• Charente-Maritime : Il tire au fusil vers la tête de son fils, les gendarmes découvrent un arsenal chez lui

    De l’aveu même des gendarmes, « un drame a été évité de justesse » la semaine dernière à Jonzac (Charente-Maritime). Un père de famille a failli commettre l’irréparable en ouvrant le feu sur son fils.

    Un jeune homme de 18 ans a alerté les gendarmes après s’être réfugié dans sa chambre, au sein du domicile familial situé à Jonzac en Haute-Saintonge, la semaine dernière. Armé d’un fusil et ivre, son père venait de tirer en direction de sa tête, relatent les gendarmes sur Facebook. Par chance, il n’a pas été touché.

    Mais l’homme qui se trouvait au rez-de-chaussée l’empêchait de sortir. Alors que les gendarmes affluaient vers le lieu des faits, le jeune homme est parvenu à s’enfuir à travers champs tout en gardant le contact téléphonique avec eux. Il a ainsi pu être récupéré et mis en sécurité.

    De nombreuses armes et leurs munitions saisies

    Voyant les militaires du Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) de Jonzac se déployer autour de son domicile, le père de famille s’est rendu sans opposer de résistance. Il a été interpellé et placé en garde à vue pour « violences volontaires avec arme ».

    Une perquisition de l’habitation a été menée dans la foulée. Outre le fusil utilisé contre le jeune homme, les gendarmes ont découvert et saisi des carabines, des armes de poing, des armes blanches, un arc avec ses flèches, ainsi que des munitions. Le tout détenu illégalement.

     

    Le mis en cause devra répondre de ses actes devant le tribunal correctionnel de Saintes au mois d’août prochain.

    ACTU 17


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  • « La vieille reine est jalouse » : Emmanuel Macron craignait-il Édouard Philippe ?

    Alors que l'entourage d'Edouard Philippe avance que des conflits irréconciliables avec Emmanuel Macron auraient précipité son éviction, pour d'autres, cela serait également le résultat d'un égo froissé par la popularité d'un Premier ministre qui commençait à briller plus que Jupiter. C'est en tout cas ce qu'affirme une source bien informée à Valeurs actuelles ce jeudi 9 juillet.

    La crise sanitaire aura eu raison du couple exécutif. Sous tension, Emmanuel Macron et Edouard Philippe auront multiplié les cafouillages et les désaccords. Une période difficile qui motivera le Premier ministre à quitter définitivement le gouvernement pour retrouver sa mairie du Havre. Derrière cette version semi-officielle, tant elle circule dans les couloirs de l'Elysée, se cacherait pourtant une toute autre vérité, celle d'un président jaloux de son Premier ministre, comme le note une source à Valeurs actuelles ce jeudi 9 juillet.

    Le 27 avril dernier, le chef de l'Etat décroche son téléphone et révèle aux journalistes qu'il désapprouve les décisions d'Edouard Philippe sur le plan de déconfinement. Un comportement surprenant qui s'expliquerait d'après un industriel de premier plan, proche des cercles de pouvoir, par la personnalité même du président. "Vous avez lu Blanche-Neige ? La vieille reine est jalouse…", ironise-t-il. Un trait de caractère méconnu et pourtant, déjà souligné à plusieurs reprises par des collaborateurs d'Emmanuel Macron.

    "Jaloux comme personne"

    Le 24 avril dernier, un cadre de la République en Marche expliquait ainsi à nos confrères de L'Obs que le président serait "jaloux comme personne de sa liberté d'action et de manoeuvre"et de préciser qu'il aurait déclaré en petit comité : "À la fin, c'est moi qui décide". Alors qu'Edouard Philippe, plus populaire que jamais, commençait à lui faire de l'ombre, une forme de rivalité se serait installée entre eux. Au point qu'Emmanuel Macron, bien que ne souhaitant pas de faire de son Premier ministre un martyre, n'aurait eu d'autre choix que de procéder à un remaniement pour garder un peu de lumière. L'amour dure trois ans...

    GALA


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  • Le nouveau ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a jugé mercredi que « ?l'islam politique? » était un « ?ennemi mortel pour la République? », appelant à lutter « ?contre toute forme de communautarisme? », sans cependant tomber dans les caricatures. « ?Oui l'islam politique est un ennemi mortel pour la République, oui il faut combattre toute forme de communautarisme? », a déclaré le nouveau locataire de la place Beauvau, au Sénat, lors de la séance des questions au gouvernement.

