• Sur les traces du variant sud-africain qui pourrait remettre en cause l'efficacité du vaccin

    Il a débarqué en France en catimini le 31 décembre, à quelques heures du réveillon. Dans le Haut-Rhin, un malade de retour de voyage était placé à l'isolement. Contamination au nouveau variant sud-africain, a dit, laconique, le ministère de la Santé. Les épidémiologistes, eux, étaient déjà préoccupés. Ils le sont encore davantage aujourd'hui. "Ce variant sud-africain nous inquiète tout autant, voire plus, que le variant anglais", confie Arnaud Fontanet, professeur à l'institut Pasteur et membre du conseil scientifique.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/sur-les-traces-du-variant-sud-africain-qui-pourrait-remettre-en-cause-lefficacit%c3%a9-du-vaccin/ar-BB1cPqNh#image=1


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  • Les sacs-poubelle avaient été déposés par des héritiers qui venaient de vider une maison... sans faire le tri

    Près d’une quinzaine de sacs-poubelles de 120 litres abandonnés à proximité d’un ancien hôpital militaire près de Lunéville, en Meurthe-et-Moselle. Le maire de la commune voisine de Domjevin, Dominique Pierrat, a été attiré par un drôle de dépôt sauvage d' ordures cette semaine, rapporte L'Est Républicain.

     

    Avant d’aller prévenir la gendarmerie, l’édile a ouvert quelques emballages… pour quelques surprises ! Il a ainsi trouvé une alliance en or, des colliers, boucles d’oreilles et argent liquide dans le tas. Avec également des papiers d’identité qui appartenait à une personne récemment décédée non loin de là, selon le quotidien régional. Ses héritiers venaient justement de vider sa maison, visiblement sans regarder ce qu’ils mettaient à l’intérieur des sacs-poubelle. Ils devront s’acquitter d’une amende.

    20 Minutes


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  • Deux femmes juges travaillant pour la Cour suprême afghane ont été tuées par balles à Kaboul dimanche, derniers en date d'une série d'assassinats ciblés qui touchent depuis quelques mois des figures de la société civile. « Malheureusement, nous avons perdu deux femmes juges dans l'attaque d'aujourd'hui. Leur chauffeur est blessé », a déclaré à l'AFP Ahmad Fahim Qaweem, porte-parole de l'institution.

    Le meurtre n'a pas été revendiqué pour l'instant, mais le président afghan Ashraf Ghani et le chargé d'affaires américain à Kaboul Ross Wilson ont accusé les talibans. Les deux femmes se rendaient sur leur lieu de travail dans leur véhicule quand elles ont été attaquées par des hommes armés, a précisé M. Qaweem. Plus de 200 femmes juges travaillent pour la Cour suprême, a-t-il ajouté.

    La Cour suprême avait déjà été la cible d'une attaque en février 2017 lors d'un attentat suicide visant une foule d'employés qui avait fait au moins 20 morts et 41 blessés. M. Ghani a imputé l'attaque aux talibans, les accusant de mener « une guerre illégitime ». « Le gouvernement souhaite encore réitérer aux talibans que la violence, la terreur, la brutalité et les crimes […] vont seulement prolonger la guerre », a-t-il déclaré dans un communiqué.

    « Massacre systématique »

    Ross Wilson, le chargé d'affaires américain à Kaboul, à lui aussi condamné l'attaque. « Les talibans doivent comprendre que ce type d'actions, dont ils sont responsables, scandalisent le monde et doivent cesser pour que la paix arrive en Afghanistan », a-t-il écrit sur Twitter. L'ambassadrice britannique en Afghanistan Alison Blake a quant à elle critiqué sur le réseau social une « attaque ciblée révoltante », appelant à « une enquête immédiate ».

    La cheffe de la Commission indépendante des droits humains en Afghanistan, Shaharzad Akbar, a qualifié ces assassinats ciblés contre des civils « de massacre systématique ». « L'Afghanistan est en train de perdre un de ses gains les plus importants, ses cadres professionnels et éduqués dans ce qui ressemble à un massacre systématique, et le monde semble se contenter d'observer. Cela doit cesser », a-t-elle déploré sur Twitter.

    Le pays a été le théâtre ces dernières semaines d'une série d'assassinats ciblés de personnalités, dont des membres des médias, hommes politiques et défenseurs des droits humains. De nombreux journalistes et activistes, inquiets pour leur sécurité, ont fui le pays. Les membres des forces de sécurité sont également souvent visés. Samedi, deux policiers ont été tués à Kaboul par l'explosion à leur passage d'une mine placée en bord de route.

