• La police est dans la rue: à l'appel d'une intersyndicale inédite depuis près de 20 ans, les policiers défileront à Paris mercredi pour une "marche de la colère" sur fond de malaise de l'institution, de hausse des suicides et de réforme des retraites. Le cortège partira vers 12H30 de la place de la Bastille pour rejoindre celle de la République. Les organisations syndicales qui ont réussi l'union sacrée tous corps et tous grades confondus, espèrent une mobilisation exceptionnelle de 15.000 à 20.000 manifestants. De mémoire de syndicalistes policiers, on n'avait pas vu un tel appel unitaire depuis 2001. A l'époque, la mobilisation avait été provoquée par le meurtre de deux policiers au Plessis-Trévise (Val-de-Marne) par un braqueur récidiviste.

    Cette fois, pas de fait divers sanglant agissant comme élément déclencheur, mais une usure opérationnelle liée au mouvement social des "gilets jaunes", où la police a été accusée de violences, et un bond des suicides au sein de la Police nationale, un mal endémique dans l'institution. Cinq points sont au cœur des revendications des policiers: "l'amélioration de la qualité de vie au travail", "une véritable politique sociale pour les agents du ministère de l'Intérieur", "une réponse pénale réelle, efficace et dissuasive", "la défense des retraites" et une future loi d'orientation et de programmation "ambitieuse".

    "Il y a un ras-le-bol profond", fait valoir David Le Bars, secrétaire général du syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN-Unsa). "Tous les syndicats ont conscience que la police est malade." "L'administration a parfois du mal à se remettre en question. Notre initiative se veut aussi une aide aux décideurs politiques pour engager une profonde réflexion sur la police", ajoute M. Le Bars. "On est au-delà des moyens. Une enveloppe budgétaire ou la future Loppsi (loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure) ne régleront pas tout", complète le syndicaliste, qui met également en avant le "contexte de craintes" relatif aux réformes des retraites et de la fonction publique.

    Retraites

    Le futur big bang des régimes de retraite est en effet l'un des principaux points de tension entre l'exécutif et les syndicats policiers, qui craignent une remise en cause de leur avantageux système de bonifications. Les policiers bénéficient d'une bonification spéciale dite "du cinquième" ou "quinquennale", qui leur offre une annuité (quatre trimestres) de cotisation tous les cinq ans. Elle est plafonnée à cinq annuités. Pour être éligible à cette bonification, le fonctionnaire doit avoir exercé 27 années de service.

    Les propos du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner assurant, le 17 septembre, qu'il défendrait "jusqu'au bout la spécificité du statut" des forces de l'ordre, sont loin d'avoir dissipé les inquiétudes des organisations syndicales. "Nous voulons une position ferme et définitive du gouvernement", résume le secrétaire général d'Unité-SG-FO, Yves Lefebvre, réélu la semaine dernière à la tête du syndicat de gardiens et de gradés. "Le métier de policier n'est pas un métier comme les autres car son exercice est dangereux", souligne David Le Bars. "On prend le risque d'une fuite des personnels et de carrières à deux vitesses. On va s'effondrer sur nous-mêmes", s'alarme le patron du SCPN.

    "Castaner n'a pas toutes les cartes en main. Il joue une partie de poker avec Matignon qui détient les cordons de la bourse et l'Elysée", observe M. Lefebvre. "Mais tout le monde doit comprendre qu'il y aura le feu dans la maison +police+" si le gouvernement devait suivre les préconisations du rapport du haut-commissaire à la réforme des retraites Jean-Paul Delevoye, publié en juillet. Le secrétaire général d'Unité-SGP a eu l'occasion de le rappeler au ministre lorsque celui-ci s'est déplacé jeudi au congrès du syndicat: "si vous nous enlevez le régime spécifique, rendez-nous le droit de grève." "Il faut que le gouvernement nous réponde vite car nous sommes déjà dans l'après-2 octobre", avertit M. Lefebvre.

    Paris Match


    3 commentaires
  • Si la réalité est violente, comment sa description pourrait-elle ne pas l’être ? Éric Zemmour constate journalistiquement la colonisation islamique par l’immigration massive. Il semble que ce soit déjà trop pour certains, qui veulent le faire taire par tous les moyens. Aujourd’hui, Éric Zemmour risque sa vie. Le lanceur d’alerte le plus célèbre de France risque deux morts : la mort sociale par licenciement, et la mort tout court par assassinat.

