• L'Assemblée nationale vote l'ouverture de la PMA à toutes les femmes

    L'Assemblée nationale a voté ce vendredi sous les applaudissements l'ouverture de la PMA à toutes les femmes, mesure phare du projet de loi bioéthique examiné en première lecture, malgré la vive opposition de la droite.

    La procréation médicalement assistée (PMA), qui permet d'avoir un enfant au moyen de différentes techniques médicales (insémination artificielle, fécondation in vitro...), est actuellement réservée aux couples hétérosexuels. Cette PMA élargie aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires, soutenue par la majorité et la gauche, sera remboursée par la Sécurité sociale !

     

    Agnes Firmin Le Bodo  
     
    @agnesfirmin
     
    C’est fait! @AssembleeNat vient de voter l’extension de la aux femmes seules et aux femmes en couple . J’ai, comme je l’ai expliqué lors de ma discussion générale, voté POUR <img class="Emoji Emoji--forText" title="Ballot box with ballot" src="https://abs.twimg.com/emoji/v2/72x72/1f5f3.png" alt="

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  • Tout le monde n’a pas rendu un hommage ému à Jacques Chirac

    Une vive émotion a saisi le paysage médiatique français à l’annonce de la mort de l’ancien président de la République Jacques Chirac. Quelques voix discordantes se sont cependant élevées pour rappeler ses casseroles.

    Quelques réactions discordantes se sont nichées parmi le déferlement d’hommages à Jacques Chirac, décédé ce jeudi 26 septembre à l’âge de 86 ans. Certaines personnalités publiques ont tenu à rappeler les parts sombres de la carrière politique de l’ancien président.

    Le journaliste et cofondateur du média d’investigation Mediapart Edwy Plenel a voulu souligner que Jacques Chirac a été « reconnu coupable d’abus de confiance, de détournement de fonds publics et de prise illégale d’intérêts ».

    Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte ouvrière, a pour sa part estimé que la carrière de l’ancien président « ne laissera qu’un bon souvenir aux travailleurs : la grève de 1995 [contre “le plan Juppé” sur les retraites et la sécurité, NDLR]». Qualifiant Jacques Chirac de « politicien bourgeois », elle affirme que sa carrière « aura coché toutes les cases : attaques anti ouvrières, bruit et odeur contre les immigrés jusqu’aux affaires et autres emplois fictifs. »

    Des casseroles oui… « mais il ne fut pas que cela »

    Evoquant les moments forts des mandats du président comme « le non à la guerre en Irak » ou « le coup de gueule de Jérusalem », la députée France insoumise Danièle Obono n’a pas non plus hésité a affirmé que pour elle, Jacques Chirac, c’était aussi « le bruit et l’odeur, la Françafrique, la fracture sociale »« Au-delà de l’effervescence du moment, qu’est-ce que l’Histoire retiendra le plus ? Tout dépend de qui l’écrit », conclut-elle.

    Même constat mesuré chez le député insoumis Alexis Corbière, qui écrit que « pour [sa] génération, nous lui reprochions notamment la mort de M. Oussekine, le “bruit et l’odeur”, etc. » Mais admet qu’il « ne fut pas que cela ». « Avec lui la France a tenu tête aux USA contre une guerre injuste. Hommage à cette grande figure de la droite. Qu’il repose en Paix », a-t-il ajouté.

    A l’étranger, de nombreux médias et personnalités ne se sont pas non plus gardés d’émettre des réserves sur l’héritage de Jacques Chirac. A l’image du journaliste du magazine britannique « The Economist » Daniel Knowles, qui ne s’est pas gêné pour publier un tweet plein d’ironie dès l’annonce de la mort de l’ancien président : « Ahhhh, Jacques Chirac, le dernier président français à avoir reçu d’énormes sacs d’argent des présidents africains pour soutenir ses campagnes de réélection », a-t-il commenté.

    Quelques voix critiques qui se sont cependant perdues dans la nuée. Mais qui pourraient se multiplier dans les prochains jours, lorsque la vive émotion liée à l’annonce de la mort de Jacques Chirac sera passée.

