• Vendée. Une biche en détresse se perd en centre-ville avant d’être relâchée dans son milieu naturel

    Illustration

    Pompiers et policiers ont attrapé puis relâché une biche qui se promenait dans le parking Clemenceau, en centre-ville de La Roche-sur-Yon, ce mercredi 12 mai.

    Drôle de visiteuse à la Roche-sur-Yon (Vendée), ce mercredi 12 mai au matin. Une biche s’est aventurée près de la voie ferrée puis aux alentours du boulevard Briand. Poursuivie, elle s’est réfugiée au parking Clemenceau, dans le centre-ville. Le personnel a alors prévenu la police et les pompiers qui ont réussi à coincer l’animal.

    Relâchée sans blessure

    Les policiers ont pris une bâche pour aveugler et tenter de calmer la biche, affolée. Indemne, si ce n’est quelques légères écorchures, elle a été embarquée par les pompiers qui l’ont ensuite relâchée dans son milieu naturel, vers 10 h 15.

    « On croise souvent la nuit des lapins, des renards et parfois quelques écureuils. Une biche, c’est plus rare. Même si les cheminements verdoyants autour de la ville peuvent en faire venir certaines »​, précise le commissaire Laurent Dufour.

    Ouest-France


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  • Promo du spectacle "La Truie est en moi - 20 ans après !" au Théâtre de la Gaîté Montparnasse.


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  • L'Illustré (journal suisse) :

    Le comédien Joseph Gorgoni, alias Marie-Thérèse Porchet, a frôlé la mort trois fois en un an. Il raconte, sous l'œil bienveillant de son compagnon Florian, sa greffe des poumons, son coma post-covid puis l'infection qui a suivi.


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  • Un adolescent de 17 ans a été interpellé en flagrant délit par les policiers de la brigade anticriminalité (BAC) à Toulouse (Haute-Garonne), ce lundi après-midi. Il venait d’agresser violemment un homme de 76 ans.

    Des coups sur un homme âgé pour son portefeuille. Il était 16h30 lorsque la victime âgée de 76 ans a été violemment agressée près de la gare Matabiau, à Toulouse. Un adolescent lui a porté des coups de pied au niveau des jambes pour la faire chuter explique La Dépêche.

    En quelques instants, il a dérobé le portefeuille de cet homme qu’il avait dans sa poche et lui a volé l’argent liquide qui se trouvait à l’intérieur, tout en continuant à le frapper.

    Suivi par la BAC

    Ce qu’il ne savait pas, c’est que les policiers de la BAC l’avait repéré peu avant et se trouvait à proximité. Les fonctionnaires ont rapidement interpellé l’agresseur en flagrant délit, qui a tenté de prendre la fuite en courant. Il a été placé en garde à vue où il se trouvait toujours ce mardi. Le mis en cause était jusqu’ici inconnu des services de police.

    La victime ne présente heureusement que de légères blessures mais est très choquée par ce qui lui est arrivée. Le septuagénaire a remercié les policiers pour leur intervention rapide.

    ACTU 17

    Pourquoi on ne donne pas son nom ou son origine ?

    Toulouse : Un adolescent frappe et dépouille un homme de 76 ans en pleine rue, sous les yeux de la BAC


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  • Un migrant érythréen de 24 ans est accusé d’avoir tué un homme en pleine rue porte d’Aubervilliers dans la nuit de vendredi à samedi, puis d’avoir tenté de violer une femme la nuit suivante à Paris.

    Un meurtre et une tentative de viol en l’espace de 24 heures. Placé en garde à vue, à deux reprises, le tueur présumé de 24 ans qui est un migrant érythréen, a été conduit à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police (IPPP), où il a été admis explique Le Parisien.

    Ce sont des passants qui ont donné l’alerte dans la nuit de vendredi à samedi. Ils venaient de découvrir le corps sans vie d’un homme dans un buisson, dans la rue Cesaria-Évora (XIXe). La victime gisait dans son sang. A proximité du cadavre de cet homme, qui était lui aussi un migrant, les enquêteurs ont découvert une pierre ensanglantée. L’autopsie a montré que le défunt – né en 1986 et originaire du Soudan – avait été tué à coups de pierre sur la tête et au larynx. La brigade criminelle de de la direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) a été chargée de cette enquête.

