• Un deuxième test a confirmé la contamination de Jair Bolsonaro par le coronavirus

    « Je vais bien, Dieu merci ». Le président brésilien, Jair Bolsonaro, a annoncé, mercredi, avoir fait un deuxième test qui a confirmé sa contamination par le coronavirus. Il a réitéré sa confiance dans le traitement controversé à l’hydroxychloroquine.

     

    « J’ai fait un test hier dans la matinée et le soir le résultat a montré que j’étais toujours positif au coronavirus », a annoncé le chef d’Etat, dans une vidéo diffusée en direct sur son compte Facebook.

    Confiné au palais

    Confiné au sein du palais d’Alvorada, où il exerce depuis une semaine ses fonctions par visioconférence, suivant les recommandations médicales, Jair Bolsonaro a assuré qu’il ne présentait aucun symptôme.

    « Je ne recommande rien, je vous recommande d’aller voir votre médecin et de lui parler. Dans mon cas, un médecin militaire a recommandé l’hydroxychloroquine et cela a fonctionné », a-t-il ajouté, réaffirmant sa foi inébranlable dans ce médicament dont l’efficacité n’a pas été formellement prouvée.

    Impatient de retrouver sa liberté de mouvement

    Dans une note distincte, le secrétariat brésilien à la Communication a fait savoir que le chef de l’Etat resterait au palais d’Alvorada où il continuait de recevoir l’aide de l’équipe médicale de la présidence.

    Farouche détracteur jusqu’ici du confinement et ayant minimisé ces quatre derniers mois la gravité de la pandémie qui ébranle son pays, Jair Bolsonaro avait exprimé lundi son impatience de retrouver sa liberté de mouvement.

    Le Brésil est, derrière les Etats-Unis, au deuxième rang mondial en termes de nombre de cas de contamination (près de deux millions) et de morts (quelque 75.000) liés au Covid-19.

    20 Minutes


    1 commentaire
  • Indonésie. Elle recueille les chiens abandonnés pendant la pandémie de coronavirus

    Indonésie. Elle recueille les chiens abandonnés pendant la pandémie de coronavirus

    Susana Somali, médecin de formation, accueille dans son refuge de Djakarta les chiens abandonnés ou vendus à des boucheries par leurs propriétaires.

    Susana Somali et son équipe coupent des fils de plastique et libèrent des dizaines de chiens destinés à la boucherie après avoir été vendus ou abandonnés dans la capitale indonésienne pendant la pandémie de coronavirus.

    Cette femme, médecin de profession, a créé un vaste refuge à Djakarta (Indonésie) qui abrite quelque 1 400 chiens. Ces canins sont victimes des problèmes économiques de leurs propriétaires, souvent contraints à les abandonner ou les vendre pour leur viande, consommée par une partie de la population du pays d’Asie du Sud-Est.

    Sauver les animaux de la boucherie

    Susana Somali et son équipe parcourent les rues à la recherche de chiens errants et se précipitent dès qu’ils sont alertés de livraisons chez des bouchers.

     

    Ce médecin, qui le jour travaille dans un laboratoire hospitalier en charge de tests pour le Covid-19, a ouvert son refuge dans un quartier riche de la capitale indonésienne il y a une décennie.

    À cette époque elle ne sauvait qu’un ou deux chiens par semaine des boucheries. Mais ces derniers temps, ce sont plus de 20 chiens par semaine.

    La mère de deux enfants, âgée de 55 ans, doit souvent négocier avec des bouchers hostiles et leur offrir de l’argent ou de la viande d’autres animaux pour obtenir la libération des chiens.

    « La vraie bataille n’est pas de les sauver de chez le boucher, même si c’est toujours risqué. Le défi est de s’occuper de ces chiens pendant la pandémie », souligne-t-elle.

    Un nombre croissant d’animaux

    Susana Somali et son équipe d’une trentaine de personnes au Refuge pour animaux de Pejaten ont du mal à faire face au coût d’un nombre toujours croissance d’animaux au moment ou les dons se raréfient.

    Le refuge a besoin de quelque 29 000 dollars par mois, en comptant les salaires des employés et le coût d’une demi-tonne de viande chaque jour pour les chiens. On trouve de nombreuses races, des huskies, des pitbulls, ou des bergers allemands, dans le complexe de 54 000 mètres carrés.

    Susana Somali a ouvert ce refuge en 2009 et commencé à sauver des chiens de la boucherie après avoir vu une vidéo d’une chienne attendant des petits sur le point d’être abattue.

    « Quelqu’un a publié des images de ce chien qui pleurait sur les réseaux sociaux et j’ai vu des larmes dans ses yeux », se rappelle-t-elle. « C’est à ce moment que j’ai réalisé ce que faisaient les bouchers ».

