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  • Nouveaux bilans, nouvelles mesures, faits marquants : un point sur les dernières évolutions de la pandémie de Covid-19 en France et dans le monde.

    La situation en France

    En France, les stades de football, privés de match officiel depuis mars, retrouvent du public ce week-end, avec des rencontres amicales, un maximum de 5.000 spectateurs et un protocole sanitaire strict. Le pays a franchi vendredi le cap des 30.000 décès liés au Covid-19, avec 25 nouveaux décès enregistrés en 24 heures dans les hôpitaux, a annoncé la Direction générale de la Santé (DGS). Cette annonce intervient alors que l'agence sanitaire Santé publique France a relevé une «nouvelle tendance à l'augmentation de la circulation du virus SARS-CoV-2» en France métropolitaine et que les autorités ont appelé vendredi à «la vigilance» face au risque d'une deuxième vague de l'épidémie.

    La baisse du nombre de malades atteints d'une forme grave en réanimation se poursuit, passant sous la barre des 500, à 496 (-16 en 24 heures), précise la DGS dans un communiqué. Au total, 7.062 personnes sont hospitalisées pour une infection au Covid-19, avec 136 nouvelles admissions enregistrées en 24 heures.

    Quatre régions accueillent 70% des patients hospitalisés en réanimation: l'Ile-de-France, le Grand-Est, les Hauts-de-France et la Guyane. En Outre-Mer (Guadeloupe, Guyane, La Réunion, Martinique et Mayotte), on relève 215 hospitalisations, dont 40 en réanimation (une de moins que la veille). Le bilan dans les établissements sociaux et médico-sociaux (Ehpad), arrêté actuellement à 10.476 morts, sera actualisé le 15 juillet.

    L'OMS enquête en Chine

    Un épidémiologiste et un spécialiste de la santé animale de l'Organisation mondiale de la santé se rendent ce week-end en Chine pour une mission exploratoire visant à déterminer l'origine du nouveau coronavirus.

    Dans une déclaration inhabituellement positive à l'égard de l'OMS, les Etats-Unis ont salué cette enquête comme «une étape nécessaire pour avoir une compréhension complète et transparente de la manière dont ce virus s'est répandu dans le monde».

    Le point dans le monde

    La pandémie a fait au moins 556.140 morts dans le monde, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources officielles vendredi à 19h00 GMT. Plus de 12.361.580 cas d'infection ont été diagnostiqués dans 196 pays et territoires.

    Les Etats-Unis sont le pays le plus touché, avec 133.969 décès. Suivent le Brésil avec 70.398 morts, le Royaume-Uni (44.650), l'Italie (34.938) et le Mexique (33.526).

    Paris Match


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  • Un jeune surfeur tué par un requin en Australie

     

    Illustration

    C'est la deuxième attaque mortelle en moins d'une semaine, dans ce pays où les attaques de squales sont parmi les plus fréquentes du monde.

    Un surfeur de 17 ans est mort après avoir été attaqué par un requin au large d'une plage de la côte est en Australie, a annoncé la police ce samedi.

    L'adolescent surfait à Wooli Beach, à 630 kilomètres au nord de Sydney, lorsqu'il a été mordu à la jambe par le squale.

    "Plusieurs surfeurs se sont portés à son secours avant que le jeune homme ne soit ramené sur le rivage", a précisé la police de l'Etat de Nouvelle-Galles du Sud. Le jeune surfeur a succombé à ses blessures sur place, en dépit des tentatives de réanimation.

    Cinquième attaque fatale de l'année

    Il s'agit de la cinquième attaque mortelle de requin en Australie depuis le début de l'année, après la mort d'un homme de 36 ans, survenue il y a une semaine alors qu'il pêchait au harpon à Fraser Island, une île touristique située à 400 kilomètres au nord de Brisbane.

    L'Australie est l'un des pays où les attaques de squales sont les plus fréquentes mais elles sont rarement mortelles.

     

    BFM.TV

    *Foutons la paix aux requins, ils sont chez eux dans la mer !


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  • A Paris, une manifestation féministe contre le «gouvernement de la honte»

    A  coup de slogans choc, un millier de personnes ont dénoncé le remaniement ministériel ce vendredi devant l’Hôtel de ville. Dans leur ligne de mire : Gérald Darmanin, accusé de viol et Éric Dupond-Moretti, opposé au mouvement #MeToo.

