• Le tribunal correctionnel de Béziers (Hérault) a condamné un homme qui a tenté de tuer son animal de compagnie en le noyant dans le canal du Midi, après l’avoir ligoté et drogué.

    L’audience s’est tenue ce mercredi, au tribunal correctionnel de Béziers. Un homme de 48 ans a été jugé pour avoir commis des actes de cruauté envers un animal domestique. Il a écopé de quatre mois de prison avec sursis, relate Midi Libre. La justice lui reprochait d’avoir tenté de noyer sa chienne en la jetant dans le canal du Midi, à Agde, après l’avoir droguée à l’aide de somnifères.

    Les faits remontent au mois de mars 2019. L’enquête a démontré que le mis en cause avait préalablement ligoté l’animal avec du ruban adhésif, mais la chienne s’était réveillée au contact de l’eau froide. Un cycliste, qui passait par là, l’avait alors repérée grâce à ses aboiements et lui avait sauvé la vie.

     

    La chienne, Daisy, appartenait au fils du suspect. Au lieu de la confier à une association, il avait tenté de la tuer, sous prétexte qu’elle perdait ses poils. Le prévenu était encore sur place quand la chienne avait été ramenée en sécurité. Il s’était fait passer pour un passant et avait conduit l’animal chez un vétérinaire.

    Neuf parties civiles au procès

    Avec l’aide de la Société protectrice des animaux (SPA), les enquêteurs du commissariat d’Agde étaient parvenus à identifier son propriétaire, auteur des faits. Outre sa condamnation à une peine de prison avec sursis, le quadragénaire n’a plus le droit de posséder d’animal durant cinq ans.

     

    Il doit également indemniser les neuf parties civiles, dont l’association 30 millions d’amis et la fondation Brigitte Bardot. Le mis en cause, qui encourait jusqu’à deux ans de prison, a été condamné à quatre mois de prison avec sursis. Jugeant la sanction trop légère, plusieurs associations de défense d’animaux ont fait état de leur déception. Elles espéraient une interdiction de détenir un animal à vie.

    Un jugement en CRPC refusé par le président

    Fait notable, l’affaire devait initialement être jugée en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), et le parquet avait requis 60 heures de travail d’intérêt général contre le prévenu. Mais le président de l’audience avait refusé de se prononcer, estimant que l’affaire devait être jugée en audience au tribunal correctionnel.

    ACTU 17

    4 mois avec sursis, c'est faire peu de cas de la vie d'un chien, honte aux juges !

    Merci au cycliste qui l'a sauvé.

    Ce salaud, faut le ligoter et le jeter à l'eau !


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  • Comment n'est-il pas mort, pauvre chien !


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  • Un homme a été écroué après avoir écopé d’une peine de 18 mois de prison ferme ce lundi par le tribunal correctionnel de Bordeaux (Gironde), pour avoir fait subir un calvaire mortel à un chiot de 5 mois.

    Le mis en cause était jugé ce lundi en comparution immédiate à Bordeaux notamment pour « acte de cruauté » sur une chienne âgée de 5 mois qui est décédée la semaine dernière explique Ouest-France. Il a été condamné à 18 mois de prison ferme et a été incarcéré à l’issue de l’audience.

    Le prévenu a également été condamné à une interdiction à vie de détenir un animal. Une mesure qui avait été réclamée par Me Patrice Grillon, avocat à Paris de l’association Stéphane Lamart et de la société nationale pour la défense des animaux, parties civiles.

     

    Le mis en cause avait déjà été condamné à Dijon (Côte-d’Or), en 2016, pour des violences sur le chien d’un tiers et comparaissait en état de récidive légale.

    Des violences sur son hôte

    Il a aussi été reconnu coupable de violences sur personne vulnérable, en état d’ivresse. La victime, placée sous curatelle renforcée qui est un ancien sans domicile fixe, hébergeait le prévenu, « un marginal », durant le confinement, à Pessac selon Me Grillon.

    L’homme de 65 ans a subi des « brimades » et des « violences ». Il a finalement décidé de prévenir la police le 6 mai dernier.