     

    LIEN de l'article ou vous pourrez voir toutes les menaces de mort :

    https://lincorrect.org/eric-zemmour-en-danger-de-mort/ 


    6 commentaires
  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MERCREDI 02 10 2019

     

    Bonne journée


    5 commentaires
  • Gigantesque incendie dans une usine au Luxembourg, un important nuage de fumée

     L'usine Euro-Composites d'Echternach (Luxembourg) est en proie aux flammes, mardi 1er octobre 2019. Les habitants des alentours sont invités à fermer leurs fenêtres.

    Incroyable poursuite de la série noire des incendies d’usine en France et chez nos voisins.

    Après le feu qui a ravagé Lubrizol à Rouen (Seine-Maritime) jeudi 26 septembre 2019 et celui d’un entrepôt de la même ville dans la nuit du lundi 30 septembre au mardi 1er octobre, sans oublier celui d’un site classé Seveso à Toulouse (Haute-Garonne), c’est cette fois une entreprise du Luxembourg qui est touchée.

     

    L’usine Euro-Composites d’Echternach (Luxembourg), à la frontière de l’Allemagne, a été touchée par un incendie, mardi 1er octobre, vers 12h30. Elle fabrique des produits destinés à l’aéronautique et à l’aérospatiale.

    Lorraine Actus

    Vraiment bizarre tous ces incendies !


    3 commentaires
  • Et oui, bizarre ! On a toujours pas compris comment pour Notre-Dame ! 


    7 commentaires
  • Le parquet ouvre une enquête contre Zemmour pour injures publiques et provocation à la discrimination

    L'enquête ouverte par le parquet de Paris porte sur des propos tenus par le polémiste sur l'immigration et l'islam lors de la Convention de la droite.

    Le parquet de Paris a annoncé ce mardi l'ouverture d'une enquête après des propos d'Eric Zemmour sur l'immigration et l'islam à la convention de la droite, a appris BFMTV. Les investigations visent des propos assimilés à des injures publiques en raison de l'origine ou de l'appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.

    L'enquête porte également sur une provocation publique à la discrimination, la haine ou la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. Cette enquête a été confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP).

    BFM.TV

    Contrairemeent à macron, quand Zemmour parle, c'est pour dire quelque chose que l'on comprend !

    Il ferait mieux d'arrêter les gentils vendeurs de drogue des banlieues !


    5 commentaires
  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 01 10 2019


    7 commentaires
  • L'humoriste André Gaillard, membre des "Frères ennemis", est mort

    Le comédien et humoriste est décédé le 30 septembre à l'âge de 91 ans à la Maison de retraite des artistes de Nogent-sur-Marne, en région parisienne, a annoncé sa fille Silvia Gaillard. André Gaillard avait formé le duo comique Les Frères ennemis avec Teddy Vrignault.

    Dès 1954, André Gaillard et Teddy Vrignault se sont produits dans des cabarets parisiens, rencontrant un vif succès jusqu'en 1984 sur scène, à la radio et à la télévision. Cette année-là, Teddy Vrignault, décrit comme déprimé par ses proches, disparaît brusquement, ne donnant plus aucune nouvelle ni à sa famille, ni à son partenaire artistique. Son corps n'a jamais été retrouvé.

    Plus de 700 sketches

    Les duettistes s'étaient rencontrés en faisant leur service militaire en Allemagne. Spécialisés dans un humour absurde, Les Frères ennemis, l'un têtu, l'autre râleur, ont fait leurs débuts sur la petite scène du cabaret parisien L'Ecluse, place-forte de l'humour, avant d'être engagés par Le Caveau de la République, Le Don Camilo et Les Deux Ânes. A leur actif, plus de 700 sketches dont La Cousine germaine, Les Téléphones, Les Grandes Familles, La Tombola...

    "Leur humour était très décalé, cultivant l'absurde. Pierre Dac et Alphonse Allais étaient leurs références. André Gaillard et Teddy Vrignault étaient de vrais artistes de cabaret, mais aussi d'excellents comédiens, devenus de grosses vedettes", se souvient le chansonnier Jacques Mailhot, directeur du Théâtre des Deux Ânes. "Les gens bien intentionnés les qualifient d'amuseurs. Les gens moins bien intentionnés les classent parmi les rigolos. Ils valent beaucoup mieux que ça. Le délire verbal, le coq-à-l'âne, la gymnastique des mots, est probablement le genre exigeant le plus de maîtrise, le plus de rigueur, en un mot: le plus de style", a dit d'eux le cinéaste et dialoguiste Michel Audiard.

