• Eric Zemmour condamné « pour appel au rejet et à la discrimination des musulmans en tant que tels »

    La Cour de Cassation a rejeté ce mardi 17 le pourvoi en cassation d’Eric Zemmour et confirmé sa condamnation “pour appel au rejet et à la discrimination des musulmans en tant que tels”, l’obligeant à dédommager une nouvelle fois l’association CAPJPO-EuroPalestine qui a porté plainte contre ses propos islamophobes lors de l’émission “C à vous”, diffusée sur la chaîne de télévision France 5, le 6 septembre 2016.

    La Cour de Cassation, a confirmé le jugement du Tribunal de 1ère instance et de la Cour d’Appel de Paris, qui avaient condamné Eric Zemmour pour “provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.” […]

    LIEN video youtube de C à vous du  006/09/2016

    https://www.youtube.com/watch?v=Wwem-Wit6Rk

     FDSOUCHE


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  • Fusillade à Amsterdam: la victime est un ancien footballeur professionnel

    L’homme qui a été abattu mercredi soir devant une caserne de pompiers à Amsterdam est un ancien footballeur professionnel d’origine surinamienne, Kelvin Maynard. Il avait 32 ans, a confirmé la police amstellodamoise. Il a notamment joué en Belgique sous les couleurs de l’Antwerp.

    Selon les témoins, Kevin Maynard a été pris pour cible par deux hommes en scooter alors qu’il circulait en voiture.

    Une autre fusillade avait déjà eu lieu mercredi matin à Amsterdam et avait coûté la vie à un avocat, Derk Wiersum, lequel défendait Nabil B., témoin-clé dans un procès pour une affaire de drogue.

    FDESOUCHE


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  • "Celui qui ne tabasse pas sa femme n’est pas un homme" : une émission de télé marocaine suspendue

    Les propos du très populaire chanteur Adil El Miloudi ont été sanctionnés par la Haute autorité de la communication audiovisuelle.

    "Celui qui ne tabasse pas sa femme n'est pas un homme", a déclaré très populaire chanteur Adil El Miloudi, soulevant des rires complices de l'acteur Sami Naceri et de l'animateur de l'émission Kotbi Tonight sur Chada TV, en juin dernier. Une complaisance qui a valu le 17 septembre 2019 une suspension d'antenne à l'émission et un déferlement de réactions sur les réseaux sociaux.

    L'animateur a beau rappeler en plaisantant que "c'est interdit de frapper sa femme partout dans le monde". Le chanteur persiste.

    «Au Maroc, cela est normal, chacun peut faire ce qu'il veut de sa femme, la frapper, la tuer» - Adil El Miloudi, chanteur, à Kotbi Tonight

    Ces propos "constituent une apologie de la violence à l'égard de la femme, une incitation expresse à cette violence, présentée de manière positive comme un attribut de la virilité, (...) voire même un comportement recommandable pour la consolidation des liens conjugaux", s'indigne le communiqué de la Haute autorité de la Communication audiovisuelle (HACA).

     

     

    "Ton badin"

    Face à ce "discours explicitement violent", l'animateur a adopté "un ton badin" et "laissé toute latitude à l'invité de répéter ses assertions appelant à la violence à l'égard des femmes", poursuit le texte. Aucune mention n'est faite de l'attitude de Samy Naceri, lui aussi très en phase avec le chanteur.

    L'émission Kotbi Tonigh sera donc suspendue pendant trois semaines, selon la HACA. A ce stade, aucune poursuite judiciaire n'a été engagée contre Adil El Miloudi malgré des flots de réactions outrées sur les réseaux sociaux marocains. Les attitudes misogynes et sexistes sont monnaie courante au Maroc et rarement condamnées par les autorités.

     

    Précédent

    Dans ce contexte, la HACA a jugé particulièrement important de transmettre sa décision à "la presse féminine, aux ONG féminines et droits de l'Homme, aux organisations internationales: ONU Femmes, Unesco, etc.", indique le mail accompagnant son communiqué.

    L'an dernier, la HACA avait sanctionné une émission radio de Chada FM, parce qu'un chroniqueur présenté comme un "guérisseur" avait affirmé à l'antenne que "les femmes les plus exposées au cancer de l'utérus sont celles qui ont recours à la prostitution ou à l'adultère".

    La presse marocaine, citant l'Observatoire national de la violence à l'égard des femmes, rappelle que 81 femmes ont été tuées en 2016, victimes de violences conjugales.

    franceinfo


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  • Le conducteur de la voiture qui a percuté le deux-roues n’a rien pu faire pour éviter le choc

    Mercredi soir, un terrible accident de la circulation a coûté la vie à un pilote de scooter à Hem, près de Roubaix, dans le Nord, a-t-on appris de source policière.