    Relégué sur le balcon « dans ses excréments »

    La petite chienne prenait des coups de manière répétée « alors qu’elle était déjà fragilisée après des précédentes violences de son propriétaire en mars, qui avaient nécessité une opération », a expliqué l’avocat. Le chiot était devenu le « souffre douleur » du mis en cause qui l’avait mis sur le balcon « dans ses excréments ». Des voisins avaient également alerté la police après avoir entendu les hurlements d’un chien.

    L’animal est malheureusement décédé dans une clinique vétérinaire, rapidement, suite à une hémorragie compatible avec des coups.

    ACTU 17

    j'espère qu'il la fera sa peine de prison ce salopard !


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  • Coronavirus : Julie Gayet défend la cause animale avec le chien de François Hollande

    Le monde a été bouleversé par la pandémie de coronavirus... Pour tenter de lutter contre la propagation de ce terrible virus, la France a été placée en confinement le 17 mars dernier. Tous les univers ont été impactés par cette crise sanitaire et il a fallu apprendre à vivre avec. Le monde de la télé n'a pas été épargné. De nombreux tournages d'émissions télé ont été annulés, mais certaines chaînes ont réussi à s'adapter au confinement. Cyril Hanouna a décidé d'animer chaque soir "Touche pas à mon poste" depuis son salon pendant que Cyril Lygnac préparait de bons plats de chez lui dans "Tous en Cuisine" diffusée sur M6. De son côté, France 2 a créé un programme court le 19 avril dans le but de divertir les Français, confinés chez eux. La chaîne a proposé une série de sketchs qui mettait en scène deux experts d'un centre d'appels, campés par Alice Belaïdi et Loïc Legendre, chargés de répondre aux questions incessantes concernant au confinement... De nombreux artistes se sont prêtés au jeu et ont fait une apparition comme Marina Foïs, Jean-Paul Rouve ou encore Elie Semoun. D'ailleurs, ce vendredi 8 mai, Julie Gayet a surpris de nombreux téléspectateurs en apparaissant aux côtés du chien de François Hollande pour faire passer un message !

    "on arrête d'abandonner les chiens"

    Julie Gayet est apparue dans "Au secours, bonjour" afin de défendre la cause animale. Pour cette occasion, elle était accompagnée par le chien de François Hollande, prénommé Philae et elle avait un message fort à transmettre. Dans son sketch, l'actrice de 47 ans s'est exprimée : "J'appelle parce qu'il paraît que de nombreuses personnes abandonnent leurs chiens en pensant qu'ils peuvent transmettre le virus. Alors qu'en fait les chiens ne transmettent pas le virus. A la limite, c'est nous qui pourrions leur transmettre. Et pourtant, ils ne nous abandonnent pas eux.". La compagne de François Hollande a conclu avec humour : "Donc petit message, on arrête d'abandonner les chiens, on les laisse tranquilles. A la limite, on abandonne les pangolins et les chauve-souris.". Son constat est alarmant et malheureusement bien réel.

    Non Stop Zapping


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  • Brigitte Bardot poursuivie pour injures raciales et renvoyée en correctionnelle

    Chien servant d'appât pour attraper requins à la Réunion ! Si ce n'est pas de la sauvagerie !

     

    En 2019, Brigitte Bardot tenait des propos outranciers contre les Réunionnais. Mise en examen pour "injures raciales", BB vient d'être renvoyée devant le tribunal correctionnel, où elle devrait être entendue dans les prochains mois.

    Brigitte Bardot va devoir s'expliquer devant les tribunaux. Attachée comme chacun sait à la cause animale, la militante adressait en mars 2019, en tant que présidente de sa fondation une lettre à destination de la préfecture et de plusieurs médias de La Réunion. L'idée première de Brigitte Bardot est d'alerter sur le traitement des animaux dans l'île, pointant du doigt le sort réservé aux chiens et aux chats, mais également des "fêtes indiennes Tamoul avec décapitations de chèvres et boucs en offrande à leurs Dieux et dont les abats jetés à la mer attirent les requins"En voulant se poser en défenseure des animaux, Brigitte Bardot a aussi complètement dérapé.