    Quelques années après la disparition de Teddy Vrignault, André Gaillard, célèbre aussi pour sa moustache et ses volumineuses rouflaquettes, a reformé un duo avec Colette Duval appelé Les Nouveaux ennemis, avant de rejoindre les Grosses Têtes de RTL. Le comédien a été aussi à l'affiche de téléfilms et de plusieurs pièces de théâtre dont La Présidente dans une mise en scène de Pierre Mondy en 1989. Au cinéma, André Gaillard a joué dans plusieurs films de Jean Yann dont Moi y'en a vouloir des sous (1972), Les Chinois à Paris (1973), Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil (1974). En 1963, il était au casting de Bébert et l'omnibus d'Yves Robert.

    franceinfo


    2 commentaires
  • Emmanuel Macron voulait “présider” la messe d’hommage à Jacques Chirac

    Emmanuel Macron avant les funérailles de Jacques Chirac, lundi 30 septembre. Photo © Valeriy Melnikov / Sputnik / AFP

    L’annonce de l’Élysée, qui refuse par ailleurs de parler de “messe d’enterrement”, a créé le malaise à l’archevêché de Paris.

    Calife à la place du calife ? Il se permet tout. Même s’il se défend de toute récupération politique après l’annonce de la mort de Jacques Chirac, Emmanuel Macron sait cependant que l’intégralité de ses faits et gestes ont une portée politique. 

    Il y a parfois des maladresses qui en disent long sur les intuitions profondes d’un être humain : l’Élysée a créé le malaise à l’archevêché de Paris en annonçant que le président de la République « présidera » la messe d’enterrement de Jacques Chirac. Effectivement, seul un prêtre, peut « présider » une messe, en aucun cas un laïc. Qu’il s’agisse du quidam, du co-prince d’Andorre ou encore du chanoine de Latran, charges symboliques attribuées aux présidents français par tradition.

    Autrement dit, pour l’Élysée, il revenait à Emmanuel Macron et pas à Mgr Aupetit, archevêque de Paris, de « présider » la messe d’A-Dieu de l’ancien chef d’Etat. Autre incongruité : le gouvernement ne parle pas un seul instant de « messe d’enterrement » mais de « service solennel en l’église Saint-Sulpice ». Est-il devenu gênant à ce point de parler d’« enterrement », de « messe », qu’il faille inventer une novlangue néo-maçonnique ? 

    Valeurs actuelles

    Pauvre macaron, il ne sait plus quoi faire pour se faire remarquer !

    Emmanuel Macron voulait “présider” la messe d’hommage à Jacques Chirac

     

     


    4 commentaires
  • A Rouen, une colère noire

    Des centaines de milliers de personnes à Rouen et ses environs, légitimement inquiètes, se sentent méprisées par la suite de communiqués qui prétendent que tout est sous contrôle.

    LIEN article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/a-rouen-une-col%c3%a8re-noire/ar-AAI4dbO?li=BBoJIji&ocid=PerDHP

    **********

    Rouen : l'usine Lubrizol fermée tant que les causes de l'incendie ne sont pas connues

    "Cet incendie n'est pas normal", a observé ce lundi la ministre de la Transition écologique Élisabeth Borne.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/rouen-l-usine-lubrizol-fermée-tant-que-les-causes-de-l-incendie-ne-sont-pas-connues/ar-AAI3FIP?ocid=WidgetStore&li=AA4REc


    3 commentaires
  • La femme âgée de 78 ans était pensionnaire d'une maison de retraite à Auby, dans le Nord.

    Une pensionnaire d'une maison de retraite de 78 ans a été retrouvée morte dans un canal, ce samedi, selon les pompiers confirmant une information de la "Voix du Nord".

    La victime avait disparu plus tôt dans la matinée de la maison de retraite Beauséjour à Auby, dans le département du Nord. Elle avait été aperçue pour la dernière fois à 10h30, avant que le personnel ne se rende compte de sa disparition et entreprenne des recherches. 

     

    Les pompiers ont d'abord retrouvé les chaussures de la femme, avant de découvrir son corps aux alentours de 13 heures, flottant à une centaine de mètres en direction opposée à la passerelle piétonne qui permet le franchissement du canal de la Haute-Deûle. Ce dernier est situé derrière la maison de retraite.

