• La police nationale a ouvert une enquête après la mort jugée suspecte d’un étudiant de 20 ans, samedi dernier à Montpellier (Hérault), rapporte France Bleu Hérault.

    Cet étudiant avait été retrouvé sans vie, aux alentours de 18 heures, au pied de sa résidence universitaire située près de l’université Paul-Valéry.

    Le jeune homme aurait fait une chute de plusieurs mètres. Il vivait dans une chambre, au 4ème étage de cet immeuble du Centre régional des œuvres universitaires et scolaires (Crous).

    Selon les premiers éléments de l’enquête, la piste du suicide serait privilégiée, mais les policiers n’écartent cependant aucune piste car des zones d’ombre et de nombreuses questions demeurent dans ce drame, souligne La Gazette Live de Montpellier. Un élément interroge notamment au plus haut point les enquêteurs : pourquoi les services de police n’ont-ils été prévenus que plusieurs heures après la mort du jeune homme ?

    Le Parisien


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  • Un homme a appelé les secours pour annoncer un péril imminent, mais il s’agissait d’une déclaration fantaisiste.

    D’importants moyens de secours ont été mobilisés à Pontcharra (Isère) dans la nuit de dimanche à lundi, vers 1h20, rapporte France Bleu. Ils venaient de recevoir un appel de détresse de la part d’un homme leur annonçant qu’une personne s’était jetée dans les eaux tumultueuses de l’Isère, depuis le pont de la Gâche.

    Pas moins de 7 véhicules d’intervention avec 27 sapeurs-pompiers et deux équipes cynophiles ont été dépêchés sur les lieux du drame annoncé. Ils étaient assistés des gendarmes. Les plongeurs du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) se sont mis à l’eau pour aider à retrouver la victime.

     

    Les recherches ont duré une partie de la nuit, avant que le requérant n’avoue aux gendarmes qu’il avait menti.

    Une procédure initiée par les forces de l’ordre

    Les gendarmes ont dressé un procès-verbal, précise le quotidien régional, et l’homme à l’origine de cet appel malveillant a été hospitalisé au CHU de Grenoble. Ce lundi à la mi-journée, ses motivations n’étaient toujours pas connues des enquêteurs.

    Le SDIS n’a pas indiqué s’il allait déposer plainte suite à cette intervention. Le parquet s’est vu transmettre la procédure et devra décider de poursuivre, ou non, cet homme sur le plan judiciaire.

    ACTU 17

    Ce con de mec mériterait une peine de prison mais il ne risque rien puisque qu'on doit mettre le minimum de gens en taule !


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  • Un adolescent de 16 ans jouait au football avec des amis à Montigny-le-Bretonneux (Yvelines) lorsqu’ils ont été pris à partie par un individu. Son père policier s’est interposé et a été frappé, tout comme son fils.

    L’annonce de sa qualité de policier n’a pas calmé les esprits, bien au contraire. Un groupe d’adolescents jouait au football, rue Magellan, dans le quartier de la Sourderie à Montigny-le-Bretonneux ce dimanche vers 17h45 lorsqu’un individu agressif est arrivé, relate Le Parisien.

    Le père de l’un des adolescents âgé de 16 ans, qui était présent, a aperçu ce qu’il se passait et a décidé d’intervenir. Le ton est rapidement monté et l’homme âgé de 43 ans a demandé à l’intrus de se calmer. Il a ensuite précisé à ce dernier qu’il était policier. L’annonce n’a pas eu l’effet escomptée, elle a même poussé le perturbateur à aller plus loin.

     

    Ce dernier a fait appel à trois autres hommes qui sont rapidement arrivés. L’un était armé d’une matraque télescopique. Le père et son fils ont été violemment frappés.

    Plaies sur le crâne et poignet cassé

    Les quatre agresseurs ont ensuite pris la fuite à bord d’une voiture. Les forces de l’ordre ainsi que les sapeurs-pompiers sont arrivés sur place peu après.

    Le fonctionnaire qui souffrait de deux grosses plaies sur le crâne a été pris en charge par les secours, tout comme son fils qui avait le poignet cassé. Ils ont été conduits à l’hôpital André-Mignot du Chesnay-Rocquencourt.

