• Brigitte Macron : ce proche de son mari qui avait tenté de l’évincer bientôt de retour ?

    Alors qu'il avait démissionné de ses fonctions de conseiller spécial en mars 2019, Ismaël Emelien, l'un des "Mormons" de la Macronie, pourrait bien revenir sur le devant de la scène politique, en vue de l'élection présidentielle de 2022. Brigitte Macron, qui a un passif avec lui, va devoir faire avec.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/brigitte-macron-ce-proche-de-son-mari-qui-avait-tent%C3%A9-de-l-%C3%A9vincer-bient%C3%B4t-de-retour/ar-BB1cIeij?ocid=msedgntp


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  • Jean-Pierre Pernaut remonté : « On peut s’entasser dans le métro, pas aller au cinéma »

    Au micro de France Bleu, ce lundi 11 janvier, Jean-Pierre Pernaut a apporté son soutien au monde de la culture et aux stations de ski fermées tout en critiquant les décisions prises par le gouvernement.

    Il n'a pas sa langue dans sa poche. Alors qu'il n'est plus le présentateur du journal du 13 heures de TF1remplacé depuis quelques jours par Marie-Sophie Lacarrau, Jean Pierre Pernaut continue à faire parler de lui en donnant son avis sur l'actualité en toute franchise. Invité de l'émission Une heure en France, sur France Bleu, ce lundi 11 janvier, le journaliste a poussé un coup de gueule en affirmant ne pas comprendre les mesures prises par le gouvernement pour enrayer la crise du Covid-19 : "Je ne comprends pas qu'on peut s'entasser dans le métro et qu'on ne peut pas aller au cinéma".

     

    Pour appuyer ses propos, Jean-Pierre Pernaut avance que "toutes les mesures de distanciation sont prises" pour se rendre dans un lieu culturel. Le journaliste star de TF1 ne comprend notamment pas pourquoi "on ne peut pas visiter les musées" ou bien pourquoi "on ne peut pas aller au théâtre alors qu'il n'y a aucun risque en gardant son masque". Jean-Pierre Pernaut a adressé a un message de soutien à toutes les professions à l'arrêt, notamment dans le domaine du spectacle et de la culture : "C'est difficile pour les artistes mais c'est difficile pour tous les gens qui travaillent pour eux. C'est-à-dire les costumiers, les régisseurs dans les salles, les gens qui placent dans les salles. On pense à tous ces gens-là qui sont les oubliés de la crise."

    Il défend les stations de ski

    Jean-Pierre Pernaut, qui appréciait donner la parole aux différents territoires français dans son journal, notamment aux stations de ski lors de la saison hivernale, ne les pas oublié lors de sa dernière sortie qui épingle le gouvernement : "Je ne comprends pas du tout pourquoi les remontées mécaniques sont fermées. Y a-t-il eu un foyer sur un tire-fesse ? Non. Y-a t-il eu un foyer dans un restaurant ? Non. Y a-t-il eu un foyer dans une salle de cinéma ? On n'en sait rien". Mais, celui qui a lancé désormais sa propre chaîne de reportages, le confesse, il ne voudrait pas "être à la place du gouvernement car ça doit être épouvantable de ne savoir comment faire pour juguler cette épidémie."

    GALA


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  • La pâte à tartiner « made in France » d'Arnaud Montebourg est en réalité italienne

    Il semblerait que la pâte à tartiner « made in France » ne le soit pas tant que ça. Selon La Dépêche du Midi, le produit commercialisé par l'ancien ministre et fervent défenseur des produits français Arnaud Montebourg, serait en réalité un aliment partiellement italien.

    En effet, cette pâte à tartiner contient des néonicotinoïdes, insecticide tueur d'abeilles que les producteurs français ont l'interdiction d'utiliser en France depuis l'été dernier, afin de lutter contre les ravageurs du noisetier. La « Mielette Bleu Blanc Ruche » commme elle s'appelle, serait donc composée à 60% de miel français, et à 40% de noisettes du Piémont, région située en Italie. 

