• CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MARDI 01 10 2019

     

    Passez une bonne journée


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  • Éric Zemmour affiche sa peur face à "l'extermination de l'homme blanc hétérosexuel" - Réactions !

    LIEN discours complet mais début difficile,  mais après, c'est bien :

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    J'ai adoré comme il a parlé de Sibeth !

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    L'essayiste Éric Zemmour, récemment condamné pour incitation à la haine religieuse, a livré un discours apocalyptique visant l'immigration et l'islam en ouverture de la Convention de la droite.

    Convention de la droite : Le CSA reçoit près de 400 saisines après la diffusion par LCI du discours d’Eric Zemmour

    Plusieurs centaines de téléspectateurs ont saisi le CSA après la retransmission sur LCI d’un discours violent prononcé samedi par Éric Zemmour

    Invité samedi à la « Convention de la droite », organisée à Paris par les proches de l'ancienne députée d'extrême droite, Marion Maréchal., Eric Zemmour s’est lâché dans un discours retransmis en direct par LCI, la chaîne d'info du groupe TF1.

    Dans cette intervention virulente, le chroniqueur s’en est pris, entre autres, aux immigrés « colonisateurs » et à « l’islamisation de la rue ». « Tous nos problèmes aggravés par l’immigration sont aggravés par l’islam », avait notamment affirmé le polémiste Éric Zemmour, lors de cette réunion.

    400 saisines liées au discours

    Celui qui a été condamné récemment pour provocation à la haine religieuse a également cité l’écrivain Renaud Camus, théoricien du « grand remplacement » de la population blanche et chrétienne par une population immigrée musulmane et ironisé sur les tenues de la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, « sommet de la distinction française ».

    Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), interrogé par l’Agence France Presse, a indiqué avoir reçu « près de 400 » saisines liées à cette diffusion.

    Indignation des politiques

    Ces déclarations ont suscité un tollé, jusqu’au sein du gouvernement, le Premier ministre en personne, Édouard Philippe, condamnant des discours « nauséabonds et profondément contraires à l’idée que nous nous faisons de la France et de la République ».

    L’ancien président François Hollande a quant à lui déploré ce lundi une trop grande « porosité » des médias à l’égard de l’extrême droite et des thèses relayées par le polémiste. « Éric Zemmour travaille dans des organes de presse et pas n’importe lesquels. Si l’on pense qu’il tient des propos qui dépassent toutes les limites et qui franchissent toutes les digues, il y a bien un moment où il faut prendre des responsabilités », a-t-il estimé sur France Inter.

    Malaise chez TF1

    LCI, qui avait diffusé le discours en direct, avait reconnu de son côté une « erreur d’appréciation ». « La diffusion du discours dans l’état n’était pas le format approprié pour notre chaîne », a indiqué dimanche la direction de la chaîne du groupe TF1 dans un communiqué. « Il y a bien eu contradiction et déconstruction des propos d’Éric Zemmour, mais c’était après-coup ».

    De son côté, la Société des journalistes de la chaîne a indiqué via un tweet son refus d’être associée à cette diffusion.

    20 Minutes

    Ceux qui râlent doivent être des macronistes !


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  •  

    Eric Zemmour invité par Louis Aliot pour une conférence à Perpignan. L'essayiste présente son livre "Destin Français".

    VIVE ZEMMOUR !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 30 09 2019

     

    Bonne soirée


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  • Nigeria: 19 femmes enceintes libérées d'une "usine à bébés"

    La police de Lagos a annoncé avoir libéré 19 femmes d'une "usine à bébés" victimes de trafic humain, troisième crime le plus répandu dans le pays, selon les Nations Unies.

    La police de Lagos a annoncé ce lundi avoir secouru 19 jeunes filles enceintes âgées de 15 à 28 ans, retenues dans une "usine à bébés". Les enfants à naître étaient destinés à être vendus au Nigeria, pays confronté à d'importants réseaux de trafic d'êtres humains.

    760 euros pour les filles, 1265 euros pour les garçons

    "Nous avons été informés des activités de certains individus qui gardaient des femmes enceintes et des bébés pour les vendre après accouchement", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la police de l'Etat de Lagos, Bala Elkana.

