• L’armée israélienne a mené aux premières heures, ce lundi 17 mai, une intense série de frappes sur Gaza, après une semaine noire ayant fait quelque 200 morts dans les violences entre l’Etat hébreu et le Hamas islamiste, restés sourds aux appels internationaux à la désescalade.

    Dans la nuit de dimanche à lundi, l’aviation israélienne a pilonné la bande de Gaza à des dizaines de reprises en l’espace de quelques minutes, provoquant des coupures de courant, a constaté un journaliste de l’AFP.

    Des centaines de bâtiments ont été endommagés, d’après les autorités locales, qui n’ont pas fait état de victimes dans l’immédiat.

     

    Dans un court communiqué, l’aviation israélienne a indiqué que ses « avions de chasse » étaient en train de frapper « des cibles terroristes » à Gaza, sans épiloguer.

    " Il n’y a jamais eu de frappes d’une telle ampleur », a témoigné Mad Abed Rabbo, 39 ans, qui vit dans l’ouest de la ville de Gaza, faisant part de son « horreur, peur ».

    « L’impression de mourir »

    « J’ai eu l’impression de mourir, a déclaré une autre habitante de Gaza, Mani Qazaat. Netanyahou doit se rendre compte que nous sommes des civils, pas des militaires. »

    Ces nouvelles frappes israéliennes interviennent alors que l’enclave palestinienne, contrôlée par les islamistes du Hamas, a enregistré dimanche son bilan quotidien le plus lourd depuis le début de ce nouvel épisode de violences : 42 Palestiniens, dont au moins huit enfants et deux médecins, ont péri dans des raids, selon le ministère de la Santé local.

    Au total, depuis le 10 mai, 197 Palestiniens ont été tués, dont au moins 58 enfants, et plus de 1 200 blessés.

    Côté israélien, 10 personnes ont été tuées, dont un enfant, et 282 blessées après des tirs de groupes armés palestiniens depuis Gaza.

     

    Ces groupes armés, dont le Hamas, ont tiré plus de 3 100 roquettes vers Israël depuis le début des hostilités meurtrières, le rythme le plus élevé de projectiles jamais tirés sur le sol israélien, a indiqué dimanche l’armée israélienne, soulignant qu’une grande partie avait été interceptée par son système antimissile.

    « Notre campagne contre les organisations terroristes continue à plein régime », a affirmé dimanche le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, justifiant par ailleurs la frappe ayant pulvérisé la tour de 13 étages abritant les locaux de la chaîne d’information qatarie Al-Jazeera et l’agence de presse américaine Associated Press (AP).

    « Légitime »

    C’était « une cible parfaitement légitime », a-t-il déclaré, affirmant se baser sur des informations des services de renseignement.

    L’armée israélienne, qui a dit avoir ciblé des locaux et des équipements du Hamas, ainsi que certains commandants et des tunnels souterrains, accuse le mouvement islamiste de s’implanter près de civils pour s’en servir comme « boucliers » humains.

    Dimanche, l’aviation israélienne a frappé les domiciles du chef du Hamas à Gaza, Yahya Sinouar, et de son frère, « un militant terroriste ». Des sources de sécurité palestiniennes ont confirmé la frappe mais on ignore le sort de Yahya Sinouar.

     

    La dernière grande confrontation entre Israël et le Hamas remonte à l’été 2014. Le conflit qui avait duré cinquante et un jours avait ravagé la bande de Gaza et fait au moins 2 251 morts côté palestinien, pour la plupart des civils, et 74 côté israélien, quasiment tous des soldats.

    La violence « a le potentiel de déclencher une crise sécuritaire et humanitaire incontrôlable et d’encourager davantage l’extrémisme », a alerté dimanche le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, à l’ouverture d’une réunion d’urgence du Conseil de Sécurité.

