• Les cambrioleurs sont : 2 tunisiens et 1 marocain !


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  • Le psychopathe macron et sa vieille, ils s'en foutent, ils ont du pognon, le nôtre et bien à bouffer !


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  • Morbihan. Volé près de Questembert, le perroquet aperçu 30 km plus loin, à Vannes

    Illustration d'un même perroquet

    Michel s’est fait dérober son ara ararauna dans le pays de Questembert. Une habitante de Kercado dit l’avoir aperçu dans un arbre. Comment est-il arrivé là ?

     

    « Quand le matin tu te mets à la fenêtre pour fumer ta cigarette, boire ton café tranquillement et que tu entends crier dans un arbre… Là, tu crois rêver, en apercevant un perroquet en pleine liberté, à Kercado… » Comme elle le raconte sur Facebook, Marine n’en a pas cru ses yeux, ce 8 janvier 2021, au beau milieu de la cité Kerarden, à Vannes (Morbihan), où elle réside.

    Elle n’a pas eu le temps de régler son téléphone portable pour prendre l’oiseau « vert et bleu » en photo car, au bout de quelques minutes, « il avait repris son envol en direction de l’école Jacques-Prévert ». Ce témoignage, relayé sur la page Facebook Pet Alert Morbihan 56, dédié aux animaux de compagnie perdus ou retrouvés, est parvenu jusqu’à Michel.

    Vert, jaune et bleu

    Cet habitant du pays de Questembert, passionné d’oiseaux, s’est justement fait voler son perroquet, dans la nuit du 30 au 31 décembre. « Ma volière avait déjà fait l’objet d’une tentative d’intrusion, il y a deux mois. Mais l’alarme avait fait fuir les voleurs. Cette fois, ils ont carrément découpé le grillage et réussi à me voler mon ara ararauna, un perroquet au plumage vert, jaune et bleu, identique à la description de cette dame. »

    Pour lui, il n’y a pas de doute, c’est l’oiseau qui est né dans son élevage, il y a trois ans. « Il n’y a pas des dizaines de perroquets comme celui-là en pleine nature. Cette espèce ne vit à l’état sauvage qu’en Guyane et en Amérique du Sud », précise-t-il.

    Plusieurs hypothèses

    Le propriétaire avance plusieurs hypothèses pour expliquer que son oiseau ait pu se retrouver dans le quartier de Kercado. « Une certitude, c’est qu’il n’a pas pu rejoindre Vannes par ses propres ailes. Un tel oiseau ne peut parcourir que 5 à 10 km seul. » Selon lui, les voleurs se seraient aperçus qu’ils ne pouvaient pas le revendre, car il était bagué et pucé, et l’aurait alors relâché.

    Autre piste : « Lors d’une manipulation, il a peut-être blessé le ou les voleur(s) avec son bec puissant et est ainsi parvenu à s’échapper. » Depuis le témoignage de Marine, le perroquet a été aperçu par d’autres habitants du quartier, situé à l’ouest de Vannes. Mais à chaque fois, le propriétaire a été prévenu trop tardivement pour pouvoir le récupérer. Il sait que sa capture sera difficile. « Chez moi, il est dans une volière de 300 m3, il vole quasi-librement. Comme mes autres oiseaux, je ne l’ai pas apprivoisé. Il est sauvage et ne se laisse donc pas approcher facilement. »

    L’oiseau est acclimaté, donc ne craint pas nos températures. En revanche, Michel redoute davantage le manque de nourriture. « Il se nourrit d’un mélange de graines. Il mange aussi des fruits et légumes. Mais pas sûr qu’il en trouve beaucoup en pleine ville. » Si vous apercevez le perroquet, vous pouvez contacter Michel, au 06 82 70 60 87.

    Ouest-France


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  • Séparatisme : Neuf mosquées ou salles de prières fermées ces dernières semaines

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé ce vendredi que neuf mosquées et salles de prières avaient été fermées ces dernières semaines en France.

    La lutte contre le séparatisme menée par le gouvernement s’intensifie. Neuf salles de prières ou mosquées ont été fermées au cours des dernières semaines en France, dont huit pour des raisons administratives. « Parmi les 18 lieux qui étaient particulièrement surveillés à ma demande, 9 ont pu être fermés », a indiqué Gérald Darmanin au Figaro.

