• Au terme de plus d’un an d’enquête, six individus ont été mis en examen dont cinq qui ont été placés en détention provisoire. La police a effectué des saisis qui représentent plus d’un million d’euros.

    C’est l’attitude et le niveau de vie d’un homme âgé de 37 ans, surnommé le « Chinois », qui est à l’origine d’une enquête ouverte pour trafic de stupéfiants, en mars 2019. Ce dernier roulait en voiture de luxe, notamment avec une Lamborghini Huracan, portait des montres et des effets de grandes valeurs. Il possédait également un appartement et un bateau a précisé le parquet.

    Les enquêteurs du Groupe d’intervention régional (GIR) de Rennes, en charge de la partie blanchiment des investigations, ont confirmé le niveau de vie important du suspect, pourtant sans emploi.

     

    Les policiers de la sûreté départementale du Morbihan, co-saisi dans le reste du dossier avec ceux de l’antenne de l’office anti-stupéfiant (OFAST) et ceux de la direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Rennes, ont observé les activités du suspect principal durant des mois et ont identifié d’autres individus, notamment par l’intermédiaire d’un travail de téléphonie, dans le cadre d’une commission rogatoire.

    La cocaïne était vendue à Lorient et ses alentours

    Les premières semaines de surveillance ont montré que le trentenaire était à la tête d’un réseau de trafic de stupéfiants, essentiellement de cocaïne, et qu’il était en contact avec des trafiquants en région parisienne. La drogue était écoulée à Lorient et ses alentours indique une source proche de l’enquête.

    Une information judiciaire a été ouverte en septembre 2019 contre X des chefs d’« acquisition, détention, transport, offre ou cession non autorisés de stupéfiants », et « usage, non-justification de ressources, blanchiment, association de malfaiteurs ».

    Disposant de suffisamment d’éléments pour mettre en cause les suspects, les enquêteurs ont décidé de procéder à des interpellations. Ils ont appris que le chef du réseau devait recevoir une livraison de cocaïne à son domicile ce dimanche 7 juin, et ont mis en place un dispositif pour arrêter les suspects.

    Deux hommes venant de la région parisienne

    Les deux dealers originaires de la région parisienne, âgés de 35 et 21 ans, sont arrivés à bord de leur Renault Clio chez le suspect, à Lorient. Une fois la transaction réalisée, les policiers ont procédé à plusieurs interpellations. Les deux livreurs, déjà connus des services de police, ont été arrêtés. Le suspect principal, sa compagne, son frère ainsi qu’une autre femme, ont également été interpellés dans l’habitation. Les six suspects ont été placés en garde à vue.

    Dans la Renault Clio, les enquêteurs ont découvert 1 kg de cocaïne et près de 40 000 euros en numéraire. Deux autres kilos de cocaïne et plus de 25 000 euros ont été trouvés dans le logement du chef présumé du réseau. La Lamborghini Huracan de ce dernier a été saisie.

    Au total, 15 personnes ont été interpellées et placées en garde à vue. « Six ont été mises en examen jeudi, dont cinq ont fait l’objet d’une détention provisoire ou d’une incarcération provisoire », a précisé le procureur de la République de Lorient, Stéphane Kellenberger, dans un communiqué. Le chef présumé du réseau et sa compagne font partie des mis en cause qui ont été écroués. Le sixième suspect mis en examen a été placé « sous contrôle judiciaire strict ».

    « Plus d’un million d’euros » de biens et d’argent en numéraire saisis

    La suite des investigations a permis de réaliser d’autres saisies. Les policiers ont mis la main au total sur près de 175 000 euros en espèces, ainsi que sur une arme de poing et un fusil.

    En outre, plus de 300 000 euros ont été découverts sur des comptes bancaires et des assurances-vie. D’autres véhicules, notamment une Audi RS3 et une moto BMW, ainsi que des effets de luxe ont également été mis sous scellés. Ces saisis représentent « plus d’un million d’euros » a ajouté le parquet. Des recherches sont toujours en cours, dans le cadre de cette commission rogatoire.

    ACTU 17


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  • Le cadavre d’un homme atrocement mutilé a été retrouvé sur un parking de Montivilliers (Seine-Maritime), ce vendredi matin. L’enquête criminelle est menée conjointement par les policiers et les gendarmes.

    La victime est un docker, âgé de 40 ans, dont la disparition a été signalée ce vendredi vers 1 heure du matin, alors qu’il rentrait à son domicile, situé dans un village entre Saint-Romain-de-Colbosc et Gruchet-le-Valasse.

    C’est son épouse qui a alerté les autorités, avant qu’un dispositif de recherche soit mis en œuvre, relate Paris-Normandie.

     

    Son corps a été retrouvé vers 7 heures du matin sur un parking aux abords de l’école Jules-Collet à Montivilliers, près du Havre, par une employée municipale qui allait prendre son service à l’école. Le cadavre supportait des traces de mutilation, qui témoignent des tortures que la victime a endurées avant sa mort.

