• Rhône : Elle s’arrête à un péage sur l’autoroute A6, sa voiture s’embrase soudainement

    Une voiture s’est embrasée à son arrivée à la barrière de péage de Belleville-en-Beaujolais (Rhône) sur l’A6. Le feu s’est propagé au bâtiment.

    Un incident qui aurait pu s’avérer dramatique s’est produit ce dimanche vers 20h45 sur l’autoroute A6, dans le sens Villefranche-sur-Saône / Paris, relate Le Progrès. Une automobiliste qui venait de la Loire a vu sa voiture prendre feu alors qu’elle se trouvait à la barrière de péage pour sortir à Belleville-en-Beaujolais.

    La conductrice, qui était seule à bord, a tout juste eu le temps de s’extraire de l’habitacle et de se mettre à l’abri, avant que son véhicule ne soit entièrement calciné. Les hautes flammes se sont propagées au bâtiment du péage, qui a été brûlé en partie.

    Deux camions d’intervention et neuf soldats du feu ont été déployés pour venir à bout de ce sinistre qui, par chance, n’a pas endommagé le toit du bâtiment fait de bois.

     

    L’incendie, d’origine accidentelle, a été éteint vers 21h45. Le sinistre a obligé l’exploitant à neutraliser trois voies sur quatre de cette sortie n°30, qui a pu rester ouverte.

    ACTU 17

    Comment est-ce possible?


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  • Pourchassé par un chien, Jacob Roberts, 29 ans, a trébuché dans un réservoir en ciment profond de quatre mètres

    Il est tombé en voulant échapper à un chien. Un Britannique a été secouru à Pecatu, à Bali, après avoir passé six jours bloqué au fond d’un réservoir de quatre mètres de profondeur, a-t-on appris ce dimanche auprès des autorités de l’île touristique indonésienne.

     

    Jacob Roberts, âgé de 29 ans, a pu être ramené la veille à l’air libre par une équipe de secouristes qui l’ont extrait du réservoir en ciment.

    Une jambe cassée

    L’alerte avait été donnée par un paysan du village « qui allait nourrir ses vaches » et qui avait entendu les appels à l’aide de la victime, a expliqué le responsable local des secours, Gede Darmada.

    Jacob Roberts s’était cassé une jambe en trébuchant et en tombant dans le réservoir à moitié vide. Il a raconté aux autorités qu’il tentait de fuir un chien qui le pourchassait et l’avait forcé à sortir du village. « Il avait l’air amaigri et blessé », a témoigné un responsable de la police, Yusak Agustinus Sooai. Le jeune homme a été emmené dans un hôpital voisin pour être soigné.

    20 Minutes


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  • Une employée du supermarché Leclerc de Ferney-Voltaire (Ain) a été prise en otage par plusieurs malfaiteurs armés ce lundi matin. Ces derniers se sont emparés du contenu du coffre-fort.

    Ils avaient bien préparé leur acte. La comptable du supermarché Leclerc de Ferney-Voltaire, une commune située à la frontière avec la Suisse, a été enlevée par quatre malfaiteurs encagoulés et armés alors qu’elle venait de sortir de chez elle, vers 05h30 ce lundi matin, raconte Le Dauphiné.

    Les quatre hommes l’ont emmenée jusqu’à son lieu de travail. Sur place, deux agents de sécurité ont été molestés et blessés par les malfaiteurs munis d’un fusil de type Kalachnikov et d’armes de poing. Aucun coup de feu n’aurait toutefois été tiré.

    Les auteurs en fuite avec le butin

    L’employée a ensuite été forcée d’ouvrir le coffre-fort du magasin. Les quatre malfaiteurs se sont emparés du contenu et ont pris la fuite avec le butin, à bord d’une voiture de type Audi, de couleur noire. Le montant du vol n’est pas encore connu.

    La victime est fortement choquée. Les gendarmes ainsi que les secours sont rapidement arrivés sur place. Le maire de Ferney-Voltaire, Daniel Raphoz, a rappelé que ce n’était pas la première fois qu’un supermarché était la cible de braqueurs dans le Pays de Gex.

    Une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie.

    Un autre Leclerc braqué de la même manière à Castres

    Une affaire similaire s’est produite à Castres (Tarn) il y a 15 jours. L’une des responsables d’un supermarché Leclerc a elle aussi été enlevée puis forcée d’ouvrir le coffre-fort de l’établissement. Les malfaiteurs étaient repartis ce jour-là avec un butin estimé à 40 000 euros.

