• Une femme de 91 ans aurait été violée dans un Ehpad situé à Landerneau (Finistère) ce dimanche. Une plainte a été déposée et une enquête ouverte.

    Les faits présumés se sont déroulés ce dimanche au sein de l’Ehpad An Elorn situé à Landerneau (Finistère). Arrivée il y a environ un an dans cet établissement, une femme âgée de 91 ans, atteinte de la maladie d’Alzheimer, aurait été violée par un homme âgé de plus de 90 ans raconte Le Télégramme.

    La victime aurait été agressée durant son sommeil. Une infirmière qui a entendu les appels à l’aide de la nonagénaire, est venue la secourir.

     

    La direction de l’Ehpad a avisé la famille de la victime immédiatement et doit la recevoir ce vendredi. Les proches de cette femme de 91 ans ont déposé une plainte a confirmé la gendarmerie, et une enquête a été ouverte.

    Aucune garde à vue pour l’heure

    Le chef d’escadron Vincent Roret, responsable de la gendarmerie de Landerneau, a indiqué à France 3 que, pour l’heure, l’agresseur présumé était hospitalisé en psychiatrie et qu’aucun suspect n’avait été placé en garde à vue. « Une expertise peut être demandée par le magistrat afin de déterminer le degré de consentement de la victime présumée », a précisé le militaire.

     

    Les investigations ont été confiées à la brigade territoriale autonome de Landerneau.

    Un viol dans un Ehpad parisien

    Une femme âgée de 92 ans a été victime d’un viol dans un Ehpad à Paris le 10 mai dernier. Dans cette affaire, un aide-soignant de 62 ans a été mis en examen avant d’être placé en détention provisoire.

    ACTU 17


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  • Le cambrioleur utilisait une technique sophistiquée pour commettre ses vols sans effraction. Le préjudice de ses méfaits est estimé à 150 000 euros.

    Les enquêteurs de la cellule de lutte anti-cambriolage (CLAC) de la Sûreté territoriale des Hauts-de-Seine ont été chargés d’identifier un cambrioleur de haut vol.

    Les investigations des policiers ont montré qu’il s’était rendu coupable d’au moins 42 cambriolages de maisons et d’appartements depuis 2017, sur l’ensemble du territoire des Hauts-de-Seine, rapporte Le Parisien.

     

    Le jeune homme de 25 ans a été traqué par les policiers spécialisés à partir du mois de septembre 2019, suite au vol de bijoux et de 1 000 euros en espèces commis dans un pavillon de Meudon-la-Forêt. Les habitants avaient pu fournir une description précise du suspect et de son moyen de transport : un scooter.

    Ces informations ont permis aux policiers de l’identifier car il était déjà connu des services de la police et de la justice pour des cambriolages. Placé sous étroite surveillance, ses heures de liberté étaient désormais comptées.

    Il limait ses clés pour déjouer les systèmes de fermeture

    Le voleur usait toujours du même mode opératoire. « Il s’attaquait à un type précis de serrure connue sous le nom de ‘serrure sans souci’. Il parvenait à les forcer avec une fausse clé qu’il façonnait lui-même et qu’il réussissait à adapter en la limant un peu », a indiqué une source proche du dossier citée par le quotidien francilien.

    Interpellé, il a été placé en garde à vue et sa téléphonie a été exploitée. Les enquêteurs ont constaté qu’il avait déclenché des bornes de télécommunications aux endroits et horaires de commission des cambriolages. Confirmant un peu plus, si besoin en était, les soupçons des enquêteurs.

    Mis en examen et placé en détention provisoire

    Durant sa garde à vue et face aux éléments des policiers, le suspect aurait reconnu certains de ses méfaits. Il aurait également admis avoir fait appel à un réseau de receleurs parisiens pour écouler les bijoux volés.

    Le jeune homme a confié s’être enrichi à hauteur de 50 000 euros grâce aux cambriolages. Le préjudice de ces vols est estimé par les enquêteurs à 150 000 euros. Au terme de sa garde à vue, une information judiciaire a été ouverte. C’est dans ce cadre que le suspect a été mis en examen et placé en détention provisoire.

