• Créteil : Le parquet estime que le dealer a été interpellé sur fond de racisme, il est remis en liberté

    Un livreur de drogues a été interpellé avec du cannabis et de la cocaïne par les policiers de la BAC à Créteil (Val-de-Marne) ce mardi. Il a été remis en liberté sur décision du parquet, qui aurait reproché aux policiers un contrôle lié à la couleur de peau du mis en cause.

    La décision et la justification du parquet irritent les policiers. L’affaire a même été évoquée lors de la réunion hebdomadaire entre le patron de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) et la procureure de la République ce jeudi matin raconte Le Parisien. Les autorités font part d’une « maladresse ». Le mis en cause a quant à lui retrouvé la liberté.

    Tout est parti du sens de l’observation des policiers de la Brigade anticriminalité (BAC). En patrouille ce mardi soir dans le quartier du Port à Créteil, à proximité d’un point de deal, les fonctionnaires ont eu leur attention attirée par un individu âgé d’une vingtaine d’années, de type africain, qui portait un casque noir. Ce dernier sortait de l’immeuble situé au 52 avenue du Général Pierre Billotte.

     

    Une fois assis sur son scooter, l’homme a pris son portable et s’est mis à tapoter dessus, allumant son GPS. Soupçonnant qu’il soit un livreur de drogue, les policiers ont décidé de procéder à son contrôle. Ils se sont vite rendu compte qu’ils avaient eu du flair.

    Il remet le cannabis et la cocaïne qu’il transporte aux policiers

    Le suspect était nerveux et une odeur de cannabis était présente. Ce dernier a rapidement avoué aux policiers qu’il transportait de la drogue. Il a remis aux policiers de la BAC un sachet qui contenait de la résine de cannabis, puis des pochons de cocaïne qu’il avait dissimulés. De l’herbe était aussi dans le coffre du scooter. L’homme domicilié à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) a été interpellé.

     

    Les premières recherches ont confirmé que le mis en cause était un livreur de produits stupéfiants, jamais condamné par la justice par le passé et inconnu des services de police. Avisé de sa garde à vue, le parquet a demandé des précisions sur le motif du contrôle d’identité à l’origine de son interpellation.

    « En fait vous l’avez contrôlé parce qu’il est noir »

    Les forces de l’ordre sont en effet dans l’obligation de respecter l’article 78-2 du code de procédure pénale pour réaliser le contrôle d’une personne, en motivant leur action par le fait que cette dernière « a commis ou tenté de commettre une infraction » ou « qu’elle se prépare à commettre un crime ou un délit », entre autres.

    La parquetière a demandé qu’on lui envoie le procès-verbal d’interpellation. Après l’avoir consulté, elle a estimé que le motif du contrôle d’identité n’était pas valable et que le mis en cause devait par conséquent être remis en liberté. « En fait vous l’avez contrôlé parce qu’il est noir », aurait lancé la magistrate, affirment les policiers. Une remarque qu’ils considèrent fausse et qu’ils ne digèrent pas, alors même que le fonctionnaire qui a décidé de réaliser le contrôle est lui-même de type africain.

    « C’est une maladresse du parquet », a estimé un gradé de la police interrogé par le quotidien francilien. Le policier qui a rédigé le procès-verbal d’interpellation avait d’ailleurs précisé « que le pilote faisait démarrer son scooter sur un trottoir ce qui peut largement motiver le contrôle », souligne-t-il. Ni le parquet, ni la DDSP n’ont souhaité répondre aux questions de nos confrères.

    ACTU 17

    Donc, dorénavant, les noirs peuvent tout se permettre, ils ne risquent plus rien !

    Faut-il en rire ou en pleurer ? Pauvre France !


    2 commentaires
  • Un groupe de quinze personnes a refusé de se soumettre aux consignes sanitaires d’un restaurant McDonald’s et a forcé l’entrée. Deux employés ont été roués de coups.


    3 commentaires
  • Italie: une mère et ses deux enfants tués dans l'effondrement d'un bâtiment

    Un femme et ses deux enfants sont morts mercredi en fin d'après-midi dans une localité du Nord de l'Italie, dans l'effondrement d'une partie d'un bâtiment, ont rapporté les agences de presse italiennes.

    La corniche -longue de près de 70 mètres- d'un ancien bâtiment industriel s'est effondrée soudainement sur la chaussée, ont indiqué ces agences.