    Un automobiliste circulait sur la CD 700, dans le sens Wattrelos vers Villeneuve d’Ascq, vers 20h50, mercredi. La voiture a percuté de plein fouet un deux-roues qui arrivait à contresens, projetant le pilote environ 50 m plus loin, au-delà du terre-plein central, sur les autres voies de circulation.

    A contresens, sans phare sur une zone sans éclairage public

    Selon les pompiers, l’homme sur le scooter, âge de 41 ans, était en état de mort apparente à leur arrivée. Une de ses jambes avait été arrachée et il présentait de nombreuses fractures. Il a été déclaré mort sur place par les secours.

    Le conducteur de la voiture impliquée dans l’accident a été conduit à l’hôpital pour y subir des examens de contrôle et des prélèvements, notamment pour vérifier son alcoolémie. Aux policiers, l’automobiliste a expliqué que le scooter circulait sans phare, que son pilote était tout habillé de sombre et que le secteur n’était pas éclairé. Une version qui, selon la police, a été confirmée par plusieurs témoins de l’accident.

    20 Minutes


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  • Dans le Haut-Rhin, le cheval Sésame au coeur d'une procédure judiciaire entre voisins

    Dans le village d'Orschwihr, dans le Haut-Rhin, des viticulteurs ont fait l'acquisition de Sésame, un cheval qu'ils ont installé dans un verger attenant à leur domaine. Mais les voisins ont fini par aller devant les tribunaux, jugeant les désagréments liés à l'animal trop importants. Comme pour le coq Maurice, la procédure judiciaire n'en finit pas.

    Après l'affaire du coq Maurice qui secoue depuis maintenant 3 ans l'île d'Oléron (Charentes-Maritime), c'est le cheval Sésame qui oppose ses propriétaires et leurs voisins, cette fois-ci dans le Haut-Rhin. Comme pour Maurice, les voisins ont engagé une procédure judiciaire pour faire valoir les désagréments et préjudices qu'ils estiment subir à cause de l'animal, comme le rapporte l'Alsace.

    Le village d'Orschwihr, en Alsace, est un village viticole à proximité de terres agricoles. Les propriétaire du domaine Valentin-Zusslin, dans une démarche d'agriculture "biodynamique", ont justement acquis ce cheval comtois en 2012 pour revenir partiellement au travail par la traction animale dans les vignes, une technique ancestrale plus respectueuse des terres et moins destructrice.

    Odeurs de crottin et d'urine

    Mais Sésame, qui vit dans un verger situé près du domaine, commence rapidement à gêner les voisins. Selon des informations de l'Alsace, le couple qui vit ici depuis 1983 et qui a ouvert des gîtes en 2000, considère subir "un préjudice financier, puisque la fréquentation de (nos) gîtes a baissé depuis l'arrivée du cheval".

    Ils évoquent surtout de "forts désagréments" immédiats, c'est-à-dire les odeurs de crottin et d'urine, les mouches et le bruit lié aux animaux.

    Suite à une procédure judiciaire entamée en 2014, l'affaire est jugée en juillet 2018 et le tribunal d'instance donne raison au domaine viticole, jugeant que les désagréments occasionnés ne sont pas excessifs et que les chevaux sont présents en nombre "très limité". 

    Mais le couple de voisins décide de faire appel, et l'audience aura lieu cet automne, devant la cour d'appel de Colmar, précise L'Alsace. Entre eux et les exploitants viticoles, aucune conciliation ne semble possible. Mais tout comme pour le coq Maurice, les viticulteurs peuvent compter sur le soutien de leur profession, et des défenseurs de l'authenticité des villages en milieu rural. Pour preuve: une pétition lancée en début de semaine sur change.org, nommée "Bientôt plus de chevaux dans nos vignes", et qui a déjà collecté près de 5000 signatures ce jeudi matin. 

    BFM.TV


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  • Les propriétaires du château de Vaux-le-Vicomte séquestrés et volés, le montant du butin estimé à deux millions d'euros

    Un fait divers hors du commun. Les propriétaires du château de Vaux-le-Vicomte (Seine-et-Marne) ont été séquestrés dans la nuit du mercredi 18 au jeudi 19 septembre. Les voleurs sont repartis avec un butin estimé à deux millions d'euros, a indiqué le parquet de Melun.