    La direction injoignable

    Le foyer où résidait la victime est géré par le Centre communal d'action social (CCAS) de la commune d'Auby, un millier d’habitants. Selon le site internet de la ville, la maison de retraite permettait aux résidents de "garder son indépendance tout en bénéficiant des avantages collectifs."

    La direction n'était pas joignable ce dimanche. Le corps de la victime va être transporté à l'institut médico-légal de Lille pour des examens approfondis. 

    Europe 1


    4 commentaires
  • Toulouse : départ de feu sur un site classé Seveso, quatre jours après l'incendie de Rouen

    Bis repetita. Quatre jours après l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen, un départ de feu a été constaté lundi soir dans un hangar de la Société de traitement chimique des métaux (STCM) à Toulouse, autre usine qui dépend de la directive Seveso. Ce sont des batteries qui ont pris feu, rapporte La Dépêche.

    Le service de sécurité interne de l'entreprise a "rapidement réagi", assurent les pompiers à France Bleu Haute-Garonne. Appelés sur place, ils ont pu repartir au bout d'une heure.

    "Aucune fumée n'a été observée à l'extérieur du site. Les légères fumées occasionnées à l'intérieur du bâtiment ont été rapidement absorbées par les extracteurs et filtrées par ces mêmes dispositifs", a tenu à rassurer la préfecture, qui assure qu'il n'existe aucun risque pour la population. Aucune toxicité n'a été relevée, indique-t-elle également à La Dépêche.

    L'Express


    3 commentaires
  • Une usine chimique classée "Seveso seuil haut" a été mise à l'arrêt mardi matin dans l'agglomération de Rouen pour raison de sécurité, a annoncé la préfecture de Seine-Maritime, ajoutant qu'il n'y avait pas d'incendie.

    Une usine chimique, classée Seveso seuil haut à Grand-Quevilly, près de Rouen, a été "mise à l'arrêt" depuis 7H45, a annoncé la préfecture de Seine-Maritime, précisant qu'il n'y avait pas d'incendie.

     

    "L'usine Borealis (production d'engrais) (...) a déclenché son POI (Plan d'Organisation Interne) à la suite d'une perte d'alimentation électrique qui nécessite sa mise à l'arrêt pour mise en sécurité de l'installation", a indiqué la préfecture dans un communiqué, cinq jours après l'accident de l'usine chimique Lubrizol à Rouen.

    Fertilisants pour l'agriculture

    Selon les premières constatations, "cette perte d'alimentation électrique serait due à l'échauffement d'une cellule du poste électrique principal", a ajouté la préfecture. Contactés par l'AFP, les pompiers de Seine-Maritime n'ont pas souhaité s'exprimer.

    Le site de l'usine Borealis d'une superficie d'environ 50 hectares, "produit des fertilisants pour l'agriculture ainsi que des solutions pour réduire les émissions polluantes des industries et des transports routiers".

    De plus, "le site produit des intermédiaires industriels utilisés dans la chaine de production des engrais azotés et également dans d'autres industries (métallurgique, agro-alimentaires, etc.), d'après le site internet de l'entreprise.

    L'usine Borealis est située à environ quatre km au sud-est de l'usine Lubrizol.

    Challenges


    4 commentaires
  • Marion Maréchal écarte une candidature en 2022

    Dans un message diffusé sur Twitter mardi, l’ancienne députée du Vaucluse a tenu à clarifier qu’elle n’avait «pas l’intention d’être candidate à la présidentielle en 2022.

     

    Le message a le mérite de la clarté, même s’il n’est pas dénué de subtilité. Trois jours seulement après avoir participé à un grand raout conservateur organisé par ses proches - la Convention de la droite - et d’y avoir lancé en guise de conclusion «Nous arriverons au pouvoir», Marion Maréchal s’est fendue, ce mardi matin, d’un tweet semblant fermer définitivement la porte à une candidature présidentielle dans trois ans. «Suite aux spéculations des médias, une clarification: Je me suis associée à une démarche qui me paraît nécessaire: réfléchir, dialoguer, casser les digues partisanes. Pour autant, je n’ai pas l’intention d’être candidate à la présidentielle de 2022.»