    ACTU 17

    Pourquoi vous ne donnez pas son origine ?


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  • Les malfrats ont agi dans la Loire et le Rhône. Ils sont parvenus à prendre la fuite et sont activement recherchés. 

    Une équipe de malfaiteurs encagoulés, gantés et bien équipés a fait exploser trois distributeurs automatiques de billets (DAB), ce jeudi matin entre 2h10 et 3h30. Ils ont ciblé des agences du Crédit Agricole et de La Poste, dans la Loire et le Rhône, rapporte Le Parisien.

    Selon des témoignages recueillis par les enquêteurs, quatre malfaiteurs ont été aperçus. Ils ont à chaque fois utilisé la technique du mélange gazeux.

     

    Elle consiste à injecter du gaz oxy-acétylène dans la fente du distributeur avant de faire détonner le mélange gazeux avec des câbles électriques reliés à une batterie. L’explosion ainsi provoquée peut permettre aux voleurs de s’emparer de l’argent contenu dans le DAB.

    Pas de butin lors des deux premières opérations

    Deux premières attaques ont été perpétrées dans des agences du Crédit Agricole de la Loire, à Saint-Marcellin-en-Forez puis à Bellegarde-en-Forez. D’importants dégâts ont été causés par les explosions, mais les malfaiteurs ne sont pas parvenus à faire main basse sur le contenu des appareils, selon la direction de la banque.

     

    Alertés, les gendarmes locaux n’ont pas pu les intercepter. Les malfrats ont poursuivi leur route en direction du Rhône. Dans ce département, ils ont attaqué un DAB de la Banque postale à Marcilly-l’Etoile.

    De l’argent volé, une voiture incendiée

    Cette fois, leur attaque a payé. Les malfaiteurs se sont emparés du contenu des cassettes vidées sur place. Le montant du vol est en cours d’évaluation, a indiqué la gendarmerie.

    Une Peugeot 205, volée à Saint-Just-Saint-Rambert, a été retrouvée incendiée par les enquêteurs. Elle a été employée comme voiture-bélier pour pénétrer à l’intérieur de l’agence du Crédit Agricole de Saint-Marcellin-en-Forez. Les investigations se poursuivent.

    ACTU 17


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  • Son passage par la case commissariat ne l’a visiblement pas dissuadé de recommencer ses méfaits. Un adolescent a été interpellé à deux reprises en quelques heures pour deux vols différents.

    Le comportement de deux jeunes, qui venaient de se passer un sac de la main à la main, a intrigué une patrouille de policiers à vélo, ce mardi vers 19 heures sur la place de la République à Rennes (Ille-et-Vilaine).

    Ces derniers ont alors procédé au contrôle du duo et ont constaté que le sac contenait des t-shirts supportant encore les antivols, rapporte France Bleu. Dans le même temps, une commerçante est sortie de son magasin et les a informés qu’elle venait d’être victime d’un vol.

     

    Les deux suspects ont été interpellés. L’un des deux mis en cause, âgé de 16 ans, a été relâché dans la soirée avec en poche une convocation devant le juge des mineurs pour « recel de vols ».

    Une pharmacie cambriolée

    Quelques heures plus tard, peu avant 3h30, des policiers de la brigade anti-criminalité (BAC) sont intervenus dans la rue de Paris. Ils venaient d’être informés qu’un cambriolage s’était produit dans une pharmacie.

     

    Rapidement sur place, ils ont effectivement constaté que les vitres de l’officine étaient brisées et que des traces de sang se trouvaient au sol. Les propriétaires de la pharmacie avait été alertés par l’alarme anti-intrusion et avaient vu deux suspects partir à leur arrivée.

    Les policiers n’ont pas tardé à les retrouver et les ont interpellés. L’un des deux était l’adolescent arrêté un peu plus tôt. Blessé à la main, ses chaussures supportaient des traces de sang. Ce mineur isolé a été placé en garde à vue, puis libéré dans la journée. Il devra comparaître devant la justice au mois de juin.