    Une mère âgée de 38 ans se trouvait là avec deux de ses enfants de 15 mois et 5 ans, tous les trois ont été écrasés. La femme, d'origine marocaine, et son garçon de cinq ans sont morts sur le coup, tandis que le bébé, une petite fille, est mort peu après son évacuation à l'hôpital, a précisé l'agence Ansa.

    La scène s'est déroulée sous les yeux du frère aîné, âgé de neuf ans, qui se trouvait de l'autre côté de la route et a échappé à la chute de l'amas de briques et de pierres. Une passante de 42 ans a également été blessée.

    L'extraction des corps des victimes a pris plusieurs heures.

    L'incident a eu lieu dans la petite localité d'Albizzate, en périphérie nord-ouest de Milan en Lombardie. Le ministère public a ouvert une enquête pour meurtre et homicide involontaire.

    L'édifice concerné, sans étage, abritait autrefois une entreprise textile et accueille actuellement plusieurs commerces. Toute la zone a été bouclée et un bâtiment "jumeau", où se trouve un supermarché, a été fermé.

    AFP


    3 commentaires
  • Michel Campanella, parfois qualifié de « parrain de Marseille », a été placé en garde à vue ce mercredi dans les locaux de la police judiciaire de Marseille.

    C’est un gros poisson qui s’est retrouvé dans les filets des enquêteurs de la Direction interrégionale de la police judiciaire de Marseille. Michel Campanella, figure du grand banditisme marseillais, été interpellé dans l’une de ses entreprises située à Aubagne, ce mercredi. Placé en garde à vue tout comme sept autres suspects, il s’y trouve toujours ce jeudi matin, relate La Provence.

    Ces interpellations, menées notamment par la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), interviennent au terme de plusieurs mois d’enquête des fins limiers de la Brigade criminelle. Cette enquête porterait sur des « extorsions de fonds » au préjudice de plusieurs gérants d’établissements marseillais.

    Des patrons de bars et d’établissements de nuit soupçonnés de complicité

    Les investigations visent aussi des faits d’« association de malfaiteurs en vue de commettre des meurtres, en vue de recel, en vue d’infraction à la législation sur les stupéfiants », mais aussi pour « recel en bande organisée », « blanchiment », et « infraction à la législation sur les stupéfiants ».

    « Parmi les autres suspects, il y a sa garde rapprochée et ses hommes de main », a précisé au quotidien régional une source proche du dossier.

     

    L’interpellation de Michel Campanella, âgé de 57 ans, intervient deux ans et demi après celle de son frère Gérald, alias Bombelus, au terme de quatre années de cavale. Ce dernier a été condamné à 10 ans de prison en appel pour avoir laissé son ADN dans une cache d’armes de la Capelette, dans le 10ème arrondissement de la cité phocéenne.

    Parmi les suspects arrêtés, figureraient des patrons de bars et d’établissements de nuit célèbres à Marseille.

    ACTU 17


    2 commentaires
  • Deux complices de 15 et 19 ans ont été présentés à un juge à Nantes (Loire-Atlantique) ce mardi après avoir reconnu les faits

    Ils étaient repartis avec les caisses enregistreuses et l’argent qu’elles contenaient, sans oublier quelques macarons et autres friandises… Deux adolescents de 15 et 19 ans ont été présentés au juge, ce mardi à Nantes, après des vols en série commis dans des boulangeries de Loire-Atlantique. Ils ont reconnu les faits après leur interpellation par le groupe de lutte anti-cambriolages de la compagnie de gendarmerie de Rezé.

     

    Début mai, en une nuit, pas moins de cinq commerces avaient été cambriolés sur les secteurs de Saint-Philbert-de-Grandlieu, Saint-Colomban, Divatte-sur-Loire, Geneston et Le Loroux-Bottereau, précise la gendarmerie. A chaque fois, les portes et les baies vitrées avaient été brisées « à coups de pied ou à l’aide d’une plaque d’égout projetée dans la vitrine ».

    Pas inconnus de la justice

    Selon le journal Ouest-France, les deux compères seront jugés au mois de décembre mais ne sont pas inconnus de la justice. Ils ont d’ailleurs fait parler d’eux très récemment, pour une folle course-poursuite avec les forces de l’ordre, pendant laquelle plusieurs voitures avaient été volées et accidentées.

    Le plus âgé venait « depuis quelques semaines d’être libéré suite à une peine de six mois », indiquaient alors les gendarmes. Le mineur, lui, a été placé dans un centre éducatif.

    20 Minutes

    Sûrement des chances pour la France !


    2 commentaires
  • C’est un épouvantable drame qui est survenu, ce mardi soir, à Montauban.