    ACTU 17


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  • Le cadavre d’un homme a été retrouvé dans le canal des Costières à Bellegarde (Gard), ce dimanche. La thèse criminelle est privilégiée par les enquêteurs.

    Le parquet de Nîmes a ouvert une enquête après la découverte du corps sans vie d’un homme, dans le canal des Costières à Bellegarde près de Nîmes, ce dimanche. Le cadavre qui a été repêché est en passe d’être identifié, relate Midi Libre.

    La disparition d’un homme d’une commune toute proche avait été signalée la veille. La piste criminelle est privilégiée par les enquêteurs en charge des investigations.

    Des traces de violences

    Peu après la découverte du cadavre, les gendarmes de la Section de recherches de Nîmes ont rejoint les techniciens de l’identification criminelle (TIC) déjà sur les lieux. Ces derniers ont effectué de nombreux relevés et constatations.

    En parallèle, des plongeurs de la brigade nautique ont passé le canal au peigne fin, dans le but de trouver d’éventuels éléments pouvant orienter l’enquête menée par la Section de recherches. Le médecin légiste, s’est rendu sur place pour effectuer les premiers examens de médecine légale sur le cadavre.

     

    Deux personnes ont été placées en garde à vue dans le cadre de cette enquête, dont l’une aurait reconnu les faits. Elles font suite à la découverte de traces de violences sur le crâne du défunt. Le parquet de Nîmes a indiqué qu’une autopsie doit être pratiquée ce mardi, à l’institut de médecine légale.

    ACTU 17


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  • Deux hommes ont été touchés par des tirs à Ajaccio (Corse-du-Sud) ce dimanche soir, l’un est décédé. Le tireur a pris la fuite.

    Coups de feu vers 22h20 sur la terrasse de la brasserie « Aktuel », située dans le pôle d’activité commerciale de Suartello, à Ajaccio. Un homme casqué est arrivé à moto et a ouvert le feu avec une arme de poing de calibre 11,43 selon les premiers éléments de l’enquête. Il a ensuite rapidement pris la fuite.

    Deux hommes ont été blessés, l’un très grièvement âgé de 39 ans et le second touché au bras, âgé de 30 ans, indique une source policière. Les secours ont rapidement pris en charge les deux victimes. L’homme le plus gravement atteint est décédé au cours de la nuit.

     

    Plusieurs témoins, dont une femme enceinte, ont assisté à la fusillade. Cette dernière a fait un malaise et a été amenée à l’hôpital tout comme une autre personne, victime d’un malaise cardiaque.

    Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire d’Ajaccio. La piste d’un règlement de compte est étudiée. Par ailleurs, l’homme qui a été blessé au bras est déjà connu des services de police.

    Un homme blessé par balles sur l’Ile-Rousse

    D’autre part, une autre fusillade a eu lieu dans le même temps à l’Ile-Rousse (Haute-Corse). Un jeune homme de 22 ans a été blessé par balles à hauteur du carrefour de Monticello, et du poste de police municipale précise Corse net infos.

    Gravement blessée, la victime a été héliportée à l’hôpital de Bastia. A ce stade, rien ne permet de faire un lien entre les deux fusillades.

    ACTU 17


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  • Un homme âgé d’une trentaine d’années a été poignardé à mort à Lille (Nord) ce samedi. Un suspect a été placé en garde à vue.

    Les faits se sont produits vers 11h30 ce samedi à l’angle de la rue du Priez et de la place des Reignaux, près de la gare Lille-Flandres raconte La Voix du Nord.

    Mansour, un homme d’une trentaine d’années connu des commerçants du quartier, aurait aidé l’un d’entre eux à porter des marchandises, en échange d’une trentaine d’euros selon un témoignage recueilli par nos confrères. Une fois le travail réalisé, une rixe aurait éclaté et la trentenaire a reçu un coup de couteau au niveau du cou. Il s’est effondré un peu plus loin.

    Les secours sont rapidement arrivés sur les lieux pour sauver cet homme. Ce dernier était en arrêt cardio-respiratoire et a été déclaré mort sur place. Le coup de couteau l’aurait touché à la carotide, provoquant une grave blessure qui s’est révélée mortelle.

    Un suspect déjà bien connu de la justice

    Le patron suspect a immédiatement été interpellé et placé en garde à vue. L’homme est déjà bien connu de la police et de la justice.