    L'OBS


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  • Ardennes : Un braconnier qui détenait chez lui près de 5.000 grenouilles rousses condamné

    Le prévenu possédait près de 5.000 grenouilles dont plus de la moitié étaient amputées de leurs pattes mais toujours vivantes

    Un homme de 67 ans a été condamné ce mercredi 25 septembre à 2 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières (Ardennes) pour avoir chassé illégalement des grenouilles rousses, une espèce protégée, rapporte Radio 8. L’homme était jugé pour « sévices graves ou actes de cruauté envers un animal ».

    Les faits remontent à mars 2018. Lors de la perquisition au domicile du prévenu, les policiers sont tombés sur « près de 5.000 grenouilles rousses, mortes ou vives, sur le point d’être dévorées, surgelées ou vendues sous le manteau ».

    Près de 3.000 grenouilles aux pattes arrachées

    1.679 étaient vivantes et destinées à être consommées. 2.954 autres avaient été amputées de leurs pattes arrière mais étaient toujours vivantes. Lors de son audition, le chasseur de grenouille a expliqué qu’il agissait ainsi par « tradition familiale ».

    Les inspecteurs de l’environnement ont aussi découvert 19 nasses, 35 pots de 70 paires de cuisses, 32 kg d’œufs d’amphibiens et 19 grenouilles vertes.

    Le sexagénaire avait déjà été verbalisé et était surveillé depuis 2015. Sa peine de prison avec sursis s’accompagne de 1.600 euros de dommages et intérêt. Ses deux fils, également poursuivis, ont nié avoir participé à la capture des batraciens. Ils ont été relaxés.

    20 Minutes

    2 mois avec sursis, justice de merde !

    Ce n'est pas ce genre de peine qui peu empêcher d'autres connards à faire de même !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - VENDREDI 26 09 2019


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 26 09 2019


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  • Suicide d'une directrice d'école : «Dans sa lettre, elle met des mots sur notre quotidien»

    Il a reçu, comme les autres directeurs d'école de Pantin, le courrier de Christine Renon qui a mis fin à ses jours dans son école samedi. Il a accepté de témoigner, «parce que c'est ce qu'elle voulait, que ça se sache, que son geste serve à quelque chose».

    Ce week-end, Christine Renon, directrice d’école à Pantin en Seine-Saint-Denis a mis fin à ses jours, dans son école. Elle a rédigé plusieurs lettres pour expliquer son geste, dont l’une adressée à ses collègues directeurs des écoles voisines. Le courrier de trois pages, également envoyé aux sections locales des syndicats, a été largement diffusé sur les réseaux sociaux. «Aujourd’hui, samedi, je me suis réveillée épouvantablement fatiguée, épuisée après seulement trois semaines de rentrée.» Les directeurs des écoles voisines ont reçu le courrier par la Poste mardi matin. L’un d’eux accepte de témoigner ce jeudi, à condition que l’on préserve son anonymat : le rectorat de Créteil s’étant empressé, dès mardi, de rappeler aux équipes leur devoir de réserve… Lui estime au contraire important de témoigner par respect pour sa collègue. «Elle voulait que ça se sache, que son geste serve.»

    «On est tous dans la même situation»

    «J’ai reçu sa lettre, comme les autres collègues, mardi par la Poste. Ça été extrêmement violent. Elle met des mots sur ce que l’on vit. Dans sa lettre, elle décrit notre quotidien. Ces tâches qui s’amoncellent, sans que jamais on ne nous en enlève. Ces réformes, qui s’accumulent, allant dans un sens puis dans l’autre. Un jour, on nous dit bleu, un autre noir. Nous, directeurs, nous sommes en première ligne. Pour tout, tout le temps. Face à l’institution, à la municipalité. Aux collègues aussi qu’il faut aider, accueillir quand les équipes changent et souvent former… On nous envoie de plus en plus de contractuels qui n’ont aucune formation ni diplôme. Ils se retrouvent en difficulté devant les élèves, et on est bien obligé de les aider…