    Une fille de 12 ans est morte noyée dans la piscine de la maison familiale, située sur le chemin de Vignarnaud.

    L’alerte a été donnée peu avant 20 heures. Aussitôt, les équipes du Smur et des sapeurs pompiers se sont rendus sur les lieux de la noyade. A l’arrivée des secours, l’adolescente était déjà en arrêt cardio-respiratoire. Malgré plus d’une heure de tentatives de réanimation, la victime n’a pas pu être ramenée à la vie.

    Pour l’instant, rien n’explique la mort de la jeune adolescente dans cette piscine. Le parquet de Montauban a été prévenu. Une enquête de police a été ouverte pour tenter de comprendre et d’établir les circonstances précises de l’accident.

    Anéantis par la douleur de perdre leur enfant, les parents n’ont pas pu être entendus dans la soirée. Cet accident n´est, hélas, pas unique. Avec l’arrivée des beaux jours, chaque année, ils ont tendance à se répéter aux abords des piscines ou des cours d’eau.

    La Dépêche


    2 commentaires
  • Côtes-d’Armor : Les policiers interviennent pour sauver un chien et découvrent… une peluche

    Le soleil tapait fort ce lundi près de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor). Il a même donné des hallucinations à des passants si l’on en croit la péripétie arrivée aux policiers locaux.

    Un opérateur de Police-secours, joint par une personne qui a composé le « 17 », a été informé qu’un chien se trouvait en grand danger, ce lundi à Plérin, près de Saint-Brieuc. Manifestement de bonne foi et bien intentionné, le requérant a précisé que l’animal se trouvait seul dans l’habitacle d’une voiture stationnée en plein soleil.

    Dans une telle situation, l’air à l’intérieur d’un véhicule peut atteindre une température mortelle en l’espace de quelques minutes. Aussitôt, une patrouille a été envoyée sur place.

    Tout est bien, qui finit bien

    Quelle n’a pas été la surprise des policiers lorsqu’ils ont vu à quel type d’animal ils avaient affaire !

    En lieu et place d’un petit chien blanc, les fonctionnaires ont constaté qu’il s’agissait d’une peluche. Plus de peur que de mal, donc. L’intervention, qui s’est bien terminée, a été relayée sur le compte Twitter de la Direction départementale de la sécurité publique des Côtes-d’Armor.

     

    ACTU 17


    2 commentaires
  • C’est une scène ultra-violente qui s’est tenue ce mardi à Paris. Un différend a opposé deux femmes puis leurs maris s’en sont mêlés et la situation a totalement dégénéré.

    Une dispute s’est terminée dans le sang en pleine rue, ce mardi en début d’après-midi dans le XIème arrondissement de Paris. Deux femmes se sont disputées dans la rue du Chemin Vert vers 13h40, selon une source policière. Leurs maris sont intervenus et le différend s’est transformé en violent affrontement.

    Les paroles, puis les échanges de coups ont laissé la place aux armes. Un homme a été blessé à coups de machette, le second à coups de couteau. Une troisième personne a également été blessée à l’arme blanche.

    Une scène très confuse

    La scène était impressionnante et très confuse d’après des témoins. Une femme criait sur un homme « qui tapait avec une planche sur la voiture dans laquelle elle était », d’après une cycliste qui a vu une partie de l’affrontement et qui a livré son témoignage à 20 Minutes.

    « Des gens couraient sans que je ne sache trop pourquoi, des pierres volaient mais je ne sais pas qui les lançaient… Je me suis dit qu’il fallait vite que je parte ! » a-t-elle confié.

    Une personne exhibe une arme de poing

    Les policiers, les pompiers et le SAMU sont intervenus. L’une des trois victimes – deux hommes et une femme – a été prise en charge par les pompiers en urgence absolue. Les deux autres se trouvaient en urgence relative.

     
    Une personne a également exhibé une arme de poing, qui a été retrouvée et qui s’est avérée être factice, d’après cette même source. Quatre interpellations ont finalement eu lieu. L’enquête a été confiée au commissariat du XIème arrondissement. Elle devrait permettre d’en savoir un peu plus sur cet accès de violence.
     
    ACTU 17
     Couteau, révolver, scène courante en France actuellement !
     

    2 commentaires
  • Un couple a été retrouvé mort dans la nuit de mardi à mercredi. L’homme âgé de 32 ans s’est suicidé.

    Un drame terrible s’est produit dans la nuit de mardi à mercredi à Annonay. Vers 2h30, des passants ont vu un homme se jeter du viaduc et ont alerté les secours. Rapidement sur place, ils n’ont toutefois rien pu faire pour sauver la victime, âgée de 32 ans, relate France Bleu.