     

    Gérald Darmanin qui, à la tête du ministère de l'Intérieur, gère aussi les cultes a cependant mis en garde la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio, (LR, Val-d'Oise) qui l'interrogeait : « ?La laïcité n'est pas la négation de [la] liberté des cultes.? » Gérald Darmanin, dont la nomination à l'Intérieur fait l'objet de virulentes critiques en raison d'une enquête pour viol qui le vise, a mis en avant son parcours personnel et son héritage familial, en se disant « ?très fier de l'assimilation française? ».

    « Lutter de toutes nos forces contre l'islamisme politique »

    « ?Mon grand-père priait Allah et portait l'uniforme de la République [?] Oui à des Français, quelle que soit leur couleur de peau et quelle que soit leur religion? », a-t-il souligné, avant de rappeler que son deuxième prénom était « ?Moussa? ». Dès son premier discours lors de la passation des pouvoirs organisée mardi place Beauvau, Gérald Darmanin s'en était déjà pris à l'islam politique. « ?Nous devons être intraitables avec ce que le président de la République a qualifié de séparatisme? » et « ?lutter de toutes nos forces contre l'islamisme politique qui attaque la République? », avait-il déclaré

    Le Point

    Wikipédia : 

    Famille et vie privée

    Gérald Moussa Darmanin naît le 11 octobre 1982 à Valenciennes (Nord).

    Il est le fils de Gérard Darmanin, tenancier de bar à Valenciennes, et d'Annie Ouakid, femme de ménage ou concierge à la Banque de France. Son grand-père paternel est un Juif maltais. Son grand-père maternel, Moussa Ouakid, né en 1907 dans le douar d'Ouled Ghalia (aujourd'hui dans la commune de Khemis El Khechna) en Algérie, a été tirailleur algérien, résistant dans les FFI en 1944 et harki.

    Gérald Darmanin est divorcé et sans enfant.


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  • Pour tous les potes qui ont souffert de ce putain de virus, pour tous les soignants. Amitiés ! Renaud

     

    Ce mercredi 8 juillet 2020, Renaud a sorti une toute nouvelle chanson intitulé "Corona Song". En hommage aux soignants et aux victimes du coronavirus, le titre donc le clip a déjà été dévoilé, est loin de faire l'unanimité. Découvrez pourquoi...

     

    Sept mois après la sortie de son dernier album intitulé "Les Mômes et les Enfants d'abord', Renaud signe son grand retour ! Ses fans les plus fidèles ont en effet pu découvrir, ce mercredi 8 juillet sur sa chaîne YouTube, son tout nouveau titre. Cette nouvelle chanson inattendue, nommée "Corona Song" a été composée par Renaud en personne, sur la musique de Thierry Geoffroy.

    Dans cette nouvelle chanson, le célèbre chanteur français de 68 ans évoque ouvertement la crise sanitaire du coronavirus et est, comme l'indique la description du clip, un réel hommage au personnel soignant et aux victimes:  "Pour tous les potes qui ont souffert de ce putain de virus, pour tous les soignants, amitiés !" peut-on lire.

    Pour le clip vidéo qui a entièrement été tourné à l'iPhone, Renaud se met en scène entouré de musiciens, près de L’Isle-sur-la-Sorgue, où il réside. Une ambiance plutôt country pour dénoncer le virus qui a fait des milliers de morts à travers le monde en seulement quelques mois. Dès les premières notes, l'artiste accuse le coup et s'en prend à la Chine : "T'as débarqué un jour de Chine, retournes-y qu'on t'y confine. Dans ce pays, on bouffe du chien, des chauves-souris et du pangolin" avant de crier : "Coronavirus, connard de virus" durant tout le refrain.

    Une nouvelle chanson mal accueillie

    Dans le reste de la chanson, Renaud défend le professeur Raoult et ses idéologies controversées : "Quand je pense au brave Dr. Raoult conchié par des confrères jaloux, par des pontes, des sommités qui ont les boules de perdre du blé..." mais attaque aussi Donald Trump et sa "connerie" avant de dénoncer ce "monde plein de voyous qui voient le mal un peu partout" et de tacler le gouvernement : "ces salauds ont fermé tous les bistrots".

