• Les secours ont tenté de réanimer la victime, en vain. L’enfant de 11 ans est décédé.

    Terrible drame à Orléans (Loiret) ce jeudi soir. Une mère de famille a alerté les sapeurs-pompiers vers 19 heures. Elle venait de trouver son enfant de 11 ans, pendu dans sa chambre, au domicile familial situé à proximité de la route de Saint-Mesmin.

    Les pompiers et le SAMU ont procédé à des tentatives de réanimation qui n’ont pas abouti. Le jeune garçon a été déclaré mort sur place. Peu après, les policiers ont effectué de premières constatations sur place. La jeune victime était pendue à l’aide d’une ceinture de peignoir et la piste du suicide ne fait que peu de doute.

    Une enquête a été ouverte afin de déterminer les raisons de l’effroyable geste du jeune garçon. Les investigations ont été confiées au Groupe d’appui judiciaire (GAJ) du commissariat de la ville.

    ACTU 17


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  • Lyon : Felix Gretarsson, premier patient greffé des bras et des épaules, "se porte vraiment très bien", se réjouit son épouse

    Felix Gretarsson, un Islandais amputé des deux bras à l'âge de 26 ans, a subi une double greffe bras-épaules à Lyon, réalisée avec succès. Sa compagne témoigne des épreuves qu'il a traversé sur franceinfo.

    Felix Gretarsson, un Islandais de 48 ans qui a bénéficié d'une double greffe bras-épaules le 13 janvier dernier à Lyon (Rhône), se porte "vraiment très bien", a assuré vendredi 22 janvier sur franceinfo sa femme Sylvia Gretarsson.

     

    Alors qu'il était électricien, c'est à l'âge de 26 ans qu'il a été amputé de ses bras après une électrocution sur une ligne à haute tension, le 12 janvier 1998. L'Islandais, venu s'installer à Lyon en 2017 pour être transplanté, a été opéré mercredi 13 janvier à l'Hôpital Edouard Herriot. La double greffe de bras a duré près de 15 heures, une véritable prouesse médicale. Il a pu retrouver sa chambre après quelques jours en réanimation. "C'est vraiment quelqu'un qui a su utiliser ses talents de vie pour développer une certaine force", affirme son épouse.

    franceinfo : Comment va votre mari ?

    Sylvia Gretarsson : Il se porte vraiment très bien. Ce matin, il a quitté la réanimation. Il vient de retrouver sa chambre. Il se sent très, très bien aujourd'hui. Là, tout à l'heure, il va faire des essais de corset qui lui permettra du coup, et enfin, de sortir du lit. Du coup, ces derniers jours, il était dans le lit, tout le temps. Oui, il va bien.

    On imagine évidemment qu'il y aura énormément de suivi médical, de rééducation également  

    Oui, bien sûr que tout cela va prendre un certain temps. On ne peut pas savoir exactement, mais on compte sur des années de rééducation. Il va rester à l'hôpital minimum trois semaines de plus.

    Dans quel état d'esprit est votre compagnon ?

    Mon mari est un homme qui a traversé beaucoup, beaucoup de passages sombres, difficiles et douloureux dans sa vie suite à son amputation qui a eu lieu il y a plus de 23 ans. Il a passé du temps à l'hôpital, trois mois dans le coma artificiel, suivi de 54 opérations, des greffes de foie, beaucoup d'interventions chirurgicales. Et tout cela lui a permis de créer une certaine résilience. Et aujourd'hui, c'est vraiment quelqu'un qui a extrêmement bien répondu à ces difficultés qui étaient vraiment énormes.

    "Sa mère dit que c'est vraiment un miracle, qu'il soit en vie."