    Ce mois-ci, le docteur et son équipe ont sauvé plusieurs dizaines de chiots destinés à un restaurant coréen, mais ils n’arrivent pas toujours à temps.

    Récemment, « j’ai tenté de me rendre dans un quartier, mais on m’a dit que le chien avait déjà été tué » chez un boucher. « C’était une minute trop tard ».

    Près d’un million de chiens tués chaque année

    Les associations de protection des animaux estiment que près d’un million de chiens sont tués chaque année en Indonésie. Et rien que dans la capitale Jakarta on dénombre au moins une centaine de restaurants qui proposent cette viande, selon des chiffres officiels. Le chien est une spécialité culinaire surtout appréciée des minorités non musulmanes.

    Les musulmans, qui forment quelque 90 % de la population, ont rarement des chiens comme animal de compagnie, puisque le chien est considéré comme impur par l’islam.

    Il n’a d’ailleurs pas toujours été facile pour Ria Rosalina, une musulmane employée par le refuge, de se justifier. « Beaucoup de gens m’ont demandé pourquoi je m’occupais de chiens alors que je porte le hidjab », le voile porté par une majorité des Indonésiennes musulmanes, explique-t-elle. « Mais je m’en moque. Je leur dis que les chiens ont été créés par Dieu, comme les humains ».

    Un trafic croissant

    Les trafiquants de viande sont aussi un problème croissant dans d’autres régions de l’archipel. « Les animaux sont devenus plus menacés. Les gens qui ont des bas revenus peuvent être tentés de vendre leurs animaux de compagnie », indique Katherine Polak, vétérinaire pour l’association Four Paws.

    Depuis plusieurs années, des militants demandent au gouvernement d’interdire la vente de viande de chien. « Mettre fin à la commercialisation de la viande de chien serait un rêve, mais tout commence avec un rêve », remarque Susana Somali qui veut « continuer à se battre ».

    Ouest-France

    Bravo à cette femme, il en faudrait davantage comme elle !


    2 commentaires
  • Espagne. Près de 100 000 visons positifs au coronavirus abattus

    Comme au Pays-Bas au début de l’épidémie de coronavirus, près de 100 000 visons vont être abattus dans la région espagnole de l’Aragon. 90 % des animaux de cet élevage ont été testés positifs au Covid-19.

     

    La région espagnole de l’Aragon (nord-est) a annoncé ce jeudi 16 juillet avoir ordonné l’abattage de près de 100 000 visons d’un élevage dans lequel près de 90 % des animaux ont été testés positifs au coronavirus.

    Sept employés testés positifs au Covid

    Nous parlons de l’abattage obligatoire de la totalité des animaux faisant partie de cette exploitation, soit un total de 92 700 spécimens de ces mammifères très convoités pour leur fourrure, a expliqué le responsable régional de l’élevage Joaquin Olona lors d’une conférence de presse.

    L’élevage, situé dans la localité de Puebla de Valverde, faisait l’objet depuis le 22 mai d’une mesure d'immobilisation préventive, interdisant la sortie d’animaux ou de produits dérivés, après que sept employés eurent été testés positifs au Covid-19, a-t-il détaillé.

    Depuis, les autorités ont régulièrement effectué des tests PCR sur les animaux, jusqu’à ce que 87 % des échantillons se révèlent positifs lors de tests dont le résultat a été connu le 13 juillet, poussant les autorités à décider leur abattage pour éviter les risques pour la population, a expliqué M. Olona.

    Le foyer de contagion ayant pour origine un employé infecté hors de la ferme, le seul élevage de visons d’Aragon, les autorités estiment que les animaux pourraient avoir été contaminés par les salariés.

    Mais il n’est pas possible de conclure avec certitude s’il existe une transmission d’animaux à humains et vice versa, a souligné M. Olona.

    Aux Pays-Bas, des dizaines de milliers de visons d’une vingtaine d’élevages ont été abattus depuis le début de la pandémie après la détection de cas de Covid-19 parmi eux.

    En mai, les autorités néerlandaises avaient établi que deux employés des élevages avaient très probablement contracté la maladie au contact des visons, ce qui pourrait constituer le premier cas connu de transmission d’animal à humain, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

    L’Espagne, l’un des pays européens les plus touchés par l’épidémie avec plus de 28 400 morts, avait réussi à réduire le rythme de contagion au minimum en juin, mais observe ces derniers jours une augmentation des cas, avec plus de 120 foyers actifs.

    Ouest-France

    De toutes façons, ils auraient été abattus pour prendre leur fourrure !