    «Viennent s’ajouter toutes ces tâches administratives redondantes. Je me souviens, peu de temps après avoir pris le poste, j’ai été stupéfait de la charge de travail. J’ai cru que c’était parce que je débutais, le temps de me roder. Mais en fait, non. On est tous dans la même situation, face à cette accumulation permanente. Avec ce décalage épuisant entre ce qu’on nous demande de faire, et ce que l’on vit sur le terrain. Je pense à ce mail reçu ce matin venant du ministère nous demandant de commander les drapeaux ! Mais sérieux, on s’en fout ! Ou encore le ministre qui dit à la radio mardi que ce serait bien de dire aux mères voilées qu’elles n’ont pas leur place lors des sorties scolaires… A côté de ça, face aux problèmes graves, on est seul. L’institution est rarement là pour nous soutenir. Ma collègue en parle aussi dans sa lettre. Ce sentiment d’impuissance que l’on ressent tous, face à certaines situations. Dans mon école, par exemple, plusieurs enfants n’ont pas d’endroit où dormir, leurs familles sont à la rue. C’est aussi cette réalité que l’on reçoit en face. Sans aucun soutien.

    «Je comprends son geste. Le métier d’enseignant est très envahissant, il prend énormément de place dans nos vies. Quand on est sous une avalanche de choses à faire, c’est compliqué de prendre du recul. De parvenir à se dire : "Ok, ce n’est pas ma faute, je ne peux pas faire tout ce qu’on me demande." C’est difficile et beaucoup de collègues craquent. Après la lettre, l’administration a mis en place une soi-disant cellule d’écoute. Les premiers mots étaient pour nous rappeler notre devoir de réserve, de discrétion. En insistant sur le fait que ce courrier était une pièce de justice, qu’il fallait la remettre à la police et ne pas la diffuser. C’est vraiment ça qui compte ?»

    Libération


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  • Mardi, un homme et une femme ont été condamnés à des peines de prison par le tribunal correctionnel de Lille après avoir braqué plusieurs commerces de la métropole. En une semaine, le couple avait dévalisé quatre boulangeries a-t-on appris auprès de la police.

     

    Le 12 septembre dernier, un homme armé d’un cutter est entré dans la boulangerie Plaisirs et gourmandises, rue Jean-Jaurès, à Villeneuve d’Ascq. Il a menacé les employés afin de se faire ouvrir la caisse, s’est emparé de l’argent liquide et des chèques puis a quitté les lieux. A l’extérieur, une femme l’attendait au volant d’un véhicule à bord duquel le couple a pris la fuite.

    Un homme et une femme bien connus de la justice

    Dans la même semaine, les policiers ont eu vent de trois autres vols à main armée dans des boulangeries à Croix, Villeneuve d’Ascq et Mons-en-Barœul. Le mode opératoire était identique ainsi que le signalement du braqueur.

    Les investigations des enquêteurs leur ont permis, dimanche, d’interpeller le couple. Les suspects ont été placés en garde à vue. Mardi, tous deux ont été jugés en comparution immédiate. L’homme, âgé de 36 ans et bien connu de la justice, a été condamné à quatre ans de prison ferme dont un an avec sursis. Il a été incarcéré à la prison de Sequedin. Sa complice, âgée de 42 ans et aussi connue de la justice, a été condamnée à un an de prison avec sursis et laissée libre !

    20 Minutes

    Quand on voit les peines, on croit rêver !

    Pourquoi la femme, connue de la justice, est restée libre ?

    Il faut construire des prisons !


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  • Le port de Marseille, futur port d’accueil pour les migrants ? "Ça ne nous semble pas déraisonnable"

    Lundi, à Malte, quatre pays (France, Allemagne, Italie, Malte) ont signé un préaccord en vue de la création d’un mécanisme de répartition automatique des demandeurs d’asile et migrants débarqués à Malte ou en Italie. 

     

    L’idée est que ce mécanisme soit étendu à d’autres Etats membres afin de mieux accueillir les naufragés secourus en Mer Méditerranée. Le texte sera soumis pour approbation à l'ensemble des pays de l'Union européenne lors d'un conseil européen au Luxembourg le 8 octobre prochain. Il prévoit notamment la création d'un centre d'accueil à à Marseille. 

    Europe 1 s’est rendue dans la cité phocéenne pour savoir ce qu’en pensent les associations et organisations d’aide aux migrants de l’idée d’une mise en place d’une rotation des ports d’accueil. Si Rome plaide pour que Marseille figure sur la liste, la co-fondatrice et directrice générale de SOS Méditerranée Sophie Beau estime que le plus important est la solidarité européenne. 