    ACTU 17

    On se demande pourquoi les flics les arrêtent !

    happyhappyhappy  


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  • Une importante opération de gendarmerie a été opérée sur plusieurs départements du Grand Ouest pour donner un coup d’arrêt à un vaste trafic de drogue.

    Une enquête menée par les gendarmes de la compagnie de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) sur commission rogatoire s’est soldée par l’interpellation de 15 suspects, sur sept départements du Grand Ouest, relate France Bleu.

    Pas moins de 150 gendarmes des départements des Côtes d’Armor, d’Ille-et-Vilaine, du Morbihan, de Loire-Atlantique, du Finistère, de Seine-Maritime et de l’Eure sont intervenus simultanément, ce vendredi à partir de 6 heures du matin.

     

    L’enquête a mis en évidence l’implication des mis en cause dans l’écoulement de plusieurs kilos d’héroïne, durant plusieurs mois. Les gendarmes de la brigade de recherches de Saint-Brieuc menaient leurs investigations dans le cadre d’une information judiciaire.

    De l’argent, de la drogue et des armes

    Les militaires ont procédé à des perquisitions aux domiciles des suspects. Ils y ont saisi 700 grammes d’héroïne, 140 grammes de cocaïne, 240 grammes de cannabis, 363 doses de méthadone, 7 200 euros en numéraire, deux armes de poing de calibre 7,65 mm et leurs cartouches, deux fusils de chasse, une matraque électrique et un véhicule, ont-ils indiqué, ce mardi.

     

    Plus de 60 000 euros ont également été saisis sur des comptes bancaires des principaux suspects.

    Au terme des différentes gardes à vue, dix personnes ont été présentées au juge d’instruction. Sept d’entre elles ont été mises en examen et placées en détention provisoire. Trois autres ont été remises en liberté sous contrôle judiciaire

    ACTU 17

    Seulement 7 personnes incarcérées ! 

    150 gendarmes plusieurs mois pour si peu, mieux vaut en rire !


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  • Une femme de 68 ans a été tuée par un tir de fusil de chasse. Son compagnon a quant à lui été retrouvé pendu.

    Terrible découverte ce mardi dans une maison de Pornic (Loire-Atlantique). Les sapeurs-pompiers sont intervenus dans cette habitation au cours de la matinée. Ils ont découvert le corps sans vie d’une femme de 68 ans qui avait été tuée d’un tir de fusil de chasse relate Le Parisien.

    C’est un membre de la famille de la sexagénaire qui a donné l’alerte, après avoir aperçu son corps par une fenêtre de la maison.

     

    Les secours ont découvert deux heures plus tard, après de nombreuses recherches, le compagnon de la victime qui était pendu à un escalier, dans une dépendance de sa propriété a précisé la procureure de la République de Saint-Nazaire, Sylvie Canovas-Lagarde. Les deux personnes étaient en couple depuis quelques mois.

    La piste de « l’homicide volontaire suivi d’un suicide »

    Cet homme de 69 ans était chasseur. Aucune lettre n’a été trouvée sur le lieu des faits et ce dernier n’était pas connu pour des faits de violences.

     

    La piste privilégiée est celle de « l’homicide volontaire suivi d’un suicide » a précisé la magistrat. La gendarmerie de Pornic a été chargée de mener les investigations dans cette affaire.

    Il s’agirait du 25ème féminicide depuis le début de l’année indique le quotidien. 126 femmes ont été tuées par leur compagnon ou ex-compagnon en 2019.

    ACTU 17

    Un chasseur de moins !


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  • Prise en charge pour une gastro-entérite à l'hôpital Saint-Clair de Sète, une jeune fille de 11 ans est décédée peu après avoir reçu par erreur une injection d'adrénaline. 

    Le parquet de Montpellier a ouvert une enquête pour homicide involontaire après la mort d'une fillette des suites d'une injection par erreur d'adrénaline, a appris BFMTV ce mercredi soir de sources judiciaires. 

    La jeune fille, âgée de 11 ans, avait été prise en charge à l'hôpital Saint-Clair à Sète dans la nuit de dimanche à lundi pour des douleurs au ventre selon Le Midi Libre qui a pu interroger la mère de l'enfant.

