• Peut-être heurté par une voiture ?


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  • Au Nigeria, le Covid-19 donne un nouvel élan à la défense du pangolin

    La forte attention portée sur le pangolin, en raison de la pandémie de Covid-19, a renforcé la prise de conscience, sur le plan international, de la nécessité de protéger cette espèce en danger. Au Nigeria, principal carrefour mondial du trafic de l’animal, malgré les résistances culturelles, les défenseurs du pangolin se sentent renforcés et plaident plus facilement contre son exploitation.

    LIEN de ce long article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/au-nigeria-le-covid-19-donne-un-nouvel-%C3%A9lan-%C3%A0-la-d%C3%A9fense-du-pangolin/ar-BB19UsJO?ocid=msedgntp


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  • En Inde, les «guerres de gangs» entre singes tuent des gens

    Le 6 octobre dernier, un marchand d’or nommé Laxman Tulsiani et un gardien appelé Veera sont morts après qu’un mur se soit effondré sur eux. Ils examinaient un chantier de construction à Agra, au nord de l’Inde alors qu’une bagarre massive de singes a éclaté dans la zone, détruisant le fameux mur. En juillet dernier, une famille qui dormait dans une cour a été mortellement écrasée après que le mur à côté d’eux ait été «violemment secoué» par une troupe de primates qui combattaient. Les faits se sont également déroulés au nord du pays.  

    Ces deux histoires, relayées par Vice News, témoignent d’un véritable problème au sein du sous-continent indien. Le pays compte plus de 50 millions de singes et 13 décès ont été causés par des attaques simiesques en cinq ans. «L’Inde fait face à une menace singe depuis la fin des années 80. Avant cela, les humains et les primates coexistaient pacifiquement sans de tels conflits», a déclaré le Dr. Iqbal Malik, primatologue, à Vice News.

    Ce dernier évoque diverses raisons qui expliquent la détérioration des relations entre les humains et les primates, dont la détérioration des zones forestières «qui auraient pu être des habitats pour les singes» et le passage «à la monoculture» ont conduit «à une rivalité et une agression accrues parmi les singes». «Cette agression se poursuit ensuite contre les humains, en particulier dans les cas où la terre habitée par des singes est usurpée par les autorités», indique le Dr. Malik. 

    Entre 2002 et 2018, l'Inde a perdu 310.624 hectares de forêts en raison de la déforestation et de l'industrialisation.

    Slate


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  • Une jument de 29 ans a été découverte morte et mutilée dans son enclos, jeudi 8 octobre, à Lagarde-d’Apt. L’animal avait notamment une oreille coupée.

    Nouvelle macabre découverte d’un équidé. Une jument de 29 ans a été trouvée morte dans son enclos, en milieu de journée jeudi 8 octobre, à Lagarde-d’Apt, dans le Vaucluse. Au moins, une de ses oreilles a été sectionnée. Et la jument présente des traces d’autres mutilations. L’animal aurait aussi été atteint par une balle selon le journal  La Provence.

    Une enquête est menée par la Brigade de recherche de la gendarmerie d’Apt, rapporte France Bleu . Une autopsie doit avoir lieu ce week-end.

    Non loin de là, à Puyvert (Vaucluse), fin août, une autre jument avait été retrouvée morte éventrée dans un champ. Son propriétaire avait également découvert l’un de ses poneys avec une oreille sectionnée.

    Ces derniers mois, plusieurs chevaux ont été victimes de mutilations en France, créant une peur chez les propriétaires de ces animaux. La gendarmerie organise ainsi des contrôles de nuit dans certaines campagnes, comme à Vitré en Ille-et-Vilaine. En Mayenne, elle a même mobilisé un hélicoptère.

    Ouest-France


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  • 7 loups recherchés après les crues dans le Mercantour : « Ils n’ont jamais chassé et peuvent mourir de faim »

    Sept loups noirs du Canada sont toujours recherchés ce mardi 6 octobre, après la destruction par les intempéries du parc animalier Alpha, dans le Mercantour, au-dessus de Nice.

