• Savoie : 6 000 animaux bloqués dans la neige, une cellule de crise ouverte

    Des troupeaux surpris par la neige.

    Depuis la nuit du vendredi 25 au samedi 26 septembre, 6 000 moutons et brebis sont bloqués à 2 000 mètres d'altitude dans le secteur du col de Glandon, en Savoie, rapporte France Bleu. Un vent glacial a créé des congères de deux mètres de haut, empêchant les bêtes d'être évacuées.

     

    Habituellement, les derniers troupeaux redescendent des alpages à la fin du mois d'octobre. Cette année, la neige est tombée beaucoup plus tôt que prévu. Dès qu'ils ont pris connaissance des prévisions météorologiques, les bergers ont tenté de rapatrier leurs troupeaux, en vain.

    Une évacuation qui pourrait durer une semaine

    Pour faire face à cette situation exceptionnelle, le maire de Saint-Colomban-des-Villards Pierre-Yves Bonnivard a lancé un plan de sauvegarde communal ce dimanche 27 septembre, avec une cellule de crise à la mairie, en lien avec le département de la Savoie. « Évacuer tous les animaux nous prendra quasiment une semaine. On peut faire un troupeau par jour. Il faut donc les nourrir en attendant », a expliqué l'édile à France Bleu. Pour l'heure, 800 moutons d'un troupeau ont déjà pu être évacués en Isère, samedi 26 septembre. « Il y a trop de neige pour gratter le sol et nourrir [les bêtes]. On a un troupeau prioritaire car des brebis sont prêtes à mettre bas. On fait tout pour qu'il n'y ait pas de pertes », s'est inquiété Pierre-Yves Bonnivard.

    La priorité est de déneiger une voie d'accès pour transporter du foin aux animaux. Ce dimanche midi, 300 kilos de fourrage ont ainsi été acheminés. Mais les conditions climatiques ne risquent pas de s'améliorer dans les prochains jours : il faisait encore - 6°C à 1 900 mètres d'altitude dimanche matin, et de la neige est encore attendue jeudi 1er octobre, rapporte France Bleu.

    Le Point


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  • L'animal avait les organes génitaux et une oreille sectionnés

    La macabre série semble se poursuivre. Vendredi, les gendarmes de Vitré ont été appelés à Livré-sur-Changeon (Ille-et-Vilaine) par un propriétaire de chevaux. Le matin, ce dernier avait retrouvé un de ses poulains morts au milieu d’un champ. Il semblerait que le jeune animal ait été victime d’ignobles mutilations.

     

    D'après Ouest-France, le poulain avait le ventre ouvert, laissant apparaître une partie extraite de ses organes. Il avait les testicules sectionnés et une oreille coupée. France 3 Bretagne ajoute que la mort remonterait à quelques heures et que l’animal aurait été tué vers 6 h le matin même. Les enquêteurs restent cependant prudents sur les circonstances du drame, assurant « n’écarter aucune piste ».

    Les cas d’animaux mutilés se multiplient en France depuis plusieurs mois. Cet étrange phénomène encore inexpliqué s’est accéléré ces dernières semaines. Plusieurs cas de chevaux et vaches mutilés ont déjà été rapportés en Bretagne. Les gendarmes ont ouvert plusieurs enquêtes pour tenter de faire la lumière sur ces affaires.

    20 Minutes

    Quand vont-ils trouver les salauds qui font ça ?


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  • Pour ceux qui n'aiment pas les animaux !

    un doigt d'honneur !


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  • L'OBS :

    L'association de défense des animaux L214 détourne, dans le cadre d'une campagne lancée ce mardi 21 juillet, les publicités de l'enseigne Lidl, pour dénoncer les conditions d'élevage et d'abattage des poulets que commercialise la marque. Ainsi, l'association reprend le canevas de la saga de publicités Lidl "On est mal patron", ou encore le modèle des publicités pour la gamme d'outils Parkside de Lidl. L'entreprise a publié le 17 juillet un communiqué dans lequel elle présente le bien-être animal comme une "cause prioritaire" et annonce s'engager pour le "European Chicken Commitment", un cahier des charges visant à améliorer les standards d’élevage et d’abattage de la filière avicole.

