• Les animaux ne transmettent pas le coronaviorus !

    Ce chat qui s'appelle Amour est la mascotte d'une clinique vétérinaire et l'assistant du véto, il appelle à ne pas abandonner les animaux dont le coronavirus ne se transmet pas à l'homme,  alors ne nous abandonnez pas !


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  • Contre son déclin, mobilisation internationale pour sauver le jaguar

    © HO Un jaguar dans l'Etat mexicain de Quintana Roo en 2012. La photo a été publiée par l'ONG World Wide Fund for Nature (WWF) le 14 juin 2018.

    La chute des populations de ce grand félin, pour le moment classé «quasi menacé», inquiète. Plusieurs pays du continent américain vont s'allier pour enrayer la dégradation de son habitat, cause principale de sa potentielle disparition.

    Bonne nouvelle pour le jaguar. Plusieurs pays se sont entendus pour renforcer sa protection. Et ce sur l’ensemble des territoires où il est présent. Lors de la COP 13 de la Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS), en février, une action coordonnée a été décidée entre les 19 pays d’Amérique qui l’abritent. «Les animaux ne connaissent pas les frontières. Il faut une harmonisation au niveau régional et une étude d’ensemble de la conservation de l’espèce», relève Loïs Lelanchon, chargé du programme sauvetage des animaux sauvages de l’ONG Ifaw (Fonds international pour la protection des animaux). Car ce gros félin solitaire migre et évolue sur des territoires transfrontaliers, comme entre le Brésil et le Paraguay. 

    Isolé

    Alors que dans les années 60, on comptait quelque 300 000 individus sauvages répartis sur les terres situées entre les Etats-Unis et l’Argentine, il n’en resterait plus que 70 000. Près de 90% d’entre eux sont au Brésil. L’espèce est considérée comme «quasi menacée» par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui fait référence. Cette classification date de 2016. Depuis, la chute des populations s’est poursuivie, voire accentuée. Dans certains territoires, la situation est particulièrement alarmante. «Certaines populations sont en danger d’extinction au Brésil, en Colombie ou au Mexique par exemple», explique Loïs Lelanchon.

    L’habitat de l’animal tacheté est de plus en plus dégradé par les activités de l’homme et les incendies. Les récents feux de forêt en Amazonie n’ont pas arrangé les choses. Le jaguar aurait perdu 40% de son territoire. Son aire de répartition est fragmentée, il se trouve davantage isolé, retranché dans des îlots d’habitats. Cela complique sa reproduction et donc la perpétuation de l’espèce. «S’ils sortent de leur terrain de chasse, ils peuvent se retrouver dans des zones d’habitations, avec du bétail ou sur des terres agricoles, ce qui génère des conflits», ajoute Loïs Lelanchon.

    Après le tigre et le lion, le jaguar est aussi victime d’un trafic croissant. Il est prisé pour ses os et ses dents, réduits en poudre pour être utilisés en médecine chinoise. Et ce alors que ce grand félin était déjà chassé depuis les années 70 pour sa fourrure. 

    «Corridors migratoires»

    Désormais, grâce à l’inscription du jaguar dans les deux premières annexes de la Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS), tous les prélèvements de ces animaux seront interdits. Cela concerne la chasse, mais aussi les captures pour le divertissement ou pour en faire des animaux de compagnie.  

    Il est aussi prévu de se coordonner internationalement pour protéger et restaurer son habitat, aussi varié que les forêts, les savanes ou encore les zones humides. Un plan de gestion de l’espèce va être mis en place. Il portera notamment sur la création de «corridors migratoires» : des couloirs pour connecter les îlots d’habitat  via le reboisement et une meilleure préservation des milieux naturels.

    Libération

    Toujours ces salauds de chinois avec leurs croyances ancestrales stupides !


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  • qu'il immortalise la louve qu'il a tué avec ses petits en faisant prendre une photo !

    Vivement qu'un autre chasseur le tue !


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  • Haute-Corse : Un chien retrouvé pendu à un arbre à Luri

    Dans la journée de mardi, une habitante a recueilli un chien alors qu’il était perdu au niveau de Santa Severa à Luri, en Haute-Corse. Il a finalement été retrouvé un peu plus tard sans vie, pendu à un arbre.

    L’habitante qui a pris en charge l’animal avait avisé Florence Turi, présidente de l’association de protection animale Per Elli, pour qu’un avis de recherche soit diffusé sur les réseaux sociaux afin de retrouver les propriétaires du chien.

    L’animal introuvable

    « Le chien présentait des plaies à l’oreille ainsi qu’au cou, sans doute liées à une bagarre avec d’autres animaux » a témoigné Florence Turi auprès de Corse Matin.