    La veille de l’évènement, venant couronner un an de cartes postales et d’interventions de l’ancienne députée du Vaucluse dans le débat public, son entourage confié déjà au Figaro: «La situation n’est pas mûre. Il n’y a aujourd’hui ni débouché, ni intelligence politique à droite.» Des confidences venant confirmer la volonté de Marion Maréchal de revenir à une discrétion comme à une certaine tranquillité, que cette clarification ne manquera pas de lui apporter. Si ses prises de paroles, ces derniers mois, ont confirmé l’appétit des médias comme d’une certaine droite pour son offre politique, cette égérie, presque malgré elle, d’une union à droite sait que son discours peine encore à transcender suffisamment les partis pour se ménager l’espace politique nécessaire à un retour.

    Dans son entourage, on explique que cette clarification n’a finalement pas grand-chose de nouveau. «C’est quelque chose qu’elle aurait pu écrire en 2017. Ce n’est qu’une autre façon de dire, une fois encore, qu’elle ne se présentera pas face à Marine Le Pen en 2022. Peut-être qu’elle sera enfin entendue cette fois et certains fantômes malveillants du Rassemblement national se calmeront enfin», lâche François de Voyer, président du cercle Audace et organisateur de la Convention de la droite de ce week-end. Les doutes quant aux ambitions de Marion Maréchal ont provoqué des échanges peu amènes entre son entourage et celui de sa tante, Marine Le Pen. Au point, qu’aucun élu RN hormis Gilbert Collard ne se déplace ce week-end à la Convention de la droite. «Cette clarification va permettre à Marion d’avoir les mains libres et d’être moins observée, se félicite un autre de ses proches. Elle a dit ne pas avoir l’intention de se présenter. Pas qu’elle ne se présenterait pas si les conditions évoluaient…»

    Le Figaro.f 

    **********

    Christian Jacob à propos de Marion Maréchal : "Quand on a envie de faire de la politique, on n’a pas peur de l’élection"

    LIEN article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/politique/christian-jacob-à-propos-de-marion-maréchal-quand-on-a-envie-de-faire-de-la-politique-on-n-a-pas-peur-de-l-élection/ar-AAI6oQA?ocid=WidgetStore&li=AA4REc

    ************

    Convention de la droite: Édouard Philippe étrille les «discours nauséabonds»

    LIEN article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/politique/convention-de-la-droite-édouard-philippe-étrille-les-discours-nauséabonds/ar-AAI1tAE?ocid=WidgetStore&li=AA4REc


    3 commentaires
  • Décès de la cantatrice américaine Jessye Norman à l'âge de 74 ans

    La cantatrice américaine Jessye Norman est décédée lundi à l'âge de 74 ans dans un hôpital de New York des suites de complications liées à une lésion de la moelle épinière survenue il y a quatre ans, a annoncé sa famille dans un communiqué.

    Née dans l'Etat de Géorgie, Jessye Norman a débuté sa carrière en Europe puis a intégré l'Opéra de New York en 1983.

    Reconnue comme l'une des cantatrices les plus populaires des années 1980 et 1990, elle fut choisie pour chanter aux cérémonies d'investiture des présidents américains Ronald Reagan et Bill Clinton.

    (Jill Serjeant à Los Angeles; Jean Terzian pour le service français)

    Reuters


    4 commentaires
  • Un père et sa fille ont été découverts morts dimanche dans leur appartement à Saillagouse, petite commune des Pyrénées-Orientales proche d’Andorre. Selon les informations du quotidien régional L’Indépendant, les sapeurs-pompiers et l’équipe du Samu ont été appelés en urgence dans la soirée, vers 22 heures. Là, dans cette petite résidence de logements sociaux, ils sont tombés sur les corps sans vie d’un homme d’une trentaine d’années et d’une fillette de 8 ans.

     

    Les premières constatations indiquent que tous deux sont décédés de mort violente. Un autre enfant du même âge que la petite victime se trouvait à l’intérieur du logement. Il est indemne et a été dirigé vers le centre hospitalier de Puigcerdá, accompagné par sa mère.

    Les gendarmes ont ouvert une enquête et procédé à des relevés techniques dans l’appartement. La famille était arrivée depuis peu de temps dans le village, où les deux enfants étaient scolarisés et avaient fait leur rentrée la semaine précédente. Le couple aurait été en instance de séparation, selon L’Indépendant.

    Le Parisien


    3 commentaires
  • Zeus, un jeune pitbull de 8 mois, est mort des suites des morsures d'un serpent corail qu'il a attaqué, vraisemblablement pour protéger les deux enfants de ses propriétaires.