    "Après enquête, nous avons pu secourir 19 femmes enceintes (âgées de 15 à 28 ans) et quatre bébés", a-t-il ajouté. "Certaines ont été trompées, elles pensaient venir à Lagos pour trouver un emploi et se sont retrouvées piégées", a-t-il dit, affirmant que d'autres "savaient parfaitement ce qu'elles venaient faire" et espéraient gagner de l'argent.

    L'opération de police, menée le 19 septembre, concernait quatre sites différents, trois maisons résidentielles et un hôtel à Isheri Osun, en périphérie de la capitale économique de 20 millions d'habitants. Le porte-parole de la police a précisé que deux suspects avaient déjà été arrêtés, tandis qu'un troisième, qui a pris la fuite, était toujours recherché.

    Les enfants étaient vendus 300.000 nairas (760 euros) pour les filles, et 500.000 (1.265 euros) pour les garçons. "Nous n'avons pas encore établi à qui ni dans quel but ils étaient vendus", a affirmé Bala Elkana.

    Un pays particulièrement touché par le trafic d'enfants

    Le trafic humain, qui inclut la vente d'enfants, est le troisième crime le plus répandu au Nigeria, derrière la fraude et le trafic de drogue, selon les Nations unies.

    Le Nigeria est le plus grand producteur de pétrole en Afrique, mais la pauvreté est importante dans le pays et la majorité de la population de 190 millions de personnes vit toujours avec moins de 2 dollars par jour. Le sud-est du Nigeria est particulièrement touché par le trafic d'enfants. Plusieurs maternités illégales ont été découvertes dans cette partie du pays ces dernières années.

    Dans certains cas, des jeunes femmes s'y étaient réfugiées volontairement pour échapper aux vives critiques liées aux grossesses hors mariage dans la société nigériane. Ces femmes touchent une part de l'argent obtenu avec la vente de leur bébé. Des informations ont également fait état par le passé de cas de jeunes femmes enlevées et forcées à tomber enceintes par des trafiquants d'être humains.

    Les personnes qui achètent leurs bébés sont le plus souvent des couples généralement issus de milieux aisés qui ne peuvent pas concevoir d'enfants. 

    BFM.TV

    De vrais sauvages ces africains ! Et c'est ça qu'on reçoit chez nous !

    Souvent, les présidents africains sont riches mais se moquent bien de la population.


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  • Qui est cette GingerL ? Voir video ci-dessous ! 

    Elle a pensé se faire connaître en tournant ce clip pour En Marche ! 


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  • Du vent, aucune proposition !


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  • Après les téléphones et différents échanges de courrier, j'ai reçu une lettre du 23 septembre 2019 me disant ceci :

    "Madame

    Il vous a été accordé un dégrèvement de 926 euros !

    Le détail de votre nouvelle imposition est joint en annexe"

     

    Je n'ai rien compris à leurs calculs mais au lieu de 1 757 € de CSG je dois payer 831 €.

    Par exemple, mon revenu fiscal est de 17 966 € mais ils font leurs calculs sur 19 303 € ?

    Pour moi, ça a été 3,80% !

    J'ai téléphoné au Centre à Cusset pour mon chèque de 100 € du 19 septembre, pas au courant, là ils calculent seulement, faut appeler à St-Pourçain , là où ils encaissent !

    Ce que j'ai fait, j'ai appuyé sur 3 et une dame m'a dit que mon chèque avait été encaissé.

    Donc, je dois payer 831 moins 100 et je serai tranquille pour cette année !

     

    J'ai tout de même bien fait de réclamer mais cette CSG sur les retraités, c'est quand même dégueu, tout ça pour soigner les migrants !

    Et ils l'ont supprimé aux riches !!!


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  • Brigitte Macron proche d'un célèbre rappeur : la jolie déclaration qu'il vient de lui faire !

    Brigitte Macron proche d'un célèbre rappeur : la jolie déclaration qu'il vient de lui faire !

    Live, c'est l'Institut des vocations pour l'emploi, une école pour adultes décrocheurs qui démarre sa première année à Clichy-sous-Bois, comme le rappelle à juste titre Le Parisien

     

    C'est d'ailleurs une initiative lancée par Brigitte Macron, l'épouse du président de la République, avec l'aide du groupe LVMH. Et très engagée, la principale intéressée y donne même des cours de français. 

