• Un homme a avoué aux policiers s’être livré à du vol de matériel au sein de l’hôpital qui l’employait depuis 1985. Sur son compte bancaire, les enquêteurs ont retrouvé 270 000 euros, qui témoignent de l’ampleur du préjudice.

    Durant 35 ans, ce discret technicien de maintenance, employé par le centre hospitalier Albert-Calmette à Lille (Nord), a commis des centaines de vols dans l’établissement. Soupçonné de s’être emparé de matériel médical et d’entretien pour le revendre, il a reconnu les faits lors de sa garde à vue, rapporte Le Parisien.

    Tout y passait : savons, instruments médicaux, fauteuils roulants, linge de lit, masques, papier toilette, plomberie, etc. Certains objets ont été retrouvés par les policiers de la Sûreté départementale, lors de la perquisition menée à son domicile.

     

    Quatre fourgons ont été nécessaires pour débarrasser le logement de ces biens mal acquis.

    Un doute est né lors de la disparition de masques

    Les agissements de cet employé, âgé de 59 ans, ont été mis au jour par son chef de service, le directeur technique adjoint de l’établissement de soins. Ce dernier a alerté sa direction au début du mois de mai, et a consigné la disparition de bon nombre de matériels, en particulier des masques, ces dernières semaines.

     

    Le cadre a mené lui-même des investigations, et a retrouvé une partie des objets qui manquaient à l’inventaire. Ils étaient en vente sur le site de petites annonces Le Bon Coin. Alerté par la direction de l’hôpital, le parquet de Lille a ouvert une enquête le 7 mai dernier.

    C’est dans ce cadre que les policiers de la Sûreté départementale ont identifié le principal suspect, Régis O., employé technique de l’établissement. Ce quinquagénaire discret et inconnu des services de police est passé aux aveux face aux enquêteurs.

    Un trafic très lucratif

    Il a confié aux policiers avoir détourné des milliers d’objets, durant ses 35 ans d’exercice auprès du même employeur. Les investigations ont permis aux enquêteurs de découvrir 270 000 euros sur un compte bancaire lui appartenant.

    Son business était visiblement lucratif, car l’homme est également propriétaire d’une maison et d’un appartement. L’enquête se poursuit pour déterminer l’ampleur exacte de ces vols.

    Ce samedi, le parquet de Lille a annoncé l’ouverture d’une information judiciaire et sa mise en examen pour « détournement de fonds publics », « blanchiment » et « travail dissimulé ». Il a été placé sous contrôle judiciaire strict, précise La Voix du Nord.

    ACTU 17

    Et bien, il ne doit pas y savoir beaucoup de contrôles pour avoir mis 35 ans à découvrir ces vols !!!


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  • Le policier traité de « vendu » parce que noir, durant la manifestation pour Adama Traoré et contre les violences policières ce mardi à Paris, a décidé de déposer plainte.

    Les faits ont été filmés et la vidéo largement diffusée et partagée sur les réseaux sociaux. Un policier qui faisait partie du dispositif de maintien de l’ordre ce mardi soir à Paris (XVIIe), lors de la manifestation pour Adama Traoré et contre les violences policières, a été traité de « vendu » par plusieurs personnes, parce que noir.

    « Vendu, vendu, vendu ! » scandent les manifestants alors que le fonctionnaire de la DOPC (Direction de l’ordre public et de la circulation), qui délimite le périmètre de sécurité avec ses collègues, préfère ne pas réagir. Le rassemblement avait par ailleurs été interdit par la préfecture de police et n’était pas déclaré.

    « T’es de leur côté, t’as pas honte ! »

    « Honte sur toi ! » répète ensuite une femme en hurlant. Cette dernière a été rapidement identifiée par les internautes. Il s’agit d’une Youtubeuse nommée Nadjélika, suivie par près de 580 000 personnes sur la plateforme de vidéos en ligne. « T’es de leur côté, t’as pas honte ! », insiste-t-elle.

    « Son calme et sa dignité sont un exemple qui nous honore » a réagi Didier Lallement

    La préfecture de police a annoncé sur Twitter ce jeudi que le policier pris à partie par ces manifestants avait déposé plainte.

    « Soutien total au fonctionnaire de la PP qui a fait l’objet de propos abjects lors de la manifestation du 2 juin. Il a porté plainte et je m’y associe. Son calme et sa dignité sont un exemple qui nous honore », a écrit Didier Lallement. Le préfet de police a annoncé ensuite qu’il avait lui aussi déposé plainte.

    « Il n’y a pas de race dans la police, pas plus que de racisés ou d’oppresseurs racistes. Il y a des fonctionnaires qui s’engagent pour la liberté, l’égalité et la fraternité et cela au quotidien ! », a aussi écrit la préfecture de police dans un autre tweet.

    D’autre part, des incidents ont éclaté vers 21 heures, à la fin de la manifestation. Plusieurs incendies ont été allumés et les forces de l’ordre ont été visées par des jets de projectiles.