    Deux agents de l’Office français de la Biodiversité (OFB) et une vétérinaire des pompiers, équipés de carabines hypodermiques, sont partis en hélicoptère ce mardi matin pour tenter de retrouver les animaux, explique à « l’Obs » Eric Hansen, directeur régional de l’OFB. Cinq de ces loups ont été vus dans une rue du village de Boréon, près de Saint-Martin-de-Vésubie, précise-t-il.

     

    Si des loups vivent à l’état sauvage dans le parc national du Mercantour, ceux-là vivaient jusque-là en captivité et ont l’habitude d’être nourris par l’homme. « Ce sont des animaux qui n’ont jamais chassé et qui peuvent mourir de faim », souligne Eric Hansen. De la nourriture (des morceaux de viande) sera donc déposée pour eux près du parc, « le seul lieu qu’ils connaissent ».

    Habitués à la présence de l’homme, ces loups n’en restent pas moins « des animaux sauvages » : « Nous ne recommandons pas à ceux qui les apercevraient de tenter de les encercler », précise le directeur régional de l’OFB.

    Un cadavre de loup retrouvé

    Le parc à loups Alpha, qui en hébergeait 13, a été partiellement détruit durant les intempéries. L’enclos qui était le plus proche de l’eau, celui des loups blancs de l’Arctique, a été totalement emporté par la crue. Le cadavre d’un de ces loups a été retrouvé, et les deux autres pourraient avoir été emportés par les flots.

     

    Outre l’enclos des loups du Canada qui a été ouvert par la crue, permettant leur fuite, un troisième enclos a été préservé par les intempéries : celui de trois loups gris d’Europe centrale. Ils vont être nourris par le directeur du parc qui va s’y rendre en hélicoptère, selon l’OFB.

    La faune aquatique « ravagée »

    Outre ce parc animalier, les agents du parc national du Mercantour feront le bilan « sur l’ensemble des infrastructures et des patrimoines après les opérations urgentes, dès que les accès seront possibles et la gestion d’urgence passée », indique le parc dans un communiqué publié mardi. « Au niveau de la faune aquatique déjà, on sait que tout est complètement ravagé », alerte Eric Hansen.

     

    Le parc national du Mercantour, créé en 1979, est à cheval sur huit vallées dont la Vésubie et la Roya, les plus touchées par les intempéries. Quelque 78 espèces de mammifères y sont recensées et près de 200 espèces d’oiseaux.

    C’est par cette frontière alpine que le loup, espèce protégée, est revenu naturellement par l’Italie au début des années 1990.

    L'OBS


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  • L’exercice « Joint Warrior » implique des « entraînements anti-sous-marins », un exercice qui peut susciter l’inquiétude des cétacés

    Malgré les efforts des sauveteurs qui s’étaient évertués à les reconduire en mer, des baleines à bec se sont obstinées à rester dans un loch écossais où doit débuter ce week-end un exercice militaire international d’ampleur. Les sauveteurs de la British Marine Life Rescue (BDMLR) ont annoncé ce vendredi qu’ils devaient renoncer à leur opération d’évacuation. « On a essayé, mais si les baleines ne veulent pas être ramenées en mer, on ne peut pas faire grand-chose de plus », a déploré Julia Cable, porte-parole de l’organisation, expliquant que trois baleines se trouvent actuellement dans le loch.

     

    À l’aide de dix bateaux, les sauveteurs avaient plus tôt dans la semaine formé une barrière pour tenter de déplacer les cétacés du loch Long, un bras de mer situé près de la base navale de Faslane, qui abrite la flotte britannique de sous-marins à propulsion nucléaire. Mais les mammifères marins ont changé de direction et sont revenus.

    Sensibles aux sons subaquatiques

    Des milliers de militaires britanniques, de l’Otan et d’autres unités internationales doivent participer à un exercice militaire à partir de dimanche et jusqu’au 15 octobre. L’exercice « Joint Warrior » implique des « entraînements anti-sous-marins conduits par des navires de guerre, des sous-marins et des avions » autour de la côte ouest de l’Écosse, selon le ministère de la Défense.

