• Loire-Atlantique : Ils retrouvent leur chien égorgé dans leur jardin à La Baule

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    L’animal a été conduit très vite chez un vétérinaire, mais il ne semble pas encore sorti d’affaire

    Une scène horrible. Lundi soir, un couple, vivant à La Baule quitte son domicile laissant son chien, un jack Russell de 6 ans, seul, dans un jardin clôturé avec le portail fermé. A son retour, vers 21 h 30, il découvre leur animal domestique souffrant d’une plaie profonde d’une dizaine de centimètres au niveau du cou, rapporte l’hebdomadaire L’Echo de la Presqu’Ile.

    Le couple se déplace aussitôt chez un vétérinaire de garde à Saint-Nazaire. Une opération est effectuée pour tenter de sauver le chien. Le vétérinaire a expliqué au couple qu’à un centimètre près, l’animal serait décédé. Il a aussi précisé, toujours selon l’hebdo, que l’acte avait été réalisé de manière volontaire, avec un couteau.

    Plainte contre X

    L’animal est sorti de la clinique, mais son pronostic vital est toujours engagé. Le couple propriétaire a déposé plainte contre X pour maltraitance animale et acte de cruauté au commissariat de La Baule.

    20 Minutes

    Je pense à une vengeance mais quelle lâcheté de se venger sur un chien innocent !

    Perso, jamais je ne m'en vais en laissant mon chien dehors.


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  • Saône-et-Loire : Un veau mutilé retrouvé mort dans son pré, le troisième en une semaine

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    Une oreille, sa langue et ses parties génitales avaient été sectionnées

    Encore une affaire d’animal mutilé. Un jeune veau a été retrouvé mort et mutilé à Rancy ( Saône-et-Loire), a indiqué ce mercredi la gendarmerie du département.

    Retrouvé ce mardi dans son pré, l’animal avait une oreille coupée, ainsi que la langue et les parties génitales, ont précisé les gendarmes. C’est la troisième découverte du genre faite en seulement une semaine dans la région.

    De nombreuses affaires de mutilations

    En effet, jeudi 15 octobre, deux veaux avaient déjà été retrouvés morts et mutilés en Saône-et-Loire. Le premier, découvert à Saint-Léger-sous-Beuvray, avait la langue et la queue coupées. Le deuxième, retrouvé à Saint-Eugène, avait la langue coupée et ses yeux avaient été enlevés.

    De nombreux animaux, le plus souvent des équidés mais aussi des bovins, ont subi ces derniers mois en France des mutilations semblables. La plupart des bêtes victimes de ces actes sont mortes des suites de leurs blessures, ou ont été abattues par leurs tortionnaires.

    20 Minutes

    Quand vont-ils finir par attraper ces salauds ?


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  • Marseille. Un agent de sécurité soupçonné de maltraiter son chien, prison avec sursis requise

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    Un agent de sécurité cynophile a été jugé, mardi 20 octobre, au tribunal correctionnel de Marseille pour cruauté animale. Storm, son chien malinois, aurait passé 500 heures enfermé dans une cage minuscule, sans eau ni nourriture, dans le coffre d’une voiture. Dix mois de prison avec sursis ont été requis par le procureur. La décision sera rendue le 10 novembre.

    Un agent de sécurité cynophile de 39 ans est passé devant le tribunal correctionnel de Marseille (Bouches-du-Rhône), mardi 20 octobre, pour maltraitance envers son chien malinois, Storm. Le procureur a requis dix mois de prison avec sursis, l’interdiction de travailler avec un chien pendant trois ans et l’interdiction totale de détenir un chien dans le cadre privé, rapporte France 3 Provence Alpes Côte d'Azur.

    En juin dernier, à la suite de nombreux témoignages de voisins, notamment auprès de la SPA Marseille-Provence, les policiers s’étaient rendus sur place et avaient retrouvé le malinois de 7 ans enfermé dans le coffre d’un véhicule aux vitres closes, malgré la chaleur. Son propriétaire, qui possède une carte professionnelle, avait été interpellé.

    Il assure avoir pris soin de son chien

    Le chien se trouvait dans une cage trop petite pour son gabarit, il ne pouvait pas bouger et n’avait pas d’eau ni de nourriture. Il aurait passé 500 heures dans cette voiture. « On l’a récupéré dans un état déplorable, amaigri, affaibli, déshydraté », se souvient le responsable de la SPA, qui a recueilli Storm, cité par France 3. Le président du syndicat autonome des agents cynophiles s’est de son côté dit furieux de voir de tels agissements dans ce métier où le chien et son maître forment « un tandem », selon des propos rapportés par nos confrères.