    Les coups de pinceaux sont précis et efficaces sur le mur de l’Hôtel de ville de Paris. Les jeunes femmes ont l’habitude de coller des slogans, écrits sur des feuilles A4, dans toute la ville. En quelques minutes, le bâtiment arbore deux des messages les plus repris par les manifestantes ce vendredi : «Un violeur à l’Intérieur, un complice à la Justice» et «Gouvernement de la honte». Dès 18 heures, à l’appel du collectif Nous Toutes, plus d’un millier de manifestantes se sont retrouvées sur le parvis de l’hôtel de ville. Lou, membre de l’association altermondialiste Attac, aide à porter deux imposants corbeaux noirs en carton. «Ce sont nos oiseaux de mauvais augure, explique la militante. Pendant la réforme des retraites, ils représentaient BlackRock, pour les Césars, c’était Polanski Ce soir, on peut y lire «Darmanin» et «Dupond-Moretti», du nom des nouveaux ministres de l’Intérieur et de la Justice.

     

    Sophie Patterson-Spatz a déposé une plainte pour viol en 2017 contre le premier. La procédure, d’abord classée sans suite, a été relancée par la cour d’appel de Paris en juin. Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, n’a lui jamais caché son désaccord avec le mouvement #MeToo et avait déclaré, en 2018 : «Que siffler une femme, ça devienne une infraction pénale, c’est ahurissant.» Dès le lendemain de leurs nominations, mardi, une vingtaine de militantes avaient manifesté devant le ministère de l’Intérieur. Ce vendredi soir, leurs effectifs ont gonflé.

    «Liberté, égalité, impunité» ou «La culture du viol est en marche» : voilà ce qu’on peut lire parmi la marée de pancartes brandies à bout de bras par les manifestantes parisiennes. Sous l’une d’elles, Camille, 22 ans et l’air déterminé, dénonce ces nominations : «C’est un crachat à la gueule de toutes les femmes.» La jeune fille, comme beaucoup d’autres ce soir-là, fait partie des colleuses de slogans féministes dans les rues. «Ministère du viol», «remaniement sexiste - riposte féministe» : depuis le changement de gouvernement, elles ont renouvelé leurs messages.

    «Je pensais que c’était le Gorafi»

    Lorsqu’elles ont appris la nomination de Gérald Darmanin au ministère de l’Intérieur, beaucoup des manifestantes ont été choquées. Certaines ont même cru à une blague. «Je pensais que c’était le Gorafi», confie Julie, venue avec des amies. «Les nommer à ces postes n’est pas anodin et montre qu’il y a un vrai problème en France.» À côté d’elle, Marine, du comité Nous Toutes, a l’impression que les féministes sont «punies» pour leur forte mobilisation depuis le mouvement #MeToo. La jeune fille voit la nomination de Gérald Darmanin comme «un manque de respect envers toutes les victimes qui ont peur de parler. Parler ne détruit pas des vies comme on voudrait nous faire croire. L’impunité est là».

    Alix, 22 ans, a analysé l’ensemble du remaniement ministériel sous le prisme du féminisme, et pense que «rien ne va»«Le changement de poste de Marlène Schiappa, le fait qu’il y ait moins de femmes, certains propos de la nouvelle ministre de l’égalité (1), le ministre des outre-mer qui n’est même pas racisé», énumère-t-elle. Pour cette jeune féministe, «l’intersectionnalité» et «la convergence des luttes» sont indispensables. «Le féminisme d’aujourd’hui est beaucoup plus inclusif, il comprend les personnes LGBTQIA+, les personnes racisées, les travailleuses du sexe», confirme Julie, 26 ans.

    «On attend un respect systémique»

    Derrière les masques, les visages sont jeunes. «Les filles de mon âge ne laissent plus rien passer, se félicite Camille, 21 ans. La parole s’est libérée, même si ça demande beaucoup de courage.» A son côté, Nico, un panneau «Queer, meufs et racisé.e.s» à la main, résume : «L’idée est de montrer qu’il y a une convergence des luttes. Contrairement à nos parents, on n’attend pas juste des droits, on attend un respect systémique.» «J’espère qu’on est dans une nouvelle ère», souffle son amie.

    En attendant, rares sont celles à réellement espérer un départ des deux nouveaux ministres, malgré la mobilisation dans plusieurs villes françaises - Toulouse, Bordeaux, Lyon, Grenoble - vendredi. «Peut-être avec la pression internationale, quand on voit que des médias étrangers titrent sur un ministre français accusé de viol», tente Alix. Entre deux slogans scandés à tue-tête, Pauline, la jeune colleuse, prévient : «Ils n’ont pas fini de nous entendre crier.»

    Libération


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  • Un vaste dispositif de secours a été déployé ce vendredi à Sainte-Livrade-sur-Lot (Lot-et-Garonne), suite à un grave accident impliquant deux enfants.

    Les pompiers ont été avisés, ce vendredi peu avant midi, qu’un drame venait de se produire dans une résidence la rue du Docteur-Menaud, à Sainte-Livrade-sur-Lot près d’Agen. Deux sœurs âgées de 15 mois et 5 ans ont chuté de leur domicile situé au deuxième étage d’une maison de ville.

    « J’entendais des enfants jouer, puis j’ai entendu un choc important, et des enfants pleurer. […] Je suis sorti et j’ai vu les deux fillettes à terre, dans la rue » a déclaré un riverain auprès de Sud Ouest.

     

    « La plus jeune, un bébé, était allongée sur sa grande sœur. Elle bougeait. La plus grande avait le visage au sol, elle pleurait », d’après un autre témoignage recueilli par La Dépêche.

    Les deux victimes gravement blessées

    Une équipe du SMUR et les pompiers sont intervenus et ont pris en charge l’enfant de 5 ans, en urgence absolue. Elle a été héliportée vers le centre hospitalier Pellegrin à Bordeaux. Sa petite sœur a été hospitalisée avec elle.

     

    Les gendarmes se sont rendus sur place à leur tour et ont débuté une enquête pour comprendre avec précision ce qui s’est déroulé.

    « La maman était partie au marché avec son fils, un peu plus grand. Le papa était au travail apparemment. Les fillettes étaient seules à l’intérieur de la maison, et auraient basculé par la fenêtre, restée ouverte », a déclaré un autre témoin.

    La mère de famille serait revenue rapidement après cet accident domestique qui a laissé sous le choc les témoins. Les investigations se poursuivent.

    ACTU 17


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  • Mort de Younes, 2 ans, à Mennecy : le beau-père écope de 20 ans de réclusion pour infanticide

    Younes, un petit garçon de deux ans et demi, est mort du syndrome du « bébé secoué » en 2017. Son beau-père et sa mère ont été condamnés suite à cet infanticide.

    Le procès concernant le décès de Younes Minguy, survenue en septembre 2017 alors qu’il était âgé de 2 ans et demi, s’est tenu cette semaine devant la cour d’assises de l’Essonne. Le beau-père et la mère de l’enfant décédé d’un traumatisme crânien ont été condamnés ce vendredi, relate Le Parisien.

    Williams, 26 ans, a été jugé coupable de « violences habituelles sur mineur de 15 ans ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Il a été condamné à une peine de 20 ans de réclusion criminelle.

    Son ex-compagne Melissa, mère de l’enfant, a écopé de 3 ans de prison ferme et d’un an avec sursis pour avoir commis des violences volontaires – des gifles et des fessées – sur le petit Younes. À l’issue de l’audience, elle a pu ressortir libre car elle venait de passer trois ans derrière les barreaux en détention provisoire.

    De graves sévices qui ont conduit à la mort de l’enfant

    L’affaire a débuté le 28 septembre 2017, lorsque les secours ont été appelés à intervenir dans un appartement au 3ème étage d’un immeuble de Mennecy (Essonne). Le petit garçon de 2 ans et demi était en arrêt cardio-respiratoire. Une fois son état stabilisé, il avait été transporté à l’hôpital Necker à Paris.

     

    Son beau-père, Williams, avait affirmé que l’enfant était tombé sur la tête en voulant quitter son lit parapluie. Younes est finalement mort quelques jours plus tard, le 1er octobre. L’autopsie a conclu à un décès causé par un traumatisme crânien et plusieurs hémorragies internes, caractéristiques du syndrome du « bébé secoué ».

    L’enquête a mis en lumière les nombreuses maltraitances subies par le petit garçon. Avant de mourir, il avait enduré pendant plusieurs mois des morsures, des coups et des brûlures provoquées par un shocker électrique. À l’audience, Williams a évoqué un « jeu », sans aucune remise en question.

    « De la cruauté », a répliqué l’avocate générale, qui a requis 30 ans de réclusion contre le beau-père, soulignant aussi la responsabilité de la mère de Younes, accusée d’avoir « laissé son enfant se faire violenter ». Des réquisitions qui ont sans doute pesé sur la sanction infligée au principal accusé.

     

    ACTU 17


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  • La Chine a annoncé ce vendredi 10 juillet avoir découvert des traces de coronavirus sur des emballages de crevettes en provenance d’Équateur, dans un contexte d’inquiétude envers les importations de produits surgelés.

     

    Des échantillons prélevés sur un conteneur et des paquets de crevettes blanches du Pacifique venu d’Équateur ont été testés positifs au coronavirus dans les ports chinois de Dalian (nord-est) et Xiamen (est), a annoncé l’Administration des Douanes chinoises, ce vendredi 10 juillet.

    Des prélèvements effectués à l’intérieur même des paquets et sur les crevettes proprement dites se sont en revanche avérés négatifs, a précisé devant la presse un porte-parole des Douanes, Bi Kexin.

    La Chine s’inquiète pour la sécurité des produits alimentaires depuis la découverte le mois dernier d’un foyer épidémique dans un gigantesque marché de gros du sud de Pékin. Des traces de virus y ont été isolées sur une planche à découper du saumon d’importation.

    La Chine bloque les importations de plusieurs producteurs étrangers

    Bi Kexin a précisé que les Douanes avaient depuis testé plus de 220 000 échantillons prélevés sur des produits alimentaires et leurs emballages mais qu’aucun autre produit ne s’était avéré positif.

    La présence du virus sur les paquets de crevettes ne signifie pas forcément que cet aliment est contagieux, a-t-il souligné.

    Pékin a par ailleurs bloqué les importations de plusieurs producteurs étrangers touchés par le nouveau coronavirus, notamment le volailler américain Tyson Foods et les abattoirs allemands Tönnies.

    L’Équateur est l’un des pays les plus touchés d’Amérique latine par la pandémie, avec plus de 62 000 cas de Covid-19, dont près de 5 000 décès. Les autorités font également état de plus de 3 000 décès probablement dus au nouveau coronavirus, mais non confirmés faute de tests.

    Ouest-France


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  • L'Obs :

    Tout juste nommés à l'Intérieur (Gérald Darmanin), à la Justice (Eric Dupond-Moretti) et à la Culture (Roselyne Bachelot), les ministres ont eu droit à un rafraîchissement de mémoire. Journalistes, observateurs de la vie politique, militants et associatifs ont diffusé et partagé en masse des vidéos d'archives embarrassantes sur Twitter, leur rappelant leurs propos antiféministe, antirépublicain, ainsi que leur opposition ferme à rejoindre un éventuel gouvernement.


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  • "Le baccalauréat était moribond ; le virus l'a achevé ; il ne représente plus rien"

    Bruno Gollnisch
     
    @brunogollnisch
     
    Le #baccalaureat était moribond ; le virus l’a achevé : il ne représente plus rien. C’est un crime que de précipiter des centaines de milliers de jeunes gens dans des filières universitaires inadéquates au lieu de les préparer à des métiers plus accessibles et plus utiles...

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  • Sujets abordés : le nouveau gouvernement Castex (Dupond-Moretti, Bachelot, Darmanin), les meurtres odieux de la gendarme et du chauffeur de bus de Bayonne, la mutualisation de la dette des pays européens voulue par l'Allemagne.


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  • L'islamiste enragé Erdogan transforme la basilique Sainte-Sophie de Constantinople en mosquée

    La décision, prise par Erdogan et validée par son Conseil d’État fantoche, de faire de la basilique Sainte-Sophie de Constantinople une mosquée est une provocation, un message de leadership adressé au monde islamique et un affront à la civilisation européenne et chrétienne.

    Sainte Sophie est certes, depuis 1934, un musée après avoir, hélas, été déjà transformée en mosquée au XVe siècle de notre ère.

    Mais la puissance du souvenir de ce que fut le grand empire byzantin et la force de son rayonnement continuent d'en faire un symbole lumineux de notre Histoire missionnée, du destin de notre continent, et de la spiritualité vraie.

    L'Europe d'aujourd'hui, celle de tous les abandons et de l'apostasie, s'aplatira une fois de plus devant le diktat du nouveau sultan.

    Celle de demain — que construiront les forces nationales tôt ou tard — aura sa revanche.

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

    Blog politique de Thomas JOLY


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - SAMEDI 11 07 2020


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  • Les assassins du chauffeur de Bayonne se prénomment Mohamed, Mohamed, Moussa et Selim !

    Pour écouter Christine Tasin :

    https://resistancerepublicaine.com/2020/07/10/les-assassins-du-chauffeur-de-bayonne-se-prenomment-mohamed-mohamed-moussa-et-selim/

    Des français, oui mais des français musulmans d'origine étrangère !


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  • LIEN de l'article pour voir son affreuse robe verte :

    https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/quelque-chose-le-nouveau-single-de-carla-bruni/ar-BB16zzhi?ocid=msedgntp

     

    Je n'ai pas compris ce qu'était cette chose !


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  • Les poursuites pénales pour usages de stupéfiants ne seront plus automatiques à la rentrée. L'amende forfaitaire déjà expérimentée dans plusieurs juridictions va être généralisée.

    Dès la rentrée, l’amende forfaitaire pour usage de stupéfiants va être généralisée, rapporte Le Point. Conséquence de cette généralisation : les consommateurs de cannabis ne seront plus systématiquement poursuivis. Une mesure qui vise à alléger la charge de travail des forces de l'ordre et à désengorger les tribunaux. Ainsi, à l'image des amendes pour stationnement gênant, des délits de conduite sans permis ou défaut d'assurance, une amende forfaitaire délictuelle (AFD) est désormais fixée. Son montant : 200 euros. Elle pourra être minorée à 150 euros en cas de paiement dans les 15 jours ou majorée à 450 euros en cas de retard, indique une note du ministère de l'Intérieur du 8 juillet.

    Ainsi, un procès-verbal sera dressé si la personne interpellée ne détient pas plus de 10 grammes de cocaïne et 100 grammes de cannabis. Au-delà, des poursuites judiciaires seront engagées. Le consommateur devra néanmoins "reconnaître les faits, confirmer la nature du produit appréhendé et accepter la confiscation et la destruction des stupéfiants et accessoires saisis".

    La direction de la sécurité publique précise également que "l'établissement de l'AFD doit se faire sur place. À titre exceptionnel, la procédure peut se faire au service pour des considérations d'ordre public, par exemple liées à la protection des agents (toutefois, ce retour au service d'enquête exclut tout recours à la contrainte)". La note du ministère, relayée, par Le Point, invite les forces de l'ordre à notifier son procès-verbal électronique au commissariat, à condition que la personne verbalisée veuille bien s'y rendre.

    Cette amende forfaitaire est déjà expérimentée depuis le mois de juin dans plusieurs juridictions : Rennes (Bretagne), Reims (Marne), Créteil (Val-de-Marne) et Boissy-Saint-Léger (Val-de-Marne). Elle devrait également être testée à partir de juillet, à Lille et Marseille. À Reims par exemple, depuis le 16 juin, les consommateurs majeurs détenant moins de 20 grammes de cannabis sont désormais seulement verbalisés. Au-delà de cette quantité, des poursuites pénales ou des mesures alternatives restent en vigueur, précise France Bleu Champagne-Ardenne.

    Capital


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  • Video : Najwa El Haïte, cambriolée en direct sur Sud Radio !

    Une adjointe au maire d’Évry-Courcouronnes, Najwa El Haïté, a été victime d’un cambriolage alors qu’elle se trouvait dans son appartement à Paris, en direct sur Sud Radio. L’auteur des faits a pris la fuite avec plusieurs biens lui appartenant

    L’émission de Sud Radio était diffusée en direct ce vendredi matin, notamment sur Facebook, en vidéo. Elle a pris une tournure peu croyable. Animé par la journaliste Valérie Expert, le débat était consacré à l’augmentation des violences en France, lorsque l’une des intervenantes, Najwa El Haïté, qui se trouvait dans son appartement du VIIIe arrondissement de Paris, a été agressée par un cambrioleur qui a fracturé sa porte.

    Adjointe au maire (PS) d’Évry-Courcouronnes, en charge de l’attractivité du territoire et des relations internationales, la victime s’est mise à crier en direct. « Hey ! Hey ! », la jeune femme s’écarte, alors que l’image bouge dans tous les sens. Le cambrioleur vient en fait de lui dérober son ordinateur portable dont elle se servait pour l’émission.

    « On parlait de racaille et bien il y a une racaille qui est entrée chez moi ! »

    Quelques minutes plus tard, Najwa El Haïté est contactée par téléphone, toujours en direct dans le programme qui a été interrompu. La jeune docteure en droit public encore essoufflée raconte ce qui vient de se produire : « Je suis vraiment désolée mais il m’est arrivée un truc de dingue. Un jeune que j’ai vu a défoncé ma porte, qui était fermée, à coups de marteau et de pieds. Cela a été d’une violence inouïe, il m’a volé mon portable, il m’a volé mon sac. On parlait de racaille et bien il y a une racaille qui est entrée chez moi ! ».

    « Mais comment c’est possible Najwa ? », lance Valérie Expert. « C’est hallucinant. Je peux vous dire que ma porte était bien fermée, d’ailleurs, à clef. J’entendais de manière intempestive quelqu’un qui sonnait, sonnait, sonnait. Et je me suis dit ‘bon j’attends personne donc je ne vais pas ouvrir’ et en plus j’étais en direct dans votre émission », raconte l’élue.

    « Je vois un colosse rentrer chez moi, voler mon ordinateur »

    « Et là, j’entends des coups de marteau et des coups de pieds mais d’une violence inouïe, et là je vois un colosse rentrer chez moi, voler mon ordinateur et vous avez pu le constater, ça a été brutal et il a fermé l’ordinateur. Et il m’a volé mon sac, ça s’est fait en une fraction de secondes quoi. Donc quand on dit qu’en France il y a des racailles, il y a bien des racailles et là je peux vous le dire », insiste-t-elle.

    « Je suis remontée, J’attends la police avec impatience. Parce que ce monsieur je vais le reconnaître, j’ai bien regardé son visage », termine l’élue.

    La jeune femme reçoit alors le soutien des autres participants de l’émission. L’auteur des faits a pris la fuite et n’a pas été interpellé pour l’heure précise une source policière. L’homme a emporté le sac à main de l’élue ainsi que son ordinateur, avant de disparaître.

    « Très choquée par l’agression dont a été victime @najwaelhaite ce matin en direct pendant mon émission », a réagi Valérie Expert sur Twitter un peu plus tard, en ajoutant le hashtag « sentiment d’impunité totale ».

    Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat du VIIIe arrondissement de Paris.

    ACTU 17


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  • Un suspect bien connu des services de police a été interpellé peu après avant d’être placé en garde à vue.

    Un homme âgé de 46 ans, handicapé et en fauteuil roulant, sortait de la boulangerie La Mie câline située rue Saint-Aubin, à Angers (Maine-et-Loire), ce mercredi vers 11 heures, lorsqu’il a été victime d’un voleur. Ce dernier s’est d’abord approché pour lui proposer son aide raconte Ouest-France.

    Il s’agissait en fait d’une technique pour mettre en confiance sa victime. Celui qui venait de se faire passer pour un bon samaritain a alors arraché la sacoche du quadragénaire, avant de partir en courant. A l’intérieur, 65 euros se trouvait dans son portefeuille dérobé.

    En situation irrégulière en France

    La victime a immédiatement déposé plainte au commissariat. Les premières investigations ont permis d’identifier un suspect de 19 ans, déjà connu de la police dans le cadre d’une affaire d’agression sexuelle. L’homme a été interpellé trois heures plus tard avant d’être placé en garde à vue.

    Ce dernier est en situation irrégulière en France et a déjà fait l’objet de deux obligations de quitter le territoire français (OQTF). Le mis en cause a été déféré au parquet et doit être jugé en comparution immédiate ce vendredi pour vol sur personne vulnérable.

    ACTU 17

    En Suisse, quand une personne est expulsée, on la met dans un avion pour son pays d'origine !

    En France, c'est vraiment n'importe quoi !


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