    Une enquête a été ouverte pour retrouver les auteurs de cette agression. Les investigations ont été confiées aux policiers de la sûreté urbaine d’Élancourt.

    ACTU 17

    J'espère qu'ils vont retrouver ces vermines, hélas les juges ne mettent que du sursis !!!


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  • La Sécurité routière s'est dite inquiète samedi de "premiers chiffres alarmants" depuis le déconfinement.

    Un père et son fils ont été tués dans un accident de moto dimanche soir à Dampierre-en-Bresse (Saône-et-Loire).

    La moto, sur laquelle circulaient un homme âgé de 50 ans et son fils, un adolescent dont l'âge n'a pas été précisé, a heurté la pile d'un pont après une "perte de contrôle", a rapporté le Codis (Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours) de Saône-et-Loire. Les deux victimes ont été éjectées et sont mortes "sur le coup", selon les pompiers.  

    Trois semaines après le début du déconfinement et le retour des Français sur les routes, la Sécurité routière s'est dite inquiète samedi de "premiers chiffres alarmants" avec une hausse des accidents mortels et un bond de 15% des grands excès de vitesse.

    Une campagne appelant à la prudence lors du déconfinement avait été lancée début mai.

    RMC

    Vous avez échappé au virus chinois, alors roulez doucement, ne vous tuez pas sur la route!


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  • Les deux hommes, condamnés pour assassinat en leur absence, ont vécu plus de dix ans aux Etats-Unis. Ce n’est qu’à la faveur d’un contrôle des autorités, qu’ils ont été expulsés du pays car ils étaient en situation irrégulière.

    Marouana B. et Ahmed C. avaient été jugés coupables, par défaut le 6 septembre 2018, d’avoir tué de quatre balles un habitant de Montmagny (Val-d’Oise). Le crime avait eu lieu au moment où il sortait de son domicile de la cité des Lévriers, dans la nuit du 26 au 27 avril 2008.

    Pour la première fois, les deux meurtriers ont comparu devant la cour d’assises du Val-d’Oise, ce vendredi, pour l’assassinat de Gangny Sangaré. Ils ont vécu en cavale durant plus de 10 ans aux Etats-Unis, relate Le Parisien.

    Condamnés à 25 ans de réclusion criminelle en leur absence

    Les deux hommes avaient écopé de 25 ans de réclusion criminelle par défaut. « Ils ont soudainement et volontairement disparu dès le lendemain des faits. Ils ont été en fuite à partir de ce moment-là », a déclaré l’avocat général, Stéphanie Paget.

    Le juge d’instruction en charge de cette affaire criminelle avait été alors émis un mandat, de même que le parquet à l’origine d’un mandat d’arrêt européen, en vain. Durant plus de dix ans, les deux fugitifs ont vécu aux Etats-Unis.

    Expulsés vers la France et interpellés à leur arrivée

    Les autorités américaines ont interpellé chacun des deux hommes, de nationalité française, car ils se trouvaient sur leur territoire en situation irrégulière. Concernant Ahmed C., ce sont les services de l’immigration qui ont mis fin à sa cavale, le 25 juillet 2019, dans le Massachusetts. Il a été trouvé en possession d’un faux permis de conduire.

    Son complice Marouana B., quant à lui, s’est fait intercepté au moment où il traversait la frontière entre le Texas et le Mexique, le 29 août 2019. Les autorités américaines les ont finalement expulsés vers la France, respectivement le 11 septembre 2019 pour l’un, et le 22 janvier dernier pour l’autre. Les enquêteurs français les ont interpellés à leur arrivée.

    Un procès en cour d’assises très attendu

    Les deux hommes, qui n’ont jamais pu être interrogés sur le fond de cette affaire, devront désormais comparaître lors d’un nouveau procès en cour d’assises. L’avocat général a requis un supplément d’information sur le fond, en ce sens.

    Les avocats de la défense, qui approuvent cette demande, ont assuré que leurs clients n’avaient pas pris la fuite. L’avocate d’Ahmed C., Me Daphné Pugliesi, a rappelé ses liens antérieurs avec les Etats-Unis, où il avait développé un commerce de vêtements.

    Elle a souligné qu’il était entré légalement sur le territoire américain. Pour sa part, Me Sophie Garcia, l’avocate de Marouana B., a ajouté que ce supplément d’information permettra d’établir les circonstances de ce départ.