     

    Jamais je ne suis allée chez Lidl, je ne vais pas aller donner de l'argent à des boches !

    Je les ai assez vu en 1944 en Normandie !


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  • Des sauveteurs australiens contraints d'euthanasier des "dauphins-pilotes" en baie de Tasmanie

    Des sauveteurs australiens ont dû se résoudre jeudi à euthanasier des "dauphins-pilotes" qui avaient survécu après avoir échoué dans une baie de Tasmanie, alors que 380 de leurs congénères ont déjà péri.

    La course contre la montre engagée depuis leur découverte, il y a quatre jours, échoués sur des bancs de sable d'une baie de la côté ouest de l'île de Tasmanie a permis d'en sauver 88.

    Le bilan pourrait cependant s'aggraver encore, les chances de survie s'amenuisant au fil des heures.

    "Nous avons encore quelques animaux toujours en vie et que nous pensons être en état d'être déplacés", a déclaré Nic Deka, le directeur des Parcs naturels de Tasmanie.

    Il a expliqué que les sauveteurs, dont la tâche est "physiquement éprouvante", poursuivront leurs opérations de sauvetage jusqu'à la tombée de la nuit ainsi que vendredi.

    "Il est probable que nous poursuivions nos efforts pour les sauver demain... nous nous sommes concentrés sur ceux qui semblent être les plus viables et avec lesquels nous avons le plus de chances de réussir", a-t-il déclaré.

    Une soixantaine de personnes, dont des spécialistes de la protection de l'environnent et des employés de fermes aquacoles voisines, ont passé des heures dans les eaux glacées de Macquarie Harbour, au milieu des cris des cétacés agonisants.

    "C'est émouvant", a témoigné Sam Thalmann, un secouriste.

    Abréger les souffrances

    "Les gens sont dans l'eau jusqu'à la taille ou la poitrine", a-t-il raconté.

    "Il y a des animaux qui nagent autour, ils émettent des sons. Nous voyons les liens qu'ils ont entre eux et ceux qui forment un couple".

    Les "dauphins-pilotes", qui peuvent faire jusqu'à six mètres de long et peser une tonne, sont connus pour être particulièrement sociables.

    Certains d'entre eux ont résisté aux moyens déployés pour les sauver et ont tenté de retourner dans leur famille après avoir été libérés, ce qui les a conduits à s'échouer une seconde fois.

    Le niveau de détresse de certains globicéphales est tel que les autorités ont dit avoir été contraintes de procéder à l'abattage d'au moins quatre "dauphins-pilotes" pour abréger leurs souffrances.

    "Ces quatre cétacés ont été euthanasiés, un peu plus tôt dans la journée, à l'aide d'armes à feu et de munitions particulières" a indiqué Kris Carlyon, biologiste marin au sein du département de l'environnement de Tasmanie.

    "Nous en avons quelques autres que nous examinons actuellement sur un plan vétérinaire", a-t-il affirmé.

    "Cela repose uniquement sur des raisons liées au bien-être animal", a-t-il précisé. "C'est toujours quelque chose auquel nous pensons et nous n'y avons recours qu'en cas de nécessité".

    Les sauveteurs ont concentré jeudi leurs efforts sur 20 à 25 cétacés, en partie submergés, en utilisant des bateaux auxquels sont attachés des câbles pour les escorter jusqu'au large.

    Mais désormais, ils sont contraints de réfléchir à la meilleure manière d'évacuer les carcasses des près de 400 mammifères qui ont déjà péri.

    Quid des carcasses

    "Nous commençons à élaborer un plan, nous privilégions leur rejet en mer. Nous continuons à prendre l'avis d'experts sur l'endroit exact où elles doivent être laissées", a déclaré M. Deka.