    "On lui a fait une première injection de Spasfon pour la soulager et puis, un deuxième infirmier est rentré dans la salle où elle se trouvait. Il y avait un chariot devant la porte, il y a pris une ampoule et lui a fait une deuxième injection", explique-t-elle.

    Une deuxième injection administrée par erreur et qui contenait 5mg d'adrénaline selon la maman qui s'appuie sur un document émanant de l'hôpital.

    L'enfant ne présentait aucun problème de santé particulier

    La mère raconte alors avoir vu l'état de santé de sa fille s'aggraver subitement, celle-ci se mettant à trembler et à vomir du sang avant de faire un arrêt cardiaque. L'enfant est alors transférée "dans un état désespéré" au CHU de Montpellier, qui n'a pu la sauver.

    "Je veux savoir ce qui s'est passé. Elle n'avait aucun problème de santé. On a coupé les ailes d'un papillon en plein vol", a déclaré au journal la maman. 

    L'hôpital de Sète, interrogé sur une quelconque erreur médicale présumée par Le Midi Libre, ne souhaite pour l'instant faire aucun commentaire. L'enquête a été confiée à la sûreté départementale de l'Hérault.

    BFM.TV


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  • Une ado de 13 ans accusée d’avoir mis le feu pour tuer sa petite cousine

    La jeune fille serait à l’origine de l’incendie d’un appartement du Mée-sur-Seine dans lequel elle avait enfermé sa cousine de 8 ans. Mise en examen ce mercredi, elle devait être placée dans un foyer.

    L'adolescente de treize ans et demi a-t-elle tenté de tuer sa cousine de huit ans ? C'est en tout cas la direction prise par les policiers et la justice mercredi en fin de journée. Cette mineure, soupçonnée d'avoir mis le feu dans un appartement du Mée-sur-Seine, dimanche, a été mise en examen pour tentative de meurtre d'une mineure de moins de quinze ans, destruction par incendie et mise en danger de la vie d'autrui.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, le soir des faits, l'adolescente s'est rendue au domicile de sa cousine pour s'expliquer avec elle. Une violente dispute aurait éclaté entre les deux. L'adolescente se serait alors emparée d'un coussin, l'aurait frappée avec puis aurait tenté à plusieurs reprises de l'étouffer en le lui mettant sur le visage.

    Elle enferme la victime dans sa chambre puis met le feu

    Finalement, l'adolescente aurait enfermé la petite fille dans sa chambre. « Elle a ensuite mis le feu dans le couloir et a pris la fuite, précise une source proche du dossier. L'appartement a été entièrement ravagé, sauf la pièce dans laquelle la victime se trouvait. »

    L'adolescente, déjà connue pour des fugues, devrait être placée dans le cadre de l'aide sociale à l'enfance ce mercredi dans la soirée. « Elle souffre de problèmes psychiatriques importants », précise cette même source.

    Dimanche vers 19h10, à l'arrivée des policiers, les premiers arrivés devant l'immeuble de la rue Eugène Delacroix, la panique règne. Une petite fille appelle à l'aide de la fenêtre de son appartement du 3e étage. Plusieurs fonctionnaires montent dans les étages et sortent plusieurs personnes, mais impossible de trouver l'enfant.

    Les pompiers prennent le relais et évacuent la fillette via une échelle à coulisse. Plusieurs personnes encore plus haut sont également secourues, via une nacelle au bout d'un bras téléguidée. Par miracle, personne n'a été grièvement blessé ou brûlé. Seule la fillette avait été légèrement intoxiquée et conduite à l'hôpital. « On a vraiment frôlé le drame. Un peu plus tard dans la soirée, cela aurait peut-être pu tourner à la catastrophe », confie un enquêteur.

    L'instruction ouverte devrait permettre de connaître les raisons d'un tel acte et l'état psychologique de l'adolescente au moment des faits.

    Le Parisien


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  • Un homme a tué trois personnes dans les Deux-Sèvres, mercredi vers 15h, lors d'une réunion de travail dans une carrière. L'auteur présumé, qui a tenté de se suicider, est entre la vie et la mort.