    « Sang, terreur et destruction »

    « Ce cycle insensé d’effusion de sang, de terreur et de destruction doit cesser immédiatement », a-t-il insisté, alors que cette troisième session virtuelle n’a abouti à aucune avancée.

    Selon plusieurs diplomates interrogés par l’AFP, les Etats-Unis continuaient dimanche à refuser toute déclaration conjointe permettant d’aboutir rapidement à un arrêt des hostilités.

    La crise actuelle a éclaté le 10 mai avec un barrage de roquettes tirées par le Hamas sur Israël en « solidarité » avec les centaines de manifestants palestiniens blessés dans des heurts avec la police israélienne à Jérusalem-Est. A l’origine des manifestations, la menace d’expulsion forcée de familles palestiniennes au profit de colons israéliens dans le quartier de Cheikh Jarrah.

    Dimanche soir dans ce même quartier, une attaque à la voiture-bélier contre une patrouille israélienne a fait plusieurs blessés. La police a d’abord dit avoir « neutralisé » l’assaillant puis a précisé qu’il était « mort ».

    « Spirale de violence »

    Elle a aussi dit avoir procédé à « un certain nombre d’arrestations » après des heurts nocturnes dans d’autres secteurs de Jérusalem-Est.

    Les hostilités se sont étendues cette semaine à la Cisjordanie, autre territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967, où des affrontements avec l’armée israélienne ont fait 19 morts depuis le 10 mai, selon un bilan palestinien.

    Sur son territoire, Israël est également confronté à des violences inédites et des menaces de lynchages dans ses villes « mixtes », où vivent Juifs et Arabes israéliens.

    « Les affrontements risquent d’entraîner Israéliens et Palestiniens dans une spirale de violence aux conséquences dévastatrices pour les deux communautés et pour toute la région », a mis en garde dimanche António Guterres.

    L'OBS


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  • Michel Cymes un thermomètre dans les fesses… ce défi très surprenant subi par l'acolyte d'Adriana Karembeu en plein direct !

    Encore une émission bien mouvementée ce dimanche 16 mai, sur le plateau d’Antidote !

    Muscler ses fesses est une nouvelle fois la tendance d’avant l’été. Femme ou homme, il va donc falloir s’y mettre… à l’image de Michel Cymes qui a vraiment donné de sa personne pour montrer l’exemple.

    Ce dimanche 16 mai, Michel Cymes accueillait Major Mouvement sur le plateau d’Antidote, afin de montrer les meilleurs exercices pour se muscler les fesses de chez soi. Pour l’occasion, le kinésithérapeute et chroniqueur de l’émission Grégoire Gibault, s’est lui aussi prêté au jeu en exécutant quelques exercices bons pour le corps et les muscles. Lui-même cobaye au départ, il a ensuite fait appel au présentateur, qui se moquait ouvertement de lui, pour exécuter le "hip thrust sur canapé".

    Dos au sol et pieds sur le canapé, il suffit de monter le bassin, tout en serrant bien fort les fesses, avant de redescendre lentement sans toucher le sol. Une explication face à laquelle Michel Cymes est apparu bien perplexe, "Imaginez que je veuille vous mettre un thermomètre et que vous ne voulez pas", précise alors Major Mouvement. Étonné, l’animateur répond sans même avoir les mots, "Ah bah d’accord", avant de reprendre ses esprits une fois les fesses bien en l’air, "Essayez de me mettre le thermomètre, vous allez voir ! ".

    Une séquence hilarante, bien loin des débuts de Michel Cymes, à l’époque où il était encore timide et réservé à l’antenne.