    La femme qui l’a recueilli l’a attaché dans le village, sans serrer ses liens pour ne pas lui causer d’autres blessures, dans l’attente de retrouver ses propriétaires. Malheureusement, peu de temps après, le chien avait disparu.

    Retrouvé pendu à un arbre

    Des jeunes du village ont découvert le chien sans vie, pendu à un arbre. Ils ont aussitôt prévenu le président de la société de chasse de la commune. Ce dernier a pris contact avec la gendarmerie qui l’a invité à se rapprocher d’une association de défense des animaux.

    C’est ainsi qu’il s’est mis en relation avec la présidente de l’association Per Elli, qui doit déposer plainte dès ce vendredi pour dénoncer cet acte de cruauté, et retrouver son auteur.

    Une pétition pour alerter le parquet

    En attendant, les photographies et le récit de cette macabre découverte ont été publiés sur Facebook et n’ont pas manqué de susciter l’indignation des internautes.

    La publication est accompagnée d’une pétition en ligne pour dénoncer cet acte de cruauté et alerter les autorités. Elle a déjà recueilli 35 000 signatures ce jeudi soir, et doit être transmise au procureur de la République de Bastia.

    ACTU 17

    Celui qui a fait cela mérite d'être pendu à son tour. je le ferai volontiers !


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  • Huit mois de prison avec sursis. C’est la peine infligée ce jeudi à un homme de 31 ans, qui a tué de nombreux chats par arme à feu dans les rues de Rouen (Seine-Maritime) entre 2017 et 2018. Ses actes avaient généré un début de psychose dans la ville.

    Les enquêteurs ont recueilli douze plaintes et recensé treize chat tués par arme à feu, dont certains avaient été décapités et éviscérés.

    Ce jeudi, le tribunal correctionnel de Rouen a condamné le prévenu à huit mois de prison avec sursis. L’homme se trouve toujours interné d’office en service psychiatrique.

    « La cause principale de la mortalité des oiseaux »

    Le trentenaire avait reconnu la plupart des faits qui lui étaient reprochés, et évoqué la raison de son passage à l’acte. Pour lui, « les chats sont la cause principale de la mortalité des oiseaux », relate Le Parisien.

    La peine de prison prononcée a été assortie de deux ans de mise à l’épreuve et d’une interdiction définitive de détenir un animal. En outre, il devra verser plus de 9 000 euros aux différentes parties civiles dont la SPA, la fondation Brigitte Bardot et l’association 30 millions d’amis, au titre du préjudice matériel et moral.

    Une atténuation de son discernement

    Le tribunal a suivi les réquisitions du ministère public formulées durant ce procès pour « sévices aggravés et des actes de cruauté commis envers des animaux domestiques », qui s’est tenu le 13 février dernier.

    À l’audience, l’avocat de la défense avait déclaré contester l’expertise psychiatrique qui avait conclu « à l’atténuation de son discernement », plaidant son abolition totale.

    ACTU 17

    Seulement 8 mois avec sursis, une honte, c'est faire peu de cas de la vie des animaux !


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  • C’est une triste découverte qu’ont fait les gérants d’une réserve au Kenya. L’unique girafe blanche femelle du monde et son petit ont été tués par des braconniers. Ces animaux, extrêmement rares, n’ont été signalés dans aucun autre pays. Les corps des deux animaux ont été trouvés à l’état de squelette.

    Je sais, j'ai déjà fait un article, mais là on la voit marcher un tout petit moment !


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  • Kenya: l’unique girafe blanche femelle au monde tuée par des braconniers

    La girafe a été tuée avec son petit.

    Les deux animaux ont été tués, il y a quelques jours, dans une réserve de Garissa, à l'est du Kenya. La disparition de ces spécimens extrêmement rares a provoqué l'indignation dans le monde.

    Il n'en reste désormais plus qu'un seul représentant de ces girafes blanches. Il s’agit d’un jeune mâle né en août dernier. Car les gardes d'une réserve de Garissa ont découvert, ce mardi, les squelettes de deux des trois spécimens observés dans ce sanctuaire. « Un véritable coup dur » pour l'association en charge de leur protection. Et qui lance d'ailleurs un nouvel appel à la vigilance pour la sauvegarde des espèces menacées.

    La découverte de cette girafe blanche en 2017 avait suscité un grand intérêt. Elles sont atteintes de ce qu'on appelle le leucisme, à ne pas confondre avec l'albinisme. Cette condition génétique provoque un déficit des cellules pigmentaires, comme chez certains tigres blancs par exemple, c'est pour ça qu'elles n'ont pas de taches sur l'ensemble du corps comme les girafes que nous connaissons. Elles sont blanches du museau aux sabots.