     

    Un homme a tué trois personnes dans les Deux-Sèvres, mercredi après-midi, avant de tenter de se suicider. Selon les informations d'Europe 1, qui viennent confirmer celles de LCI, les faits se sont passés vers 15 heures dans une carrière à Saint-Varent. Cet homme a fait irruption lors d’une réunion de travail sur le site d'extraction et a ouvert le feu avec une arme de poing sur les participants. Trois personnes sont mortes, une quatrième est blessée mais ses jours ne sont pas en danger.

    On ignore encore les raisons de ce geste

    L’auteur des tirs a ensuite retourné son arme contre lui et se trouve actuellement à l’hôpital, entre la vie et la mort. On ignore encore les raisons de son geste, et si cet homme est un salarié ou un ancien salarié de la carrière. Plus d'une vingtaine de gendarmes ont été dépêchés sur place dont des militaires de Thouars et Bressuire mais aussi de la section de recherches (SR) de Poitiers. La carrière de la Noubleau est un vaste site d'extraction de granulats sur la commune de Saint-Varent, située dans le nord-est des Deux-Sèvres.

    Europe 1


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  • Cantal : Jean-Jacques Bourdin flashé à 186 km/h, permis de conduire confisqué et voiture immobilisée

    Le journaliste star de RMC a été flashé à 186 km/h près de Saint-Flour dans le Cantal, dimanche dernier.

     

    Jean-Jacques Bourdin n’était pas chez lui à Paris le week-end dernier, mais dans le sud de la France. Malheureusement pour l’intervieweur star de la matinale de RMC et BFMTV, ce dernier avait oublié les limitations de vitesse au retour de son petit séjour méridional, rapporte ce mercredi le quotidien régional La Montagne.

    Le journaliste, volontiers taquin avec les grands de ce monde, a été arrêté par les gendarmes du Peloton mobile de Gendarmerie de Saint-Flour, sur l’autoroute A75. Il conduisait à 186 km/h au lieu de 130 km/h selon La Montagne.

    Le présentateur âgé de 70 ans et au volant d’une Audi A6, a été contrôlé bien au-delà des limitations, la vitesse de 176 km/h ayant finalement été retenue contre lui. Son véhicule a immédiatement été immobilisé par les forces de l’ordre. Le journaliste a également été sanctionné d’une rétention administrative du permis de conduire.

    Jean-Jacques Bourdin se défend

    Selon la Montagne il aurait commis une autre infraction au regard des nouvelles règles de déplacement à travers l’Hexagone édictées depuis le 11 mai dernier. L’homme de radio n’aurait pas respecté la limite des 100 km de distance autour du lieu de résidence, lui permettant de se déplacer sans dérogation. Une amende de 135 euros a donc été aussi infligée à l’animateur et journaliste rapporte le quotidien régional. Contacté par Le Parisien, Jean-Jacques Bourdin se défend d’avoir commis cette dernière infraction, précisant qu’il bénéficiait d’une « dérogation », mais n’a pas souhaité faire de plus amples commentaires.

    Le Parisien


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  • Les faits se sont produits lundi vers 23h dans le quartier de la gare à Strasbourg, place Sainte-Aurelie, précise une source policière, confirmant une information des Dernières Nouvelles d'Alsace. Un jeune homme de 17 ans qui roulait à vélo au début de la rue du Faubourg-National en direction du centre-ville, sur une « zone de rencontre » étroite en cet endroit, a croisé une voiture. Des insultes auraient fusé. Puis le jeune homme s’est dirigé vers un commerce pour faire une course alors que la voiture faisait demi-tour…

     

    Le jeune homme aurait alors été poignardé à deux reprises par un ou des occupants de la voiture qui l’ont également frappé avec son vélo alors qu’il était au sol. Un commerçant est venu le secourir alors que les agresseurs prenaient la fuite en voiture. Le jeune cycliste est grièvement blessé mais ses jours ne sont plus en danger, précisent nos confrères. Les occupants de la voiture sont activement recherchés.