     

    Pour se défendre, la directrice marketing et commerciale de cette marque a expliqué ce choix par la qualité gustative du produit. « On a fait des essais avec des noisettes de France, mais ce n’était pas concluant d’un point de vue gustatif, car on avait besoin d’une quantité de gras optimum qu’on a trouvée dans les noisettes italiennes du Piémont », a-t-elle rapporté à l'antenne de France 3 Bourgogne Franche-Comté. Mais elle assure que leurs équipes font tout pour y remédier : « Cela dit, comme on a envie d’avoir des produits qui soient 100% français, comme pour nos pains d’épices et nos nonnettes Mulot et Petitjean, on continue à chercher des fournisseurs », a-t-elle conclu. 

    Vanity  Fair


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  • Il découvre une araignée géante chez lui et en fait sa colocataire

    Si vous n’êtes pas un grand fan des araignées, cette histoire va vous faire froid dans le dos. Direction Cairns dans l’état australien du Queensland à l’est du pays. En 2019, Jake Gray a découvert qu’une araignée avait élu domicile chez lui. A ce moment-là, elle mesurait la taille de sa main environ. Une situation qui aurait pu déclencher une véritable crise de panique chez certains. Mais pas pour Jake, au contraire. Ce dernier a décidé d’adopter la petite bête et de vivre avec elle.

    Elle a bien grandi

    Près d’un an après avoir choisi de partager son domicile avec l’araignée, Jake Gray a donné des nouvelles de celle-ci sur Facebook. Il a donc posté une image de son amie sur son compte avec le message : « Regardez cette grande fille ! » Sur la photo, on peut voir une énorme araignée sagement postée sur un mur près du plafond. Après douze mois, elle ferait la taille d’une assiette. Rien que ça !

    Inutile de dire que les internautes ont été nombreux à réagir. Certains ont même ironisé en demandant à Jake si elle payait aussi le loyer.

    Un spécimen particulier

    Les admirateurs des araignées l’auront peut-être reconnu, il s’agit d’une sparassidae. Elles font régulièrement le tour de la Toile dans des vidéos où des gens paniqués tentent de les faire sortir de chez eux. Si elle peuvent impressionner par leur taille incroyable, pas d’inquiétude, elles ne sont pas dangereuses. Elles préfèrent prendre la poudre d’escampette et pour cela, elles sont très rapides. Elles vivent habituellement dans les crevasses des rochers.

    Gent Side


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  • Le pharaon laisse Moïse sortir d'Egypte, en Gospel !


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  • Des gorilles testés positifs au Covid-19 pour la première fois

    C'est une grande première qui confirme malheureusement ce qu'imaginaient les scientifiques. Dans le zoo de San Diego, au sud de la Californie, plusieurs gorilles ont été testés positifs au Covid-19. Les animaux ont été placés en quarantaine mais cela pose de nombreuses questions, notamment en ce qui concerne la transmission du virus entre l'homme et l'animal.

    Des animaux contaminés par un employé ?

    La direction du zoo, accompagnée par le gouverneur de Californie, a fait cette grande annonce le lundi 11 janvier. "Nous avons eu deux gorilles du zoo de San Diego qui ont été testés positifs au Covid-19", a déclaré le gouverneur Gavin Newsom lors de cette conférence de presse.

     

    Affirmant que la source de l'infection était toujours recherchée, il y a de réels soupçons concernant une contamination par un employé. Malgré la fermeture du parc à cause de la crise sanitaire, les agents continuent bien évidemment de prendre soin des animaux.

    Un employé visiblement asymptomatique aurait ainsi pu contaminer les gorilles, selon les responsables. Pourtant, ce dernier aurait respecté les mesures de précautions, portant notamment un masque en s'approchant des animaux.

    Des gorilles ont développé plusieurs symptômes

    Lisa Peterson, la directrice exécutive du zoo de San Diego, a révélé les symptômes contractés par ces grands singes. "Hormis un peu de congestion et de toux, les gorilles se portent bien", confie-t-elle. Les gorilles "restent en quarantaine" et "mangent et boivent tous ensemble".

    Cette découverte de cas de Covid-19 chez les singes est une grande première mais n'est pas réellement surprenante. En effet, ces animaux ont près de 98 % d'ADN en commun avec l'Homme. Cette proximité génétique expliquait par exemple pourquoi de nombreux chimpanzés étaient morts lors de la crise causée par le virus Ebola en Afrique.