    Si les braconniers s’intéressent à ces spécimens, ils se soucient en réalité peu de leur couleur. Ils les chassent d'abord pour leur viande. Et aussi pour leur queue symboliquement offerte aux anciens. Ou encore pour leur cervelle et leur moelle, à qui des croyances locales attribuent des vertus contre le VIH.

    Il ne reste désormais plus qu'un seul représentant de ces girafes blanches. Il s’agit d’un jeune mâle né en août dernier.

    RFI

    Quelle bande de sauvages ces africains !


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  • Faut-il utiliser des singes pour comprendre et combattre le coronavirus?

    À défaut de pouvoir faire des expériences sur des humains, les scientifiques disposent toujours des ressources de l'expérimentation animale, pour tâcher de mieux comprendre le développement de certaines maladies. Pour cela, il faut trouver des sujets susceptibles de présenter des symptômes similaires à ceux constatés chez les humains. Dans le cas du coronavirus, toux, éternuements, fièvre et congestion thoracique.

    Avec 98% de similitude génétique, les primates sont évidemment les plus proches de l'humain. Aux États-Unis, une petite coalition de laboratoires a donc décidé de mener des recherches sur les singes afin d'éclairer le fonctionnement du covid-19, et de déterminer quel type de traitement serait le plus efficace.

    Babouins, macaques et ouistitis

    «Les animaux de laboratoire étant rares, les laboratoires évitent de multiplier les efforts sur une même espèce», rapporte Bloomberg. Une façon de déterminer plus rapidement quelle espèce présentera les résultats les plus probants. Alors que le centre de primates de l'université du Wisconsin étudie des ouistitis, c'est la réaction des macaques rhésus que les laboratoires des montagnes Rocheuses, dans le Montana, observent. L'institut Texas BioMedical dispose quant à lui d'une colonie de babouins forte de huit générations et 1.000 spécimens.

    Auparavant, c'est pour tester des médicaments contre Ebola que ces animaux avaient été utilisés par les différents scientifiques rattaché·es à ces laboratoires.

    Luis Giavedoni, le virologiste en charge du programme sur les babouins, espère pouvoir obtenir une autorisation du gouvernement fédéral dès la semaine prochaine, afin de commencer à cultiver le covid-19. D'ici avril, son équipe, composée de chercheuses, de soigneurs animaliers, de vétérinaires et d'un·e pneumologue pourrait alors lancer des études sur les animaux.

    Une première dizaine de babouins recevra alors une forte dose du virus. Le covid-19 s'étant révélé être le plus mortel sur les humains malades ou âgés, les babouins sélectionnés seront jeunes quant à eux. Ils seront ensuite soumis à une observation rigoureuse –température corporelle, analyses sanguines, radiographies...

    S'ils tombent malades de la même façon que les humains, alors des médicaments pourront être testés afin de déterminer une possible thérapie. Dans le cas où ils ne présenteraient aucun symptôme, ou simplement de très légers, cela pourrait être utilisé pour comprendre la transmission de l'agent pathogène, notamment chez les personnes asymptomatiques.

    Des réglementations légères

    L'utilisation d'animaux à des fins scientifiques n'est cependant pas une évidence, et pose de lourds problèmes éthiques au regard de la maltraitance animale. Les laboratoires employant ce type de pratiques font régulièrement l'objet de dénonciations de la part des militant·es des droits des animaux.

    Aux États-Unis, une loi fédérale est censée réglementer l'expérimentation animale. Elle exige notamment une supervision de toute procédure par des vétérinaires et, sans interdire les pratiques susceptibles d'infliger de lourdes souffrances, requiert un accompagnement pour soulager les sujets d'expériences, ou les euthanasier le cas échéant.

    De son côté, la France a officiellement adopté depuis 2013 la directive européenne de 2010 sur la protection des animaux utilisés à des fins scientifiques. Elle s'appuie sur le «principe des 3 R», qui vise à Réduire le nombre d'animaux dans les laboratoires, Remplacer les expérimentations animales par d'autres modèles (numériques, sur des cellules ou des tissus...), et Raffiner les conditions de détention des animaux, en supprimant ou réduisant les souffrances.

    Les primates ne représentent en France qu'une infime part des animaux de laboratoire. Sur les un peu plus de deux millions d'animaux utilisés lors de procédures expérimentales, les souris et les rats comptent pour 86%. Au total, 25% des animaux sont utilisés dans le cadre de recherches sur la sécurité sanitaire.

    Sllate

    On pourrait prendre des prisonniers meurtriers !


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  • Honteux, bon appétit les carnivores !