    Les assassinats ciblés sont rarement revendiqués, mais les autorités afghanes les ont imputés aux talibans, même si l'organisation Etat islamique en a revendiqué certains. L'armée américaine a imputé aux talibans pour la première fois la semaine dernière la responsabilité d'attaques ciblées.

    Difficiles négociations avec les talibans

    « La campagne talibane d'attaques et de meurtres non revendiqués ciblant des responsables gouvernementaux, des leaders de la société civile et des journalistes doit […] cesser pour que la paix puisse prévaloir », a écrit sur Twitter le porte-parole des forces américaines en Afghanistan, le colonel Sonny Leggett. Les talibans, eux, nient souvent être impliqués.

    Le double assassinat de dimanche intervient deux jours après l'annonce par Washington d'une récente réduction des forces américaines en Afghanistan à 2 500 hommes, chiffre le plus bas depuis les attentats du 11-Septembre. Les talibans se sont réjouis de cette annonce, qu'ils ont qualifiée dimanche d'« avancée positive ». En février dernier, l'administration du président Donald Trump a signé un accord avec les talibans qui entérine un retrait complet des troupes américaines d'ici mai-2021 en échange de garanties sécuritaires.

    Depuis, les insurgés attaquent les forces afghanes quasi quotidiennement dans les campagnes. En 2020, ils ont perpétré plus de 18 000 attaques, a affirmé la semaine dernière le chef des renseignements afghans, Ahmad Zia Siraj. La violence n'a fait qu'augmenter à travers le pays ces derniers mois, malgré les négociations de paix en cours à Doha, au Qatar, entre le gouvernement afghan et les talibans.

    Ces pourparlers, débutés en septembre, avancent très lentement, et les deux camps tentent à présent de s'accorder sur l'agenda des discussions.

    Le Parisien


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  • Cette voyageuse a été expulsée d'un vol EasyJet à cause de son décolleté

    n 2019, Harriet Osborne, une mère de famille britannique âgée de 31 ans, a été expulsée d'un vol EasyJet en raison de sa tenue, une blouse en dentelle transparente avec un large décolleté jugée trop révélatrice par le personnel de bord, et par conséquent incompatible avec la philosophie de la compagnie. Une hôtesse a interpellé la jeune femme à sa montée dans l'avion pour lui dire qu'elle ne pouvait pas voyager habillée de la sorte.

    Comme le révèlent plusieurs médias britanniques, dont The Sun et The Mirror, Harriet, maman de deux enfants et maquilleuse professionnelle, qui devait rentrer au Royaume-Uni depuis l'aéroport de Malaga (Espagne), a voulu se couvrir avec le pull de son compagnon après une première remarque d'une hôtesse. Un effort qui n'aura pas suffi à convaincre le personnel de bord, qui a pris la décision de débarquer la jeune femme après avoir reçu plusieurs plainte de passagers qui trouvaient cette tenue provocante.

    "J’étais choquée. C’était tellement sexiste"

    "L’équipage était épouvantable, je me suis sentie mal. Cette hôtesse de l’air m’a prise à partie devant l’avion tout entier et m’a dit que je n’étais pas autorisée à rester en portant ce haut. Après, je m’étais couverte mais cela n’a rien changé. On m’a escortée hors de l’avion. J’étais choquée. C’était tellement sexiste", explique-t-elle dans une interview accordée au Sun et retranscrite en français par nos confrères de 7sur7.

    La réponse d'EasyJet

    Son de cloche différent du côté d'EasyJet, qui a réagi à l'affaire dans les colonnes du Sun : "Après quelques plaintes, notre équipage a demandé à la passagère de porter un vêtement supplémentaire. Cependant, la femme s’est montrée agressive contre l’un de nos employés. Nous ne tolérons aucun comportement abusif ou menaçant envers notre personnel."

    Au final, Harriet a dû passer la nuit à l'aéroport de Malaga avant de prendre un nouveau vol le lendemain.

    Gent Side


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  • Biden prévoit de prendre une "dizaine" de mesures lors de son investiture

    Biden prévoit de prendre une "dizaine" de mesures lors de son investiture

    Le président américain élu, Joe Biden, terminera son investiture en signant de nouveaux décrets sur le logement, les prêts étudiants, le changement climatique ou l'immigration, annonce samedi un conseiller.