    « Conformément aux instructions du Président de la République et du Premier ministre, nous menons une action déterminée contre le séparatisme islamiste », ajoute-t-il sur Twitter.

    Trois des lieux fermés se trouvent en Seine-Saint-Denis, où les autorités avaient déjà ordonné la fermeture de la mosquée de Pantin et celle du Pré-Saint-Gervais, accusées d’avoir relayé des messages visant le professeur Samuel Paty, tué dans l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). Les autres sont situées à Montmagny, Goussainville (Val-d’Oise), Thiers (Puy-de-Dôme) et Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) notamment.

    D’autres mosquées, à Lunel (Hérault) et à Marseille, ont également fait l’objet de « procédures judiciaires » et de « contrôles fiscaux » a précisé l’entourage du ministre. 89 mosquées sont actuellement placées dans le collimateur de l’État, soit 13 de plus qu’en décembre dernier selon Le Figaro.

     

    ACTU 17


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  • Une femme âgée de 21 ans a été tuée à l’arme blanche à son domicile d’Alençon (Orne). La police judiciaire a été chargée de l’enquête. Aucun suspect n’a été interpellé à ce stade.

    Le corps de Laura Tavares a été découvert ce vendredi matin vers 11 heures, dans l’appartement qu’elle louait dans la rue Saint-Blaise rapporte Ouest-France. La jeune femme présentait plusieurs plaies à l’arme blanche et de sérieuses blessures au niveau de la tête. Des traces de lutte ont également été relevées dans l’habitation par les enquêteurs de la police judiciaire, lors des constatations.

    Le décès de la victime remonterait à jeudi après-midi. Une autopsie va être pratiquée pour permettre aux policiers d’en savoir plus sur les circonstances de ce meurtre.

    Elle n’est pas retournée au travail après la pause

    Laura Tavares, 21 ans, était apprentie coiffeuse dans un salon se trouvant non loin de son appartement. Elle était partie en pause vers 12h30 mais n’est jamais revenue au travail. La jeune femme a été vue pour la dernière fois en train de fumer une cigarette sur le trottoir, en début d’après-midi précisent nos confrères. Les enquêteurs ont pu le constater sur les images de vidéosurveillances. Sans nouvelle de leur collègue, la patronne du salon et une salariée ont fait la macabre découverte vendredi matin.

    Les investigations se poursuivent pour identifier le ou les tueurs ainsi que leurs motivations. L’affaire devrait être transférée du parquet d’Alençon, vers le pôle criminel de Caen.

    ACTU 17


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  • Marianne Faithfull - Plaisir d'amour (1966)

    Moins d'un an après avoir contracté la Covid-19, la chanteuse Marianne Faithfull souffre de terribles séquelles. Elle, qui n'est pas sûre de pouvoir chanter à nouveau, subirait également des pertes de mémoire régulières.

    L'épidémie de coronavirus n'épargne personne. Pas même les plus puissants. Alors que le président Emmanuel Macron et son épouse Brigitte l'ont contracté sans gravité en décembre dernier, la chanteuse Marianne Faithfull, elle, a particulièrement inquiété ses fans. En avril 2020, au tout début de la pandémie, elle avait été hospitalisée à Londres. Ses proches avaient alors affirmé qu'elle pouvait "à peine parler". Heureusement quelques semaines plus tard, l'interprète de The ballade of Lucy Jordan avait donné des nouvelles nettement plus rassurantes. Se disant parfaitement remise sur pied, la star de 74 ans avait remercié le personnel hospitalier sur ses réseaux sociaux. Mais force est de constater que près d'un an plus tard, les séquelles de la maladie se font encore ressentir. "La mémoire, la fatigue et mes poumons ne vont toujours pas bien. Je dois prendre de l'oxygène. Les effets secondaires sont si étranges"a confié la star lors d'un entretien accordé à The Guardian.