    "L'île du diable"

    Dans cette lettre, elle traite les Réunionnais de "population dégénérée", aux "traditions barbares". Elle surnomme l'endroit "l'île du diable" où les habitants seraient des "autochtones ayant gardé leurs gènes de sauvages". Dès la médiatisation de la lettre, les propos font polémique. Malgré des excuses quelques jours plus tard, Brigitte Bardot est mise en examen pour injures raciales, comme son communicant, pour complicité. Le 11 mars dernier, le réquisitoire du procureur de Saint-Denis est sans appel, comme l'indique Le Parisien : "Nul ne niera que Mme Bardot a mené des combats légitimes pour qu'il soit mis fin à certaines pratiques qui n'étaient plus tolérables […] La force de l'engagement de Mme Bardot ne saurait cependant justifier qu'elle ait injurié de façon globale des êtres humains en laissant croire que les sévices à animaux étaient le fait de l'ensemble des habitants de la Réunion". Un réquisitoire suivi par le juge d'instruction, qui vient de renvoyer Brigitte Bardot devant le tribunal correctionnel. Déjà condamnée à cinq reprises pour incitations à la haine raciale, BB va devoir de nouveau se confronter à un tribunal dans les prochains mois.

    Voici

    Les chiens sont maltraités à la Réunion, BB a raison !


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  • Montélimar : Un chat vivant ramassé à la pelle et jeté dans une poubelle, la vidéo fait scandale

    Une vidéo amateur montre un chat vivant mais blessé, qui est ramassé à la pelle par un agent de propreté avant d’être jeté à la poubelle, à Montélimar (Drôme). Des associations de défense des animaux ont annoncé qu’elles allaient déposer plainte.

    Ces images ont été diffusées sur les réseaux sociaux ce mardi après-midi et ont scandalisé de très nombreux internautes. La séquence d’une trentaine de seconde a été tourné depuis un appartement situé dans la rue Quatre Alliances, à Montélimar, vers 6h du matin, rapporte France Bleu.

    Dans cette vidéo, on aperçoit un chat allongé au sol qui semble blessé. Deux agents de propreté s’approchent de l’animal. L’un d’eux utilise alors sa pelle pour le prendre, puis le jette dans la benne à ordures d’un camion.

    Le maire annonce « des mesures disciplinaires »

    « Je viens de prendre connaissance d’une vidéo qui circule. Cette dernière est tout bonnement scandaleuse. Les agents concernés sont en cours d’identification et seront convoqués dans les plus brefs délais afin de prendre des mesures disciplinaires », a réagi le maire de Montélimar, Franck Reynier, sur Twitter ce mardi.

    La ville de Montélimar va également « s’associer » au dépôt de plainte de l’association 30 millions d’amis « afin de faire toute la lumière sur cet acte », indique la commune ce mercredi. « La collectivité va déposer également plainte en son nom », peut-on également lire sur Twitter.


    Le conseiller municipal d’opposition, Salim Bouziane, a dénoncé quant à lui sur Facebook « la cruauté envers un animal, ou maltraitance, alors que nos services disposent des outils pour prendre soin de ce chat en détresse »« En tant qu’élu de la Ville de Montélimar, je condamne fermement cet acte odieux et inhumain », a-t-il ajouté.

    « Il a eu peur de le prendre avec les mains (…) Il aurait du appeler les services vétérinaires »

    Les deux agents concernés par cette vidéo sont des salariés de Véolia, société qui s’occupe du ramassage des ordures dans la commune.

    Le directeur du secteur de la société, Bruno Bertini, explique qu’il « ne cherche pas d’excuse » mais qu’il faut « remettre du contexte »« Il était 6h30, en pleine période de confinement, avec des équipes qui travaillent tous les jours depuis le 17 mars et l’agent ne savait pas comment attraper ce chat agonisant, surement après avoir été percuté par une voiture. Il a eu peur de le prendre avec les mains, parce qu’on parle aussi de transmission du coronavirus par les chats. Donc il n’aurait pas dû faire ça. Il aurait du appeler les services vétérinaires », admet-il à France Bleu.