    Une coordination des pays européens nécessaire 

    "L’idée, c’est d’avoir une plateforme de débarquement proche pour que les rescapés puissent être très rapidement débarqués dans un lieu sûr et qu’il y ait ensuite un mécanisme de répartition entre les pays européens dont la France", explique Sophie Beau au micro d’Europe 1. "Ça ne nous semble pas déraisonnable d’imaginer que les Etats européens arrivent à se coordonner pour recevoir quelques milliers de personnes chaque année". Ces deux derniers mois, le navire humanitaire Ocean Viking a sauvé 650 migrants du naufrage débarqués en Italie ou à Malte.

    Les migrants sont pris en charge dans des centres d’accueil pour demandeurs d’asile financés par l’Etat (19,50 euros par personne et par jour). Mais le système est saturé, comme le souligne Fabrice Brunet du groupe SOS Solidarités : "La situation est déjà épouvantable actuellement. On ne pourra pas faire face effectivement à cet afflux", estime-t-il. Il poursuit : "Il n’y a pas assez de place pour accueillir l’ensemble des demandeurs d’asile. Il faut que l’Etat se mette à financer et propose des financements supplémentaires pour avoir des établissements supplémentaires pour ces personnes". 

    Plus de 3000 places en centres d’accueil sont déjà financées dans les Bouche-du-Rhône, soit deux fois plus qu’il y a trois ans.

    Europe 1

    Seulement 4 pays sur les 28 !!!


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  • Plusieurs morts après un puissant séisme dans l'est de l'Indonésie

    Au moins quatre personnes sont mortes en Indonésie après un puissant séisme de magnitude 6,5 qui a secoué jeudi l'archipel des Moluques, dans l'est du pays, et fait des dégâts matériels modérés, ont indiqué les autorités.

     

    La secousse a endommagé de nombreux bâtiments, dont une université, et provoqué un glissement de terrain, a précisé l'agence locale de gestion des catastrophes. Deux personnes ont été tuées par la chute de débris, tandis qu'une femme est morte dans un accident de moto en voulant s'enfuir, selon un porte-parole de l'agence. Les autorités avaient indiqué dans un premier temps que la victime de l'accident était un homme. Une autre personne est portée disparue après un glissement de terrain.

    Le séisme de magnitude 6,5, selon l'Institut américain de géophysique (USGS), dont l'épicentre a été détecté à 37 kilomètres au nord-est d'Ambon dans la province des Moluques, s'est produit à 08h46 heure locale (23h46 GMT mercredi). Il a été suivi de dizaines de répliques, déclenchant la panique chez les habitants qui ont fui vers les hauteurs. "L'impact a été ressenti à travers Ambon et dans les environs", a expliqué Rahmat Triyono, un responsable de l'Agence de météorologie, du climat et de géophysique (BMKG). "Cela ressemblait à un camion qui passe à côté d'une maison, les lampes suspendues ont commencé à se balancer". Des images d'Ambon, ville de quelque 400.000 habitants, montrent des pans de murs tombés, des gravats et des fissures sur des bâtiments.

    "La maison a commencé à s'ébranler"

    "Je dormais avec ma famille quand tout d'un coup la maison a commencé à s'ébranler", a dit un correspondant de l'AFP à Ambon. "Le séisme a été réellement très puissant. Nous avons fui à l'extérieur et nous avons vu nos voisins faire la même chose. Tout le monde paniquait." Le responsable local de l'agence, Oral Sem Wilar, a appelé la population au calme. "Les gens ont paniqué et ont commencé à évacuer certaines localités, mais nous leur disons qu'il n'y a pas de raison de paniquer puisqu'il n'y a pas d'alerte au tsunami", a-t-il indiqué à l'AFP. "De nombreux habitants craignaient un tsunami et donc se sont réfugiés en hauteur. La plupart des maisons ici sont sur la plage", a témoigné Clementine Mataheru, une habitante du village d'Hunud, dans la périphérie d'Ambon.

