin à ses jours. 

    La mère, qui vit à Brest, a elle été retrouvée saine et sauve à son domicile. Le couple était séparé depuis 2011.

    Contacté par l'AFP, le parquet de Brest a indiqué que le garçon avait été étranglé et que la fille présentait une plaie au niveau de la gorge. Il est "plus que probable" que les enfants aient été tués au domicile du père, un sous-marinier à la retraite de 57 ans, selon la même source. Leurs corps ont été retrouvés par les pompiers près d'une voiture devant le siège de l'association, sur les hauteurs de la ville.  

    Dans la lettre qu'il a laissée, le père "en voulait à tous les services, estimant qu'il n'était pas assez consulté sur le suivi de ses enfants", a précisé le parquet. "La maman, qui avait la garde des enfants, avait saisi le juge aux affaires familiales parce que la garde ne se passait pas très bien. Ce dernier avait ordonné en octobre une expertise médico-psychologique du père", a ajouté le parquet. 

    La mère des enfants avait porté plainte en juin pour des menaces de morts sur les enfants, mais l'infraction n'avait pas été caractérisée, a en outre indiqué la même source. 

    - "Sous le choc" -

    "Tout le monde est un peu sous le choc", a déclaré sur les lieux du drame Michel Jézéquel, directeur général de Don Bosco. "Nous avions fait un signalement au procureur il y a deux mois parce que le père nous inquiétait. Il avait des réactions un peu compliquées. Il exprimait sa souffrance avec beaucoup de difficultés, du coup les équipes étaient un peu en difficulté pour l'accompagner", a ajouté M. Jézéquel, précisant que la petite fille était "lourdement handicapée" et que son père "pensait que la maman avait plus d'informations que lui sur la situation de sa fille, ce qui n'était pas le cas".

    "Je crois qu'il avait de grosses difficultés financières. Pourquoi il a fait ça ici, je ne sais pas", a poursuivi le directeur général de l'association.

    L'enquête judiciaire a été confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Landerneau. Les techniciens en investigation criminelle de la gendarmerie de Quimper ont été mobilisés pour enquêter sur la scène de crime et la section de recherches de la gendarmerie de Rennes a été appelée en renfort. 

    Au total, 25 militaires sont engagés, a précisé sur place le commandant de gendarmerie de Landerneau Vincent Roret.

    "C'est une famille brestoise que je ne connaissais pas, il y avait un problème de garde", a réagi le maire de Landerneau Patrick Leclerc, qui s'est rendu sur place et a vu le corps des enfants emmitouflé dans une couverture. 

     

    L'association Don Bosco intervient dans les services aux personnes handicapées et aux personnes âgées. Elle est aussi très active dans la protection de l'enfance et l'insertion professionnelle et sociale. Elle emploie près de 1.000 salariés, principalement dans le Finistère.

    Orange 

    Encore un cas traité à la légère !

    Pas besoin de 25 militaires maintenant !


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  • Malaise autour d'un gendarme vu sur les lieux

    Le compagnon de la femme retrouvée morte en forêt le 16 novembre dit avoir croisé un militaire près du lieu du drame. Celui-ci dément, mais la gendarmerie a été dessaisie de l'enquête.

    Plus de deux semaines après le décès effroyable d'une jeune femme dans une forêt du nord de la France, les circonstances du drame restent floues. Les résultats des analyses ADN de Curtis, l'american staff de la victime, et des 62 chiens ayant participé à la chasse à courre ce jour-là n'ont pas encore été communiqués. Quant à Curtis, il fait toujours l'objet d'un examen comportemental. En attendant ces résultats potentiellement cruciaux, le malaise s'installe dans les rangs de la gendarmerie de l'Aisne.

    Dans un témoignage accordé au «Parisien», Christophe, le compagnon d'Elisa Pilarski, a raconté que la première personne qu'il avait croisée en volant au secours de sa compagne était un «cavalier». Selon lui, il s'agissait d'un certain Jean-Charles Metras, qui n'est autre que le commandant du Groupement de Gendarmerie de l'Aisne, qui participait à la chasse à courre au sein du Rallye de la passion. Ces allégations ont poussé le procureur en charge du dossier à dessaisir la gendarmerie de l'enquête.

    Il dément avoir croisé le compagnon d'Elisa

    Interrogé par le journal «L'Essor», le principal intéressé explique qu'il comprend cette décision. Mais il assure que le compagnon d'Elisa se trompe: il n'était pas à cheval ce jour-là dans la forêt. Le commandant assure en effet qu'il ne faisait «pas partie de l'équipage du rallye de la passion». Invité «à titre personnel», il affirme qu'il suivait la chasse à courre à pied et en voiture avec sa femme et ses enfants. Il assure par ailleurs n'avoir eu connaissance du drame qu'à la fin de journée, au moment de quitter les lieux, et n'avoir pas croisé le compagnon de la victime. 