    Tout ça à cause de salopes de femmes style Céline Dion qui veulent porter du vison!


    4 commentaires
  • Bénin : un bébé abandonné retrouvé vivant sous un pont, un "phénomène récurrent"

    Deux vidéos publiées sur les réseaux sociaux le 22 juin montrent la découverte d’un nourrisson d’à peine trois mois sous un pont à Kindonou, un quartier au nord de Cotonou. Vivant, l’enfant a été rapidement pris en charge par les autorités. Au Bénin, les abandons de nourrisson sont fréquents.

    Une première vidéo montre deux hommes en train de récupérer le bébé abandonné dans les herbes, alors que des dizaines de personnes regardent stupéfaites la scène du haut du pont. Dans la seconde vidéo, on voit le bébé  dans les bras de son sauveteur, enveloppé dans un pagne de tissu. "Quelle méchanceté" s’exclame une voix en fon, une des langues parlées à Cotonou. "Quelle irresponsabilité ! C’est une fille ?" questionne une autre.

     

    La scène s'est déroulée dans la matinée du 19 juin. Selon plusieurs médias en ligne, dont Bénin Web Tv, ce sont les pleurs du nouveau-né qui auraient alerté les populations. Le bébé, un garçon, a ensuite été conduit à l’hôpital de zone de Menontin, le centre de santé le plus proche. "Il y a reçu les premiers soins d’urgence avant d’être transféré vers le Centre hospitalier et universitaire de la mère et l’enfant (CHU Mel). Il présentait une gêne respiratoire et avait une saturation en oxygène”, confie à la rédaction des Observateurs un responsable de l’hôpital.

    Contacté, Félicien Fangnon, le chargé de communication du ministère des Affaires sociales et de la Microfinance a confirmé les faits. Il affirme que le bébé est en bonne santé : "Le bébé va bien. Il est dans un centre de prise en charge de Cotonou agréé par le ministère des Affaires sociales.

    On ne connaît pas ses parents. La police mène ses enquêtes pour les retrouver. Il faut qu’on arrive à savoir qui sont les mères qui ont accouché récemment et si elles ont toujours leur bébé. Cela va prendre du temps. C’est après cela que la justice sera saisie. Ce qui nous préoccupe maintenant, c’est la sécurité de l’enfant."

    Au Bénin, l’abandon d’enfant n’est pas un fait nouveau. Le phénomène est régulièrement documenté dans les médias locaux. Deux semaines après cet incident, le média en ligne "24 heures au Bénin", a annoncé la découverte d’un second bébé dans la nuit du 1er juillet dans le quartier Saint-Jean, au cœur de Cotonou. Un peu plus tôt dans l’année, en mars, c’était le média Bénin Web Tv qui rendait public la découverte du corps sans vie d’un bébé retrouvé dans les collecteurs d’eaux usées du marché Dantokpa à Cotonou.

    France 24

    Il faudrait leur apprendre à mettre des préservatifs !!!


    2 commentaires
  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJKOUR - VENDREDI  17 07 2020

     

    Passez une bonne journée 


    2 commentaires

  • 2 commentaires
  • Des chats empoisonnés ou victimes de mutilations dans un même lotissement d'Orcines (Puy-de-Dôme)

    COQUINE, empoisonnée mais soignée

    Mâchoire fracturée, ventre lacéré, empoisonnement... Depuis un ans, des riverains du chemin des Meuniers, à Orcines, déplorent de multiples actes de cruauté commis sur leurs chats. Une enquête est en cours.

    Qui s’en prend aux chats du chemin des Meuniers, à Orcines ? En moins d’un an, dans ce lotissement verdoyant et d’apparence tranquille, six félins ont été victimes d’empoisonnement ou de mutilations particulièrement atroces.

    Il revient les pattes arrières "percées"

    Garfield, un européen au pelage roux, a été l'un des premiers touchés. En juin 2019, sa propriétaire l’a vu rentrer à la maison avec les pattes arrière « complètement percées », deux bandes de poil rasées sur le dos et des plombs fichés dans l’arrière-train.

    Quelque temps après, Magnou, un autre chat du quartier, a été découvert « la tête fracassée et l’œil arraché ». Enfin, cette même année, Kazou a eu son ventre lacéré à coups de cutter.

    Colère et incompréhension des propriétaires

    Les trois animaux ont pu être sauvés. Mais leurs blessures ont nécessité de longs soins et ont provoqué chez leurs propriétaires un sentiment de colère et d’incompréhension, encore vivace aujourd’hui.