    L'Indonésie, archipel de 17.000 îles et îlots qui s'est formé par la convergence de trois grandes plaques tectoniques (indo-pacifique, australienne et eurasienne), se trouve sur la ceinture de feu du Pacifique, zone de forte activité sismique. L'archipel compte plus de 100 volcans actifs.

    L'année dernière, fin septembre, un séisme de magnitude 7,5 suivi d'un tsunami sur l'île de Célèbes avait dévasté la région de Palu et fait plus de 4.300 morts et disparus.

    Et en 2004, un tsunami avait tué 220.000 personnes dans la région de l'océan Indien, dont 170.000 en Indonésie, au lendemain de Noël. Il avait été déclenché par un séisme de magnitude 9,1 au large de la côte de Sumatra.

    Paris Match

    La nature régule à sa manière le trop grand nombre d'humains sur notre planète !

    Quand le niveau de la mer montera, beaucoup d'îles disparaîtront.

    Paris Match


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  • Jacques Chirac est mort à l'âge de 86 ans, annonce sa famille

    Jacques Chirac est mort. Sa famille l'a annoncé, jeudi 26 septembre, à l'AFP. "Le président Jacques Chirac s'est éteint ce matin au milieu des siens. Paisiblement", a déclaré son gendre Frédéric Salat-Baroux, époux de Claude Chirac. Sa santé s'était dégradée depuis son départ de l'Elysée en 2007, conséquence notamment d'un accident vasculaire cérébral survenu en 2005, durant son second mandat de président de la République. En septembre 2016, il avait dû rentrer en urgence du Maroc, où il était en villégiature avec son épouse Bernadette, afin d'être hospitalisé à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris pour une infection pulmonaire. Il y avait séjourné pendant près d'un mois, avant de pouvoir regagner son domicile parisien.

     

    LIEN de la suite d'un très long article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/jacques-chirac/jacques-chirac-est-mort-%c3%a0-l%c3%a2ge-de-86-ans-annonce-sa-famille/ar-AAHSw9H?li=BBoJIji&ocid=PerDHP


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  • Un jour, une chatte avec une patte blessée est venue dans son jardin pour chercher à manger. Un jour, elle a conduit ce monsieur jusqu'à ses petits.

    Il les a tous ramené chez lui et les a sauvé.


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  • Affiche de campagne sur les mères voilées : la FCPE dépose une plainte

    Tout commence par une affiche de campagne de la FCPE publiée sur les réseaux sociaux. Initialement diffusée en interne pour les élections des représentants de parents d'élèves, l'affiche défend le droit pour les mères musulmanes voilées d'accompagner leurs enfants aux sorties scolaires. "Oui, je vais en sortie scolaire, et alors ?", affirme le slogan, apposé contre une photographie d'une mère voilée et d'une écolière. "La laïcité c'est accueillir à l'école tous les parents sans exception", peut-on lire en sous-titre.

     

    Mais cette affiche est loin de plaire à tout le monde : très vite, une polémique prend forme sur fond de débat sur la laïcité à l'école. Invité mardi matin sur le plateau de RMC-BFMTV, le ministre de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, a ainsi qualification cette publication de "regrettable" et "d'erreur".

    Photomontages

    Sur les réseaux sociaux, les critiques vont plus loin. De nombreux photomontages sont réalisés, et notamment diffusés sur les comptes Facebook et Twitter de militants et personnalités d'extrême droite. L'un de ces montages représente deux djihadistes, armes à la main. Le slogan "Oui, je vais en sortie scolaire, et alors ?" prend alors une tout autre tournure.

    Le montage, ainsi que d'autres "parodies" ont notamment été relayés par Laurent Bouvet, un universitaire nommé l'an dernier par le ministre de l'Éducation au conseil des sages de la laïcité. Un véritable scandale pour la FCPE, qui a décidé de porter plainte contre le fondateur de l'association controversée Printemps républicain, accusée d'identitarisme.

    "Nous allons porter plainte contre lui pour incitation à la haine", annonce Rodrigo Arenas, coprésident de la FCPE, au Parisien. "Comment peut-il s'amuser à ça alors qu'il est censé pacifier la société ?", s'indigne-t-il.