    20 Minutes


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  • Lors du contrôle routier d’un automobiliste en excès de vitesse, samedi, les gendarmes de Haute-Vienne se sont vite aperçus que sa passagère était sur le point d’accoucher. Ni une, ni deux, ils ont escorté le couple jusqu’à la maternité.

    Les gendarmes de la brigade motorisée de Rochechouart (Haute-Vienne) étaient en mission de lutte contre l’insécurité routière, samedi en milieu d’après midi sur la route nationale 21, lorsqu’ils ont vu arriver une voiture en excès de vitesse.

    En procédant à son interception entre Châlus et Aixe-sur-Vienne, ils se sont rendu compte que le couple à son bord était particulièrement pressé de rejoindre sa destination. Et pour cause, la passagère était sur le point d’accoucher, racontent-il sur leur page Facebook, ce lundi.

    Arrivés à la clinique en un temps record

    Au volant, le mari de cette dernière leur a expliqué la situation. « Ses explications étaient effectivement confirmées par les cris de la passagère, en phase de travail bien avancé et avec des contractions indiquant que le terme était proche », précisent les militaires.

    Immédiatement, les motards de la gendarmerie ont pris la décision de les escorter jusqu’à la maternité. Cette rencontre sur le trajet a été bénéfique pour le couple, qui a pu atteindre la clinique des Émailleurs, à Limoges, en un temps record.

     

    Une petite fille de 3,4 kg, qui « se porte bien », est née après cette aventure à grande vitesse sur la route de la maternité.

    ACTU 17


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  • C'est une terrifiante expérience qui aurait duré près de neuf heures qu'a vécue une sexagénaire durant la nuit de lundi à mardi. Cette femme de 68 ans a été agressée à son domicile par un préadolescent de 12 ans, à Conflans-Sainte-Honorine. Selon les premiers éléments de l'enquête, le garçon l'aurait séquestrée et menacée pour des raisons qui restent à éclaircir.

     

    Il est 3 h 10 du matin lorsque les policiers de la brigade anticriminalité sont appelés par le voisin de cette femme chez qui elle vient de se réfugier. Les fonctionnaires arrivent dans cette zone pavillonnaire et découvrent une femme apeurée. Elle leur donne les clés de sa maison avant d'expliquer qu'un jeune garçon l'a séquestrée dans son propre domicile pendant des heures, avant qu'elle ne parvienne à prendre la fuite quelques minutes plus tôt. « Elle raconte que vers 18 h 30, le gamin serait parvenu à s'introduire dans la maison. Il l'aurait menacée et même violentée », précise une source proche de l'affaire.

    Un récit de la soirée difficile à suivre

    Les policiers entrent dans cette maisonnette et y surprennent un adolescent âgé de 12 ans, qui se laisse interpeller sans faire d'histoire. Il s'agit d'un jeune fugueur qui résidait dans un foyer de l'aide social à l'enfance de la ville jusqu'en janvier dernier avant qu'il n'en prenne la fuite. Il a été conduit au commissariat de Conflans-Sainte-Honorine où il a été placé en garde à vue. La victime n'est pas blessée et a pu être entendue. Mais son récit est difficile à suivre car elle semble souffrir de difficultés d'ordre psychologique.

    La suite des investigations devrait permettre d'y voir un peu plus clair. Les vêtements de la victime ont été récupérés par les policiers pour être analysés. « Le parquet de Versailles a demandé aux enquêteurs de la sûreté de Conflans de convoquer un expert psychiatre qui sera chargé d'évaluer le comportement du garçon et de la sexagénaire », précise une source proche de l'affaire.

    Si toute cette histoire se révèle véridique, le procureur pourra faire déférer ce garçon devant un juge pour enfant. S'il estime qu'il est capable de discernement, le magistrat pourra lui imposer une sanction éducative comme une interdiction de rencontrer certaines personnes ou de fréquenter certains lieux, la confiscation d'objets ou l'obligation d'effectuer stage de formation civique. Mais la loi ne permet pas qu'un adolescent de moins de 13 ans soit sanctionné d'une peine de prison.

