• A Alger, la France a rendu hommage à Mouloud Feraoun et aux victimes de l’OAS

    Emmanuel Macron a demandé à son ambassadeur en Algérie de déposer, mardi 15 mars, une gerbe de fleurs à la mémoire de l’écrivain et instituteur assassiné, il y a soixante ans, par l’Organisation de l’armée secrète.

    LIEN de l'article :

    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/03/15/a-alger-la-france-va-rendre-hommage-a-mouloud-feraoun-et-aux-victimes-de-l-oas_6117612_3212.html


    votre commentaire
  • Des propos haineux envers la France

    Le ministre de l'Intérieur  avait annoncé, le 12 janvier, avoir fait fermer une mosquée à Cannes (Alpes-Maritimes) en raison de « propos haineux envers la France » et de propos « incitant à la haine envers les homosexuels ou transsexuels » tenus par l'ancien recteur sur la page  de la mosquée Al Madina Al Mounawar. La préfecture parlait aussi d'« une haine antisémite explicite ».

    « Nous lui reprochons des propos antisémites [et] des soutiens au CCIF [Collectif contre l' en France, NDLR] et à BarakaCity », dissous fin 2020, avait déclaré le ministre de l'Intérieur sur CNews.

    Mais « la décision qui a été prise la semaine dernière par le ministère de l'Intérieur est de ne pas prendre de mesure de fermeture administrative, à la lumière des éléments fournis par les nouveaux responsables de la mosquée » explique finalement la préfecture des Alpes-Maritimes.

    « L'association gestionnaire de la mosquée a montré qu'elle avait totalement coupé les ponts avec le précédent recteur et repris la gestion de la page Facebook de la mosquée. Les garanties apportées ont été jugées suffisantes », a détaillé la préfecture.

    Une autre fermeture de mosquée en banlieue de Bordeaux

    Pendant ce temps-là, lundi 14 mars, la préfecture de Gironde a annoncé la fermeture pour six mois de la mosquée Al Farouk de Pessac, en banlieue de Bordeaux, accusée de promouvoir « un  radical » et de véhiculer « une idéologie salafiste ».

    Boulevard Voltaire


    1 commentaire
  • Info RTL Dans la nuit du 15 au 16 mars, un équipage de la BAC de Nice a interpellé un homme armé d’un couteau, auteur d’une violente agression, qui a répété à plusieurs reprises vouloir « mourir en martyr, tuer au nom d’Allah ».

    Un homme armé d’un couteau et auteur d’une violente agression a été interpellé à 1h du matin par la BAC de Nice, dans la nuit du 15 au 16 mars, selon les informations de RTL. Cet homme, Mohamed D,  âgé de 19 ans (selon l’identité qu’il a donnée aux policiers), est soupçonné d’avoir porté plusieurs coups de couteau au niveau de la joue, de l’épaule, des bras et des mains de sa victime, un transsexuel, dans le centre-ville de Nice. Celle-ci a été hospitalisée mais son pronostic vital n’est pas engagé.

    L’homme a tenté de prendre la fuite à l’arrivée des policiers, alors qu’un autre homme de 25 ans d’origine tunisienne qui l’accompagnait était interpellé. C’est lors de sa fuite qu’il a crié « Allah Akbar «  à plusieurs reprises selon les policiers, et s’adressant à eux : « Tirez-moi dessus, je veux mourir en martyr, je veux aller au paradis« .

    Des propos qui, selon la déposition des fonctionnaires de la BAC que nous avons pu consulter, ont immédiatement fait écho aux attaques terroristes qui ont eu lieu sur la promenade des Anglais et dans la basilique Notre-Dame de Nice.

    Au bout de la course poursuite, sans faire usage de son arme de service, un policier a réussi à plaquer l’homme au sol. Sur lui, ils ont retrouvé un opinel ensanglanté ainsi qu’une carte bancaire qui n’est pas à son nom.

    Résistance républicaine


    2 commentaires
  • Une bouteille d’acétylène a explosé dans un bâtiment agricole de 200 m2

    Un incendie a ravagé un bâtiment agricole dimanche en fin d’après-midi, sur la commune de Saint-Paul ( Oise), près de Beauvais. Le bilan est lourd : 18 chèvres ont péri dans les flammes, rapporte Le Courrier Picard. La dépendance de 200 m2 abritait également du matériel.

    Ce sont les gendarmes, alertés par une fumée noire épaisse, qui ont prévenu le propriétaire de la ferme. Ce dernier, également conseiller municipal, se trouvait avec le maire au moment de l’incendie. Il n’a rien pu sauver de son bâtiment.