    Un œil crevé, un téton arraché

    Les constatations effectuées sur place par les enquêteurs font état d’« un œil crevé et d’un téton arraché », selon une source citée par le quotidien régional. Il avait aussi « un chiffon, imbibé d’essence ou de produit inflammable, enfoncé dans la bouche ».

     

    Ce docker, délégué du personnel, n’était pas inconnu de la justice. Il avait fait l’objet d’une mise en examen dans le cadre d’une enquête après une saisie de plus d’une tonne de cocaïne dans le port du Havre, d’après cette même source. Cette affaire était à l’instruction et ce père de famille, bien que soupçonné, bénéficiait de la présomption d’innocence.

    L’école située à proximité immédiate du lieu de la découverte du cadavre est restée fermée aujourd’hui. Un périmètre de sécurité a été établi par les enquêteurs.

    Le parquet a co-saisi les fonctionnaires du Service régional de police judiciaire (SRPJ) et les gendarmes de la Section de recherches (SR) de Rouen pour mener l’enquête. Le domicile de la victime a fait l’objet d’une perquisition.

    ACTU 17


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  • Un Américain de 38 ans a été inculpé pour avoir empoisonné huit SDF à Huntington Beach

    Des actes d’une cruauté inimaginable. Un homme de 38 ans a été officiellement inculpé jeudi d’empoisonnement sur huit sans-abri, auxquels il avait donné de la nourriture contenant une substance très irritante utilisée notamment dans les sprays de défense, pour filmer leurs réactions.

    Les victimes ont toutes été intoxiquées dans la ville de Huntington Beach, au sud de Los Angeles, souffrant de divers symptômes comme des vomissements, des difficultés respiratoires et de vives douleurs gastriques, précisent les services du procureur du comté d’Orange dans un communiqué. Les charges sont passibles au maximum de 19 ans de prison.

    l leur proposait de la bière

    Selon eux, plusieurs des SDF empoisonnés ont dû être hospitalisés après avoir ingéré des aliments contenant de l’oléorésine capsicum, « deux fois plus puissante que le spray au poivre utilisé par la police » et extrait d’une variété de piment.

    Le suspect, William Robert Cable, est accusé d’avoir délibérément empoisonné les malheureux pour regarder leurs souffrances, qu’il filmait. Il avait convaincu plusieurs victimes de consommer cette nourriture en leur proposant de la bière en échange.

    « Ces êtres humains ont été visés parce qu’ils sont vulnérables. Ils ont été exploités et empoisonnés dans le cadre d’une forme perverse de divertissement », a déclaré le procureur Todd Spitzer, appelant le public à signaler aux autorités d’autres victimes et suspects potentiels.

    20 Minutes


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  • Une femme de 75 ans a été transférée dans un état critique vers Marseille jeudi après avoir été attaquée au visage et à la gorge par un pitbull, à Villeneuve-lès-Avignon (Gard), indique ce jeudi le procureur de la République de Nîmes.

    Le chien non tenu en laisse

    Avant d'être finalement abattu, le chien dangereux, qui n'était pas tenu en laisse et avait échappé à son propriétaire, a attaqué trois femmes de 75, 70 et 33 ans, ont précisé les pompiers du Gard. 

    "A l'arrivée des secours, trois victimes étaient recensées et le chien n'était toujours pas maîtrisé et s'était réfugié vers le fort Saint-André", qui domine le centre historique, ont précisé les pompiers.

    Le propriétaire placé en garde à vue

    Grièvement blessée, la femme de 75 ans a été évacuée par hélicoptère vers Marseille. Les deux autres femmes, mordues aux jambes et légèrement blessées, ont elles été transférées vers Avignon.

    Le chien, qui s'était enfui, a finalement été abattu, a expliqué le procureur de la République de Nîmes, Eric Maurel. Le propriétaire a lui été placé en garde à vue au commissariat d'Avignon.

    BFM.TV 

    Si le maître avait tenu son chien en laisse, cela ne serait pas arrivé !


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  • Accusation de viol contre Gérald Darmanin : la justice ordonne la reprise des investigations

    Les investigations concernant une accusation de viol en 2009 visant le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin vont reprendre.

     

    La cour d'appel de Paris a ordonné mardi la reprise des investigations concernant une accusation de viol en 2009 visant le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin, a appris l'AFP jeudi de sources concordantes.

    Accusation de viol, harcèlement et abus de confiance 

    La Cour de cassation avait ordonné en novembre 2019 à la chambre d'instruction de la cour d'appel de Paris de réexaminer la validité du non-lieu dont avait bénéficié en 2018 Gérald Darmanin, accusé par une femme, Sophie Patterson-Spatz, de viol, harcèlement sexuel et abus de confiance.

