• Hautes-Pyrénées : Ils volent le chihuahua d'une joggeuse, prennent la fuite, mais tombent sur un os

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    Grâce à l’intervention d’un policier municipal et des gendarmes, engagés dans une course-poursuite avec les malfrats, le chien de race a été libéré

    Un chien de race, cela peut rapporter gros à la revente. Et ça, les malfrats à la recherche d’argent vite gagné l’ont bien compris. Une habitante des Hautes-Pyrénées en a fait l’amère expérience ce mardi.

    Alors qu’elle faisait son jogging dans le bois du commandeur, sur la commune de Bordères-sur-l’Échez, au nord de Tarbes, deux hommes se sont emparés de son chien de race chihuahua, avant de prendre la fuite à bord d’une berline blanche.

    Le chien rendu au propriétaire

    Ne sachant que faire, cette propriétaire choquée tombe sur un policier municipal en patrouille, non loin du lieu du vol. Immédiatement, ce dernier prend en chasse les deux malfrats qui se dirigent vers le nord, sur la commune voisine d’Oursebelille. Sur leurs pistes, l’agent alors croise des gendarmes qui circulent sur la même route.

    Ces derniers se mettent aussitôt à la poursuite des deux fuyards. Ces derniers, paniqués, libèrent le chien avant de réussir à s’échapper. Pour l’heure, ils n’ont toujours pas été interpellés, mais les militaires ont pu rendre à sa propriétaire son petit toutou.

    20 Minutes


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  • En plus de bien chanter, ils font les pitres !


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  • Les policiers ont démantelé un important trafic de stupéfiants qui opérait à Blois (Loir-et-Cher). Après plusieurs mois d’enquête, les enquêteurs de la sûreté urbaine et de la police judiciaire de Tours ont mis la main sur près de 245 kilos de cannabis et 245 000 euros en numéraire. Cinq suspects ont été mis en examen et écroués.

    Les investigations ont débuté au début de l’année lorsque les enquêteurs du commissariat de Blois ont appris qu’un trafic de stupéfiants avait lieu dans le quartier Sauvageau à Blois. Un suspect âgé de 22 ans, déjà connu des services de police, a été identifié comme étant un fournisseur. Ce dernier a également été repéré par la police judiciaire pour sa participation à un autre trafic de stupéfiants dans le département de l’Indre-et-Loire.

    Face à l’ampleur de ces trafics, l’enquête a été alors conjointement confiée à la sûreté urbaine du commissariat de Blois et à la police judiciaire. Durant les mois suivants, les policiers ont identifié deux autres suspects de 22 et 23 ans, eux aussi connus de leurs services, qui alimentaient plusieurs points de deals à Blois.

    Un camion venant d’Espagne intercepté à Bordeaux

    Un coup de filet a été organisé le 22 septembre dernier, avec l’appui des hommes des brigades de recherches et d’intervention (BRI) de Bordeaux (Gironde) et Bayonne (Pyrénées-Atlantiques). Un camion qui revenait d’Espagne a été intercepté vers 19 heures à Bordeaux. A l’intérieur, les forces de l’ordre ont découvert pas moins de 240 kilos de résine de cannabis. Le véhicule s’était arrêté pour servir un premier client, qui a été interpellé, tout comme le chauffeur de 35 ans et son passager de 20 ans. Ces derniers ont été placés en garde à vue.

    Une heure plus tard, les policiers ont interpellé un troisième trafiquant présumé âgé de 34 ans, lui aussi connu de la police. Lors de la perquisition de son domicile, les policiers ont découvert 134 400 euros en liquide indique une source proche de l’enquête. Un autre logement qui avait été identifié à Châlette-sur-Loing (Loiret), a été perquisitionné dans la foulée. 111 400 euros en liquide étaient dissimulés à l’intérieur.