    Sur les réseaux sociaux, cette parodie a également déclenché une cascade de réactions indignées, les internautes demandant depuis dimanche la démission de Laurent Bouvet. "Je porte le voile et j'ai accompagné toutes les sorties scolaires de mes enfants", réagit une mère de famille sur Twitter. "La comparaison que fait Bouvet avec des terroristes est violente, insultante et incite à la haine. Ce monsieur ne doit pas siéger dans une instance nationale".

    Laurent Bouvet a évoqué dans L'Obs une situation "risible". "Ces gens devraient apprendre ce qu'est le pluralisme et apprendre à rire d'eux-mêmes", déclare-t-il, évoquant "l'esprit Charlie".

    L'Express


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  • Lariboisière : une maternité au "bord du craquage complet"

    Une quarantaine de paramédicaux ont publié un communiqué sur le site du collectif Inter-Urgences pour dénoncer des conditions de travail inhumaines.

    "C’est un cri, un SOS, une bouteille à la mer […]. Le service est à bout de souffle, n’a plus d’énergie, et rien n’est fait…" s’alarment les soignants de la maternité de l’hôpital Lariboisière, dans le Xe arrondissement de Paris, dans un communiqué relayé par Inter-Urgences le 24 septembre. Ont participé à la rédaction de cet appel à l’aide des infirmières, des auxiliaires de puériculture, des aides-soignantes et des sages-femmes.

     

    "Une catastrophe va arriver"

    Ces soignantes dénoncent des sous-effectifs et affirment que les personnels sont au "bord du craquage complet". Elles affirment ne plus être mesure d’assurer la sécurité des patientes et de leurs bébés. Si rien n'est fait, "une catastrophe va arriver", prédisent-elles. Elles font notamment référence aux urgences de Lariboisière, où, en décembre, une patiente avait été retrouvée morte sur un brancard, 12 heures après son admission.

    En 2018, les mêmes soignants avaient pourtant alerté sur la situation. Leur chef de service, en signe de soutien, avait alors menacé "d'arrêter toutes nouvelles inscriptions à la maternité". A l’époque, un "travail de diagnostic" avait été lancé, selon l’AP-HP. En avait découlé un plan de réorganisation prévoyant la création de cinq emplois et la transformation des emplois d'infirmières "en emplois sage-femmes pour une prise en charge homogène", a expliqué la direction à l'AFP.

    "Du matériel de soins qui tombe régulièrement en panne"

    Un projet qui ne satisfait pas les auteurs du texte, qui déplorent une "suppression" de postes d'infirmières. Ils dénoncent en outre des locaux "vétustes avec des prises électriques non protégées, des moisissures aux plafonds, [...] des matelas de lit lacérés" ou "du matériel de soins qui tombe régulièrement en panne et qui n'est remplacé que trois semaines plus tard".

    Les signataires de la tribune expriment enfin leur "honte" d'avoir à faire sortir de leur chambre de jeunes mères sans abri pour les installer "par terre" avec leur nourrisson dans une petite pièce dédiée, faute de place d'hébergement. Lariboisière assure "la mise à l'abri temporaire pour la nuit" de femmes sortant de maternité "sans solution d'hébergement", réagit l'AP-HP. La direction assure chercher "des solutions individualisées et adaptées à chacune".

    franceinfos


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  • Quand je vois  cette pauvre autiste dire en criant ce que on lui a écrit, ça me rappelle le psychopathe qui nous gouverne !!!


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  • Greta Thunberg : pourquoi sa mère, popstar suédoise, a déjà fait parler d’elle

    Son nom est désormais sur toute les lèvres. Mais la jeune militante écologiste Greta Thunberg n'est pas la seule membre de la famille à être connue. Sa maman, Malena Ernman, est une chanteuse suédoise qui a déjà fait parler d'elle.

    C'est aujourd'hui une icône mondiale. A seulement 16 ans, Greta Thunberg est devenue le nouveau visage de l'écologie et de la lutte contre le réchauffement climatique. La représentante d'une jeune génération qui refuse de voir la planète - et donc son futur - détruitepar ceux qui devraient la protéger. Après avoir traversé l'Atlantique dans le voilier de Pierre Casiraghi pour se rendre à New York, la jeune Suédoise n'a pas hésité à confronter les dirigeants mondiaux lors du sommet mondial pour le climat de l’ONU. "Comment osez-vous ? Vous avez volé mes rêves et mon enfance" leur a-t-elle lancé dans un discours accusateur.