    L’exercice a suscité l’inquiétude pour les cétacés, sensibles aux sons subaquatiques. La baleine à bec commune, qui ressemble à un grand dauphin avec une tête bombée, se tient généralement loin des eaux côtières, préférant les eaux profondes à l’ouest du Royaume-Uni et de l’Irlande.

    « On n’a pas l’habitude d’avoir affaire à ces baleines, mais il s’est passé quelque chose en mer qui les a conduites dans ce système complexe de loch et d’îles », a souligné la porte-parole des sauveteurs. « Elles se trouvent dans un territoire qui n’est pas le leur en temps normal. C’est difficile pour l’équipe et pour les habitants de la région, a poursuivi Julia Cable. On veut tous le meilleur pour les baleines ».

    20 Minutes


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    Le zoo de Dubaï rouvre après deux ans de travaux

    © GIUSEPPE CACACE Un tigre du Safari Park de Dubaï qui a rouvert le  4 10 2020 après 2 ans de travaux 

    Le zoo de Dubaï rouvre après deux ans de travaux

    Le Safari Park de Dubaï a rouvert ses portes lundi après deux ans de travaux, l'émirat espérant que cette attraction ravive un tourisme en berne à cause de la pandémie de nouveau coronavirus.

    Le parc zoologique de 119 hectares, construit sur une ancienne décharge, a ouvert ses portes en décembre 2017 mais les a soudainement refermées cinq mois plus tard pour procéder à des "améliorations".

    Deux ans plus tard, il accueille de nouveau le public avec davantage d'animaux et de plantes, une nouvelle direction aux commandes. Et avec des précautions sanitaires à cause de la pandémie.

    Selon la directrice des opérations Muna Alhajeri, près de 3.000 animaux vivent dans le parc situé dans le désert de l'émirat de Dubaï, l'un des sept membres de la Fédération des Emirats arabes unis.

    "Cela inclut des animaux rares présents pour la première fois aux Emirats (...) notamment l'éléphant d'Afrique, l'ours noir d'Asie et le bongo", une antilope d'Afrique centrale, a expliqué Mme Alhajeri à l'AFP, soulignant que grâce à ses points d'eau, le parc attirait de nombreux oiseaux sauvages.

    Cet Etat riche en pétrole se diversifie depuis longtemps dans le tourisme. Il a reçu plus de 16 millions de visiteurs en 2019 et tablait, avant la pandémie, sur 20 millions cette année.

    AFP


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  • Un homme âgé de 56 ans a été grièvement blessé par un sanglier, jeudi 1er octobre, vers 15 h, alors qu’il était en train de chasser, dans la forêt de Cholonge, en Isère.

    Les circonstances précises de l’accident ne sont pas connues. Un sanglier a violemment chargé le chasseur. Ce dernier a été transporté par hélicoptère, « en urgence absolue », vers l’hôpital de Grenoble-Alpes, indique France 3 Auvergne Rhône-Alpes .

    Les autres chasseurs présents ont abattu l’animal et une enquête a été ouverte par la gendarmerie de La Mure pour déterminer les circonstances de l’accident.

    Ouest-France

    Quelle bande de connards ces chasseurs !

    Pauvre sanglier !


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  • Interdits en 2018, ces pesticides controversés pourraient être réintroduits temporairement pour aider les betteraviers, touchés par la crise.

    Respecter une promesse environnementale ou sauver l’emploi sur fond de crise économique ? L’Assemblée nationale se penche ce lundi 5 octobre sur le projet de loi controversé permettant la réintroduction temporaire des néonicotinoïdes pour préserver la filière betteraves, en dépit de la ferme opposition des pro-environnement.

    Avec ce projet de loi permettant le recours temporaire et encadré à des insecticides néfastes pour les abeilles, le gouvernement est accusé de brouiller son message sur la transition écologique. Une exception qu’il justifie par la sauvegarde d’une filière qui emploie 46 000 personnes dont 25 000 agriculteurs.

    Un hiver et un printemps trop chauds : en raison de la prolifération d’un puceron vert vecteur de la maladie qui affaiblit les plantes dans de nombreuses régions, les betteraves issues de semences non enrobées d’insecticide sont atteintes de « jaunisse ». La réintroduction de semences enrobées avec des néonicotinoïdes doit permettre de protéger les rendements sucriers.