    Gérald Darmanin, 37 ans, est accusé par cette femme de l'avoir violée en 2009. À l'époque, elle s'était adressée à l'élu, alors chargé de mission au service des affaires juridiques de l'UMP (ex-Les Républicains), pour tenter de faire annuler une condamnation de 2004 pour chantage et appels malveillants contre un ex-compagnon. Selon elle, Gérald Darmanin lui aurait fait miroiter son appui auprès de la Chancellerie, en échange de faveurs sexuelles.

    Une juge d'instruction saisie en février 2018

    Sophie Patterson-Spatz avait le 28 février 2018 saisi une juge d'instruction d'une plainte avec constitution de partie civile pour viol, harcèlement sexuel et abus de confiance pour lui demander de poursuivre les investigations. Cette démarche faisait suite au classement décidé par le parquet au terme d'une enquête préliminaire lors de laquelle le ministre avait été auditionné, sans être confronté à son accusatrice.

    Six mois plus tard, la magistrate avait rendu "une ordonnance de non-lieu à informer", estimant qu'au vu de ces investigations, les faits reprochés n'étaient pas constitués et qu'il n'y avait pas lieu d'ouvrir une information judiciaire. L'appel formé par la plaignante avait été considéré trop tardif par la cour d'appel en octobre 2018.

    Europe 1


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  • Seine-et-Marne : Il perd sa fille de 7 ans et sa mère, les gendarmes lancent une cagnotte et récoltent plus de 51 000 €

    Sa mère et sa fille

    En quelques jours à peine, une cagnotte ouverte par les gendarmes de Seine-et-Marne a permis de récolter plus de 51 000 euros. L’argent est destiné à un homme qui a perdu sa fille et sa mère dans un tragique accident de la circulation. Il avait déjà subi la perte de son épouse en octobre dernier.

    Les gendarmes de Seine-et-Marne ont lancé une cagnotte en ligne sur Le Pot Commun, pour venir en aide à un homme de 30 ans. Un tragique accident de la circulation, survenu le 30 mai dernier à Poligny (Seine-et-Marne), a coûté la vie à sa fillette Aurore, âgée de 7 ans, et à sa mère Pascale, âgée de 63 ans.

    Un vaste élan de générosité de la part des gendarmes a permis de recueillir plus de 51 000 euros en moins d’une semaine. Plus de 2 200 personnes ont donné à Benoît, cet habitant de Remauville, de quoi couvrir les frais d’obsèques et plus encore. 

    Car l’homme avait déjà vu sa vie basculer le 12 octobre dernier, lors du décès de son épouse. Sa mère devrait être inhumée dans le Val-de-Marne ce jeudi. Sa fille a été enterrée au côté de sa maman, dans Val-d’Oise, mardi.

    Des messages et des dons pour se reconstruire

    Le sort s’est acharné sur cet auto-entrepreneur au chômage, relate Le Parisien. Son histoire a touché des centaines d’inconnus qui ont participé en donnant, pour la majorité, des petites sommes de 5 ou 10 euros, parfois plus.

    Pls de 600 messages de soutien de leur part ont également été recueillis grâce à l’initiative des gendarmes, tout aussi touchés que ces personnes.

    « Je ne peux imaginer votre douleur immense. Je vous souhaite de vous reconstruire et de pouvoir continuer à avancer » peut-on lire sur l’un des mots laissés par une internaute. Un sentiment partagé par tous les donateurs.

    « Je suis pourtant quelqu’un d’assez négatif mais je ne pensais pas que mon histoire toucherait autant de monde » a témoigné Benoît, qui, de son aveu avait du mal à croire à l’initiative des gendarmes.

    Le trentenaire s’est dit particulièrement touché par ces messages de soutien laissés à son intention, même si pour l’instant il évite de les lire, a-t-il confié. « J’essaie de me concentrer sur moi. Je les lirai plus tard, c’est sûr ».

    Seul face à la douleur

    « Cet homme qui ‘subit le sort’ se trouve désormais seul face à la douleur à laquelle s’ajoutent des difficultés financières pour assurer les obsèques de ses proches », expliquaient des gendarmes à l’origine de cet élan de solidarité.

    La cagnotte permettra ainsi d’alléger un peu son fardeau. « Je sais en tout cas que cet argent va me permettre de souffler et de changer de lieu de vie plus rapidement et sereinement, si c’est possible », a témoigné Benoît qui affirme s’accrocher, malgré un chagrin incommensurable.

    Il espère pouvoir se reconstruire du côté de la Bourgogne à quelques dizaines de kilomètres de la Seine-et-Marne, auprès d’amis.

    Une enquête en cours

    Les dons cesseront d’être récoltés à la mi-juin. De leur côté, les gendarmes de Lorrez-le-Bocage-Préaux, poursuivent les investigations pour déterminer les causes de ce tragique accident.