    Jean-Charles Metras ajoute que c'est son adjoint qui a géré le dispositif des premières constatations après la découverte du corps d'Elisa. Le militaire a par la suite été entendu comme témoin. Il refuse de dire si les chiens des chasseurs ont attaqué la jeune femme de 29 ans et se borne à indiquer qu'il préfère attendre les «communications officielles». La société de Vénerie – qui regroupe les associations de chasse à courre françaises – continue de démentir fermement toute implication des chiens de chasse, soulignant qu'aucun n'a été mordu.

     

    Le compagnon d'Elisa, lui, montre du doigt les chasseurs: «Pour moi c'est la chasse à courre, les chiens sortaient de ce précipice, Curtis a reçu beaucoup de morsures à la tête», avait-il témoigné quelques jours après le drame. La jeune femme de 29 ans et son bébé à naître ont été enterrés samedi à Rébenacq, dans les Pyrénées-Atlantiques.

    20 Minutes 


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  • Deux femmes et le vigile d’une boutique du centre-ville de Toulouse ont été interpellés après un vol de vêtements

    Deux femmes ont été interpellées lundi vers 14h30, rue Saint-Rome à Toulouse. Elles sortaient d’un magasin de cette artère commerciale du centre-ville toulousain avec 500 euros de vêtements volés, cachés dans une poussette. Le vigile, censé surveiller la boutique, les a accompagnées au commissariat, escorté par des policiers.

    Le gérant des lieux, ainsi que le supérieur de l’agent de sécurité, employé d’une société privée, ont en effet constaté que cet homme de 52 ans avait volontairement laissé filer le duo de complices. Déjà connu des services de police, le quinquagénaire a reconnu les faits en garde à vue, tout comme les deux femmes de 32 et 45 ans. Tous trois ont été laissés libres, en attendant leur comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (ou plaider-coupable).

    20 Minutes


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  • Le corps d’une patiente âgée de 66 ans a été découvert mardi matin dans un jardin de l’hôpital Simone-Veil où elle était hospitalisée.

    Une patiente de l’hôpital Simone Veil de Troyes (Aube) a été retrouvée morte, dans un jardin du centre hospitalier, mardi matin. Cette femme de 66 ans serait morte de froid selon le parquet de Troyes, rapporte l’Est Eclair. Selon le quotidien régional, la patiente a été découverte aux alentours de 8 heures sur une pelouse située derrière l’hôpital.

    Les premiers éléments de l’enquête indiquent que cette femme était sortie dans la nuit du bâtiment où elle était hospitalisée. Elle avait été vue pour la dernière fois dans sa chambre vers 2 h 30 par des personnes de l’équipe soignante. Sa disparition a par la suite été constatée vers 6 heures, lors d’un nouveau passage du personnel soignant.

    La patiente, suivie pour une maladie grave dans le service oncologie-hématologie du centre hospitalier, pouvait se déplacer librement. « En dehors des prises en charge médicales et paramédicales nécessaires, la patiente ne justifiait pas de surveillance particulière » précise le centre hospitalier. Le Samu de l’hôpital n’a pu que constater son décès lorsque son corps a été découvert.

    Le parquet de Troyes déclare mardi soir qu’il s’agit selon toute vraisemblance d’une mort naturelle par hypothermie en raison des températures très basses enregistrées au cours de la nuit de lundi à mardi. Une autopsie va être pratiquée pour déterminer les causes exactes de la mort.

    Le Parisien


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  • Un cadavre a été découvert près de Rouen par un automobiliste, ce lundi, révèle France 3 Normandie. Il s’agit de celui d’une femme de 57 ans, qui a été trouvé près de la forêt de Roumare, non loin de la petite commune de Quevillon ( Seine-Maritime). Pour l’instant, l’origine de sa mort est encore inconnue.

    Le corps de la victime a été retrouvé à côté de sa voiture. Des « traces suspectes » ont été détectées sur elle, relaye Paris-Normandie. Une substitut du parquet, la cellule d’identification criminelle ainsi qu’un médecin légiste ont par ailleurs été dépêchés sur place. Une enquête a été ouverte pour rechercher les causes et les circonstances de son décès, précise la chaîne de télévision régionale.

    L’examen du corps prévu dans la semaine

    Les premières constatations n’ont pas permis de diriger l’enquête vers une éventuelle piste criminelle. La victime était connue pour avoir des tendances suicidaires et les traces présentes sur son corps pourraient correspondre à une opération chirurgicale récemment faite. Elle pourrait être une habitante de Canteleu, qui se situe à une dizaine de l’endroit où elle a été découverte, ajoute France 3 Normandie.

    Son corps n’a pas été examiné pour l’instant. Il devrait l’être dans la semaine, rapporte Paris-Normandie.

    20 Minutes


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  • Russie : Deux sœurs jugées pour le meurtre de leur père

     Angelina Khachaturyan, l'une des trois sœurs parricides bientôt jugée en Russie.

    Cette affaire est devenue un symbole des violences domestiques en Russie, ces sœurs ayant subi de multiples violences pendant des années

    En Russie, deux sœurs vont être jugées pour le meurtre de leur père, après des années de sévices. Les conclusions des enquêteurs, rendues ce mardi, leur reconnaissant néanmoins des circonstances atténuantes.