    Le Parisien


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  • Il s’agit du deuxième homicide au couteau qui a lieu en centre-ville de Marseille en moins d’une semaine.

    Un homme de 35 ans a été poignardé mortellement au thorax, alors qu’il se trouvait dans le quartier de Saint-Mauront, dans le 3ème arrondissement de Marseille, ce mardi. Vers 1h30 du matin, les marins-pompiers et le SAMU sont intervenus dans la rue du Jet d’eau où gisait au sol un homme grièvement blessé, d’après une source policière.

    Il était inconscient et présentait une plaie au thorax causée par un coup de couteau. Les secours l’ont pris en charge et l’ont conduit aux urgences de l’hôpital La Timone, avec un pronostic vital engagé. Le trentenaire succombera finalement à ses blessures.

    Une altercation aurait eu lieu avant le drame

    De leur côté, les policiers ont mis en place un périmètre de sécurité et les techniciens de l’identité judiciaire ont procédé aux constatations sur les lieux du drame. Une enquête a été ouverte par le parquet et a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire.

    D’après des témoignages recueillis sur place, une altercation aurait eu lieu entre plusieurs personnes avant que l’une d’entre elles ne porte un coup de couteau mortel à la victime, selon cette même source. Cet homme n’était pas connu des services de police.

     

    Il s’agit du deuxième homicide à coup de couteau en 5 jours à peine, dans les rues du centre-ville de Marseille. Jeudi soir, un jeune homme de 23 ans avait été tué dans la rue des Trois frères Barthélémy, située dans le 6ème arrondissement de la cité phocéenne. Le meurtre de ce jeune homme pourrait être lié à un règlement de compte, selon les premières investigations.

    ACTU 17


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  • La police a interpellé un homme de 33 ans ce lundi après-midi à Saint-Raphaël (Var). Armé d’un couteau, il venait de menacer les voyageurs d’un TGV en langue arabe.

    Le trajet des passagers d’un TGV reliant Paris à Nice a été très perturbé ce lundi. La police est intervenue en gare de Saint-Raphaël pour interpeller un homme menaçant raconte Var-Matin.

    Le suspect s’était déjà fait remarquer en gare de Toulon, avant l’arrivée du train. L’homme de 33 ans a réclamé une cigarette à un autre voyageur. Ce dernier a refusé de lui en donner. Le trentenaire s’est énervé et s’est montré menaçant. Il a également exhibé un couteau de cuisine avec une lame de 10 centimètres, avant de monter dans le TGV. 

    Des propos « relevant de l’apologie du terrorisme »

    Une fois dans le train, le suspect a fait des allers-retours dans le wagon et a proféré des menaces en langue arabe. Il a également hurlé « Allah Akbar », tenant également des propos « relevant de l’apologie du terrorisme », selon une source policière citée par le quotidien.

    Les forces de l’ordre ont été alertées de la situation en cours dans le train qui se dirigeait vers Nice (Alpes-Maritimes). Les policiers ainsi que les agents de la sûreté ferroviaire (SUGE) ont mis en place un dispositif en gare de Saint-Raphaël, qui a été évacuée, pour interpeller le mis en cause.

    Le suspect a été arrêté et son couteau a été retrouvé sur lui, tout comme de la résine de cannabis. L’homme, très connu des services de police, a été placé en garde à vue.

    Il insulte son avocat avant d’être interné à l’hôpital

    Au commissariat, le trentenaire a insulté son avocat, a uriné sur son matelas et a étalé ses excréments sur les murs de sa cellule.

    Il a ensuite fait l’objet d’un examen de comportement avant d’être interné en psychiatrie à l’hôpital d’Aix-en-Provence, ville où il réside. Une seconde expertise devra déterminer s’il peut être tenu responsable de ses actes dans le TGV.

    Pour l’heure, le mis en cause est poursuivi pour apologie du terrorisme, menaces avec arme, port d’arme prohibée et détention de produits stupéfiants.

    ACTU 17


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  • Le corps sans vie d’un homme tué à coups de couteau a été retrouvé dans une rue du Creusot en Saône-et-Loire, ce mardi. La police judiciaire est en charge des investigations.