    ACTU 17


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  • Un homme âgé de 26 ans a été interpellé ce lundi à Lyon pour une série de délits. Il affirmé lors de sa garde à vue qu’il était « comme les terroristes » et doit être jugé ce jeudi.

    La police a rapidement réagi et a interpellé un sans domicile fixe de 26 ans qui venait d’enchainer les délits, ce lundi matin à Lyon. Ce dernier a d’abord dégradé une voiture en stationnement à coup de pied et en lançant une bouteille dessus.

    Peu après, le jeune homme s’en est violemment pris à une cliente d’un magasin d’alimentation. Il lui a volé son téléphone et l’a frappée au visage avant de prendre la fuite indique la sûreté départementale du Rhône, qui a été chargée de cette affaire.

    « Allah Akbar, je suis comme les terroristes »

    Le mis en cause a finalement été interpellé par la police quelques minutes plus tard, vers 9 heures, devant l’hôpital Saint Jean de Dieu, dans le 8e arrondissement.

    Placé en garde à vue, l’homme âgé de 26 ans ne s’est pas arrêté là. Il a déclaré à plusieurs reprises « Allah Akbar, je suis comme les terroristes » et a frappé deux policières qui étaient en train de le maîtriser. Un examen psychiatrique a été réalisé et n’a pas montré une quelconque pathologie chez le suspect.

    En outre, l’homme est déjà connu pour 15 faits différents au fichier de traitement des antécédents judiciaires (TAJ), le fichier des forces de l’ordre.

    Il a été déféré et devait être jugé dans le cadre d’une comparution immédiate ce jeudi.

    ACTU 17

    Attendons qu'il tue quelqu'un !


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  • Une fillette a ressenti une forte douleur à une fesse alors qu’elle faisait du roller dans la rue. Les médecins ont découvert qu’elle avait reçu un projectile tiré par une carabine, qui aurait pu lui coûter la vie.

    Une petite fille de 10 ans faisait du roller dans une impasse de Roussillon (Isère), lundi vers 20 heures, lorsqu’elle s’est plainte d’une vive douleur à la fesse gauche. Un hématome est apparu et elle pensait avoir reçu une pierre, relate Le Dauphiné.

    Conduite à l’hôpital par les sapeurs-pompiers, la fillette a subi une radiographie et les médecins ont découvert qu’un plomb s’était fiché assez profondément dans sa chair.

    visés des faits, les gendarmes ont rapidement localisé le lieu d’où le projectile avait été tiré. Un adolescent de 17 ans s’y trouvait avec un ami dans un jardin privé et tous deux pratiquaient le tir à la carabine. L’arme, équipée d’une lunette, a été saisie.

    Une séance de tir au plomb sans protection

    Interrogés par les forces de l’ordre, ils ont expliqué qu’ils visaient des cibles, en ayant, cette fois, omis de placer une protection entre elles et la haie de clôture. Le plomb avait, en fait, parcouru une cinquantaine de mètres avant de toucher la fillette.

    Ils ont été convoqués le lendemain à la brigade de gendarmerie et l’un des deux tireurs a immédiatement reconnu être à l’origine de l’incident. Il a assuré aux enquêteurs ne pas avoir visé l’enfant. L’adolescent, inconnu de la justice jusqu’ici, a été placé en garde à vue pour « violences volontaires avec arme ».

    Les constatations et investigations techniques effectuées sur place semblent confirmer que le tireur n’avait pas pu voir la fillette à partir de l’endroit où il se trouvait.

    Le projectile a frôlé l’artère fémorale

    Le parquet de Vienne a demandé la levée de sa garde à vue mardi après-midi. L’enquête se poursuit et pourrait être requalifiée en « blessures involontaires avec mise en danger de la vie d’autrui ». La thèse de l’accident ayant été retenue.

    De son côté, la fillette a dû subir une opération chirurgicale, ce mardi. Le chirurgien a précisé qu’elle avait eu beaucoup de chance, car le plomb est passé près de son artère fémorale et aurait pu lui coûter la vie.

    Ses parents, très choqués, ont été auditionnés par les enquêteurs. Ils devaient déposer plainte dans la foulée.

    ACTU 17

    Pour moi, le tir à la carabine n'est pas un jeu !


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  • La star du porno Nacho Vidal arrêté après la mort d’un homme empoisonné au venin de crapaud

    © REX/Steve Black/REX/SIPA L'acteur porno espagnol Nacho Vidal (à gauche) aux côtés de Rocco Siffredi en 2013.

    Nacho Vidal, star du porno espagnole, arrêtée pour la mort d’un homme empoisonné par du venin de crapaud. L’information est bel et bien vraie, la Guardia civil n’est pas connue pour son humour. L’acteur a été interpellé dans la région de Valence en Espagne la semaine dernière en lien avec la mort d’un homme en juillet 2019, que la presse locale identifie comme le photographe de mode Jose Luis Abad.