    Les gendarmes sont intervenus à leur tour et ont entrepris d’aviser la famille de cet Ardéchois. Ils se sont alors rendus au domicile familial du trentenaire et ont fait une macabre découverte.

     

    Dans cette maison de Serrières, ils ont découvert le corps sans vie de sa compagne. La jeune femme, âgée de 23 ans, baignait dans une marre de sang. Un périmètre de sécurité a été établi pour préserver la scène et permettre aux techniciens de l’Identification criminelle de procéder aux constatations. Une enquête a été ouverte et s’est orientée vers la piste d’un drame familial.

    Un enfant de 10 ans dormait dans la maison

    En procédant à une inspection de l’habitation, les gendarmes ont vu qu’un garçon de 10 ans se trouvait dans sa chambre. Ils l’ont réveillé et l’ont pris en charge, dans ce contexte des plus dramatiques.

     

    L’enfant, qui est le fils du trentenaire, leur a expliqué avoir entendu une dispute durant la nuit. Habitué à ce genre de conflit entre les deux adultes, il se serait rendormi sans s’en soucier plus que cela. Les secours l’ont conduit à l’hôpital pour y être examiné.

    L’enquête a été confiée aux gendarmes de la Brigade de recherches de Tournon-sur-Rhône. Un magistrat du parquet de Privas s’est rendu sur place. Les enquêteurs devront établir si le suicide du trentenaire était consécutif à un meurtre ou bien si la jeune femme s’est elle-même donné la mort.

    ACTU 17

    Quel malheur pour cet enfant de 10 ans !


    2 commentaires
  • Perpignan : Condamné pour le transport de 700 kg de cannabis au milieu d'un chargement d'oignons

    L'homme a été condamnée à 5 ans de prison par le tribunal correctionnel

    Lundi, le chauffeur d’un poids lourd, de nationalité espagnole, a été condamné par le tribunal correctionnel de Perpignan à 5 ans de prison, 5 ans d’interdiction de territoire, et une amende douanière salée, de plus d’1,3 million d’euros.

    Le 17 juin, il avait été appréhendé par les douaniers de Port-Vendres, au péage du Boulou, dans les Pyrénées-Orientales, tout près de la frontière espagnole, indiquent les services des douanes. Selon les documents présentés par le chauffeur, l’homme effectuait un trajet de Valence vers Rome pour y acheminer des oignons.

    Une marchandise estimée à 7,7 millions d’euros

    Mais en jetant un œil au chargement, les douaniers ont découvert 771 kg d’herbe de cannabis dans des cartons, dissimulés au milieu des oignons. La valeur de cette prise est estimée à 7,7 millions d’euros sur le marché illicite des stupéfiants. Les 22 tonnes d’oignons qui se trouvaient dans le chargement ont été vendues à un grossiste.

    Selon les douanes, il arrive souvent que les réseaux criminels choisissent des denrées alimentaires, notamment des fruits et légumes, pour dissimuler des cargaisons de stupéfiants. Ainsi, il y a quelques jours, les douanes ont saisi 552 kg de résine de cannabis cachés dans 19 tonnes de melons et pastèqu

    20 Minutes


    2 commentaires
  • Ile-de-France : des cambrioleurs soupçonnés d’avoir battu à mort une femme de 93 ans

    Orsay (Essonne). C’est dans cette maison isolée qu’une femme de 93 ans aveugle a été battue à mort par des cambrioleurs roumains

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/faits-divers/ile-de-france-des-cambrioleurs-soup%C3%A7onn%C3%A9s-d-avoir-battu-%C3%A0-mort-une-femme-de-93-ans/ar-BB15RCsJ?ocid=msedgntp


    3 commentaires
  • Un jeune homme a découvert une victime inanimée dans une rue du XVIème arrondissement de Paris et lui a immédiatement prodigué un massage cardiaque. Contre toute attente, les passants se sont détournés de lui et de la victime, tandis que d’autres filmaient la scène, avec un détachement qui a particulièrement choqué l’intervenant.

    De son propre aveu, il a du mal à s’endormir depuis la scène qu’il a vécue il y a près d’une semaine. Ce jeune homme de 20 ans est encore ému lorsqu’il se remémore cet instant, où il a aperçu un joggeur gisant dans une rue du XVIème arrondissement de Paris. Il s’est dit « traumatisé » par l’événement et par l’absence de réaction des passants, dans un témoignage livré au journal Le Parisien. Qui ne l’aurait pas été en de telles circonstances ?