    Les faits se sont déroulés peu avant l'aube. Six personnes cagoulées, gantées mais non armées, sont entrées par effraction dans le château. Ils se sont fait ouvrir le coffre et ont dérobé pour deux millions de biens – des bijoux, essentiellement. Le couple de châtelains, des nonagénaires, a été ligoté mais ne présente pas de blessures, confirme Béatrice Angelelli, procureure de Melun, à franceinfo. Le parquet a confié l'enquête, ouverte pour vol avec effraction et séquestration, à la police judiciaire de Versailles.

    Un château objet de convoitise depuis sa construction

     

    Plus grande propriété privée classée de France, avec un domaine de 500 hectares, le château de Vaux-le-Vicomte accueille chaque année 250 000 visiteurs. Chef d'œuvre architectural construit entre 1656 et 1661, à une cinquantaine de kilomètre au sud de Paris, le château valut à son propriétaire, Nicolas Fouquet, la jalousie du roi Louis XIV, qui le fit emprisonner à vie.

    D'après la légende, le Roi-Soleil a ordonné l'arrestation de Nicolas Fouquet après une fête somptueuse donnée en l'honneur de la cour, qui a ébloui Louis XIV par ses jets d'eau, ses feux d'artifice, son buffet impressionnant donné pour plus de mille couverts et la qualité de ses spectacles. Le monarque s'est donc saisi du château, pour le vider de ses plus beaux objets et les transférer au palais du Louvre et à Versailles.

    franceinfo


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  • Une panthère noire se promène sur les toits d’Armentières, provoquant l'émoi des habitants du quartier

    Une panthère noire se promène sur les toits d’Armentières, provoquant l'émoi des habitants du quartier

    Les habitants d'Armentières ont eu du mal à en croire leurs yeux. Vers 18h30 mercredi 18 septembre, une panthère noire a été aperçue par les riverains alors qu'elle se baladait tranquillement sur les toits du quartier Saint-Roch à Armentières. Pendant près d'une heure, rapporte La Voix du Nord, l'animal a déambulé sur les toitures d'un pâté de maisons, entrant dans l'un des appartements dont la fenêtre était restée ouverte.

    Rapidement alertés, les services de police et les pompiers sont intervenus pour appréhender l'animal. Un périmètre de sécurité a été établi, indique le SDIS 59, et des renforts appelés. Lorsque la panthère s'est engouffrée dans l'appartement dont la fenêtre était restée ouverte, le vétérinaire sapeur-pompier a pu tirer une fléchette hypodermique contenant un produit anesthésiant. L'animal a alors pu être pris en charge et transporté dans une cage.

    D'où venait la panthère ? Selon La Voix du Nord, qui a interrogé les riverains, elle pourrait appartenir à un voisin parti en vacances. Ce gros félin d'une trentaine de kilos a été confié à un agent de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. Il a ensuite été pris en charge par la Ligue protectrice des animaux et devrait prochainement rejoindre un zoo.

    franceinfo

    Vous pouvez cliquer sur La Voix du Nord !


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  • Immigration : pourquoi le député Matthieu Orphelin cède son temps de parole au RN

    L'élu ex-LaREM proche de Nicolas Hulot a expliqué vouloir "éteindre la polémique lancée" par le parti de Marine Le Pen, qui n'était pas censé s'exprimer à l'Assemblée, faute d'avoir un groupe parlementaire.

    Le débat sur l'immigration prévu le 30 septembre à l'Assemblée nationale déchaîne déjà les passions. Le Rassemblement national, faute d'avoir un groupe parlementaire n'était pas censé s'exprimer pendant les discussions. "Comment voulez-vous que le Rassemblement national soit satisfait d'un débat où on lui dit de la fermer", avait lancé mardi 17 septembre le député RN Sébastien Chenu.

     

    Le parti devrait finalement avoir droit à cinq minutes de temps de parole, cédées par le député ex-LaREM Matthieu Orphelin. "Marine Le Pen et le Rassemblement national essayent de lancer une fausse polémique sur le fait qu'ils seraient bâillonnés lors du débat sur l'immigration. Afin de l'éteindre et pour que la voix des plusieurs millions de personnes qui votent pour eux soit entendue, je renonce à mon temps de parole et le laisse au député du RN Ludovic Pajot", a expliqué mercredi Matthieu Orphelin.

    Les élus non-inscrits s'étaient vu attribuer 5 minutes de temps de parole, et c'était au tour de l'ancien député de la majorité d'en bénéficier. "Évidemment, ça ne change rien au fait que je vais m'impliquer sur ce sujet, notamment avec le dépôt d'une proposition de loi pour mieux anticiper les problématiques liées aux déplacements environnementaux et aux réfugiés climatiques", a tenu à préciser ce proche de Nicolas Hulot devant la presse.