    Le propriétaire de l’animal a nié les accusations et déclaré ne pas comprendre pourquoi il avait été arrêté. Il a aussi prétendu qu’il s’était bien occupé du chien. Le trentenaire a malgré tout admis : «C’est vrai parfois il reste dans la voiture, mais je travaille avec, c’est mon gagne-pain. » La décision du tribunal sera rendue le 10 novembre prochain.

    Ouest-France


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  • Ce n'est pas la première fois que ça arrive dans le département

    La vilaine série continue. Lundi, un promeneur a trouvé,  aperçu un animal qui gisait dans le Vair, la rivière qui coule notamment à côté de Neufchâteau, dans les Vosges. S’il pensait d’abord à un mouton, c’est finalement un sanglier qui a été repêché, relate L'Est Républicain.

    Ce dernier avait été décapité et coupé en deux, dans le sens de la longueur. Un impact de projectile était aussi visible sur sa carcasse, selon le quotidien régional. Ce n’est pas la première fois qu’un sanglier est victime d'acte de malveillance. Mi-septembre, la fédération des chasseurs des Vosges avait déjà déposé plainte après la découverte d’un troupeau de dix abattus. Enfin, en mai, c’était 11 sangliers qui avaient été retrouvés morts.

    20 Minutes


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  • Dordogne : L’enquête visant l’abattoir Sobeval, pointé du doigt par L214, classée sans suite

    L’association L214 avait pointé des infractions à l’intérieur de l’abattoir Sobeval en Dordogne en février dernier. Le parquet estime que l’abattoir a corrigé depuis les « non-conformités » et a classé l’enquête sans suite

    L’enquête lancée à la suite du dépôt de plainte de l'association de défense des animaux L214 contre l’abattoir Sobeval en Dordogne, en février dernier, a été classée sans suite. C’est le parquet de Périgueux qui l’a annoncé ce lundi dans un communiqué. L214 dénonçait vidéos à l’appui des conditions d'abattages non conformes à la réglementation.

     

    « J’ai décidé de ne pas initier de poursuites pénales à l’encontre de quiconque, les non-conformités relevées ayant cessé. La procédure sera par conséquent classée sans suite à raison de la régularisation des infractions », a justifié dans un communiqué la procureure de la République de Périgueux, Solène Belaouar.

    « Des animaux blessés mais conscients »

    L’organisation L214 avait diffusé le 20 février dernier une vidéo, tournée en novembre-décembre 2019 dans l’abattoir, situé à Boulazac, y révélant selon elle des « infractions multiples ». Elle y dénonçait, entre autres, des « étourdissements réalisés en violation de la réglementation », avec la tête des veaux pas totalement immobilisée, donc des « tirs mal ajustés », des animaux blessés mais conscients, et des « contrôles de l’inconscience et de l’insensibilité des veaux quasi inexistants ».

    L’abattoir qui emploie 450 salariés et abat environ 3.400 veaux par semaine, avait vu son agrément temporairement suspendu huit jours plus tard par le ministère de l’Agriculture, en attente de « mesures correctives » avant d’être autorisé à rouvrir, sous conditions.

    La préfecture avait conditionné la reprise d’activité notamment à la « révision » des procédures d’abattage, à la formation des personnels « au respect de ces nouveaux modes opératoires » et à la « fiabilisation du niveau de surveillance interne ».

    « Conformité des pratiques »

    Le 4 mars, le préfet de la Dordogne avait levé partiellement la suspension d’agrément, autorisant donc Sobeval à reprendre son activité d’abattage conventionnel (70 % de son activité), sous réserve notamment « d’une supervision renforcée » par une vétérinaire nouvellement recrutée.

    Parallèlement, dans le cadre de l’enquête judiciaire, le parquet de Périgueux a sollicité à l’issue de ses investigations l’avis des services préfectoraux « afin notamment de vérifier la mise en conformité des pratiques » au sein de l’abattoir.

    Il ressort du rapport reçu de la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (préfecture) « que les deux process d’abattage de la SAS Sobeval (conventionnel et rituel) ont été totalement mis en conformité avec la réglementation en vigueur relative à la protection animale », conclut la magistrate.

    20 Minutes

    Le parquet se moque bien de la souffrance des animaux !

    Je ne sais pas comment on peut encore manger de la viande quand on voit ce qui se passe dans les abattoirs !

    Je suis fière d'être végétarienne !


