• Jacques Chirac est mort à l'âge de 86 ans, annonce sa famille

    Jacques Chirac est mort à l'âge de 86 ans, annonce sa famille

    Jacques Chirac est mort. Sa famille l'a annoncé, jeudi 26 septembre, à l'AFP. "Le président Jacques Chirac s'est éteint ce matin au milieu des siens. Paisiblement", a déclaré son gendre Frédéric Salat-Baroux, époux de Claude Chirac. Sa santé s'était dégradée depuis son départ de l'Elysée en 2007, conséquence notamment d'un accident vasculaire cérébral survenu en 2005, durant son second mandat de président de la République. En septembre 2016, il avait dû rentrer en urgence du Maroc, où il était en villégiature avec son épouse Bernadette, afin d'être hospitalisé à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris pour une infection pulmonaire. Il y avait séjourné pendant près d'un mois, avant de pouvoir regagner son domicile parisien.

     

    LIEN de la suite d'un très long article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/jacques-chirac/jacques-chirac-est-mort-%c3%a0-l%c3%a2ge-de-86-ans-annonce-sa-famille/ar-AAHSw9H?li=BBoJIji&ocid=PerDHP


  • Commentaires

    1
    Jeudi 26 Septembre 2019 à 13:28

    On en a pour au moins la journée avec Jacques Chirac, macaron va être tranquille un moment !   happy

      • Jeudi 26 Septembre 2019 à 13:46

        Chantou , vous avez bien raison  ...Ce n'est pas moi qui va le regretter ....Macron va faire son discours  sur Chirac ce soir a 20 heures ,je m’intéresserais à autre chose plus intéressant que ses menteurs et arnaqueurs .qui trompe leur petit peuple pour se uniquement remplir les poches ..

    2
    Rakia
    Jeudi 26 Septembre 2019 à 13:51
    Coucou chantou !
    Tu as bien raison, on en a pour la journée et en boucle surtout sur BFM ( ( rire) pauvre chichi il était un amoureux de la bière ça va lui manquer ! Toutes mes condoléances à sa famille !
      • Stan
        Jeudi 26 Septembre 2019 à 23:26

        Rassurez-vous Rakia, il va être mis en bière pour l'éternité...he

    3
    Jeudi 26 Septembre 2019 à 14:02

    La vérité ,et que macron ne se trompe pas ce soir a  20 heures

    VOILA POURQUOI Claude Chirac Venait DE RECEVOIR LA LEGION D'HONNEUR !

    Un père irréprochable !Voici la chronologie de l'affaire des chargés de mission de la ville de Paris, dans laquelle l'ancien président de la République Jacques Chirac a été condamné jeudi 15 décembre 2011 à deux ans de prison avec sursis pour "détournement de fonds publics", "abus de confiance" et "prise illégale d'intérêts".

    1999
    6 janvier: une instruction est ouverte à Paris pour "faux en écritures publiques, prise illégale d'intérêt, détournement de fonds publics, recel, complicité et destruction de preuves", après la plainte d'un particulier en décembre 1998.

    2002
    28 novembre: soupçonné d'avoir signé cinq contrats, l'ex-ministre Robert Pandraud, ancien directeur de cabinet de Jacques Chirac, est mis en examen. 43 emplois fictifs auraient été signés sous les mandats de maire de Paris de Jacques Chirac (1977-1995) et de Jean Tiberi (1995-2001) pour 4,5 millions d'euros.

    2003
    8 janvier: Daniel Naftalski, directeur de cabinet de Jacques Chirac à l'Hôtel de Ville (1986-1989), est mis en examen. Ses successeurs Michel Roussin (1989-1993) et Rémy Chardon (1993-1995) le sont aussi les 23 janvier et 7 février.

    1er avril: Raymond-Max Aubert, directeur-adjoint de cabinet de Jacques Chirac (1988-1989), est également mis en examen pour avoir eu un collaborateur payé par la Ville entre 1988 et 1992, alors qu'il était maire de Tulle et conseiller général RPR.

    13 septembre: le député UMP de Paris Jean De Gaulle est mis en examen pour avoir bénéficié d'une assistante payée par la Ville en 1990-1991. Idem pour Marie-Thérèse Poujade, épouse de l'ex-maire RPR de Dijon, Robert Poujade, pour un emploi fictif (1981-1993), Bernard Bled, directeur de cabinet de Jean Tiberi (1995-1998), François Debré, frère de Jean-Louis, Michelle de Charette, épouse de l'ex-ministre Hervé de Charette, et Marc Blondel, alors secrétaire général de FO.

    5 décembre: la cour d'appel de Paris oppose la prescription sur une grande partie du dossier, pour ne retenir que les poursuites à l'encontre de Michel Roussin, Rémy Chardon et Bernard Bled pour "faux en écritures par dépositaire de l'autorité publique", infraction criminelle qui est prescrite au bout de 10 ans et non 3.

    2004
    2 décembre: la Cour de cassation casse l'arrêt du 5 décembre 2003.

    2006
    8 décembre: le parquet général de Paris requiert l'annulation des mises en examen de Daniel Naftalski, Robert Pandraud et Michel Roussin, qui n'étaient pas dépositaires d'argent public et ne peuvent être selon lui poursuivis pour détournement de fonds publics.

    2007
    16 février: la cour d'appel valide les mises en examen.

    15 mai: Alain Juppé est entendu comme témoin, en sa qualité d'ancien adjoint aux finances de la mairie.