    200.000 € de pertes

    Les sapeurs-pompiers, mobilisés en nombre, ont lutté pendant deux heures pour venir à bout du feu. Une bouteille d’acétylène, présente dans le bâtiment, a explosé, expliquent les secours à nos confrères. Une enquête a été ouverte pour déterminer l’origine du départ de feu. Le préjudice est pour l’instant estimé à au moins 200.000 €.

    20 Minutes


    2 commentaires
  • Accroché au toboggan par la capuche de son manteau, l’enfant avait perdu connaissance

    Un agent territorial des écoles maternelles (Atsem) a sauvé la vie d’un enfant de 4 ans coincé sur le toboggan de l’établissement scolaire de Chabestan, à Die ( Drôme). D’après Le Dauphiné Libéré, le garçon pendu par la capuche de son manteau avait perdu connaissance quand sa sauveuse de 37 ans est intervenue, vendredi.

    Chargée de seconder l’enseignant sur les plans éducatifs et matériels, l’Atsem s’est précipitée pour aider l’enfant. Après l’avoir allongé sur le sol, elle a procédé à un massage cardiaque et à deux insufflations qui ont permis au garçon de revenir à lui.

    Des gestes déterminants

    D’après le Dauphine Libéré, les sapeurs-pompiers ont jugé ces premiers gestes déterminants. La trentenaire avait suivi une formation à la prévention et au secours, obligatoire pour occuper sa fonction. « Sans cette formation, je ne sais pas si j’aurais fait les bons gestes », a-t-elle confié au quotidien. Aujourd’hui, le petit garçon va bien.

    20 Minutes


    1 commentaire
  • Cette petite fille ukrainienne au bras arraché par les Russes déchire le cœur des médecins

    Une petite fille ukrainienne de neuf ans a subi une violente attaque de la part des soldats Russes et s'est fait bombarder avec sa famille. Son père est décédé des suites de ces bombardements Russes.

    Le témoignage déchire le cœur des médecins

    Depuis son lit d'hôpital, la gamine ukrainienne de neuf ans a déclaré : "Je ne sais pas pourquoi les Russes m'ont tiré dessus. J'espère que c'était un accident et qu'ils ne voulaient pas me faire de mal".

    L'innocence de la jeune fille a bouleversé les médecins en charge. Elle poursuit son témoignage ainsi : "J'ai reçu une balle dans le bras. J'ai couru après ma sœur. Ma mère, elle, est tombée dessus. Je pensais que c'était la fin. Mais elle n'était pas morte, elle se protégeait juste des coups de feu. Elle se cachait". Le bras arraché par la guerre, sa candeur n'a eu d'égal que son courage face à l'épreuve.

    "Puis j'ai perdu connaissance. Quelqu'un m'a porté dans une cave. J'y ai reçu des soins. Et puis des gens m'ont porté sur une serviette à l'hôpital."

    Suite à cette attaque ultra violente, la petite Sasha s'est vue amputée d'un membre supérieur qui était déjà quelque peu arraché. Les médecins n'auraient pas eu le choix à ce moment-là que de lui retirer l'un de ses deux bras, puisque la patiente était en train de développer une gangrène sur cette partie du corps.

    Une ville stratégique pour atteindre Kiev

    La petite Sasha a d'abord perdu connaissance durant deux jours, avant d'être redirigée dans un hôpital voisin, cela sur un brancard rustre, drapeau blanc brandit par des secours volontaires.

    Les banlieues du nord-ouest que représentent les villes de Gostomel, Irpin et Bucha se révèlent aujourd'hui en première ligne pour la bataille Russe visant la capitale de l'Ukraine, Kiev. Ces territoires stratégiques encerclent la ville tant prisée par Vladimir Poutine.

    À l'hôpital Central d'Irpin, le chirurgien vasculaire chargé de l'opération de l'ukrainienne de neuf ans a réalisé une prouesse médicale, car le bras infecté risquait de causer la mort de sa jeune patiente. Le témoignage de la jeune fille recueilli par MailOnline a cueilli les médecins ainsi que le personnel hospitalier présent. Sasha n'est malheureusement pas la seule enfant à subir les drames de la guerre.

    Oh My Mag


    2 commentaires
  • Les musulmans ont envahi le parvis de l'église pour vendre leur "matériel" !