    Public


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  • L’usine Maxam Tan liquidée, ses gardiens laissés sur le carreau

    Ce lundi, c’est jour de fermeture pour les 72 salariés de l’usine Maxam Tan, à Mazingarbe, dans le Pas-de-Calais. Ils prévoient un dernier baroud d’honneur après une bataille de onze mois où ils ont perdu leurs illusions. «C’est uniquement parce qu’il y avait un impact sur la sécurité des villages alentour qu’on a parlé de nous», remarque l’un d’eux. Un petit plan social comme il y en a tant, pas assez d’hommes sur le carreau pour qu’on s’y intéresse. Mais sur le site de l’usine, à l’arrêt depuis le 17 juin 2020, est resté un réservoir plein de 1000 litres d’ammoniac liquide. «A température et pression ambiante, il redevient un gaz de façon naturelle en un à deux jours», explique Rudolph, de la maintenance. «S’il n’y a personne pour contrôler, à la moindre petite panne, c’est la catastrophe.» Avec le risque de dispersion d’un nuage toxique, potentiellement mortel, au cœur d’une zone densément peuplée, entre Lens et Béthune…

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/l-usine-maxam-tan-liquid%C3%A9e-ses-gardiens-laiss%C3%A9s-sur-le-carreau/ar-BB1gObLj?ocid=msedgntp


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  • 1er novembre 1975 Michel Sardou "Le France" - Archive vidéo INA


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  • Les deux agresseurs présumés ont été identifiés puis interpellés par la police. Ils ont été jugés ce vendredi pour cette violente agression d’un père de famille en pleine rue, et ont écopé de 18 mois de prison avant d’être écroués.

    Parce qu’il a simplement réagi devant une voiture qui venait de lui couper la route alors qu’il s’apprêtait à traverser la chaussée, sur un passage protégé avec son enfant, un père de famille a essuyé une pluie de coups. Au point d’en avoir la mâchoire fracturée. Le tout sous les yeux terrifiés de sa petite fille, âgée de 8 ans.

    Les faits se sont déroulés le 7 mai dernier, vers 17 heures, avenue Victor-Hugo, dans le centre-ville de Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). L’automobiliste mécontent d’avoir été invectivé pour sa conduite pour le moins dangereuse, est descendu de son véhicule, accompagné de son passager. Avant de se porter à la hauteur du père de famille, âgé d’une quarantaine d’années. Les deux belligérants s’en sont ensuite pris à la victime. Cette dernière a reçu de multiples coups avant de chuter au sol et de perdre connaissance. L’un des deux agresseurs a encore asséné un violent coup de pied au père de famille, inconscient, avant de prendre la fuite avec son complice, au volant de leur Citroën Nemo.

    Rapidement secouru, le père de famille souffre d’une fracture de la mâchoire et de multiples hématomes au visage. Il s’est vu prescrire 10 jours d’interruption totale de travail (ITT). En charge des investigations, les enquêteurs de la brigade des enquêtes d’initiative (BEI) du commissariat de Rosny-sous-Bois ont rapidement remonté la piste des auteurs de ces violences, grâce à des témoins qui sont parvenus à relever le numéro de la plaque d’immatriculation de la voiture des deux agresseurs.

    Bien connus des services de police

    Se sachant recherché, l’un des deux suspects, Ibrahim H., 21 ans, s’est présenté au commissariat, lundi dernier, avant d’être placé en garde à vue. Il a été identifié comme étant le conducteur de la Nemo au moment des faits. Il a tenté de se défendre en expliquant que le père de famille avait porté les premiers coups, avant de se murer dans le silence. Son comparse, Moussa S., également âgé de 21 ans, a finalement été interpellé, le lendemain, alors qu’il se cachait dans un logement à Poissy (Yvelines). Malgré l’exploitation de sa téléphonie, indiquant qu’il se trouvait bien sur les lieux des faits, il a nié en bloc sa présence. Il a également été formellement reconnu par la victime.

    Les deux suspects sont déjà connus des services de police notamment pour des vols à main armée, des violences et des délits routiers. A l’issue de leur garde à vue, ils ont été présentés à un magistrat du parquet de Bobigny et ont été jugés ce vendredi 14 mai, selon la procédure de comparution immédiate. Les deux hommes ont été condamnés à 18 mois de prison. Un mandat de dépôt a été déviré, ils ont été conduits en prison à l’issue de l’audience.