    Une fois abandonnées, les carcasses "gonfleront et flotteront" ce qui peut présenter un danger pour la navigation, polluer la baie et attirer des requins et autres prédateurs.

    "La décomposition d'un si grand nombre d'animaux pourrait affecter les niveaux d'oxygène dans certaines parties de la baie et perturber la vie marine à cet endroit-là", selon M. Deka.

    Une habitante travaillant sur un bateau de croisière et qui dit s'appeler Monique a rapporté que la population locale est bouleversée après avoir assisté à des scènes douloureuses.

    "C'était très triste", selon elle, "on pouvait voir qu'ils souffraient. Sur la plage, ils étaient encore... en train de souffler, de se retourner et vous ne pouviez pas vraiment leur venir en aide".

    Les raisons pour lesquelles les cétacés échouent ainsi parfois en masse demeurent inconnues même pour les scientifiques qui étudient ce phénomène depuis des décennies.

    Certains chercheurs estiment que ces globicéphales auraient pu dévier de leur itinéraire, attirés par de la nourriture se trouvant à proximité du rivage, ou qu'ils auraient suivi un ou deux d'entre eux qui se seraient égarés.

    Pour M. Carlyon, il s'agit d'un "événement naturel", des échouages de l'espèce s'étant régulièrement produits tout au long de l'histoire, tant au sud de l'Australie qu'en Nouvelle-Zélande, ainsi que dans d'autres parties du monde.

    "Nous intervenons dans ce genre de situation mais nous ne pouvons pas faire grand-chose pour empêcher que cela ne se reproduise", a-t-il souligné.

    Le point

    Bien triste !


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  • Découvrez-le au travers de l'histoire d'Alfox, un renardeau orphelin sauvé de justesse par la Fondation 30 Millions d'Amis. Pris en charge au CHUV Faune sauvage de l'École vétérinaire d'Alfort (94). Chouchouté comme une dizaine d'autres renardeaux chaque année, il a pu être relâché et a aujourd'hui retrouvé la liberté.


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  • Un loup a été abattu par un tir de défense mercredi 23 septembre vers 1h30 alors qu'il s'attaquait à un troupeau de vaches laitières dans le secteur du Val d'Ajol, entre les Vosges et la Haute-Saône, rapporte France Bleu Besançon. Il a été tué par une personne mandatée pour effectuer ces tirs de défense, autorisés par les préfectures des deux départements.

     

    Ce loup serait l'auteur de 22 attaques de troupeaux de bovins et d'ovins depuis août, dont 10 dans les Vosges et 12 en Haute-Saône. D'abord, dès le 11 août, dans le secteur de Jussarupt et La Neuveville-devant-Lépanges dans les Vosges, puis à partir du 26 août dans le secteur de Fougerolles en Haute-Saône et du Val d'Ajol. Lundi 21 septembre, il a provoqué la mort d'un jeune bovin mâle de 11 mois à Fougerolles.

    L'effarouchement reste peu efficace

    Ce loup solitaire avait adopté un comportement atypique pour son espèce, en s'attaquant à des bovins, à une fréquence rapprochée, allant jusqu'à s'introduire dans des bâtiments d'élevage.

    Le loup est une espèce strictement protégée en France, mais face à la multiplication des attaques et au peu d'effet des mesures d'effarouchement, les préfectures de la Haute-Saône et des Vosges ont autorisé des tirs de défense, encadrés par des lieutenants de louveterie, pour permettre aux éleveurs de protéger les troupeaux.

    franceinfo

     


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  • Chevaux mutilés : en Sarthe, une jument succombe à des blessures volontaires

    Un éleveur de Beaumont-Pied-de-Bœuf, dans la Sarthe, a découvert hier soir lundi 21 septembre une de ses poulinières gravement brûlée, comme aspergée par des produits chimiques, en dépit de soins intensifs, l'animal est mort durant la nuit.

    Le parquet du Mans a ouvert une enquête confiée à la gendarmerie, pour tenter de déterminer la nature des brûlures qui ont entrainé la mort d'une jument chez un éleveur de chevaux de course à Beaumont-Pied-de-Bœuf dans la Sarthe.