    « L’agent est très touché, bouleversé par la teneur que ça a pris », ajoute le responsable du secteur qui précise que le félin est décédé quelques minutes après avoir été découvert par les deux agents.

     

    Une pétition récolte près de 50 000 signatures

    L’association L214 a également réagi sur Twitter : « Honteux ! Blessé par une voiture, ce chat agonisant au milieu d’une rue de Montélimar est traité comme un simple déchet ». De son côté, l’association One Voice a annoncé qu’elle souhaitait déposer plainte, tout comme l’association SOS 4 pattes en détresse.

    Une pétition en ligne réclamant « une sanction exemplaire à l’encontre de l’agent municipal » en cause, a déjà récolté près de 50 000 signatures.

    ACTU 17


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  • Les corridas programmées à Arles ont été annulées, la chasse est en partie suspendue… Mais dans les cirques ou les refuges, les animaux pâtissent de notre confinement.

    Première bonne nouvelle : moins de voitures sur les routes, ce sont des milliers d’animaux qui ne finiront pas écrasés ou percutés. «C’est d’autant mieux pour la nature que nous entrons dans une période de reproduction», souligne Madline Rubin, directrice de l’Aspas (association pour la protection des animaux sauvages). Autre source de réjouissance pour le gibier : mesures de confinement obligent, la chasse à courre a été clôturée avec deux semaines d’avance. «Mais pour ce qui est des autres formes de chasse, le gain pour les animaux est minime, ajoute Madline Rubin. La fermeture générale est en effet intervenue fin février, seuls les sangliers pouvaient être chassés jusqu’à fin mars. Le problème, c’est que nous voyons désormais fleurir des dérogations préfectorales permettant d’abattre telle ou telle espèce… De plus, les chasses spécifiques, comme celle du blaireau, sont autorisées sur de très longues périodes.»  

    Le confinement des humains n’a pas non plus bouleversé le destin des taureaux voués à mourir dans les arènes. Certes, la féria d’Arles, prévue du 10 au 13 avril, a été annulée. Mais le reste est encore flou : selon André Viard, fondateur de l’Observatoire national des cultures taurines, les organisateurs des férias de Pentecôte de Vic-Fezensac (Gers) et de Nîmes (Gard), prévues fin mai-début juin, réfléchissent à un report. L’aficionado espère pour sa part «qu’à partir de mi-juin, le calendrier soit respecté».

    Refuges fermés

    De son côté, la SPA doit faire face à une situation délicate : ses 52 refuges ont dû être fermés, les adoptions sont suspendues, les chiens restent cloîtrés dans leurs boxes. Aucun animal ne sort, mais des milliers continuent à entrer, comme l’explique Jacques-Charles Fombonne, président de la SPA : «Nos refuges reçoivent en moyenne 3 500 animaux chaque mois en provenance des fourrières. Ce chiffre est resté stable en dépit de l’épidémie, tout comme les abandons. Mais comme il n’y a plus d’adoption, et que nos refuges étaient déjà très chargés, ils vont être tout à fait pleins dans les jours prochains.» La SPA se met donc en quête de familles d’accueil susceptibles d’accueillir un animal le temps du confinement. «Elles pourront nous contacter via notre site internet dès ce week-end, précise Jacques-Charles Fombonne. Nous essayons aussi de mettre en place des procédures d’adoption simplifiées.»

    Les animaux des cirques sont-ils mieux lotis depuis le début de l’épidémie ? Sûrement pas, répond Muriel Arnal, présidente de One Voice : «Le confinement total, c’est ce qu’ils subissent durant toute leur vie. Certes, comme les cirques ne circulent plus, ces animaux n’ont plus à subir les fatigues de l’itinérance. Mais les circassiens n’ont plus de revenus liés aux spectacles. On s’inquiète donc beaucoup quant à leurs capacités à nourrir leurs animaux, notamment les fauves.» Les enquêteurs de One Voice ayant dû interrompre eux aussi leurs activités, l’association n’a plus de visibilité sur les situations d’urgence. «Nous avons alerté le ministère de la transition écologique et proposé de placer des animaux dans des sanctuaires, poursuit Muriel Arnal. Nous n’avons pas eu de réponse.»