    Marine Le Pen les accepte

     

    Jeudi 19 septembre, Marine Le Pen a réagi au geste de Matthieu Orphelin. "Évidemment, je vais les accepter", a-t-elle répondu sur France 2. Néanmoins, selon elle, "cela démontre le problème fondamental de notre démocratie, c'est-à-dire que sur un débat sur l'immigration, le premier parti de France, qui alerte les Français sur le sujet de l'immigration depuis 30 ans sous objectivement les injures et le mépris de l'ensemble de la classe politique, n'avait même pas une seconde de temps de parole".

    RTL


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  • Un proverbe anglais dit "There's always a bigger fish", il y a toujours un poisson plus gros. Une caméra de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA) en a récemment été le témoin. Sur une vidéo, on voit tout d'abord une bande de petits requins dépouiller un cadavre d'espadon de 8 mètres. À quelque 450 mètres de profondeur, ils sont une dizaine d'aiguillats noirs participent au joyeux banquet. 

     

    Soudain surgit un gros poisson osseux, un polyprionidae, qui ne tarde pas à avaler un requin. Le petit requin se débat, mais se trouve bien impuissant dans la gueule de son prédateur. La scène a été filmée le mois dernier par la NOAA en Caroline du Sud, et publiée récemment sur son site Internet. 

    Aux États-Unis, la population de requins est en pleine croissance sur la côte estmultipliant les attaques de baigneurs. Les plages ont même mis en place des dispositifs de prévention : formations aux premiers secours, téléphones d'urgence sur les plages ou encore kit de secours en libre service.

    RTL


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  • C'est un double meurtre sordide qu'a perpétré cette mère de famille de 23 ans. Louise Porton, a été reconnue coupable, jeudi 1er août, d'avoir assassiné en 2018 ses deux filles, Lexi et Scarlett, respectivement âgées de 3 ans et de 17 mois. La mère de famille a écopé de la prison à vie, avec une période minimale de 32 ans à passer derrière les barreaux.

     

    Les enfants de Louise Porton l'empêchaient "de faire ce qu'elle voulait, quand elle voulait et avec qui elle voulait", expliquait le procureur Oliver Saxby au Guardian. La jeune femme était en effet adepte des rencontres sur internet et avait pour habitude d'avoir des rapports sexuels rémunérés avec des hommes, ce qui lui permettait d'avoir de l'argent pour faire du shopping.

    Mais elle voyait ses deux filles comme un véritable fardeau, à tel point qu'elle s'est mise à chercher des techniques de meurtre sur le web, dont certaines ont été retrouvées par les enquêteurs : "Peut-on mourir avec le nez bouché et la bouche couverte de ruban adhésif ?" ou encore "Combien de temps après la noyade un enfant peut-il être réanimé ?".

    Ses filles étaient "malades"

     

    En janvier 2018, elle se rend à l'hôpital en prétextant que ses filles sont malades. "Une mascarade", selon le procureur et les services de secours. Des photos d'elle seins nus ont d'ailleurs été retrouvées dans son téléphone, prises à l'hôpital, alors que ses filles étaient souffrantes. 

    Pourtant, les médecins n'ont jamais trouvé de maladie. Selon le procureur, la mère de famille a en réalité tenté d'étrangler ses filles. D'autre part, d'après les services de secours, Louise Porton ne semblait éprouver "aucune émotion", et était comme "détachée" des événements, une réaction anormale pour une maman qui devrait normalement subir un traumatisme de voir ses deux enfants hospitalisés. 

    Deux infanticides en 18 jours

    Quelques jours plus tard, le 15 janvier au matin, Louise Porton étouffe Lexi, son aînée. Lorsque les secours arrivent, la petite fille était morte "depuis un certain temps". Le jour des funérailles de l'enfant, Louise aurait été entendue "rire", et les enquêteurs ont découvert que, ce jour-là, elle "utilisait FaceTime" et "elle parlait à un homme". 

    Seulement 18 jours après le meurtre de Lexi, elle tue Scarlett. Au moment d'emmener sa cadette à l'hôpital, Louise Porton prend sa voiture et, images à l'appui, se met à arpenter la ville calmement, alors que le corps de sa fille gît sur la banquette arrière. Elle prend même le temps de faire le plein d'essence. Tout comme le premier meurtre, l'ambulancier qui accueille la jeune femme à l'hôpital explique que l'enfant était déjà "gelée et complètement sans vie" à son arrivée aux urgences.