    Plusieurs personnalités l'accompagnent aussi dans cette aventure sociale fabuleuse, à l'instar du restaurateur Thierry Marx ou encore du rappeur Ben-J du groupe Neg' Marrons. 

    Il est la preuve que tout le monde peut s'en sortir. L'homme de 42 ans a repris ses études et a obtenu son Master de Sciences-po en politique et management du développement. 

    Ben-J avait très envie de faire partie de ce mouvement qui offre "une seconde chance". "On s'adresse aux plus de 25 ans. On est un peu, dans la palette existante des dispositifs faciles d'accès, le chaînon manquant pour la réinsertion", explique-t-il au quotidien. 

    Et le principal intéressé a aussi tenu à féliciter Brigitte Macron pour son travail et engagement. Il l'assure, la Première dame "s'implique réellement et impulse les choses, bien au-delà des paillettes". Une bien belle déclaration qui devrait beaucoup toucher la belle d'Emmanuel. 

    Public - Pauline Buissonnet 

    Grâce à Brizitte et son rappeur, on va pouvoir réinsérer tous les délinquants de France !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - LUNDI 30 09 2019

     

    et excellente semaine


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 29 09 2019


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  • Peste porcine : la Chine accusée d’enterrer vivants des cochons infectés

    L’épidémie de peste porcine africaine s’étend en Asie et touchait en août 5 millions de bêtes et une demi-douzaine de pays.

    Les photos ou vidéos mises en ligne par de rares témoins, et diffusées par des médias étrangers, donnent la nausée. Certaines montrent une longue file de camions cabossés dans lesquels s’entassent des centaines de cochons dans des conditions épouvantables ; sur d’autres, on voit des cochons balancés, tels des sacs, dans de profondes fosses tapissées de bâches. Les tractopelles et les énormes tas de terre accumulés autour des fosses ne laissent guère de doute sur le sort qui attend les animaux pris au piège, totalement affolés.

    Même si la prudence s’impose quant à la date et au lieu de tournage de ces documents, plusieurs sources s’accordent à dire que face à la progression de la peste porcine africaine (PPA), qui touche désormais une demi-douzaine de pays d’Asie, certains n’hésitent pas à enterrer vivants les animaux infectés. Parmi les 5 millions de cochons déjà abattus ou morts des suites de cette maladie (chiffre FAO, août 2019), combien ont connu cette mort terrible ? Impossible à savoir. Mais c’est en Chine, où sévit depuis un an ce virus hautement contagieux et mortel pour les cochons et les sangliers, que cette pratique serait la plus répandue. Il faut dire que la Chine, premier producteur et consommateur de porcs au monde, compte la bagatelle de 26 millions de porcheries. Si la plupart sont de taille modeste, d’autres, véritables HLM à élevage, comprennent plusieurs étages, chaque niveau abritant jusqu’à un millier de porcs.

    «Cet événement n’a pas de précédent»

    En avril, Annie Schreijer-Pierik, députée européenne néerlandaise et membre de la Commission environnement, santé publique et sécurité alimentaire, interpellait ses collègues pour dénoncer l’enterrement de porcs vivants en Chine, ajoutant que des témoins avaient même vu des animaux brûlés vifs. La députée précisait que le virus étant capable de survivre dans les tissus des animaux morts, ces «enterrements» posaient de sérieuses questions sanitaires. Si elle n’est pas transmissible à l’homme, la PPA s’avère en effet très résistante dans l’environnement comme dans les produits à base de viande de porc.

    «Les pays d’Asie ont une bonne expérience de l’abattage massif de volailles, suite à l’épidémie du virus H5N1, mais “traiter” des cochons s’avère beaucoup plus complexe. La logistique devient plus militaire, témoigne un chercheur de la FAO qui préfère garder l’anonymat. J’ai parlé à de nombreux experts et tous considèrent que cet événement n’a pas de précédent.»