    ACTU 17


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  • Le maire (centre droit) de São Paulo, Bruno Covas, est décédé dimanche, à l'âge de 41 ans, d'un cancer du système digestif dont il souffrait depuis 2019, a indiqué dans un communiqué l'hôpital syro-libanais de la ville, capitale économique du Brésil, où il était soigné.

    « Le maire Bruno Covas est décédé aujourd'hui à 8 h 20 des suites d'un cancer (du système digestif) avec métastases, et de ses complications après une longue période de traitement », détaille un communiqué de l'hôpital.

    Son état était irréversible

    La nouvelle a eu un énorme écho sur les réseaux sociaux où des milliers de personnes ont aussitôt exprimé leurs condoléances et leur solidarité avec sa famille, en particulier à l'égard de son fils Tomas, 15 ans. « Merci à Bruno Covas d'avoir partagé avec nous tous tant d'affection et de dévouement », a déclaré le gouverneur de São Paulo, Joao Doria, dans un communiqué.

    Vendredi, l'équipe médicale qui soignait Bruno Covas avait annoncé que son état était irréversible. Il avait été hospitalisé le 2 mai après la détection de saignements à l'estomac lors de tests précédents pour poursuivre chimiothérapie et immunothérapie.

    Figure traditionnelle au sein du Parti centriste

    Face à l'aggravation de son état, l'édile encarté au Parti de la social-démocratie brésilienne (PSDB, centre droit) avait demandé une mise en retrait de 30 jours pour se « dédier totalement » à ses soins. « Mon corps exige que je consacre plus de temps au traitement, qui entre dans une phase très sévère », avait-il dit dans un communiqué publié sur Twitter.

    Petit-fils de l'ex-gouverneur Mario Covas (1930-2001), l'un des fondateurs du PSDB avec l'ancien président Fernando Henrique Cardoso, Bruno Covas, avocat, s'était lancé en politique à 26 ans, devenant député à l'assemblée législative de São Paulo. Il fut ensuite secrétaire pour l'Environnement de l'État de São Paulo (2011-2015) puis député fédéral à Brasilia de 2015 à 2017.

    À la différence de João Doria, son prédécesseur devenu gouverneur de São Paulo, qui a surfé ces dernières années sur la vague antisystème, Bruno Covas représentait une figure plus traditionnelle au sein du Parti centriste.

    Réélu en novembre avec près de 60 % des suffrages

    Malgré la maladie, ce gestionnaire modéré, qui contrastait avec la grande polarisation de la politique brésilienne, a continué d'occuper ses fonctions de maire de la ville la plus peuplée du Brésil (12,3 millions d'habitants) et a affronté la crise provoquée par l'épidémie de coronavirus, qui a fait près de 29 000 morts à São Paulo.

    Il avait lui-même contracté le Covid-19 en août 2020, et après en avoir guéri, avait été réélu en novembre au second tour, avec près de 60 % des suffrages face au représentant de la gauche, Guilherme Boulos.

    Le Point


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  • Un policier affecté au commissariat de Strasbourg (Bas-Rhin) s’est suicidé à son domicile ce dimanche. Il était âgé d’une quarantaine d’années.

    La police nationale est de nouveau confrontée au suicide de l’un des siens. Un gardien de la paix s’est donné la mort à son domicile ce dimanche matin en utilisant son arme de service apprend-on de sources policières. Marié à une policière et père de deux enfants, Cédric était affecté à la brigade spécialisée de terrain (BST).

    Il était apprécié de ses collègues, qui sont sous le choc, tout comme sa famille et ses proches. Une cagnotte en ligne a été ouverte sur la plateforme Leetchi pour financer une plaque en hommage, « le reste sera reversé à sa famille »Elle est accessible ici.