     

    Au cours d’un rituel prétendument thérapeutique, la victime est décédée après avoir inhalé du venin de Bufo Alvarius, une espèce rare de crapaud originaire du désert mexicain de Sonora, qui possède de puissants effets psychédéliques. Sa mort a été initialement attribuée à une attaque cardiaque mais la police a ouvert une enquête qui a débouché sur l’arrestation mardi de Nacho Vidal, d’un membre de sa famille et d’une employée, soupçonnés d’homicide involontaire.

    Des rituels présentant de « sérieux risques pour la santé »

    D’après le communiqué de la Garde civile, Nacho Vidal organisait régulièrement ces rituels dont il vantait les vertus thérapeutiques. Mais ces « rituels à l’apparence inoffensive » présentaient de « sérieux risques pour la santé », attirant des personnes « facilement influençables, vulnérables ou qui cherchaient de l’aide pour une maladie ou des addictions grâce à des méthodes alternatives ».

    Ce venin de crapaud contient un puissant psychotrope nommé 5-MeO-DMT dont les effets ont été comparés au ayahuasca, une concoction très hallucinogène venue d’Amazonie et consommée lors de rituels chamaniques.

    20 Minutes


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  • Un homme soupçonné d’avoir pratiqué des attouchements sexuels sur une petite fille dans un parc a été interpellé ce lundi, à Nantes (Loire-Atlantique). Chez lui, les enquêteurs ont découvert des photos pédopornographiques et des vidéos inquiétantes.

    Les faits se sont déroulés jeudi dernier, dans le parc de Procé à Nantes. Deux mères de famille étaient en train de discuter sur la pelouse, pendant que leurs fillettes de 7 ans se rendaient dans un sous-bois pour uriner.

    Un homme, âgé d’une soixantaine d’années, aurait fait irruption auprès d’elles, rapporte Ouest-France. Il aurait sorti son sexe et caressé les fesses de l’une des fillettes au moment où elle remontait sa culotte, avant de prendre la fuite.

     

    Lorsqu’elle a appris les faits, la mère de la victime a gardé les vêtements de cette dernière pour que les policiers puissent prélever l’ADN du suspect.

    Des policiers municipaux repèrent un suspect

    Alertés, les fonctionnaires ont recueilli la description de cet homme et de son vélo. Les recherches immédiates n’ont pas été fructueuses. En parallèle, des analyses ADN ont été lancées grâce aux vêtements de la fillette agressée jeudi.

    Le signalement du suspect et le mode opératoire décrit par la victime ont permis aux enquêteurs de faire un rapprochement avec une autre enquête concernant une exhibition sexuelle commise en juillet 2019. Elle s’était produite au parc du Grand-Blottereau, devant une petite fille de 8 ans.

    Le 1er juin, les policiers municipaux de Nantes ont procédé au contrôle d’un individu correspondant au signalement recueilli quelques jours plus tôt. Présenté à la victime, il a été formellement reconnu et interpellé.

    Des vidéos tournées dans des parcs de la ville

    L’homme, âgé de 61 ans, a été placé en garde à vue et une perquisition a été menée à son domicile. Les enquêteurs ont analysé son matériel informatique et y ont découvert des photos à caractère pédopornographique.

    Mais ce n’est pas tout. Sur ces supports numériques, les policiers ont également constaté la présence de vidéos filmées dans un ou plusieurs parcs de la ville. Interrogé par les enquêteurs, il aurait reconnu une partie des faits qui lui sont reprochés.

    Ce mercredi soir, il devait être présenté à un juge d’instruction en vue de sa mise en examen. Le parquet devait requérir son placement en détention provisoire. L’homme n’était pas connu de la justice jusqu’ici.

    Les policiers tentent désormais de déterminer si d’autres agressions du même type ont été commises par le prédateur.

    ACTU 17


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  • Un couple a été mis en examen avant d’être placé en détention provisoire vendredi dernier. Cet homme et cette femme sont accusés d’avoir violemment agressé un homme de 93 ans pour le voler. La victime est décédée deux semaines plus tard à l’hôpital.

    Un vieil homme âgé de 93 ans rentrait chez lui sur l’avenue de Mazargues à Marseille (8e) ce 17 avril vers 12h30, lorsqu’il a été abordé par une jeune femme. Cette dernière lui a d’abord proposé ses services en tant que femme de ménage. Puis face au refus du nonagénaire, elle lui a demandé si elle pouvait venir se rafraichir dans son appartement.

    La jeune femme venait de tromper cet homme pour parvenir à ses fins. Une fois chez le vieil homme qui lui a servi à boire, elle a ouvert à son compagnon qui a surgi avec une arme blanche à la main. L’habitant a été violemment molesté et menacé. Le couple voulait à tout prix savoir où est-ce qu’il cachait son argent.