    Les premiers éléments de l'autopsie ont révélé une "obstruction délibérée des voies respiratoires", ainsi que, pour la plus jeune, des "signes de saignement récent dans les tissus de son cou". Des traces de strangulation qui ne pouvaient venir que de la mère, selon les procureurs.

    L'accusée clame son innocence

    De son côté, la mère de famille récuse les faits. Elle explique : "Mes enfants ne m'ont jamais dérangé et j'ai adapté mon style de vie et ma vie personnelle à leur environnement. Je ne sais toujours pas comment mes filles sont mortes". Une argumentation qui n'a pas séduit les juges. Elle passera au moins 32 ans de sa vie derrière les barreaux.

    Le père des petites filles, Chris Draper, s'est dit effondré. 

    RTL

    Cette salope mérite la mort


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - JEUDI 19 09 2019

    happy happy happy  happy happy happy happy happy happy

     

    Bonne journée


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  • Un vrai con et un faux cul, qui c'est ? C'est manu !!!

    Un vrai con et un faux cul, qui c'est ? C'est manu !!!

    Pris chez Stan, article : http://pauvrefrance.centerblog.net/


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  • Anesthésiste de Besançon : rejet du pourvoi du parquet général, le docteur Péchier reste en liberté !

    C'est la quatrième fois que la justice décide de maintenir en liberté cet anesthésiste soupçonné de dizaines d'empoisonnements.

    La Cour de cassation a rejeté mercredi le pourvoi formé par le parquet général contre le maintien en liberté du Dr Frédéric Péchier, anesthésiste de Besançon soupçonné de dizaines d'empoisonnements. Ce dernier reste donc en liberté, a-t-on appris de source proche du dossier et auprès de son avocat. 

    La justice décide le maintien en liberté à quatre reprises !

    À quatre reprises (en première instance puis en appel), la justice avait décidé son maintien en liberté sous contrôle judiciaire, la dernière fois le 12 juin. C'est cette décision de la cour d'appel que visait le pourvoi du parquet général, qui a été retoqué par la Cour de cassation. Le parquet général avait formé ce pourvoi en raison de soupçons de "connivence" entre un magistrat de la cour d'appel et la défense, avaient expliqué des avocats du dossier à l'AFP. 

    "J'ai appris avec satisfaction le rejet du pourvoi du parquet général, tant j'étais convaincu de l'absence de pertinence des critiques dirigées contre le président de la chambre de l'instruction", a commenté l'avocat de Frédéric Péchier à la Cour de cassation, Emmanuel Piwnica. 

    Accusé de polluer des poches de perfusion pour provoquer des arrêts cardiaques

    Le médecin âgé de 47 ans a été mis en examen en 2017 puis à la mi-mai pour un total de 24 empoisonnements présumés de patients, dont neuf mortels. Le contrôle judiciaire de l'anesthésiste lui interdit d'exercer sa profession depuis 2017. Il a été renforcé après sa seconde mise en examen avec l'interdiction de se rendre à Besançon ou dans la commune voisine où il résidait. 

    Le Dr Péchier est soupçonné d'avoir pollué, de 2008 à 2017, des poches de perfusion de 24 patients, âgés de 4 à 80 ans, pour provoquer des arrêts cardiaques, démontrer ses talents de réanimateur et discréditer ses collègues de clinique, avec lesquels il était en conflit.

    Europe 1

    Quelle justice de merde ! Mais pourquoi ce meurtrier est-il laissé en liberté ???


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  • En Australie, l’histoire glaçante de ces prêtres pédophiles qui s’échangeaient des enfants

    En Australie, l’histoire glaçante de ces prêtres pédophiles qui s’échangeaient des enfants

    En Australie, l’histoire glaçante de ces prêtres pédophiles qui s’échangeaient des enfants

    En Australie, l’histoire glaçante de ces prêtres pédophiles qui s’échangeaient des enfants !

    Une enquête du quotidien australien « The Age » revient sur l’existence de ces cercles et sur les liens qui unissaient certains hommes d’Eglise.

    Des prêtres qui s’échangent des informations sur les enfants les plus vulnérables, se protègent les uns les autres, se couvrent, s’influencent… Le quotidien australien « The Age » a retracé l’existence de « réseaux » de pédophiles glaçants. Dans une enquête publiée mardi 17 septembre, le journal expose les liens qui unissaient plusieurs prêtres pédophiles dans différents diocèses de l’Etat de Victoria, en Australie, notamment dans les années 1970.