    Gent Side


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  • Covid-19. Le cascadeur Rémy Julienne hospitalisé dans un état grave

    Le cascadeur Rémy Julienne se trouve en réanimation dans le Loiret depuis début janvier. L’homme de 90 ans a contracté le Covid-19. Il est connu pour ses apparitions dans « La Grande Vadrouille » ou encore dans plusieurs « James Bond ».

    Depuis début janvier, le cascadeur Rémy Julienne se trouve dans un état grave à l’hôpital de Montargis (Loiret). Il a contracté le coronavirus, a annoncé le député du Loiret Jean-Pierre Door sur son Facebook. « Il est en réanimation depuis une huitaine de jours maintenant, il lutte contre cette maladie », précise-t-il à France 3 Centre-Val de Loire, lundi 11 janvier. Avec émotion, il a ajouté : « On ne peut qu’attendre, et espérer. »

    Une star dans le monde du cinéma

    L’ancien maire de Cepoy, Jean-Paul Schouleur, a assuré à France Bleu Orléans qu’en décembre Rémy Julienne se portait bien. « Je l’ai croisé dans la commune il y a moins d’un mois, il marchait pour aller acheter le journal L’Équipe » tout en confirmant que « les dernières nouvelles sont inquiétantes ».

    Rémy Julienne, âgé de 90 ans, est considéré comme une figure du cinéma. Il est reconnaissable parmi tous grâce à son nœud papillon qu’il porte en toute occasion. Il a débuté en tant que cascadeur en 1934 dans Fantômas. Puis, sa carrière a pris son envol. Sur son CV, on retrouve de nombreux longs-métrages qui ont rencontré un succès notoire : La Grande VadrouilleLe Gendarme de Saint-Tropez, L’Aile ou la Cuisse, Taxi 2. Il a séduit également les réalisateurs américains en jouant dans deux James Bond : Permis de tuer et Golden Eye.

    Ouest-France


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  • Déclarée morte, cette femme de 58 ans se bat depuis trois ans pour prouver qu’elle est en vie

    Dans son bulletin du mardi 12 janvier 2021 sur TF1, Marie-Sophie Lacarrau a raconté une histoire ahurissante, à peine croyable. Dans la Loire, une femme de cinquante-huit ans se bat pour prouver qu'elle est en vie... après avoir été déclarée morte par son ancien employeur.

    "C'est une incroyable situation", a commenté la présentatrice du JT, elle-même abasourdie par une telle histoire. Mardi 12 janvier 2021, dans son édition de 13 heures, diffusée chaque jour sur TF1, Marie-Sophie Lacarrau a dressé le portrait de Jeanne Pouchain, une femme de cinquante-huit ans au cœur d'une véritable bataille juridique depuis trois ans. La raison ? Cette quinquagénaire tente de prouver à la justice française qu'elle est vivante, malgré un acte de décès prononcé il y a trois ans par son ancien employeur. Si cette histoire semble tout droit sortie d'une comédie sur grand écran, c'est en réalité un véritable "cauchemarque Jeanne Pouchain traverse depuis plusieurs années : "Ça semble complètement fou mais la justice a déclaré par erreur qu'elle était morte. Depuis, elle n'a plus de papiers d'identité, plus de couverture maladie... Elle est à bout", a expliqué Marie-Sophie Lacarrau. Une véritable descente aux enfers.

    "Notre vie n'a pas été bouleversée, elle est explosée aujourd'hui"

    Comme elle l'explique aux caméras du JT de TF1, Jeanne Pouchain a d'abord cru à une mauvaise blague. Employée à l'époque dans une société de nettoyage domiciliée dans la Loire, elle apprend subitement que son employeur a déclaré son décès après un conflit porté jusqu'aux Prud'hommes. La justice acte sa mort et ne cherche pas à corriger son erreur malgré sa présence dans les services d'administration. Pire encore, la Cour d'appel aurait constaté le décès de Jeanne Pouchain. Pour le couple de quinquagénaires, cette nouvelle est un "choc" : "Nous sommes épuisés nerveusement. Notre vie n'a pas été bouleversée, elle est explosée aujourd'hui. Parce qu'on ne parle que de ça, on ne pense qu'à ça...", a expliqué le mari de la victime.

    Depuis plusieurs mois, Jeanne Pouchain, avec pour seule preuve administrative son acte de naissance, tente donc de rectifier les documents qui attestent de son décès... et compte bien y parvenir. Comme elle l'explique lors de son portrait, elle a fait appel à un avocat et envisage de porter plainte pour "escroquerie au jugement". En espérant que cette dernière puisse "ressusciter" en 2021, comme l'a indiqué la voix off, non sans ironie.