    Un franc-parler qui cette fois, semble avoir bien du mal à passer auprès de ses fans : "Renaud et Corona song : il faut savoir séparer l'homme et l'oeuvre de sa bouteille.", "Ce genre de naufrage...", "Il devrait tout arrêter tant ses chansons et sa voix sont pitoyables",  "Mais c'est quoi cette horreur, il n'y a rien qui va", "Un seul mot me vient à l'esprit : pourquoi ?", "On dirait une parodie" peut-on par exemple lire sur Twitter...

    Non Stop People

    Perso, Je la trouve bien sa chanson ! Je ne comprends pas les critiques !


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  • Pas facile à suivre !


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  • Eure : Après Jon le lion, quatre lionnes en mauvaise santé ont été récupérées par une association

    MALTRAITANCE - Les quatre femelles ont finalement été confiées à une structure de défense des animaux, One Voice, celle-là même qui avait alerté les autorités sur la situation du mâle, en juin

    Quatre lionnes ont été saisies dans un cirque sur ordre de la préfecture de l’Eure en raison de mauvais traitements, ce mardi, rapporte France Bleu Normandie. C’est dans ce même cirque qu’un autre lion avait été récupéré dans un état de santé déplorable, début juin.

    Une plainte déposée par la préfecture

    Dans chacun de ces deux cas, c’est l’association de défense des animaux One Voice qui a alerté les autorités sur la situation préoccupante des lions. Dans un communiqué, la structure qui milite pour l’interdiction des animaux sauvages dans les spectacles évoque l’état dans lequel les quatre lionnes ont été récupérées ce mardi. « Boiteries, plaies, fonte musculaire, perte de motricité postérieure… Les lionnes présentent une note d’état corporel de 2 sur 5, au mieux de 2,5 sur 5 », relate-t-elle.

    Confiées à l’association, Hannah, Patty, Céleste et Marli vont désormais retrouver Jon, le lion précédemment récupéré, dans un refuge de Tonga Terre d’Accueil, dans le département de la Loire. La préfecture de l’Eure a également déposé une plainte contre le cirque pour mauvais traitement envers ses animaux. Ce même établissement est déjà dans le viseur de la justice depuis 2018 pour des faits d’actes de cruauté, de mauvais traitements, de placement dans des conditions pouvant occasionner des souffrances et d’exploitation irrégulière.

    20 Minutes


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  • Que dirait-il maintenant ?


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR  - 08 07 2020


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  • Ah la menteuse, quel gouvernement, la honte !


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  • Dans la même nuit, trois femmes ont été agressées par un individu armé d’un couteau à Bordeaux (Gironde). Les policiers sont parvenus à l’identifier et à l’interpeller. Il a été incarcéré.

    Les policiers de Bordeaux ont eu du fil à retordre dans la nuit du 28 au 29 juin dernier. Tout a débuté en milieu de soirée, alors qu’une jeune femme qui regagnait son domicile a été abordée par un inconnu menaçant, relate Sud Ouest. L’homme l’a suivie jusque devant sa porte, sur le cours Médoc près des quais. Elle est parvenue à le mettre en fuite avant qu’il ne lui fasse quoi que ce soit.

    Quelques heures plus tard, une jeune femme de 24 ans, originaire de Talence, se trouvait dans sa voiture lorsqu’elle a été violemment agressée. Elle venait de quitter son domicile du cours du Médoc avant de monter dans son véhicule. En raison de la chaleur, l’étudiante a abaissé sa vitre, quand soudain un homme a surgi en brandissant un couteau.

    Neuf coups de lame

    La jeune femme a été tailladée à neuf reprises au niveau du cou, du visage et de l’abdomen. Grièvement blessée, ses hurlements ont alerté une riveraine qui a appelé la police. Une patrouille est rapidement intervenue et les équipages du secteur se sont mis à la recherche du suspect. La victime a été prise en charge par les secours.

    Vers 3h30, des habitants de la rue Rivière, qui venaient d’entendre des cris de détresse, ont donné l’alerte à leur tour. Les requérants sont venus en aide à une jeune femme de 28 ans qui venait d’être agressée. Elle rentrait chez elle à pied dans ce quartier habituellement calme, lorsqu’un inconnu s’était mis à la suivre. L’homme s’était rapproché d’elle, et avait tenté de la violer en la menaçant avec un couteau. Elle ne doit son salut qu’à l’intervention des habitants, réveillés par ses cris.