    Son ADN a permis de le confondre

    Les policiers ont rapidement identifié un suspect dans ce dossier. La nuit suivante, une professeure de Français a été victime d’une tentative de viol en pleine rue, au niveau de la place de la Bataille de Stalingrad (XIXe). L’auteur présumé a été interpellé par les policiers de l’arrondissement qui sont rapidement arrivés sur les lieux. Ce migrant érythréen a été placé en garde à vue dans les locaux du deuxième district de police judiciaire (DPJ).

    Au cours de leurs investigations, les enquêteurs ont découvert que son ADN était celui qui avait été retrouvé sur la scène de crime de la rue Cesaria-Évora. Les images de vidéosurveillances n’ont fait que confirmer cette piste précise le quotidien francilien.

    Le mis en cause a été placé de nouveau en garde à vue dimanche, avant d’être amené à l’IPPP, dans la nuit de lundi à mardi. Une expertise psychiatrique permettra de déterminer si cet homme peut être tenu responsable de ces actes, devant la justice.

    ACTU 17

    S'il est déclaré fou, qu'on l'enferme à vie dans un hôpital psychiatrique !


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  • Le corps d’une jeune femme, qui pourrait être une adolescente, a été découvert dans la rue, à Pontault-Combault (Seine-et-Marne) ce lundi. Elle était quasiment nue et présentait des traces de violences.

    Effroyable découverte ce lundi vers 05h45. Le corps d’une jeune femme a été découvert par une livreuse de journaux dans la rue Guérin, située dans un quartier pavillonnaire de Pontault-Combault selon nos informations, confirmant celles du Parisien.

    Cette dernière, qui n’a pas été identifiée pour l’heure, serait mineure. Elle a d’abord été prise en charge par les sapeurs-pompiers alors qu’elle était en arrêt cardio-respiratoire, et a rapidement été déclarée morte.

    Des coupures au visage et des brûlures

    La victime portait uniquement une culotte et présentait des traces de strangulation ainsi que des coupures au visage et des brûlures indique une source proche de l’enquête. Une autopsie doit être pratiquée ce mardi.

    Les enquêteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire de Versailles ont été chargés des investigations. Les policiers vont devoir identifier la victime et déterminer qui s’en est pris à elle avant de l’abandonner en pleine rue. Aucune disparition inquiétante correspondant au profil de la défunte n’a été signalée.

    Les policiers ont réalisé des constatations sur le lieu de la découverte durant de longues heures. Les vidéosurveillances de la ville vont être exploitées.

    ACTU 17


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  • Juan Branco, Éric Zemmour : de vraies affaires d'agressions sexuelles ou des faux scandales montés en épingle ? Juste Milieu pose la question (et mène l'enquête) !


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  • Victor Belmondo « pistonné » ? Le petit-fils de Jean-Paul Belmondo révèle avoir été insulté au début de sa carrière

    Si Victor Belmondo est en train de se faire une belle place dans le monde du cinéma, cela n’a pas toujours plu à tout le monde. En effet, porter le même nom que l'illustre Jean-Paul Belmondo a pu être difficile à ses débuts…

    Victor Belmondo revient dans un nouveau film : Envole-moi, de Christophe Barratier, qui sortira le 19 mai 2021. Il y joue le rôle de Thomas, l’un des personnages principaux. C’est déjà le huitième film du jeune acteur de 27 ans, qui semble bien parti pour avoir une grande carrière. Mais si le jeune acteur suit le chemin de son grand-père, Jean-Paul, porter le même nom que lui a déjà été très compliqué… notamment à ses débuts. Rappelez-vous, Victor Belmondo a été révélé dans le film Mon bébé, réalisé par Lisa Azuelo. Il tenait alors l'un des rôles principaux. Dans un entretien accordé à Version Femina et publié ce dimanche 9 mai 2021 le jeune acteur a révélé qu'il avait toujours voulu être comédien… mais que ces débuts n’avaient pas été faciles. "J'ai été biberonné au cinéma : mon père, Paul Belmondo, possédait une collection de DVD impressionnante et nous regardions énormément de films en famille. Quand j'ai eu 11-12 ans, j'ai joué le fils de mon père dans un court-métrage et c'était plié" : il comprend donc que là est son avenir. "J'ai tout mis en œuvre pour y arriver : j'ai pris des cours de théâtre, j'ai démarché les agents à 17-18 ans, j'ai intégré une école de cinéma", s’est souvenu celui qui est proche de son grand-père.