    Le conducteur impliqué dans ce drame, un jeune homme de 22 ans, a été mis en examen pour « homicides involontaires » et placé sous contrôle judiciaire.

    ACTU 17

    Et bien, le sort s'acharne vraiment contre lui


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  • Durant sa garde à vue, un homme a reconnu le meurtre de son ex-compagne et confié avoir « perdu tout contrôle » lors d’un rendez-vous avec elle.

    Un homme de 44 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire par un juge d’instruction de La Rochelle pour le meurtre de son ex-compagne, a indiqué le procureur de la République ce mercredi soir.

    Le quadragénaire était sorti de prison le 2 juin, sous le régime de la liberté conditionnelle, rapporte Sud Ouest. La victime, Barbara Besey, lui avait alors affirmé son désir de mettre un terme à leur relation débutée il y a près de quatre ans, ajoutant qu’elle avait rencontré une autre personne.

     

    Ce ressortissant macédonien a reconnu avoir tué son ex-compagne de 47 ans, ce dimanche lors d’un rendez-vous fixé dimanche, durant lequel cette dernière devait récupérer ses clés de véhicule et d’appartement.

    Quelques jours avant, l’homme, qui vivait très mal cette situation, s’était présenté au domicile du nouveau compagnon et s’était montré véhément, mais un terrain d’entente semblait pourtant avoir été trouvé.

    Frappée à coups de marteau et étranglée avec une ceinture

    Pendant sa garde à vue, il a confié aux enquêteurs avoir « perdu tout contrôle » et « frappé son ancienne compagne avec un marteau avant de l’étrangler avec sa ceinture », a indiqué le procureur de La Rochelle Laurent Zuchowicz dans un communiqué.

    Des faits qu’il aurait commis dans l’appartement de Périgny (Charente-Maritime) qu’ils avaient occupé durant leur relation, a précisé le magistrat. D’après les analyses toxicologiques, le suspect n’était pas sous l’emprise de l’alcool ou de produits stupéfiants à ce moment-là.

    Sans nouvelles de sa part, des proches de la victime ont signalé sa disparition inquiétante aux policiers du commissariat de La Rochelle, dès le lendemain.

    Interpellé ivre sur le parking du commissariat

    Son corps sans vie a finalement été retrouvé lundi après-midi, à l’intérieur de l’ancien appartement du couple. Rapidement, le principal suspect a été interpellé alors qu’il se trouvait, ivre, dans sa voiture garée sur le parking du commissariat.

    L’homme est loin d’être inconnu de la justice. Il a déjà fait l’objet de 19 condamnations entre 2002 et 2019, la plupart pour des délits routiers mais aussi pour des violences aggravées.

    Lorsque le crime a eu lieu, il venait de purger trois condamnations au centre pénitentiaire de Poitiers-Vivonne (Vienne), soit un total de 8 mois de prison pour des infractions routières.

    Au terme de sa garde à vue ce mercredi, le quadragénaire a été présenté à un juge d’instruction qui l’a mis en examen pour « meurtre par ex-concubin » et placé en détention provisoire.

    Au moins 29 féminicides ont été recensés depuis le début de cette année, contre 126 l’an passé.

    ACTU 17


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  • Mercredi 3 juin, un couple de gardiens et leurs deux enfants ont été condamnés pour abus de faiblesse sur une femme de 79 ans, décédée en septembre 2019. Selon des informations de «La Marne», plus d’un million d’euros ont été détournés.

    La vieille femme s'est blessée en 2017 et a eu besoin d’une aide pour vivre. Sans famille proche, l'habitante de Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne) a accepté le soutien de sa gardienne pour lui préparer ses repas et lui faire ses courses.

    Un ancien collègue de la retraitée, qui lui rendait régulièrement visite, a trouvé la présence de ses gardiens de plus en plus étrange. En août 2019, il a découvert son amie dans un état alarmant et anormalement perturbée par ses finances. La police et les secours ont été prévenus : une maladie neurodégénérative est décelée chez la septuagénaire, alors placée sous tutelle. Une semaine plus tard, sa tutrice a porté plainte, selon l'hebdomadaire local.

    Une télévision et quatre voitures achetées

    Au total, plus d'un million d'euros ont été volés par la famille : 259.000 euros en faisant signer des chèques à la femme, 5.000 euros pour faire plusieurs achats et 750.000 euros changeant les bénéficiaires des deux contrats assurance vie.

    Les quatre membres de la famille ont été condamnés à de la prison avec sursis. 24 mois pour le couple de gardiens, 18 mois pour leur fille et 12 mois pour leur fils. Les comptes bancaires et les produits escroqués ont été saisis, soit quatre voitures, une télévision et douze comptes.