    Un autre élevage, l'horreur :

    https://www.youtube.com/watch?v=7kHStOSFiA8


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  • France nature environnement (FNE) vient de déposer plainte contre X après la mort d’une trentaine d’oiseaux et chauve-souris victimes des pales d’un parc éolien aveyronnais

    Trois vautours fauves, deux hirondelles, deux linottes mélodieuses, six pipistrelles… Voici un extrait du triste inventaire dressé par France nature environnement (FNE) des oiseaux et chauves-souris fauchées en plein vol par des pales d’éoliennes du côté de Sévérac-le-Château, dans l’Aveyron.

    Le collectif d’associations environnementalistes s’appuie sur les résultats fournis par un cabinet d’étude sur le parc éolien de Montfrech. Il a recensé 17 cas de mortalité d’oiseaux, et 14 décès de chauve-souris sur la seule année 2019.

    FNE constate que ce parc « ne bénéficie d’aucune autorisation environnementale pour porter atteinte aux espèces animales protégées » et qu’il ne déploie pas non plus de mesures pour limiter l’impact des pales, comme des effarouchements par exemple.

    « Face à cette situation inacceptable », une plainte contre X a donc déposé pour destruction d’oiseaux protégés et le préfet de l’Aveyron alerté pour qu’il « mette en demeure » l’exploitant du parc d’agir. FNE précise évidemment qu’elle soutient l’énergie éolienne mais « seulement si elle respecte la transparence écologique ».

    « L’objectif affiché du développement de l’éolien est la transition écologique mais souvent des intérêts purement financiers se cachent derrière cette intention vertueuse », souligne Thierry de Noblens, le président de FNE Midi-Pyrénées. « Les exploitants doivent impérativement prendre des mesures afin d’éviter la mortalité » des oiseaux et chauves-souris, ajoute-t-il.

    Contacté, l’exploitant du parc éolien de Montfrech n’a pas répondu à nos sollicitations.

    20 Minutes


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  • Dunkerque : Environ 2.000 cochons meurent dans l’incendie d’une porcherie industrielle

    L’intervention rapide des pompiers n’a pas permis de sauver les bêtes prises au piège des flammes

    Mercredi, en fin d’après-midi, un incendie s’est déclaré dans une porcherie industrielle à Arnèke, près de Dunkerque, dans le Nord a-t-on appris auprès des pompiers. Le sinistre a coûté la vie à des centaines de bêtes.

    L’alerte a été donnée par le propriétaire de l’exploitation, vers 18h30. Rapidement, de très nombreux moyens ont été déployés par les pompiers pour tenter de limiter la propagation des flammes à l’ensemble des bâtiments. Sur zone, au plus fort de l’intervention, on ne dénombrait pas moins de 24 véhicules de secours et 54 sapeurs pompiers.

    2.000 bêtes périssent dans l’incendie

    Le bâtiment de 1.500 m2 dans lequel se trouvaient les porcs a été ravagé par les flammes. Les 1.800 porcelets et les 300 truies n’ont pas survécu aux flammes ou aux fumées de l’incendie. Les pompiers sont néanmoins parvenus à limiter le sinistre à ce seul bâtiment, préservant les autres.

    Les gendarmes, présents sur les lieux, ont ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes de l’incendie.

    20 Minutes

    Ces pauvres animaux ont dû bien souffrir


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  • Loiret : Un cheval de l’Écurie de Neuvy-en-Sullias égorgé et tailladé sur tout le corps

    Les propriétaires de l’animal ont découvert la scène macabre, qu’ils ont dénoncée sur les réseaux sociaux. Une scène qui a particulièrement choqué les internautes.

    Un poney de l’Écurie de Neuvy-en-Sullias a été retrouvé mort dans son pré, égorgé et tailladé à plusieurs reprises au niveau de son ventre, dans la nuit de mardi à mercredi . Il gisait dans une mare de sang.

    La nouvelle a été partagée des milliers de fois sur les réseaux sociaux. « Flash, notre petit étalon OC de 5 ans, a été retrouvé mort dans son pré […] Les circonstances de sa mort nous ont profondément choqués et écœurés », témoignent ses propriétaires, qui dénoncent un acte de cruauté gratuit.

    Une enquête ouverte

    « Un coup de couteau à la jugulaire d’où il s’est vidé de son sang… puis 4 autres coups de couteaux post mortem… » poursuit la publication sur Facebook. Ils ont également lancé un appel à témoins car le lieu de cet acte cruel se trouve à l’écart des écuries, sans voisinage.

    Une plainte a été déposée en gendarmerie et les militaires qui « prennent l’affaire très au sérieux » se sont déplacés pour constater la scène et recueillir les témoignages, a déclaré Christelle Gille, responsable de l’Écurie, auprès de La République du Centre.

     

    Malgré le choc et la tristesse, Christelle Gille a déclaré : « Je suis très touchée de voir que des gens me soutiennent en dehors de mon cercle proche. J’espère que la ou les personnes qui ont commis ce crime seront rapidement trouvées », rapporte France Bleu.