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  • Un peu long, mais il sera sauvé !


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  • La ville de Vergèze, dans le Gard, a annoncé la fin de la pratique de la tauromachie sur son territoire.

    « Il n’est pas question ici de débattre de l’interdiction de la corrida et en aucun cas de porter un jugement moral ou philosophique sur cette pratique, explique la maire Pascale Fortunat-Deschamps. Les corridas sont légales chacun est libre de les apprécier, d’y assister ou pas. » Les arènes de cette commune du Gard accueillaient les afficionados chaque année au cours du printemps.

    Ce sont officiellement des raisons de sécurité qui motivent cette décision. « Ces férias génèrent aujourd’hui de trop nombreuses et trop lourdes contraintes pour une commune telle que la nôtre. » La mairie évoque un accident survenu en 2018. Elle a « démontré nos insuffisances à organiser en toute sécurité ce type de manifestation ».

    Colère des associations taurines

    La féria du Rhôny sera remplacée par un week-end festif taurin, avec, au menu, des courses camarguaises, taureaux piscines, spectacles équestres, abrivados, bandidos ou encore encierros. Ce sera sans le club taurin Fiesta Brava ainsi décidé « de se retirer de toute animation taurine du village ». Cette décision de la nouvelle équipe municipale entraîne de nombreuses réactions au sein de ville située à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Nîmes, sur fond de défense des traditions.

    20 Minutes


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  • Lorraine : Une chèvre naine retrouvée avec les oreilles coupées et de multiples blessures

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    Une petite chèvre d’un an et demi a été retrouvée chez un voisin, les deux oreilles coupées avec de nombreuses plaies au cou et sur les pattes arrière

    C’est le voisin qui a fait la sordide découverte dimanche en milieu d’après-midi, à Bertrichamps, près de Baccarat (Meurthe-et-Moselle). Une chèvre naine d’un an et demi, nommée Perline, gisait près d’une porte de sa maison, rapporte l’Est Républicain. Mutilé, l’animal avait les deux oreilles coupées et présentait des blessures aux pattes arrière mais aussi au cou, ainsi qu’une fracture du crâne.

     

    Alerté, le propriétaire a conduit en urgence le petit animal chez le vétérinaire. « Ce dernier a confirmé qu’elle n’avait pas pu se faire ces blessures toute seule » explique le propriétaire à nos confrères. La veille déjà, le voisin l’avait déjà découverte tremblotant dans son jardin. Un membre de la famille du propriétaire l’avait alors remis dans son enclos protégé.

    Les gendarmes de Baccarat ont dépêché une équipe de l’identification criminelle de Nancy.

    20 Minutes


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  • Un peu long, la video commence par la fin ? !

    A voir avant : https://www.youtube.com/watch?v=dx0oZlhMn38&ab_channel=PetsRescue


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  • Un peu long avant qu'ils ne l'attrapent, mais ça finit bien !


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  • J'ai pleuré tout du long !


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  • Que c'est triste, mais qui a pu jeter ce sac plein de chiots ? Un salaud à éliminer !


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  • Vous pouvez directement mettre à 8mn, avant rien !


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  • Lozère : Un gyapète barbu protégé retrouvé mort criblé de plombs

    Lozère : Un gyapète barbu protégé retrouvé mort criblé de plombs

    L'animal a été retrouvé au sein du Parc national des Cévennes

    Un gypaète barbu a été retrouvé mort, criblé de plombs, le 11 octobre au bout d’une piste forestière du Parc national des Cévennes, en Lozère, indique le site naturel.

    Cet oiseau, dont l’espèce est protégée, avait été relâché dans le cadre d’un programme de conservation, en juin. Afin de les identifier, ils avaient été équipés de bagues, de balises GPS et certaines de leurs plumes avaient été décolorées. Ce sont ces dispositifs qui ont permis de retrouver l’oiseau, après que la balise a donné l’alerte.

     

    La LPO France porte plainte pour destruction d'une espèce protégée.

    Une quinzaine de plombs de chasse ont été décelés lors de la radiographie. Ces plombs n’ont pas touché les organes internes de l’animal, mais ont provoqué sa chute.

    « Cet acte irresponsable ne doit pas rester sans suite », gronde Anne Legile, la directrice du parc, qui a porté plainte, aux côtés de la Ligue de protection des oiseaux (LPO). La destruction d’une espèce protégée est punie d’une peine de trois ans de prison et de 150.000 euros d’amende. « Ce n’est malheureusement pas la première fois qu’un gypaète est la cible de tir », déplore la LPO. En Europe, un gypaète relâché dans les Grands Causses en mai 2019, avait été retrouvé mort le 4 octobre de la même année.