    Sylvia Gretarsson

    à franceinfo

    Donc oui, c'est vraiment quelqu'un qui a su utiliser ses talents de vie pour développer une certaine force. Pour moi, c'est vraiment quelqu'un qui était le mieux placé pour entreprendre ce genre d'expérience. On parle d'une opération qui n'a jamais eu lieu. Et mon mari, moralement, il va très, très bien depuis les premiers jours postopératoires. Le moral allait très, très bien et cela continue. Sur chaque photo que j'ai reçue de lui, il y avait un sourire. Il accepte très bien.

    Il ouvre aussi une voie pour les futurs greffés. Est-ce important ?

    Oui, exactement. On espère que ça ne va pas s'arrêter là, mais que d'autres personnes pourraient en profiter. Donc, c'est vraiment un côté positif et on espère qu'il y aura d'autres personnes qui pourraient bénéficier de ce genre d'opérations par la suite.

    franceinfo


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  • Un homme de 24 ans a été mis en examen à Dijon dans l'enquête sur l'enlèvement et le viol d'une collégienne de 11 ans, a indiqué vendredi le procureur de la République Eric Mathais. Le 7 janvier, la jeune fille allait à pied à son école quand, peu avant dix heures, un homme l'agrippe par ses vêtements et la force à monter à l'arrière d'un véhicule en stationnement, a raconté le procureur lors d'une conférence de presse.

    Il la menace d'un couteau et lui prend son téléphone avec lequel la jeune adolescente tentait d'appeler au secours puis déplace son automobile pour la garer au fond d'une impasse. Il rejoint alors l'enfant à l'arrière du véhicule et commence à l'embrasser avant de la violer, a ajouté le procureur sans vouloir être plus précis.

    Quinze minutes plus tard, il libère la jeune fille, lui rendant son téléphone. Elle rejoint son collège et témoigne de ce qui lui est arrivé, déclenchant une "mobilisation massive" de la police, selon Eric Mathais.

    Un homme sans condamnations, ni antécédents psychiatriques

    A la suite de nombreuses analyses ADN, un rapprochement est fait avec une famille puis un jeune homme de 24 ans est identifié. Il est alors arrêté mercredi. Placé en garde à vue, il conteste d'abord l'ensemble des faits avant de finalement reconnaître l'enlèvement vendredi matin. Il demeure cependant "flou sur le reste", a ajouté le procureur. Mais son ADN correspond aux traces trouvées sur les vêtements de la jeune fille, a-t-il ajouté.

    Cet homme, qui habite Dijon, n'a jamais été condamné et n'a pas d'antécédents psychiatriques connus. Il a été mis en examen pour viol sur mineur de moins de 15 ans et enlèvement ou séquestration. Il encourt un maximum de vingt ans de réclusion criminelle s'il est déclaré coupable.

    Europe 1


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  • Un homme de 24 ans a été mis en examen à Dijon dans l'enquête sur l'enlèvement et le viol d'une collégienne de 11 ans, a indiqué vendredi le procureur de la République Eric Mathais. Le 7 janvier, la jeune fille allait à pied à son école quand, peu avant dix heures, un homme l'agrippe par ses vêtements et la force à monter à l'arrière d'un véhicule en stationnement, a raconté le procureur lors d'une conférence de presse.

    Il la menace d'un couteau et lui prend son téléphone avec lequel la jeune adolescente tentait d'appeler au secours puis déplace son automobile pour la garer au fond d'une impasse. Il rejoint alors l'enfant à l'arrière du véhicule et commence à l'embrasser avant de la violer, a ajouté le procureur sans vouloir être plus précis.

    Quinze minutes plus tard, il libère la jeune fille, lui rendant son téléphone. Elle rejoint son collège et témoigne de ce qui lui est arrivé, déclenchant une "mobilisation massive" de la police, selon Eric Mathais.

    Un homme sans condamnations, ni antécédents psychiatriques

    A la suite de nombreuses analyses ADN, un rapprochement est fait avec une famille puis un jeune homme de 24 ans est identifié. Il est alors arrêté mercredi. Placé en garde à vue, il conteste d'abord l'ensemble des faits avant de finalement reconnaître l'enlèvement vendredi matin. Il demeure cependant "flou sur le reste", a ajouté le procureur. Mais son ADN correspond aux traces trouvées sur les vêtements de la jeune fille, a-t-il ajouté.

