• Algérie: Le bilan des incendies porté à 65 morts, Macron envoie de l'aide

    Les feux de forêt qui ravagent les zones boisées du nord de l'Algérie ont fait au moins 65 victimes. Emmanuel Macron a annoncé l'envoi de deux Canadairs en renfort. 

    Les feux de forêt qui ravagent depuis le début de la semaine les zones boisées du nord de l'Algérie, parmi les plus destructeurs de l'histoire du pays, ont fait au moins 65 victimes, a rapporté mercredi la télévision publique.

    Les incendies qui ont enflammé la région montagneuse de Kabylie ont causé la mort de 28 soldats déployés par le gouvernement algérien afin d'aider les pompiers à lutter contre les flammes, et en ont grièvement blessé 12 autres.

    Le président Abdelmadjid Tebboune a décrété trois jours de deuil national et gelé temporairement les activités de l'État n'étant pas liées aux incendies.

    Son homologue français Emmanuel Macron a annoncé via Twitter l'envoi, dès jeudi, de deux avions-citerne et d'un avion de commandement en Kabylie.

    Incendies criminels

    La commune de Tizi Ouzou a été la plus touchée par les feux, lesquels ont détruit des habitations et contraint leurs résidents à se réfugier dans des hôtels, des auberges et des logements universitaires dans les villes voisines.

    Le ministre de l'Intérieur Kamel Beldjoud, qui s'est engagé à indemniser les personnes touchées, a accusé des pyromanes d'être à l'origine des dizaines d'incendies survenus depuis lundi, sans toutefois fournir de preuve.

    Face à l'augmentation des températures, la Méditerranée est devenu le foyer de nombreux feux de forêt, qui depuis plusieurs jours consument également la Grèce et la Turquie.

    Challenges


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  • Haute-Garonne : des inscriptions nazies sur une œuvre d'art à Saint-Bertrand-de-Comminges

    Des inscriptions nazies ont été découvertes sur une œuvre d'art installée à Saint-Bertrand-de-Comminges. Une plainte a été déposée. 

    L’œuvre "Les trois beaux ballons" de l’artiste sculpteur Philippe Berry, propriété du conseil départemental de la Haute-Garonne et exposée sur la terrasse nord de la cathédrale de Saint-Bertrand de Comminges, a été dégradée par des gravures représentant notamment une croix gammée.

    Une étoile de David mais aussi l'inscription "Qui ?", aperçue sur une pancarte antisémite lors d'une manifestation anti pass sanitaire le week-end dernier à Metz, ont été gravées sur l'œuvre d'art contemporain. 

    Plainte déposée

    "Je condamne fermement cet acte choquant qui utilise des symboles nazis qui n’ont pas leur place dans notre démocratie. Le climat délétère que l’on voit s'installer depuis plusieurs semaines est intolérable et va à l’encontre du débat apaisé, indispensable pour dépasser cette crise et garantir la cohésion de notre Nation" a réagi le président du conseil départemental, Georges Méric. Le conseil départemental a déposé plainte.

    L'oeuvre avait été acquise par le Département après une exposition de Philippe Berry au château de Laréole. L'artiste, frère du comédien Richard Berry, est décédé en 2019.  

    La Dépçeche.fr


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  • Un os a été trouvé dans son estomac


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  • Une femme de 61 ans a été tuée par balle, à Porto-Vecchio, ce jeudi 12 août. Son compagnon a été placé en garde à vue.

    Ce dernier a été vu, arme à la main, à son domicile par un voisin alerté par une détonation. Le voisin dit avoir vu le corps de la victime sur le canapé, avant d’appeler la gendarmerie, rapporte France 3 .
     

    Mariés « depuis plus de 30 ans »

    « Nous avons une femme née en 1960, mariée depuis plus de 30 ans à un monsieur né en 1958. Un voisin a entendu une détonation, il s’est présenté au domicile et a découvert monsieur, un fusil à la main, qui venait d’abattre son épouse d’un seul coup de feu », a relaté Carine Greff, procureure de la République d’Ajaccio, précisant que les faits s’étaient produits vers 15 h.

    Le parquet d’Ajaccio indique que le couple était en instance de séparation. Une enquête a été ouverte pour homicide sur conjoint.

    Une précédente plainte pour violences conjugales

    En janvier, selon les informations de France 3, une plainte avait été déposée par la victime pour violences conjugales. Son conjoint avait alors reçu un simple rappel à la loi.