    En attendant, La Tanière, un zoo-refuge situé en Eure-et-Loir et spécialisé dans l’accueil d’animaux «exotiques», provenant notamment de laboratoires ou de saisies, dit crouler sous les demandes de placements en urgence d’animaux de cirques. La Tanière doit ainsi faire face à des dépenses croissantes qui mettent son existence en péril et lance un appel aux dons.

    Libération


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  • Nantes : Un agriculteur découvre l’une de ses vaches tuée d’une balle dans la tête et découpée en morceaux

    Un agriculteur a découvert avec stupeur que l’une de ses vaches avait été abattue puis découpée en morceaux. Les auteurs ont eu le temps de prélever « les meilleurs morceaux » sur la bête, a-t-il témoigné.

    L’agriculteur de 29 ans s’est dit être encore « sous le choc », deux jours après avoir constaté que l’une de ses vaches de race limousine avait été tuée d’une balle dans la tête et découpée en morceaux, samedi.

    Elle se trouvait sur son terrain de Treillières près de Nantes (Loire-Atlantique), près d’une aire de repos de la quatre voies reliant Nantes à Rennes, rapporte actuNantes. Ce sont les voisins de l’agriculteur qui l’ont alerté.

    Une enquête judiciaire en cours

    Les gendarmes sont intervenus sur place et ont procédé aux constatations, relevant notamment les traces d’un véhicule suspect sur le terrain. L’enquête a été confiée à la compagnie de Nantes.

    La vache était âgée de 6 ans et attendait un veau pour cet été. Les restes de sa dépouille ont été pris en charge, ce lundi, par une entreprise spécialisée dans l’équarrissage. Les photos du massacre ont été publiées sur Facebook et ont suscité l’émoi notamment parmi les habitants de la région.

    La vache a été visée au fusil de chasse « à 15 mètres depuis le chemin communal », affirme l’agriculteur Florian David, qui précise que les auteurs ont prélevé « les meilleurs morceaux » sur la bête avant de s’enfuir.

    ACTU 17


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  • Depuis combien de temps Safe attendait-elle la mort ?

    Abandonnée…sa chaîne est incrustée dans son cou…

    LIEN de l'article :

    https://www.clicanimaux.com/chevaux/collecte-5992-depuis-combien-de-temps-safe-attendait-il-la-mort-

     

    Pauvres animaux des DOM TOM !


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  • Coronavirus : Un chat testé positif à Liège, en Belgique

    Illustration

    Un chat a développé des symptômes alors que son maître avait été contaminé par le coronavirus. L’animal a été testé positif au Covid-19. Il s’agit toutefois d’un « cas isolé » a indiqué un virologue.

    Un chat a été contaminé par le coronavirus à Liège, en Belgique. La nouvelle a été donnée par le porte-parole interfédéral de la lutte contre le Covid-19, le virologue Emmanuel André, ce vendredi midi lors d’une conférence de presse.

    « Nos collègues de la Faculté de médecine vétérinaire de Liège ont pu mettre en évidence qu’un chat, appartenant à une personne infectée par le covid-19, avait attrapé la maladie. Il a développé des symptômes et une infection, cela a été confirmé », a déclaré Emmanuel André. Le chat avait des symptômes comme de la diarrhée ainsi que des vomissements et avait aussi du mal à respirer, le tout une semaine après la contamination de son maître.

    « Les animaux ne sont pas vecteurs de l’épidémie »

    « Ce type de transmission, de l’homme vers l’animal, a nécessité un contact rapproché au quotidien. C’est un cas isolé, ce n’est pas la règle », a-t-il ajouté en insistant : « Il n’y a pas de raison de penser que les animaux peuvent être vecteurs de l’épidémie dans notre société ».