     

    « C’était un jeune dans la galère. Il était très serviable, très gentil. Il nous aidait souvent, on lui donnait un petit quelque chose en échange. Il ne méritait pas ça », a confié un riverain au sujet du défunt, au quotidien régional.

     

    L’un des commerçants de la place évoque pour sa part un climat d’insécurité dans ce quartier et signale des vols, des agressions, des dégradations, ainsi que la présence de dealers. « Ça nous pourrit la vie depuis des années. La police fait ce qu’elle peut, mais quand on les arrête, la justice les laisse revenir », a-t-il ajouté.

    Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté urbaine de Lille.

    ACTU 17


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  • Un homme âgé de 58 ans est mort égorgé en pleine rue à Montpellier (Hérault) ce vendredi soir.

    Les circonstances de ce meurtre restent encore à déterminer. Il était 23h15 dans le quartier de la Mosson de Montpellier, sur l’avenue de Barcelone, lorsqu’un homme âgé de 58 ans a été poignardé à la gorge. Lorsque les sapeurs-pompiers et les médecins du SMUR sont arrivés, la victime se trouvait en arrêt cardio-respiratoire explique le Metropolitain.

    L’homme est décédé peu après. Il se trouvait non loin de la station de tramway Mosson et son scooter était stationné à proximité.

     

    Selon Midi Libre, la victime était assise sur un muret avec un ami lorsque trois individus sont arrivés. Une altercation a éclaté et la victime a été mortellement poignardée au niveau du cou par l’un des trois hommes, provoquant une importante hémorragie qui a conduit à son décès.

    Une enquête a été ouverte, elle a été confiée aux policiers de la sûreté départementale.

    ACTU 17


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  • Un adolescent âgé de 16 ans a été tué par balle à Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) dans la nuit de vendredi à samedi.

    Les policiers ont été alertés vers 03h30 qu’une personne venait d’être blessée par balles rue de Strasbourg, à Épinay-sur-Seine. Sur place, les secours ont pris en charge un adolescent âgé de 16 ans qui avait été touché par plusieurs projectiles selon une source policière.

    En arrêt cardio-respiratoire, la victime est décédée peu après malgré les efforts du SAMU pour la réanimer.* 

    Une enquête pour « homicide en bande organisée »

    Les motivations du ou des auteurs restent inconnues à ce stade. L’adolescent n’était pas connu de la justice. Une enquête pour « homicide en bande organisée » a été ouverte. Les enquêteurs du Service départemental de police judiciaire de Seine-Saint-Denis (SDPJ 93) ont été chargés des investigations.

    Un jeune homme de 18 ans a également été tué par balle dans la commune voisine de Saint-Denis, dans la nuit de jeudi à vendredi.

    ACTU 17


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  • Un homme âgé de 37 ans a été tué par balles ce vendredi soir dans le 3e arrondissement de Marseille. Il s’agirait d’un nouveau règlement de compte.

    Coups de feu peu avant 22 heures rue Félix-Pyat dans le 3e arrondissement de Marseille. Un homme de 37 ans a été tué de plusieurs balles rapporte La Provence.

    La victime se trouvait au volant de sa voiture lorsqu’elle a été touchée au thorax à trois reprises et aux membres inférieurs, par des balles de calibre 9 mm. Elle a été déclarée morte sur place, peu après l’arrivée des secours.

     

    Le trentenaire était « très connu des services de police pour des affaires de stupéfiants » a déclaré le procureur de la République adjoint de Marseille, Patrice Ollivier-Maurel, cité par Le Parisien.

    Plusieurs autres règlement de compte dans le département

    L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Marseille. La piste d’un nouveau règlement de comptes est privilégiée. Il s’agirait du troisième meurtre de ce type depuis le début du déconfinement, et le septième dans les Bouches-du-Rhône depuis le 1er janvier.

    Au cours de la nuit de mardi à mercredi, dans la cité Frais-Vallon (13e), un jeune homme de 19 ans a été lui aussi tué par balles. 48 heures plus tôt, un autre jeune homme âgé de 22 ans avait été blessé par un coup de feu près de la cité des Bleuets (13e).

    ACTU 17


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  • En Australie, un surfeur attaqué mortellement par un grand requin blanc

    L’animal faisait au moins 3 mètres. Dimanche, un grand requin blanc a mortellement attaqué un surfeur à Salt Beach, en Nouvelle Galles du Sud, en Australie. L’homme de 60 ans a été secouru par plusieurs personnes mais il était déjà trop tard, rapporte 9 News. Sérieusement blessé au niveau de la jambe, le surfeur a succombé à ses blessures sur la plage.