    L’ampleur de cette épidémie dans le monde animal semble en effet inédite, d’autant que le virus n’est actuellement contré par aucun traitement ni vaccin. Mais pour Nicolas Treich, directeur de recherches à l’INRA, les moyens employés pour la juguler sont injustifiables : «Il s’agit probablement là d’une des pires conséquences de l’élevage industriel en termes de nombre d’animaux concernés et de souffrance animale. Mais le retour à un élevage paysan apparaît improbable dans un pays comme la Chine qui a récemment industrialisé son agriculture et doit répondre à une demande croissante en viande

    112 km de clôtures entre la France et la Belgique

    L’OIE, l’organisation mondiale de la santé animale (dont la Chine est membre), refuse de confirmer ou d’infirmer les témoignages faisant état de pratiques barbares pour éliminer les porcs malades, se contenant de rappeler leur mise à mort doit être faite «conformément aux principes du bien-être des animaux».

    Selon l’OIE, le virus serait présent dans 45 pays et territoires, dont une dizaine dans l’UE. La France, encore indemne, a construit 112 km de clôtures dans les départements frontaliers avec la Belgique, où le virus a été détecté en 2018, afin d’éviter que des cochons et surtout des sangliers malades ne pénètrent sur son territoire.

    2019 : pour les Chinois, l’année du cochon. Funestement prémonitoire.

    Libération

    J'aimerai que le niveau de la mer monte assez pour recouvrir la Chine !


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  • Décès de Gaëlle Voiry, Miss France 1990, dans un accident de la route en Savoie

    Deux cyclistes, une femme et un homme âgés respectivement de 50 et 52 ans, sont morts samedi soir sur les routes de Chens-sur-Léman (Haute-Savoie). Ils ont été fauchés par un automobiliste alors qu'ils terminaient une sortie à vélo sur la D1005.

    LIEN article :

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/deces-de-gaelle-voiry-miss-france-1990-dans-un-accident-de-la-route-en-savoie-29-09-2019-8162388.php


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  • L'homme de 30 ans, qui s'était évadé le 30 décembre dernier de Fresnes en escaladant les murs de la prison, a été arrêté vendredi après-midi lors d'un contrôle à la gare de Perpignan après neuf mois de cavale.

    Cet homme âgé de 30 ans a été arrêté vendredi dans l'après-midi, lors d'un contrôle à la gare de Perpignan, a précisé cette source, confirmant une information du Parisien. Selon une source proche du dossier, l'homme revenait d'Espagne, où il avait déjà été repéré cet été. Contrôlé à Perpignan jeudi sous une fausse identité, il avait été laissé libre, avant d'être identifié comme le détenu de Fresnes. "Nous avions de bonnes raisons de penser qu'il reviendrait à la gare ce vendredi, et une brigade anti-criminalité locale a été envoyée pour l'interpeller", a expliqué cette source.

    Plusieurs fois condamné pour des braquages et extorsions avec armes

    Le 30 décembre dans l'après-midi, ce détenu plusieurs fois condamné pour des braquages et extorsions avec armes s'était évadé après avoir franchi des murs d'enceinte de plusieurs mètres de haut, depuis une cour de promenade, en s'aidant d'un grappin de fortune fait de draps noués à un morceau de bois. Les surveillants avaient tiré plusieurs coups de feu depuis les miradors sans réussir à l'arrêter. L'homme était classé DPS, pour détenu particulièrement surveillé, car il s'était déjà évadé à deux reprises en 2016, d'un commissariat puis du tribunal de Créteil.

    Lors de ce dernier épisode, il avait réussi, en plein procès, à se glisser par l'étroite ouverture du box des prévenus avant de s'enfuir. Il avait été condamné à 8 ans de prison pour vol avec effraction, extorsion avec violence et escroquerie, en récidive. Rattrapé trois mois plus tard, il a été condamné à 3 ans et 6 mois de prison pour cette évasion ainsi que pour une autre tentative depuis le dépôt du même tribunal fin 2017. Ce jour-là, il avait sprinté en pleine journée à travers la salle des pas perdus, avant d'être rattrapé sur les marches du tribunal. Libérable en 2026, l'homme était par ailleurs soupçonné dans une autre affaire et devait prochainement comparaître aux assises pour extorsion, vol avec arme et recel en bande organisée.