    Joe Biden, qui avait promis de revenir sur certaines politiques mises en place par Donald Trump avant même que la crise sanitaire liée à l'épidémie de coronavirus ne s'abatte sur les Etats-Unis, dévoilera "environ une dizaine" de mesures mercredi, était-il dit dans une note distribuée aux journalistes par le futur chef de cabinet du président élu, Ron Klain.

    Réintégrer l'accord de Paris sur le réchauffement climatique ou revenir sur le décret interdisant l'accueil de ressortissants de 13 pays majoritairement musulmans font notamment partie de cette série de mesures qui avaient déjà été annoncées.

    Joe Biden dévoilera aussi mercredi une proposition de mesure portant sur l'immigration qui devrait permettre à des milliers d’immigrés clandestins d'obtenir la citoyenneté américaine.

    Cette mesure, ainsi que la proposition d'un plan de relance de 1.900 milliards de dollars pour relancer l'économie et accélérer la vaccination contre le COVID-19, seront présentées au Congrès où le parti démocrate va disposer d'une majorité étroite dans les deux chambres.

    D'autres mesures seront adoptées durant les neuf premiers jours du mandat de Joe Biden, notamment pour le développement de la campagne de dépistage du coronavirus ou pour inciter le gouvernement à favoriser les produits de fabrication américaine.

    "Le président élu accédera à la présidence alors que la nation traverse une crise profonde", a déclaré Ron Klain.

    Reuters

    Avec le sénile Biden, l'Amérique sera bientôt musulmane !


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  • L’alpiniste Sergi Mingote trouve la mort lors de l’expédition au K2

    L’alpiniste espagnol Sergi Mingote est mort pendant une expédition sur le K2, le deuxième plus haut sommet de la planète, a annoncé samedi le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez

    « Triste décès de Sergi Mingote sur le K2. Il voulait continuer à faire l’Histoire en participant à la première expédition pour vaincre ce sommet en plein hiver et sa vie a été emportée dans un tragique accident », a-t-il twitté, quelques heures après qu’une équipe népalaise a réussi cette ascension pour la première fois en hiver.

    Sergi Mingote, âgé de 49 ans, ne faisait pas partie de ce groupe mais d’une autre équipe, qui devait tenter l’ascension du sommet un autre jour. Il se trouvait à un camp intermédiaire et a chuté en redescendant vers le camp de base, se blessant à une jambe selon son équipe.

    Les risques encourus sont multiples sur le K2, où plus 80 personnes ont trouvé la mort, contre près de 450 qui en ont réussi l’ascension.

    Cette année, pas moins de quatre équipes différentes et une soixantaine de grimpeurs étaient présents sur le K2, soit plus au total que toutes les expéditions précédentes rassemblées. « Consterné par la nouvelle de l’accident qui a mis fin à la vie d’un sportif magnifique », a twitté le ministre espagnol de la Santé Salvador Illa, expliquant que M. Mingote était un »ami personnel».

    Ouest-France


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  • Heureusement tout se termine bien pour la mère et ses chatons


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  • Un texte pour encadrer la pratique de l'islam en France. Les dirigeants du Conseil français du culte musulman (CFCM) ont annoncé samedi avoir trouvé un accord sur une « charte des principes » de l'islam de France.

    Arraché de haute lutte, ce texte de sept à huit pages réaffirme notamment « le principe de l'égalité hommes-femmes », la « compatibilité » de la foi musulmane avec la République et insiste aussi sur « le rejet de l'instrumentalisation de l'islam à des fins politiques » et la « non-ingérence » des Etats étrangers, a détaillé le président du Conseil français du culte musulman, Mohammed Moussaoui, dans un communiqué.

    Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, à qui les trois dirigeants du CFCM ont présenté cette charte samedi à Beauvau, a salué « une avancée très significative » et la marque d'un engagement contre « l'islam politique », selon des déclarations transmises à l'AFP.

    Vers un Conseil national des imams

    Ce texte, qui scelle également « le rejet de certaines pratiques coutumières prétendument musulmanes », doit être validé, peut-être dès dimanche, par l'ensemble des fédérations du CFCM avant d'être présenté au président Emmanuel Macron. Cette étape permettra de lancer la prochaine mise en place d'un Conseil national des imams (CNI), qui sera chargé de « labelliser » les imams exerçant en France et pourra leur retirer leur agrément notamment en cas de manquement à la charte.

    Cette réaffirmation formelle des principes républicains avait été demandée aux dirigeants du CFCM mi-novembre par le président de la République dans la foulée de son offensive contre le « séparatisme » et l'islam radical. La pression sur les instances musulmanes s'était renforcée avec l'attentat contre Samuel Paty mi-octobre et dans la basilique de Nice quinze jours plus tard. Elle a, depuis, été formalisée dans un projet de loi bientôt soumis au Parlement.