    Corse. Une femme de 61 ans tuée par balle par son conjoint à Porto-Vecchio

    Selon le collectif Nous Toutes qui réalise un recensement du nombre de féminicides en France, il s’agit du « 74e féminicide depuis le début de l’année ».

     Ouest-France

     


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  • Après 82 ans de mariage, un couple bat le record de la plus longue union de France

    Après les noces de fenouil, de chêne puis de cornaline, viennent les noces de grenat au bout de 82 années de mariage. Un couple français vient de les célébrer et bat ainsi le record de l’union la plus longue d'Hexagone. Marcel et Berthe Brouard, âgés de 107 et 100 ans, vivent en Eure-et-Loire dans leur maison depuis 1951. 

     

    Ils se sont rencontrés au bal du village comme le relate L’action Écho :  « J’avais vu Marcel qui dansait avec une dénommée Fernande au bal de Saint-Eliph et je m’étais dit qu’elle avait de la chance de danser avec un beau cavalier. Ensuite, j’avais rencontré Marcel au cabinet du docteur, où il était venu se faire soigner suite à un petit accident à vélo. » 

    Mariés le 26 novembre 1938 à Saint-Eliph, les deux époux seront ensuite séparés quelques années, puisque Marcel sera mobilisé pour la guerre, avant d’être fait prisonnier en Allemagne, raconte France 3 Centre Val-de-Loire. Il devient ensuite maçon puis chef de chantier. 

    Marcel et Berthe ont donné naissance à quatre enfants : Claude, Claudette, François et Patrick, qui ont permis, par la suite, au couple de devenir grands-parents de huit petits-enfants et neuf arrière-petits-enfants. Une belle histoire d’amour qui n'est pas prête de s'arrêter…

    Vanity Fair


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  • avec Jean-Marie Bigard


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    Bonne soirée


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  • Ce diplômé de l'université de Cambridge avait vu sur les réseaux sociaux des arguments lui faisant dire que le vaccin allait tuer plus de monde que le Covid-19 lui-même

    Leslie Lawrenson, un Britannique de 58 ans refusant de se faire vacciner contre le Covid-19, est décédé le 2 juillet dernier des suites de la maladie à Bournemouth ( Royaume-Uni).

    L’homme et sa compagne, 56 ans, avaient tous les deux développé une forme symptomatique, rapporte la BBC. Leslie Lawrenson commençait à se remettre d’une pneumonie causée par le virus lorsque son état s’est à nouveau aggravé.

    Souffrant à la fois de diabète et d’hypertension artérielle, Amanda Mitchell a été prise en charge le 2 juillet par les services d’urgence au domicile qu’elle partageait avec son compagnon. Elle a été conduite à l’hôpital. Dix minutes plus tard, les secouristes ont été rappelés à la même adresse : le quinquagénaire a été retrouvé mort dans son lit par son fils de 19 ans.

     

    Il qualifiait le vaccin de « truc génétique, truc expérimental »

    La victime était diplômée de l’université de Cambridge. À l’apparition des premiers symptômes, le Britannique avait posté une vidéo sur Facebook dans laquelle il affirmait qu’il espérait avoir attrapé le Covid-19 pour produire des anticorps, développer une « immunité naturelle » et ainsi éviter de se vacciner. « Il avait fait de grandes études, donc quand il me disait quelque chose, j’avais tendance à le croire », a témoigné sa compagne.

     

    Leslie Lawrenson affirmait par exemple que le vaccin allait tuer plus de personnes que le Covid-19 lui-même. « Tous les jours, il nous disait "Vous n’en avez pas besoin, ça va aller, il suffit de faire attention" », a expliqué Amanda Mitchell. Elle a aussi précisé que son compagnon qualifiait le vaccin de « truc génétique, truc expérimental » et s’informait beaucoup sur les réseaux sociaux.

    Aujourd’hui, Amanda Mitchell dit se sentir « incroyablement bête » et déplore la mort « évitable » de son compagnon. Après avoir été hospitalisée pendant une semaine, elle a désormais l’intention de se faire vacciner dès qu’elle aura reçu le feu vert des médecins. Elle a également regretté la « terrible erreur » du couple, qui a également mis leurs enfants en danger, et notamment leur plus jeune fils âgé de 11 ans.

    20 Minutes


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  • Un Américain a avoué le meurtre de ses deux jeunes enfants, expliquant avoir été influencé par les théories de QAnon et des Illuminati.