    Un homme âgé d’une trentaine d’années a été tué à coups de couteau, ce mardi matin, dans la commune du Creusot. Vers 9h20, une bagarre a éclaté entre deux hommes dans la rue de Decize, devant le magasin Les Espaces Lumineux.

    Le gérant du commerce a alerté les secours puis il aurait fermé sa boutique pour se protéger, rapporte Le Journal de Saône-et-Loire.

     

    Les pompiers n’ont pas pu sauver la victime, qui serait décédée presque instantanément à la suite de ses graves blessures. Aucune interpellation n’a eu lieu. Le parquet a ouvert une enquête qu’il a confiée à la police judiciaire de Dijon (Côte-d’Or).

    L’homme avait rendez-vous pour effectuer une transaction, sans lien avec un trafic de stupéfiants, relate Creusot-Info. La scène de crime a été bouclée par un périmètre de sécurité. Les techniciens de l’identité judiciaire ont procédé aux constatations et relevés de traces et indices sur place.

    ACTU 17


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  • Castres : Ils kidnappent la responsable du Leclerc et s’emparent de 40 000€ dans le coffre-fort

    Les malfaiteurs qui étaient armés ont kidnappé l’une des responsable du supermarché à son domicile, avant de faire main basse sur le contenu du coffre-fort du magasin.

    Plusieurs individus encagoulés et armés ont fait irruption ce lundi soir vers 23 heures, au domicile d’une femme de 45 ans, qui est l’une des responsables du supermarché Leclerc situé route de Lautrec, à Castres (Tarn), rapporte La Dépêche. Cette dernière réside non loin de son lieu de travail.

    Les agresseurs ont menacé la victime et l’ont forcée à les conduire au supermarché où elle travaille, à bord de sa voiture. La quadragénaire a été frappée au visage.

     

    Une fois sur place, elle a été contrainte d’éteindre le système d’alarme puis d’ouvrir le coffre-fort du magasin. Les malfaiteurs se sont alors emparés d’un butin estimé à 40 000 euros. La victime a ensuite été ligotée et enfermée dans les toilettes du supermarché.

    La voiture de la victime retrouvée en feu

    Les auteurs ont pris la fuite à bord de la voiture de la quadragénaire, qui a été retrouvée incendiée un peu plus tard dans la nuit. De son côté, la responsable est parvenue à se défaire de ses liens et à alerter la police. Elle a été conduite à l’hôpital de Castres alors qu’elle était blessée et sous le choc.

     

    Une enquête a été ouverte et confiée au Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Toulouse. Les policiers vont chercher à déterminer comment les malfaiteurs ont repéré leur victime et s’ils l’ont suivie. Leur acte avait en tout cas été bien préparé.

    ACTU 17


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  • Un homme âgé de 36 ans au profil inquiétant a été interpellé par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ce mardi matin.

    Les policiers de la DGSI ont interpellé un homme de 36 ans à Limoges (Haute-Vienne) dans la matinée. Cet individu est soupçonné d’avoir préparé une attaque contre un lieu de culte juif indique L’Express.

    Le suspect, agent de sécurité de profession, serait considéré comme viscéralement antisémite et comme un adorateur des tueurs de masse, notamment de Brenton Tarrant, qui a tué 51 personnes dans deux mosquées en Nouvelle-Zélande en mars 2019, diffusant la tuerie sur internet.

    « Association de malfaiteurs terroriste criminelle »

    L’homme aurait observé la réouverture des offices religieux ces derniers jours. Il a été placé en garde à vue. En outre, une perquisition a été réalisée à son domicile et les fonctionnaires de la DGSI auraient découvert des engins explosifs artisanaux et des armes blanches.

    Le mis en cause a été transféré au siège de la DGSI à Levallois-Perret pour y être entendu. Une enquête avait été ouverte le 12 mai dernier par le parquet national antiterroriste (PNAT) pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle ».

     

    Le suspect est présenté comme ayant un profil « d’extrême droite antisémite », précise Le Parisien. Il tenait des propos de plus en plus virulents ces derniers jours selon le quotidien.

    ACTU 17


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