    Un « soulagement » pour la partie civile

    « C’est à la fois un soulagement pour la partie civile et une nouvelle épreuve qui s’annonce » a déclaré Caty Richard, avocat de douze proches de la victime, Gangny Sangaré, qui espère que les contours de cet assassinat seront enfin connus avec précisions.

    Ce jeune homme, âgé de 20 ans, avait été abattu de quatre balles dans le dos, le 27 avril 2008 à Montmagny, après avoir été ciblé par de précédents tirs, trois heures plus tôt.

    Lors du procès qui s’est tenu le 6 septembre 2018, le seul accusé présent à l’audience était Gary P., qui comparaissait libre. Cet homme, âgé de 33 ans au moment du jugement, était poursuivi pour complicité par fourniture de moyens : l’arme du crime.

    Pour sa défense, il avait affirmé qu’il était convaincu d’avoir apporté un pistolet à grenaille. Or, il s’agissait d’un vrai 9 mm. La cour d’assises l’a condamné pour « complicité d’assassinat » à 7 ans de prison. « Je compatis à votre douleur, je n’avais aucune intention de tuer. J’ai remis une arme, j’ai été trompé », avait-il déclaré à l’attention des proches de la victime, leur demandant de ne rien entreprendre contre lui et sa famille.

     

    ACTU 17


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  • La nouvelle est tragique. Noah, un jeune garçon de 9 ans recherché depuis jeudi après avoir disparu à Condé-sur-l’Escaut, a été retrouvé mort noyé ce samedi 30 mai, non loin de la médiathèque de la ville. Ce sont des promeneurs, apercevant un corps flotter, qui ont alerté les pompiers. Une équipe de plongeurs est sur place. 

    Depuis que le petit Noah avait quitté le foyer logement urgence de la ville, sa mère ne l'avait plus revu. Un important dispositif policier avait alors été déployé. Au-delà des recherches menées par la famille du jeune garçon de 9 ans, le maire de la ville, Grégory Lelong, avait également lancé un appel aux volontaires pour organiser des battues sur le terrain, largement suivi par les habitants de Condé-sur-l'Escaut.

    Le garçon de 9 ans, autiste, avait fait l'objet de plusieurs signalements des habitants de la commune l'ayant aperçu ces dernières 48 heures, en vain.

    france info 3 - 30 05 2020


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  • Une querelle de voisinage qui a très mal tourné. Un sexagénaire a délibérément versé de l'ammoniaque dans les parties communes d'un immeuble, intoxicant plusieurs de ses voisins à Givors au sud de Lyon. 

     

    Les faits remontent à mercredi dernier selon Le Progrès. L'individu entretenait de mauvaises relations avec ses voisins d'immeuble. Il a donc décidé en pleine soirée, sous l'emprise de l'alcool, de déverser un produit ménager contenant de l'ammoniaque dans le hall et les escaliers du bâtiment.

    5 personnes hospitalisées dont deux enfants

    Des vapeurs toxiques inhalées par une famille de l'immeuble qui a été victime d'intoxication. Les membres de la famille, deux adultes et deux enfants, ont dû être hospitalisés pour passer des examens et ont bénéficié de deux jours d'incapacité totale chacun.

    Un agent de police a également été incommodé par les odeurs et a du être transporté à l'hôpital. Le voisin, ivre lors de son interpellation, a reconnu les faits lors de sa garde à vue. Il devra comparaître en septembre prochain devant le tribunal de police de Lyon.

    BFM.TV


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  • Une jeune femme de 17 ans et demi, qui exploitait plusieurs adolescentes "recrutées" dans un foyer pour mineurs, a été mise en examen et écrouée pour "proxénétisme aggravé", a appris ce samedi l'Agence France-Presse (AFP) auprès du parquet de Toulouse. Elle a été placée en détention provisoire vendredi.

    Ses victimes, quatre jeunes de 16 à 18 ans et une de 20 ans, avaient été contactées dans un foyer pour mineures de Graulhet (Tarn). La proxénète présumée avait pour sa part déjà fréquenté plusieurs foyers de l'aide sociale à l'enfance. 