    Cannabis, cocaïne et une arme de poing

    Le lendemain matin à 6 heures, les deux suspects de 22 et 23 ans, soupçonnés d’alimenter les points de deal à Blois, ont été interpellés à leur domicile. Ils ont été placés en garde à vue à leur tour. La fouille de leurs habitations respectives a permis aux policiers de saisir 5,6 kilos de résine de cannabis, 81 grammes de cocaïne, 300 grammes de produit de coupe ainsi qu’un revolver approvisionné de calibre 357 Magnum.

    « Des véhicules, des produits de luxe dont des montres, une dizaine de téléphones portables et un ordinateur portable étaient également saisis », a indiqué le parquet. La drogue – du cannabis et de la cocaïne – venait du Maroc et transitait par l’Espagne.

    Les cinq mis en cause ont été déférés devant un juge d’instruction au terme de leur garde à vue. Ils ont tous été mis en examen avant d’être placés en détention provisoire. La suite des investigations permettra de déterminer les rôles exacts de chacun dans cet important trafic de drogue.

    ACTU 17


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  • Une femme âgée de 30 ans est décédée ce samedi à l’hôpital de Perpignan (Pyrénées-Orientales) après avoir passé plusieurs heures enfermée dans la voiture de son mari, en plein soleil. Ce dernier a été placé sous le statut de témoin assisté à ce stade des investigations.

    Qu’est-il arrivé à cette femme de 30 ans qui a perdu la vie ce samedi, après une dizaine de jours passés dans le coma ? Le 15 septembre dernier, elle a été prise en charge par les sapeurs-pompiers alors qu’elle était inconsciente et en hyperthermie, dans la voiture de son mari. C’est lui qui a donné l’alerte, affirmant avoir découvert son épouse dans l’habitacle de sa voiture, comme nous l’avons révélé. La trentenaire a été transportée à l’hôpital où elle est décédée.

    Le jour de la prise en charge de la défunte par les secours, c’est un de ses proches qui a contacté la police, inquiet. Les policiers se sont déplacés et ont découvert dans le coffre de la voiture un coussin, une couette et une bouteille d’eau notamment. Interrogé, le mari de 37 ans aurait déclaré que sa femme attendait dans la voiture son retour du travail. Une version qui n’a pas convaincu les enquêteurs qui ont décidé de le placer en garde à vue, le soupçonnant notamment d’avoir enfermé son épouse dans le coffre du véhicule et de l’avoir déplacé dans l’habitacle.

    L’homme aurait interdit à la victime de sortir

    « Des proches du couple ont rapporté que la trentenaire avait déjà été victime de violences de la part de son mari plusieurs fois », a indiqué une source proche de l’enquête à Actu17, au départ de cette enquête. Des voisins auraient aussi confié que le mari pratiquait un islam rigoriste et que son épouse avait interdiction de sortir seule. L’homme a finalement été remis en liberté sous le statut de témoin assisté à la fin de sa garde à vue.

    Le corps de la victime va être autopsié et l’examen va permettre d’en savoir plus sur les circonstances de son décès. Les investigations se poursuivent afin de faire toute la lumière sur cette tragédie. L’enquête ouverte des chefs de « séquestration » et « tentative de meurtre » va être requalifiée.

    ACTU 17

    Ce brave musulman a été remis en liberté !


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  • Ce lundi 27 septembre, Eric Zemmour était l'invité de Ruth Elkrief sur LCI. Agressé en pleine rue plus tôt dans la journée, le polémiste est revenu sur les faits.

    En début d’après-midi ce lundi 27 septembre, Eric Zemmour a été pris pour cible en pleine rue, dans le XVIIIème arrondissement de Paris. Selon les informations d’Europe 1, un passant l’a insulté et l’a menacé de mort. "Sur le Coran de la Mecque, je vais te fumer", aurait lâché l'individu. Il a fallu l’intervention de l’officier de sécurité du polémiste afin que ce dernier soit évacué vers sa voiture avant de quitter les lieux. Sur Twitter, le journaliste a déploré cette agression, qui est "le quotidien de tant de Français" selon lui. Invité dans l'émission de Ruth Elkrief sur LCI, celui qui est pressenti comme futur candidat à l’élection présidentielle a confirmé les faits et a donné son ressenti après cette mésaventure.