    Marianne Faithfull souffre de pertes de mémoire

    Inquiète pour l'avenir, Marianne Faithfull explique que ses diagnostics ne sont pas des plus rassurants. Un médecin lui a en effet confié qu'il ne pensait pas que ses poumons se remettraient un jour. Résultat : "Je ne pourrai peut-être plus jamais chanter"regrette la native de Londres, pour qui l'idée de ne plus jamais donner de la voix est un véritable crève-coeur. D'autant plus qu'elle est actuellement en pleine promotion de son dernier album, She Walks in Beautyenregistré avant qu'elle n'attrape le virus. Plus que jamais, elle espère donc un "miracle". Mais l'altération de sa voix n'est pas la seule séquelle qu'elle a gardée de la Covid-19. Elle souffrirait également de pertes de mémoire. "Je me souviens très bien du passé lointain. Ce sont les choses récentes dont je ne me souviens pas. Vous ne pouvez pas savoir à quel point c’est terrible"confie tristement la maman de Nicholas Dunbar. Il ne reste plus qu'à lui souhaiter un prompt rétablissement...

    Voici

    Je n'avais jamais entendu parler de cette nana !


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  • Le magicien Siegfried Fischbacher, du duo "Siegfried & Roy", est mort à 81 ans, huit mois après son complice

    Le magicien Siegfried Fischbacher, du duo "Siegfried & Roy", est mort à 81 ans, huit mois après son complice

    L'illusionniste d'origine allemande s'est éteint mercredi soir à son domicile de Las Vegas des suites d'un cancer, a-t-on appris jeudi auprès de son agent.

    l n'aura survécu que huit mois à son acolyte Roy Horn. Siegfried Fischbacher, cofondateur du célèbre duo de magiciens "Siegfried & Roy", est mort mercredi soir, 13 janvier, chez lui à Las Vegas des suites d'un cancer, a fait savoir son agent jeudi. Roy Horn était mort en mai 2020, à 75 ans, de complications liées au Covid-19, également à Las Vegas, rappelle leur agent, Dave Kirvin dans un communiqué transmis à l'AFP.

     

    C'est dans la capitale mondiale du jeu et des shows clinquants que les deux illusionnistes avaient connu la gloire pendant de longues années grâce à leurs numéros mettant en scène des fauves - les fameux tigres blancs notamment - et même des éléphants, qu'ils faisaient disparaître et réapparaître à leur guise sous les yeux ébahis du public.

    Débuts à Las Vegas en 1967

    Siegfried et Roy avaient commencé leur carrière à Las Vegas en 1967 dans des revues avant de devenir des stars mondiales dans les années 1980 grâce à leurs performances hors du commun. Les tigres blancs étaient leur marque de fabrique et c'est avec eux qu'ils se sont produits à partir de 1990, presque tous les soirs à guichets fermés, au célèbre hôtel casino Mirage, le plus grand établissement de Vegas à l'époque.

    Mais en octobre 2003, le jour de ses 59 ans, Roy Horn avait été attaqué au cours d'une représentation par un tigre blanc du Bengale, Mantecore. Grièvement blessé, il en avait gardé de graves séquelles, notamment une perte de mobilité et du langage, et le show n'avait pas pu reprendre. Siegfried & Roy n'avaient fait qu'une nouvelle apparition en 2009, avant de prendre officiellement leur retraite l'année suivante.

    Repérés à Paris

    Né le 13 juin 1939 dans la ville de Rosenheim, en Bavière, Siegfried aurait découvert sa vocation de prestidigitateur dès l'enfance, après être tombé sur un livre de tours de magie dans une boutique quand il avait huit ans. À la fin des années 1950, il avait fait la rencontre de Roy Horn à bord d'un navire de croisière et ils avaient décidé de s'associer pour monter des numéros avec des animaux exotiques, d'abord à travers l'Europe, puis à Las Vegas.

    C'est à Paris qu'ils avaient été repérés et avaient gagné leur billet pour la capitale du jeu. La sœur de Siegfried Fischbacher, Dolore, une religieuse vivant à Munich, a dit à la chaîne américaine NBC avoir parlé mercredi soir au téléphone à son frère, très affaibli par un cancer du pancréas en phase terminale, peu avant son décès dans le domaine de la "Petite Bavière" que le duo de magiciens possédait à Vegas. "Il a seulement pu dire OK", a confié Dolore.

    franceinfo


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  • Deux hommes, dont un policier, sont poursuivis par la justice pour des viols sur de très jeunes enfants. Les gendarmes d’Angers (Maine-et-Loire) ont identifié douze enfants victimes, ainsi que de nombreux hommes ayant partagé des images sordides de ces actes

    Les gendarmes de la compagnie d’Angers ont travaillé durant deux ans sur ce dossier. L’affaire a débuté par un signalement à la plateforme Pharos en février 2018 raconte Ouest-France. Le message expliquait aux enquêteurs qu’un jeune homme aurait commis des abus sexuels sur des enfants avec le nom de profil « Panda bleu ».