    « Question de souveraineté »

    Le hic est que ce type de pesticide a été interdit en 2018. Et voilà le gouvernement obligé de rétro-pédaler, en s’appuyant sur le règlement européen sur les phytosanitaires permettant de déroger à l’interdiction en l’absence d’alternative.

    « C’est une question de souveraineté », met en avant le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie, alors que 11 pays producteurs ont en Europe autorisé les dérogations pour les néonicotinoïdes.

    « Nombre de planteurs, en ce moment même, hésitent à replanter des betteraves » et « si les sucreries ferment, c’est toute la filière de la betterave qui peut disparaître en une ou deux saisons », fait valoir le ministre.

    C’est lui qui sera présent dans l’hémicycle où plus de 130 amendements seront débattus, et non la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili, qui avait elle-même porté en 2016 la loi interdisant ces insecticides et appuie désormais cette réautorisation ciblée.

    Pour le gouvernement, qui pourra compter sur le soutien des LR, le projet de loi n’est pas « un renoncement écologique ». Il programme « la fin des néonicotinoïdes » à l’horizon 2023, souligne le rapporteur LREM du texte, Grégory Besson-Moreau. Pour le député de l’Aube où se trouve l’une des plus grosses sucreries d’Europe, « personne ne nie les dangers de cette substance ».

    Pourquoi dès lors ne pas y renoncer purement et simplement, tempêtent les opposants au projet gouvernemental ? Happening près du Palais-Bourbon, tribunes, les pro-environnement et la gauche estiment que le projet de loi, conçu selon eux « sous la pression des lobbys de l’agriculture », est un « recul démocratique majeur » et un « contresens historique ».

    Hulot et Orphelin montent au créneau

    Dimanche, l’ancien ministre de l’Ecologie Nicolas Hulot a appelé dans le « JDD » « les députés à ne pas voter » le projet de loi. « Ma fondation a estimé les pertes pour cette année à 77 millions d’euros pour les betteraviers. Indemnisons-les en échange de la mise en place de pratiques : allongement des rotations, réintroduction des haies... », propose-t-il.

    « C’est le dernier grand vote sur la biodiversité du quinquennat », attaque Matthieu Orphelin (EDS). Ce proche de Nicolas Hulot a obtenu un vote solennel sur l’ensemble du projet de loi, qui aura lieu mardi et lors duquel tous les députés « pourront se positionner sur ce sujet important ».

    En dramatisant l’enjeu, l’ex-« marcheur » cherche à enfoncer un coin au sein du groupe majoritaire, où des voix dissonantes sont apparues. « On sait très bien que la discussion va être serrée dans l’hémicycle », reconnaît Jean-Baptiste Moreau (LREM), agriculteur, qui soutient le projet de loi.

    Selon lui, des députés « ne veulent pas revivre la séquence » d’il y a deux ans autour du glyphosate, cet herbicide controversé dont la sortie n’a finalement pas été inscrite dans la loi. Un épisode vécu comme un « traumatisme » par certains, et qui avait coûté cher dans l’opinion publique.

    Pour « verdir » sa position, le groupe LREM a fait voter en commission la création d’un conseil de surveillance où figureront quatre parlementaires. Et aussi l’interdiction, sur des parcelles où ont été utilisés des néonicotinoïdes, d’implanter des cultures attirant les abeilles afin de ne pas les exposer.

    Les députés ont en outre précisé que les dérogations permises visaient explicitement les betteraves sucrières. Le gouvernement l’avait promis mais ne voulait pas l’inscrire dans le texte par crainte d’une censure du Conseil constitutionnel.

    L'OBS


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  • Tarn : Une jeune automobiliste se retrouve face à trois sangliers sur l'autoroute

     

    Illustration

    La conductrice a percuté les sangliers au niveau de l’échangeur de Rabastens vers 4h30 du matin

    Il était aux environs de 4h30, ce lundi matin, lorsqu’une automobiliste qui se trouvait sur l'autoroute A68, dans le Tarn, a vu surgir dans ses phares trois sangliers. La jeune conductrice, âgée de 26 ans, était au niveau de l’échangeur de Rabastens, sur la commune de Couffouleux, lorsqu’elle a percuté les bêtes.