    Les faits sont survenus mardi dernier, alors que le jeune homme était impatient de débuter un stage dans une start-up parisienne. Il arrivera finalement dans les locaux professionnels en larmes. Cet étudiant en Histoire et relations internationales à Londres était revenu à Paris pour y passer l’été. Le jeune homme a été confronté directement à la mort et à l’indifférence des passants, près du domicile de sa mère, dans le très chic XVIème arrondissement.

    Il lui prodigue un massage cardiaque

    En début d’après-midi, il rentrait d’une partie de tennis lorsqu’il a aperçu un homme inanimé allongé au sol, dans une rue très passante. Inconscient, allongé sur le ventre, l’homme âgé d’une soixantaine d’années était en tenue de joggeur avec sa casquette et ses lunettes près de lui.

    Comprenant immédiatement ce qui se tramait, l’étudiant a secoué puis parlé à la victime, sans obtenir de réponse. Il a alors appelé les secours en composant le 18 sur son téléphone en mode haut-parleur, pour pouvoir garder les mains libres. Cet ancien scout a bénéficié d’une formation aux gestes de premiers secours par le passé. Il était venu le temps de mettre sa technique en pratique, pour la première fois.

     

    L’opérateur au téléphone l’a alors guidé pour tenter de secourir le sexagénaire. « Ça se voyait sur son visage que l’homme était décédé, mais j’ai essayé de le ranimer. Je sens une côte se casser. Au bout de sept, huit ou dix minutes, je ne sais plus trop, une patrouille de police passe et s’arrête. Les policiers me demandent de continuer le massage car je suis sur ma lancée et je le fais bien a priori », raconte-t-il ému au quotidien francilien.

    Il annonce la nouvelle au fils de la victime

    Jusqu’à l’arrivée des pompiers et du SAMU, c’est le seul soutien qui s’est manifesté à lui, hormis une passante qui a retrouvé le téléphone de la victime. Un appareil à touches, et sans code de protection, qui a permis au jeune homme de téléphoner à son fils. « C’est dur… J’ai encore sa voix en tête », confie-t-il. Il a finalement quitté les lieux avant l’arrivée de la famille.

    Triste, choqué et indigné, le jeune homme a tenu à dénoncer l’inaction des témoins. D’après son témoignage, personne n’a réagi alors qu’il y avait de nombreux badauds et qu’il appelait à l’aide. « Les gens nous contournaient », dénonce-t-il, ajoutant qu’« à 20 mètres, il y avait un arrêt de bus. Des gens et des petits qui devaient avoir 12 ans filmaient avec leurs téléphones ».

    15 à 20 minutes sans que personne n’intervienne

    Pire encore, lorsqu’il a été convoqué pour les besoins de l’enquête le lendemain au commissariat du XVIème arrondissement, le bon samaritain a pris connaissance d’une information qui l’a particulièrement choqué. L’exploitation de la vidéosurveillance a montré qu’il s’était écoulé 15 à 20 minutes entre le moment où la victime a eu un malaise et son arrivée sur place. Un laps de temps conséquent, durant lequel l’homme gisait inconscient au sol.

    « Il y a non-assistance à personne en danger. Si quelqu’un était intervenu ou avait appelé les secours plus tôt, il aurait peut-être pu s’en sortir », dénonce l’étudiant en colère.

    Le jeune homme n’exclut pas d’aller consulter un psychologue. Il n’a pas pu repasser dans la rue où s’est déroulé ce drame, le souvenir étant encore trop vif. Si ses amis le considèrent comme un héros, lui assure que ce n’est pas le cas, évoquant un réflexe naturel que tout un chacun devrait avoir et qui ne devrait pas être hors du commun.

    ACTU 17


    3 commentaires
  • Les forces de l’ordre ont reçu des signalements un peu particuliers, ce dimanche après-midi. Des usagers de l’autoroute A43 dans l’Isère les alertaient de la présence d’un homme en caleçon au beau milieu des voies.

    Dès qu’ils ont été informés de la présence d’un piéton sur l’autoroute, les gendarmes du peloton motorisé de La Verpillière (Isère) se sont rendus sur place. L’homme était en caleçon en plein milieu des voies de l’A43 à hauteur de L’Isle-d’Abeau. Il insultait et faisait des gestes obscènes aux automobilistes, rapporte Le Dauphiné.

    À plusieurs reprises, des conducteurs ont été contraints de freiner en urgence ou de changer brusquement de voie de circulation, au risque de provoquer un accident. Lorsque les gendarmes l’ont repéré, ils lui ont donné pour injonction de monter dans leur véhicule.