    Elle avait été interpellée dans le quartier résidentiel des Chalets, au centre de Toulouse, "secteur où elle louait des appartements via Airbnb et obligeait ces gamines à vendre leurs charmes" via un site internet, selon une source policière citée par la radio 100/100.

    BFM.TV


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  • Le suspect âgé de 18 ans aurait profité du fait que les deux victimes se sentaient mal pour abuser d’elle sexuellement.

    Les forces de l’ordre n’ont pas eu de difficultés à retrouver et interpeller le suspect, puisqu’il est déjà bien connu de leurs services. L’affaire a débuté vers 23 heures ce mercredi quand les policiers ont été sollicités pour se rendre rue Schnapper, dans le quartier du Bel-Air, à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines).

    Des riverains se plaignaient du bruit dans un parking souterrain de leur résidence, causé par des perturbateurs raconte Le Parisien. Sur place, les policiers sont tombés sur deux adolescentes de 12 et 13 ans sous le choc, qui leur ont expliqué qu’elles avaient été violées.

    L’une a expliqué aux fonctionnaires qu’elle avait rencontré leur futur agresseur sur Snapchat, et qu’elle avait accepté un rendez-vous avec lui dans ce parking souterrain. Un endroit où les deux jeunes filles ont passé du temps avec cet homme, qui avait pris la fuite à l’arrivée des forces de l’ordre.

    Des verres de vodka et du cannabis

    En outre, les victimes ont raconté que le jeune agresseur les avait fait boire plusieurs verres de vodka et fumer du cannabis, au cours de la soirée. L’homme aurait ensuite abusé sexuellement des jeunes filles et les aurait violées, profitant du fait qu’elles se sentaient mal. Ces dernières ont été conduites à l’hôpital.

     

    Auditionnée par les policiers, l’une d’entre elle a été en capacité de fournir un nom et une description de l’auteur des faits présumés. Il s’agissait d’un homme ayant un grain de beauté très visible. Un détail important qui a orienté rapidement les recherches des policiers vers un individu bien connu de leurs services.

    Il nie en bloc

    Ce dernier a été interpellé dans le quartier Bel-Air par la police municipale et a été placé en garde à vue. Face aux enquêteurs, le mis en cause a nié les faits, affirmant qu’il ne s’était rien passé avec les deux jeunes filles.

    Les investigations ont été confiées aux policiers de la sûreté urbaine de Saint-Germain-en-Laye. Par ailleurs, des prélèvements ont été effectués sur les victimes et leurs vêtements, ce qui pourrait permettre aux enquêteurs d’obtenir plus d’éléments sur ce qui s’est passé dans ce parking souterrain.

    ACTU 17

    Voilà deux gamines de 12 et 13 ans qui donnent rendez-vous à un homme qu'elles ne connaissent pas, qui le suivent dans un parking souterrain, qui boivent (il n'a pas pu les forcer à boire les deux) et après elles viennent se plaindre ! Je ne défends pas le type de 18 ans mais ces deux petites sont des connes !


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  • Deux nourrissons, grands prématurés, sont décédés à Dijon (Côte-d’Or) après avoir été découverts dans des sacs plastiques.

    Macabre découverte ce dimanche 24 mai dans une habitation de Dijon. Une femme a contacté des ambulanciers pour les prévenir qu’elle allait accoucher. Une fois sur place, ces derniers ont découvert deux jumeaux dans des sacs plastiques raconte France 3.

    L’un des bébés était déjà décédé, le second a été transporté d’urgence à l’hôpital François Mitterrand de Dijon, où il est mort quelques jours plus tard. Les deux nourrissons étaient des grands prématurés de 26 semaines.

    Privés de soins

    Leur mère âgée de 20 ans n’aurait commis aucune violence sur ses bébés selon le procureur de la République interrogé par la chaîne. Ils sont décédés après avoir été privés de soins dont ils avaient impérativement besoin.

    Mises en examen et placées en détention provisoire

    Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la Direction interrégionale de la police judiciaire de Dijon. Selon les premiers éléments, la jeune femme aurait voulu cacher sa grossesse et la naissance à son père, avec la complicité de sa mère.