    Kaloe, 3 ans, et Roxy, 10 mois, ont été retrouvés sans vie dans une ferme du Mexique. Le garçonnet et sa petite sœur ont été tués par leur père, propriétaire d’une école de surf en Californie. C’est un fermier de Baja California, une province située près de la frontière américaine, qui a découvert des traces de sang sur le sol. Ses chiens ont ensuite trouvé les deux cadavres. Le père des victimes, Matthew Taylor Coleman, âgé de 40 ans, a été arrêté peu de temps après la macabre découverte, lundi. Le «San Francisco Gate» rapporte que la petite Roxy a été poignardée au moins 12 fois et son frère à 17 reprises. Un pieu en bois taché de sang a été retrouvé près des corps.

     

    Matthew Taylor Coleman a avoué les crimes à la police. Il a déclaré aux autorités fédérales avoir tué ses enfants en leur tirant dessus avec un fusil de pêche sous-marine. Il a également expliqué son geste par l’influence des théories conspirationnistes sur sa vie, QAnon et Illuminati, est-il écrit dans les documents de la justice. Lorsqu’un policier lui a demandé s’il comprenait si ce qu’il avait fait était mal, il a dit oui mais «que c’était la seule chose à faire pour sauver le monde». Selon lui, ses enfants avaient de l’ADN de serpent en eux, passé directement par leur mère Abby.

    "Il croyait que ses enfants allaient devenir des monstres"

    C’est elle qui a signalé la disparition de son mari et ses enfants à la police de Santa Barbara après que le père est parti samedi avec les deux petits sans lui dire où il allait. Elle a commencé à s’inquiéter lorsqu’elle n’a plus réussi à le joindre et a appelé les secours dimanche. Les autorités ont demandé à la mère de géolocaliser son époux grâce à la fonction de son téléphone. Son dernier emplacement affichait Rosarito, au Mexique, explique NBC.

    L’enquête a d’abord cru à une affaire d’enlèvement et le FBI a été appelé en renfort. Lorsque l’homme a été arrêté, ses enfants n’étaient pas avec lui. En fouillant sa voiture, des traces de sang ont été découvertes. «Il croyait que ses enfants allaient devenir des monstres donc il devait les tuer», indique le rapport de plainte. Matthew Taylor Coleman a été incarcéré sans possibilité de remise en liberté sous caution.

    Paris Match


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  •  Un père de famille belge a été tué, ce jeudi matin, sur l’autoroute en voulant aider un conducteur blessé dans un accident

    Le drame s’est produit sur l'A35, entre Colmar et Strasbourg. En voulant aider un conducteur blessé lors d’un accident sur l’autoroute, un homme a été heurté par un véhicule. Il a été tué sur le coup, ce jeudi, vers 5h, rapportent les DNA. La victime est un père de famille belge qui habitait à Bruxelles. Il voyageait avec sa femme et ses trois enfants âgés de 2 à 11 ans. 

    « 130 km/h au régulateur »

    Sur la route du retour des vacances, l’homme, âgé d’une trentaine d’années, s’est arrêté sur la bande d’arrêt d’urgence pour porter secours. Un véhicule accidenté se trouvait sur la voie de gauche. Deux autres automobilistes sont également venus aider le conducteur, victime visiblement d’une fracture du bassin. Ce dernier, âgé d’environ 20 ans, se serait endormi.

    C’est alors qu’une autre voiture est venue percuter le véhicule accidenté, dans la pénombre. Deux personnes qui portaient secours ont eu le temps de s’écarter, pas le trentenaire belge qui a été tué sur le coup. « Le conducteur nous a dit qu’il roulait à 130 km/h au régulateur et qu’il a été surpris », indiquent les gendarmes au quotidien régional.

    La famille de la victime, qui a assisté au drame, a été prise en charge par les pompiers. A la suite de ce suraccident, l’autoroute a été coupée au niveau de l’échangeur de Barr, dans le Bas Rhin, où l’accident s’est produit. Elle a été rouverte vers 8h.

    20 Minutes


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  • "Je suis perdu" : en Grèce, les éleveurs hébétés face à leurs troupeaux brûlés

    Kostis Angelou zigzague entre ses chèvres brûlées par l'incendie, hébété au milieu des arbres calcinés. "Je suis perdu", soupire l'éleveur, "j'en peux plus".

    Les 372 têtes du troupeau de cet éleveur grec gisent sur les deux versants de la colline noircie. 