    Un nom difficile à porter

    S’il vient d’une famille renommée dans le monde cinéma, "mes parents ont toujours veillé à ce que mes frères et moi ayons les pieds sur terre et soyons indépendants." Ainsi, dès qu’il eut l’âge, Victor Belmondo a enchaîné quelques petits boulots, avant de faire ses débuts dans le cinéma. Des débuts assez compliqués : "Je n'ai jamais pensé à prendre de pseudonyme. Ça aurait été trahir ce que je suis. Il faut assumer. Quand Mon bébé est sorti, j'ai reçu quelques messages d'insultes sur les réseaux sociaux. En bref, j'étais un 'pistonné'", a dévoilé le jeune homme. Heureusement, il a pu compter sur le soutien de sa famille dans ces moments : "Mes parents m'ont alors dit qu'il ne fallait pas relever, que porter ce nom n'était pas anodin... Et, finalement, j'ai plus de peine pour la personne qui perd du temps à m'écrire un tel pavé. Cela cache sans doute beaucoup de solitude et de détresse", a-t-il expliqué. Et finalement, Victor Belmondo a su trouver des points positifs à la situation : "J'aurais la même curiosité si le fils de Robert De Niro débarquait ! Certains exigeront plus de moi, mais, grâce à la popularité de mon grand-père, j'ai aussi la chance que mon nom soit accompagné d'une grande bienveillance. À moi de transformer tout cela en énergie de travail."

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  • Comment les cuisiniers préparent  50 000 plats gratuits pour les pauvres


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  • Comment les cuisiniers préparent 90 000 plats en 3 heures


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  • Cela faisait plusieurs années que je voulais me rendre en Inde. C'était même devenu une obsession. Plus j'écoutais ceux qui rentraient d'un périple indien, moins je me faisais une idée précise du pays, les expériences de chacun étant si différentes. Je voyais donc, dans ce voyage au nord-est du pays, une excellente opportunité de satisfaire ma curiosité.


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  • Radio-Canada.info

    Avec ses 21 millions d'habitants, la métropole indienne vit dans la démesure. Le trafic automobile est devenu quasi perpétuel. Dans les trains, la population doit jouer des coudes et prendre des risques pour aller travailler. Notre correspondant est allé vivre cette expérience de l'intérieur.

     

    On comprend mieux les ravages suite au Corona virus !


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  • Un couac qui fait désordre. Après la fronde du MoDem, l’Assemblée nationale a finalement adopté dans la nuit du mardi 11 au mercredi 12 mai le projet de loi de sortie progressive de l’état d’urgence modifié et son controversé « passe sanitaire ».

    Le gouvernement a été contraint de revoir l’article premier du texte, rejeté en fin de journée par l’Assemblée, y compris par le MoDem, pourtant membre de la majorité.

     

    En guise de gage aux alliés centristes, l’exécutif a accepté d’écourter la période de transition pendant laquelle des restrictions de libertés restent à sa disposition face à la pandémie, du 2 juin à fin septembre, plutôt que fin octobre.

    Ainsi réécrits, l’article premier et le projet de loi, voté par 208 voix contre 85, ont été adoptés en première lecture. Le Sénat s’en emparera en séance le 18 mai.

    « Le gouvernement n’est pas sourd au message qu’a envoyé la représentation nationale cet après-midi » a lancé le ministre de la Santé Olivier Véran, dans un brouhaha interrompu par des suspensions de séance successives.