    Maîtrisé au sol et menotté

    Mais l’homme a refusé et les a insultés. Avec le renfort des gendarmes d’Heyrieux, les intervenants l’ont finalement maîtrisé au sol et menotté. Une enquête a démarré pour comprendre les raisons de sa présence sur les voies et surtout dans cette petite tenue.

    Après des recherches, il s’est avéré qu’il s’agissait d’un jeune homme de 18 ans, qui avait été admis à l’hôpital de Bourgoin-Jallieu car il tenait des propos incohérents.

    Il s’en était enfui avant de s’alléger visiblement de quelques vêtements sur le chemin. Il a finalement été reconduit à l’hôpital, où il a été placé en service psychiatrique.

    ACTU 17

    Manque de surveillance à l'hôpital, il aurait pu provoqué un accident !


    2 commentaires
  • L’affaire est particulièrement grave. Quatre plaintes visant un surveillant de collège ont d’ores et déjà été déposées pour des viols et agressions sexuelles sur des mineurs. D’autres victimes pourraient se manifester.

    Un surveillant d’un collège de Drancy (Seine-Saint-Denis) est soupçonné d’avoir commis des viols et des agressions sexuelles sur des élèves, révèle RTL. L’homme, âgé d’une trentaine d’années, exerçait dans cet établissement scolaire depuis 2017.

    Quatre victimes, essentiellement des garçons, ont déposé plainte contre lui entre les mois de février et mai derniers. Toutefois, les victimes pourraient être plus nombreuses. Le surveillant a été interpellé et placé en garde à vue le 29 février dernier pour « viols, agressions sexuelles et corruptions de mineurs ».

     

    Au terme de sa garde à vue, il a été mis en examen et placé en détention provisoire dans le cadre d’une information judiciaire. Les enquêteurs travaillent désormais sous la direction d’un juge d’instruction.

    Il aurait monté un stratagème pour se retrouver seul avec les enfants

    D’après RTL, les faits auraient eu lieu dans le collège et chez certains mineurs. Le surveillant aurait prétendu donner des cours de soutien pour pouvoir se retrouver seul avec les collégiens. Il aurait ciblé des familles monoparentales qui s’expriment mal en français pour profiter de la faiblesse de certains enfants.

    Le trentenaire aurait commencé par échanger des images à caractère pédopornographiques avec des élèves sur les réseaux sociaux, précise France Bleu.

    Dès que l’information a été connue par les services de l’Éducation nationale, le Rectorat a immédiatement mis en place une cellule de soutien psychologique au sein du collège destinée aux élèves et aux employés. En parallèle, des équipes mobiles de sécurité ont été dépêchées dans l’établissement pour soutenir les enseignants.

    ACTU 17


    2 commentaires
  • Deux ateliers de fabrication de fausses cartes d'identité et permis de conduire ont été démantelés dans le Val-d'Oise. Trois personnes ont été mises en examen.

    La police a annoncé lundi le démantèlement de deux ateliers de fabrication de faux papiers en région parisienne, et la mise en examen, par un juge marseillais, de trois personnes qui alimentaient un important trafic.

     

    Deux Algériens de 35 ans ont été placés en détention, après avoir reconnu les faits en garde à vue, tandis que la compagne de l'un d'eux a été placée sous contrôle judiciaire, a-t-on appris auprès de la brigade de recherche mobile de la police aux frontières de Marseille.

    1150 cartes vierges saisies

    Ce réseau était spécialisé dans les cartes d'identité espagnoles, italiennes, belges et françaises ainsi que dans les permis de conduire. Une partie était revendue dans le quartier parisien de Barbès, entre 150 et 250 euros pièce.

    L'enquête a débuté à Marseille avec la découverte par le transporteur Chronopost d'un colis contenant des documents français et étrangers, volés dans la cité phocéenne, à destination de la Grèce.

    "Ces documents étaient envoyés à un réseau de passeurs en Grèce", pour servir à des personnes présentant une ressemblance avec le titulaire officiel des papiers, a précisé le policier.

    Grâce à des écoutes et à des planques, les enquêteurs remontent jusqu'à deux ateliers de confection de faux papiers, installés dans des appartements à Survilliers et Cormeilles-en-Parisis, dans le Val-d'Oise.