    Il s’agirait du douzième suicide dans les rangs de la police nationale depuis le début de l’année, alors que 28 policiers ont mis fin à leurs jours l’an passé. En juillet dernier, le commissariat de Strasbourg avait déjà été touché par le suicide de l’un de ses gardiens de la paix, âgé de 26 ans.

    Plusieurs dispositifs ont été mis en place pour lutter contre ce fléau qui touche durement les forces de l’ordre en France, ces dernières années. Le ministère de l’Intérieur a ouvert une ligne d’écoute pour les policiers victimes d’agressions ou de menaces en 2020. Elle est joignable au 0800 95 00 17, tous les jours de 5 heures à 23 heures.

    Une cellule de soutien psychologique disponible 24h/24 est aussi active et joignable au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

    ACTU 17


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  • et une bonne semaine

     

     


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  • En sortant de ma propriété à droite avec la  super Mafé le 13 05 2021

     

    Passez une bonne soirée


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  • Barrage de Sivens : vives tensions entre agriculteurs et écologistes

    Barrage de Sivens : vives tensions entre agriculteurs et écologistes

    Le barrage de SIVENS... 6 ans après


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  • Le drame familial a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche à Saint-Germain-lès-Arpajon. La mère, âgée de 30 ans, avait indiqué à ses amies par SMS vouloir mettre fin à ses jours.

    Un double infanticide a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche à Saint-Germain-lès-Arpajon, dans l’Essonne. Une mère de 30 ans avait indiqué à ses amies par SMS vouloir mettre fin à ses jours dans la soirée. En l’absence de réponse, ses proches ont fait appel aux pompiers et aux policiers.

    Vers 1 heure du matin, les secours ont défoncé la porte au bélier et découvert les corps sans vie de la mère et des deux fillettes, âgées de huit ans et de huit mois. Selon une source proche du dossier, les trois victimes présentaient des plaies à l’arme blanche.

    La sûreté départementale de l’Essonne est chargée de l’enquête.

    Plus d’informations à venir.

    Le Parisien


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  • L’armée israélienne s’est justifié en indiquant que des équipements militaires du Hamas, le mouvement islamiste au pouvoir dans l’enclave, se trouvaient dans la tour frappée par ses avions de combat.

    Une tour de treize étages, pulvérisée par plusieurs missiles. L’armée israélienne a mené une frappe ce samedi 15 mai sur l’immeuble abritant les locaux de la chaîne de télévision qatarie Al-Jazeera et de l’agence de presse américaine Associated Press (AP) dans la bande de Gaza, le réduisant à l’état de poussière, ont constaté des journalistes de l’AFP.

     

    « Une frappe israélienne a dévasté la tour qui abrite les bureaux d’AP dans la ville de Gaza », a écrit sur Twitter Jon Gambrell, un journaliste de l’agence américaine.

    Jawad Mehdi, propriétaire de la tour Jala, a indiqué qu’un officier israélien du renseignement l’avait prévenu avant la frappe qu’il disposait d’une heure pour faire évacuer le bâtiment. Il a demandé dix minutes supplémentaires pour que les journalistes puissent emporter leur équipement, mais a essuyé un refus.

    Du temps pour évacuer

    La chaîne Al-Jazeera a confirmé sur Twitter que ses locaux étaient dans ce bâtiment et a retransmis en direct les images de la tour s’effondrer dans un nuage de poussière.

    L’armée israélienne a indiqué que des équipements militaires du Hamas, le mouvement islamiste au pouvoir dans l’enclave, se trouvaient dans la tour frappée par ses avions de combat.

    « Le bâtiment abritait aussi les bureaux de médias civils, derrière lesquels le groupe terroriste Hamas se cache et qu’il utilise comme boucliers humains », a ajouté l’armée, affirmant avoir prévenu les civils à l’intérieur de l’immeuble avant l’attaque et leur « avoir laissé assez de temps pour l’évacuer ».