    Mais cette initiative avait provoqué une grave crise au sein de l'instance représentative des musulmans, souvent critiquée pour son manque de représentativité. Fin décembre, le recteur de la grande Mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz, avait claqué la porte des discussions sur la charte et le futur CNI en pointant du doigt l'influence d'une « composante islamiste » au sein du CFCM.

    Une charte source de divisions

    Des « membres de la mouvance islamiste » au sein du CFCM ont fait croire « que cette charte avait pour ambition de toucher à la dignité des fidèles musulmans », avait accusé Chems-Eddine Hafiz. Le président du CFCM, Mohammed Moussaoui, avait alors déploré une décision « unilatérale et inexpliquée ».

    Selon une source proche du dossier, des divisions existaient entre les neuf fédérations du CFCM notamment sur les questions de l'apostasie ou de l'islam politique. « Il y a une prise de conscience que cette situation de division ne permettrait pas au culte musulman de s'affirmer. Cette image d'une institution divisée était préjudiciable au culte musulman et à l'ensemble des musulmans », a déclaré Mohammed Moussaoui. « Cette prise de conscience a permis de surmonter ces divergences qui ont pu exister », a-t-il ajouté.

     

    « Ce qui était important c'était qu'on s'assoit et qu'on se parle tranquillement », a ajouté Ibrahim Alci, un autre vice-président du CFCM. Selon ce responsable, qui participait lui aussi à la réunion samedi à Beauvau, l'adoption de la charte par l'ensemble des fédérations du CFCM ne devrait pas poser de problèmes. « Il faut englober tout le monde et dire clairement que l'islam n'est pas incompatible avec la République, loin de là », a ajouté Ibrahim Alci.

    Le Parisien


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  • Selon le médecin en chef de l'autorité sanitaire, "les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, ont pu entraîner la mort de certains patients fragiles".

    L'Agence norvégienne du médicament a établi un lien entre treize décès et les effets secondaires du vaccin de Pfizer-BioNTech contre le Covid-19, rapporte le média norvégien Norway Today jeudi 14 janvier. Les personnes décédées avaient deux choses en commun : elles étaient âgées (au moins 80 ans) et fragiles.

     

    "Les rapports pourraient indiquer que les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, ont pu entraîner la mort de certains patients fragiles", a relevé Sigurd Hortemo, le médecin en chef de l'Agence norvégienne du médicament.

    La Norvège, qui a commencé à vacciner sa population le 27 décembre dernier, a administré au moins une dose à environ 33 000 personnes, en se concentrant sur celles considérées comme les plus à risque si elles contractent le virus, y compris les personnes âgées.

    Une alerte pour les personnes "très frêles 

    L'Institut national de la santé publique (FHI), qui évalue conjointement tous les rapports sur les effets secondaires du vaccin, a ainsi mis à jour le guide de vaccination contre le Covid-19, avec de nouvelles recommandations pour les personnes âgées fragiles.

    "Pour les personnes les plus fragiles, même les effets secondaires relativement légers du vaccin peuvent avoir des conséquences graves", a-t-il expliqué l'Institut norvégien de la santé publique. "Pour ceux qui ont de toute façon une durée de vie restante très courte, le bénéfice du vaccin peut être marginal ou sans importance."

    "Si vous êtes très frêle, vous ne devriez probablement pas être vacciné", a ainsi noté le docteur Steinar Madsen, de l'Agence norvégienne des médicaments. D'après Bloomberg (en anglais), il s'agit de la déclaration la plus prudente jamais faite par une autorité sanitaire européenne sur le vaccin Pfizer-BioNTech, alors que les pays évaluent les effets secondaires des premières injections.

    Un nombre d'incidents "conforme aux attentes"

    Mais cette recommandation des autorités sanitaires norvégiennes ne signifie pas que les personnes plus jeunes et en meilleure santé devraient éviter de se faire vacciner. L'Agence norvégienne du médicament a constaté que "le nombre d'incidents jusqu'à présent n'est pas alarmant et conforme aux attentes", a réagi le laboratoire Pfizer dans un communiqué cité par Bloomberg.

    Bien que les deux vaccins Covid-19 approuvés jusqu'à présent en Europe (Pfizer-BioNTech et Moderna) aient été testés sur des dizaines de milliers de personnes, y compris des volontaires âgés de 80 à 90 ans, le participant moyen à l'essai était âgé de la cinquantaine, relève Bloomberg.