    Une information judiciaire a été ouverte et la jeune femme de 20 ans ainsi que sa mère ont été mises en examen pour « meurtres et tentative de meurtres sur mineur de moins de 15 ans, par ascendant ». Elles ont été écrouées à la maison d’arrêt de Dijon.

    ACTU 17


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  • Montpellier : Un ado de 15 ans défiguré au couteau et roué de coups pour des baskets et une sacoche

    Apostrophé par un groupe d’individus sous le prétexte d’une demande de cigarette, un adolescent a été victime d’une sauvage agression.

    « Je vous hais ! », lance une mère de famille dans une publication sur le réseau social Facebook, à l’intention des parents des jeunes agresseurs de son fils, qui aura bientôt 15 ans. Ce dernier a été victime d’une agression d’une sauvagerie extrême, qui lui a notamment coûté une large balafre au visage, nécessitant 42 points de suture.

    Sa mésaventure a eu lieu dimanche vers 23h30, au croisement de l’avenue du Maréchal Leclerc et de la rue de la Manade à Montpellier (Hérault), relate Midi Libre. Abordé par un groupe de jeunes qui lui ont demandé une cigarette, l’adolescent a été rapidement plaqué contre un mur par un premier assaillant.

    Roué de coups et lacéré au couteau

    Sous la menace d’un couteau de cuisine, celui-ci lui a intimé l’ordre de se défaire de ses biens pour les lui donner. L’adolescent a tenté de se défendre mais immédiatement, plusieurs complices de l’agresseur ont fondu sur lui. Projeté au sol par un coup de genou au visage, il a ensuite été roué de coups de pied par le groupe.

    Au terme de ce véritable lynchage, l’agresseur armé du couteau a commis un acte sauvage et gratuit en lui assénant un coup de lame au visage. Une plaie de 20 cm marque définitivement son profil droit, de la pommette à la nuque.

     

    Les assaillants ont pris la fuite, non sans lui voler sa sacoche et sa paire de baskets Nike. Sonné et choqué, l’adolescent a été pris en charge rapidement par les secours et hospitalisé.

    Sa veste a été lacérée à plusieurs reprises au niveau du bras droit. L’adolescent s’est vu délivrer 3 jours d’Incapacité totale de travail (ITT) et a déposé plainte ce lundi au commissariat. Une enquête a été ouverte et confiée à la Sûreté départementale de l’Hérault.

    Sa mère veut alerter les autorités

    La mère de la victime a voulu alerter les autorités et dénoncer cet acte barbare qui aurait pu coûter la vie à son fils. Elle a publié un message sur Facebook dans lequel elle dit sa haine contre les parents des agresseurs, mais aussi sa chance de ne pas voir perdu son enfant.

    « Mon fils de 15 ans a eu la vie sauve mais ça n’est malheureusement pas le cas de tous… Et à tous ces parents démissionnaires qui laissent leurs gosses livrés à eux-mêmes sans leur expliquer où se trouve le bien et le mal !! Vous êtes responsables quand vos enfants agressent les nôtres au couteau pour une paire de baskets !! Je vous hais !! » écrit-elle.

    « On aurait pu me demander d’aller identifier mon fils à la morgue… dans notre malheur nous avons eu beaucoup de chance comparé à certaines familles… », poursuit la mère de famille, qui a déclaré avoir écrit au maire de Montpellier.

    ACTU 17


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  • Cinq adolescents se trouvaient à bord d’une voiture volée dans la nuit de vendredi à samedi lorsqu’ils ont percuté un poteau à Valréas (Vaucluse). Une jeune fille de 17 ans a été tuée.

    n grave accident de la route s’est produit peu avant 3 heures du matin la nuit dernière sur la route de Baume de Transit à Valréas. Cinq adolescents se trouvaient à bord d’une Renault Clio signalée volée rapporte La Provence.

    Pour une raison qui reste à déterminer, le conducteur qui serait âgé de 16 ans a perdu le contrôle du véhicule avant de percuter violemment un poteau.

    « Après l’arrivée des secours et l’extraction des passagers de la voiture, cette dernière s’est embrasée »

    Les sapeurs-pompiers ont été alertés et sont rapidement arrivés sur place. Ils ont pris en charge les trois jeunes filles qui étaient assises à l’arrière de la voiture. L’une, âgée de 17 ans, était déjà décédée précise France 3.