     

    Elle a été transportée en urgence relative au centre hospitalier d’Albi selon le service départemental d'incendie et de secours du Tarn qui est intervenu sur place.

    Au cours de l’été, la fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles du Tarn a tiré l’alarme concernant la prolifération des sangliers. Dans un communiqué, le syndicat agricole avait déploré les dégâts causés dans les champs par ces animaux. Chaque année, environ 5.000 sangliers sont abattus par les chasseurs dans le cadre des prélèvements réglementés.

    20 Minutes

    Pauvres sangliers !


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  • L'animal a été découvert vendredi matin

    La macabre découverte remonte à vendredi matin, dans un pré du Nord de la Meuse. Un bovin, âgé de deux ans, gisait au sol, mort. Il avait été lacéré de plusieurs coups de couteau et son oreille avait été coupée. Elle a été retrouvée à proximité, d’après Le Républicain Lorrain.

     

    Qui est à l’origine de cet acte de cruauté qui aurait pu avoir lieu la nuit précédente ? Une autopsie de l’animal a été demandée par le procureur de la République de Verdun. Une enquête a également été ouverte pour « acte de cruauté sur animaux » et confiée aux gendarmes d’Étain.

    Ce n’est pas la première que des actes similaires sont constatés dans le secteur, rappelle le quotidien régional. Mi-septembre, une génisse avait été dépecée puis un veau retrouvé le cœur transpercé.

    20 Minutes

    Après les chevaux, ce sont les bovins !

    C'est long pour retrouver les salauds de coupables !


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  • Brigitte Bardot poste un inquiétant message pour son 86ème anniversaire

    Brigitte Bardot en a assez de se battre. C'est ce qu'elle a fait savoir dans un message posté à l'occasion de son 86ème anniversaire, où elle se montre assez pessimiste concernant l'avenir. Elle estime qu'il s'agit peut-être d'une des dernières fois où elle pourra prendre la parole pour défendre la cause animale.

    La lutte contre la maltraitance animale, Brigitte Bardot en a fait le combat de sa vie. Si elle est connue dans le monde entier pour ses rôles dans les films Le mépris, Et Dieu... créa la femme ou encore Vie privée, c'est bien pour son militantisme qu'elle fait parler d'elle ces dernières années. A ce titre, elle a d'ailleurs plusieurs fois été reçue par le président de la République en personneau palais de l'Elysée. Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que l'entente n'est pas vraiment au beau fixe avec Emmanuel Macron. "Voilà un nouveau gouvernement de grande envergure afin de palier, peut-être, à vos déficiences mais au milieu duquel je ne vois aucun représentant de la protection animale", a-t-elle déclaré encore récemment dans une lettre ouverte qui lui était adressée. Il faut dire que malgré ses mises en garde et avertissements, l'ex de Serge Gainsbourg a l'impression que les choses n'avancent pas. C'est pourquoi à l'occasion de son 86ème anniversairel'épouse de Bernard d'Ormale a posté un émouvant message sur sa page Twitter.

    Brigitte Bardot se montre très pessimiste

    Encore peu coutumière des réseaux sociaux, Brigitte Bardot a choisi d'écrire son texte à la main avant de le faire poster sur la page de sa Fondation. C'est donc dans une calligraphie impeccable que la star a tenté une nouvelle fois de faire avancer la cause animale. "J'attends toujours depuis 47 ans que ceux qui nous mènent dans le mur aient un geste pour l'amélioration de la condition animale en France !", a-t-elle fait savoir avec une certaine lassitude, après avoir remercié tous ses fans. Mais ce coup de gueule pourrait bien être son dernier. C'est en tout cas ce que déplore l'interprète de La madrague, qui se montre assez pessimiste concernant l'avenir. "C'est peut-être mon dernier anniversaire, depuis le temps que j'attends, je n'ai plus le temps d'attendre", conclut-elle. De quoi susciter une vague d'émotion sur les réseaux sociaux, où de très nombreux internautes l'ont félicitée en ce jour si spécial. Reste à savoir si le gouvernement, lui, aura entendu son cri du cœur..