    ACTU 17

    Mais pourquoi tant de cruauté ? Le ou les responsables méritent des années de prison


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  • Elle gisait sur le sol, sans connaissance…

    Nikki, 2 ans, a été percutée à Besançon, dans le Doubs. Le chauffard ne s’est pas arrêté. Les voitures roulaient à côté d'elle en cherchant à l'éviter.

    LIEN de l'article :

    https://www.clicanimaux.com/chevaux/collecte-5956-elle-gisait-sur-le-sol-sans-connaissance


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  • C’est une bonne nouvelle pour les opposants à l’expérimentation animale ! Genoskin étend son activité à l’international et notamment aux États-Unis. La startup toulousaine propose aux laboratoires de tester la toxicité et l’efficacité de produits sur de la peau humaine. Un second centre de production devrait ouvrir à Boston au premier trimestre 2018, preuve du succès de sa technologie.

    Genoskin : utiliser la peau humaine pour tester l’efficacité de certains produits

    Genoskin, une société toulousaine créée en 2011, a réussi à utiliser de la peau humaine pour les tests des entreprises de cosmétiques. Les hôpitaux se débarrassent généralement de leurs « déchets opératoires« . La startup récupère les morceaux de peau abdominale issus d’interventions chirurgicales, pour les transformer en échantillons vendus 3.600 euros l’unité. La peau est conservée dans une matrice biologique spéciale pendant plusieurs jours.

    Cette peau humaine vivante permet d’étudier l’efficacité et la toxicité de produits cosmétiques et pharmaceutiques. « Les essais sur les animaux sont inefficaces, longs, coûteux et de plus en plus mal perçus du grand public« , précise Pascal Descargues, fondateur et PDG de Genoskin. Ces modèles cutanés permettent aux organismes de recherche et aux entreprises d’obtenir des résultats plus prédictifs et de diminuer ainsi leur coût de recherche et développement (R&D).

    L’expérimentation animale interdite dans plusieurs pays

    Cette alternative développée par Genoskin répond à la sensibilisation grandissante des populations à la souffrance animale mais pas seulement. Elle s’adapte également à l’évolution des législations, puisque l’Union européenne ainsi que plusieurs pays comme l’Inde interdisent désormais les expériences animales pour les produits cosmétiques. Aux États-Unis, ce type d’expérimentation est de plus en plus controversé.

    « Le marché américain est d’une importance capitale pour nous« , précise Pascal Descargues. Les ventes de la startup dans cette région représentaient 30 % de son chiffre d’affaires global en 2016. Genoskin a annoncé l’ouverture d’un centre de production à Boston en 2018. L’objectif : trouver des solutions pour minimiser la participation involontaire des animaux aux expérimentations. Près de 2,2 millions d’animaux sont utilisés chaque année en France dans le cadre d’expérimentations médicales, selon l’association Peta.

    Conso Globe


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  • Yvelines : Les policiers sauvent un renardeau pris dans un piège à mâchoires

    Cette affaire a mobilisé les policiers, les pompiers et les agents de la ville de Bougival. Le poseur du piège devra répondre de son acte devant la justice, indique la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) des Yvelines.

     

    Un livreur de journaux a été témoin de la détresse d’un renardeau, pris dans un piège à mâchoires devant une propriété de Bougival, ce lundi matin. Choqué par la scène, alors que l’animal sauvage « était complètement frigorifié et tremblait », l’homme a appelé les pompiers et les policiers.

    Un officier, sensible à la condition des animaux, a décidé de tout mettre en œuvre pour le sauver, relate 78actu. Le requérant a également pris attache avec la Société protectrice des animaux (SPA) qui a avisé une association normande, spécialisée dans les soins pour les animaux sauvages.

    Des poursuites judiciaires

    Sur place, les pompiers ont dégagé le renardeau du piège et l’ont placé dans une cage. Il a ensuite été confié aux services vétérinaires pour y subir des examens. Lorsque le résultat sera positif, l’animal pourra être recueilli par l’association normande.

    Les policiers ont indiqué que le poseur du piège à mâchoires sera poursuivi en justice. La pose d’un tel matériel destiné à la chasse est réglementée. Il faut notamment être titulaire du permis de chasse et avoir un brevet dédié, précise le quotidien.

    La personne à l’origine de la pose aurait été identifiée et aurait affirmé avoir agi de la sorte « parce qu’elle reçoit des enfants et qu’elle n’aime pas les renards ».

    ACTU 17

    Il faudrait mettre à ce sale type le bas de la jambe dans un piège à machoires !


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  • Victimes silencieuses, de Samir Mejri

     

    L'avant-propos :

    Ce livre est un témoignage, un drame de conscience et non une dénonciation.
    Il n'a pas été fait contre une cible particulière. Il n'est qu'un passage dans le temps, d'un univers sordide. Il est un exemple afin de continuer à méditer sur la façon dont se fait l'expérimentation animale. C'est un vieux débat... Une habitude ancrée dans un système archaïque et peu scrupuleux de la loi, de la vie, de l'environnement.

    A travers ce livre, c'est l'histoire d'un homme - Samir MEJRI - qui, à un moment de son existence, avait le choix entre le "chrome" et la "vie réaliste". Un homme qui se sentait floué dans le plus profond de sa chair. Au-delà du numéro de Sécurité Sociale, du confort matériel, de la considération de ses proches, il n'arrivait pas à coller avec la "vérité du sujet". Quitter ce monde de tortures, d'expériences, devenait une obsession. Malgré toute la sécurité de l'embauche que cet emploi lui donnait, il ne pouvait cautionner cet univers de honte. Il voulait bien croire qu'il était heureux, mais la pilule ne passait pas.

    Pourtant des "galères", il en avait vécues. Il sortait avec sa femme d'un trou noir. Mais rien ne pouvait justifier sa fiche de paye et son confort illusoire. Sa prise de conscience l'a remis dans le trou noir... le couple est reparti "aux galères", mais libre... Deux ans dans un laboratoire c'est une expérience longue et douloureuse. Ses proches ne comprenaient pas pourquoi il avait fui la "sécurité de l'emploi". A force d'être harcelé, Samir MEJRI a décidé avec l'aide d'un copain d'écrire son témoignage. C'est pour cela que "Victimes Silencieuses" existe. Il dénonce le vaste trafic de chiens et chats vendus secrètement et illégalement. Mais, il faut savoir aussi qu'il existe une vente par correspondance et sur catalogue - tout à fait légale - des animaux destinés à la vivisection.

    Des chercheurs de tous poils et de tous domaines s'intéressent aux résultats de l'expérimentation animale. Derrière cet intérêt se cache le plus sordide massacre des innocents. Si nous avons falsifié les noms des personnes et des lieux, c'est par pudeur. C'est aussi pour ne pas donner prise à une querelle de personnes. C'est enfin, dire que ce témoignage aurait pu avoir lieu dans n'importe quel laboratoire de vivisection. Ces laboratoires ont "pignon sur rue".

    L'homme s'est protégé contre les abus de l'expérimentation en décembre 1988. A quand la protection contre les abus de l'expérimentation sur animaux ? Les positions antagonistes s'accentuent. L'Académie des sciences, partant du principe que la condition de l'espèce humaine est une priorité absolue, indique : "compte tenu de la complexité du vivant, l'expérimentation animale ne peut être abolie. La même Académie souhaite que les conditions d'élevage, de transport et de stabulation des animaux destinés à l'expérimentation obéissent aux règles strictes de l'éthique et que soient offertes aux laboratoires des possibilités d'approvisionnement dûment organisées et réglementées". On peut voir l'écart entre ce qui se pratique tous les jours et ce que l'autorité réclame.

    L'éthique ?... "Il n'y a pas d'éthique humaine qui soit séparée de l'éthique animale", disait le professeur Schwarzenberg... A la veille du 21e siècle, nous disons que l'éthique humaine, animale, végétale sera une nécessité pour la survie de la planète. On a vu naître des comités d'éthique dans le domaine médical... A quand les comités d'éthique dans le domaine animal ?... Végétal ?... Là est notre combat... faire évoluer les méthodes dépassées de l'expérimentation animale et... végétale, c'est contribuer simplement à l'évolution de l'homme.

    C'est pour ces raisons que nous publions ce témoignage.

    L'éditeur

    Victimes silencieuses, Samir Mejri, Préface : Brigitte Bardot, Editions Terradou, 1991, 240 pages

    A propos de l'auteur

    Samir Mejri fut recruté comme animalier par un laboratoire pharmaceutique en 1988. Il démissionna quelques mois plus tard, profondément choqué par l'atrocité des expériences pratiquées sur les animaux et par l'indifférence, voire le sadisme, du personnel du laboratoire. Il a écrit "Victimes Silencieuses" pour témoigner de ce qu'il avait vu.