    Au centre de ces « réseaux », le séminaire de Melbourne, Corpus Christi, où se forment quelque 100 prêtres chaque année. Selon des données de la Commission royale d’enquête sur les réponses institutionnelles aux abus sexuels, au moins 75 prêtres pédophiles soupçonnés ou condamnés y seraient passés.

     

    Dans une déclaration au tribunal consultée par « The Age », un habitant de Melbourne décrit comment il a été abusé de nombreuses fois entre l’âge de 12 et 14 ans, par trois prêtres issus de la formation Corpus Christi locale.

    L’ancien enfant de chœur se souvient avoir été emmené sur les lieux du séminaire par Russell Vears, prêtre assistant, en octobre 1976. Là, il aurait été laissé avec quatre ou cinq autres garçons dans une pièce. Paul David Ryan, qui venait tout juste d’être ordonné, lui aurait intimé de le suivre dans une chambre où il l’aurait agressé sexuellement.

    Aujourd’hui, Paul David Ryan est derrière les barreaux pour d’autres délits liés à la pédophilie. Russels Vears, lui, certifie n’avoir pas de souvenir de l’incident.

    Des « réseaux » à leur apogée dans les années 1970

    Une autre victime présumée, elle aussi enfant de chœur à l’époque, raconte avoir été conduit au campus Corpus Christi de Glen Waverley dans la banlieue de Melbourne. Le père Terrence Pidoto avait prétendu vouloir lui montrer « où les prêtres étaient faits ». A la place, l’adolescent de 14 ans est exhibé face à trois autres séminaristes assis en sous-vêtement sur un lit. Plus tard, Pidoto l’a violé, des faits reconnus par un jury lors d’un procès en 2007.

    Des documents font état du cas d’un autre enfant, victime d’un prêtre du nom de Ron Pickering. En 1968, la victime se confie au père Bill Baker, lors d’une confession et évoque les sévices qu’il a subis. Coïncidence dramatique, ce prêtre est lui aussi un pédophile : il prévient le père Pickering, qui réprimande l’enfant. Et continue de l’abuser sexuellement jusqu’à l’âge adulte.

    Dissimulation de témoignages, orphelin devenu proie… Les exemples exhumés par « The Age » sont multiples et sordides. Selon le quotidien, ces « réseaux » de pédophiles ont commencé à se former dans les années 1960 et ont connu leur apogée dans les années 1970 avant de décliner dans les années 1980. Si leur existence avait toujours été suspectée par la Commission royale d’enquête sur les réponses institutionnelles aux abus sexuels, les liens de coopération entre les prêtres n’avaient jamais été réellement examinés.

    « Les standards inadéquats d’hier ne sont pas la réalité d’aujourd’hui »

    Pour Michael Salter, criminologue et professeur à l’Université de Nouvelle-Galles du Sud interrogé par le quotidien, un aspect récurent des cas de pédophilie dans le clergé est le fait pour un prêtre de prendre pour proies d’autres prêtres, plus jeunes, en formation, qui mène selon lui à la « normalisation de ces relations secrètes immorales ». « Cela pose les bases de futurs abus sexuels », ajoute-t-il.

    Comme le souligne « The Age », l’Eglise en Australie a toujours tenté de minimiser l’existence de ce genre de « réseaux » dans ses rangs. Au point, lorsqu’elle a été interrogée sur le nombre élevé de pédophiles dans une banlieue en particulier dans les années 1970, de plaider la « coïncidence désastreuse ».

    Concernant les éléments qui ont pu mener le séminaire Corpus Christi à produire autant d’agresseurs sexuels, l’archidiocèse de Melbourne reconnaît des failles mais ajoute : « Les standards inadéquats d’hier ne sont pas la réalité d’aujourd’hui. » Et de conclure que les séminaires d’aujourd’hui sont désormais dispensés par du personnel formé et qualifiés.

    Fin 2017, la Commission royale avait rendu un rapport accablant sur la pédophilie en Australie. Elle affirmait notamment que 7 % des religieux catholiques du pays avaient fait l’objet d’accusations d’abus sexuels sur des enfants entre 1950 et 2010. Dans certains diocèses, 15 % des prêtres étaient soupçonnés de pédophilie. Les enfants qui dénonçaient ces abus étaient ignorés, voire punis. Depuis, l’Australie s’est excusé de son traitement parfois indifférent de la pédophilie, et quelques très hauts responsables de l’Eglise australienne ont fait l’objet de poursuites.

    L'OBS

    Saloperies de curés !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 18 09 2019

     

    Passez une bonne soirée


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  • La colère des laboratoires de biologie médicale

    La raison de cette grogne ? Les baisses de tarifs imposées par l’assurance maladie. 170 millions d’euros d’économies prévus pour le secteur en 2020.