    4 commentaires
  • Hugues Aufray est né le 18 août 1929 (92 ans) à Neuilly-sur-Seine, France

    Hugues Aufray : Dès que le printemps revient dans  Les années bonheur de Patrick Sébastien.

    en 2010


    1 commentaire
  • Un homme de 37 ans a été condamné à dix-neuf ans de prison lundi 14 mars 2022 par la cour d'assises de la Charente pour viols et agressions sexuelles sur mineures. Quelques années plus tôt, il avait violé à plusieurs reprises sa propre fille, aujourd'hui âgée de 13 ans, ainsi que ses deux belles-filles, aujourd'hui âgées de 15 et 19 ans.

    Après trois jours de procès, la sentence est tombée. Un père de famille de 37 ans a été jugé coupable de viols et d'agressions sexuelles sur sa fille et ses belles-filles lundi 14 mars 2022 par la cour d'assises de la Charente, située à Angoulême, rapporte Charente Libre.

    Les trois victimes sont aujourd'hui âgées de 13 ans pour sa fille, et de 15 et 19 ans pour ses belles-filles. Les faits se sont produits dans la caravane du trentenaire à Châteauneuf-sur-Charente (Charente) ainsi qu'au domicile de sa mère, alors que les trois filles étaient encore toutes mineures.

    Dix ans de suivi socio-judiciaire

    Les deux belles-filles ont porté plainte début 2020 après avoir été à nouveau violées par l'accusé. Ce dernier a en conséquence été condamné à dix-neuf ans de réclusion criminelle pour ces sévices sexuels sur mineures.

    Il a également écopé de dix ans de suivi socio-judiciaire et a interdiction d'entrer en contact avec les trois victimes. Il n'a plus le droit de pratiquer une activité en contact avec des mineurs.

    Ouest-France


    3 commentaires
  • Elle avait été enlevée par sa mère, à l’âge de 5 ans. La petite Camille C. a été retrouvée début mars par les autorités suisses, onze ans après sa disparition, en 2011, selon une information de Var-Matin, confirmée par BFM Toulon Var.

    En 2011, la petite Camille, habitante de Carqueiranne, dans le Var disparaît peu après Noël, alors que ses parents se déchirent pour obtenir sa garde. Une enquête est ouverte. Les soupçons se tournent vers sa mère, Priscilla Majani une ingénieur militaire, employée de la Direction générale de l’armement, décrite comme « instable », par la presse locale. Elle venait de récupérer l’enfant pour passer les fêtes. Un simple contrôle routier Jugée à trois reprises, Priscilla Majani est condamnée à six ans de prison pour « non-représentation de mineure », « dénonciation calomnieuse » et « soustraction d’enfant », par le Tribunal judiciaire de Toulon. La mère ne se présente pas à la justice. Les autorités perdent sa trace. Jusqu’en mars 2022. Dix ans après la disparition de la petite Camille, sa grand-mère et sa tante maternelle comparaissent devant la cour d’appel d’Aix-en-Provence. Elles sont poursuivies pour leur éventuelle « complicité » dans la disparition de la fillette. Les deux femmes nient avoir eu connaissance du projet d’enlèvement.

    Le 1er mars 2022. Priscilla Majani finalement est appréhendée dans le canton de Vaud, lors d’un simple contrôle routier. Son visage était reconnaissable, placardé dans les commissariats de police. Interpol avait émis une fiche de recherche. Priscilla Majani est placée en détention provisoire.

    L’arrestation aura également permis de retrouver Camille C., désormais âgée de 16 ans. Elle a été placée sous la responsabilité de la protection de l’enfance du canton de Vaud, en attendant qu’une audience se prononce sur son sort. Elle aura passé les deux tiers de sa vie dans la clandestinité.

    Le Parisien


    2 commentaires
  • Un garçon de 14 ans est mort et un autre de 17 ans a été blessé dans un accident de la route en pleine nuit

    Dans la nuit de lundi à mardi, à Beuvry, dans le Pas-de-Calais, un adolescent de 14 ans est mort en percutant un arbre au volant d’une voiture. Un autre de 17 ans, passager du véhicule, a été blessé, ont annoncé les pompiers.

    « Une voiture a percuté un arbre à 2 h du matin », selon le Service départemental d’incendie et de secours du Pas-de-Calais.

    « Deux jeunes de 14 et 17 ans étaient incarcérés à l’arrivée des pompiers ». « Le conducteur de 14 ans » a été déclaré décédé et le passager de 17 ans, en « urgence relative », a été transporté au centre hospitalier de Beuvry, selon la même source.