    Dans l'un, les policiers saisissent "des faux documents, des imprimantes de qualité moyenne, des tampons ou des bandeaux autocollants siglés RF", et dans l'autre "une imprimante thermique très très rare, qui ne se trouve pas dans le commerce" et qui a pu être achetée sur le "dark net", des sites qui permettent d'échapper à la surveillance policière.

    Quelque 1150 cartes vierges, format carte de crédit ou permis de conduire, ont également été saisies.

    BFM.TV


    2 commentaires
  • L’appartement du fils du président du Conseil constitutionnel a été visité en son absence. Le préjudice est de plus de 200.000 euros.

    C’est un casse particulièrement rentable qui s’est produit ces derniers jours dans le 7e arrondissement de la capitale. L’appartement parisien de Thomas Fabius, fils de l’ancien Premier ministre Laurent Fabius, a été victime d’un cambriolage, révèle le Point. Les voleurs sont notamment repartis avec une montre Patek Philippe d’une valeur de 200.000 euros, mais aussi un tableau de maître, dont la victime a déclaré ignorer la valeur. Un collier de perles et des documents auraient aussi disparu.

     

    Au moment des faits, Thomas Fabius se trouvait au Pays-Bas pour un séjour de 3 jours. C’est la concierge de l’immeuble qui a averti les autorités samedi soir après avoir vu la porte de son logement entrouverte et surtout dégradée. Un ordinateur portable se trouvait aussi dans les parties communes. Selon 20 Minutes, elle aurait aussi été surprise de voir les lumières de l’appartement allumées et une fenêtre donnant sur la rue ouverte. À la demande du dirigeant de plusieurs PME, la police a attendu qu’il soit présent pour entrer dans le domicile de 285 m².

    L’alarme sonne après son départ

    Une alarme se serait déclenchée mercredi 17 juin, peu après le départ de Thomas Fabius de son domicile. Mais, ni la concierge, ni les policiers de la BAC n’ont alors vu quelque chose de suspect. Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris. Elle a été confiée à la brigade de répression du banditisme de la police judiciaire.

    Passionné de jeux et de casino, Thomas Fabius avait fait parler de lui dans un tout autre registre ces dernières années. Ainsi, en 2019, il a été condamné à 75.000 euros d’amende pour "faux et usage de faux en écriture privée" et "escroquerie". En 2015, un procureur américain a aussi délivré un mandat d’arrêt à son encontre, l’accusant d’avoir rédigé des chèques en bois pour un total de plus de 3,5 millions de dollars dans des casinos de Las Vegas.

    Capital


    2 commentaires
  • Le calvaire d’un petit garçon mort après avoir été forcé à boire trop d’eau

    Un enfant de 11 ans est mort aux Etats-Unis après avoir été forcé à boire trop d’eau par son père et sa belle-mère.

    Il a été retrouvé mort le 11 mars dans sa chambre. Un petit garçon de 11 ans a succombé après avoir été forcé par son père et sa belle-mère à boire plusieurs litres d’eau. Il a fini par en tomber malade et décéder. Le père, Ryan Sabin, âgé de 41 ans, et la belle-mère, Tara Sabin, 42 ans, se sont rendus à la police mardi dernier, a fait savoir le bureau du shérif du comté d’El Paso, dans le Colorado. Ce sont eux qui ont appelé les secours le jour du drame, après avoir trouvé l’enfant «froid et inanimé» sur son lit, rapporte The Denver Channel. Le couple a expliqué aux enquêteurs avoir forcé le petit Zachary à boire au moins deux litres d’eau après avoir trouvé que ses urines étaient trop sombres. Ils ont fait savoir qu’il souffrait d’une maladie héréditaire aux reins et qu’il faisait de ce fait régulièrement pipi au lit. Le père et la belle-mère sont accusés d’avoir «sciemment forcé (le garçon) à consommer une grande quantité d'eau provoquant une intoxication par l'eau, ce qui a conduit à sa mort».

    Frappé par son père

    La veille de la mort de l’enfant, Tara Sabin a appris que le garçon n’avait pas assez bu dans la journée. Elle lui a alors demandé de boire de l’eau mais il a refusé selon elle, au point de la recracher. Lorsque le père est rentré à la maison le soir, il a lui aussi essayé de le faire boire. Face à son fils qui avait visiblement du mal à avaler, il lui a dit de boire plus vite. Quelques heures plus tard, il a été privé de dîner et obligé à rester dans la cuisine pour boire encore plus d’eau. Aux alentours de 21 heures, il aurait commencé à se plaindre qu’il ne pouvait rien boire et qu’il avait particulièrement mal à la jambe. Des tremblements ou des douleurs dans les jambes sont un signe de surhydratation. Le père l’a alors frappé à deux reprises. Ce dernier a déclaré aux enquêteurs que Zachary continuait de faire des crises de colère, se jetant sur le sol. À un moment donné, l’homme a essayé de soulever son fils mais en lâchant prise, le garçon est tombé en arrière et s'est cogné la tête, selon sa version. Il est finalement allé se coucher vers 23 heures. Un sommeil dont il ne se réveillera pas.