    Les investigations vont permettre aux gendarmes d’identifier un suspect. Il habite chez ses parents et a réalisé des stages dans trois écoles maternelles de l’agglomération angevine. Le jeune homme passait un CAP petite enfance. Ce dernier a été interpellé le 21 février. Les enquêteurs ont alors mis la main sur des photos et des vidéos mettant en scène de jeunes enfants.

    Certaines scènes ont été filmées

    Lors de la suite de l’enquête, les gendarmes ont fait de terribles découvertes. Ils ont identifié des faits de viols et d’agressions sexuelles sur les deux fils du frère du mis en cause, entre 2010 et 2018, mais également sur des nièces et des neveux explique le quotidien. L’homme avait parfois filmé et mis en scène ces actes insoutenables. Il avait également utilisé des objets alors que les victimes – toutes âgées de moins de 5 ans – avaient les mains attachées. La justice a retenu la qualification d’actes de torture et de barbarie à son encontre. L’homme de 27 ans sera jugé par la cour d’assises du Maine-et-Loire.

    L’horreur ne s’est pas arrêtée là. Les gendarmes ont aussi identifié un second suspect qui a participé à ces violences sexuelles : un policier affecté à Nanterre (Hauts-de-Seine). Ce dernier fait l’objet d’une procédure distincte et sera jugé par la cour criminelle des Yvelines pour viols sur mineurs et détention, diffusion et enregistrement d’images pédopornographiques.

    D’autres mis en cause ont été identifiés durant les investigations, dans toute l’Europe. Ils sont accusés d’avoir visionné et partagé ces vidéos immondes. Au total, les gendarmes ont auditionné 470 enfants et leur famille, afin de déterminer s’ils ont été en contact avec les agresseurs.

    ACTU 17


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  • Un peu trop long sur le serpent après le sauvetage !


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  • Les corps des trois jeunes marins-pêcheurs, deux frères de 19 et 26 ans et un homme de 27 ans, disparus dans la nuit de jeudi à vendredi au large du Calvados après le naufrage de leur chalutier ont été retrouvés.

    Les corps des trois jeunes marins-pêcheurs disparus dans la nuit de jeudi à vendredi au large du Calvados après le naufrage de leur chalutier ont été retrouvés, a indiqué à l'AFP le procureur de la République du Havre, Bruno Dieudonné. "Ils ont été retrouvés en début d'après-midi par des plongeurs, dans l'épave du bateau. Ils ont été remontés et ramenés au port de Ouistreham (Calvados)", a indiqué le procureur, précisant que les victimes sont deux frères de 19 et 26 ans et un homme de 27 ans, co-armateur du bateau. Les trois hommes étaient portés disparus après le naufrage de leur navire la veille alors que ce dernier était en train d'être remorqué dans une mer formée par les sauveteurs de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM).

     

    "L'enquête nous dira si cette tragédie est due aux conditions météorologiques, si c'est en rapport avec l'état du bateau ou s'il y a eu un problème particulier pendant le remorquage. Toutes les hypothèses sont retenues", a ajouté le procureur.

    Une "avarie de barre"

    Le chalutier à bord duquel se trouvaient les marins, le Breiz, avait donné l'alerte jeudi à 18H57 pour signaler une "avarie de barre", avait précisé plus tôt la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord.

    Le canot tous temps Sainte Anne des flots de la SNSM de Ouistreham a alors été engagé pour porter assistance et remorquer le navire. "A 23H35, dans une mer formée à 3 nautiques (environ 5,5 km) au nord de Lion-sur-mer (Calvados), le convoi a changé de cap pour rentrer à Ouistreham. Pendant cette manœuvre, le Breiz a embarqué une lame et sombré soudainement", selon le communiqué de la préfecture.