    23 juin: l'avocat de Chirac conteste une information selon laquelle le président aurait été convoqué par les juges.

    26 juin: la Cour de cassation confirme les mises en examen.

    5 septembre: la police financière enquête sur Claude Chirac, conseillère à la mairie de Paris de 1989 à 1993 et salariée d'une société privée. Ses proches assurent qu'elle n'a reçu "aucune convocation" judiciaire.

    21 novembre: Jacques Chirac est mis en examen pour "détournements de fonds publics" par un juge. Il reconnaît avoir "souhaité ou autorisé", les recrutements de chargés de mission "légitimes" dans une tribune publiée dans la presse.

    28 novembre: la presse avance que Jacques Chirac ferait l'objet d'un chantage de quatre anciens directeurs de cabinet (Robert Pandraud, Daniel Naftalski, Michel Roussin et Rémy Chardon) menaçant de l'impliquer dans d'autres affaires s'ils n'étaient pas blanchis dans celle des chargés de mission.

    5 décembre: Jacques Chirac est une nouvelle fois entendu, au pôle financier, sur le fonctionnement de la mairie.

     

    2008
    16 juin: nouvelle audition de l'ancien président de la République.

    3 juillet: Jacques Chirac est encore entendu au pôle financier du palais de justice de Paris.

    4 août: Claude Chirac est entendue comme témoin par les policiers de la Division nationale des investigations financières (Dnif) dans l'affaire des chargés de mission de la Ville de Paris.

    2009
    31 mars: la Cour de cassation rejette la demande de dessaisissement du juge d'instruction de Nanterre, Alain Philibeaux, qui souhaitait que le dossier des emplois fictifs du RPR visant Jacques Chirac soit transmis à la juge parisienne Xavière Simeoni.

    24 avril: la juge d'instruction Xavière Simeoni boucle son enquête.

    28 septembre: le parquet de Paris requiert un non-lieu général dans l'enquête sur les chargés de mission de la Ville de Paris.

    30 octobre: Jacques Chirac est renvoyé en correctionnelle pour "21 supposés emplois fictifs" à la mairie de Paris mais bénéficie d'un non-lieu pour le chef d'accusation de "faux en écriture publique".

     

    2010
    27 septembre: la mairie de Paris vote un protocole d'accord d'indemnisation avec l'UMP et Jacques Chirac, ouvrant la voie à un retrait de sa partie civile.

    1er octobre: le tribunal correctionnel de Paris renvoie du 7 mars au 8 avril le procès, initialement prévu du 8 novembre au 8 décembre.

    4 octobre: le parquet de Nanterre requiert un non-lieu en faveur de Jacques Chirac dans l'enquête sur des emplois présumés de complaisance à la ville de Paris au bénéfice du RPR.

    8 novembre: Jacques Chirac est renvoyé en correctionnelle pour "prise illégale d'intérêts" dans le volet de l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris instruit à Nanterre.

    9 décembre: la Cour de cassation accepte la jonction des deux dossiers judiciaires concernant Jacques Chirac, qui doit donc être jugé lors d'un procès unique, programmé en mars à Paris.

     

    2011
    31 janvier: le tribunal correctionnel de Paris décide que le procès de Jacques Chirac s'ouvrira le 7 mars, comme prévu, renvoyant à cette date sa décision sur une demande de la défense de surseoir à statuer sur la constitution de partie civile de l'association Anticor.

    7 mars: ouverture du procès.

    8 mars: le tribunal accepte de transmettre à la Cour de cassation une "question prioritaire de constitutionnalité" soulevée par Me Jean-Yves Le Borgne, l'avocat de l'ancien directeur de cabinet de Jacques Chirac à la mairie de Paris Rémy Chardon. Ce qui entraîne le report du volet parisien, ainsi que du volet de Nanterre dont les parties souhaitent qu'il reste joint.

    20 mai: la Cour de cassation rejette la QPC, estimant que "la prescription de l'action publique n'est fondée sur aucun principe fondamental, ni aucune règle de valeur constitutionnelle". Le procès peut donc reprendre.

    28 juin: le tribunal administratif de Paris rejette la requête déposée par l'association anti-corruption Anticor et plusieurs contribuables contre l'accord qui indemnise la Ville de Paris dans l'affaire des emplois fictifs.

    2 septembre: les avocats de Jacques Chirac envoient une lettre au président du tribunal dans laquelle ils assurent que leur client n'a "plus l'entière capacité de participer au déroulement des audiences" de son procès.

    5 septembre: le procès de Jacques Chirac reprend, en son absence, et dure jusqu'au 23 septembre. Le parquet requiert la relaxe générale. Par la voix d'un de ses conseils, le principal prévenu affirme n'avoir commis "aucune faute, ni pénale, ni morale".

    15 décembre: Jacques Chirac est condamné à deux de prison avec sursis pour "détournement de fonds publics", "abus de confiance" et "prise illégale d'intérêts" sur 19 des 28 emplois litigieux.

    4
    FRANCOISE
    Jeudi 26 Septembre 2019 à 17:14

    Alors là c'est bien le moindre de mes soucis ,il a bien vécu ,en a aussi plumé pas mal et il n'était pas non plus un premier prix d'honnêteté !,il a  fait son temps, chacun son tour !  Le gouvernement va surement  récupérer un peu de sous !

    5
    Jeudi 26 Septembre 2019 à 17:50

    Chirac  a triché  lui  aussi ,  mais  on  va  vouloir  en  faire  un saint !

     Dire  que le  Giscard  est  toujours  là !

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