    140 euros, une carte bancaire et un ordinateur

    La victime a ensuite été ligotée à son lit puis étranglée, jusqu’à ce qu’elle perde connaissance. Les agresseurs en ont profité pour fouiller le logement et se sont emparés de la somme de 140 euros en numéraire, d’une carte bancaire, ainsi que d’un ordinateur iMac selon une source policière. Ils ont ensuite pris la fuite, laissant la victime inconsciente, attachée à son lit.

    Un voisin a peu après entendu les cris du vieil homme qui avait repris connaissance. Il a immédiatement alerté la police. Une enquête a été ouverte et confiée aux fonctionnaires de la brigade des vols à main armée de la sûreté départementale, qui ont agi dans le cadre d’une commission rogatoire.

    L’ADN d’une jeune femme déjà connu de la police

    De minutieuses constatations et des prélèvements ont été réalisés au domicile du nonagénaire pour tenter d’isoler l’ADN d’un des deux auteurs. Les techniciens de la police scientifique y sont parvenus : une jeune femme de 20 ans a été identifiée.

    Quant à la victime qui a été hospitalisée dès sa prise en charge, elle a été en mesure de fournir une brève description de ses agresseurs, aux policiers.

    Malheureusement, le vieil homme est décédé le samedi 2 mai à l’hôpital suite à une défaillance cardio-pulmonaire selon une source proche de l’enquête. Des examens doivent encore confirmer si son décès est consécutif à la violente agression qu’il a subie.

    Interpellés à proximité de la gare Saint-Charles

    Les policiers ont poursuivi leurs investigations et ont utilisé des moyens techniques pour retrouver la trace de la suspecte, notamment en mettant son téléphone sur écoute. Le second agresseur présumé a rapidement été identifié : il s’agissait du compagnon de cette dernière.

    Ce couple de sans domicile fixe, bien connu des services de police, a été interpellé mercredi 27 mai à proximité de la gare Saint-Charles alors qu’il allait quitter la région. L’homme âgé de 28 ans était porteur d’un cutter. Les mis en cause ont été placés en garde à vue.

    Face aux enquêteurs, l’agresseur a notamment reconnu qu’il avait menacé la victime avec une arme blanche et qu’il l’avait étranglée jusqu’à ce qu’elle perde connaissance. Par ailleurs, durant leurs investigations, les policiers ont découvert que le couple était impliqué dans une autre affaire de vol et d’abus de faiblesse, commis sur des personnes très âgées. Une autre enquête se poursuit sur cette affaire.

    Les deux auteurs présumés ont été mis en examen pour séquestration sans libération ayant servi à la commission d’un crime, et ont été placés en détention provisoire.

    ACTU 17


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  • Un employé de banque spécialisé dans le conseil patrimonial est soupçonné par la justice d’avoir détourné frauduleusement l’argent de plusieurs de ses clients. Il a reconnu une partie des faits.

    Le banquier malhonnête a agi discrètement, durant plusieurs années, et il est arrivé à détourner une somme qui pourrait dépasser les 500 000 euros. Des fonds qui appartenaient à certains de ses clients, rapporte L’Est Républicain.

    Employé en tant que conseiller patrimonial par une banque située dans le Doubs, un sexagénaire a été mis en examen, fin mai à Besançon, pour « escroquerie aggravée, abus de confiance, abus de faiblesse », ainsi que « faux et usage de faux ».

     

    Les gendarmes de la Brigade de recherches de Montbéliard ont allié leurs efforts d’enquête avec le Groupe d’intervention régional (GIR), pour mettre un terme à ce détournement d’argent d’ampleur et confondre le suspect.

    Il profitait de l’état de faiblesse de certains clients

    Fort d’un portefeuille de 533 clients, le conseiller patrimonial ciblait les personnes âgées ou vulnérables. Cela a notamment été le cas pour une cliente, âgée et sans enfant, dont il aurait profité de 2008 jusqu’à son décès en 2015.

    « Cette dame lui a fait totalement confiance et lui remettait des chèques qu’il remplissait lui-même, jusqu’à imiter sa signature », a indiqué Margaret Parietti, vice-procureure de la République de Besançon, ajoutant que « des virements frauduleux ont également été constatés ».

    L’homme utilisait même des comptes bancaires de ses proches pour y faire transiter l’argent détourné, et ainsi dissimuler son stratagème à tiroirs, relate le quotidien régional.

    Son manège, qui a duré des années, a été mis au jour suite au testament de sa victime, qui désignait comme héritières des petites-cousines à elle. Ces dernières ont remarqué des mouvements suspects sur le compte et des irrégularités. Le doute s’est finalement confirmé après un dépôt de plainte en 2016.

    Il « régularisait l’erreur » lorsque les clients avaient un doute

    Le banquier malhonnête a toutefois poursuivi ses détournements auprès d’autres clients, dont un couple et trois autres personnes âgées. Entre autres fraudes, il empochait certains dépôts d’espèces, comptant sur les faits que ses clients ne se rendent compte de rien. Lorsqu’il se faisait prendre, il « régularisait » la situation et parvenait à faire passer cela pour une erreur.