    La seconde adolescente, qui aurait le même âge, est gravement blessée. Elle a été transportée à l’hôpital d’Orange. La troisième passagère, âgée de 13 ans, a été légèrement blessée et médicalisée sur place. « Après l’arrivée des secours et l’extraction des passagers de la voiture, cette dernière s’est embrasée », a précisé la gendarmerie du Vaucluse à la chaîne.

    Le conducteur ainsi que son passager avant, qui seraient âgés de 16 et 18 ans, avaient pris la fuite à l’arrivée des secours et des gendarmes. Ils sont recherchés. Une enquête a été ouverte et confiée à la brigade de Valréas de la compagnie d’Orange.

    ACTU 17


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  • L'adolescent pris en train de voler un scooter a été interpellé de manière violente et est ressorti avec une fracture de l'orbite. L'IGPN a été saisie.

    L'inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie après l'interpellation violente d'un adolescent âgé de 14 ans à Bondy (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris ce vendredi auprès du parquet de Bobigny.

    L'interpellation a eu lieu dans la nuit de lundi à mardi, alors que l'adolescent était aperçu en train d'essayer de voler un scooter, selon une source policière. "A la vue de la police, l'ado s'est enfui, il a fait une chute et s'est rebellé lors de son interpellation", indique une autre source policière.

    Des coups de pied au visage

    La police l'a conduit à l'hôpital "pour vérifier la compatibilité de son état avec une garde à vue", poursuit cette source. Le médecin a finalement décidé de le garder et lui a prescrit 14 jours d'ITT, indique le parquet de Bobigny qui a donc saisi la police des polices.

    Selon Le Parisien, l'adolescent a perdu connaissance lors de son interpellation et s'est réveillé à l'hôpital avec une "fracture maxillaire gauche étendue de l'orbite à la lame papyracée", autrement dit, il risque de perdre son oeil, d'après sa mère interrogée par le quotidien régional. Il raconte avoir été passé à tabac et avoir reçu "des coups de pied derrière la tête et au visage", raconte encore Le Parisien qui publie une photo du visage tuméfié du garçon.

    L'Express


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  • Le suspect avait fait irruption, en juillet dernier, dans le cabinet du médecin qu’il avait ligoté avant de repartir avec une importante somme d’argent

    Les enquêteurs du 3e district de police judiciaire ont interpellé, jeudi, un homme d’une trentaine d’années suspecté d’avoir volé 12.000 euros à son médecin généraliste, apprend 20 Minutes de source proche du dossier. Le suspect, né en 1984, avait fait irruption, le 9 juillet dernier en fin de journée, dans le cabinet du médecin situé boulevard Raspail, dans le 7e arrondissement. Après avoir ligoté la victime, il était reparti avec sa recette.

    Il était depuis activement recherché. Déjà connu des services de police pour des faits de vol avec violence, d’extorsion avec arme, et des affaires de stupéfiants, le suspect a été présenté ce vendredi, en fin d’après-midi, à un magistrat du parquet de Paris.

    20 Minutes


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  • Une femme de 37 ans a été violemment agressée et violée en pleine rue à Nantes (Loire-Atlantique). Un suspect en situation irrégulière en France a été placé en garde à vue, il était recherché depuis plusieurs mois.

    Les policiers ont reçu la plainte d’une femme de 37 ans le 19 janvier dernier. Elle a raconté ce qui lui était arrivée dans les rues de Nantes la nuit précédente relate Ouest-France. Elle rentrait d’une soirée vers 2 heures du matin et allait récupérer son vélo, lorsqu’elle a été abordée par un homme.

    Ce dernier a trouvé un prétexte pour lui adresser la parole et lui a réclamé une cigarette. Il lui a ensuite proposé de s’asseoir à côté de lui sur un banc. 

    Après quelques échanges, la jeune femme a découvert que certaines de ses affaires étaient manquantes dans son sac. L’homme lui a alors fait du chantage, réclamant une relation intime avec elle pour lui rendre ses biens.

    Des témoins interviennent et mettent l’agresseur en fuite

    Alors qu’elle se levait pour partir, le suspect l’a maintenue par le bras. La victime s’est débattue et a été jetée au sol. La trentenaire a raconté qu’elle avait été agressée sexuellement puis violée de manière digitale. Des riverains qui ont entendu ses hurlements se sont approchés et ont mis en fuite l’agresseur.