    L'animal présentait de graves brûlures sur l'ensemble du corps, comme aspergé par un produit acide, selon les premiers témoignages. Aussitôt son propriétaire a tenté de sauver sa poulinière, en vain. La pouliche de 6 mois qui était à ses côtés n'a pas subi d'agression, et peut vivre seule selon son propriétaire.

    L'enquête ouverte devra déterminer les causes de la mort. Un vétérinaire s’est rendu sur place et un médecin légiste doit examiner la dépouille de l'animal.

    Le 7 septembre dernier, c'est un poney qui avait été tué par strangulation à La Ferrière, en Vendée.

    La semaine précédente, un cheval a été mutilé par deux fois dans un pré à Couëron en Loire-Atlantique. Sa propriétaire avait déposé deux plaintes auprès de la gendarmerie.

    Depuis le mois d'août, des faits de mutilation, principalement de chevaux ont été signalés dans de nombreuses régions de France. Près de 200 enquêtes ont été ouvertes mais seulement une tentaine de cas sont considérés comme des actes avec une intervention humaine, selon la gendarmerie.
     

    France 3 Pays de la Loire

    Purée, quand vont-ils trouver ces salauds ?  Ils méritent une  longue peine de prison !


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  • Mort de 380 cétacés coincés dans une baie en Tasmanie, selon un bilan des sauveteurs

    Les sauveteurs ont annoncé mercredi la mort de 380 globicéphales coincés dans une baie reculée de Tasmanie, en dépit d'intenses efforts pour tenter de les sauver.

    Ce lourd bilan signifie que presque la totalité des 460 "dauphins-pilotes" échoués dans cette vaste baie de la côte ouest, sauvage et peu peuplée, de l'île australienne, ont péri.

    "Nous avons un chiffre plus précis et nous pouvons confirmer que 380 cétacés sont morts", a déclaré Nic Deka, directeur des Parcs naturels de Tasmanie. 

    "Une trentaine sont toujours en vie et la bonne nouvelle est que nous en avons déjà sauvé 50", s'est-il félicité.

    Environ 270 globicéphales avaient été découverts lundi, donnant lieu à une vaste opération pour tenter de les sauver. 

    La plupart étaient échoués sur un banc de sable uniquement accessible par bateau.

    Un autre groupe de près de 200 mammifères marins a été découvert, déjà mort, mercredi matin lors d'un vol de reconnaissance aérienne.

    Il s'agit du plus grand échouage de cétacés enregistré en Tasmanie et certainement le plus important de l'histoire du pays. 

    Une soixantaine de personnes, dont des spécialistes de la protection de l'environnent et des employés de fermes aquacoles voisines, participent aux opérations de sauvetage des globicéphales retrouvés coincés lundi.

    Les sauveteurs ont passé deux jours dans les eaux peu profondes et froides pour réussir à en sauver une cinquantaine.

    A l'aide de câbles attachés aux bateaux, ils les ont ensuite escortés jusqu'au large.

    Désormais, ils poursuivent leur course contre la montre pour tenter de sauver un maximum des 30 globicéphales toujours en vie.

    "C'est très épuisant physiquement mais aussi sur le plan émotionnel", a souligné M. Deka.

    Les causes de ces échouages massifs demeurent inconnues. 

    Les 200 autres cétacés découverts mercredi étaient échoués à environ 7 à 10 kilomètres du premier groupe découvert lundi.

    Les autorités ont depuis élargi leur zone de recherche afin de s'assurer que d'autres mammifères ne se sont pas échoué.

    AFP


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  • Une ponette a été retrouvée morte ce samedi matin par son propriétaire à Loupiac (Tarn), au nord-est de Toulouse. L’animal a très vraisemblablement été abattu.

    Il s’agit d’un nouvel acte visant un équidé qui s’ajoute aux nombreux autres recensés en France depuis plusieurs mois. La propriétaire d’une ponette habitant à Loupiac, a retrouvé son animal mort ce samedi matin.