    « Nous reviendrons à l’antenne »

    « Il est clair qu’il a été décidé non plus de causer des destructions et des morts, mais aussi de faire taire ceux qui le montrent », a réagi auprès de l’AFP Walid al-Omari, chef du bureau d’Al-Jazeera en Israël et dans les Territoires palestiniens.

    « Nous continuerons notre couverture de l’information malgré la destruction […] Nous reviendrons à l’antenne avec un nouvel équipement », a assuré Safwat al-Kahlout, correspondant de la chaîne qatarie à Gaza.

    Le patron de l’agence AP s’est dit également « horrifié qu’Israël vise et détruise les bureaux » de son média. « Le monde sera moins informé sur ce qui se passe à Gaza à cause de ce qui s’est passé aujourd’hui », a-t-il regretté.

    La Maison Blanche a aussi réagi par l’intermédiaire de sa porte-parole Jen Psaki. « Nous avons dit directement aux Israéliens que garantir la sécurité des journalistes et des médias indépendants était une responsabilité d’une importance capitale », a-t-elle tweeté.

    139 morts du côté palestien

    Le mouvement islamiste Hamas au pouvoir à Gaza et l’Etat hébreu échangent depuis lundi des tirs meurtriers. Le dernier bilan des autorités palestiniennes faisait état vendredi soir de 139 morts, parmi lesquels 39 enfants, et 1 000 blessés dans les bombardements israéliens dans l’enclave.

    Plus de 2 300 roquettes ont été lancées par des groupes armés palestiniens sur le territoire israélien depuis lundi, tuant 10 personnes, parmi lesquelles un enfant et un soldat, et faisant plus de 560 blessés. Selon l’armée, le bouclier antimissile « Dôme de fer » a intercepté plus de la moitié de ces missiles.

    L'OBS


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  • D'après certains commentaires sur youtube, ces videos sont tournées juste pour ramasser de l'argent !


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  • "Amenez-moi une fille" : cette vidéo choquante de Johnny Hallyday en plein trip dans Archives secrètes

    "Amenez-moi une fille" : cette vidéo choquante de Johnny Hallyday en plein trip dans Archives secrètes

    © Capture d'écran France Télévisions VIDEO « Amenez-moi une fille » : une séquence choquante de Johnny Hallyday totalement ivre diffusée dans Archives secrètes

    Ce vendredi 14 mai, France 3 proposait le premier numéro d'Archives secrètes : dans l’intimité de nos idoles. Une vidéo de Johnny Hallyday, transpirant et intoxiqué, réclamant qu'on lui amène "une fille", a été diffusée.

    Johnny Hallyday ne s'est jamais limité. Le Taulier a toujours vécu une vie rock'n'roll, parsemée par son lot d'excès. Si les jeunes le considéraient comme leur idole, Jean-Philippe Smet, son nom à la ville, n'a, pourtant, jamais montré l'exemple. Entre la drogue, le tabac, l'alcool, vitesse… Le chanteur a plus d'une fois flirté avec le danger et l’ivresse. Et quand l’idole des jeunes ne courtisait pas la mort, il courait après les femmes. Une fureur de vivre que le cinéaste François Reichenbach, caméra à la main, a réussi à immortaliser. Les fans de la star ont pu découvrir cette étonnante séquence dans le documentaire Archives secrètes : dans l’intimité de nos idoles, produit par Laurent Delahousse et diffusé sur France 3, ce vendredi 14 mai.