    VOICI.


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  • Les élevages de visons dans le viseur

    Les fermes à fourrure spécialisées dans l’élevage de visons pourraient devoir fermer leurs portes prochainement. L’annonce de Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, est attendue ce mardi.

    Edit :  La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili a confirmé mardi matin la fin de l’élevage des visons d’Amérique pour leur fourrure, ainsi que la présentation d’animaux sauvages dans les cirques itinérants. La reproduction et l’introduction de nouveaux orques et dauphins dans les trois delphinariums du pays vont également être interdites.

     

    Après avoir traîné pendant des mois, le dossier s’accélère : la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, devrait bientôt annoncer l’interdiction des élevages de visons. «D’après nos informations, le gouvernement a cédé à la pression des animalistes. L’arbitrage a été rendu sans volonté de concertation», s’étrangle Pierre-Philippe Frieh, porte-parole de la Fédération française de la fourrure, qui dénonce une «campagne de lynchage». De son côté, Muriel Arnal, présidente de l’association de défense animale One Voice, attend sereinement les prochaines annonces : «Nous sommes très confiants.»

    Plus que quatre exploitations en France

    Ce probable dénouement fait suite à de longues réflexions entamées voici dix-huit mois. En avril 2019, François de Rugy, alors ministre de la Transition écologique et solidaire, annonce la création d’un groupe de travail sur le «bien-être de la faune sauvage captive». Objectif affiché : améliorer les conditions de vie des animaux détenus dans les parcs zoologiques, les delphinariums, les cirques et les élevages de visons. De nombreux rendez-vous réunissant ONG, experts et acteurs du secteur aboutissent à 250 propositions. Mais l’annonce des mesures gouvernementales est sans cesse repoussée. Succédant à François de Rugy, Elisabeth Borne déclare en août 2019 qu’elle présentera son plan d’action à l’automne… C’est donc avec un an de retard que devraient intervenir les premières dispositions issues de ce groupe de travail.

    Cette soudaine accélération n’est sans doute pas étrangère au succès du RIP, ce référendum d’initiative partagée lancé le 2 juillet par trois grands patrons du numérique, dont Xavier Niel, PDG de Free. Ce projet porteur de six mesures phares en faveur des animaux obtient en effet une adhésion inédite : 141 parlementaires se sont déjà déclarés favorables à cette initiative, laquelle a également réuni le soutien de 777 000 citoyens. Or parmi les mesures proposées par le RIP figure l’interdiction des élevages d’animaux pour leur fourrure d’ici 2025. Cette même mesure a été reprise dans une proposition de loi (PPL) portée par Cédric Villani et le groupe EDS (Ecologie Démocratie Solidarité), ainsi que par des députés appartenant à d’autres formations politiques notamment Modem, Agir, LREM, ou PS. Fortement inspirée du RIP, cette PPL déposée le 25 août sera examinée le 1er octobre par la commission des affaires économiques.

    Cette double pression RIP-PPL semble donc avoir accéléré les annonces de Barbara Pompili, qui cible en priorité les élevages de visons, un secteur déjà fragilisé. La filière connaît en effet un fort déclin depuis une dizaine d’années : la France ne compte plus que quatre exploitations de ce type, structures souvent familiales qui ne font vivre qu’une poignée de salariés. «Ces élevages ferment les uns après les autres. Sept ont mis la clé sous la porte en l’espace de quatre ans, constate Muriel Arnal, de One Voice. Dans de nombreux pays d’Europe, ces élevages sont déjà interdits ou en passe de l’être. On espère que la France va arrêter de nous faire honte.»