     

    Un jeune homme vêtu de sombre, correspondant à la description fournie par les victimes et des témoins, a été aperçu par les policiers, une heure plus tard, alors qu’il déambulait sur un trottoir non loin de là. Contrôlé, il était porteur d’un couteau et a invectivé les fonctionnaires. Ce ressortissant libyen de 20 ans a été interpellé et placé en garde à vue.

    Il s’évade alors qu’il est soigné à l’hôpital

    Dès le lundi matin, les enquêteurs de la brigade départementale de protection de la famille (BDPF), en charge de cette affaire, ont fait un rapprochement entre ces trois agressions survenues dans le même secteur. En outre, une victime avait précisé que son agresseur était blessé à une main. Une information capitale, car le suspect en garde à vue présentait une plaie qui pourrait correspondre.

    Ce dernier a été hospitalisé au CHU dans l’après-midi pour soigner sa main. À l’hôpital, il a profité d’un moment d’inattention du personnel pour s’enfuir par une fenêtre. Immédiatement, les policiers présents à proximité ont donné l’alerte qui a été diffusée aux patrouilles ainsi qu’à Kéolis, l’exploitant des transports en commun. Le fuyard avait été vu en train de monter dans le tramway en direction du centre-ville.

    Les équipages de police ont convergé sur le secteur à sa recherche et le tramway a été bloqué à Gaviniès. C’est là que le suspect a été de nouveau interpellé et placé en garde à vue. Lors de ses auditions, il aurait nié les faits commis durant la nuit précédente. Toutefois, ses empreintes digitales ont été relevées sur l’une des scènes de crime.

    30 jours d’ITT pour une victime

    « En situation irrégulière sur le territoire français » le suspect « était formellement identifié par les victimes et des témoins », a indiqué le parquet, relate 20 Minutes. Il n’avait jamais eu affaire à la police ou à la justice jusqu’ici. Le jeune homme vivait, semble-t-il, dans un squat. L’étudiante de Talence, blessée à coups de couteau, s’est vu délivrer 30 jours d’Incapacité totale de travail (ITT).

    Ce mardi, le parquet a confirmé l’ouverture d’une information judiciaire pour « tentative de viol par une personne en état d’ivresse manifeste, tentative de viol avec violence, tentative de meurtre, violences volontaires par une personne en état d’ivresse manifeste et violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique ». Le ressortissant libyen a été mis en examen et placé en détention provisoire.

    ACTU 17

    Pourquoi on ne l'expulse pas ?


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  • L'autopsie pratiquée sur le corps de Bruno a révélé qu'il est bien mort des suites d'une strangulation.

    Le cadavre de cet homme de 45 ans a été découvert dans la nuit de samedi à dimanche dans sa cellule du centre pénitentiaire de Bois-d'Arcy. « Cet homme est mort par asphyxie, précise le procureur de Versailles, Maryvonne Caillibotte. Mais on ne sait pas encore pour l'heure s'il a été étranglé ou s'il s'est pendu. De nouvelles fouilles vont être entreprises dans sa cellule pour tenter de mettre la main sur une corde ou tout autre objet qui lui aurait permis de se donner la mort ».

    Des expertises psychiatriques qui se contredisent

    Il est 3 heures du matin dans le quartier des primo-arrivants de la prison. Le codétenu de Bruno active l'interphone et appelle les surveillant au secours. Les gardiens ouvrent la porte de sa cellule et découvrent à l'intérieur le corps de la victime qui gît inanimé, entre les deux lits de la pièce. Sa tête baigne dans une mare de sang. Les gestes de premier secours sont inutiles car Bruno est déjà décédé.

    Le quadragénaire avait été incarcéré vendredi dans l'attente de son procès pour violence conjugale. Ce mari violent avait été arrêté dans la nuit de mercredi à jeudi, à Conflans-Sainte-Honorine, alors qu'il rodait, malgré une interdiction de s'approcher d'elle, devant le domicile de son ex-compagne. Inquiète, cette dernière avait d'ailleurs fait usage du téléphone femme en grand danger dont elle était équipée.

    Cet homme était déjà très connu de la justice, plusieurs experts psychiatres avaient jugé qu'il souffrait de maladie mentale. Mais la dernière expertise, menée lors de sa garde à vue, faisait de lui un homme sain d'esprit. Devant cette contradiction, il avait été ordonné qu'un nouveau psychiatre donne son avis avant de le juger.