    Car la série ne s’est pas arrêtée là. En 2020, après les actes de tortures sont arrivés les empoisonnements. « Un par semaine depuis la Pentecôte », affirment les riverains du chemin des Meuniers. Parmi les trois chats touchés, l’un est décédé, les deux autres sont encore sous traitement.

     

    "On ne connaît pas la nature du poison. Mais le produit nécrose les reins de mon chat. Je dois le ramener tous les trois jours chez le vétérinaire. J'ai la boule au ventre maintenant."

    LA PROPRIÉTAIRE DE COQUINE, VICTIME D'EMPOISONNEMENT


    Les propriétaires, choqués et inquiets, laissent désormais leurs chats à la maison. Ils ont quasiment tous déposé plainte auprès de la brigade de gendarmerie de Chamalières, laquelle mène actuellement une enquête (*). 
    Jean-Marc Morvan, le maire de la commune, affirme que la police municipale est « aussi mobilisée sur ce dossier ». Mais les indices sont maigres, bien que les faits aient été commis sur un secteur relativement restreint, comprenant six maisons entourées de grands terrains.

    « Ça ne peut plus continuer ! », s’insurge Catherine Marty, une bénévole de la protection animale qui tente de sensibiliser le plus grand nombre sur ce phénomène inquiétant. « La joie d’avoir un animal nous est refusée. »

    Des sanctions bientôt plus sévères ?

    Et de rappeler qu’une personne coupable de sévices graves ou d’actes de cruauté envers les animaux est passible de deux ans de prison et de 30.000 euros d’amende. Peine qui pourrait bientôt passer, sous l’impulsion d’une récente proposition de loi, à trois ans de prison et 45.000 € d’amende. 

    (*) Toute personne disposant de renseignements susceptibles d’aider l’enquête peut contacter les gendarmes au 04.73.37.88.05.

    La Montagne


    3 commentaires

  • 1 commentaire

  • 1 commentaire
  • Incendies, violences, interpellations : le bilan des incidents du 14-Juillet

    Les festivités du 14 juillet ont été marquées dans la nuit de mardi à mercredi au niveau national par de traditionnelles violences urbaines, notamment en région parisienne, a-t-on appris de sources policières. Selon un premier bilan provisoire national, il y a eu 61 interpellations dont 53 gardes à vue et trois policiers blessés légèrement, a indiqué une source policière.

     

    A Paris et dans sa petite couronne, un autobus a été incendié à Suresnes (Hauts-de-Seine) par des tirs de mortier d'artifice, ce qui a donné lieu à six arrestations, a rapporté une autre source policière. A Chatenay-Malabry, un car de tourisme vide a été incendié, sans entraîner à ce stade d'interpellations.

    Un incendie d'appartement s'est également déclaré dans un immeuble vétuste du XIIIe arrondissement de Paris, également en raison de tirs de mortier d'artifice, mais n'a pas fait de blessés, selon des sources policières.

    Tirs de mortier d'artifice, véhicules et poubelles incendiés

    Les commissariats de Sèvres et Vanves ont essuyé des tirs de mortier d'artifice. Des tirs similaires se sont produits porte de Vincennes, porte d'Orléans et dans les XVe et XIXe arrondissements de Paris. Quatre personnes ont été interpellées dans le XIXe arrondissement après avoir visé des CRS.

     

    A Orly (Val-de-Marne), mardi soir, trois personnes ont été placées en garde à vue pour avoir jeté des cocktails molotov sur des policiers qui circulaient dans leur véhicule. Cet incident n'a pas fait de blessé.

    Dans les quatre départements de la grande couronne francilienne, la police a dénombré 35 véhicules et 41 poubelles incendiés. Dans les quartiers des Mureaux et de Trappes (Yvelines), des affrontements entre forces de l'ordre et jeunes ont eu lieu dans la nuit. Aux tirs de mortiers d'artifice visant les policiers ont répondu des jets de grenades lacrymogènes et de désencerclement.

    Incidents dans le Doubs, couvre-feu à Montbéliard

    Outre des épisodes de violences dans les grandes agglomérations comme la banlieue lyonnaise, les nuits autour du 14 ont également été marquées par des incidents dans le Doubs, notamment à Besançon et à Montbéliard où la ville a mis en place un couvre-feu pour les mineurs dans un quartier après des violences.

     

    Aux Sables-d'Olonne, la nuit du 14 au 15 a été émaillée de violences "impliquant plusieurs dizaines de personnes âgées entre 16 à 25 ans, provenant des grandes agglomérations de la région des Pays de la Loire", selon la préfecture de Vendée. "Sur fond d'alcoolisation excessive, les individus se sont affrontés avec les forces de l'ordre sur le front de mer et dans le centre-ville, dégradant plusieurs biens publics et privés", a rapporté la préfecture.