    Paris Match


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  • Après avoir enfilé sa tenue de travail et ses chaussures de sécurité, l’homme s’est suicidé avec un fusil de chasse dans son garage

    Un homme de 46 ans a été retrouvé mort dans son garage au Fresne-Camilly près de Caen (Calvados), vendredi 5 juin dans la matinée.  Eboueur depuis 26 ans, il avait reçu la veille une lettre de licenciement pour faute grave, rapporte Ouest-France. Il s’est suicidé avec un fusil de chasse après avoir revêtu sa tenue de travail ainsi que ses chaussures de sécurité.

    Le quadragénaire n’aurait pas supporté de se voir licencier pour cette faute. « Il avait reconnu avoir bu deux bières offertes par un client, alors qu’il conduisait la benne, au cours d’une tournée de ramassage », a expliqué auprès du quotidien régional un responsable syndical CGT dans l’entreprise. Selon lui, l’employé n’avait que 0,19 g d’alcool dans le sang lors du premier contrôle d’alcoolémie, et 0,09 g au second.

    Le responsable syndical rappelle par ailleurs que quatre licenciements ont eu lieu en quatre ans et que trois démissions ont été enregistrées au secrétariat sur les 33 salariés que compte cette entreprise. L’homme qui a mis à ses jours avait un fils de 18 ans « dont la mère est décédée de maladie, il y a quelques années ». De son côté, la direction de l’entreprise n’a pas souhaité faire de commentaire.

    20 Minutes

    Je n'estime pas que cela valait un licenciement !


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  • Un chauffeur venait de débuter sa tournée au volant de son camion chargé de cigarettes et de tabac, lorsqu’il s’est fait attaquer à Nantes. Il devait ravitailler des commerces du Grand Ouest.

    Un camion transportant environ 2 millions d’euros de tabac et de cigarettes a été intercepté par un commando de malfaiteurs, dans la nuit de lundi à mardi, au niveau de la rue du Bêles à Nantes (Loire-Atlantique), relate Ouest-France.

    Il venait de quitter un entrepôt et partait en tournée pour livrer plusieurs bureaux de tabac de Loire-Atlantique et de Vendée, lorsque deux berlines lui ont barré la route. Le chauffeur n’a pas pu dégager son camion.

    Pris en otage

    Plusieurs malfaiteurs, peut-être au nombre de six, sont descendus des deux voitures. En un éclair, ils ont violenté et maîtrisé le chauffeur. Ils n’auraient toutefois pas exhibé d’arme, relate le quotidien régional.

    Les assaillants ont séquestré la victime et pris possession du camion. Le véhicule n’a été retrouvé par les forces de l’ordre qu’une heure plus tard, abandonné en rase campagne à La Chevrolière, au sud du département

    Une voiture retrouvée calcinée

    Son chargement a été en partie pillé. Le chauffeur aurait été libéré à cet endroit également. Un peu plus tard, les enquêteurs ont retrouvé une BMW calcinée, sur la commune du Bignon. Elle a vraisemblablement servi à mener cette attaque.

    Une enquête a été ouverte et confiée à l’antenne de police judiciaire de Nantes. Aucune interpellation n’avait eu lieu lundi soir.

    ACTU 17

    Cela m'étonnerait qu'on les retrouve !


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  • Les policiers et les secours ont retrouvé la victime inanimée, elle a été déclarée morte peu après.

    Un homme d’une trentaine d’années s’est présenté au commissariat de Suresnes (Hauts-de-Seine) ce mardi soir vers 20 heures. Il a expliqué qu’il venait de tuer son épouse dans l’appartement familial situé rue de la République, sur cette même commune. Les policiers ont alerté le SAMU et se sont rapidement rendus sur les lieux.

    La femme gisait au sol dans le logement et présentait une grave blessure par arme à feu au niveau du thorax. Les médecins du SAMU ont tout tenté pour la réanimer mais la victime a été déclaré morte à 20h40.

    Une carabine saisie

    L’auteur présumé du meurtre a été placé en garde à vue. Une carabine a été découverte près du corps de la victime. Les circonstances du drame restent encore à déterminer et le mis en cause va être auditionné par les enquêteurs ce mercredi. La victime était mère d’un bébé de 14 mois qui n’était pas présent au moment du drame.

    Une enquête a été ouverte et confiée au Service départementale de police judiciaire des Hautes-de-Seine (SDPJ 92).

     

    ACTU 17


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  • Une jeune mère de famille a trouvé refuge chez un voisin après avoir subi des violences et des humiliations de la part de son compagnon. Les forces de l’ordre ont été alertées.

    Un habitant de Bourg-en-Bresse (Ain) a ouvert sa porte a une jeune femme en détresse, samedi vers 23 heures. Nue et en pleurs, elle tenait son bébé dans ses bras. À ce voisin, elle a expliqué qu’elle venait de subir des violences de la part de son compagnon, relate Le Progrès.