    Les plages aux alentours ont toutes été fermées dans la foulée, et ce pour au moins 24 heures. «L’homme a été sorti de l’eau avec l’aide d’autres surfeurs qui se trouvaient dans la même zone, mais il est tragiquement mort sur les lieux. Il était gravement touché à la jambe gauche», a fait savoir la police face à la presse dimanche. «Le requin a été vu à plusieurs reprises près du rivage», a-t-elle ajouté, saluant par la même occasion «l’action héroïque» de ceux qui ont essayé d’aider la victime.

    «Lorsque vous recevez un appel pour intervenir après une attaque de requin, vous ne savez jamais vraiment l'ampleur des dégâts avant d'être sur les lieux», a commenté après le drame, Terence Savage, chargé des secours. «Ils ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour tenter de lui sauver la vie, mais malgré tous leurs efforts, ils n'ont pas pu le faire», a-t-il ajouté. Cette attaque est la troisième mortelle depuis le début de l’année 2020 en Australie. Un homme de 57 ans est mort sur la côte ouest du pays en janvier dernier. En Avril, un autre homme de 23 ans a perdu la vie, dans la région de Queensland.

    Paris Match

    Les requins sont chez eux, les surfeurs n'ont qu'à  aller ailleurs !


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  • Incendie à Aubervilliers : « Le ciel était tout noir »

    Les pompiers de Paris surveillent toujours l’entrepôt détruit par les flammes ce vendredi en plein centre-ville. Le sinistre a fait quatre blessés légers, dont un pompier.

    Le bâtiment n'est plus qu'un immense squelette noirci, d'où s'échappent encore par endroits de petits panaches de fumée. Ce samedi, les flammes qui ont dévoré vendredi un entrepôt, en plein centre-ville d'Aubervilliers, sont éteintes. Mais les pompiers de Paris maintiennent leur surveillance, arrosant régulièrement les décombres, pour éviter toute reprise de feu.

    Le spectaculaire sinistre n'a fait que quatre blessés légers, dont un pompier, et trois riverains incommodés par la fumée.

    « Le feu a pris très rapidement, raconte Denis, un riverain du site, auquel on accède par la rue Sadi-Carnot. Le ciel était tout noir, l'air était étouffant. » Une cinquantaine de pompiers ont été mobilisés, pour accéder à l'entrepôt en flammes, coincés entre plusieurs immeubles d'habitations, dans une zone dense.

    « On a été servis par le vent, s'il avait soufflé en sens contraire, il y aurait eu plus de dégâts », estime le premier adjoint au maire (PCF) Anthony Daguet.

    Comme plusieurs dizaines d'habitants, Denis n'a pu regagner son logement que peu avant minuit, une fois écarté tout risque de propagation. Certains ont trouvé refuge à l'école Anne-Sylvestre, mise à disposition par la mairie.

    « Un entrepôt n'a pas sa place en pleine ville »

    De la cour de son immeuble, Maleka a une vue imprenable sur le bâtiment calciné, et qui servait au stockage d'articles textiles. Elle n'était pas chez elle hier soir, et a dû patienter pour pouvoir regagner son appartement. « Je me souviens, il y a vingt ans, un incendie a eu lieu exactement au même endroit. J'avais été réveillée à deux heures du matin. Les pompiers vous le diront : à Aubervilliers, il n'y a pas une rue qui n'a pas connu d'incendie. »

    La rue Sadi-Carnot a été particulièrement touchée. A l'autre bout de cette voie, il y a un an, c'est tout un ensemble d'entrepôts, abritant là aussi des articles textiles, qui était parti en fumée. Le quartier des grossistes chinois de la Porte d'Aubervilliers n'est pas loin.

    Le bâtiment incendié ce vendredi appartenait à un propriétaire privé. Les habitants étaient habitués au ballet régulier des camions aux portes du site.

    « Un entrepôt n'a pas sa place en pleine ville, mais dans une zone d'activités. Heureusement que la fumée ne s'est pas encore plus répandue dans le quartier », glisse un voisin.

    Le Parisien


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  • Une policière perd le contrôle de son cheval en pleine manifestation à Londres

    Des milliers de personnes ont marché pacifiquement samedi à Londres contre le racisme et les violences policières.