    Emmanuel Macron également agressé

    L'auteur récemment évincé de CNews n'était pas le seul à être agressé ce lundi 27 septembre. Comme le rapporte Lyon Magun homme a lancé ce qui semble être un œuf en direction du président de la RépubliqueLe projectile a touché Emmanuel Macron et rebondit sur son épaule. Le service d'ordre s'est empressé de protéger le président de la République et d'interpeller l'homme qui aurait crié :"Vive la révolution" durant son geste. Face à Eric Zemmour, qui a également été agressé ce lundi 27 septembre, Ruth Elkrief a tenu à le faire réagir sur la nature de ces actes : "Ça dit quoi de notre pays ?", lui demande la journaliste.

    "On voit d'où ça vient, on voit ce que c'est"

    Pour l'essayiste, les deux agressions n'ont rien en commun : "Emmanuel Macron, c'est la détestation de sa personne d'une partie de la population et la détestation des élites. Moi ce n'est pas la même chose, c'est un jeune homme qui m'a dit : 'Sur le Coran, je te fumerais'. Au moins c'est clair, on voit d'où ça vient, on voit ce que c'est. Ce n'est pas la même chose. Ce sont deux agressions, vous avez raison, mais ce n'est pas la même situation dans notre pays", explique-t-il avant de poursuivre : "Moi ce que j'ai vécu, je pense que beaucoup de Français le vivent tous les jours. Ce que vit Emmanuel Macron, il est le seul à le vivre. C'est tout, c'est la différence", conclut-il.

    Dans L'Heure des pros ce lundi 27 septembre, l'ancien chroniqueur de Face à l'info est également revenu sur son agression. "J'ai la chance d'être protégé. Immédiatement, le policier qui me protégeait m'a fait entrer dans la voiture donc je n'ai pas risqué grand-chose. Il faut relativiser", a-t-il expliqué à Pascal Praud en affirmant qu'il "était une cible depuis longtemps".

    Télé-Loisirs.fr


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  • Russie : des dizaines de corbeaux retrouvés morts dans des circonstances mystérieuses à Novossibirsk

    Découverte morbide le week-end dernier pour les habitants de Novosibirks en Russie. Des dizaines de corbeaux ont été retrouvés dans un parc de la ville de Sibérie occidentale.

    Seule cette espèce a été décimée par un phénomène qui, pour l'heure, n'a pas été officiellement dévoilé par les autorités.

    Des dizaines de corbeaux morts Russie

    C'est une mystérieuse découverte qui a été rapportée par le média britannique The Sun. Les habitants de Novosibirsk, une ville de Sibérie Occidentale en Russie ont vu des dizaines de corbeaux jonchés un parc urbain.

    Le vétérinaire Sergei Kuzlyakin, dépêché sur place pour comprendre ce qui est arrivé, a répertorié plus de cent individus morts. "Je travaille ici depuis 1975 et c'est la première fois de ma vie que je vois ça. Je suis réellement choqué." La municipalité a également envoyé des équipes pour récupérer les dépouilles des corbeaux.

    Un phénomène mystérieux inexpliqué

    Plus intriguant encore, seuls les corbeaux auraient été touchés par le phénomène. Aucune autre espèce d'animal ou d'oiseau observée n'a été impactée par le phénomène. Sur des images amateurs filmées par des habitants, des dizaines de cadavres de l'oiseau noir, qui est l'un de rapaces les plus intelligents, sont observables. La scène fait froid dans le dos.

    Mais aucune explication officielle au drame n'a été apportée. Cependant, le vétérinaire Sergei Kuzlyakin tente de trouver une raison à cette macabre découverte. Les corbeaux auraient peut-être été empoisonnés. Des traces de pesticides pourraient alors être retrouvées dans leur corps. Mais ce qui est sur, c'est qu'il ne s'agit pas d'un virus propre à l'espèce.

    Par le passé, d'autres cas similaires avaient été enregistrés. En 2011, dans l'Arkansas aux États-Unis, des milliers d'oiseaux seraient morts d'un seul coup alors qu'ils étaient en plein vol, comme le rapporte The Conversation.