    La route cabossée conduit, à 1.300 mètres d’altitude, à ce qu’il reste d’une forêt dévastée par les feux de forêt qui ont ravagé pendant plus d’une semaine le nord de l’île d'Eubée, la deuxième plus grande de Grèce.

    Dans un silence mortel, seules les feuilles séchées bruissent sous la brise.

    Au pied des troncs sans vie reposent les corps éventrés de bêtes calcinées, figées, dans une nuée de mouches et une odeur écoeurante. 

    Entre les branches dénudées et les arbres noircis apparaît ici une corne, là une mâchoire. Un cimetière à ciel ouvert sur un tapis de cendres. 

    Là, au milieu de la forêt, Kostis Angelou, 44 ans, a survécu par miracle en passant des heures sous un tuyau d'eau, entouré par les flammes. "Un saint m'a sauvé", confesse-t-il.

    Ce mercredi, ses yeux hagards, enfoncés dans son visage, fixent la désolation.

    Il s’accroupit devant le spectacle funeste, prend sa tête dans ses mains : "Qu’ils les enterrent, je ne veux plus les voir".

    - "Tout recommencer" -

    Cet éleveur a quitté l’école à l’âge de douze ans. Depuis, il s'occupait de ses bêtes, l'un des nombreux troupeaux qui peuplent le nord-est d’Eubée, dans l'est de la Grèce. "Plus de trente ans, 365 jours par an", précise cet homme mince.

    "Il faut que mon cœur se calme, je dois tout recommencer du début", chuchote-t-il. Et tenter de préserver l’héritage familial car "ça fait 50 ans" que son père travaille pour avoir "un tel troupeau" : "s’il vient ici, il va s’évanouir".

    Ce dernier, Spyros Angelou, 73 ans, encaisse effectivement mal le choc. 

    "On est finis, qu’est-ce que tu veux qu'on fasse", demande le vieil homme, attablé dans la cour de sa maison.

    Ses mots s’articulent douloureusement. "J’ai grandi avec ces bêtes, moi", dit-il à l'AFP.

    "Les pins ont brûlé, les champs ont brûlé, les bêtes ont brûlé. On va avoir faim. Qu’est-ce qu’on va manger ? Comment on va vivre ?", se lamente-t-il.

    Niché dans les collines, le hameau de Kerasia est entouré de paysages brûlés. Les flammes se sont arrêtées aux portes de l’école primaire et les rues escarpées ont été sauvées par les habitants.

    Le fils Angelou est lui aussi père, d’un garçon de 11 ans. Mais il espère un avenir différent pour lui.

    "Mon fils avait l’habitude de m’accompagner partout dès qu’il avait le temps. Mieux vaut qu’il ne s’occupe jamais de l’élevage et qu’il trouve un autre métier", lâche-t-il.

    La transmission de génération en génération pourrait s’arrêter là.

    Une commission est venue constater les dégâts afin d'évaluer les dédommagements promis par les autorités grecques. L'éleveur devrait obtenir une aide pour chacune des bêtes ayant péri. 

    "Je suis perdu de toute façon", conclut le jeune éleveur dans un profond désespoir.

    Dans le paysage vallonné, quelques petits travaux de réhabilitation ont commencé. "Les maisons se reconstruisent facilement, la nature c’est une autre histoire", soupire Kostis Angelou.

    AFP


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  • Près de 8600 personnes en Allemagne ont reçu de la part d'une infirmière de l'eau saline au lieu du sérum contre le Covid-19.

    Ils pensaient être complètement vaccinés contre le Covid, ils ne l'étaient que partiellement. Plusieurs milliers de personnes résidant au nord de l'Allemagne ont récemment été contactées par les autorités qui les a invitées à recevoir une nouvelle dose de vaccin contre le Covid-19.

    La raison: une infirmière de la Croix-Rouge chargée de leur administrer le sérum Pfizer leur a injecté une solution saline, rapporte le journal allemand der Tagesspiegel. Les faits se sont déroulés dans un centre de vaccination à Schortens-Roffhausen en Frise orientale (Basse-Saxe). Au total ce sont près de 8600 personnes qui n'ont pas reçu l'une des deux doses de vaccin.

    "Je suis totalement choqué par cet incident", a écrit sur Facebook Sven Ambrosy, l'administrateur de l'arrondissement de Frise, "beaucoup de nos citoyens n'ont peut-être pas la vaccination qu'ils voulaient et qu'ils méritent."