    « On a par exemple le cas d’une femme déposant 7 000 € à quatre reprises, sans que son compte ne soit crédité. Quand elle l’a remarqué, le mis en cause a procédé à la régularisation en utilisant l’argent d’un autre compte pour éviter toute réclamation », décrit la magistrate. « L’information judiciaire en cours se chargera d’établir le nombre exact de victimes et le montant du préjudice », a-t-elle précisé.

    Licencié par la banque et placé sous contrôle judiciaire par le juge

    L’employeur du conseiller malhonnête, une banque du Doubs, a également déposé plainte en 2018, et l’a licencié pour faute grave. Le sexagénaire a reconnu les faits uniquement en partie, « mais n’a pas donné d’explications réelles sur le motif de ses agissements » a indiqué le parquet.

    Une perquisition a été menée à son domicile et les enquêteurs y ont découvert une  quantité significative de matériel divers, de son et d’outillage notamment. Le stock s’étendait sur 90 m² du sol au plafond et a été estimé à 40 000 euros. L’ex-banquier a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire, en attendant son procès.

    ACTU 17


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  • Pour ces deux jeunes femmes d'origine serbe, de 22 et 27 ans, rentrer dans un appartement était un jeu d'enfant. Il suffisait d'une simple feuille plastifiée de radio pour repousser le pêne de la serrure et pénétrer sans trace d'effraction dans un beau duplex, puis faire main basse sur des objets de valeur.

    La méthode est connue sous le nom le travail « au feuillard ». Le manège durait depuis un certain temps, et elles avaient attiré la curiosité de la 1re DPJ parisienne. Tous les matins, elles étaient déposées par un homme et passaient à l'action dans le quartier. Puis il revenait les chercher une fois leur besogne accomplie.

    L'apparence d'employées d'immeuble ordinaires

    Elles se sont fait prendre alors qu'elles s'apprêtaient à visiter un logement dans le XVe. Les deux jeunes filles auraient très bien pu passer pour de consciencieuses femmes de ménages. Vêtues de masques et de gants, elles ressemblaient à des employées d'immeubles ordinaires, qui viennent briquer les cages d'escalier. Mais elles étaient équipées d'un outillage qui ne trompe pas : deux feuilles de radio, quatre tournevis et deux passes d'immeuble piratés.

    Le travail de la PJ a permis de localiser leur domicile et celui de leur chauffeur, en Seine-Saint-Denis à Drancy et Bobigny. Dans leurs logements ont été retrouvés quantité de des bijoux de valeur, une montre Rolex, cinq sacs Chanel, Vuitton et Prada et quinze bouteilles de grands crus.

    Procès le 18 septembre !

    Elles sévissaient non seulement à Paris mais aussi à Pantin, dans le 93. Déférées au parquet de Paris le 30 mai, elles et leur complice ont été placés sous contrôle judiciaire et convoqués ultérieurement pour un procès le 18 septembre prochain.

    Depuis la fin du confinement les services de police ont noté que ces équipes avaient repris du service. Comme en témoignent les interpellations de ces derniers jours. Les habitants, qui sortent enfin de leurs appartements, laissant le champ libre aux petites voleuses.

    Le Parisien

    Pas mises en prison !


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  • Un homme et une femme refusaient de quitter leur chambre d’hôtel à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) malgré la fin de la réservation. Ils ont frappé et mordu plusieurs policiers.

     

    Des insultes et des coups. Voilà à quoi ont été confrontés les policiers ce mardi à Villeneuve-Saint-Georges. Ces derniers ont été sollicités vers 12h40 par une employée de l’hôtel de la gare, situé place Pierre Semard, qui leur a expliqué qu’un couple de clients refusait de quitter sa chambre malgré la fin de sa réservation.

    Arrivés devant la chambre des suspects, les policiers leur ont demandé de sortir. Les deux occupants ont refusé et ont insulté les forces de l’ordre : « Mangez vos morts ! Baisez vos morts ! », auraient-ils déclaré, puis « Espèce de sales blancs ! ».

     

    Le gérant de l’établissement est arrivé à son tour et a ouvert la porte de la chambre qui était verrouillée. Le couple a d’abord tenté d’empêcher les policiers d’entrer. Voyant qu’il n’y parvenait pas, l’homme a violemment frappé deux des policiers et s’est rebellé lors de son interpellation, tout en traitant les fonctionnaires de « fils de pute ».

    Il mord un policier à la cuisse durant le trajet

    Le couple a été interpellé. Pendant le trajet menant au commissariat, le mis en cause a mordu soudainement un autre policier à la cuisse indique une source policière. Les deux interpellés âgés d’une trentaine d’années ont été placés en garde à vue.

     

    Une mesure qui n’a pas calmé cet homme, qui a ensuite frappé violemment un quatrième fonctionnaire en lui portant un coup de coude à la bouche, au cours de sa fouille précédant son placement en cellule.