     

    L'adolescente militante n'a pas froid aux yeux. Même si sa surmédiatisation fait d'elle une cible, Greta Thunberg reste droite dans ses bottes. Et si la jeune autiste était aussi à l'aise sous les feux des projecteurs parce qu'elle a déjà une expérience avec la célébrité ? La maman de Greta Thunberg est en effet Malena Ernman, une chanteuse d'opéra très connue en Suède, son pays natal, et en Europe où elle s'est produite sur les plus grandes scènes. La cantatrice de 48 ans a aussi représenté le royaume scandinave au Concours de l'Eurovision en 2009 avec la chanson La Voix.

    Pourtant, aujourd'hui, Malena Ernman fait plus parler d'elle pour des polémiques que par ses performances vocales. Dans un livre intitulé Scènes de coeur sorti en 2018, elle évoque ainsi les talents de sa fille : "Greta est aussi capable de voir ce que les autres ne voient pas, elle peut percevoir le CO2 à l’œil nu. Elle l’observe s’échapper des cheminées et se transformer en dépotoir dans l’atmosphère". Une déclaration qui crée évidemment la controverse, le dioxyde de carbone étant un gaz invisible. Malena Ernman devient aussi le sujet de moqueries sur Twitter après une publicité où elle fait ses courses au supermarché en robe de soirée et accompagnée d'amis un peu particuliers (satanistes). Des sorties médiatiques qui ne sont pas passées inaperçues.

    GALA

    La fille aussi folle que la mère !


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  • Important incendie en cours chez Lubrizol à Rouen

    Un incendie actuellement en cours - qui n’a pas fait de victime -, s’est déclaré dans la nuit du jeudi 26 septembre, dans un bâtiment de l’usine Lubrizol, à Rouen (Normandie). Ce site, qui fabrique des additifs pour lubrifiants, est classé « Seveso seuil haut », c’est-à-dire sous surveillance en raison des matières premières qu’il utilise.

    Les secours ont été alertés vers 2 h 40 du matin, selon le préfet de Normandie, Pierre-André Durand. Deux cents hommes et plus de soixante véhicules sont mobilisés pour tenter une approche du feu, d’une extrême violence, a indiqué, vers 7 h 30, un responsable des pompiers. « Le feu n’est pas circonscrit. Le dispositif monte en puissance. J’attends des renforts nationaux », a-t-il précisé.

     

    Un périmètre de 500 mètres autour du site a été évacué. Par mesure de précaution, le préfet a invité les habitants de douze communes – dont Rouen –, à rester chez eux, et les établissements scolaires (écoles, collèges et lycées) vont rester fermés jeudi.

    Pas de toxicité aiguë, selon le préfet

    Un « spectaculaire panache de fumée domine toute l’agglomération », a indiqué Pierre-André Durand lors d’une audioconférence de presse. Cette fumée « noire », liée à la présence « d’hydrocarbures », est « forcément anxiogène », mais les « premières analyses n’ont pas fait apparaître de toxicité aiguë sur les principales molécules que nous suivons, ce qui est plutôt rassurant », a ajouté le préfet.

    « Nous n’avons pas d’élément qui permettent de penser qu’il y a un risque lié aux fumées », a affirmé de son côté le ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, au micro de RTL.

    Des habitants ont entendu des bruits d’explosion dans la nuit, mais il s’agissait de fûts d’huile qui ont éclaté, selon la préfecture. Le plan particulier d’intervention a été déclenché.

    L’usine Lubrizol fabrique essentiellement des additifs pour huile, selon le préfet. Le site avait déjà été à l’origine le 21 janvier 2013 d’une fuite de mercaptan, un gaz malodorant qui avait empuanti pendant plusieurs jours la vallée de la Seine inférieure, la région parisienne et le sud de l’Angleterre. La société Lubrizol France avait été condamnée, en avril 2014, à une amende de 4 000 euros.

    Le Monde


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - JEUDI 26 09 2019


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