    Une enquête a alors été ouverte et les témoins ont été auditionnés. Leur récit correspondait aux déclarations de la victime.

    L’ADN a parlé

    Un ADN a également pu être isolé sur les vêtements de la trentenaire. Le Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG) a montré qu’il s’agissait de celui d’un homme âgé de 36 ans, déjà connu des services de police donc.

    Une fiche de recherche a été émise à son encontre. Ce dernier a finalement été interpellé ce mercredi, sur le quai de la Fosse à Nantes. L’homme qui est en situation irrégulière en France, a été placé en garde à vue. La mesure de privation de libertés a été prolongée ce jeudi et le mis en cause pourrait être déféré dans la journée.

    ACTU 17

    A renvoyer chez lui immédiatement !


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  • Un grand-père âgé de 83 ans est décédé après avoir été violemment frappé alors qu’il montrait à son fils, sa belle-fille et son petit-fils, la maison dans laquelle il avait grandi.

    « Ce sont des faits d’une violence extrême », a déclaré le procureur de la République Emmanuel Dupic. La promenade en famille a basculé dans une violente agression, pour une raison futile.

    Les faits remontent au jeudi 21 mai dans l’après-midi, et se sont déroulés dans le village de Sainte-Marie-en-Chanois, en Haute-Saône. Un homme âgé de 83 ans avait décidé de montrer à son fils, sa belle-fille et son petit-fils, la maison dans laquelle il a grandi étant jeune relate L’Est Républicain. Une habitation qui se situe au lieu-dit Belle-Fleur.

     

    Une « visite » qui n’était pas au goût de l’occupant de cette maison qui est sorti et a invectivé la famille pour qu’elle s’en aille. Cet homme âgé de 37 ans était « apparemment alcoolisé », a précisé plus tard le procureur de la République.

    Il frappe les quatre membres de la famille

    Il s’est alors énervé et a donné des coups de poing sur le véhicule de la famille, avant de frapper le grand-père par la fenêtre du véhicule, qui était restée ouverte. La victime s’est effondrée. Le reste de la famille est sortie de la voiture et a également reçu des coups de la part de l’agresseur déchainé.

    Le fils s’est vu attribuer une ITT (Incapacité totale de travail) de 5 jours, tout comme la belle-fille. Le petit-fils âgé de 16 ans a quant à lui été mordu et a reçu un certificat mentionnant deux jours d’ITT.

    Quant au grand-père, il avait été héliporté d’urgence à l’hôpital alors qu’il était placé dans un coma artificiel. Son pronostic vital était alors engagé. Ce dernier est malheureusement décédé ce jeudi.

    Mis en examen et écroué

    L’agresseur a été interpellé le lendemain des faits et a été placé en garde à vue. Déjà connu pour des faits de violences légères, le mis en cause a « peiné » à expliquer son acte. Il a été mis en examen ce dimanche avant d’être placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Besançon.

    L’enquête a été confiée à la brigade de recherches de Lure qui travaille dans le cadre d’une commission rogatoire.

    ACTU 17


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  • Deux détenus de la prison de Villeneuve-lès-Maguelone (Hérault) sont soupçonnés d’avoir géré un réseau national de prostitution depuis leur cellule. En tout, quatre personnes ont été interpellées en début de semaine par le Groupe proxénétisme et recherche des fugitifs (GPRF) de la police judiciaire, rapporte le Midi Libre.

     

    Le chef présumé du réseau, âgé de 52 ans, purge actuellement une peine de quatre ans de prison pour proxénétisme. Il est soupçonné d’avoir chargé un autre détenu, âgé de 30 ans, lui-même en détention provisoire pour des faits présumés de viols en série, de recruter depuis sa cellule des femmes sur des sites d’escort-girls.

    Le recruteur promettait à ses victimes des clients, des logements et une protection. En échange, celles-ci devaient reverser 50 % de leurs revenus. Toutes les tractations étaient réalisées par téléphone, depuis la prison. Les proxénètes auraient perçu plus de 100 000 euros de bénéfices. Une dizaine de victimes ont été identifiées à ce stade de l’enquête, selon 20 Minutes.