    Des publications vaccino-sceptiques sur les réseaux sociaux

    Bien que la solution saline soit sans danger pour le corps humain, la plupart des personnes concernées l'ont reçue entre mars et avril, lorsque la vaccination n'était réservée qu'aux personnes âgées et fragiles. Ces 8600 personnes, la plupart âgées de plus de 70 ans, ne disposaient donc pas jusque-là d'une immunité suffisante pour les protéger contre les formes graves de la maladie.

    Selon les policiers chargés de l'enquête, les motivations de l'infirmière -dont le nom n'a pas été rendu public- sont pour l'heure floues mais plusieurs de ses publications sur les réseaux sociaux ont fait état de son scepticisme quant à la vaccination. L'acte de l'infirmière, silencieuse devant les enquêteurs, serait vraisemblablement délibéré. On ignore à ce stade si l'infirmière a depuis été mise en examen.

    L'arrondissement de Frise a par ailleurs indiqué que les autorités feront "tout leur possible "pour que les personnes touchées reçoivent leur vaccin le plus rapidement possible".

    Selon les dernières données du ministère allemand de la Santé, 52,1 millions d'Allemands (soit 62,7% de la population) ont reçu leur première dose de vaccin et 46,2 millions (55,6%) présentent un schéma vaccinal complet contre le coronavirus.

    BFM.TV


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  • Un crocodile des marais à l'état sauvage, une espèce éteinte au Bangladesh, a été capturé sur une rive du Gange du pays, ont annoncé mardi les autorités.

    Le crocodile mâle long de 2,3 mètres, âgé de 10 à 12 ans, a été repéré dans un village du district de Faridpur, au centre du Bangladesh, à la fin du mois de juillet. Les autorités ont tenté de le sortir de l'eau en vain, jusqu'à ce qu'il soit capturé par des villageois, a déclaré le responsable régional des forêts, Nirmal Kumar Paul.

    Capturé par des villageois

    "Nous avons découvert qu'il était en fait entré dans le canal de la rivière Padma (affluent du Gange) en quête de poissons qui semblent s'y trouver en abondance", a raconté le responsable à l'AFP. "Nous avons essayé de le capturer avec des filets mais il s'est échappé. Puis, lundi, les villageois l'ont attrapé pendant qu'il se déplaçait sur la rive".

    La présence du crocodile dans le canal, où on pouvait facilement l'apercevoir, a attiré quelque 15.000 personnes dans le village depuis la fin de juillet, malgré les avertissements des autorités rappelant aux badauds par haut-parleur le confinement en vigueur contre le coronavirus, a-t-il ajouté.

    Le crocodile a depuis été transféré dans un centre de sauvetage d'animaux sauvages près des Sundarbans, la plus grande forêt de mangroves du monde (140.000 hectares). Il sera ensuite transféré dans un parc zoologique, ont précisé les responsables.

    Le crocodylus palustris, inscrit sur la liste des espèces "régionales éteintes" au Bangladesh

    La créature d'eau douce pourrait être parvenue au Bangladesh en provenance d'Inde par le Gange, fleuve long de 2.500 kilomètres.

    Le crocodylus palustris, inscrit sur la liste des espèces "régionales éteintes" au Bangladesh par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), a été recensé pour la dernière fois à l'état sauvage dans le pays il y a un demi-siècle, bien que l'on en aurait observé plusieurs depuis, probablement venus d'Inde par le Gange.

    Le Bangladesh conserve quelques spécimens en captivité dont l'origine est inconnue, selon l'UICN.

    L'espèce est présente en Inde, en Iran, au Népal, au Pakistan et au Sri Lanka. Sa population mondiale est estimée entre 5.400 et 7.100 individus, selon les chercheurs.

    Microsoft


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  • TikTok : un enfant de 12 ans se suicide après avoir regardé des vidéos sur la plateforme

    Le petit Ethan Bourne, 12 ans, a été retrouvé mort à son domicile situé dans l'est de Londres, le lendemain de son anniversaire.

    Selon des informations diffusées par le Daily Mirror, le jeune garçon venait de regarder des contenus relatifs à la santé mentale, à la dépression et au suicide sur le réseau social TikTok, particulièrement prisé des adolescents de son âge.