    « Ça s’est produit à la sortie des paddocks, c’est vraiment devant chez nous. Ce n’est pas arrivé dans un pré, au fond d’un bois », a-t-elle raconté à La Dépêche. « Épice » de son prénom, se trouvait en pension, à la retraite dans cette propriété lorsqu’elle a été tuée.

     

    D’autres animaux se trouvaient à proximité au moment des faits, deux ânesses, un étalon de spectacle lui aussi à la retraite ainsi que deux autres ponettes et un troupeau de vaches. Aucun autre animal n’a été attaqué. Ces derniers n’étaient pas loin des fenêtres de sa propriétaire mais cela n’aura donc pas empêché cet acte, alors même que des rondes de surveillance sont organisées la nuit par plusieurs propriétaires.

    « Il présentait un orifice au niveau du crâne »

    Les gendarmes se sont rendus sur place et ont réalisé des constatations. « L’animal ne souffrait d’aucune pathologie particulière. Il présentait un orifice au niveau du crâne, ce qui rend vraisemblable qu’il ait été tué par le tir d’un projectile dont la nature est pour le moment indéterminée », a indiqué le procureur de la République d’Albi, dans un communiqué.

    Une autopsie va être réalisée et permettra de déterminer avec quel type d’arme la ponette a été tuée. Une enquête a été ouverte.

    ACTU 17


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  • Bien fait, ils n'ont qu'à foutre la paix à ces braves lions !


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  • Droguée et frappée avec une violence inouïe...

    Victime d’une agression très violente.
    Son pronostic vital est engagé.
    Seule une opération la sauvera.
    Nous allons la sauver !

    LIEN de l'article :

    https://www.clicanimaux.com/chevaux/collecte-6240-droguee-et-frappee-avec-une-violence-inouie

    L'appel du coeur : 0 899 231 404 code 79 


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  • Indonésie : Deux bébés rhinocéros de Java, espèce en voie d'extinction, repérés dans un parc indonésien

    Les rhinocéros de Java ne se comptent plus qu’au nombre de 72 (enfin 74 maintenant)

    Alerte rouge, ceci n’est pas un exercice mais 2020 a (enfin !) accouché d’une bonne nouvelle ! Et même plutôt de deux, puisque ce sont deux bébés rhinocéros de Java, espèce très rare en voie d’extinction, ont été repérés dans un parc naturel en Indonésie, redonnant un peu d’espoir pour l’avenir d’un des mammifères les plus menacés au monde.

     

    Les bébés rhinocéros – une femelle appelée Helen et un mâle appelé Luther – ont été aperçus dans des vidéos filmées par une centaine de caméras dissimulées à travers le parc national Ujung Kulon entre mars et août, ont annoncé les autorités dimanche dans un communiqué. Situé à l’extrémité ouest de l’île de Java, dans la province de Banten, Ujung Kulon est le dernier habitat naturel préservé des rhinocéros de Java.

    5.100 hectares, 74 survivants

    Après des années de déclin de la population, la naissance de ces deux petits porte la population totale de l’espèce à 74 individus. Leur sanctuaire s’étend sur quelque 5.100 hectares de forêt tropicale luxuriante et de rivières d’eau douce.

    Le gouvernement indonésien avait passé au peigne fin d’autres régions des îles de Java etSumatra pour transporter dans ce sanctuaire les rhinocéros menacés par l’éruption du Krakatoa, un volcan très actif situé non loin.

    Un nouvel espoir

    « Ces naissances donnent beaucoup d’espoir pour la perpétuation de l’espèce très menacée qu’est le rhinocéros de Java », a déclaré Wiratno, un haut responsable du ministère de l’Environnement. Le rhinocéros de Java a de larges plis de peau faisant penser à une armure.

    Se comptant autrefois par milliers à travers toute l’Asie du Sud, jusqu’en Inde et en Chine, ils ont été décimés par le braconnage et l’invasion de leurs zones de peuplement par les êtres humains.

    20 Minutes


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