    « Il n’y a pas eu de dialogue et d’écoute »

    Les discussions de la journée avaient tourné au camouflet pour le gouvernement, contraint de demander cette seconde délibération nocturne. « Il n’y a pas eu de dialogue et d’écoute » sur « les lignes rouges » du texte, au sein de la majorité, avait déploré Philippe Latombe (MoDem).

     

    Des négociations ont eu lieu en soirée pour « trouver un accord » et « régler ce problème », comme l’avait annoncé le Premier ministre sur France 2.

    Outre la période de transition jusqu’à fin septembre, l’article premier du projet de loi permet au Premier ministre de continuer à prendre des mesures de couvre-feu jusqu’au 30 juin inclus, entre 21 heures et 6 heures maximum, et surtout instaure un controversé « passe sanitaire », qui n’a, lui, pas été modifié.

    Un outil qui risque de devenir indispensable

    Introduit par le gouvernement en commission, il était au cœur des crispations, même si les groupes MoDem ou LR ne sont pas opposés à son principe. Cet outil doit subordonner l’accès des grands rassemblements ou de certains lieux à la présentation d’un résultat négatif de dépistage du virus, ou bien un justificatif de vaccination, ou encore une attestation de rétablissement après une contamination.

    Pour les grands rassemblements nécessitant le « passe », une jauge à 1 000 personnes a été promise par le gouvernement, mais sans être inscrite dans le marbre de la loi.

    L'OBS


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MERCREDI 12 05 2021

     

    Bonne journée


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  • Mort de Rahul Vohra à 35 ans : l'acteur indien est décédé de la Covid-19 après avoir enregistré une vidéo très préoccupante

    Rahul Vohra, un acteur et vloggeur inden, s'est éteint à l'âge de 35 ans. Atteint de la Covid-19, il avait enregistré une vidéo particulièrement alarmante peu de temps avant de s'éteindre. Sa femme a choisi de la publier pour éveiller les consciences.

    L'inde est en deuil. Rahul Vohra, un acteur et vlogueur connu dans le pays, est décédé à l'âge de 35 ans. Hospitalisé dans un établissement de New Delhi depuis le début du mois de mai en raison de la Covid-19, il avait contracté une forme sévère de la maladie. A tel point qu'il avait dû être placé sous respirateur. Mais la situation sanitaire est si dramatique en Inde, qu'il n'a pas pu bénéficier des soins dont il avait besoin. C'est ce qu'il a expliqué dans une vidéo enregistrée peu de temps avant sa mort et publiée par son épouse, Jyoti Tiwar. Muni d'un masque à oxygène, il explique qu'il s'agit d'un outil très précieux pour lui en ce moment. "Sans cela, les patients sont étourdis et souffrent", y explique-t-il, avant de préciser qu'il se sent laissé à l'abandon. "Vous essayez d'appeler de l'aide, mais ils ne viennent pas. Ils arrivent dans une heure ou plus et vous devez gérer leur absence d'une manière ou d'une autre", a-t-il déploré en évoquant l'état des hôpitaux en Inde, actuellement surchargés.

    Jyoti Tiwar demande "justice pour tous les Rahul"

    Si Jyoti Tiwar a choisi de partager cette vidéo bouleversante, c'est afin, dit-elle, de rendre "justice à tous les Rahul". En effet, elle espère éveiller les consciences sur la situation actuelle des hôpitaux en Inde et ainsi sauver des vies. De son côté, le metteur en scène et dramaturge Arving Gaur a révélé sa dernière discussion avec l'acteur Rahul Vohra. Peu avant de s'éteindre, il lui aurait ainsi confié être persuadé qu'il aurait pu s'en sortir avec des meilleurs soins médicaux.