    Pour en savoir plus

    Cet article reproduisant d'autres extraits
    Cette liste de marques de produits d'entretien et cosmétiques non testés sur les animaux (format PDF), que vous trouverez facilement dans les magasins de produits biologiques
    - Les rubriques Expérimentation animale et Industries - Lobbies

     

    LIEN pour lire des extraits de ce livre :

    http://vegane.blogspot.com/2008/06/victimes-silencieuses-de-samir-mejri.html

    Un peu de courage, allez lire quelques passages, après vous ne donnerez plus au Téléthon 

    *********************************************************

    Samir Mejri a travaillé pendant 2 ans comme animalier dans un grand laboratoire pharmaceutique. Ecœuré par ce qu’il a vu sur place, il a démissionné et a fait paraître un ouvrage pour témoigner (« Victimes silencieuses », 1991 – éditions Terradu). Cet animalier a assisté au calvaire de nombreux animaux :

    Extraits :
    « Des images me martèlent le cerveau. Farid l’expérimentateur qui fracasse la tête des lapins contre le mur, les petits cris des rats à qui on enfonce la pipette de prélèvement dans l’œil, les cris des gerbilles à qui on dégage la carotide, ces chiens qui refusent désespérément de rentrer dans la salle de cardio-vasculaire »

    « Les chiens le ventre vide depuis 2 ou 3 jours se disputent férocement les biscuits moisis qui tombent dans les flaques d’urine qui ne sèchent jamais sur le carrelage, faute d’aération..

    - regarde ces porcs, ils se battent pour de la merde
    - Lequel des deux aura droit de la bouffer, dit Farid tout excité ?
    Stéphane ricane comme un gosse de 5 ans
    -J’te parie un café sur le noir ! »

    Samir Mejri a du mal à cacher sa peine et subit des insultes de la part de ses collègues du genre «T’as rien à foutre ici, connard, tu nous fais ch..avec tes sentiments de bonne sœur.

    Samir ajoute
    « C’EST L’ARGENT DES CONSOMMATEURS, DE VOS IMPOTS ET TRES SOUVENT DE VOS DONS A LA RECHERCHE MEDICALE QUI PERMET CES SÉVICES. »


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  • Les ânes kényans sauvent leur peau, très prisée des Chinois

    Le trafic d'équidés a augmenté dans le pays.

    Le Kenya a décidé d'interdire l'abattage d'ânes destinés à être utilisés pour la médecine chinoise, a-t-on appris le 28 février 2020 de source officielle. La pratique est condamnée par les défenseurs des animaux qui la jugent cruelle, inutile et dévastatrice pour les populations d'ânes du continent.

    L'interdiction, entrée en vigueur cette semaine, intervient après que "des personnes ont adressé une pétition (en ce sens) à mes services (...) parce que le vol d'ânes pour les vendre a augmenté", a déclaré le ministre de l'Agriculture Peter Munya à l'AFP. La multiplication des vols d'ânes porte préjudice aux agriculteurs, qui les utilisent pour transporter des produits agricoles et de l'eau, et provoque "un chômage massif", a précisé le ministère dans un communiqué.

    Quatre abattoirs d'ânes ont un mois pour mettre un terme à leur activité.

    L'organisation de défense des animaux Peta a salué la décision du Kenya de "rompre les liens avec un commerce cruel, qui condamne par millions de doux ânes à une mort lamentable""Personne n'a besoin de peau d'âne, sauf l'animal né avec elle", a déclaré un responsable des campagnes de Peta, Jason Baker.

    Réservé aux empereurs

    Les peaux d'âne sont exportées en Chine pour fabriquer un remède traditionnel connu sous le nom d'"ejia". Celui-ci est utilisé pour améliorer la circulation sanguine, ralentir le vieillissement, et stimuler la libido et la fertilité. Autrefois réservé aux empereurs, ce produit est désormais prisé de la classe moyenne.

    En 2019, une enquête de Peta avait montré que les ânes étaient battus ou mouraient après de longs voyages en camion en provenance de pays voisins. L'organisation de défense des animaux The Donkey Sanctuary, basée en Grande-Bretagne, avait alors déclaré à l'AFP que selon certaines informations, les animaux étaient rassemblés et tués à la mitrailleuse ou matraqués à mort.

    La Chine se tourne de plus en plus vers l'Afrique pour satisfaire sa demande. Ces dernières années, sa propre population d'équidés a diminué de près de la moitié.

    Plusieurs pays africains ont cependant interdit les abattoirs financés par des Chinois ou ont mis en œuvre des politiques visant à mettre un terme à l'exportation de peaux d'âne vers la Chine. Les ânes se reproduisant lentement et résistant mal au stress, les défenseurs des animaux redoutent qu'ils disparaissent en Afrique de l'Est d'ici quelques années.

    franceinfo

    Vraiment un peuple à exterminer ces chinois !


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  • Arctique : Les ours polaires sont obligés de devenir cannibales pour survivre

    Cette pratique serait due à la réduction de leur habitat naturel et de leur zone de chasse à cause du changement climatique et de l’activité humaine

    Les ours blancs s’entre-dévorent pour survivre. Les cas de cannibalisme recensés parmi les ours polaires de l’Arctique russe sont en hausse. Alors que ces cas étaient « rarement constatés » auparavant, « ils le sont maintenant assez souvent, ce qui nous inquiète », a expliqué ce mercredi Ilia Mordvintsev, de l’Institut de l’écologie et de l’évolution Severtsov de Moscou.