    Gentside


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  • Le gouvernement reproche à ces pays de ne pas reprendre leurs ressortissants lorsqu’ils sont refoulés de l’hexagone.

    Vers une escalade des sanctions entre la France et trois pays du Maghreb ? Ce mardi, Paris a décidé de durcir les conditions d’obtention des visas à l’égard du Maroc, de l’Algérie et de la Tunisie. « C’est une décision drastique, c’est une décision inédite, mais c’est une décision rendue nécessaire par le fait que ces pays n’acceptent pas de reprendre des ressortissants que nous ne souhaitons pas et ne pouvons pas garder en France », a expliqué le porte-parole du gouvernement  Gabriel Attal sur Europe 1, confirmant une information de la radio.

    L’attitude de ces pays « freine l’efficacité des reconduites effectives » à la frontière une fois les obligations de quitter le territoire français (OQTF) délivrées, a-t-il déploré. « Il y a eu un dialogue, ensuite il y a eu des menaces ; aujourd’hui on met cette menace à exécution », a-t-il expliqué.

    La France attend davantage de coopération

    Soulignant les visites sur ce sujet dans ces trois pays du Premier ministre Jean Castex et de membres du gouvernement, dont le ministre de l’Intérieur, ainsi que les réunions avec les ambassadeurs des pays concernés, il a estimé qu'« à un moment quand les choses ne bougent pas, nous faisons appliquer les règles ».

    Interrogé sur la durée d’application de cette mesure, temporaire ou pérenne, le porte-parole du gouvernement français a indiqué qu’elle avait été « décidée il y a quelques semaines » et « va être mise à exécution » pour « pousser les pays concernés à changer de politique et accepter de délivrer ces laissez-passer consulaires ». « On souhaiterait que la réaction soit davantage de coopération avec la France pour qu’on puisse faire appliquer nos règles migratoires », a insisté Gabriel Attal.

    Réagissant à cette annonce sur France Inter, le président par intérim du Rassemblement national, Jordan Bardella a affirmé qu'« on jugera le résultat », déplorant qu’Emmanuel Macron ne soit pas parvenu, comme promis selon lui en campagne en 2017 à « 100 % d’exécution des OQTF (ordre de quitter le territoire français, ndlr) ». La candidate du RN Marine Le Pen doit présenter mardi après-midi son projet de référendum sur l’immigration.

    20 Minutes


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  • Luciano Pavarotti, né le 12 octobre 1935 à Modène, où il meurt le 6 septembre 2007, est un ténor italien.


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  • Les vaches s'étaient abritées de la pluie sous un chêne mais un éclair a frappé l'arbre et les a tuées. L'éleveur a perdu 4 vaches de race limousine et blonde d'Aquitaine ainsi que six veaux.

    L'orage a été meurtrier. En se levant dimanche matin, un éleveur de Dordogne a découvert une scène d'horreur. Dix des bêtes de cet éleveur de la commune de Bouillac, Cyril Malartigue, étaient étendues au milieu de son pré, foudroyées par les orages dans la nuit de samedi à dimanche, rapportent nos collègues de France Bleu.

    Les vaches s'étaient abritées de la pluie sous un chêne mais un éclair a frappé l'arbre - qui s'est fendu sous la violence de l'impact - et a instantanément tué le troupeau. L'éleveur a perdu quatre vaches de race limousine et blonde d'Aquitaine ainsi que six veaux, précisent nos confrères.

    Des incidents rares

    Le troupeau de Cyril Malartique disposait d'un abri mais a choisi de s'abriter sous un arbre ensuite frappé par la foudre. "C'est une catastrophe, on n'avait jamais vu ça", confie l'agriculteur à 20 minutes, admettant être "sous le choc".

    Si les drames de ce genre sont rares, des incidents similaires se sont déjà produits. En 2014, par exemple, 24 vaches avaient été foudroyées dans le sud de la Réunion. Sous la violence de l'éclair, certaines avaient été "projetées à plus d'une trentaine de mètres". Puis en mai dernier, la foudre a abattu 18 éléphants dans la jungle de l'État d'Assam, dans le nord-est de l'Inde.