    Avant sa mort, Zachary a vomi plusieurs fois, et a peu à peu commencé à tomber dans un état de somnolence, sans pouvoir parler. Le garçon de 11 ans avait aussi du sang sur le sourcil et le front gauche et des ecchymoses sur la tête, les bras, le tibia et les fesses. L’enquête a révélé que les cinq autres enfants qui vivaient dans cette maison étaient eux aussi victimes d’abus. Ils ont témoigné des brimades subies par la jeune victime, notamment lorsqu’il devait rester éveillé toute la nuit pour faire de l’exercice. Une des enfants a fait savoir à la police qu’elle était souvent inquiète pour lui, parce qu’il semblait «que ça faisait beaucoup trop d’eau à boire» pour un si jeune garçon. Elle a également raconté qu’il se faisait gronder très régulièrement, même lorsqu’il n’y avait aucune preuve qu’il avait fait quelque chose de mal.

     Paris Match

    Un couple à éliminer en les noyant !


    5 commentaires
  • Un homme a été mis en examen puis écroué dimanche après avoir avoué le meurtre mardi d'une femme de 79 ans qu'il avait l'intention de cambrioler à Châlons-en-Champagne, a annoncé le parquet de Reims.

     

    Agé de 25 ans, cet homme qui connaissait la victime pour avoir effectué par le passé chez elle "divers travaux de peinture", s'est présenté vendredi au commissariat de Châlons, exprimant "à plusieurs reprises ses regrets", a indiqué le parquet dans un communiqué.

    Devant les policiers et le juge d'instruction, ce célibataire sans enfants, connu judiciairement pour un seul fait de conduite en état d'ivresse en 2018, a expliqué "qu’il avait quitté son emploi en février et qu’il était couvert de dettes, ce dernier élément étant ignoré de sa famille. Il avait alors envisagé ce cambriolage pour les payer".

    Etranglée avec un fil électrique

    "Se faisant passer pour un employé de la société qui avait déjà travaillé chez elle, et en prétextant venir faire des constatations de présence d’amiante", il avait pu entrer chez la victime mardi après-midi. Puis "selon lui, sans violence, il avait réussi" à la "ramener jusque dans une chambre (...) dans l’espoir d’être tranquille pour cambrioler les autres pièces".

    "Elle avait alors chuté et il lui avait assené un violent coup de coude au crâne. La voyant convulser au sol, pris de panique selon sa version, il avait alors décidé de l’étrangler avec un fil électrique, cause effective du décès. Il avait ensuite continué de fouiller l’appartement, mais était parti sans rien prendre", a détaillé le parquet qui a confié l'enquête à la PJ de Reims.

    Le jeune homme "avait passé la journée suivante au Luxembourg avec sa sœur et sa petite amie, puis pris de remords, il avait avoué son meurtre à son frère et sa mère avant de se rendre".

    RMC


    2 commentaires
  • Au cours du week-end, dans quatre affaires distinctes, quatre jeunes ont été blessés par des coups de couteau, certains très grièvement

    Les nuits se suivent et se ressemblent à Toulouse. Vers 2 h du matin, ce dimanche, les pompiers ont été appelés pour secourir un jeune homme dans un appartement du quartier des Trois-Cocus, blessé par un coup de couteau.

    Lorsqu’ils sont arrivés sur place, la victime était soignée par des proches, il a été hospitalisé dans un état grave sans que ses jours soient en danger rapporte 100 % radio. Deux personnes ont été interpellées sur place par la police.

    Ce n’est pas la première affaire du genre dont doit s’occuper la sûreté départementale ce week-end. Samedi à Toulouse, un jeune homme de 23 ans a aussi été grièvement blessé par un coup de couteau près de la médiathèque José-Cabanis, son agresseur ayant pris la fuite.

    Au cours de la nuit précédente, deux hommes avaient été blessés par arme blanche. L’un à la gorge lors d’une rixe dans le quartier des Minimes vers minuit, l’autre au petit matin au niveau du quai de la Daurade, lors d’une agression pour un téléphone portable.

    20 Minutes

    Sûrement de gentilles chances pour la France !


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique