• Un jeune homme était jugé par la cour d’assises du Loiret, ce jeudi, pour le meurtre d’un trentenaire commis dans des circonstances très particulières.

    Devant la cour, l’accusé âgé de 23 ans n’a pas pu trouver les mots pour expliquer les raisons qui l’ont poussé à tuer un homme en 2018, tout en se filmant. Ce jeudi, la cour d’assises du Loiret a condamné le jeune homme au terme de deux jours d’audience, relate La République du Centre.

    Le 19 avril 2018, l’accusé se trouvait dans un appartement, situé au premier étage d’un immeuble de Bonny-sur-Loire (Loiret), avec un homme de 38 ans et sa compagne. D’après les explications du jeune homme, peu après 4 heures du matin, une altercation aurait éclaté sur fond d’alcool avec le trentenaire, car la compagne de ce dernier avait échangé un baiser avec lui.

    Il chante « Bella ciao » devant le corps de la victime

    Les coups avaient succédé aux paroles et le jeune homme s’était déchaîné sur sa victime jusqu’à sa mort. Puis il s’était filmé devant cet homme qui gisait au sol avec le visage en sang, d’abord en hurlant de colère, puis hilare et chantant « Bella ciao ». La vidéo diffusée à l’audience atteste de cette scène surréaliste, que l’accusé s’est interdit de regarder.

    Au moment du drame, c’est lui-même qui avait alerté les secours et leur avait déclaré « Je l’ai éclaté. Je l’ai mis en sang. Je lui ai tout pété ! », indique Le Parisien. Lors de son interpellation, il présentait une alcoolémie de 1,30 g/l dans le sang et sa victime 3,07 g/l.

     

    Par ailleurs seule témoin de ce crime, la compagne du trentenaire est décédée en mai dernier. Alors que l’avocate générale avait requis 12 ans de réclusion criminelle contre lui, le jeune homme a été condamné à 11 ans de prison.

    ACTU 17

    Avec les remises de peine, il ne les fera pas en entier !

    A quand un référendum pour remettre la peine de mort ?


    5 commentaires
  • Un cambriolage d’opportunité a viré à l’abject lorsque la victime âgée s’est rebellée. Le malfrat l’a frappée et lui a maculé la tête avec ses excréments.

    Les faits jugés ce jeudi au tribunal correctionnel de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), particulièrement sordides, remontent au 29 mai dernier et se sont produits au Croisic.

    Cet après-midi là, lorsqu’il a vu la fenêtre d’une maison ouverte, le prévenu de 53 ans a décidé de la cambrioler, rapporte France Bleu. Sans difficulté, il a pénétré dans cette habitation appartenant à un octogénaire et s’est emparé de vêtements, d’un téléphone et de trois couteaux.

    Le cambrioleur revient sur les lieux du vol

    L’homme a pris la fuite avec autant de facilité qu’il était parvenu à entrer. Il est ensuite revenu sur le lieu de son méfait car il avait oublié ses chaussures. Entre-temps, l’habitant avait alerté les gendarmes.

    Lorsque son cambrioleur s’est présenté de nouveau chez lui, l’ancien responsable de cinéma au Croisic n’a pas eu froid aux yeux. Il a tenté de le bloquer avec son déambulateur et lui a attrapé le bras. Son calvaire allait débuter.

    Il menace les policiers au cri de « Allah Akbar »

    Le quinquagénaire a fait chuter l’homme de 85 ans et l’a frappé à de nombreuses reprises à la tête, notamment. À l’audience, le prévenu a contesté les violences, sans toutefois convaincre les magistrats. La scène a pris une tournure infâme lorsque le voleur a déféqué sur la victime, toujours au sol, et qu’il a étalé ses excréments sur sa tête.

    L’octogénaire « n’a dû son salut qu’à l’arrivée de la police municipale », a déclaré son avocat, Me Frignat, relate le quotidien. Ceux-ci ont été accueillis par une salve d’injures et des menaces de mort. « Allah Akbar, je vais revenir avec une voiture, tout défoncer, faire un carnage », avait lancé l’agresseur aux policiers.

    Déjà condamné 19 fois, dont une fois pour assassinat

    À l’audience, à laquelle l’octogénaire n’était pas présent en raison du traumatisme subi, le ministère public dénoncé le « comportement odieux » du prévenu. Celui-ci, avec déjà 19 condamnations au compteur dont une pour assassinat, s’est alors bouché les oreilles.

    Le tribunal l’a condamné à 24 mois de prison dont 6 mois avec sursis et mise à l’épreuve durant deux ans. Il a été maintenu en détention et s’est vu notifier une interdiction de s’approcher de la victime, ainsi que de se rendre au Croisic lorsqu’il sera libéré.

    ACTU 17

    Quelle belle justice on a en France ! La honte !

    ça plairait à Moretti qui ne veut pas trop de monde dans les prisons !


    3 commentaires
  • Le procès d’un septuagénaire et de deux cambrioleurs s’est tenu ce jeudi. Tous les trois ont été condamnés par la justice.

    Le tribunal correctionnel de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) a statué ce jeudi sur des faits plutôt singuliers commis en septembre 2018, sur la commune d’Yvignac-la-Tour, près de Dinan (Côtes-d’Armor). Ce jour-là, trois jeunes avaient tenté de cambrioler une maison, profitant de l’absence de son propriétaire qui se trouvait à l’étranger, rapporte France Bleu.

    Les voleurs avaient brisé le carreau d’une fenêtre de cette longère servant d’entrepôt d’objets, avant de constater que des pièges explosifs avaient été placés un peu partout. Contre toute attente, les trois cambrioleurs avaient alerté les gendarmes.

    La maison piégée de toutes parts

    Sur place, les militaires avaient constaté la présence de dispositifs explosifs installés aux fenêtres et aux portes. Ils avaient alors fait appel aux démineurs pour désamorcer les pièges tendus avec des morceaux de ficelle. Les spécialistes avaient œuvré sans incident, et le matériel, composé de grenades lacrymogènes, de canons avertisseurs, de cartouches et de Gomm-cogne, avait été saisi.

    Quelques jours plus tard, la procureure de la République de Saint-Brieuc avait pris la décision d’engager des poursuites judiciaires contre le propriétaire des lieux pour « mise en danger de la vie d’autrui » ainsi que « détention d’un dépôt d’armes et de munitions »

    Certains explosifs auraient pu tuer un intrus

    C’est ainsi que le retraité, conservateur de musée à l’étranger, et deux des trois cambrioleurs se sont retrouvés au tribunal ce jeudi. À la barre, le septuagénaire, ancien militaire et garde du corps, a assuré avoir « un trop grand sens de la vie pour penser à tuer des gens ».

    Il a ajouté que cette maison, héritée de son père, n’a ni eau courante ni électricité. Par conséquent, il ne pouvait « pas mettre d’alarme » alors qu’il y entreposait des objets personnels.

    L’homme à la carrure massive a toutefois reconnu avoir été négligent. D’autant que d’après des expertises effectuées sur les engins explosifs récupérés, certains auraient pu tuer n’importe quel intrus. Le voisinage était au courant que la maison était piégée. Les trois jeunes aussi, et ils auraient tenté le cambriolage par défi.

    Des objets volés dans la maison

    D’ailleurs, quelques jours après leur première expédition permettant le retrait des pièges, ils étaient retournés sur place pour y dérober des montres, un revolver et de l’argent. Les deux prévenus qui comparaissaient pour ces vols ont été condamnés à deux et trois mois de prison avec sursis.

    Le propriétaire des lieux a, quant à lui, écopé d’une amende de 2 000 euros avec sursis et d’une interdiction de détenir des armes de catégories A et B durant trois ans.

    ACTU 17

    Du sursis, un encouragement pour ces jeunes à recommencer !


    4 commentaires
  • Indonésie : Soupçonné d’abus sexuels sur plus de 300 mineurs, un retraité français arrêté

    Un Français soupçonné d’actes pédophiles a été arrêté à Jakarta (Indonésie). Il encourt une lourde peine de prison mais peut-être aussi la peine capitale, selon la qualification des faits qui sera retenue.

    Les autorités indonésiennes ont annoncé ce jeudi l’arrestation d’un retraité français de 65 ans, menée fin juin à Jakarta, la capitale du pays. Il est soupçonné d’avoir abusé sexuellement de plus de 300 mineurs. Les policiers ont découvert qu’il avait monté un véritable studio photo dans sa chambre d’hôtel.

    François Camille Abello., originaire de la région parisienne, « attirait les mineurs en leur offrant de travailler comme modèles », a indiqué le chef de la police de Jakarta, Nana Sudjana, lors d’une conférence de presse, relate Sud Ouest.

    « Ceux qui acceptaient des rapports sexuels étaient payés entre 250 000 et un million de roupies (entre 10 et 60 euros, ndlr). Et ceux qui refusaient étaient battus par le suspect », a précisé le haut-gradé

    Des photos et vidéos de plus de 300 mineurs

    La police a indiqué avoir saisi sur son ordinateur portable des photos et des vidéos de plus de 300 mineurs, âgés de 10 à 17 ans. Les enquêteurs le soupçonnent d’avoir lui-même filmé ses actes sexuels.

    Le Français se trouvait sur le territoire indonésien avec un visa de touriste et s’y est rendu à plusieurs reprises au cours des cinq dernières années. Désormais entre les mains de la justice, le retraité risque une lourde peine de prison.

    Il s’expose également à la peine de mort, d’après la police, s’il est condamné pour une série d’accusations tombant sous le coup de la loi indonésienne sur la protection des enfants. Il a pu faire d’autres victimes qui n’ont pas encore été recensées, ont indiqué les autorités.

    Chaque année en Indonésie, environ 70 000 enfants sont victimes de tels crimes, d’après le réseau ECPAT International qui lutte contre l’exploitation sexuelle des mineurs. Le mois dernier, Russ Medlin, un Américain en cavale après une vaste escroquerie à la cryptomonnaie, a été interpellé à Jakarta à la suite d’accusations d’agressions sexuelles sur mineurs.

    ACTU 17

    Le retraité français soupçonné d’abus sexuels sur plus de 300 mineurs s’est suicidé en prison.


    2 commentaires
  • Deux adolescents ont été interpellés en flagrant délit à Tarbes (Hautes-Pyrénées) : ils venaient d’arracher très violemment le sac à main d’une femme de 70 ans en pleine rue.

    Les policiers ont été alertés vers 19 heures ce mardi soir. Une femme âgée de 70 ans venait d’être traînée au sol pour son sac à main sur le boulevard du Martinet. Les deux agresseurs étaient en fuite. Des témoins sont toutefois parvenus à donner une description précise de ces derniers, aux policiers.

    Dans le même temps, la victime qui était blessée et présentait une plaie saignante au niveau de la tête, a été prise en charge par les sapeurs-pompiers, puis conduite à l’hôpital de Bigorre à Tarbes. Ses jours ne sont pas en danger mais la sexagénaire était sous le choc.

    Les policiers retrouvent les agresseurs

    Les forces de l’ordre ont alors fait une patrouille dans le secteur, à la recherche des voleurs. Ils ont alors aperçu peu après deux jeunes qui correspondaient à la description donnée par les témoins : un jeune garçon et une jeune fille portant un maillot de football du FC Barcelone.

    Ces derniers ont fait l’objet d’un contrôle d’identité et les vérifications ont vite montré qu’ils étaient les deux agresseurs présumés, un témoin les ayant reconnus. Le jeune homme a avoué les faits et a expliqué qu’il avait abandonné le sac de la victime dans le cimetière, après avoir récupéré l’argent qui se trouvait à l’intérieur.

     

    Âgés respectivement de 15 et 14 ans, ils ont été placés en garde à vue. Les forces de l’ordre ont également retrouvé le sac à main.

    Ils écopent d’une composition pénale

    Les mis en cause qui sont domiciliés au foyer départemental de l’enfance, ont écopé d’une mesure de composition pénale à l’issue de leur garde à vue, avant d’être remis en liberté.

    Il s’agit d’une procédure qui permet au procureur de proposer à une personne qui a commis certaines infractions, une ou plusieurs sanctions pour mettre un terme aux poursuites. Parmi les sanctions possibles, qui dépendent de l’âge des coupables : un stage, une formation, une interdiction de se rendre dans certains lieux, ou encore un travail non rémunéré d’une durée maximale de 60 heures.

    ACTU 17

    Donc, quand on est mineur, on peut tout se permettre !


    2 commentaires
  • Vingt-cinq urgentistes du CHU de Toulouse ont annoncé jeudi dans un courrier qu'ils allaient démissionner en bloc de leur fonction, excédés par le manque de moyens pour les services d'urgence.

    "Exercer ce métier difficile, dans des conditions épouvantables et indignes pour les patients : c'est non. (...) C'est pourquoi nous choisissons de quitter nos fonctions dans une institution où la seule de nos revendications, celle de la sécurité de nos patients, est traitée avec le plus grand mépris", ont-ils écrit à l'ARS et à la direction du CHU.

     "Nous allons envoyer les lettres (de démission) lundi", a précisé Julie Oudet, membre de ce groupe. La tourmente passée, ils exigent le maintien des "quelques moyens" débloqués pour faire face à la crise sanitaire. "La direction du CHU de Toulouse a décidé de suspendre la totalité de ces moyens, nous contraignant à travailler dans la peur. Nous refusons désormais d'exercer au quotidien dans la peur, faute de moyens pour travailler correctement", dénoncent les médecins.

    "On est tous fatigués, inflammables, désabusés"

    "Ah ils étaient bruyants les applaudissements, tous les soirs à 20 heures. Elles étaient larmoyantes, les déclarations comme quoi nous faisions un travail formidable...", ironisent-ils, dans la lettre diffusée jeudi par le journal Libération. Les urgentistes toulousains rappellent qu'ils s'étaient déjà mobilisés en 2019 pour réclamer "plus de médecins régulateurs au Samu et plus d'équipes Smur", en estimant que le bassin démographique toulousain était "le moins bien doté de France".

    "On se voit mal revenir à la situation de pénurie d'avant Covid, on est tous, à différents niveaux, à bout. On est tous fatigués, inflammables, désabusés", confie l'un des 25 signataires, qui préfère rester anonyme. Il avertit que le mouvement pourrait s'étendre au-delà des "25 premiers signataires" de la lettre du 1er juillet. Les médecins démissionnaires ont été reçus par la direction du CHU, qui est restée "inflexible". "On a l'impression qu'ils essaient de noyer le poisson de manière systématique", dit-il.

    D'après cet urgentiste en poste à Toulouse depuis une dizaine d'années, les opportunités professionnelles sont nombreuses. "On n'a pas de soucis à se faire, des hôpitaux périphériques cherchent des profils comme les nôtres, on peut aussi travailler comme généralistes, il en manque. Ce n'est pas de gaieté de coeur, mais on ira chercher du travail ailleurs". Au total, 90 médecins urgentistes travaillent au CHU de Toulouse.

    L'Express


    4 commentaires
  • L'Obs : Tout juste nommé ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti a participé à la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, le 8 juillet. Pour sa première intervention, il a répondu au député LR Antoine Savignat, qui l'a notamment interrogé sur la contradiction apparente entre ses déclarations passées en tant qu'avocat et son nouveau rôle de garde des Sceaux. Sa prise de parole a été accompagnée à la fois par des applaudissements et du chahut.


    2 commentaires
  • Nantes : Trois policiers sauvent un homme en le menottant au pont de Cheviré

    Les fonctionnaires de police ont enjambé le parapet et réussi à menotter le quadragénaire au pont pour éviter qu’il saute dans le vide

    Un sauvetage spectaculaire. Trois policiers ont réussi à sauver un homme qui menaçait de se jeter du pont de Cheviré, mardi, vers 21 h 35, à Nantes. A leur arrivée, l’individu, âgé de 41 ans, était penché dans le vide et se tenait les bras en croix, rapporte la police.

     

    Les trois policiers ont alors enjambé le parapet et saisi l’individu par le col, les épaules, les bras pour le ramener brusquement en arrière sans qu’il n’ait le temps de chercher à se dérober.

    Menotté au pont pour l’empêcher de basculer dans le vide

    Ils ont ensuite tenté de saisir le quadragénaire par les aisselles pour le faire basculer du côté sécurisé du parapet. En vain. N’arrivant pas à le faire basculer du côté sécurisé du pont, l’individu se débattant violemment, les policiers ont eu le réflexe de menotter le quadragénaire au pont pour l’empêcher de basculer dans le vide.

    Sauvé, le quadragénaire a été pris en charge par les pompiers. Sa compagne, qui venait de se présenter au commissariat pour signaler la disparition, a été avisée.

    20 Minutes


    3 commentaires
  • Un loup a été abattu début juillet dans les Hautes-Alpes par des lieutenants de louveterie dans le cadre du plan national d'actions sur l'animal et les activités d'élevage, a annoncé jeudi la préfecture du département.

    Un "tir de défense renforcé"

    Ce "tir de défense renforcé", qui a conduit au "prélèvement d'un spécimen" le 5 juillet au col du Lautaret, sur la commune de Monêtier-les-Bains, avait été réclamé deux jours plus tôt par des éleveurs.

    Ils "avaient aperçu à plusieurs reprises des loups à proximité de leur troupeau, dont plusieurs en action de chasse repoussés par les patous", selon la même source.

    La dépouille de l'animal a été restituée aux agents de l'Office français de la biodiversité, comme le veut la règlementation.

    "Ce tir est légal, mais est-il normal?"

    Le tir, qui a été filmé et diffusé, a suscité la colère de défenseurs des animaux. L'Association de protection des animaux sauvages (ASPAS) dénonce un loup "présumé coupable", tué alors qu'il s'éloignait du troupeau, et avant qu'il n'ait attaqué. "Ce tir est légal, mais est-il normal?" écrit l'association.

    "Si la préfète des Hautes-Alpes comprend l’émotion suscitée par la mort d’un animal sauvage, elle rappelle que le tir a été opéré dans le plus strict respect des lois et réglementations destinées à préserver le meilleur équilibre possible entre la protection du loup et la sauvegarde du pastoralisme", explique le communiqué de la préfecture.

    Les lieutenants de louveterie ont porté plainte après avoir fait l'objet "d'insultes diverses et de menaces de mort", indique la préfecture dans son communiqué.

     

    BFM.TV


    4 commentaires
  • "J'ai crié, il n'y avait personne": oubliée 17 heures au parloir, une femme enceinte raconte son calvaire

    Comme chaque semaine, Mabéré est allée rendre visite dimanche dernier à son conjoint, incarcéré à la prison de Liancourt, dans l'Oise. Mais la dernière entrevue de cette femme de 43 ans à son compagnon ne s'est pas passée comme à l'ordinaire.

     

    Lorsque la visite se termine, son compagnon est emmené comme d'habitude en dehors du parloir en premier. Mais personne ne revient ensuite ouvrir à Mabéré. Il est alors 17 heures, et c'est un cauchemar qui commence pour cette habitante d'Aulnay-sous-Bois, enceinte de huit mois et demi.

    "J'ai vu qu'il n'y avait personne, j'ai commencé et j'ai continué à taper. Il n'y avait personne", assure Mabéré. "J'ai crié, il n'y avait personne. J'ai sonné, fatiguée. Il n'y avait personne."

    Elle sonne, hurle, frappe aux portes. En vain. Elle craint pour son bébé. Impossible pour elle d'utiliser son téléphone, resté dans son casier, comme l'exige le règlement. Seule, lumière coupée, clim à fond et sans personne pour lui ouvrir, Mabéré, frigorifiée, tente alors de s'occuper comme elle peut.

    "Je me suis couchée sur la table, mais elle était dure, j'avais mal partout", raconte-t-elle. "Je me suis assise dans la chaise, puis je me suis levée et j'ai commencé à me balader parce qu'il n'y avait pas d'autre chose à faire."

    Un avis de recherche lancé par la police

    Ne voyant pas sa mère revenir à la maison, sa fille Massita, 20 ans, donne l'alerte. La jeune femme, inquiète, appelle le centre pénitentiaire et se voit confirmer que sa mère a bien quitté les lieux.

    "Ils leur ont dit que je n'étais pas là, qu'on était sortis à 17 heures", explique la femme enceinte. "Pourtant, j'étais là. Pourtant, il y avait ma pièce d'identité avec eux, mes papiers. Il y avait mon sac complet dans le casier."

    Malgré l'appel des enfants de Mabéré, personne ne vient vérifier que la maman n'est pas restée dans le parloir après la visite.

    Pensant qu'elle avait peut être accouché, Massita décroche alors son téléphone et appelle les hôpitaux. Autour de 3 heures du matin, elle décide de se rendre au commissariat. Les fonctionnaires tentent alors d'appeler le centre pénitentiaire mais leurs appels restent sans réponse. Ils dressent enfin un avis de recherche pour retrouver Mabéré. Ce n'est que vers 10 heures, lundi matin - soit 17 heures plus tard - que Mabéré est finalement "libérée" par une femme qui passait dans le couloir, alertée par ses cris. Une chance pour Mabéré, alors qu'aucune visite au parloir n'était prévue le lundi.

    "On peut dire que c'est une séquestration"

    La femme enceinte sera finalement raccompagnée chez elle après s'être vu offrir un petit-déjeuner. Une maigre consolation. Ses proches, qui ont passé la nuit à appeler le commissariat et les hôpitaux alentours, se disent choqués et réclament des sanctions.

    "On peut dire que c'est une séquestration", déclare Massita, la fille de Mabéré, à BFM Paris. "Elle n'avait pas mangé depuis 13 heures, ça fait peur quand même. Je ne le souhaite à personne. Surtout que si c'est arrivé à ma mère, ça peut très bien se reproduire."

    La direction pénitentiaire n'a pas souhaité s'exprimer, mais a tout de même reconnu des manquements graves et un dysfonctionnement interne. Une enquête admnistrative a été ouverte.

    BFM.TV

    Déjà, il n'y a pas à être fière d'avoir son mari en prison !

    De plus, elle a une fille de 20 ans et elle est encore enceinte !

     


    3 commentaires
  • Corée du Sud : le maire de Séoul retrouvé mort après avoir été visé par une plainte pour harcèlement sexuel

    Le maire de Séoul, Park Won-Soon, a été retrouvé mort, dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 juillet, quelques heures après que sa fille a signalé sa disparition, a annoncé la police sud-coréenne. Le sexagénaire avait quitté son domicile après avoir annulé une réunion et laissé un message qui faisait penser à des "dernières paroles", selon les autorités, qui avaient lancé une importante opération de recherches nocturnes.

     

    Le corps du maire de la capitale sud-coréenne a été retrouvé dans le parc national du mont Bukhansan, situé dans le nord de la ville, près de l'endroit où son téléphone portable avait borné pour la dernière fois. Park Won-Soon avait été visé, mercredi, par une plainte d'un membre du personnel de la mairie pour harcèlement sexuel, selon des médias locaux.

    Figure emblématique du Parti démocrate (centre gauche) au pouvoir, Park Won-soon dirigeait depuis 2011 la gigantesque capitale de la Corée du Sud, qui compte environ dix millions d'habitants, soit presque un cinquième de la population du pays. Il était considéré comme un candidat potentiel pour succéder à l'actuel chef de l'Etat, Moon Jae-in, à l'occasion de l'élection présidentielle de 2022. Il n'avait pas démenti les ambitions qu'on lui prêtait à cet égard.

    franceinfo


    3 commentaires
  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJKOUR - VENDREDI 10 07 2020

     

    Bonne journée


    3 commentaires
  • Le nouveau ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti s'est félicité mardi des taux d'occupation «historiquement bas» à la prison de Fresnes (Val-de-Marne), choisie pour son premier déplacement, et a affirmé vouloir «poursuivre» sur cette voie.

    Dès l'arrivée de l'ancien avocat pénaliste, connu pour ses nombreux acquittements, des détenus ont crié «acquittator» et «viens nous défendre», a constaté une journaliste de l'AFP. Après une visite d'environ 45 minutes, Eric Dupond-Moretti s'est dit «préoccupé par la liberté, par les conditions de détention, par les conditions de travail du personnel pénitentiaire».

    «Témoin passif mais attentif» d'une rencontre entre prisonniers et personnels pénitentiaires, le garde des Sceaux les a entendus dire «la même chose: moins de détenus, un peu moins d'inconfort et de meilleures conditions de travail pour le personnel pénitentiaire». «C'est à méditer», a commenté le ministre lors d'une brève déclaration à la presse.

    La prison de Fresnes est l'une des plus vétustes de France et a été l'une des plus surpeuplées avant l'épidémie de Covid-19 qui a permis à de nombreux détenus d'être libérés par anticipation.

    Au 1er janvier, la densité carcérale était de 142%. La maison d'arrêt compte actuellement 1679 détenus pour 1603 places, soit un taux d'occupation de 115%. «Il y a évidemment des conditions de détention qui restent très difficiles. Tous ceux qui pensent que la prison c'est le trois étoiles se trompent complètement, et ils devraient se taire», a déclaré le ministre de la Justice. «On est dans des taux d'occupation ici qui sont historiquement bas et c'est sans doute le chemin qu'il faut poursuivre, en tout cas c'est ma conviction», a conclu Eric Dupond-Moretti.

    Placide

    Il aimerait moins de détenus, c'est l'avocat qui parle, il va faire le nécessaire !

    Il aimerait que la prison soit un hôtel de luxe !

    Les jeunes truands doivent être contents !


    3 commentaires
  •   Le chat du migrant tunisien mis en quarantaine pendant… 6 mois !

    En direct de l’AFP et repris par nos médias, voici l’information qui devrait nous faire oublier les dernières agressions exogènes (gendarmette écrasée, chauffeur de bus lynché etc.)

    LIEN de l'article :

    https://resistancerepublicaine.com/2020/07/09/le-chat-du-migrant-tunisien-mis-en-quarantaine-pendant-6-mois/


    3 commentaires
  • 60 millions de consommateurs alerte sur les dangers du jambon dit "sans nitrite"

    Le hors-série Manger sans s'empoisonner, de 60 millions de consommateurs pointe du doigt les techniques des industriels pour continuer à utiliser du nitrite de sodium dans le jambon, sans en faire mention sur les étiquettes. Explications.

    La guerre est déclarée ! Pour bien choisir son jambon, sans doute, savez-vous qu'il vaut mieux éviter le nitrite de sodium (E250). Cette particule, appréciée par les industriels notamment pour la couleur rosée qu’elle confère au jambon, a une sale réputation. Et pour cause, le nitrite, lorsqu’il se décompose dans de la viande, produit des composantes nocives, responsables de l’apparition et du développement de tumeurs. Comme avec l’huile de palme, de nombreux consommateurs, désireux de préserver leur santé, ont alors commencé à traquer cet additif. Résultat : les industriels s’adaptent, en proposant désormais des formules estampillées “sans nitrite”.

    L’histoire pourrait s’arrêter ici. Simplement, comme il est possible de dissimuler l’origine des cornichons, il est également facile de cacher la présence de nitrite dans le jambon. C’est en tout cas ce que révèle la dernière enquête de 60 millions de consommateurs, dans son hors-série Manger sans s'empoisonner. “Certains fabricants ont trouvé une astuce pour continuer à vendre des charcuteries nitrées sans que le consommateur s’en aperçoive. Le nitrite reste dans la recette… mais disparaît des étiquettes” écrit Guillaume Coudray, également auteur du livre Cochonneries: Comment la charcuterie est devenue un poison.

    Jambon sans nitrite : les industriels le remplacent… par du nitrite

    Si les compositions du jambon sont revues et que les additifs nitrés disparaissent de la liste des ingrédients, le jambon reste rose. Et pour cause, les industriels utilisent du nitrate d’origine végétale. Obtenu, notamment en faisant “pousser des légumes sous serre”, le magazine explique le subterfuge. “Il suffit alors de faire fermenter ce nitrate grâce à des bactéries : on obtient du nitrite”. Tout aussi dangereux pour la santé. C’est un fait : il reste difficile pour les industriels d’éliminer le nitrite des recettes. Grâce à son pouvoir antiseptique, “il permet d'employer une matière première de moindre qualité, il allonge la durée de conservation et peut autoriser des écarts d’hygiène lors de la fabrication, tout en évitant le botulisme”.

    En faisant usage de cet additif d’origine végétal, les marques réussissent donc à tromper le consommateur. Lui, pense acheter quelque chose de naturel, et donc sain, alors que ce n’est pas le cas. Et pire encore, les marques peuvent lui faire dépenser plus d’argent pour le même produit. Guillaume Coudray rappelle que “le consommateur est prêt à payer ces produits de 15 à 20 % plus cher”.

    Comment faire pour trouver de la charcuterie sans nitrite de sodium ?