    "Rahul Vohra est parti. Mon acteur prometteur n'est plus. Hier, Rahul avait dit: 'Si j'avais eu un bon traitement, j'aurais été sauvé aussi'. Hier soir, il a été transféré de l'hôpital Rajiv Gandhi à Ayushman, Dwarka, mais… Rahul, nous n'avons pas pu tous vous sauver, désolé nous sommes les coupables", a-t-il tweeté avec un profond chagrin. Un décès qui intervient alors que la situation est de plus en plus dramatique en Inde. Encore ce lundi 10 mai, près de 330 000 nouveaux cas avaient été déclarés. D'où la surcharge du personnel soignant, qui n'a pas eu les moyens de sauver l'acteur...

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  • Cette photo que tout le monde pensait retouchée ne l'est pas du tout et ça rend fou les internautes

    Vous ne rêvez pas. Cette photo, provenant de Reddit mais rapidement repostée sur Twitter, n'a pas été retouchée. En jetant un coup d'œil rapide, on croit y voir une petite fille au milieu d'une allée dans un jardin ensoleillé, qui tient un jouet entre ses mains. Jusqu'ici tout va bien. Seul problème : la petite est enfoncée dans le sol en pierre de l'allée, jusqu'à la taille. En cherchant à rester rationnel, l'esprit logique pensera à Photoshop. Sauf que celui qui a posté cette curieuse photo a prévenu, comme pour laisser un indice : “Photoshop n'a rien à voir là-dedans”. 

    Twitter se gratte la tête. “Ça me fait mal au cerveau… J'arrive juste pas à le voir !”, s'exclame une internaute. “Ça m'a rendu anxieux jusqu'à ce que je trouve”, avoue un autre. Globalement, tout le monde s'accorde à dire que cet étrange cliché a donné du fil à retordre à leur méninges. En réalité, il s'agit d'un simple effet d'optique, que certains Twittos ont pris le temps d'expliquer clairement par le biais de schémas simplifiés. La pelouse sur laquelle se tient le photographe est surélevée au niveau du torse de la petite, qui est debout, accoudée à un muret juste à sa gauche par rapport à la caméra. L'angle de la photo donne l'impression que le bord du muret et le sol de l'allée au fond, un niveau en dessous, ne font qu'un, donnant ainsi cette impression de sol plat dans laquelle la fillette se serait enfoncée. Tout est bien qui finit bien.

    GQ

    Cette photo que tout le monde pensait retouchée ne l'est pas du tout et ça rend fou les internautes


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  • Russie : à Kazan, une fusillade meurtrière dans une école

    © Roman Kruchinin Devant l'école n°175 où a eu lieu la fusillade, dans un quartier dortoir de la périphérie de Kazan, en Russie centrale, mardi.

    Une fusillade a éclaté ce mardi matin dans une école du centre de la Russie. A partir de 9 h 30, l’information alarmante a commencé à circuler sur les réseaux sociaux russes, suivie rapidement de vidéos amateur, tournées par des témoins se trouvant à l’extérieur du bâtiment, dont des parents d’élèves de cette école n°175, située dans un quartier dortoir ordinaire de la périphérie de Kazan. Le tireur, rapidement identifié, est un étudiant de 19 ans, Ilnaz Galiliev, ancien élève de ce même établissement.

    A 8 h 57, le jeune homme a posté sur son compte Telegram un selfie pris dans un miroir, vêtu de noir, le visage recouvert par un tour de cou avec l’inscription «Dieu» en lettres capitales rouges, et pour légende : «Aujourd’hui je vais tuer un grand nombre de déchets biologiques et me tuerai moi-même.»

     

    A 9 h 34, on le voit sortir de l’école, les mains en l’air, et se rendre à la police. Entre-temps, il a fait exploser ce qui semble être une bombe artisanale au rez-de-chaussée, avant de monter dans les étages et d’ouvrir le feu sur des enfants et adolescents qui ont eu le temps de se barricader dans les salles de classe. Depuis l’extérieur, on pouvait voir des élèves sauter par les fenêtres du deuxième étage. Selon les médias, il y aurait plus de 20 victimes, dont dix morts et huit personnes en réanimation. En tout, 21 personnes auraient été hospitalisées, dont 18 mineurs. Le président du Tatarstan, cette république musulmane de Russie centrale, a de son côté parlé de neuf morts : «sept enfants, en classe de quatrième, quatre garçons et trois filles», et deux adultes, dont un enseignant.