    « C’est quelqu’un qui peut faire très peur »

    « Le chef de réseau assurait [aux femmes] qu’il garantissait leur sécurité, tout en leur disant qu’elles étaient surveillées en permanence, ce qui était faux. Il leur mettait des coups de pression si elles ne payaient pas assez. C’est quelqu’un qui peut faire très peur et qui obtient gain de cause », relate un enquêteur du SRPJ de Montpellier au quotidien régional.

    Un troisième suspect, habitant à Valence (Drôme), était chargé de louer les appartements sur Airbnb ou via de petits hôtels, de l’Hérault, vers Bordeaux et la région lyonnaise. Le quatrième suspect est la compagne du chef de réseau, âgée de 45 ans. Elle était chargée de récupérer l’argent auprès des prostituées.

    Les quatre suspects ont été présentés jeudi à un juge d’instruction du tribunal judiciaire de Montpellier en vue de leur mise en examen pour « proxénétisme aggravé », selon le quotidien régional.

    Le Parisien


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  • Un homme de 80 ans est décédé jeudi dans un accident survenu à Saint-Viaud, commune du sud Loire entre Nantes et Saint-Nazaire. D’après les premières informations, la victime aurait été écrasée par son tracteur.

    Alertés, les pompiers se sont rendus au lieu-dit La Caducière peu après 17 h jeudi. Un hélicoptère du SMUR a également décollé pour rejoindre la zone. A leur arrivée, les secours ont découvert un tracteur renversé au bord de la route. Sous l’engin agricole, le conducteur était partiellement écrasé. Des tentatives de réanimation cardio-pulmonaire ont été menées mais l’homme a été déclaré décédé sur place par le médecin du SMUR.

    20 Minutes

    Trop vieux pour monter sur un tracteur 


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  • Un technicien informatique, chargé de la maintenance de l’ordinateur d’un cadre, a fait une découverte sordide qui a conduit son utilisateur directement devant le juge.

    Des milliers de photos à caractère pédopornographique, dont des scènes de viols d’enfants, ont été découvertes sur un ordinateur d’une entreprise de Trappes (Yvelines).

    Le suspect est un cadre de 51 ans, qui aurait collectionné ces fichiers durant plusieurs années. Il a été mis en examen par un juge de Versailles ce mercredi, puis placé sous contrôle judiciaire, rapporte Le Parisien.

     

    C’est au mois de février dernier que l’homme aux penchants pédophiles a été démasqué. Un technicien informatique était chargé de la maintenance des ordinateurs dans cette société de la zone d’activités de Trappes-Élancourt. Il a découvert des milliers d’images à caractère pédopornographique sur le poste de travail de ce cadre.

    Il passe aux aveux

    Le quinquagénaire a été immédiatement mis à pied par son employeur. Une enquête a été ouverte et confiée aux enquêteurs de la Sûreté urbaine d’Élancourt, qui a conduit à son interpellation ce mardi, à son domicile.

     

    Lors de sa garde à vue, il a reconnu les faits en précisant qu’il téléchargeait ces photos sur le Darknet par lots. Aux enquêteurs, il a confié préférer celles sur lesquelles figurent des petites filles.

    Interrogé sur la raison pour laquelle il a préféré stocker ces fichiers sur son poste de travail, le mis en cause a affirmé qu’il pensait que cela était « plus discret », cite le quotidien francilien.

    Une « personnalité perverse » selon le psychiatre

    Sur sa personnalité, l’homme a confié qu’il avait lui-même été abusé sexuellement lorsqu’il était enfant. Ce traumatisme aurait provoqué chez lui le besoin de reproduire le même schéma.

    Une perquisition a été menée à son domicile et ses supports numériques ont été saisis par les enquêteurs. Ils s’attachent désormais à établir si ses penchants pédophiles se sont limités à la consultation et au téléchargement de fichiers.

    Le quinquagénaire a subi une expertise psychiatrique qui a souligné qu’il était doté « d’une personnalité perverse » et qu’il était « responsable de ses actes ». Divorcé et père d’un garçon, le suspect était actif dans le milieu associatif. Il n’avait jamais fait parler de lui sur le plan judiciaire jusqu’à présent.

    ACTU 17


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