    «Rupture civilisationnelle»

    L’interdiction de ces fermes à fourrure serait loin de révolter les Français : selon plusieurs enquêtes d’opinion récentes, une large majorité des sondés se déclare opposée à de tels élevages ainsi qu’au commerce de la fourrure. Un phénomène auquel One Voice n’est pas étranger : l’association a diffusé plusieurs enquêtes témoignant des terribles conditions de vie des visons – animaux blessés, mutilés, aux membres nécrosés, enfermés dans de minuscules cages grillagées… Mais un autre facteur, et non des moindres, plaide en faveur de l’interdiction de tels élevages : la propagation du coronavirus au sein de ces exploitations, notamment aux Pays-Bas, où depuis le mois d’avril, des suspicions de transmission entre l’animal et l’homme ont conduit les autorités à abattre des centaines de milliers de visons. «Les Pays-Bas avaient décidé de mettre un terme à ces élevages d’ici 2024. Le Covid a précipité les choses et les autorités ont décidé de fermer leurs 160 élevages. La Finlande s’apprête à faire de même pour ses 700 exploitations», poursuit Muriel Arnal, pour qui fermer quatre élevages en France ne relève donc pas de l’exploit.

    Mais la filière ne l’entend pas de cette oreille. «On sacrifie un secteur économique et des emplois pour satisfaire aux revendications de la minorité agissante animaliste, dite "anti-spéciste"», s’indigne la Fédération française de la fourrure dans un communiqué qui évoque même une «rupture civilisationnelle». Et d’ajouter : «La filière fourrure demandera la saisine du Conseil constitutionnel devant cette décision sans précédent privatrice de liberté.»

    Ces menaces suffiront-elles pour faire reculer Barbara Pompili ? Sans doute pas. Mais la ministre sait que dans les prochains dossiers (cirques, zoos et delphinariums), les ripostes risquent d’être plus violentes encore.

    Libération


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  • La partie de chasse était terminée lorsqu'un adolescent de 16 ans a trouvé la mort à Châtelaillon-Plage (Charente-Maritime).

    Dimanche aux alentours de 20 heures, le jeune homme, qui avait passé son après-midi dans la nature pour chasser, manipulait son arme quand un coup est parti accidentellement. Touché à la tête, il est mort sur le coup, rapporte France Bleu La Rochelle. Son demi-frère de 12 ans, qui a assisté à la scène, est en état de choc, selon «Sud Ouest».

     

    La thèse de l'accident est privilégiée par le parquet de La Rochelle dans cette affaire. Au vu de la violence de l'accident, le corps va être examiné par l'institut médico-légal de Poitiers.

    L'adolescent décédé possédait un permis de chasse. Ce dernier peut être passé dès 15 ans mais le permis de chasser ne peut être délivré que le jour de ses 16 ans, peut-on lire sur le site de l'Office français de la biodiversité. Il est cependant possible pour les jeunes de pratiquer dès l'âge de 15 ans la «chasse accompagnée» avec un parrain durant un an.

     

    Paris Match

    Me rappelant la plainte déposée contre moi par le parent d'un chasseur tué, je dirais donc : un chasseur de tué, des animaux en moins à être tués !


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  • J'ai regardé cette video en entier avant de la publier ! 52mn30 ! C'était très intéressant !


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  • Espagne: un gorille attaque une gardienne dans un zoo à Madrid

    Illustratio,

    La victime, qui travaille depuis 19 ans dans ce zoo, a été hospitalisée d'urgence dans un état sérieux.

    Un gorille dans un zoo de Madrid a attaqué ce dimanche une gardienne venue nettoyer son enclos et le nourrir, lui cassant les deux bras et la blessant à la tête, ont annoncé le zoo et les services d'urgence.

    La femme de 46 ans effectuait les tâches quotidiennes du matin dans une zone intérieure, protégée par une triple porte, quand elle s'est retrouvée face à face avec Malabo, un mâle de 29 ans, a annoncé le zoo de Madrid dans un communiqué.

    "L'équipe du zoo est parvenue à éloigner l'animal et plus tard, une équipe vétérinaire l'a anesthésié avec une fléchette tranquillisante. L'animal a été amené dans son enclos où il s'est calmé", ajoute le zoo.

    La police et le zoo cherchent à comprendre comment le singe est parvenu à entrer dans la zone protégée.

    La victime, qui travaille depuis 19 ans dans ce zoo, a été hospitalisée d'urgence dans un état sérieux, ont annoncé les services d'urgences dans un tweet.

    Le zoo a précisé que Malabo a été élevé par des gardiens depuis sa naissance et qu'il est normalement "proche des soignants".

    BFM.TV


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