    «Je me suis rendu compte que j’étais Dieu»

    Le tueur, d’abord plaqué au sol sur le parvis de l’école, a ensuite été emmené au poste de police. Sur une vidéo, on le voit torse nu, couché sur une banquette dans la cage des prévenus, menotté aux barreaux les bras au-dessus de la tête. Dans ce premier interrogatoire, il profère, comme un fou, en crachant des jurons : «Il y a deux mois je me suis rendu compte que j’étais Dieu… Et puis un monstre s’est réveillé en moi… Je hais tout le monde… Je n’ai pas de mère, pas de père.» Ses camarades de classe et enseignants, interrogés par les médias, décrivent un jeune homme «discret», «calme», «sans histoires». «Un étudiant non conflictuel» et «respectueux», selon le service de presse de l’établissement technique dont il a été exclu en avril, n’ayant pas validé ses examens. Ce qui ne l’a pas empêché de se procurer un permis de chasse, en février, et, selon le média Life (à la colle avec les services russes), il aurait enregistré le 14 avril un fusil semi-automatique Hatsan Escort, de fabrication turque.

    Une enquête pour meurtre a été ouverte, et la ville de Kazan placée sous régime «opération antiterroriste». Les fusillades en milieu scolaire ne sont pas fréquentes en Russie. La dernière, comparable, remonte à octobre 2018, quand 19 personnes avaient été tuées dans un lycée de Kertch, en Crimée. Vladimir Poutine avait alors blâmé «la mondialisation», estimant que le phénomène provenait des Etats-Unis. Il a donné l’ordre ce mardi de renforcer le contrôle de la circulation des armes civiles.

    Libération


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  • Certains pays semblent sortir peu à peu de la crise sanitaire, comme Israël ou les Émirats Arabes Unis, grâce à des mesures de freinage strictes et une campagne de vaccination efficace contre le Covid-19. Mais à l'inverse, d'autres vivent une crise inédite, comme l'Inde. Selon l'Organisation des Nations Unies (ONU), le 7 mai dernier, il y a eu 414.188 nouvelles infections et 3.915 décès en 24 heures. Ce qui représente 4 nouveaux cas par seconde et plus de 2 décès par minute.

    Un "champignon noir" mortel chez des patients guéris du Covid-19

    Alors que les hôpitaux indiens sont plus que jamais sous pression, les médecins ont remarqué la présence inhabituelle d'une infection fongique. Il s'agit de la mucormycose, connue également sous le nom de "Black fungus", ou "Champignon noir" en français. Cette mycose touche le visage et les poumons des victimes et est très dangereuse. En effet, elle tue entre 50% et 70% des personnes contaminées et beaucoup perdent la vue.

     

    Il faut savoir que cette maladie est habituellement très rare. Mais bien qu'elle touchait environ six personnes par an dans cet hôpital de Bombay, 24 cas viennent d'y être identifiés en à peine deux mois. Des chiffres très élevés qui continuent d'augmenter avec la crise du Covid-19.

    Un lien entre Covid-19 et diabète ?

    Ces nombreux cas de mucormycose ne semblent pas être apparus par hasard. Tous les patients venaient récemment de guérir du Covid-19 et souffraient de diabète. Une mystérieuse corrélation qui voudrait dire, selon les médecins locaux, que les traitements utilisés contre le SARS-CoV-2 y sont pour quelque chose, notamment les stéroïdes donnés pour calmer l'inflammation des poumons.

    Comme l'explique Times of India, le problème est pris très au sérieux en Inde, où un avis a même été publié par le Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) et le ministère de la Santé pour pousser au dépistage et expliquer les symptômes annonciateurs d'une potentielle infection.

    "Les symptômes d'avertissement comprennent des douleurs et des rougeurs autour des yeux et du nez, de la fièvre, des maux de tête, de la toux, un essoufflement, des vomissements sanglants et une altération de l'état mental."
    Gent Side

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