    Des vidéos sur le suicide

    Quelques mois après le décès accidentel d'un jeune pakistanais, mort après avoir simulé un suicide à l'arme à feu pour les besoins d'une vidéo destinée à la plateforme, le petit Ethan aurait donc regardé des contenus "déprimants" et "lu des paroles de chansons sur le suicide" avant de passer à l'acte, rapporte le média britannique.

     

    Décrit comme un enfant "heureux", qui venait de recevoir une paire de baskets pour son anniversaire, Ethan "adorait absolument Arsenal, il aimait les voitures, les Ferrari. Il aimait la pêche et les animaux, il était vraiment bon avec ses jeunes frères et sœurs. Il aimait la PlayStation comme tous les garçons de cet âge", se remémore sa grand-mère, Samantha Legonidet, auprès du média My London.

    À la recherche de son père biologique

    Une fouille de l'ordinateur portable du jeune garçon a révélé des captures d'écran de paroles de chansons telles que "Je suis fatigué de vivre, je pleure, j’entends qu’il est facile de mourir". De plus, l'enquête a révélé qu'Ethan avait récemment commencé à s'intéresser à l'identité de son père biologique, dont sa mère s'était séparée alors qu'il n'avait que quelques semaines.

    Gent Side


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  • Un « massacre ». L'association Agir pour le vivant et les espèces sauvages (AVES France) a vivement dénoncé le dernier arrêté de la préfecture de l'Oise, permettant à 15 chasseurs désignés par le préfet ? appelés « lieutenants de louveterie » ? de tuer 200 renards chacun dans les 15 secteurs du département jusqu'au 31 mars 2022, rapporte Le Parisien. Ce qui représente en tout 3 000 bêtes d'ici le printemps prochain. L'AVES et d'autres associations écologistes avaient par ailleurs déjà fait annuler un premier arrêté, jugé « illégal » dans sa mise en oeuvre.

    Le premier arrêté, remontant au 23 juillet dernier, stipulait que huit chasseurs pouvaient « réguler » la population de renards en en abattant 1 370. Sauf que la procédure de mise en application n'était pas conforme. « Il s'est avéré qu'il n'y avait pas eu de consultation publique mais un simple affichage en mairie. Ce n'est pas légal. On a vérifié les sept autres secteurs concernés. Tous les arrêtés étaient illégaux », a expliqué Christophe Coret, président de l'AVES.

    Les associations ont l'intention de recourir à la justice

    La préfecture a plaidé une erreur et a lancé une consultation publique pour mettre en ?uvre un nouvel arrêté, légalement cette fois, mais dans 15 secteurs au lieu de 8, et pour 3 000 renards au lieu de 1 370. Dans son projet d'arrêté, disponible sur le site oise.gouv.fr, la préfecture avance un objectif de régulation à des fins sanitaires : « Dans la mesure où la population de renards est importante sur le département, il convient de réguler cette espèce dans le cadre de la lutte sanitaire contre l'échinococcose alvéolaire (7 % d'animaux porteurs selon une étude ELIZ sur l'Oise), la leptospirose et la gale. »

    « Le renard n'a pas de prédateur et prolifère vite. Tout est une question d'équilibre. Notre intérêt n'est pas de l'éradiquer mais de le réguler », a pour sa part assuré Guy Harlé d'Ophove, président de la Fédération des chasseurs de l'Oise, au Parisien.

    La fin de la consultation, disponible sur le site de la préfecture de l'Oise, est prévue le 23 août. À partir de cette date, le nouvel arrêté pourra formellement être publié et les lieutenants de louveterie auront donc la liberté d'agir. Sauf si l'AVES parvient à faire annuler le texte par la justice. Christophe Coret a confirmé les intentions de son association, soutenue par l'association pour la protection des animaux sauvages, auprès du Parisien : « À la fin de la consultation, nous attaquerons au tribunal administratif d'Amiens. »

    Le Point

    Quelle bande de cons ces chasseurs !


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  • Rappel produits : ces fromages vendus chez Carrefour, Leclerc, Casino et Intermarché sont contaminés par la Listeria

    Alerte sur plusieurs fromages vendus chez Carrefour, Leclerc, Casino et Intermarché contaminés par la Listeria. Ces lots font l'objet d'un retrait et d'un rappel en magasin. Soyez prudents !

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/insolite/rappel-produits-ces-fromages-vendus-chez-carrefour-leclerc-casino-et-intermarch%C3%A9-sont-contamin%C3%A9s-par-la-listeria/ar-AAN8Q08?ocid=msedgntp


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