    Quitte à dépenser plus, autant que ce soit pour des produits de qualité. Au supermarché, le consommateur peut vite être perdu. Herta, Fleury Michon, Madrange… Les marques et les saveurs n’en finissent plus de faire grossir les rayons. Pour se protéger, certains amateurs de charcuterie apprennent à décrypter les étiquettes et les différents labels. Seulement, cela peut prendre énormément de temps. Heureusement, le magazine 60 millions de consommateurs met en lumière les initiatives, lancées par deux marques de grande distribution. De quoi vous faire gagner du temps lorsque vous faites vos courses. Ainsi, si vous désirez acheter du jambon sans nitrite de sodium, et sans nitrate d’origine végétal, vous pouvez vous diriger vers : la gamme de jambon de couleur pâle de Fleury Michon, ne contenant aucun produit nitré ou vers le jambon gris de la marque Brocéliande.

    Enfin, il est bon de rappeler que depuis 2015, l’organisation mondiale de la santé (OMS) a classé la viande comme produit cancérogène. Des études sont d’ailleurs menées sur le sujet. Une étude publiée dans l’International Journal of Epidemiology révélait en 2019 que la viande, même consommée en petite quantité avait des effets directs sur l’apparition du cancer colorectal. Outre la santé, l’impact environnemental de la production de viande est également discuté. De nombreux spécialistes conseillent alors de ne pas manger de la viande tous les jours en adoptant un régime dit flexitarien. Tenté ? Découvrez toutes nos recettes pour vous inspirer.

    Femme Actuelle

    Prenez le temps de lire tout !

    Moralité : arrêtez de manger du jambon et diminuer la viande source de cancer !


    7 commentaires
  • Un policier s’est donné la mort ce mercredi soir.

    La police nationale est une nouvelle fois endeuillée par le suicide de l’un de ses membres. Un policier âgé d’une quarantaine d’années, affecté à la CRS 52 de Sancerre (Cher), a mis fin à ses jours en utilisant son arme de service ce mercredi soir, apprend-on de sources policières. Il était père de deux enfants.

    Il s’agirait du 21ème suicide dans la police nationale depuis le 1er janvier, alors que trois autres policiers se sont donné la mort en France durant ces 11 derniers jours. En 2019, ce sont 59 policiers qui ont décidé de s’ôter la vie selon les chiffres officiels.

     

    Une cellule de soutien psychologique disponible 24h/24 a été mise en place par le ministère de l’Intérieur pour les forces de l’ordre, elle est joignable au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

    ACTU 17


    2 commentaires
  • Six personnes ont été mises en examen et incarcérées dans un dossier de trafic de stupéfiants implanté en Alsace. La drogue aurait été fournie par un douanier qui était censé la détruire.

    L’affaire a débuté suite à une dénonciation par courrier anonyme reçu par les policiers du Groupe de lutte contre l’économie souterraine de la Sûreté départementale de Mulhouse (Haut-Rhin). Il comprenait des photos publiées sur les réseaux sociaux, sur lesquelles deux hommes d’une trentaine d’années posaient devant environ 30 kg de résine de cannabis.

    Une série d’interpellations a eu lieu. Les enquêteurs ont d’abord identifié ces deux habitants de Sainte-Croix-en-Plaine et Mulhouse, qui ont été arrêtés. Tout comme un complice, le grossiste présumé, localisé à Strasbourg, et deux autres suspects à Munster et Colmar.

    Une cache découverte en forêt

    Les investigations des policiers les ont menés jusqu’à un douanier, âgé d’une quarantaine d’années, révèle le quotidien Les Dernières Nouvelle d’Alsace. Le fonctionnaire, qui exerçait toujours dans le sud de la France, a été interpellé lundi et placé en garde à vue à Mulhouse. Il était en charge de la destruction des saisies de cannabis dans le cadre de son travail.

    Le fonctionnaire est soupçonné d’avoir fourni en produits stupéfiants le réseau, qui opérait à Strasbourg (Bas-Rhin), Mulhouse et Colmar. Outre de la résine de cannabis, de petites quantités de MDMA et de cocaïne ont été saisies, ainsi que de l’argent liquide.

     

    Les enquêteurs ont mis au jour une cache située dans une forêt près de Colmar. À l’intérieur s’y trouvait 14 kg de marchandise. Les six suspects ont été mis en examen à l’issue de leur garde à vue et placés en détention provisoire.

    ACTU 17


    2 commentaires