    Or, les premières personnes à avoir reçu les premières injections dans de nombreux pays sont plus âgées que cela, car les autorités vaccinent en priorité les résidents des maisons de retraite.

    franceinfo


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  • Saint-Malo : La vidéo d’un chat jeté dans une carrière fait scandale

    Illustration

    Âgé de 14 ans, l’auteur des maltraitances a écopé d’un simple rappel à la loi

    La vidéo a largement circulé ces derniers jours sur les réseaux sociaux. On y voit un adolescent de 14 ans filmé en train de lancer un chat dans une carrière, rapporte France Bleu Armorique. Rapidement identifié, le jeune homme a été convoqué vendredi au commissariat de Saint-Malo où il a reconnu les faits, déclarant avoir été « incité par un ami à le faire ». Il a écopé d’un rappel à la loi.

    Scandalisée par la vidéo, l’antenne locale de la Société de protection des animaux a déposé plainte. Elle a par ailleurs recueilli le chat qui, malgré une chute de plusieurs mètres, a survécu à ses blessures.

    20 Minutes

    C'est faire peu de cas de la maltraitance animal ! Une honte !


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  •  L’impressionnant sauvetage d’un cheval tombé dans un chenal

    Les sapeurs-pompiers du SDIS de Haute-Garonne sont intervenus à Montgaillard-de-Lauragais afin de sauver un cheval tombé dans un chenal. Un sauvetage impressionnant.

    Les sapeurs-pompiers du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de la Haute-Garonne sont intervenus, vendredi 15 janvier, dans la commune de Montgaillard-Lauragais, à une trentaine de kilomètres au sud-est de Toulouse, pour venir en aide à un cheval tombé dans un chenal rempli d’eau glacée. Le cheval ne pouvait pas sortir seul, racontent nos confrères de La Dépêche .

    À leur arrivée, la quinzaine de pompiers, dont des sauveteurs aquatiques et déblayeurs, a rapidement procédé à la vidange du chenal, comme ils l’expliquent sur leur page Facebook, afin de maintenir la tête du cheval hors de l’eau.

    Conseillés à distance par le vétérinaire du SDIS 31, les pompiers haut-garonnais des centres d’incendie et de secours de Villefranche-de-Lauragais, Caraman, Ramonville Buchens, Muret Massat et Rouffiac-Tolosan n’avaient pas d’autres solutions que de sortir le malheureux cheval par les airs. La scène a été filmée. Les images sont impressionnantes.

    Pris en charge et soigné à l’issue par un vétérinaire, le pronostic vital du cheval était engagé, une fois sorti de l’eau. Mais d’après les dernières informations des pompiers, sa santé s’est rapidement améliorée et l’animal va bien.

    Ouest-France

    Pas trouvé la video alors je vous mets le lien de l'article :pour la video :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/vid%C3%A9o-l-impressionnant-sauvetage-d-un-cheval-tomb%C3%A9-dans-un-chenal/ar-BB1cOsKW?ocid=msedgntp


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  • Amanda Lear se fait vacciner contre la Covid-19 : fin du mystère autour de son âge ?

    Personne n’a jamais su dire quel est l'âge exact d'Amanda Lear. L’animatrice de télévision a toujours brouillé les pistes à ce sujet. Le cliché qu’elle publie sur Instagram vendredi 15 janvier 2021 pourrait enfin mettre fin à ce secret bien gardé.

    "Quand je serai morte, on me datera au carbone 14 pour connaître enfin mon âge", avait plaisanté Amanda Lear sur le plateau de Je t'aime etc. en janvier 2019. L’ancienne top-mod!èle n’a jamais voulu révéler son âge prétendant même, sous une apparente boutade, qu’elle ne se souvenait plus de sa vraie date de naissance tant elle en avait "donné des fausses ". Le mystère pourrait bien être levé vendredi 15 janvier 2021. Dans une publication sur Instagram la chanteuse a partagé une photo d’elle, tout sourire, en train de se faire vacciner contre le coronavirus. Sauf que, d’après les annonces du gouvernement, la campagne de vaccination doit se faire progressivement et les personnes prioritaires sont les plus de 75 ans. De ce fait, Amanda Lear ferait-elle partie de cette tranche d'âge ?