    L’affaire des trois sœurs, a secoué la Russie l’an passé, sur fond de violences domestiques, un fléau souvent impuni dans le pays. Krestina, Angelina et Maria Khatchatourian ont tué de multiples coups de couteau et de marteau leur père Mikhaïl à Moscou en juillet 2018. Elles étaient alors âgées respectivement de 19, 18 et 17 ans.

    Douleurs « physiques et psychiques »

    « Il a été établi que le mobile du crime des accusées étaient des griefs personnels dus aux douleurs physiques et psychiques infligées par le père à ses filles pendant longtemps, ce que l’enquête considère comme des circonstances atténuantes », écrit le Comité d’enquête de Russie, en charge des investigations jugées les plus importantes.

     

    Le Comité a demandé que deux des trois sœurs, Krestina et Angelina, soient jugées pour « meurtre commis en groupe avec préméditation », crime passible de 20 ans de prison. L’avocate d’Angelina Khatchatourian, Mari Davtian, a dénoncé cette décision, estimant « qu’il y a plus qu’assez de preuves établissant qu’elles ont agi en situation de légitime défense ». Concernant la benjamine, Maria, mineure au moment des faits, le Comité a demandé au parquet d’ordonner « une obligation de soins médicaux ». Il n’a pas précisé la nature de ces mesures.

     

    Des sévices dénoncés à de multiples reprises dans l’indifférence

    Les sœurs Khatchatourian ont été battues "pratiquement tous les jours" par leur père, qui les agressait sexuellement de manière régulière et sur lesquelles il lui arrivait de tirer avec un pistolet à air comprimé, a expliqué à l’AFP leur avocat, Alexeï Liptser. Après une tentative de suicide en 2016 de Krestina, l’aînée, et un incident au cours duquel leur père avait utilisé contre elles du gaz lacrymogène, les trois sœurs se sont convaincues que "si elles n’agissaient pas, l’une d’elles allait mourir", selon leur avocat. Une fois leur père endormi, elles l’ont lardé de dizaines de coups de couteaux.

    Cette affaire avait fait d’autant plus de bruit en Russie que peu avant, en 2017, les violences domestiques, hors cas de récidive et de blessures graves, avaient été largement décriminalisées. Le cas des sœurs était emblématique de l’indifférence des autorités dans ce type d’affaires : des voisins et des proches avaient à plusieurs reprises alerté la police, sans résultat, des sévices infligés par le père à ses filles. Depuis, les milieux associatifs et certains élus se battent pour que la Russie se dote d’une législation ayant trait spécifiquement aux violences dans l’intimité familiale.

    Une proposition de loi a été rendue publique la semaine passée, mais son adoption reste hypothétique. D’autant que d’influents dignitaires de l’Eglise orthodoxe se sont prononcés contre, et 200 organisations, religieuses notamment, ont adressé une pétition au président Vladimir Poutine pour qu’il bloque de telles mesures.

    20 Minutes

    Mais pourquoi l'Eglise orthodoxe et 200 organisations religieuses sont contre cette proposition de loi ? Peut-être ont-ils des "choses" à se reprocher !!!


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  • En quelques mois, l'un des détenus du centre de détention d'Argentan, dans l'Orne, a réussi a avoir une emprise psychologique totale sur une surveillante pénitentiaire, au point de la téléguider jour et nuit via une oreillette et de lui faire quitter son mari, selon une information de Ouest France. Ils ont été jugés en comparution immédiate ce lundi au tribunal correctionnel d'Argentan.

     

    Un algérien de 37 ans a commencé par lui exprimer des marques d'affection. Comme le détenu avait des tâches d'auxiliaire, ils se voyaient tous les jours, et la surveillante serait tombée amoureuse. A travers des pressions et de la manipulation, il parvient à lui faire déposer une demande de divorce et quitter son mari, à se convertir à l'islam, à se teindre les cheveux, et à arrêter la consommation du porc pour elle et ses enfants.

    Son avocate explique qu'elle vivait "en permanence téléguidée", et n'arrivait pas à enlever l'oreillette, incapable de sortir de cette emprise. Selon Ouest France, la femme affirme avoir tenté d'envoyer des signaux d'alarme à ses collègues, ainsi qu'à la psychologue de la prison.

    Déjà condamné pour des agressions sexuelles et un viol

    D'après nos confrères, le détenu est même parvenu à lui faire enfreindre les règles strictes du centre de détention, alors que la surveillante a 17 années d'expérience dans le métier, à Fleury-Mérogis puis à Argentan. Elle a ainsi fait rentrer trois cartes SIM, cinq téléphones portable, et a transporté 4.000 euros à Paris, pour le compte du détenu.

    Lors du procès, si le détenu a reconnu les faits, a affirmé regretter et s'est excusé, le procureur explique qu'il n'en était pas à sa première tentative, et aurait déjà tenté de convertir d'autres femmes en prison. Il aurait déjà été condamné pour plusieurs agressions sexuelles et un viol. La surveillante de prison écope de six mois de prison ferme avec mandat de dépôt, tandis que le détenu a été condamné à deux ans de prison, avec mandat de dépôt et maintien en détention.

    BFM.TV

    Marrant, surprenant, ils ont écrit la nationalité du détenu  happy


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