    Quatre et deux jours d’ITT

    Au total, cinq policiers ont été blessés au cours de cette intervention. L’un s’est vu attribuer 4 jours d’Incapacité totale de travail (ITT), un autre 2 jours d’ITT. L’enquête a été confiée au commissariat de Villeneuve-Saint-Georges.

    ACTU 17

    Sûrement de gentils noirs !


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  • La police nationale est une nouvelle fois endeuillée par le suicide de l’un de ses fonctionnaires.

    Un policier âgé de 49 ans s’est suicidé au cours du week-end apprend-on ce mardi de sources policières. Brigadier-chef, Olivier L. était affecté au commissariat de Reims (Marne).

    Il s’agirait du 15ème suicide dans les rangs de la police nationale depuis le 1er janvier, alors que 59 fonctionnaires ont mis fin à leurs jours l’an passé selon le ministère de l’Intérieur.

     

    En janvier 2019, un autre policier de 53 ans lui aussi affecté à Reims, s’était donné la mort avec son arme de service.

    Le mois dernier, au moins trois policiers ont mis fin à leurs jours. Une policière du Havre s’est également suicidée début mai.

     

    Une cellule de soutien psychologique disponible 24h/24 a été mise en place par le ministère de l’Intérieur pour les forces de l’ordre, elle est joignable au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

    ACTU 17


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  • Effroyable découverte ce mardi soir dans une villa de Juvignac, près de Montpellier (Hérault). Une mère et ses deux enfants ont été retrouvés morts dans la piscine.

    C’est le père de famille qui a fait la macabre découverte ce mardi soir en rentrant du travail, vers 23 heures. En arrivant dans sa villa située dans le quartier pavillonnaire de la Plaine à Juvignac, il a découvert sa compagne âgée d’une trentaine d’années ainsi que ses deux enfants de 2 et 4 ans, morts dans la piscine, rapporte Midi Libre.

    Les secours ont été alertés et sont rapidement arrivés. Ils ont tenté de ranimer les victimes, en vain. La mère et ses deux enfants sont décédés. On ignore pour l’heure ce qui s’est passé.

    Plusieurs pistes étudiées

    Une autopsie va être pratiquée afin de déterminer les circonstances du décès des victimes. Selon le Metropolitain, elles sont mortes noyées. Plusieurs pistes sont étudiées, notamment celle d’un accident et celle d’un acte criminel. Une enquête a été ouverte et les investigations ont été confiées aux gendarmes de la section de recherche de Montpellier.

    Tout au long de la nuit, les gendarmes de la compagnie de Castelnau-le-Lez ont effectué des constatations et des relevés sur place.

    ACTU 17


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  • En garde à vue, il a déclaré qu'il « voulait faire l'amour » avec la victime et « se marier » avec elle. Mais les faits qui l'ont conduit dans les locaux du 3e district de la police judiciaire parisienne n'ont rien de romantiques. Selon des sources concordantes, cet homme d'une trentaine d'années, ressortissant africain, a été mis en examen dimanche pour « vol, tentative de viol et tentative de meurtre » sur une jeune femme par une juge d'instruction parisienne. Un triptyque d'accusations graves pour cet homme décrit comme « un prédateur » par un proche de l'enquête. Il a été placé en détention provisoire à la prison de Fresnes (Val-de-Marne).

     

    Dans la nuit du 28 au 29 mai, vers 3h50, une étudiante rentre chez elle à rollers après avoir passé une soirée dans Paris. Alors qu'elle fait une pause à un abribus dans le XIIIe arrondissement pour se reposer, elle est abordée par le suspect. La jeune femme l'ignore puis, mal à l'aise, coupe court à la conversation.

    Il plonge dans la Seine pour s'enfuir

    Au moment de repartir, selon son récit, elle est brutalement agrippée par le cou par son agresseur, qui tente de l'étrangler. L'homme parvient à baisser le pantalon de la victime et la toucher au niveau des parties intimes. « Il lui dit clairement à ce moment-là qu'il va la violer, relate une source policière. Mais la jeune femme a le réflexe de lui mettre les doigts dans les yeux. »

    L'étudiante en profite pour tenter de distancer son agresseur en rollers mais elle est rapidement rattrapée par celui-ci. Il lui assène alors un violent coup de poing et hurle qu'il va la « tuer ». Mais dans la lutte, la jeune femme parvient à prendre la fuite en abandonnant son sac. C'est la fin de son calvaire.

    Alertés, des policiers de la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP) prennent en chasse l'agresseur, parti avec les effets de la victime. L'homme plonge dans la Seine mais il est interpellé par la brigade fluviale vers 4h30 du matin. Devant les enquêteurs de la 3e DPJ, il reconnaît les faits. Le suspect est défavorablement connu des services de police sous différentes identités. La victime, très choquée, souffre de contusions, d'hématomes et d'abrasions.