    « Les animaux ne sont pas vecteurs de l’épidémie, il n’y a donc aucune raison d’abandonner son animal », a réagi à son tour le Conseil national de protection animale (CNPA) cité par les médias belges. Les experts ont suggéré plusieurs précautions pour les propriétaires qui sont infectés par le Covid-19 : « respecter les règles d’hygiène habituelles » et notamment se laver les mains avant de caresser son animal ainsi qu’après, ainsi que de « ne pas se frotter au nez de ses animaux ».

    « Rien ne fait penser dans l’évolution de la maladie que l’animal joue un rôle pour infecter l’homme »

    « On sait que le coronavirus (celui qui nous touche actuellement) peut infecter globalement n’importe quel mammifère. D’autres coronavirus peuvent le faire », détaille Yves Van Laethem, virologue à l’hôpital St Pierre, interrogé par RTL info, ajoutant que « rien ne fait penser dans l’évolution de la maladie que l’animal joue un rôle pour infecter l’homme par la suite ».

    Une hypothèse affirmée également par l’Académie française de médecine ce mercredi. « A ce jour, il n’y a pas de démonstration scientifique sur le risque de contamination de l’homme par le virus à partir des animaux domestiques, ni sur le risque de contamination (forte et avec signes cliniques, ndlr) d’un animal domestique à partir d’un malade ».

    « Ces risques ne peuvent être écartés » a estimé l’institution, parce que le coronavirus du SRAS de 2002, génétiquement proche de l’actuel, a pu être « isolé dans plusieurs espèces animales ».

    Deux chiens sans symptôme testés positifs à Hong-Kong

    Par ailleurs, deux chiens ont été testés positifs au Covid-19 à Hong-Kong. Leur maître avait été contaminé auparavant.

    Le premier animal avait néanmoins un « taux très faible de virus » et les tests qui ont suivi ont montré à chaque fois un résultat négatif. Le second chien est toujours sous surveillance et aucun des deux canins n’a montré de symptômes. En conclusion, il n’y aucune raison de craindre son animal domestique ou de l’abandonner, d’autant que cela représente un délit en France.

    ACTU 17

    Pourvu qu'il n'y ait pas des abrutis qui abandonnent leurs animaux !


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  • Pour lutter contre le coronavirus, on manque aussi de... souris

    vLes chercheurs du monde entier s’attellent à trouver traitements ou vaccin contre le nouveau coronavirus mais ils cherchent aussi ... des souris de laboratoire. Mais pas n’importe lesquelles, il leur faut des rongeurs transgéniques, qui se font rares.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/societe/pour-lutter-contre-le-coronavirus-on-manque-aussi-de-souris/ar-BB11Npi8#image=1

     

    Pauvres petites souris


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  • Paris : Une cane et ses canetons escortés par les motards de la police sur le périphérique

    Alors que le monde traverse une crise sanitaire sans précédent dans l’ère moderne, la préfecture de police de Paris nous offre une douce parenthèse.

    Des motards de la police nationale sont intervenus sur le périphérique parisien pour escorter une cane suivie de près par ses canetons. Tout ce beau monde déambulait sur les voies de circulation et aurait pu causer un accident.

    La scène a été filmée par les motards de la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) à hauteur de la porte d’Italie, précise France Bleu. Elle a ensuite été publiée ce mercredi après-midi sur le compte Twitter de la préfecture de police de Paris.

     

    Les petits canards n’ont pas l’air particulièrement stressés d’être frôlés par les voitures. L’histoire ne dit pas s’ils disposaient d’attestation dérogatoire pour leur déplacement, mais ils ont rejoint leur destination sans dommage.

    La séquence vidéo est accompagnée du commentaire : « Les motards de la DOPC et tous les policiers veillent sur votre sécurité. Faites attention à vous et prenez soin de vos poussins ». Elle a été vue plus de 500 000 fois.

    ACTU 17


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  • Les coups de feu qui avaient retenti à Toulouse (Haute-Garonne), dimanche vers 11h30, avaient suscité beaucoup d’inquiétude chez les riverains et provoqué l’intervention d’un important dispositif de forces de l’ordre.