    BFM.TV

    Dordogne: un troupeau de dix vaches retrouvé foudroyé dans un pré


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  • Bretagne : Le management chez Lidl encore dénoncé après le suicide d’une salariée

    Un rassemblement en hommage à la responsable du magasin de Lamballe (Côtes-d’Armor) a lieu ce lundi après-midi devant le siège régional de l’enseigne en Bretagne

    Elle a mis fin à ses jours dans la nuit du 5 au 6 septembre non loin de son domicile. Avant de se donner la mort, cette responsable du magasin Lidl de Lamballe Côtes-d’Armor avait laissé une lettre à ses proches pour dénoncer le harcèlement et la pression qu’elle subissait de la part de sa direction. Pour rendre hommage à cette femme de 49 ans, qui travaillait depuis 27 ans pour l’enseigne allemande, un rassemblement aura lieu ce lundi après-midi devant le siège de la direction régionale du groupe à Ploumagoar près de Guingamp. « On ne veut plus vivre une telle tragédie car malheureusement il y aurait pu en avoir d’autres », dénonce Arnaud Rouxel, délégué syndical CGT.

     

    En arrêt de travail depuis l’été 2020, cette mère de famille de deux enfants, qui était « très investie dans son travail et avait gravi les échelons », avait porté plainte peu de temps après pour harcèlement moral. « Son travail était sans cesse dénigré, on n’arrêtait pas de lui dire qu’elle n’était pas au niveau », souligne le syndicaliste. Triste hasard du calendrier, elle avait reçu un avis à victime le lendemain de sa disparition l’informant que sa demande de constitution de partie civile était acceptée.

    Perquisitions et gardes à vue au siège régional le 16 février

    La responsable du magasin de Lamballe n’est d’ailleurs pas la seule à s’être plainte du « management toxique » et du « climat délétère » qui régnait au sein de la direction régionale du groupe comme en atteste la quarantaine de plaintes déposées par des collaborateurs. Devant l’ampleur du dossier, une information judiciaire avait été ouverte par le parquet de Saint-Brieuc. Cela avait débouché sur des perquisitions menées le 16 février dans les locaux de la direction régionale et le placement en garde à vue de neuf personnes de l’équipe encadrante. « Les accusations évoquées dans cette enquête sont graves et ne correspondent absolument pas à la politique de l’entreprise ni aux actions menées quotidiennement pour recruter, former et accompagner le développement de nos 40.000 salariés en France », avait alors réagi l’enseigne.

    Alors que l’instruction se poursuit, Arnaud Rouxel ne comprend pas qu’aucune mesure n’ait été prise par la direction à la suite de ces gardes à vue. « Malgré les nombreuses alertes, rien n’a été fait et on se retrouve désormais face à un tel drame, c’est sidérant », ne décolère pas le syndicaliste, qui espère « des mises en examen le plus rapidement possible ». Récemment, le groupe de distribution allemand a été mis en examen pour homicide involontaire et harcèlement après le suicide d’un salarié qui avait été retrouvé pendu dans un entrepôt près d’Aix-en-Provence en 2015.

    20 Minutes

    Jamais je ne suis allée dans un magasin Lidl et jamais je n'irai !

    Allez dans un magasin Lidl, c'est donner de l'argent aux boches !

    Excusez-moi mais j'étais en Normandie en 1944, blessée civile de guerre par des éclats d'obus boches !

    LIEN pour un autre article sur Lidl :

    https://www.20minutes.fr/justice/2981155-20210219-lidl-condamne-verser-37-millions-euros-intermarche-concurrence-deloyale


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  • Une femme a été mise en examen pour « meurtre par conjoint » et placée en détention provisoire dimanche soir après la mort de son compagnon lors d’une dispute alcoolisée à leur domicile de Tonnoy (Meurthe-et-Moselle), a-t-on appris lundi auprès du parquet de Nancy.