    « Un montant déconnecté de tout réalisme médico-économique » selon les syndicats de biologistes. Alors que les restrictions imposées ces six dernières ont déjà entraîné des dégradations du service, « cette réduction mettrait en danger l’existence de 200 sociétés libérales de biologistes sur un total de 452 ». La biologie médicale privée en France est une composante importante du système de santé et de l’organisation des soins. « Elle concourt à plus de 70 % des diagnostics médicaux » explique le Dr Claude Azoulay, Vice- Président du SLBC. Elle participe notamment au dépistage de prévention du cancer du col de l’utérus, du cancer colorectal, ou encore du VIH.

    Une grève qui peut durer

    Malgré de gros efforts fournis - 1 milliard de baisse cumulée depuis dix ans - les laboratoires considèrent qu’ils sont arrivés au bout de la rationalisation de leur activité. Ils appellent donc à la grève à partir du 23 septembre jusqu’au mardi 1er octobre. En cas d’échec des négociations « plusieurs semaines de fermetures totales » seront à prévoir en décembre avec un impact à prévoir sur les urgences hospitalières, elles aussi en crise.

    Paris Match


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  • Immigration : pourquoi le budget de l'AME a-t-il doublé en dix ans ?

    À six mois des municipales, Emmanuel Macron a décidé d'ouvrir un débat sur les questions d'immigration. Parmi les pistes de réformes à l'étude, pour rendre la France "moins attractive" : un réajustement de l'Aide médicale d'Etat (AME). Le budget de cette aide, qui permet aux personnes en situation irrégulière de se soigner, a en effet doublé depuis dix ans, pour frôler aujourd'hui le milliard d'euros.

    Selon un rapport parlementaire, plus des deux-tiers des dépenses relèvent de soins à l'hôpital : dialyses, patients atteints de la tuberculose, du Sida, ou encore suivi de femmes enceintes. Le reste concerne de la médecine de ville, avec des consultations et des ordonnances pour des médicaments.

    Des maladies que la médecine française n'a plus l'habitude de traiter

    Mais comment le budget de l’AME a-t-il pu passer de 500 millions à près d'un milliard d'euros en dix ans ? En partie à cause de la hausse du nombre de bénéficiaires, passés de 200.000 à 300.000 aujourd'hui. Mais aussi parce que ces migrants arriveraient en France dans un état de santé de plus en plus dégradé, comme l’explique à Europe 1 Christophe Sirugue, ex-député socialiste auteur de deux rapports sur le sujet : "Il y a des pathologies infectieuses que l’on ne voyait plus sur notre territoire, comme la tuberculose, et des maladies que l’on pensait avoir éradiqué. On n’a plus forcement les réflexes médicaux nécessaires. Il faut identifier les maladies et puis lancer des traitements. Plus on tarde, plus le coût des soins est important."

    Deux rapports parlementaires, ainsi qu'un rapport de l'Inspection générale des Affaires sociales, n'ont pas permis jusqu'ici de démontrer que la fraude était responsable de cette explosion du budget. Le gouvernement a toutefois demandé un nouveau rapport à l'IGAS pour le mois d'octobre. Mais l’exécutif planche déjà sur une possible réduction des soins pris en charge par l'AME, pour faire baisser les coûts !

    EUROPE 1

    Quand je pense qu'il y a des cons de français qui sont pour l'immigration ! J'aimerai qu'ils attrapent la tuberculose !


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  • Brigitte Macron : cette photo d'Emmanuel Macron qui l'a beaucoup agacée

    Une femme plus influente et plus politique qu'on ne le croit. C'était la grande démonstration du documentaire Brigitte Macron, l'influente, diffusé ce 16 septembre, sur BFMTV. Riche en anecdotes et témoignages, le long format revient notamment sur un cliché d'Emmanuel Macron qui aurait beaucoup contrarié la Première dame...

    Décidément, Brigitte Macron a l'oeil. Bien avant celui de la parole, qu'elle prend de plus en plus, cette passionnée de théâtre a pris conscience du pouvoir de l'image. Le documentaire Brigitte Macron, l'influente, diffusé ce 16 septembre sur BFMTV, l'explique avec une anecdote méconnue. Si le long format revient sur sa grande vexation et la colère d'Emmanuel Macron après l'impression d'un album sans aucune photo de la Première dame, au début du quinquennat, il relate l'embarras provoqué par un autre cliché du président, il y aura bientôt un an.