    Les policiers qui étaient intervenus avaient finalement interpellé un jeune homme de 22 ans à son domicile. Le suspect, qui vivait avec sa grand-mère et ses deux enfants, venait d’abattre deux de ses chiens qu’il maintenait sur un petit balcon et qui avaient commencé à se battre. Il a été lourdement condamné par la justice.

    Le fusil à pompe introuvable

    L’enquête a démontré qu’il a utilisé un fusil à pompe pour abattre ses deux chiennes de race american staffordshire. Lors de son arrestation, qui s’était déroulée sans heurts, les policiers n’avaient pas retrouvé l’arme utilisée. Le jeune homme l’aurait peut-être démontée avant de la confier à un complice.

    6 mois de prison ferme avec mandat de dépôt

    Déféré devant la justice mercredi, au terme de sa garde à vue, il a fait l’objet d’une comparution immédiate pour « détention illégale d’arme de catégorie B » et « actes de cruauté envers les animaux », rapporte actuToulouse.

    Le prévenu a été condamné à 18 mois de prison dont 6 mois de prison ferme. Son sursis est assorti d’une mise à l’épreuve pour une durée de deux ans. Un mandat de dépôt a été délivré à son encontre et le jeune homme est donc parti tout droit en prison. Il a été incarcéré à la maison d’arrêt de Seysses (Haute-Garonne).

    ACTU 17


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  • Les policiers craignaient qu’une prise d’otage soit en cours lorsqu’ils sont intervenus.

    Alertés pour des coups de feu vers 11h30 ce dimanche, les policiers ont bouclé une partie de l’avenue Jean-Rieux à Toulouse (Haute-Garonne), par crainte d’une possible prise d’otage en cours. Ils ont entamé un dialogue avec les habitants de ce logement, qui leur ont expliqué ce qui venait de se passer.

    Deux chiens abattus

    Le locataire, qui vit avec sa grand-mère et ses deux enfants, a affirmé que trois de ses chiens qu’il maintenait sur un petit balcon avaient commencé à se battre. Dans l’incapacité de calmer ou de maîtriser les molosses, leur maître a finalement tiré au fusil.

    Un animal est mort sur le coup, tandis qu’un deuxième a succombé à ses graves blessures malgré l’intervention d’un vétérinaire, rapporte La Dépêche.

    Le suspect placé en garde à vue

    Deux autres chiens se sont enfuis du domicile, avant d’être retrouvés par les policiers. Ils ont été confiés à un refuge. Le tireur a été interpellé et placé en garde à vue. L’homme présenterait des troubles psychologiques, relate actuToulouse.

    ACTU 17

    Il avait donc 5 chiens dans son appartement !

    J'espère qu'on va lui interdire d'avoir d'autres chiens.


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  • "Les animaux ne propagent pas le coronavirus, ne les abandonnez pas !"

    Les refuges sont fermés, mais la vie s’organise au mieux pour les animaux abandonnés. Le point avec Jacques-Charles Fombonne, président bénévole de la SPA

    Dès lundi matin, la SPA annonçait la fermeture de ses refuges. Comment la vie s’organise t-elle ?

     

    Jacques-Charles Fombonne. En tant qu’établissement recevant du public, la SPA doit respecter les directives gouvernementales. Mais dans l’urgence, nous n’avons pas été comptés au titre des organisations indispensables à la marche de la nation. La difficulté, c’est que notre activité est en lien avec des êtres vivants. On ne met donc pas la clé sous la porte pendant des semaines en demandant aux animaux de se débrouiller tout seuls ! Notre présence est vitale. La SPA, c’est 690 salariés, 2000 bénévoles, 73 sites… Nous avons tout réorganisé en 24 heures. Les salariés oeuvrent à l’intérieur des refuges.