    La version du codétenu ne tient plus

    La seule personne présente au moment des faits, son codétenu de 32 ans raconte que la victime s'était plainte de maux de tête durant la soirée. Il serait tombé deux fois de son lit, la dernière chute sur la tête se révélant fatale. Mais cette version vient de perdre toute sa crédibilité.

    Ce demandeur d'asile afghan a déjà été condamné à deux reprises pour violence depuis son arrivée en France, en 2012. Il était venu dans l'Hexagone pour échapper, avait-il dit, « à des problèmes avec les Américains » dans son pays. Il attend encore son jugement après avoir blessé la semaine dernière un autre homme dans un foyer de travailleurs migrants de Carrières-sous-Poissy. Dans les jours qui viennent les enquêteurs de la sûreté départementale vont réentendre le seul témoin et le parquet décidera de la suite à donner à cette affaire.

    Le Parisien


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  • Un important réseau de trafiquants de cigarettes a été démantelé. Les enquêteurs ont saisi 200 000 euros en espèces et des cartouches de cigarettes d’une valeur marchande de près de 2 millions d’euros.

    Un coup d’arrêt a été porté à une équipe de malfaiteurs qui se livraient à un trafic international de cigarettes. Ce réseau « fournissait des cigarettes authentiques et contrefaites importées principalement par transport routier de Pologne et d’Ukraine, à plusieurs grossistes qui alimentaient ensuite de nombreux réseaux de vendeurs à la sauvette sur l’ensemble de la région parisienne », a précisé la procureure de Nanterre Catherine Denis dans un communiqué, ce mercredi.

    Douze suspects ont été mis en examen dans ce dossier. Dix d’entre eux ont été placés en détention provisoire. Ils sont de nationalités arménienne, biélorusse, ukrainienne et pakistanaise, et résident tous dans la région parisienne.

    De nombreux points de vente approvisionnés

    Le parquet précise que les trafiquants fournissaient des points de vente situés notamment dans les quartiers parisiens de Châtillon-Montrouge, Barbès, Gare du Nord, la Goutte d’Or, Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), Sarcelles (Val-d’Oise), Pantin (Seine-Saint-Denis), Corbeil-Essonnes (Essonne) et Porte de Montreuil.

    « Les premières estimations de l’activité de ce trafic, dont les importations paraissent s’être accélérées après le confinement, permettent d’évaluer à plusieurs dizaines de millions d’euros les bénéfices réalisés par ce réseau de trafiquants », indique la procureure.

    Près de 2 millions d’euros de cigarettes saisies

    L’information judiciaire dans le cadre de laquelle ces individus sont poursuivis a été ouverte le 21 novembre 2019. Elle vise les chefs d’« importation, détention, transport en bande organisée de tabac manufacturé, détention, importation de marchandise contrefaite, blanchiment en bande organisée, aide à l’entrée, au séjour irrégulier d’un étranger en France en bande organisée et participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un délit puni de 10 ans d’emprisonnement ».

    Les enquêteurs ont interpellé les suspects le 25 mai et le 29 juin derniers. Environ 33 000 cartouches de cigarettes, d’une valeur marchande approximative de 2 millions d’euros, et près de 200 000 euros en espèces ont été saisis.

    ACTU 17


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  • Le coup de gueule de Brigitte Bardot au micro d'André Bercoff


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  • Bien renseignée, une équipe de malfaiteurs a pris d’assaut un poids lourd sur l’autoroute A1, qui transportait un onéreux chargement de produits Apple.

    Un chauffeur routier a été quitte pour une belle frayeur, ce lundi vers 4h30, alors qu’il venait des Pays-Bas et arrivait en Seine-et-Marne. Il se trouvait sur l’autoroute A1 à hauteur de Saint-Witz (Val-d’Oise) et empruntait la bretelle de sortie pour rejoindre la zone industrielle de Moussy-le-Neuf (Seine-et-Marne) lorsqu’il s’est fait attaquer.

    Profitant de son arrêt à un panneau « stop », près d’une dizaine de malfaiteurs encagoulés ont surgi de nulle part et ont pris d’assaut sa cabine, relate Le Parisien. Le chauffeur, qui devait rejoindre la plateforme Darty située tout près de là, s’est enfermé à l’intérieur mais les assaillants ont brisé ses vitres à coups de masses.