    L’homme l’a alors accueillie chez lui et lui a donné des vêtements avant d’appeler la police en composant le 17. Lorsque les fonctionnaires sont arrivés, la jeune mère de famille de 22 ans leur a raconté son calvaire.

     

    Elle leur a expliqué être victime de violences habituelles de la part de son compagnon âgé de 19 ans. Mais ce soir-là, les coups et les gifles ont laissé placé à un acte d’humiliation qu’elle n’a pas supporté.

    Le médecin lui délivre 5 jours d’ITT

    Le jeune homme l’a obligée à faire des exercices physiques totalement nue devant son bébé et son enfant en bas âge. Elle s’est alors exécutée durant une heure, effectuant des pompes et des squats contre son gré, dans cette situation particulièrement malsaine, avant d’arriver à s’enfuir.

    Les policiers ont procédé à l’interpellation du jeune homme violent au domicile familial. Ivre, il a été conduit au commissariat où il s’est rebellé et a blessé un adjoint de sécurité (ADS). Le policier s’est vu délivrer 2 jours d’Incapacité totale de travail (ITT).

    La jeune femme violentée s’est, quant à elle, vu délivrer 5 jours d’ITT. Durant sa garde à vue, le mis en cause a reconnu les faits. Au terme de cette mesure, ce lundi, il a été déféré au parquet de Bourg-en-Bresse.

    Il est poursuivi pour « violences volontaires aggravées », concernant les coups portés à sa compagne et au policier, ainsi que pour « rébellion ».

    ACTU 17


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  • Un policier affecté au 3ème district de police judiciaire (3e DPJ) s’est suicidé avec son arme de service ce mardi.

    Dramatique nouvelle pour la police parisienne. Un gardien de la paix affecté à la 3e DPJ de la préfecture de police, Jean-Baptiste C., s’est donné la mort en utilisant son arme de service vers 11 heures ce mardi, à son domicile de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine).

    A l’arrivée des secours, il était malheureusement déjà trop tard. Les raisons de son geste restent indéterminées pour l’heure.

     

    « C’est avec une immense tristesse que nous avons appris le suicide de l’un de nos collègues affecté au 3ème DPJ. Toutes nos pensées vont à sa famille, ses proches et ses collègues », a écrit la préfecture de police sur Twitter.

     

    Il s’agirait du 16ème suicide dans les rangs de la police nationale depuis le 1er janvier, alors que 59 fonctionnaires ont mis fin à leurs jours l’an passé selon le ministère de l’Intérieur.

    En avril, au moins trois policiers se sont suicidés. Une policière du Havre s’est également donné la mort début mai. En outre, un policier municipal de Raon-l’Étape (Vosges) âgé de 34 ans a mis fin à ses jours ce jeudi.

    Une cellule de soutien psychologique disponible 24h/24 a été mise en place par le ministère de l’Intérieur pour les forces de l’ordre, elle est joignable au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

    ACTU 17

    C'est vrai que quand un agriculteur se suicide, on n'en parle pas !


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  • Un masseur-kinésithérapeute est soupçonné d’avoir commis plusieurs agressions sexuelles dans le cadre de son activité. Cinq plaintes ont déjà été recensées à son encontre.

    Les faits pour lesquels un masseur-kinésithérapeute a été mis en examen en fin de semaine dernière sont particulièrement graves. Il est poursuivi pour « agressions sexuelles sur personnes vulnérables », rapporte France Bleu.

    Cet homme âgé d’une quarantaine d’années exerçait en tant que praticien libéral essentiellement dans le Doubs et intervenait notamment au sein d’une institution spécialisée pour personnes handicapées de Montbéliard.

     

    Vendredi, il a été interpellé et placé en garde à vue après que cinq résidents de cet  établissement ont déposé plainte contre lui pour des gestes inappropriés. Les faits se seraient produits de 2018 à 2019, précise L’Est Républicain.

    Placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d’exercer

    Longuement auditionné par les enquêteurs durant sa garde à vue, le suspect a fait l’objet d’une mise en examen assortie d’un contrôle judiciaire avec interdiction d’exercer son activité.

     

    Les investigations se poursuivent dans le cadre d’une information judiciaire. Les enquêteurs tentent désormais d’identifier d’éventuelles autres victimes auprès des établissements qu’il a fréquentés sur la période incriminée.

    ACTU 17


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  • Un petit garçon de 6 ans, originaire de l’Arizona, est mort en mars dernier alors qu’il était affamé. Ses parents et sa grand-mère ont été arrêtés pour meurtre.

    Lorsqu’il est mort, le petit Deshaun ne pesait que 8 kilos. Ce garçonnet de 6 ans est décédé en mars dernier, à Flagstaff, dans l’Arizona, alors qu’il était affamé par sa propre famille, rapporte le «Arizona Daily» qui cite les résultats de l’autopsie. Ses parents, Elizabeth Archibeque, 26 ans, Anthony Martinez, 23 ans et sa grand-mère Ann Marie Martinez, 50 ans, ont tous été arrêtés et inculpés pour assassinat, abus sur enfant et séquestration. Le père est également poursuivi pour agression aggravée. Ils plaident tous non coupable.