    Le Parisien


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  • Le bambin était conscient à l'arrivée des secours

    Des parents de Saint-Dié-des-Vosges ont eu une énorme frayeur ce dimanche. Il était environ 12h30 lorsque leur bébé de 14 mois a échappé à leur vigilance. Le temps pour le bambin de passer à travers les barreaux d’une fenêtre et de tomber du 3e étage, selon Vosges Matin.

    Appelés sur place, les secours ont trouvé l’enfant conscient. Il avait survécu à sa chute et a été transféré à Nancy par un hélicoptère du Samu. La police de Saint-Dié-des-Vosges doit maintenant déterminer les circonstances exactes de l’accident.

    20 Minutes

    Ils ont eu de la chance cette fois ci !


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  • Un vol à main armée a eu lieu ce mardi matin dans le VIIe arrondissement de Paris. Les malfaiteurs ont pris la fuite avec un butin de plusieurs centaines de milliers d’euros.

    Trois individus ont fait irruption dans le magasin de produits de luxe « Collector Square » situé au 36 boulevard Raspail à Paris (VIIe), ce mardi à 11h45. L’enseigne est également un dépôt vente.

    Munis de bombes lacrymogènes, ils ont poussé et menacé l’agent de sécurité avant de briser des vitrines à la hache et de s’emparer de nombreux articles indique une source policière.

    Les malfaiteurs ont dérobé une dizaine de montres de luxe ainsi que plusieurs sacs contenant divers produits. Ils ont ensuite pris rapidement la fuite à bord des deux scooters sur lesquels ils étaient arrivés. Les deux véhicules étaient faussement immatriculés.

    Un butin estimé à 450 000 euros

    Personne n’aurait été blessé durant ce braquage. Les policiers ont procédé à de nombreuses constatations sur place, pour tenter de retrouver un maximum de traces et indices.

    Le butin est pour l’heure estimé à 450 000 euros selon cette même source. Une enquête a été ouverte.

    Un braquage ce samedi dans une bijouterie

    Un autre vol à main armée s’est produit dans le VIIIe arrondissement de Paris ce samedi à la mi-journée. Trois malfaiteurs ont pénétré dans une bijouterie avant de s’emparer de nombreuses bagues et de prendre la fuite. S’agit-il des mêmes malfaiteurs qui ont agi aujourd’hui ? L’enquête devra le déterminer.

    ACTU 17


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  • Un homme a violemment agressé une femme qui faisait du jogging, pour s’emparer de son smartphone. Des témoins ne l’ont pas laissé s’échapper.

    Une joggeuse a subi une violente agression de la part d’un jeune homme de 27 ans, ce dimanche vers 10 heures à Toulouse (Haute-Garonne). Elle venait de quitter son domicile pour faire du sport, lorsqu’elle a croisé un inconnu sur le boulevard de la Marne.

    Celui-ci a repéré le smartphone de la joggeuse avant de la bousculer violemment par derrière, provoquant sa chute. L’agresseur a profité qu’elle soit au sol pour la rouer de coups de pied et de poing, rapporte La Dépêche.

    Des passants maîtrisent l’agresseur

    Témoins de cette violence agression, plusieurs personnes sont intervenues et ont réussi à maîtriser l’assaillant. Le jeune homme est parvenu à se défaire de leur emprise en se débattant. Il est reparti en courant mais a été de nouveau attrapé et maîtrisé.

    À leur arrivée, les policiers n’ont eu qu’à le cueillir. Il a été interpellé et placé en garde à vue au commissariat. Déjà défavorablement connu de la justice, le mis en cause devait être déféré ce mardi matin au parquet de Toulouse.

    ACTU 17

    Pourquoi pas l'origine du sale mec ?

    Défavorablement connu mais libre !


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  • Une Tesla en mode Autopilot heurte à pleine vitesse un camion renversé sur la route

     

    Un accident routier à Taïwan montre une Tesla foncer sur un camion à l’arrêt. Selon les informations disponibles, la voiture électrique était en mode Autopilot et le camion couché en travers de la route.

    Les images sont impressionnantes à plus d’un titre. D’une part parce qu’elles montrent une Model 3 éventrer complètement le toit d’un camion, mais surtout parce que la vidéo de l’accident accable l’Autopilot de Tesla qui ne juge presque pas utile de freiner à l’approche de l’impact. La scène a lieu à Taïwan, plus exactement sur l’autoroute 1 et montre un accident pour le moins étonnant. Un camion accidenté est couché sur les deux voies de gauche lorsqu’une Tesla qui circule sur la voie la plus rapide vient s’encastrer dans la carcasse du poids-lourd. 

     

    D’un point de vue extérieur, l’accident semble évitable et d’ailleurs avant qu’il ne survienne, il est possible de constater que les autres voitures contournent le camion à l’arrêt. D’après les déclarations du propriétaire (sorti indemne du choc), l’Autopilot de la Model 3 était activé et la vitesse réglée à 110 km/h. « Il pensait que la voiture détecterait d'elle-même l’obstacle et freinerait automatiquement, mais il a été surpris de constater que la voiture ne ralentissait pas », détaille le rapport de police.