    Cet homme, qui habite Dijon, n'a jamais été condamné et n'a pas d'antécédents psychiatriques connus. Il a été mis en examen pour viol sur mineur de moins de 15 ans et enlèvement ou séquestration. Il encourt un maximum de vingt ans de réclusion criminelle s'il est déclaré coupable.

    Europe 1


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  • Le drame s’est déroulé à Monistrol-sur-Loire, sur le viaduc de Pont-de-Lignon, où l’adolescent a commis l’irréversible aux alentours de 18 heures, lundi.

    Le jeune homme, âgé de 15 ans, avait quitté le domicile monistolien de sa mère plus tôt dans la journée, durant le temps de midi. Il était recherché depuis lors.

    Une cellule psychologique mise en place dans son lycée

    Au lycée Emmanuel-Chabrier d’Yssingeaux, où l’adolescent était scolarisé en 2nde métiers de l’hôtellerie et de la restauration, l’annonce délicate a été faite aux familles via l’ENT (Environnement numérique de travail) et par un mail de la direction.

    Deux cellules psychologiques ont été mises en place au lycée, jusqu’à mercredi inclus, « pour les élèves et les adultes qui en ressentiraient le besoin », confirme le rectorat de l’académie de Clermont-Ferrand. Les membres de ces cellules d’écoute et de soutien sont passés dans les classes dans la journée de mardi.

    Une enquête ouverte pour vérifier la piste d’un possible harcèlement

    Autour de ce drame, de nombreuses évocations d’un possible harcèlement apparaissent. Une enquête a été ouverte pour vérifier cette piste qui, en filigrane, mènerait vers le proche collège Jean-Monnet, où le principal à également fait une communication auprès de ses équipes.

    « Les investigations sont en cours pour tenter de connaître les motifs du passage à l’acte. Il n’y a pas encore de conclusions à ce stade », tempère le parquet du Puy-en-Velay. Les gendarmes quant à eux, ne souhaitent pas communiquer sur le dossier « par respect pour la famille ».

    Le Progrès


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  • Superbe chanson satirique de Sandrine Sarroche "Déconfinez-moi" lors de l'émission TV de Paris Première du 8 avril 2020 (La Super Semaine de Sandrine Sarroche), en caricaturant gentiment le désopilant "Déshabillez-moi" de Juliette Gréco et Henri Salvador (Emission TV Salves d'or du 14 avril 1972),


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  • Moi, j'ai mal au LUC !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - SAMEDI 23 01 2021

     

     


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  • « Je faisais partie de sa vie, elle faisait partie de la mienne. » Jeudi 21 janvier, c’est avec une grande émotion qu’ Alain Delon s’est exprimé sur la disparition de son ex-épouse Nathalie Delon, à l’âge de 79 ans d'un cancer rapide.. Quelques heures après que son fils Anthony Delon a annoncé la triste nouvelle sur sa page Instagram, l’acteur de 85 ans a déclaré auprès de l’AFP : « Je suis très triste. J’ai de la peine aussi pour mon fils et mes trois petites-filles [Anthony Delon est père de trois enfants : Lou, Liv et Alyson]. C’est très dur de perdre une mère, comme une grand-mère. »

    « Nous étions encore ensemble à Noël »

    Nathalie et Alain Delon se sont mariés en août 1964, dans la plus stricte intimité. À l’époque, l’acteur, qui vient tout juste de se séparer de Romy Schneider, est en pleine gloire et ensemble, ils attendent leur premier enfant, Anthony Delon. Le couple restera marié jusqu’en 1969 et ils auront notamment l’occasion de se donner la réplique dans le long-métrage « Le Samouraï », de Jean-Pierre Melville. « Nathalie a été ma première femme et la seule Mme Delon. On s’est mariés en 1964. On était restés constamment en contact. On se voyait souvent. Je faisais partie de sa vie, elle faisait partie de la mienne. Nous étions encore ensemble à Noël. Nous avons fait des photos ensemble, les dernières… », poursuit l’acteur. Il y a quelques jours, Anthony Delon partageait en effet sur Instagram un rare cliché de ses parents réunis. Ce dernier avait été pris au moment des fêtes de fin d’année.