    Lawrence Czarnecki, le médecin légiste, a écrit dans son rapport que l’enfant n’avait plus que la peau sur les os, qu’il n’avait plus aucune graisse et qu’il ressemblait à un squelette. Ses yeux étaient entourés de cercles sombres, enfoncés dans son crâne et ses cheveux étaient cassés. Il avait également des blessures et des bleus sur le corps. Le rapport d'autopsie a également révélé que Deshaun avait des antécédents de difficulté à prendre du poids et avait été hospitalisé à 2 semaines en raison d'une septicémie et d'une infection des voies urinaires. À l'époque, il avait du mal à garder la nourriture. Il avait réussi à monter jusqu’à 15 kilos à 4 ans mais n’en pesait plus que 12 quelques mois plus tard. «L’apparence physique de cet enfant de 6 ans ne correspondait pas à son âge, tant il était malnutri», avait écrit la police dans son rapport.

    "Ce petit garçon a tellement souffert"

    La police a été alertée le 2 mars, par la grand-mère elle-même. Elle avait expliqué aux secours avoir retrouvé son petit-fils inconscient. Sur place, les pompiers n’ont pu que constater sa mort après avoir essayé de le réanimer. Face aux enquêteurs, les parents ont fini par reconnaître qu’ils avaient gardé depuis la veille le petit Deshaun, mais également son frère de 7 ans, dans un placard fermé dans la chambre, pour les punir de voler de la nourriture la nuit. La grand-mère a de son côté indiqué qu’elle savait que ses petits-fils étaient enfermés dans le placard mais a affirmé qu’elle n’avait rien fait de mal. «Ce petit garçon a tellement souffert, je ne vais plus arriver à dormir», a confié une voisine à Fox10. «Quelle horrible façon de mourir. J’ai le cœur brisé et je ne souhaite que le meilleur pour les autres enfants», a réagi une autre femme. Le petit garçon de 7 ans ainsi qu’un frère et une soeur plus jeunes, âgés de 2 et 4 ans, ont été pris en charge par les services sociaux.

    Paris Match


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  • Un adolescent âgé de 16 ans est à l’origine d’un grave accident de la circulation dans la nuit de jeudi à vendredi. Il a été remis en liberté sous contrôle judiciaire.

    Il était au volant, sans permis de conduire, dans la nuit de jeudi à vendredi à Lyon, et transportait une jeune femme de 20 ans. Sa conduite aurait provoqué un terrible accident.

    Lors d’un dépassement dangereux, l’adolescent âgé de 16 ans a très violemment percuté une autre voiture, une Peugeot 308, celle d’une famille : un couple et son bébé de deux mois.

    La mère du bébé a été transportée à l’hôpital Lyon Sud, en déchoquage, alors que son pronostic vital était engagé. Elle souffre de graves blessures.

    Il en était de même pour son conjoint et la passagère du mis en cause, qui ont été admis à l’hôpital Édouard-Herriot de Lyon alors qu’ils étaient dans un état critique. Par chance, le nouveau-né n’a subi que de légères blessures.

    Une information judiciaire ouverte pour blessures involontaires aggravées

    Le conducteur de 16 ans qui n’avait été que légèrement blessé, avait alors été placé en garde à vue.

    Il a été déféré ce samedi au parquet de Lyon qui a ouvert une information judiciaire pour « blessures involontaires aggravées par au moins deux circonstances », le défaut de permis de conduire ainsi que la violation délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité, explique Le Progrès.

    Présenté à un juge d’instruction en charge de ce dossier, le mis en cause a été remis en liberté après avoir été placé sous contrôle judiciaire.

    ACTU 17

    On ne dit pas à qui était la voiture ?

    En liberté, il pourra recommencer ! La prochaine fois, il tuera peut-être !


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  • Un homme a ouvert le feu sur une femme enceinte âgée de 23 ans ce lundi après-midi à Pézenas (Hérault) avant de se donner la mort. La victime est dans un état grave.

    Il était environ 16 heures lorsqu’un individu muni d’une arme à feu a tiré sur une femme enceinte âgée de 23 ans, devant le magasin Bricomarché de Pézenas explique Midi Libre. La victime qui était avec son compagnon et son fils de deux ans et demi, a été touchée au thorax et à l’épaule.

    L’auteur âgé d’une soixantaine d’années s’est ensuite tiré une balle dans la poitrine, une centaine de mètres plus loin. Il est décédé.