    20 Minutes


    2 commentaires
  • Un drame tragiquement banal aux États-Unis. Un enfant américain de trois ans a tué sa mère en jouant avec une arme à feu, a-t-on appris lundi de source policière. Le drame s'est déroulé samedi soir sur le parking d'un supermarché de Dolton, dans la banlieue de Chicago. Le garçonnet était assis dans son siège enfant à l'arrière d'une voiture, avec ses parents à l'avant.

    Sans que l'on sache expliquer pourquoi, il s'est retrouvé avec le pistolet de son père entre les mains. "Il a commencé à jouer avec et, à un moment, il a appuyé sur la gâchette", a expliqué à l'Agence France Presse le chef de la police locale, Robert Collins. Sa mère, Daejah Bennett, 22 ans, a reçu une balle dans la nuque. Son décès a été prononcé dans un hôpital de Chicago où elle avait été transférée en urgence.

    Le père a été placé en détention, le temps de déterminer s'il possédait l'arme légalement, et s'il doit faire l'objet de poursuites. Cette mort s'inscrit dans une série effarante d'accidents comparables puisque "chaque année, aux États-Unis, des centaines d'enfants accèdent à des armes chargées et non sécurisées, dans des placards, des tables de nuit, des sacs à dos ou des sacs à main, ou simplement laissées traîner" et tirent involontairement, selon un rapport récent d'Everytown For Gun Safety.

    L'organisation, qui milite pour un meilleur encadrement des armes à feu et notamment pour imposer de les ranger dans des coffres sécurisés, estime que ces "tirs non intentionnels" de mineurs causent en moyenne 350 morts chaque année. Plus globalement, les armes à feu causent environ 40.000 morts par an aux États-Unis, en incluant les suicides, selon le site Gun Violence Archive.

    RTL


    1 commentaire
  • La Douane de Guadeloupe fait état d’une activité particulièrement soutenue en 2021. Avec presque une saisie par jour. Valeur totale des 19 000 contrefaçons saisies ? Un million d’euros.

    Sacoches Louis Vuitton ; T-shirts Lacoste dans leur emballage ; écouteurs Apple ; parfums Hermès, Lancôme, Chanel ; baskets Dior… Tout œil non averti n’y verrait que du feu. Il s’agit, en réalité, d’un aperçu des 19 000 contrefaçons saisies par la Douane de Guadeloupe l’an passé. Valeur totale ? Un million d’euros.

    « L’année 2021 a été celle des saisies records, y compris en stupéfiants et tabac, explique Philippe Richard, directeur régional de la Douane, lors de son bilan annuel. Nous avons réalisé environ 300 saisies, soit presque une par jour, à l’aéroport ou dans des véhicules. Ni le coronavirus ni les mouvements sociaux n’ont découragé les trafiquants. »

    580 kg sur un catamaran

    Au total, plus d’une tonne de stupéfiants a été interceptée dans l’archipel, avec quelques saisies exceptionnelles : 580 kg sur un catamaran, 247 kg dans un conteneur. La plupart de ces « jolies prises » concernent la cocaïne. La région caribéenne constitue une plaque tournante du trafic, en raison de sa proximité avec les pays producteurs : la Colombie, le Pérou, la Bolivie…

    La contrebande de tabac, quant à elle, a explosé, avec une augmentation de 180 % par rapport à 2020. Quelque 2,75 tonnes ont été confisquées dans les commerces et sur des embarcations. « Nous avons aussi mis la main sur cinquante-quatre espèces animales protégées : pythons royaux, caméléons casqués… »

     

    Les douaniers de Saint-Martin, eux, ont intercepté des statuettes d’art précolombien provenant de pillages de sites archéologiques. Si elles avaient été vendues, elles auraient rapporté plusieurs dizaines de milliers d’euros aux malfaiteurs.

    Ouest-France

    Pas de com, ce qui se passe en Guadeloupe est donc tout à fait normal !


    votre commentaire
  • Une plainte devrait être déposée dans les prochains jours afin qu'une enquête soit ouverte

    Une tentative d’empoisonnement a eu lieu dans le refuge animalier d’Épernay ( Marne) en début de semaine dernière, rapporte France 3 Grand-Est. Une saucisse aux grains de blé contenant de la mort-aux-rats et des punaises a en effet été déposée au niveau d’un grillage. Un malinois de 4 ans en a mangé une petite partie.

    Surveillance accrue

    Une soigneuse l’a heureusement vite remarqué et le chien a pu être suivi médicalement. Il est désormais hors de danger. De son côté, l’Association indépendante marnaise d’assistance aux animaux (Aimaa), qui gère le refuge, a condamné cet acte dans une publication postée le jeudi 10 mars sur Facebook. L’association en a également profité pour alerter le voisinage, de nombreux chiens se promenant dans le secteur du refuge.