     

    Il a été contraint de se soumettre aux malfaiteurs qui l’ont fait s’allonger sur sa couchette. L’un d’entre eux s’est mis au volant du poids lourd et le convoi a pris la route. Il s’est arrêté à hauteur d’un champ, sur la commune de Mauregard située à proximité.

    Une vingtaine de palettes dérobées

    Le gang de voleurs a pillé le précieux chargement du camion. Une vingtaine de palettes composées de tablettes numériques, de smartphones et d’ordinateurs Apple ont été transférées dans deux camionnettes. Les malfaiteurs ont ensuite pris la fuite vers Lognes via la Francilienne.

     

    Les malfaiteurs n’ont pas commis de violences physiques sur le chauffeur routier. Le butin est estimé à plusieurs millions d’euros, mais l’affaire a connu un rebondissement inespéré, mardi vers 5 heures du matin. Des policiers de Villeparisis ont découvert une camionnette suspecte, stationnée dans la rue des Martyrs-de-Châteaubriant, à Mitry-Mory.

    La police judiciaire chargée de l’enquête

    Le véhicule reposait sur les jantes, ce qui n’a pas manqué d’intriguer les fonctionnaires. Ils ont constaté que son immatriculation était usurpée et ont découvert à l’intérieur une importante partie du butin volé la veille. Il avait été visiblement abandonné par les malfaiteurs.

    Une enquête pour « association de malfaiteurs » et « vol en bande organisée » a été ouverte. Elle a été confiée à la police judiciaire de Meaux. Les suspects courent toujours et sont activement recherchés.

    ACTU 17


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  • En Mayenne, le nombre de cas a flambé ces derniers jours. Les médecins demandent à ce que la population soit mieux informer pour qu'elle se protège.

    Le relâchement des Français inquiète le monde médical. C'est particulièrement le cas en Mayenne. D'après les chiffres rendus publics mardi par l'Agence régionale de santé des Pays-de-la-Loire, le nombre de cas en Mayenne est passé en 4 jours de 145 cas testés positifs au Covid à 219, soit une hausse de 50%.

     

    En Mayenne, le virus circule beaucoup plus vite que dans n'importe quel autre département de la région: le nombre de cas positifs pour 100.000 habitants est de 6,74 dans le département contre 0,85 en moyenne dans la région. 

    Des données qui se confirment sur le terrain. En une semaine, le nombre d'appels reçus chaque jour pour suspicion de cas de Covid, dans les cabinets du département a doublé, passant de 50 à un peu plus de 100. 

    "Je fais moins attention qu'au début"

    Des cas ont été signalés dans un abattoir, dans un Ephad, dans un centre d'hébergement, dans une école. Un médecin, notamment, s'inquiète: le médecin généraliste Luc Duquesnel. Qui trouve particulièrement inquiétant le relâchement de la population, et le non-respect des gestes barrières. Lui, qui dépiste chaque jour de nouveaux cas.

    Au Pôle santé de la ville de Mayenne, dans le cabinet du Dr. Duquesnel, les consultations pour suspicion de Covid-19 sont en augmentation depuis une semaine. Des patients qui présentent souvent les mêmes symptomes s'y présentent. Et comme Marine, 27 ans, ils reconnaissent s'être un peu relâchés ces dernières semaines.

    "Je fais moins attention qu'au début. Le masque, je ne le mets pas tous les jours. Il n'y a plus de confinement donc tout le monde se dit que c'est terminé, qu'il n'y a plus besoin de faire attention, mais en fait, si." 

    "Si les Français ne sont pas informés qu'il y a des risques, pourquoi se protéger?"

    Mais au delà des comportements individuels, c'est surtout les manques d'information et de règles claires qui inquiète le généraliste.

    "Comme les autorités ont peur de communiquer sur la circulation du virus dans les départements car ce ne serait pas bon pour l'économie, pour le tourisme, on a l'impression que le virus n'est plus là.

    Si les Français ne sont pas informés qu'il y a des risques, pourquoi se protéger? Les autorités doivent informer la population qui est tout à fait capable de comprendre et d'appliquer des règles."

    Et la plus urgente de ces règles à rétablir selon lui. L'obligation de porter un masque dans tous les commerces et supermarchés. 

    RMC

    https://actu17.fr/coronavirus-un-plan-de-reconfinement-cible-est-pret-en-cas-de-seconde-vague-affirme-jean-castex/


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