    Johnny Hallyday voulait “une fille”

    Devant l’objectif, Johnny Hallyday, encore jeune, apparaît tout transpirant, les cheveux en bataille. Cigarette à la main, verre de vin rouge dans l’autre, le futur interprète du titre Allumer le feu regarde dans le vide. “Je fume, je me bourre la gueule, je baise, je fais tout et je suis en bonne santé”, explique-t-il. Puis le chanteur s’allonge, et étend ses jambes. Pour autant, il ne veut pas se reposer. Ce qu’il souhaite, c’est “une fille”. “Maintenant, ce qu’il me faut vraiment, c’est une fille. Il me faut une fille. Amenez-moi une fille”, ordonne-t-il, avec les yeux vitreux. Il faut dire que le Taulier n’a jamais réussi à faire taire ses envies. Persuadé que la Faucheuse finirait tôt ou tard par l’attraper, il préférait profiter des moments que lui offrait la vie, sans jamais s’accorder un moment de répit. “Il me disait toujours : ‘À 30 ans, je serai mort’”, s’est souvenue Sylvie Vartan. Et d’ajouter : “Je pense que c’est la cadence à laquelle on vivait, et la difficulté de tout apprécier, de tout digérer, parce que c’était impossible.”

    Une séquence ultra-sensuelle avec Sylvie Vartan

    Le documentaire Archives secrètes a diffusé d’autres images choc. Un moment d’intimité entre Johnny Hallyday et Sylvie Vartan, notamment. Les deux tourtereaux, divorcés en 1980, avaient accepté que le réalisateur François Reichenbach les suive lors d’un voyage aux États-Unis, en 1971. Cependant, les deux stars yé-yé avaient fini par oublier la présence de la caméra. Si bien qu’ils s’étaient adonnés à un moment de la plus grande sensualité, rythmé par un massage et des baisers langoureux dans la piscine. Ces images, Sylvie Vartan, invitée à les commenter, les avait vraisemblablement effacées de sa mémoire. “Mais c'est fou ! J’avoue que c'était sexy mais bon… Je n'aurais jamais fait une chose pareille ! Je me demande comment deux êtres qui étaient si timides… Je me demande si on se rendait compte que quelqu'un nous filmait”, a-t-elle déclaré.

    Télé Loisirs


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  • Le RN demande à Castex d’appeler ses ministres « à la retenue » contre Le Pen

    Le numéro 2 du Rassemblement National, Jordan Bardella demande au Premier ministre Jean Castex d’« appeler ses ministres à la retenue » dans leurs critiques contre Marine Le Pen.

    Jordan Bardella, vice-président du Rassemblement National, a demandé samedi 15 mai au Premier ministre Jean Castex d’« appeler ses ministres à la retenue » dans leurs critiques contre Marine Le Pen, estimant qu’en cas d’agression physique contre elle, ces derniers « en porteraient une part de responsabilité morale ».

    « L’ennemi à abattre »

    « Plusieurs membres du gouvernement ont dépassé ces derniers jours les limites de l’acceptable dans leurs propos publics à l’encontre » de Marine Le Pen et du Rassemblement national, a déploré dans un communiqué Jordan Bardella, tête de liste du RN pour les régionales de juin en Ile-de-France.

    Il a cité le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti, qui avait « annoncé être candidat dans le Pas-de-Calais avec l’objectif de « chasser le Rassemblement National »», et la secrétaire d’État Olivia Grégoire, « qui a qualifié Marine Le Pen « d’ennemie à abattre »».

    Appel à la retenue

    Si ces « appels à la violence » devaient être suivis d’« agressions physiques » à l’égard de la candidate RN à la présidentielle ou d’un élu RN, « ces ministres en porteraient une part de responsabilité morale », affirme-t-il.

    Le Premier ministre « doit maintenant les appeler à la retenue et garantir aux Français un débat démocratique serein dans la période électorale qui s’ouvre ».

    Olivia Grégoire, secrétaire d’État chargée de l’Économie sociale, solidaire et responsable, avait affirmé vendredi sur franceinfo que « l’ennemi raciste à abattre, l’ennemi de la République, c’est Marine Le Pen ».

    Ouest-France

    Moretti ferait mieux de s'occuper de son ministère et faire arrêter les trafiquants de drogue plutôt que d'aller faire le pitre dans le Nord


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