    Héliportée à l’hôpital à Montpellier

    La victime gravement blessée a été prise en charge par les sapeurs-pompiers de Pézenas et par les médecins du SMUR. Son état a été stabilisé avant qu’elle puisse être transportée par hélicoptère au CHU de Montpellier.

    Les motivations du tireur restent à déterminer. Le lieutenant colonel du SDIS 34 Jérôme Bonnafou a indiqué à France 3 qu’il s’agissait d’un « drame familial ».

    ACTU 17


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  • Meurtre de Laura, 16 ans, à Sallaumines : un homme de 36 ans mis en examen et écroué

    La jeune Laura Bernard avait été poignardée à mort en pleine rue à Sallaumines (Pas-de-Calais) alors qu’elle rentrait du lycée. Le procureur de la République et le directeur de la police judiciaire de Lille ont annoncé qu’un suspect, déjà condamné pour meurtre, avait été mis en examen et écroué.

    Le meurtre de Laura Bernard, une adolescente de 16 ans sans histoire, avait provoqué une vague d’émotions à Sallaumines en janvier dernier. L’auteur présumé de cet homicide volontaire a été identifié après un long travail d’investigations des enquêteurs de la police judiciaire de Lille.

    Ferdinand Aouri, 36 ans, habite la région. Il est bien connu de la police et de la justice. L’homme avait en effet été condamné en 2007 par la cour d’assises du Pas-de-Calais à 15 ans de réclusion criminelle pour meurtre précédé d’un autre crime commis en 2003, a précisé le procureur de la République de Béthune, accompagné du directeur interrégional de la police judiciaire de Lille, lors d’une conférence de presse ce lundi.

    Il « était rentré un soir couvert de sang »

    Le 23 février dernier, le mis en cause a été interpellé suite à des violences conjugales. Il était déjà recherché suite au non-respect d’une mesure de mise à l’épreuve. Les langues se sont alors déliées dans l’entourage du suspect. Deux de ses proches ont expliqué qu’il « était rentré un soir couvert de sang » et qu’il avait déclaré avoir « planté une jeune fille au cou ».

    Tandis que le suspect était incarcéré suite à son interpellation du 23 février, les enquêteurs de la police judiciaire ont poursuivi leurs investigations. Sur la scène de crime, les lunettes de la jeune Laura avaient été saisies et examinées.

     

    Un ADN y avait été retrouvé et isolé. Les analyses ont montré qu’il s’agissait de celui de Ferdinand Aouri. Le travail de téléphonie a également montré que le portable du suspect avait borné à Sallaumines le jour du meurtre.

    Le trentenaire a été extrait de sa cellule de prison puis auditionné par les policiers, avant d’être présenté à un juge le 5 juin dernier écrit France 3. Il nie les faits et a refusé de donner des explications. Il a été mis en examen du chef de meurtre en récidive légale et sera présenté à un juge des libertés et de la détention (JLD) ce mardi.

    « Il a déjà presque passé la moitié de sa vie en prison », a souligné Romual Muller, le directeur de la PJ de Lille. En outre, il avait déjà été condamné pour des faits d’escroquerie, recels ou violences. Il avait été libéré de prison huit mois avant le drame, en avril 2019.

    Tuée de quatre coups de couteau à la gorge et au thorax notamment

    Il était environ 17h30 ce 30 janvier lorsque Laura Bernard a été tuée. Elle venait de quitter son lycée professionnel La Peupleraie, situé rue Jules-Mattez, à Sallaumines, lorsqu’elle a croisé la route du tueur. La jeune fille était scolarisée en première ECMS (employé commercial multi-spécialisé) explique La Voix du Nord.

    Elle rentrait chez elle à pied comme chaque soir et se trouvait à environ 400 mètres du domicile familial, dans l’impasse Bauduin, lorsqu’elle a reçu quatre coups de couteau mortels, à la gorge et au thorax notamment. Le tueur a maintenu la victime au sol. Un témoin de la scène est quant à lui allé chercher des secours alors qu’il était menacé par l’assaillant. A son retour, il était déjà trop tard.

    L’auteur des faits avait pris la fuite et Laura était en arrêt cardio-respiratoire. Les sapeurs-pompiers ainsi que les médecins du SMUR n’ont rien pu faire pour la sauver. La minutieuse enquête de la police judiciaire a alors débuté, avec très peu d’éléments. Les investigations ont été ralenties par la période de confinement liée à la pandémie de coronavirus.

    « Les policiers ont entendu le témoin qui a donné une description de l’agresseur mais qui n’était pas en mesure de reconnaître formellement l’auteur des faits », a également précisé le procureur de la République. Le mobile de ce terrible crime reste encore à déterminer.

    Le 8 février dernier, 500 personnes s’étaient rassemblées pour rendre un hommage public  Laura Bernard, lors d’une marche blanche.

    ACTU 17

    En 2007, 15 ans, donc il aurait dû être en prison jusqu'en 2022 !


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