    Europe 1

    Comment ce type a pu s'échapper autant de fois ? C'est presque risible !

     


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  • Pendant plus d’un an, il a repris sa vie, l’air de rien. Avec toujours en tête, sans doute, cette soirée du 31 décembre 2017 durant laquelle il est devenu un tueur. 18 mois plus tard, le 23 septembre dernier, cet aide-soignant de 55 ans installé à Bourges (Cher) a été interpellé par le Service régional de police judiciaire (SRPJ) d’Orléans (Loiret) et mis en examen pour meurtre. « Il devait avoir la conscience lourde, confie une source proche de l’enquête. On avait des éléments contre lui, mais on n’en a même pas eu besoin, il s’est mis à table dès le début de sa garde à vue. »

    Le 1er janvier 2018, les policiers de Bourges sont avisés qu’une femme de 78 ans ne donne plus signe de vie depuis quelques jours. Ils se présentent chez Solange S. et découvrent la septuagénaire au pied de l’escalier dans son pavillon, morte depuis quelques heures. Sur place, les enquêteurs ne remarquent aucun signe d’effraction. Le corps de Solange S. est certes marqué par des chocs, mais les premières constatations ne montrent aucune plaie, ni trace de balle. Une autopsie est pratiquée par prudence, mais le médecin estime que la cause de la mort est compatible avec une violente chute dans les escaliers. La piste de l’accident est retenue, l’affaire est classée.

    A la fin du mois de février 2018 pourtant, l’enquête est rouverte. Depuis plusieurs semaines, les policiers de Bourges travaillent sur une affaire peu reluisante de vol de chèques. Dans leur collimateur, un aide-soignant de 55 ans, suspecté de dérober des chèques à des personnes âgées qu’il soigne. « Ça ressemblait plus à de l’abus de faiblesse qu’à du vol, confie une source proche de l’enquête. Il arrivait à pousser ces vieilles femmes à lui faire un chèque pour éponger ses dettes… »

    Un chèque de 5000 euros éveille les soupçons

    Plusieurs femmes affirment toutefois aux policiers avoir volontairement donné de l’argent à l’aide-soignant, pour le dépanner. Les poursuites ne vont pas beaucoup plus loin, mais un policier remarque un petit détail qui l’interpelle sur le compte en banque de l’aide-soignant. Le 3 janvier il a encaissé un chèque de 5000 euros… signé par Solange S. retrouvée morte trois jours plus tôt. Une femme chez qui il se rendait régulièrement pour des soins… Troublant.

    Pour travailler tranquillement, les enquêteurs décident de ne pas interroger immédiatement l’aide-soignant sur ce chèque douteux. La police judiciaire rouvre discrètement le dossier Solange S. Les enquêteurs retracent le parcours de l’aide-soignant, le suivent de près. Ils découvrent que cet homme de 55 ans, qui vit en concubinage, n’est pas très net. « Il avait des dettes importantes, et surtout, il était devenu toxicomane et complètement accro aux médicaments, confie un proche du dossier. Sa compagne se posait quelques questions, mais il n’avait jamais parlé de cette fameuse nuit. »

    Finalement, le 23 septembre dernier, après avoir épluché ses interrogatoires de février 2018 et déniché de nombreuses incohérences, les enquêteurs de la PJ d’Orléans passent à l’action et interpellent l’aide-soignant. Qui craque très rapidement, et livre des aveux complets. Selon nos informations, le suspect aurait reconnu, durant sa garde à vue, avoir voulu emprunter de l’argent à la victime. Cette dernière aurait refusé, et il l’aurait alors poussé dans les escaliers avant de lui voler un chèque. « Un accident », selon l’aide-soignant. Un scénario que l’information judiciaire, ouverte pour meurtre, devra affiner. En attendant, le suspect a été placé en détention provisoire.

    Le Parisien


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  • Le malus automobile durci au 1er janvier 2020, confirme Le Maire

    Le gouvernement français a décidé d'augmenter au 1er janvier 2020 le malus pour les véhicules polluants, en vertu des nouvelles normes européennes d'homologation, a déclaré dimanche Bruno Le Maire, confirmant une information des Echos.