    Habitat et zone de chasse menacés par les humains

    Le chercheur n’a pas donné de chiffres mais estime que le manque de nourriture pourrait pousser les mâles à manger les oursons. L’habitat des ours et leur zone de chasse sont menacés par les effets du changement climatique et l’activité humaine accrue en Arctique, devenue une priorité économique et militaire stratégique de la Russie.

    L’expert évoque ainsi l’impact de l’extraction de gaz dans la péninsule de Yamal, dont les bénéfices atteignent plusieurs milliards d’euros. La hausse du trafic maritime entre la mer des Barents et le golfe du fleuve Ob, en lien avec ce projet, a réduit le territoire de chasse des animaux. « Maintenant la glace dans le golfe de l’Ob, qui avait toujours été une terre de chasse pour les ours blancs, est brisée toute l’année », selon le chercheur.

    Les ours se rapprochent des humains

    Mais la hausse des cas de cannibalisme peut aussi s’expliquer par la présence accrue d’humains observant le phénomène. Des signalements sont aujourd’hui faits par des chercheurs mais aussi par des « employés d’entreprises gazières et pétrolières et du ministère de la Défense », précise Ilia Mordvintsev.

    Selon un autre expert russe, Vladimir Sokolov, la taille des glaces arctiques en fin d’été a baissé de 40 % lors des 25 dernières années. Selon lui, les ours blancs pourraient bientôt ne plus chasse sur la banquise mais uniquement sur les côtes ou les archipels de haute latitude.

    Les incursions d’ours polaires en quête de nourriture près de zones habitées sont de plus en plus fréquentes dans le nord de la Russie. En juin 2019, une ourse polaire affamée a été aperçue près d’une ville russe à plus de 800 km de son habitat naturel. Elle a été capturée et prise en charge par des vétérinaires. En février 2019, les autorités ont décrété l’état d’urgence en Nouvelle-Zemble après l’arrivée de dizaines d’ours polaires affamés et agressifs.

    20 Minutes


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  • Mystérieuse hécatombe de vautours en Guinée-Bissau

    Des centaines de vautours sont morts pour une raison mystérieuse ces derniers jours en Guinée-Bissau, ont indiqué, mardi 24 février, les autorités, qui ont recommandé aux populations d’éviter le contact avec les cadavres des charognards pour écarter les risques de contamination dans l’attente des résultats d’analyses vétérinaires.

    Des dizaines de vautours morts ont notamment été retrouvés aux abords de l’abattoir principal de Bissau, où ils rôdent habituellement en grand nombre pour se nourrir de déchets de viande, ont indiqué des ouvriers de l’établissement.

    Le phénomène a touché depuis environ une semaine plusieurs régions de cette ancienne colonie portugaise d’Afrique de l’Ouest au climat tropical, notamment Bafata (est), Quebo (sud) et l’archipel des Bijagos (ouest), avant d’atteindre la capitale.

    « J’ai été avisé par des bouchers et la population de la découverte des carcasses de vautours. Au total, on en a dénombré une centaine, mais nous n’avons pas encore une source médicale ou vétérinaire pour nous donner les raisons expliquant autant de morts de vautours », a déclaré à la presse le gouverneur de la région de Bafata, Dundu Sambù.

    Prélèvements analysés à Dakar

    Quelque 135 rapaces ont été incinérés lundi dans cette région, à l’écart des zones habitées et sous la surveillance des autorités sanitaires et de représentants de l’Etat, selon le journal bissau-guinéen O Democrata, qui estime à plus de 240 le nombre de rapaces morts ces derniers jours dans le pays.

    Des prélèvements ont été effectués et seront analysés dans un laboratoire de Dakar, au Sénégal voisin, afin de déterminer s’il s’agit d’« une grippe aviaire ou non », a déclaré à l’AFP un responsable national des services vétérinaires, Mboma Baldé.

    Les populations ont été invitées à éviter tout contact avec les oiseaux morts et à empêcher les animaux domestiques de s’en approcher ou de s’en nourrir, a indiqué le gouverneur de Bafata, cité par O Democrata.

    Dans les îles des Bijagos, au large de Bissau, où le vautour est un animal totem, des habitants ont sacrifié des poulets et répandu de l’huile de palme sur l’autel lors de cérémonies traditionnelles pour conjurer ce qu’ils estiment être une malédiction, a expliqué à l’AFP le fils d’un féticheur local.

    Le Monde.fr

    Comme si sacrifier des poulets et répandre de l'huile de palme allait changer quelque chose. Des arriérés mentaux !


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