    D'importants moyens de secours ont alors été mobilisés. L'épave a été localisée à 00h48 et les recherches se sont concentrées autour de la zone. La visibilité sur zone demeurait "très mauvaise" en début de matinée, selon la préfecture maritime. Les recherches ont été stoppées vendredi vers 11h00 après plus d'une dizaine d'heures d'opérations de recherche. "Une enquête du chef d'homicide involontaire a été ouverte afin de déterminer précisément les causes de ce naufrage même si l'avarie de barre associée à de mauvaises conditions météo semble être la principale explication", avait déclaré plus tôt à l'AFP Cyrille Fournier, procureur adjoint du Havre.

    "Si pour le moment aucun élément ne permet de mettre en cause les conditions du remorquage, nous vérifierons toutefois que tout a été effectué dans les règles de l'art sachant qu'il s'agissait, aussi, pour l'équipage de la SNSM d'une opération risquée", avait ajouté le magistrat. Le Breiz est un chalutier de 11,21 m appartenant à la Poissonnerie des 4 vents à Courseulles-sur-mer (Calvados), qui n'a pas pu répondre aux questions dans l'immédiat, en raison de sa "très grosse peine".

    Paris Match


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  • Une exceptionnelle tombe d'enfant de l'époque gallo-romaine trouvée près de Clermont-Ferrand

    Une tombe d'enfant "exceptionnelle", vieille de 2 000 ans, a été découverte sous l'aéroport de Clermont-Ferrand, à Aulnat (Puy-de-Dôme), a annoncé jeudi l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap). Âgé d'environ un an, le jeune défunt a été inhumé au début du 1er siècle de notre ère dans un cercueil en bois de 80 centimètres de long "révélé par la présence de nombreux clous et d'une plaque de fer ornementale", précise l'Inrap dans un communiqué.

    Cette découverte a eu lieu en décembre dans le cadre de fouilles préventives menées par des archéologues de l'Inrap sur prescription de l'État et de la Drac Auvergne-Rhône-Alpes, en amont de l'installation d'une base de vie de chantier à l'aéroport.

    Des offrandes de nourriture, de cosmétiques et un jeu trouvés dans la tombe

    De nombreuses offrandes au défunt ont été mises au jour autour du cercueil : une vingtaine de récipients et des pièces de boucherie dont un demi-cochon, trois jambons, d'autres portions de porc et deux poules décapitées. Des vases miniatures et des balsamaires en verre contenant probablement des produits cosmétiques ou médicinaux ont également été découverts.

    Cette sépulture est "atypique au regard de la profusion de vases et d'offrandes. Dans ce type de tombes, on trouve souvent un ou deux vases déposés au pied. Ici, il y en a une vingtaine, ainsi que des dépôts alimentaires abondants", a indiqué à l'AFP Laurence Lautier, responsable des fouilles de l'aéroport. Cela "reflète un certain statut social, une famille certainement très riche", a-t-elle ajouté.

    Les archéologues ont également exhumé un cerceau en fer associé à une tige métallique, en fait un jeu "qui existait à l'époque mais n'avait pas été découvert dans une sépulture", selon elle.

    Près de l'enfant, un squelette de chien a aussi été retrouvé dans "une tombe d'accompagnement". Une telle association était courante à l'époque mais la découverte du collier de l'animal et de sa clochette "sont très nouveaux", souligne l'Inrap. Enfin, un dépôt "aussi petit qu'émouvant était placé sur un fragment de coquillage : une dent de lait perdue par un enfant plus âgé, peut-être celle d'un frère ou d'une soeur du jeune défunt".

    Des fouilles sur 3,5 hectares

    Les sépultures de jeunes enfants gallo-romains sont souvent situées hors de l'espace funéraire communautaire et même parfois à proximité du foyer familial, détaille l'institut. Cette découverte "nous donne des indications sur l'interprétation de bâtiments situés à proximité, certainement une villa", a expliqué Laurence Lautier.

    Réalisées sur 3,5 hectares, les fouilles révèlent des habitats de l'âge du Fer, de l'Antiquité, du haut Moyen Age et de l'époque moderne. Débutées en novembre, elles doivent s'achever en février.

    franceinfo


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  • Une enquête a été ouverte contre quatre hommes, âgés de 39 à 48 ans

    Soupçonnés de se livrer à un trafic d'or, qu’ils fondaient illégalement et exportaient sous forme de lingots à l’étranger via l'aéroport Paris-Charles de Gaulle, quatre hommes ont été interpellés et placés sous contrôle judiciaire, a annoncé le parquet de Bobigny, ce vendredi.