    On a bien évidemment pris des mesures drastiques en divisant les équipes par 2 afin qu’elles ne se croisent pas et procèdent par roulement au fil des jours pour nourrir et abreuver les animaux, prodiguer les soins et les vaccinations, nettoyer les box. Les échanges physiques sont interdits, tout est cloisonné au maximum. Nos bénévoles ne peuvent plus promener les chiens, mais ces derniers ont accès aux structures internes des refuges, aux parcs de détente, afin de ne pas passer leurs journées cloîtrés entre quatre murs.

    Notre plus grande inquiétude, c’est que les gens puissent imaginer que les animaux sont porteurs du Covid-19. Je ne suis ni biologiste, ni vétérinaire, mais tous les scientifiques, ainsi que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le martèlent : les animaux de compagnie ne sont ni porteurs sains, ni victimes, ni vecteurs du coronavirus. J’en veux également pour preuve l’attestation de déplacement dérogatoire diffusée par le gouvernement. Elle autorise les «déplacements brefs à proximité du domicile liés aux besoins des animaux de compagnie». Ça n’aurait pas été le cas s’il y avait le moindre risque.

    Les animaux ne sont pas un danger, les Français doivent entendre ce message. Si un crétin se mettait à propager une rumeur contraire sur les réseaux sociaux, nous nous attendons à devoir faire face à une vague massive d’abandons. Ce serait une situation catastrophique à laquelle aucune association ne pourra répondre. A elle seule, la SPA a recueilli l’an dernier 46 000 animaux. La France compte près de 40 millions d’animaux domestiques. Imaginez ce qu’il se passerait si 1% de la population se mettait à abandonner son compagnon… Les refuges, déjà bien remplis, seront engorgés et il faudra procéder à un grand nombre d’euthanasies alors que nos statuts l’interdisent.

    À lire : 13 700 cas en Espagne, évacuation de patients de Mulhouse… le point sur le coronavirus

    Qu’en est-il en ce moment ?

    Nous n’avons heureusement pas d’augmentation d’abandons pour l’instant. Nous avons communiqué très tôt, mais il suffit d’un phénomène de panique pour que tout vire immédiatement à la catastrophe… Je rappelle que l’abandon est considéré, selon le code pénal, comme un acte de cruauté et puni de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.

    "Nous souhaitons proposer des adoptions en ligne"

    Ne plus recevoir de public dans vos refuges met les adoptions entre parenthèses. Comment s’adapter à cette situation inédite ?

    Depuis le confinement, mes équipes sont en contact avec le ministère de l’Intérieur car nous souhaitons proposer des adoptions «en ligne». Les futurs adoptants pourront consulter sur notre site https://www.la-spa.fr/ la fiche de tous nos animaux, répondre à un questionnaire et obtenir des conseils sur le choix de l’animal en fonction des conditions de vie des personnes. Je m’engage ensuite à ce que nous puissions recevoir les adoptants individuellement, dans des locaux qui ne seront pas ceux des salariés de la SPA. On peut imaginer par exemple un bâtiment de chantier monté en limite de nos refuges où l’on présentera l’animal en respectant les distances de sécurité et les conditions d’hygiène (lavage des mains, gel antibactérien, masques..) imposées durant cette période d’épidémie.

    Partout en France, chaque jour, de nombreux bénévoles de toutes les associations nourrissent les chats libres, prennent soin des animaux errants. Comment faire en cette période de confinement imposée ?

    Sans tordre la réglementation, je pense que les nourrisseurs doivent entrer dans la catégorie de la dérogation qui autorise les déplacements liés aux besoins des animaux de compagnie. Je ne vois pas ce qui peut s’y opposer, à condition, bien sûr, de ne pas se déplacer en groupes et de respecter les règles de sécurité sanitaires si vous croisez d’autres personnes.

    Paris Match


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  • Bravo la vache !


    5 commentaires
  • Ses mâchoires sont cassées, Il ne peut ni se nourrir ni boire…

    Lien de l'article :

    https://www.clicanimaux.com/collecte-5977-ses-machoires-sont-cassees-il-ne-peut-ni-se-nourrir-ni-boire

    Heureusement, la voiture qui l'a percuté s'est arrêtée !


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