    Fait rare aux Etats-Unis. La semaine dernière, en Floride, un jeune pitbull est mort en protégeant les deux enfants de ses propriétaires, alors qu'un serpent corail vénéneux était proche d'eux.

    Zeus, âgé de 8 mois, a vu le serpent avant Oriley et Orion, et a tout de suite attaqué le reptile, qui était dans leur jardin, selon le quotidien britannique Daily Mail. Le jeune chien a été mordu 4 fois par le serpent très vénéneux. 

    La famille l'a immédiatement emmené à la clinique vétérinaire d'Ocala pour qu'on puisse lui administrer des anti-venins, mais l'état du chien étant critique, il est mort le lendemain matin.

    Le père des deux enfants et propriétaire du chien, le décrit comme "le chien le plus loyal que je connais". Les époux Richardson ont rajouté qu'ils étaient "dévastés" mais surtout "éternellement reconnaissants", puisque Zeus a sûrement sauvé la vie de leurs fils en attaquant le serpent avant qu'il ne morde l'un d'eux. L'histoire est aussi passée sur la chaîne d'information locale Fox News 35 Orlando. 

    BFM.TV

    Bien triste pour ce brave chien


    5 commentaires
  • En ce lundi après-midi, Bordeaux baigne dans une douce torpeur d’été indien. Les terrasses du centre-ville sont bondées. La place Saint-Projet qui jouxte la rue Sainte-Catherine, la longue rue piétonne, a retrouvé son visage habituel. Il est difficile d’imaginer qu’ici, quarante-huit heures plus tôt, une simple virée entre amis a tourné au drame.

    Samedi soir, un jeune homme de 24 ans a perdu la vie dans ce quartier bondé. Deux jours plus tard, les riverains sont encore sous le choc, comme Marie, une étudiante : « C’est horrible. J’ai vu que c’était grave quand les pompiers sont arrivés. »

    Il est un peu moins de 22 heures samedi soir. Thomas Michelin, un Charentais âgé de 24 ans originaire du petit village de La Génétouze près de Jonzac, est assis avec son jeune frère de 18 ans et leurs amis sur un banc de la place. Il fait doux et ils sont venus faire la fête à Bordeaux. Le groupe d’une petite dizaine de personnes commence à boire quelques bières tranquillement. Puis tout bascule en quelques minutes pour une raison futile.

    Selon les premiers éléments de l’enquête confiée à la police judiciaire, trois sans-abri, deux hommes et une femme âgés respectivement de 32, 25 et 28 ans, leur demandent une cigarette avec agressivité. Rendus furieux par le refus de Thomas et ses amis, ils tentent de leur prendre une bouteille de bière. Le ton monte et l’un des deux hommes importune une jeune fille du groupe. Son petit ami, âgé de 18 ans, s’interpose et une violente bagarre éclate.

    En venant aider son jeune frère, Thomas est très grièvement blessé d’un coup de couteau au torse. Il s’effondre sous les yeux de nombreux témoins. « Tout était calme et ça a dégénéré très vite, souligne Pierre, serveur dans un bar tout proche. Ça a été très violent. On les voit tous les jours ces sans-abri. Ils sont agressifs et emmerde tout le monde. Mais là, il y a un mort. » Secouru par des passants avant l’arrivée des pompiers et du SMUR, Thomas est décédé dans l’ambulance sur le trajet des urgences.

    Déjà interpellés pour des faits de violence

    Son jeune frère et un de ses amis sont grièvement blessés. Lundi soir, leur pronostic vital n’était pas engagé, selon une source du CHU de Bordeaux. Une quatrième victime, plus légèrement atteinte, n’a pas été hospitalisée.

    Sur place, les auteurs présumés des faits, fortement alcoolisés, ont été interpellés et placés en garde à vue au commissariat central de Bordeaux. Les deux hommes nient être les auteurs du coup de couteau mortel, selon un proche de l’enquête. Des expertises ont été demandées. Les deux sans domicile fixe, qui ont déjà eu affaire à la police et à la justice pour des faits de violence, devaient être déférés au parquet à l’issue de leur garde à vue ce lundi soir.

    Une autopsie est prévue en ce début de semaine pour confirmer les causes de la mort de Thomas. Selon Patrick, commandant dans un service de police bordelais, « ce drame confirme malheureusement une montée de la violence observée ces derniers mois à Bordeaux ».

    Le Parisien

     


    5 commentaires