    Samedi 29 septembre 2018. En visite officielle sur l'île de Saint-Martin, le président se fait rincer par une averse torrentielle. Chemise trempée, il trouve refuge dans un immeuble. L'irruption d'Emmanuel Macron ne tarde pas à faire sortir certains habitants de leur appartement. Une mère de famille pousse notamment son fils, sorti de prison après un braquage, et l'un de ses amis à discuter avec le chef de l'Etat. Celui-ci fait la morale au jeune repris de justice, aussi peu vêtu que son copain : "T'es costaud comme tout, il faut pas rester comme ça et refaire des bêtises. Les braquages, c'est fini. Il faut reconstruire." Mitraille des photographes. Choc des photos. Alors qu'Emmanuel Macron a pris la pose avec ses interlocuteurs, l'un d'entre eux brandit un doigt d'honneur, qui a échappé à l'entourage du président, sur un des clichés.

    Si la photo fait réagir la France entière, Brigitte Macron est la première affligée. Selon Nathalie Schuck, une des auteures de la biographie Madame la présidente interrogée par BFMTV, "ce déplacement a été une petite catastrophe; le président, à trop vouloir apparaître en apathie, est allé un peu trop loin."La journaliste affirme que "si elle avait été présente, la Première dame n'aurait jamais laissé faire cette photo." La crédibilité du président est attaquée.

    Un mal pour un bien, analysent les auteurs de Brigitte Macron, l'influente. Alors que les conseillers de son mari ont tenté de la tenir à l'écart, "Brigitte Macron reprend l'avantage."En février 2019, comme le souligne le documentaire, Ismaël Emelien, conseiller d'Emmanuel Macron et chef de fil des "Mormons" encerclant le président, démissionne en effet de son poste, en même temps que Sylvain Fort, directeur de la communication de l'Elysée. "Ce qui laisse tout l'espace à la Première dame", avance le documentaire de BFMTV en conclusion de ce fâcheux épisode aux Antilles.

    Gala

    Pauvre Brizitte, elle ne peut pas empêcher Manu d toucher des mecs, c'est ce qu'il préfère !!!


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  • Pays-Bas : un avocat abattu en plein jour à Amsterdam

    © Michel van Bergen / ANP / AFP Des officiers de police contrôlent l'accès à proximité du lieu d'une fusillade le 18 septembre 2019 dans le quartier d'Amsterdam de Buitenveldert, où l'avocat néerlandais Derk Wiersum a été abattu. Wiersum a assisté le témoin de la couronne Nabil B. dans le processus de liquidation de Marengo autour du dirigeant criminel Ridouan Taghi. Le tireur s'est enfui à pied.

     

    Le Premier ministre néerlandais parle d'un meurtre "très alarmant". Un avocat a été abattu en plein jour, dans une rue d'Amsterdam, peu après avoir quitté son domicile, vers 7h30 mercredi 18 septembre. L'assaillant, qui portait une veste à capuche, s'est enfui à pied. La police est toujours à sa recherche et a lancé un appel à témoins. Une enquête a été ouverte par le parquet.

    Derk Wiersum, c'est son nom, était l'avocat d'un "témoin de la Couronne", le repenti Nabil B., dans une vaste affaire impliquant deux hommes originaires du Maroc, Ridouan Taghi et Said Razzouki, qualifiés de criminels les plus recherchés des Pays-Bas. Des mandats d'arrêt internationaux ont été émis contre eux pour meurtre et trafic de drogue.

    "Une attaque violente (...) contre l'Etat de droit"

    L'assassinat de Derk Wiersum intervient un an après le meurtre du frère de Nabil B. en guise de représailles. "C'est la confirmation que nous vivons dans un narco-Etat. C'est une attaque violente (...) contre l'Etat de droit", a déclaré le patron du plus important syndicat de police NPB. "Un avocat liquidé aux Pays-Bas, c'est du jamais vu", s'est alarmé du son côté Remco Andringa, journaliste à la télévision publique NOS.

    Il existe un grave problème de drogue à Amsterdam, soulignait un rapport commandité par la maire de la capitale publié début septembre. Intitulé "L'autre côté d'Amsterdam", il révèle que "le crime organisé lié à la drogue exerce une influence notable sur la ville." Le NPB estime que le gouvernement, et la classe politique en général, sous-estiment la criminalité rampante au sein de la société néerlandaise.

    Le ministre néerlandais de la Justice et de la Sécurité Ferdinand Grapperhaus a rejeté en février 2018 le terme de "narco-Etat" employé à l'encontre des Pays-Bas par le syndicat, dénonçant un manque de moyens humains pour lutter contre la criminalité.

    franceinfo


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