    Lors de sa garde à vue la mise en cause, née en 1974, a reconnu « une dispute (…) sur fond de forte alcoolisation », expliquant aux enquêteurs que son conjoint l’avait « giflée et insultée », a ajouté François Pérain, procureur de la République de Nancy.

    De possibles « violences volontaires »

    Elle a ajouté que son compagnon était ensuite « tombé au sol », sans qu’elle ne soit responsable de la chute, et qu’elle lui aurait assené « des coups de pied ». D’après le procureur, « ses chaussures (étaient) effectivement maculées de sang ».

    La fille du couple avait prévenu les secours vendredi, qui avaient découvert le corps sans vie du père présentant « des blessures compatibles avec des violences volontaires ». La mère, retrouvée en état d’ivresse, avait été interpellée et placée en garde à vue.

    Elle avait déjà été condamnée l’an passé pour violences en état d’ivresse sur sa fille. « Le couple était connu pour ses problèmes d’alcoolisation et différends conjugaux », a précisé le parquet.

    Le Parisien


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  • Une semaine après les multiples infractions aux codes de la route par un cortège de mariés à Laigneville, dans l'Oise, un autre cortège à Méry-sur-Oise, au nord-ouest de Paris, a enfreint la loi samedi à plusieurs reprises. À bord de voitures de sport, une petite centaine de participants ont bloqué l'autoroute A16, puis la départementale 44 et enfin l'une des avenues principales de la petite commune du Val d'Oise. Les gendarmes les ont suivis, puis la situation a basculé dans la violence en plein centre-ville.

    D'après la gendarmerie du département, quatre militaires ont été blessés et trois de leurs véhicules ont été dégradés. Invité sur Europe 1, le maire de la commune Pierre-Édouard Eon regrette une situation "qui a dégénéré dans des proportions hallucinantes".

    LIEN de  l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/m%C3%A9ry-sur-oise-le-cort%C3%A8ge-dun-mariage-d%C3%A9g%C3%A9n%C3%A8re-quatre-gendarmes-bless%C3%A9s/ar-AAORNKF?ocid=msedgntp

    Méry-sur-Oise : le cortège d'un mariage dégénère, quatre gendarmes blessés


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  • Enrico Caruso est un ténor italien né le 25 février 1873 à Naples et mort le 2 août 1921 dans la même ville.  Il est considéré par de nombreux critiques comme le plus grand chanteur d'opéra de tous les temps.


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  • Un garçon de 2 ans est mort mercredi au Texas après avoir trouvé une arme à feu chargée dans le sac à dos d'un proche, un drame tragiquement banal aux Etats-Unis.

    Le garçonnet a reçu une balle dans la tête et, à ce stade de l'enquête, semble s'être "tiré dessus par accident", a précisé la police de Waco dans un communiqué. Le propriétaire de l'arme, âgé de 21 ans, s'est enfui après les coups de feu. Il s'est finalement rendu à la police et a été placé en détention et inculpé pour "dissimulation de preuves".

    Le drame s'inscrit dans une série effarante d'accidents comparables.

    "Chaque année, aux Etats-Unis, des centaines d'enfants accèdent à des armes chargées et non sécurisées, dans des placards, des tables de nuit, des sacs à dos ou des sacs à main, ou simplement laissées traîner" et tirent involontairement, selon un rapport récent d'Everytown For Gun Safety.

    L'organisation, qui milite pour un meilleur encadrement des armes à feu, recense depuis 2015 ces "tirs non intentionnels" de mineurs et leurs conséquences. Selon son décompte, ils ont causé 765 morts au cours des six dernières années et 111 depuis le 1er janvier, et fait plus de 1.500 blessés.

    La Constitution américaine évoque un droit au port d'armes, auquel la plupart des Américains sont très attachés, même s'il fait l'objet d'interprétations différentes, et 30% des adultes possèdent au moins une arme à feu.

    Tous les ans, ces armes causent environ 40.000 morts, en incluant les suicides, selon le site Gun Violence Archive.