    Pas de chiffre officiel depuis 2019

    Depuis début 2019, le ministère de l'Intérieur a choisi de ne plus dévoiler les chiffres officiels des véhicules brûlés lors des nuits de la Saint-Sylvestre ou du 14 juillet au niveau national. "A partir du moment, où on donne le nombre de véhicules incendiés, s'installe année après année, une compétition malsaine", a-t-on commenté dans l'entourage de Gérald Darmanin. Cette stratégie est critiquée par des syndicats policiers.

    "C'était plutôt malin d'arrêter de communiquer sur les voitures incendiées département par département car cela alimentait une course à l'échalote mais personne n'est dupe, il y a de plus en plus de violences urbaines et il faut être transparent sur les chiffres nationaux car cela nourrit la suspicion", fait valoir, David Le Bars, secrétaire général du syndicat des commissaires (SCPN-Unsa).

    "Il ne faut pas alimenter un concours malsain entre quartiers mais il faut mettre les choses sur la table car sinon on attise les extrêmes et les thèses complotistes", souligne Grégory Joron d'Unité-SGP-FO. Plusieurs incidents avaient eu lieu la veille, dans la nuit de lundi à mardi, notamment à Paris et dans sa banlieue où un gymnase et un autobus avaient été incendiés à Nanterre et au moins une cinquantaine de personnes arrêtées.

    L'Express

    Merci aux gentilles chances pour la France !


    3 commentaires

  • 2 commentaires
  • Mongolie : un adolescent meurt de la peste après avoir mangé une marmotte

    Un adolescent est mort de la peste bubonique en Mongolie après avoir chassé et mangé une marmotte, ont annoncé mardi les autorités sanitaires de ce pays qui a récemment enregistré une série de cas de cette maladie, tout comme la Chine voisine.

    Ce garçon de 15 ans, dont la contamination a été signalée de 6 juillet, vivait dans la province reculée de Gobi-Altai, dans le sud-ouest, où cinq districts ont par la suite dû être isolés du reste du territoire mongol pour six jours.

    Quinze personnes en quarantaine

    « Nous avons mis en quarantaine les 15 premières personnes qui sont entrées en contact avec le défunt et ces 15 personnes se voient administrer un traitement à base d'antibiotiques », a expliqué devant la presse Narangerel Dorj, qui est à la tête du département des relations publiques du ministère de la Santé.

    Deux autres cas de peste bubonique, impliquant des frères qui avaient eux aussi mangé de la viande de marmotte, ont été confirmés au début du mois dans la province Khovd, voisine de celle de Gobi Altaï et située dans l'extrême ouest de la Mongolie, un pays dont les frontières restent fermées en raison de la pandémie de Covid-19.

    Des cas réguliers en Mongolie

    Plus de 140 personnes ont été en conséquence testées dans cette région mais aucune n'avait contracté cette maladie. Au moins une personne meurt chaque année de la peste bubonique en Mongolie, où des campagnes sont orchestrées pour dissuader les gens de s'approcher des marmottes ou de les manger.

    Dans le nord de la Chine, les autorités de la ville de Bayannur, située en Mongolie intérieure, ont découvert il y a une dizaine de jours qu'un berger souffrait de cette maladie.

    L'OMS : la situation est «bien gérée» en Chine

    L'Organisation mondiale de la santé (OMS), accusée notamment par Trump d'avoir tardé à réagir face au coronavirus, a déclaré suivre de près les cas de peste bubonique en Chine, assurant qu'il n'y avait pas de menace élevée dans ce domaine et que la situation était « bien gérée ».

    Dans ce contexte, en Russie, les services sanitaires ont annoncé la semaine dernière avoir entamé une campagne de dépistage de cette maladie auprès de rongeurs en Bouriatie, une région frontalière de la Mongolie.

    Les autorités russes ont dans le même temps appelé à ne plus chasser et consommer de marmottes.

    Le Parisien


    2 commentaires
  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - JEUDI  16 07 2020


    6 commentaires
  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 15 07 2020


    3 commentaires
  • Maintenant, je voterai Dupont-Aignan !


    2 commentaires
  • Un spectacle dans l'esprit des "Monologues du vagin" mais cette fois-ci pour les hommes. L'humoriste entre dans la peau d'un professeur et donne un cours de sexologie masculine au public. 

    On rit du début à la fin, bravo ! Arriver à faire tout un spectable sur le sexe masculin, faut le faire ! J'espère que vous regarderez et que vous passerez un bon moment !  happy


    3 commentaires
  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MERCREDI 15 07 2020


    1 commentaire