    Cette manifestation a été émaillée par des incidents qui ont éclaté en fin de journée non loin de Downing Street, où réside le Premier ministre, où des manifestants ont jeté des projectiles sur la police qui a chargé à cheval pour disperser la foule. Sur des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, on aperçoit un cheval de la police apeuré entamer une course folle dans la rue. Durant ce galop incontrôlé, sa cavalière a heurté un feu de signalisation, tombant violemment sur le sol. Selon le «Daily Mail», un «projectile» a été jeté sur l'animal. Le cheval aurait également heurté une manifestante dans sa fuite. Le quotidien rapporte également que deux vélos ont été jetés en direction d'autres chevaux policiers terrifiés durant les incidents.

    La policière hospitalisée

    La policière qui a chuté a été hospitalisée mais ses jours ne sont pas en danger, a fait savoir la police londonienne. Une enquête est menée pour connaître les circonstances exactes de cet incident selon un communiqué de l'institution. Le cheval n'a quant à lui pas été blessé et s'est rendu par lui-même aux écuries. Les violences qui ont éclaté à Londres contre les policiers ont été condamnées par la ministre de l'Intérieur Priti Patel qui les a qualifiées de non «acceptables». Sadiq Khan, le maire de Londres, a quant à lui regretté qu'une «manifestation sécurisée et paisible» ait été compromise par une «minorité violente» de manifestants, leur reprochant d'avoir entaché une «cause importante». Selon la police police londonienne, quatorze personnes ont été arrêtées en marge de la manifestation de samedi et 10 officiers de police ont été blessés.

    Paris Match


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  • En Isère, un couple de buralistes met la clef sous la porte après un cambriolage qui a mal tourné

     

    Mis en examen pour violence agravée lors d'une tentative de cambriolage, un buraliste de Montrevel (Isère) et son épouse, jettent l'éponge. Une pétition circule pour soutenir ce couple installé depuis plus de 20 ans, dans ce village de 450 habitants.   

    Dans la nuit du 25 au 26 mai 2020, un couple de buralistes installé à Montrevel, en Isère, est victime d'une tentative de cambriolage. Réveillé par sa femme, François Mermet descend avec un fusil de chasse et tire à trois reprises en direction de silhouettes qu'il devine dans le noir.

    Deux heures plus tard, l'un des malfaiteurs se présente dans un service d'urgence, blessé par des plombs. Depuis, l'affaire a pris un tournant judiciaire et François Mermet a été mis en examen pour violences aggravées. Son avocat s'est constitué partie civile défendant la thèse de la panique pour ses clients.

    *Une semaine après cette tentative de cambriolage, le petit village isérois de Montrevel reste sous le choc. Une pétition circule dans le village pour soutenir le couple dans l'espoir de le convaincre de rester ouvert.

    Mais pour les deux buralistes, victimes de cambriolages à répétition depuis plusieurs années, c'est le coup de grâce. Ils ont décidé de mettre la clef sous la porte une fois leur stock épuisé. 

    franceinfo 3

    Honteux, c'est le monde à l'envers !


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  • Un adolescent âgé de 16 ans a été tué par balle à Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) dans la nuit de vendredi à samedi.

    Les policiers ont été alertés vers 03h30 qu’une personne venait d’être blessée par balles rue de Strasbourg, à Épinay-sur-Seine. Sur place, les secours ont pris en charge un adolescent âgé de 16 ans qui avait été touché par plusieurs projectiles selon une source policière.

    En arrêt cardio-respiratoire, la victime est décédée peu après malgré les efforts du SAMU pour la réanimer.

    Une enquête pour « homicide en bande organisée »

    Les motivations du ou des auteurs restent inconnues à ce stade. L’adolescent n’était pas connu de la justice. Une enquête pour « homicide en bande organisée » a été ouverte. Les enquêteurs du Service départemental de police judiciaire de Seine-Saint-Denis (SDPJ 93) ont été chargés des investigations.

    Un jeune homme de 18 ans a également été tué par balle dans la commune voisine de Saint-Denis, dans la nuit de jeudi à vendredi.

     

    ACTU 17

    Ce jeune n'était pas "encore" connu de la police, il commençait ! Son trafic n'aura pas duré longtemps !


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  • Un adolescent âgé de 14 ans a été placé en garde à vue au commissariat de Narbonne (Aude) ce mercredi. Il a reconnu avoir abusé sexuellement de sa cousine et son cousin de 7 et 9 ans.