    20 Minutes

    Quel plaisir peut-on avoir à tirer sur un oiseau, un vrai con !


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  • Paris : Un chien policier part à la retraite et recherche sa nouvelle famille

     

    C’est un chien déjà dressé qui possède un « caractère exclusif ».

     

    « Ipsos » est un beau malinois de 7 ans, éduqué et « robuste ». Ce chien policier part à la retraite et recherche un nouveau maître prêt à s’en occuper. « Après 5 ans de bons et loyaux services à la brigade cynophile de Paris, celui-ci espère avoir une retraite bien méritée ! », écrit le syndicat Alliance police nationale de la capitale sur Facebook.

    « Il est robuste et il adore les câlins, d’un caractère exclusif, il vaut mieux qu’il soit le seul animal à la maison », peut-on lire. Inutile de prévoir des heures de dressage ! « Il a besoin d’un maître qui n’aura pas peur de lui donner des ordres, il obéit très bien », détaille Alliance 75.

    « Il faudra préférer le contact avec les ados plutôt que celui des jeunes enfants pour une retraite calme et sereine », prévient l’organisation. Vous êtes intéressés et vous sentez prêts à accueillir Ipsos ? Contactez la brigade cynophile de Paris au 01 43 53 88 20.

    ACTU 17


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  • Les animaux de compagnie vivant avec des maîtres positifs au Covid-19 ont huit fois plus de risques d'être infectés que leurs congénères, selon une étude baptisée Covidac menée notamment par l'école vétérinaire VetAgro Sup, près de Lyon.

    L'équipe pluridisciplinaire qui a conduit ces travaux, associant vétérinaires, virologues et médecins, "avait pour objectif d’évaluer l’intensité de la circulation du virus parmi les animaux domestiques", explique Vincent Legros, maître de conférence en pathologie infectieuse.

    A cette fin, "des échantillons sanguins ont été prélevés sur deux groupes d’animaux entre mai et juin 2020", a-t-il précisé en présentant l'étude à VetAgro, l'une des quatre écoles nationales vétérinaires françaises, située à Marcy-l'Etoile.

    Seul un chat présentait des anticorps

    Le premier groupe était constitué de 47 animaux (13 chiens et 34 chats), considérés comme à risque élevé car issus d’un foyer dans lequel a minima un cas de Covid-19 humain avait été diagnostiqué. Le second, à risque modéré, comprenait 28 animaux (16 chats et 22 chiens) dont le statut des propriétaires était inconnu.

    Parmi les animaux à risque modéré, seul un chat présentait des anticorps. En revanche, dans le groupe à risque élevé, plus de 20% des animaux se sont révélés positifs, "ce qui suggère une circulation virale bien plus importante qu’anticipée", relève l'étude.

    Cette enquête sérologique ne permet pas d’identifier l’origine de leur contamination, "mais le fait que le risque pour un carnivore domestique d’être infecté soit 8,1 fois plus élevé s’il réside chez une personne positive au Covid-19 constitue un fort argument de l’origine humaine de leur infection", selon ces travaux.

    Dans l’attente de connaissances plus précises, "nous recommandons que les animaux domestiques ne soient pas mis en contact de personnes infectées par le Covid-19", conseille l'étude.

    La question du rôle potentiel des animaux de compagnie a fait l'objet d’attention dès l’émergence du Covid fin 2019, en raison de sa probable origine animale, mais aussi de l’existence de coronavirus proches circulant déjà chez les animaux domestiques.

    En revanche, l’absence de risque lié à ces derniers a rapidement fait consensus, même si certains (en particulier des chats) pouvaient en laboratoire transmettre le virus à leurs congénères et que des animaux infectés ont été sporadiquement identifiés à Hong-Kong, en Belgique, puis dans d'autres pays.

    De prochains travaux auront pour but d’évaluer le risque associé aux animaux domestiques infectés, notamment grâce à des analyses sérologiques à plus grande échelle.

    Ont participé à Covidac, VetAgro Sup, l’Institut de recherche pour le développement de Montpellier, le Centre hospitalier régional universitaire de Besançon, l’Institut Pasteur et le Centre International de recherche en infectiologie. Les résultats sont disponibles sur la plateforme de prépublication BioRXiv.

    Paris Match

    Pourvu que cela n'entraîne pas à une augmentation des abandons de chats et de chiens, la France étant championne pour les abandons !


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