    Femme actuelle


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    Regardez sur youtube ! Enfin ça dépend à quel moment vous passez !  


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  • Pourquoi il ne lui a pas donné à manger puis emmené chez le veto ?


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  • France : disparition inquiétante de Diary Sow, brillante étudiante sénégalaise

    Connue comme "la meilleure élève du Sénégal", Diary Sow, élève au Lycée Louis-le-Grand à Paris, n'a plus donné signe de vie depuis le 4 janvier. Très populaire dans son pays, sa disparition suscite beaucoup d'émotion au Sénégal. Une enquête a été ouverte en France pour tenter de la retrouver.

    Une enquête a été ouverte en France après la "disparition inquiétante" d'une étudiante sénégalaise, Diary Sow, élève dans un prestigieux établissement parisien, introuvable depuis le 4 janvier, provoquant l'inquiétude au Sénégal et en France, a-t-on appris, lundi 11 janvier, de sources étudiantes et policières.

    Diary Sow, 20 ans, connue comme "la meilleure élève du Sénégal", ne s'est pas présentée à la rentrée des vacances de Noël à Louis-Le-Grand, où elle était en deuxième année de classe préparatoire.

    "C'est une élève ponctuelle, très sérieuse, et l'alerte a été donnée rapidement. Personne ne l'a vue, on ne l'a pas trouvée dans son appartement", dans une résidence universitaire à Paris, a indiqué à l'AFP Henry Sarr, membre d'une association d'étudiants sénégalais qui ont lancé des appels sur les réseaux sociaux.

    La disparition a été signalée le 7 janvier par le consul du Sénégal et une enquête pour disparition inquiétante a été transmise à la brigade de répression de la délinquance à la personne (BRDP), selon une source proche du dossier.

    Sur le site du consulat, un avis de disparition avec la photo de la jeune femme et un numéro de téléphone (07 85 93 32 11) a été publié.

    Solidarité au Sénégal

    "Ni ses parents, ni ses amis, ni son tuteur, ni l'ambassade n'ont eu de nouvelles", selon un membre de la communauté sénégalaise à Paris, Daouda Mbaye, qui a organisé, dimanche, une distribution de tracts dans le 13e arrondissement de Paris, où habitait la jeune femme.

    La presse sénégalaise a évoqué sa disparition depuis plusieurs jours et certains Sénégalais ont affiché sa photo comme image de profil sur leur messagerie WhatsApp.

    Depuis l'annonce de la nouvelle, les autorités sénégalaises et françaises mettent tout en œuvre pour #RetrouverDiarySow avec un protocole d'alerte approprié. Faisons leur confiance. Merci pour votre mobilisation pour #DiarySow et gardons espoir, a twitté, dimanche, le parrain de la jeune femme, l'ex-ministre de l'Éducation, actuellement chargé de l'Hydraulique, Serigne Mbaye Thiam.

    Diary Sow a été désignée en 2018 et 2019 "meilleure élève du Sénégal" et est l'auteure d'un roman: "le visage d'un ange" (Harmattan, 2020).

    France 24


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  • Les douanes ont eu le nez creux près de Montpellier (Hérault). Ils ont saisi plus d’une tonne de cannabis dans un poids-lourd ce vendredi. Deux hommes ont été interpellés.

    La cargaison de drogue n’arrivera pas jusqu’à son destinataire. Un semi-remorque avec deux hommes à bord a fait l’objet d’un contrôle des douanes au péage de Saint-Jean-de-Védas sur l’autoroute A9, ce vendredi vers 18 heures raconte le Métropolitain. Les deux chauffeurs français d’une entreprise de transport de Lyon venaient d’Espagne et se relayaient au volant depuis Séville.

    Lors des vérifications, les douanes ont constaté que la cargaison du semi-remorque ne contenait pas des pièces détachées comme indiqué sur les documents, mais des palettes. Les quatre dernières palettes étaient chargées de cannabis explique Midi Libre. Il y avait près de 800 kilos de résine et 200 kilos d’herbe.