    La mairie et la police municipale ont par ailleurs été averties. Des rondes sont dorénavant organisées et les bénévoles du refuge ont accru leur surveillance. Une plainte devrait être déposée à la police nationale mercredi 16 mars, dans l’espoir de retrouver l’auteur de cette tentative d’empoisonnement.

    20 Minutes


    1 commentaire
  • La femme enceinte évacuée de la maternité bombardée de Marioupol est morte, son bébé aussi

    La femme enceinte blessée lors du bombardement russe survenu à la maternité de Marioupol le 9 mars est décédée, a fait savoir Associated Press (AP). La photo de son évacuation sur un brancard est devenue emblématique de la guerre en Ukraine.

    Après l’attaque, la victime a été transportée d’urgence dans un autre hôpital, où les médecins ont tenté de la maintenir en vie, indiquent nos confrères.

    Interrogé par Sky News, l’un des chirurgiens qui a procédé à l’accouchement, a fait savoir que le nourrisson était né par césarienne mais qu’il n’a montré « aucun signe de vie ».

    Selon lui, le pronostic vital de la jeune femme s’est dégradé davantage lorsqu’elle a compris qu’elle perdait son bébé. « Tuez-moi maintenant ! », aurait crié cette dernière.

    Durant trente minutes, l’équipe médicale a tenté de la réanimer, mais cela n’a pas suffi à la sauver, a indiqué le médecin à nos confrères. L’annonce de sa mort accompagnée de la photo emblématique a notamment été tweetée par Iuliia Mendel, ancienne porte-parole de Volodymyr Zelensky.

    Émotion et indignation après le bombardement

    Le bombardement, dans lequel la Russie a nié toute implication, avait suscité l’indignation des institutions et dirigeants européens. Emmanuel Macron avait ainsi condamné « cet acte de guerre dont l’objectif manifeste est de tuer des civils, ici des femmes et des enfants ». Il avait par ailleurs indiqué que la « justice devra être faite ».

    De son côté, la présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen, interrogée sur Franceinfo, avait mentionné cet acte « d’inhumain, odieux, cruel et tragique » . Cette dernière s’était aussi dite « convaincue que ça peut être un crime de guerre » et avait demandé l’ouverture d’une enquête pour éclaircir les circonstances de ce drame.

    Ouest-France


    1 commentaire
  • Je suis donc la seule à aimer cette chanson ! C'est son plus grand succès !

    Pas de commentaire ???


    votre commentaire
  • Vladimir Poutine : sa compagne et leurs enfants cachés en Suisse ? Nouvelles révélations

    Vladimir Poutine et son ex-femme Lioudmila Aleksandrovna Chkrebneva @ Rossiya 24

    Après trente ans de mariage et les naissances de deux filles, Vladimir Poutine officialisait son divorce avec Lioudmila Alexandrovna Chkrebneva le 6 juin 2013. L’ancien couple présidentiel confirmait ainsi les rumeurs qui couraient depuis plusieurs mois et que le président russe ne cessait de démentir. Depuis, l’ex-Première dame s’est remariée en 2015 avec l’homme d’affaires Artur Ocheretny. Et Vladimir Poutine a également retrouvé le grand amour.

    C’est désormais la gymnaste Alina Kabaeva, de 30 ans sa cadette, qui fait battre le cœur du président russe. Une nouvelle relation qui n’a jamais été officialisée et dont seraient nés trois ou quatre enfants : des jumelles de 7 ans et deux garçons.

    Vladimir Poutine met sa famille à l’abri

    Le 24 février 2022, Vladimir Poutine décide d’envahir l’Ukraine. Une déclaration de guerre qui a pris de court l’Europe et forcé des milliers d’Ukrainiens à quitter leurs proches et leur pays, dont les points stratégiques sont bombardés par les forces armées russes. Mais si Vladimir Poutine n’a aucun scrupule à séparer des familles et les pousser à l’exode, en tant que chef de guerre averti, ce dernier a quant à lui assuré ses arrières et pris grand soin de mettre ses proches à l’abri.

    C’est à des milliers de kilomètres de la Russie que celui qui serait le père d’une fille illégitime a envoyé sa compagne et leurs enfants. En Suisse, plus exactement :

    Pendant que Poutine mène son assaut contre l’Ukraine, attaquant des citoyens innocents et provoquant une crise de réfugiés, sa famille est enfermée dans un chalet très privé et très sécurisé quelque part en Suisse – pour l’instant, du moins.

    StarMag


    2 commentaires