    .Les policiers de Narbonne ont reçu la plainte d’une mère de famille ce mardi. Cette dernière a rapporté les propos de sa fillette âgée de 7 ans, qui lui a expliqué avoir été violée par son cousin pendant la période de confinement. Des faits qui se seraient produits à plusieurs reprises selon les premiers éléments.

    Le lendemain, les enquêteurs ont placé en garde à vue le mis en cause âgé de 14 ans qui s’était présenté au commissariat accompagné de sa mère.

     

    L’adolescent est rapidement passé aux aveux et a reconnu qu’il avait abusé de sa cousine de 7 ans, mais également du frère de cette dernière qui est âgé de 9 ans indique une source policière.

    Les enquêteurs cherchent maintenant à déterminer la nature exacte des faits subis par les victimes, qui ont été entendues. Les investigations se poursuivent et l’adolescent pourrait être présenté à un juge d’instruction des mineurs ce vendredi.

     

    ACTU 17

    Et bien il a commencé tôt celui-là !


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  • "Le 3 juin, les forces armées françaises, avec le soutien de leurs partenaires, ont neutralisé l’émir d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Abdelmalek Droukdel, et plusieurs de ses proches collaborateurs, lors d’une opération dans le nord du Mali", a annoncé la ministre des Armées Florence Parly sur son compte Twitter.

    Le chef d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), l'Algérien Abdelmalek Droukdel, a été tué par l'armée française lors d'une opération mercredi dans le nord du Mali, a annoncé vendredi 5 juin, la ministre des Armées Florence Parly, sur son compte Twitter.

    Ce chef historique du jihad au Maghreb, commandant de plusieurs groupes jihadistes sahéliens, a été tué jeudi au nord-ouest de la ville malienne de Tessalit. "Plusieurs de ses proches collaborateurs" ont également été "neutralisés", selon Florence Parly.

    "Le 3 juin, les forces armées françaises, avec le soutien de leurs partenaires, ont neutralisé l’émir d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Abdelmalek Droukdel, et plusieurs de ses proches collaborateurs, lors d’une opération dans le nord du Mali", a écrit Florence Parly.

    franceinfo

    On le répète 4 fois dans l'article, c'est vrai que c'est rare !!!


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  • Un petit garçon de 3 ans a été renversé par un 40 tonnes alors qu’il allait récupérer son ballon.

    Drame absolu ce vendredi après midi, vers 15 h 30, à Saint-Denis. Un petit garçon âgé de 3 ans a été fauché par un camion le long du boulevard Anatole-France. L'enfant se trouvait avec sa mère sur le trottoir quand l'accident s'est produit. Il tenait à la main un ballon lorsque celui-ci s'est envolé.

    Le petit est parti comme une flèche en direction de la route. Au même moment un poids lourd est arrivé à sa hauteur et n'a pas pu l'éviter. Le petit a été percuté de plein fouet. Il devait décéder sur le coup sous les yeux terrifiés de sa maman.

    La police toujours sur place en fin de journée

    En fin de journée, les policiers étaient toujours sur place en train de faire les constatations sur les lieux de l'accident et sur le véhicule de 40 tonnes. Le chauffeur devait partir en garde à vue. Au moment où nous écrivons ces lignes, aucune précision n'a été communiquée sur une éventuelle alcoolémie du conducteur ou une vitesse excessive. L'enfant était domicilié dans le XIVe arrondissement de Paris L'enquête a été confiée au commissariat de Saint-Denis.

    Le Parisien


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  • Les moutons volés à la ferme pédagogique de Paris retrouvés à Drancy

    Elles ont sans doute vu la mort de près. Sans l'alerte de témoins, l'intervention de la police et de la fondation 30 millions d'amis, les dix brebis qui ont été restituées ce vendredi soir à la ferme de Paris, auraient probablement terminé dans un abattoir clandestin.

    Les bêtes avaient été dérobées dans la nuit de mardi par une équipe de malfaiteurs qui n'avaient pas hésité à fracturer le portail de la ferme pédagogique de la Ville de Paris, niché au cœur du bois de Vincennes. Ils avaient amené leur camionnette jusqu'à la bergerie pour « se servir » dans les enclos (et dans le poulailler où ils avaient pris 6 volatiles) avant de disparaître.