    RMC


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  • Un ouvrier travaillant dans une église qui s'est effondrée est mort, lundi 27 septembre, dans le fort séisme qui a secoué l'île grecque de Crète, a annoncé un responsable de la protection civile.

    La secousse, de magnitude 5,8 selon l'Observatoire géodynamique d'Athènes, 6 selon l'Institut américain USGS, est survenue à 9h17 (8h17 à Paris) à 23 km d'Héraklion, le chef-lieu de Crète. La télévision publique ERT (lien en grec) fait également état de neuf blessés.

    Le tremblement de terre a particulièrement touché la ville agricole d'Arkalohori, où l'ouvrier est mort et où de nombreux dégâts ont été constatés, selon Spiros Georgiou, responsable du bureau de presse de la Protection civile. "C'est un séisme qu'on n'attendait pas, pour l'instant il y a des répliques de 4,5", a rapporté le sismologue Efthymis Lekkas, président de l'organisme de protection antisismique, cité par l'Agence de presse grecque ANA.

    franceinfo


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  • Macron en «slip kangourou» : nouvelle récidive de l'afficheur du Var

    Michel-Ange Flori, déjà condamné pour avoir occupé les panneaux publicitaires représentant le président en dictateur, revient à la charge après la crise des sous-marins, pointant une France humiliée par l'Australie.

    Après la moustache d'Hitler, le képi de Pétain et la perruque de Louis XVI, place au «slip kangourou». L'afficheur sauvage du Var, qui avait placardé une image de Macron sous les traits du führer en juillet dernier à Seyne-sur-Mer et à Toulon, a récidivé ce week-end en changeant de registre. Sur un panneau publicitaire de 4 mètres de hauteur situé aux abords de Toulon, le chef de l'État est apparu vêtu d'un slip à poche dit «kangourou», allusion directe à la crise des sous-marins où l'Australie a tourné le dos à la France en résiliant le contrat du siècle avec Naval Group. Fier de son coup, l'auteur a tweeté la photo de son œuvre samedi, commentant, narquois : «Même les Australiens n'en veulent pas».

    Il s'agit en réalité d'une énième récidive de la part du Varois. L'été dernier, une première pancarte avait voulu critiquer le président pour sa politique vaccinale, jugée autoritaire par certains anti-passes sanitaires n'hésitant pas à parler de «dictature». Avec un brassard estampillé «LREM» en lieu et place de la croix gammée, Emmanuel Macron, orné d'une moustache, figurait accompagné de la légende : «Obéis et fais-toi vacciner».

    Quelques jours plus tard, une autre affiche apparaissait, relayée par l'auteur lui-même sur son compte Twitter. Cette fois-ci, le président était représenté côte à côte avec le maréchal Pétain, accompagné d'un QR code avec le slogan : «Il n'y a qu'un Pass à franchir». L'auteur dénonçait également dans son tweet les «miliciens macronistes (...) patrouillant dans les faubourgs», allusion aux contrôles de police pour vérifier les passes sanitaires.

    Réagissant à la raillerie de mauvais goût, Emmanuel Macron avait porté plainte contre le Varois. Mais il en fallait plus pour intimider Michel-Ange Flori, qui représentait dans la foulée le chef de l'État en monarque. «L'insignifiant MACON 1er voyant la fin de son règne s'approcher (...) finit par poursuivre un de ses sujets pour blasphème», se moquait-il dans un tweet.

    Quelques jours avant cette nouvelle récidive, le 17 septembre, le procureur du tribunal correctionnel de Toulon avait requis 10.000 euros d'amende contre Michel-Ange Flori, pour «injure publique». Lors de sa comparution, le coupable avait défendu son «droit à l'humour».

    Le Figaro


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    C'est un départ en flèche. Éric Zemmour a déjà vendu 78.851 exemplaires de son ouvrage "La France n'a pas dit son dernier mot", paru le 16 septembre, a-t-on appris de sources concordantes ce mardi.  Le livre a été auto-édité après la rupture avec Albin Michel, maison d'édition historique du polémiste. (dessin de Placide)


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