    Une cité de Nîmes comme point de chute

    Les deux suspects ont été interpellés et placés en garde à vue dans les locaux de la compagnie de Castelnau-le-Lez. La drogue était destinée à un commanditaire d’une cité de Nîmes (Gard) selon le Métropolitain.

    L’enquête est menée par l’Office anti-stupéfiants (OFAST), une unité qui a remplacé l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCTRIS) le 1er janvier 2020.

    Les douanes ont également mis la main sur 200 kilos de résine de cannabis la semaine dernière à Fréjus (Var), au péage du Capitou sur l’autoroute A8. Deux hommes ont été interpellés et ont écopé d’une peine de prison.

    ACTU 17


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  • La police a ouvert le feu sur une automobiliste qui refusait le contrôle dans la nuit de dimanche à lundi à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques). Cette dernière venait de percuter un fonctionnaire. Elle est décédée.

    Un policier est en garde à vue à Bayonne ce lundi matin, suite à une intervention qui s’est déroulée la nuit dernière, vers 1 heure selon Europe 1. Les forces de l’ordre ont voulu procéder au contrôle d’une automobiliste qui zigzaguait. Mais cette dernière a refusé avant d’être finalement interceptée sur l’avenue Maréchal-Soult.

    Alors que les policiers s’approchaient du véhicule, la conductrice aurait soudainement redémarré, percutant l’un des policiers au niveau d’un genou. L’un de ses collègues a alors ouvert le feu, blessant grièvement la femme au volant âgée de 37 ans. Transportée à l’hôpital dans un état grave, elle est décédée des suites de ses blessures peu après.

    Les « circonstances de l’ouverture des feux restent encore à préciser », a indiqué le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier, à Sud Ouest. La trentenaire était déjà connue des services de police pour des faits de délit de fuite, de menaces de mort et de vol selon Europe 1. Par ailleurs, le policier qui a été percuté est légèrement blessé.

    Le policier interrogé par la PJ et l’IGPN

    Le fonctionnaire de police qui a fait usage de son arme a été placé en garde à vue pour les besoins de l’enquête, ouverte du chef d’« homicide par personne dépositaire de l’autorité publique ». Elle permettra de déterminer précisément dans quelles circonstances le policier a ouvert le feu. Les investigations ont été confiées à la police judiciaire ainsi qu’à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).

    Une seconde enquête a été ouverte pour « tentative d’homicide sur une personne dépositaire de l’autorité publique ». La police judiciaire de Bayonne est en charge de ce dossier.

    ACTU 17

    A la place du flic, je n'aurai pas tiré !


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  • Deux plaintes ont été déposées à Strasbourg (Bas-Rhin) après qu’un ou deux livreurs de la société Deliveroo ont refusé de prendre en charge les commandes de deux restaurants juifs. Une enquête a été ouverte.

    La police recherche au moins un suspect après des comportements et des propos antisémites. Un livreur de la société Deliveroo s’est présenté dans un restaurant casher de Strasbourg ce jeudi, et a demandé quelle était la spécialité de l’établissement a raconté Me Raphaël Nisand, au quotidien Les Dernières nouvelles d’Alsace.

    « Je ne sers pas les Juifs », a alors lancé le livreur, avant d’annuler sa prise en charge de la commande. Des faits similaires se sont déroulés dans un second restaurant casher peu après, sans que l’on sache s’il s’agit du même livreur. Les deux restaurateurs ont déposé plainte le soir même au commissariat.

    De son côté, Me Raphaël Nisand a déposé plainte contre le ou les livreurs, mais également contre la société Deliveroo, au nom du Consistoire israélite du Bas-Rhin et du Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA). Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté départementale.

    « C’est inquiétant de savoir que des livreurs ont ce type de réactions pour les restaurateurs comme pour les clients », a déploré l’avocat auprès de nos confrères.

    Deliveroo ouvre une enquête interne

    « Nous prenons cet incident très au sérieux et avons immédiatement décidé de mener notre propre enquête interne, pour tirer au clair ces circonstances », a réagi Deliveroo dans un communiqué.

    « Si les faits tels qu’ils sont rapportés sont avérés, nous agirons et mettrons définitivement fin au contrat du livreur responsable » ajoute la société, précisant n’avoir « aucune tolérance pour les propos ou agissements antisémites, qui constituent un délit pénal » et « condamne tout acte de cette nature avec la plus grande fermeté ».

    ACTU 17


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