    Le parquet a ouvert une enquête préliminaire contre les quatre hommes, âgés de 39 à 48 ans, pour exportation en contrebande et en bande organisée de marchandises prohibées, blanchiment aggravé, participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un délit puni de dix ans d’emprisonnement et exécution de travail dissimulé.

    Des ateliers clandestins

    Tous placés sous contrôle judiciaire, ils sont convoqués en juin pour être jugés devant le tribunal correctionnel, a précisé cette source. Trois d’entre eux n’ont aucun antécédent judiciaire. De longs mois ont été nécessaires aux enquêteurs de la police aux frontières de Roissy pour remonter cette organisation, à la suite d’une première alerte des douanes de l’aéroport en juillet 2020.

    Muni d’un lingot d’un kilo d’une valeur de plus de 53.000 euros qui lui avait été remis « dans l’enceinte de l’aéroport », un voyageur s’apprêtait alors à prendre un vol commercial à destination de Dubaï, selon le parquet. L’enquête a permis de découvrir des ateliers clandestins et de saisir des bijoux, du matériel d’orfèvrerie et environ 72.000 euros en espèces.

    Un deuxième fondeur d’or arrêté

    « C’est une bande qui récupère des objets volés et les fond de manière artisanale. Ils avaient un laminoir pour écraser les chaînes et faire du fil, des creusets en carbone pour mettre tout ça dans un four à 1.000 degrés, et des moules. Mais ce n’était pas un or de super qualité », a souligné une source policière.

    D’après les premiers éléments de l’enquête, un atelier clandestin niché dans une boutique du 18e arrondissement de Paris servait de fonderie. Le commanditaire était chargé des exportations, le gérant de la boutique de la mise en relation des clients avec l’orfèvre non déclaré, et ce dernier de la transformation de l’or et sa revente. Un deuxième fondeur d’or, qui officiait dans un atelier clandestin au sein d’un garage à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) a également été arrêté, mais n’avait aucun lien avec le commanditaire présumé.

    20 Minutes


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  • Décès du Baron Benjamin de Rothschild, président de la holding Edmond de Rothschild

    A la tête du groupe Edmond de Rothschild depuis 1997, le Baron Benjamin de Rothschild est décédé vendredi d’une crise cardiaque à 58 ans.

    Le Baron Benjamin de Rothschild, président du conseil d’administration d’Edmond de Rothschild Holding SA, entité qui chapeaute le Groupe Edmond de Rothschild, est décédé vendredi 15 janvier, a annoncé samedi sa famille à l’AFP.

    « Ariane de Rothschild et ses filles ont l’immense tristesse de faire part du décès de leur mari et père, Benjamin de Rothschild survenu à la suite d’une crise cardiaque au domicile familial de Pregny (Suisse) dans l’après-midi du 15 janvier 2021 », a indiqué la famille dans un communiqué.

    Le groupe franco-suisse dont le siège se trouve à Genève, spécialisé dans la banque privée et la gestion d’actifs, n’a aucun lien avec la banque d’affaires franco-britannique Rothschild and Co. La valeur des actifs gérés par le groupe s’élève à 173 milliards de francs suisses.

    Défenseur du savoir-vivre

    Benjamin de Rothschild était à la tête du groupe depuis 1997 et le décès de son père, Edmond de Rothschild, mari de la baronne Nadine de Rothschild, qui s’est fait connaître pour sa défense du savoir-vivre et des bonnes manières.

    Les obsèques de Benjamin de Rothschild se dérouleront dans les prochains jours dans la plus stricte intimité familiale, a précisé sa famille.

    Ouest-France

    Benjamin de Rothschild, né le 30 juillet 1963 à Neuilly-sur-Seine et mort le 15 janvier 2021 à Pregny (Suisse), est un banquier français, propriétaire du groupe Edmond de Rothschild depuis 1997. Il est le fils d'Edmond (1926-1997) et de Nadine (1932-) de Rothschild. Il est marié à Ariane de Rothschild


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  • Voilà le tien Pierre !


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