    L'Autopilot n'est pas (encore) infaillible

    La cause de l’accident semble évidente. L’Autopilot de la Tesla n’a pas réussi à identifier le camion comme un obstacle et n’a donc pas freiné en conséquence. Cette mésaventure rappelle le premier accident mortel à bord d’une Tesla Model S. En effet, en mai 2016 une voiture californienne sur laquelle l’Autopilot était activé avait percuté un poids lourd qui s’engageait dans un virage. Détail important, le camion était blanc et le ciel clair, des conditions que l’on retrouve dans la scène taïwanaise. À l’époque, le constructeur expliquait que les capteurs du véhicule n’avaient pas réussi à discerner le blanc du camion du ciel lumineux.

    Certes, en quatre ans, l’Autopilot de Tesla a connu de nombreuses améliorations mais force est de constater qu’il peut encore être pris en défaut, y compris vis à vis de  situations dont il est supposé avoir tiré des enseignements. Les prédictions d’Elon Musk qui estimaient que l’Autopilot de ses Tesla permettrait une conduite entièrement autonome d’ici la fin de l’année paraissent dès lors quelque peu ambitieuses.  

    Microsoft 01 Net


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  • Une femme enceinte âgée de 40 ans est morte noyée ce dimanche à Sourzac (Dordogne) après que la petite embarcation sur laquelle elle se trouvait avec ses proches se soit retournée.

    Le drame s’est produit ce dimanche après-midi sur la commune de Sourzac, sur la rivière de l’Isle, au niveau du barrage du lieu-dit Coly explique France Bleu. Une femme enceinte âgée de 40 ans se trouvait sur la rivière avec son compagnon et ses beaux-parents, à bord d’un petit bateau à moteur.

    La petite embarcation est tombée en contrebas du barrage et s’est retournée ont indiqué les gendarmes. Les parents et leurs fils sont parvenus à remonter à la surface, aidés par des jeunes.

     

    La quadragénaire n’a pas eu cette chance et se serait retrouvée prisonnière d’un tourbillon précise Sud-Ouest. Cette dernière est décédée malgré les tentatives de réanimation du SMUR qui sont restées vaines. La victime était enceinte de cinq mois et ne portait pas de gilet de sauvetage.

    Un jeune homme meurt dans les mêmes circonstances

    48 heures plus tôt dans cette même rivière, un jeune homme de 31 ans sans gilet de sauvetage lui aussi, est mort noyé, à Saint-Médard-de-Mussidan, après le chavirage de son bateau.

    Deux décès qui ont conduit le préfet à lancer une mise en garde sur les réseaux sociaux. « Le préfet rappelle que le port du gilet de sauvetage est obligatoire sur les rivières du département. Même lorsque l’on sait nager, même lorsqu’il fait chaud, la rivière peut être dangereuse », peut-on lire.

    ACTU 17


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  • Un élément d’une grue de chantier a chuté sur une partie d’une maison de retraite d’Annonay (Ardèche). Au total, quatre blessés dont le grutier ont été pris en charge par les secours en urgence relative. Douze pensionnaires doivent être relogés.

    Les pompiers et les gendarmes ont été mobilisés, ce lundi peu avant 15 heures, après un accident survenu à la maison de retraite Montalivet à Annonay. Il s’est produit pendant qu’une entreprise démontait une grue se trouvant dans l’enceinte de la résidence, relate France Bleu.

    L’engin a basculé, et sa flèche a percuté le toit-terrasse d’une salle collective de l’unité Cantou, avant de passer au travers. Quinze pensionnaires se trouvaient dans cette aile de la maison de retraite, à ce moment-là.

     

    Trois d’entre eux ont été blessés légèrement, de même que le grutier, a indiqué la préfecture de l’Ardèche. Tous ont été pris en charge en urgence relative et conduits au centre hospitalier d’Annonay. L’opération de secours a nécessité le déploiement de 45 sapeurs-pompiers.

    Un périmètre de sécurité a été établi pour permettre l’intervention des secours et des techniciens. La préfecture a demandé aux personnes présentes sur le secteur de ne pas interférer avec les opérations, qui se sont tenues durant plusieurs heures.

    Les causes de l’accident ne sont pas encore connues

    Vers 17 heures, les pompiers étaient toujours sur place et réalisaient des opérations de consolidation du bâtiment et de la grue. Une tâche qui s’annonce longue. Les causes exactes de cet accident ne sont pas encore connues.

    En fin d’après-midi, la préfecture indiquaient que douze pensionnaires, dont six personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, doivent être relogés d’ici ce soir. C’est l’Agence Régionale de Santé (ARS) Auvergne Rhône-Alpes qui se chargera de cette mission. Ils devraient rejoindre d’autres maisons de retraites du secteur, rapporte France 3

    ACTU 17


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