    Le véhicule laissé à l'abandon

    Plus tard dans la nuit, à une vingtaine de kilomètres au nord, des riverains signalaient à la police des mouvements suspects autour d'une camionnette stationnée au milieu dans un campement à Drancy (Seine-Saint-Denis).

    « Les policiers qui se sont rendus sur place ont découvert des poules et dix moutons, les pattes entravés, entassés à l'intérieur du véhicule laissé à l'abandon », raconte Arnauld Lhomme, responsable des enquêtes à la fondation 30 millions d'amis.

    Les moutons ont passé la nuit au commissariat

    Les moutons, récupérés par la police, ont passé le reste de la nuit… dans la cour du commissariat de Bobigny ! Le temps pour les enquêteurs de la fondation 30 millions d'amis sollicitée de retrouver le propriétaire du « cheptel » grâce au numéro d'identification obligatoire pour les ovins.

    « Ce type de vol, vraisemblablement pour la viande, n'est malheureusement pas rare » déplore Arnauld Lhomme qui évoque de nombreux cas survenu durant le confinement. Après un bref passage par un refuge en Seine-et-Marne, les brebis volées ont en tous cas retrouvé leur enclos ce vendredi, à la grande satisfaction des soigneurs de la ferme. « L'une des brebis d'Ouessant volée vient d'avoir un petit, que les malfaiteurs avaient laissé, rappelle un soigneur. C'est les pleurs de l'agnelle qui nous avaient alerté, le lendemain du vol! »

    Le Parisien


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  • Une femme a dénoncé aux policiers le viol qu’elle pensait avoir subi, de la part d’un ouvrier intervenu à son domicile pour refaire des peintures. Confronté à des preuves accablantes, l’homme qui niait a finalement reconnu les faits.

    Un homme de 58 ans a été mis en examen pour viol, ce jeudi à Versailles. Le 23 avril dernier, ce chef de chantier a fait l’objet d’une plainte de la part d’une cliente qui l’avait embauché pour faire des travaux de peinture chez elle, à Maisons-Laffitte (Yvelines).

    La jeune femme de 28 ans s’est présentée au commissariat de Sartrouville et a déclaré aux policiers qu’elle pensait avoir été victime d’un viol, rapporte Le Parisien.

     

    Elle a expliqué avoir fait appel à une société du secteur pour s’occuper de peindre les murs de sa maison, alors qu’elle y était confinée. Elle leur a raconté que le 16 avril à 7h30, comme convenu, deux peintres s’étaient présentés devant sa porte.

    Elle s’endort en leur présence

    Ce jour-là, ils ont dû insister sur la sonnette pour que l’habitante vienne leur ouvrir. Elle leur a ensuite présenté des excuses, en leur expliquant qu’une nouvelle nuit d’insomnie et l’absorption d’un somnifère l’avaient épuisée. Aux policiers, elle détaillera le stress intense que lui cause son travail, lui faisant perdre le sommeil.

    Le chef de chantier et l’ouvrier se sont alors rendus dans la partie de la maison en travaux, non sans avoir un peu râlé. Alors qu’ils travaillaient, la jeune femme s’est endormie sur son canapé.

    Quelques heures plus tard, des flashs sont revenus à sa mémoire, durant lesquels elle entrevoyait le chef de chantier abuser d’elle. Âgé d’une cinquantaine d’années, il aurait profité de son état de faiblesse pour la violer.

    L’ADN du suspect retrouvé sur la victime

    Un expert psychiatre a alors été requis et l’a examinée. Il a souligné la cohérence de son récit, ainsi que son émotion non feinte causée par cette agression, qui la fait encore trembler et lui donne des idées noires.

    Les enquêteurs ont procédé à des relevés d’empreintes génétiques sur la victime, et ont établi que l’ADN du suspect s’y trouvait. C’est ainsi que le quinquagénaire a été interpellé mardi, à son domicile de Sartrouville.

    Ce père de deux enfants, qui vit en concubinage et qui a un casier judiciaire vierge, a été placé en garde à vue.

    Il finit par avouer les faits

    Interrogé une première fois par les policiers, il a totalement nié les faits qui lui sont reprochés. Il a assuré ne pas avoir une quelconque envie d’entretenir une relation sexuelle en dehors de son couple.

    Mais lors de sa seconde audition, confronté aux traces ADN retrouvées sur la plaignante, il est passé aux aveux, évoquant des attouchements qu’il avait commis sur la jeune femme.

    AZCTU 17


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