    Les internautes ne comprennent pas pourquoi Amanda Lear a été vaccinée

    Selon le journaliste Benoît Daragon, la réponse est limpide : Amanda Lear a bel et bien menti concernant sa date de naissance. "Grâce au #covid19, on sait enfin qu’Amanda Lear a plus de 75 ans. Elle n’est donc pas née en 1950 comme elle le dit parfois ! ", écrit ce dernier sur son compte Twitter. De leur côté, les fans de l’artiste sont plus indécis et ne semblent pas croire qu’elle puisse avoir plus de 75 ans ! "Se faire vacciner à votre âge alors que des personnes âgées à domicile n'ont pas encore accès au vaccin, il faudra qu'on m'explique. À moins que vous ayez des soucis de santé ?", a écrit l''un d'entre eux, quand un autre se demande : "Comment est-ce possible ? Déjà, pour une si jeune femme ?". On a aussi pu lire : "Vous avez eu un passe-droit vous êtes trop jeune pour faire partie des publics prioritaires" ou encore "Vous êtes trop jeune, non ? Ou vous avez des contacts au ministère".

     

    Les secrets autour de la vie d’Amanda Lear fascinent les Français depuis près de cinq décennies. Mais peu importe l’âge qu’Amanda Lear peut avoir, sa communauté lui semble toujours aussi fidèle et reconnait l’éternel éclat de la muse de Salvador Dalí, à l’image de ces autres commentaires : "Toujours aussi belle Amanda !", "Diva", "merci de donner l’exemple", "Toujours avec classe", "Vraiment la plus belle".

    Femme actuelle


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONOUR - DIMANCHE 17 01 2021

     

    Bon dimanche


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  • A Paris, une colocation pour des lesbiennes exilées en errance

    Paris - "Vous avez vu la vue ?": tout sourire dans son sweat blanc à capuche, "Fatou" montre à travers la fenêtre le Sacré Coeur illuminé dans la nuit, visible depuis l'"Escale", une colocation pour lesbiennes exilées en errance.

    Ce lieu c'est un rêve pour moi", poursuit la jeune Malienne de 22 ans, entre les murs blancs de sa chambre, vierge encore de toute décoration et située au dernier étage du triplex qu'elle partage avec quatre autres jeunes femmes depuis quelques semaines.  

    Situé Butte Montmartre dans le 18e arrondissement de Paris, ce logement de 125m2 a été mis à disposition de l'association Basiliade par la mairie, via son bailleur social Elogie-Siemp, pour y accueillir des femmes qui ont pour point commun d'avoir dû fuir leur pays en raison de leur orientation sexuelle. 

    "Dans mon quartier au Mali, c'était dangereux pour moi, tout le monde me parlait mal, me montrait en disant 'c'est une lesbienne'", raconte "Fatou", le visage fermé.  

    En arrivant en France, "j'ai beaucoup souffert", confie-t-elle sobrement. "J'ai dormi dans la rue, j'ai fait la manche, là je n'arrive pas encore à réaliser que j'ai enfin un chez moi". 

     

    Pour sa colocataire, Dylia, Algérienne de 25 ans, "le fait d'avoir un toit sur la tête" et d'être "entourée et accompagnée par des personnes qui nous comprennent", c'est "rassurant". 

    "On se sent en sécurité", ajoute cette étudiante en psychologie arrivée en France en septembre 2018. "On se sent comme une famille, on a le même but celui de s'en sortir, de s'assumer pleinement, d'être épanouies et d'être heureuses.

    Au-delà du logement, les cinq jeunes femmes, âgées de 19 à 28 ans, bénéficient d'un accompagnement social, médical, psychologique par l'association Basiliade, à l'origine de cette initiative et d'un premier site pilote pour exilés homosexuels, lancé en septembre 2020 à Belleville. 

    "Il y a une saturation des dispositifs d'hébergement traditionnels et quand les personnes LGBT y trouvent une place, elles sont souvent victimes de discrimination, sont insultées ou agressées", relève Noémie Stella, doctorante à l'origine du projet.  

    "L'idée c'est vraiment de créer un lieu +safe+ pour qu'elles puissent rester sans courir le risque d'être mises à la porte", ajoute-t-elle. "C'est la condition pour retrouver une estime de soi qui a été maltraitée, pour faire un parcours sur soi qui leur permet ensuite de voler de leur propres ailes et de sortir de la précarité".  

     

    Forte de ses deux sites, Basiliade espère désormais pouvoir ouvrir 16 autres appartements similaires - avec trois colocataires à chaque fois - afin de pouvoir loger les autres exilés LGBT toujours en errance dans la capitale.  

    L'Express - 11 01 2021
     

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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 16 01 2021


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