     

    "Oui nous allons augmenter le malus auto, pour une raison qui est très simple : il y a de nouveaux critères européens, nous tenons compte de ces nouveaux critères", a expliqué le ministre de l'Economie et des Finances dans le cadre du "Grand Jury" RTL-LCI-Le Figaro.

    "On ne peut pas vouloir accélérer la transition énergétique et garder des malus auto qui sont encore relativement modestes sur des véhicules qui émettent beaucoup de CO2", a-t-il dit.

    "On va décaler les règles de calcul des émissions : on va passer de 117 grammes de CO2 à 110 grammes de CO2 pour le déclenchement de ce malus", a précisé Bruno Le Maire.

    Un exemple : "Pour un véhicule qui émet 140 grammes de CO2 au kilomètre, on va passer le malus de 690 à 1.901 euros."

    "C'est une manière de dissuader les gens d'acheter des véhicules polluants", a estimé Bruno Le Maire, qui a ajouté que cette mesure entrerait en vigueur le 1er janvier prochain.

    REUTERS


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  • Haute-Garonne : un homme blessé de plusieurs balles retrouvé à la lisière d’une forêt

    C’est un automobiliste qui lui a porté secours. Un homme de 34 ans a été retrouvé dans un état très grave sur le bord d’une route, en lisière d’une forêt du nord-ouest de Toulouse (Haute-Garonne). La victime a vraisemblablement été touchée de plusieurs balles.

     

    Vers 5h30 vendredi matin, sur cette route de Lévignac, des automobilistes ont remarqué cet homme qui tentait d’appeler au secours. Selon La Dépêche du Midi, il était seulement vêtu d’un caleçon et couvert de sang. Ce samedi, son pronostic vital était toujours engagé, explique Actu Toulouse.

    Inconnu de la justice

    Dans un premier temps inconnue, l’identité de la victime a finalement été découverte : il s’agit d’un Toulousain de 34 ans « qui n’a jamais eu affaire à la justice et est inconnu des services de police », indique le parquet cité par France Bleu.

    La section de recherches de la gendarmerie de Toulouse est en charge de l’enquête ouverte pour tentative d’homicide.

    Le Parisien


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  • Cannabis: La marine nationale saisit plus de 2 tonnes de résine

    © Douglas Sacha / getty Images Embarcation à usage spécial de 33 pieds utilisée par les forces de l'ordre pour les missions de lutte contre la drogue et les migrants le long de la frontière maritime américaine

    La patrouille agissait dans le cadre de la Task Force 150, qui réunit plusieurs pays menant des actions maritimes contre les trafics dans l’océan Indien

    La frégate française Nivôse, en patrouille dans l’océan Indien, a saisi le 25 septembre deux tonnes et demie de résine de cannabis à bord d’un boutre de trafiquants, a annoncé samedi l’état-major des Armées. Ce dernier a toutefois refusé de préciser le lieu de la saisie. L’hélicoptère Panther embarqué à bord de la frégate a d’abord repéré cette embarcation traditionnelle de la région. Contacté par radio, l’équipage du boutre n’a pas répondu et commencé à effectuer « des changements de trajectoire suspects ». « La frégate a déclenché une enquête qui a permis de conclure rapidement que le bateau était sans pavillon », a expliqué l’état-major. Le boutre a été rattrapé, arraisonné et « l’investigation qui a suivi a permis de saisir 2,5 tonnes de résine de cannabis réparties en 132 ballots d’environ 19 kilos chacun ».

     

    Un trafic susceptible de soutenir le terrorisme

    Cette prise a été mise en avant par la ministre des Armées Florence Parly : « Je tiens à saluer l’engagement et la détermination sans faille des marins du Nivôse qui contribuent efficacement à la lutte contre le financement du terrorisme ». « L’action résolue des Armées contre le narcotrafic a un impact déterminant pour la sécurité dans la région mais aussi en Europe et en France, potentielles destinations de ces stupéfiants », a-t-elle ajouté.

    La frégate effectuait cette patrouille « dans le cadre de la Task Force 150, qui réunit plusieurs pays menant des actions maritimes de lutte contre les trafics susceptibles de soutenir le terrorisme international en océan Indien », toujours selon l’état-major.

    20 Minutes

     


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