    ELLE


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 22 01 2021


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  • Bon, j'ai eu une hémorragie anale ou rectale.  Une ambulance m'a emmené à l'hôpital à Vichy. J'en ai bavé un peu. J'avais un gentil médecin africain qui me tutoyait. Hier soir, tout était rentré  enfin remonté dedans !

    Mais j'ai toujours mal  Contente que le médecin m'est laissé rentrer chez moi cet après-midi. Et bien sûr, j'ai tout le temps porter le foutu masque !


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  • Espagne : Forte explosion à Madrid, un immeuble éventré, au moins trois morts

     

    Une violente explosion s’est produite dans un immeuble à Madrid (Espagne) peu avant 15 heures ce mercredi, dans le quartier de la Puerta de Toledo. Le dernier bilan fait état d’au moins trois morts et plusieurs blessés.

    Une violente explosion a eu lieu juste avant 15 heures dans un immeuble situé au 104 rue de Toledo dans la capitale espagnole. Les quatre étages supérieurs du bâtiment sont entièrement détruits. Des images amateurs diffusées sur les réseaux sociaux montrent l’ampleur des dégâts.

    Les pompiers et des véhicules du SAMU sont sur place. Selon un dernier bilan donné par les médias espagnols, il y a au moins trois morts et des blessés.

    A ce stade, l’origine de cette explosion n’est pas connue. L’immeuble concerné se situe derrière une église et serait habité par des prêtres. A proximité se trouvent une maison de retraite ainsi qu’une école, qui sont en cours d’évacuation.

    Une fuite de gaz ?

    En outre, le maire de la ville José Luis Martínez Almeida, a indiqué qu’une fuite de gaz pourrait être en cause dans cette explosion. Une situation qui pourrait donc être similaire à celle qui s’est produite à Paris en janvier 2019, causant la mort de quatre personnes.

    ACTU 17


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  • Bravo le taureau ! Regardez sur YouTube


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  • Un père de famille de 41 ans comparaissait devant la cour d’assises de l’Hérault pour des viols incestueux sur sa fille adoptive, commis entre 2013 et 2017. La mère de la victime comparaissait également pour abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit.

    Un homme de 41 ans comparaissait devant la cour d’assises de l’Hérault, accusé d’avoir violé une adolescente : sa fille. Une enfant que l’homme avait adoptée lorsqu’elle n’était encore qu’un nourrisson ce que la victime ignorait. L’adolescente aurait été violée à plusieurs reprises entre 2013 et 2017 chez elle à Gigean. Elle était tombée enceinte de ce père adoptif en 2017, rapporte Midi Libre.

    Selon la victime, l’homme lui faisait régulièrement prendre la pilule du lendemain afin d’éviter les grossesses. La mère de famille, souvent absente en raison de problèmes de santé, était également poursuivie pour ne pas avoir empêché les faits alors que sa fille s’était confiée à elle sans qu’elle la croie.

    Condamné à 16 ans de réclusion criminelle

    L’homme avait été interpellé après le signalement de l’adolescente aux gendarmes. Il avait reconnu les faits en garde à vue tout en les minimisant. Il avait assuré « aimer » la jeune fille « d’un amour fou ». Il est allé jusqu’à expliquer qu’elle était consentante.

    Le quadragénaire a finalement été condamné à 16 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises. Sa compagne a écopé de cinq ans de prison dont quatre avec sursis, assortis de trois ans de prison dont six mois ferme pour non-assistance à personne en danger.

    Ouest-France


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