• Didier Porte : "Macron, le candidat préféré des fumeurs alcooliques"          


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  • Ajoutée le 23 mai 2013

    Le 7 juillet 2008, un tribunal arbitral condamne le Consortium de Réalisation (CDR) à verser à Bernard Tapie et à ses liquidateurs la somme de 285 millions d'euros plus les intérêts de droit, soit plus de 400 millions d'euros. De quelle faute le Crédit Lyonnais est-il responsable pour être ainsi condamné? Comment un personnage aussi sulfureux que Bernard tapie peut-il prétendre avoir été roulé par sa banque?
    Réalisé en 2011 pour la chaîne Planète, ce film documentaire explique en détail les conditions de la spoliation de l'homme d'affaire, spoliation sanctionnée par différents tribunaux depuis 1996, avant un recours en 2008 à cette procédure d'arbitrage qui fait actuellement, en 2013, l'objet de toutes les suspicions.

     

    Le magouilleur, ce n'est pas Tapie mais le Crédit Lyonnais. Ce dernier a d'ailleurs changé de nom, devenu LCL !!!A l'époque, le Crédit Lyonnais appartenait à l'Etat français ! Cela explique tout !


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  • MAROC ESPAGNE : Près de 400 migrants forcent la frontière à Ceuta

    Ils étaient plusieurs centaines ce vendredi à l'aube à forcer la haute barrière entourant l'enclave espagnole au Maroc.

    Les migrants, originaires d'Afrique subsaharienne, ont forcé vendredi à l'aube la haute barrière entourant l'enclave espagnole de Ceuta au Maroc, l'assaut le plus important depuis plus de dix ans, a-t-on appris auprès de la préfecture locale. Les migrants ont réussi à forcer les portes en deux points de la barrière de six mètres de haut entourant l'enclave, a précisé un porte-parole de la préfecture.

    Les images publiées par le journal local El Faro de Ceuta sur son site montrent des dizaines de migrants euphoriques, certains torse nu ou pieds nus, criant «España!».

    Selon le ministre de l'Intérieur Juan Ignacio Zoido, en déplacement à Bruxelles, près 20% d'entre eux n'étaient pas encore localisés en début de matinée.

    «Il faut remonter au début des années 2000 pour atteindre ce genre de chiffres», a déclaré à l'AFP un porte-parole de la préfecture.

    Ecorchures aux pieds ou à la tête

    Le secrétaire d'Etat à la Sécurité, José Antonio Nieto, a d'ailleurs annoncé un déplacement dans l'enclave à la mi-journée.

    La Croix-Rouge affirme avoir soigné 103 migrants, dont 25 ont été transférés à l'hôpital pour des blessures sans gravité lors de l'assaut, essentiellement des points de suture.

    Selon les images tournées par El Faro, certains semblent blessés, victimes d'écorchures aux pieds ou à la tête, et d'autres étaient encore en début de matinée perchés en haut de la double clôture.

    La dernière entrée massive remonte au 31 octobre, quand près de 220 migrants avaient franchi deux portes d'accès de la barrière de Ceuta lors d'un «assaut» similaire qui avait fait 35 blessés dont trois gardes civils.

    «Territoires de non-droit»

    L'objectif des migrants, sans-papiers pour la plupart, est de se rendre au centre de séjour temporaire pour étrangers (CETI), où ils doivent en principe avoir la possibilité de présenter une demande d'asile.

    Des organisations de défense des droits de l'Homme épinglent régulièrement l'Espagne pour le traitement réservé aux migrants dans les enclaves de Ceuta et Melilla, les deux seules frontières terrestres de l'Union européenne avec l'Afrique.

    En novembre, Amnesty International a qualifié ces villes de «territoires de non-droit», dénonçant notamment des violences policières des deux côtés de la frontière et des refoulements illégaux de demandeurs d'asile entrés en territoire espagnol. 

    24 Heures.ch


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Le recasage d'un proche de Marisol Touraine soulève une bronca

    La ministre de la Santé affronte la colère de l'administration de l'institut Gustave-Roussy (cancérologie) pour avoir essayé de forcer la nomination de Frédéric Varnier au poste de directeur général adjoint.

    Une fin de mandat, surtout quand le président sortant ne se représente pas, c'est souvent la perspective du chômage qui se profile pour les collaborateurs d'un gouvernement. Les ministres consciencieux essaient donc parfois de profiter de leurs derniers mois aux responsabilités pour chercher des débouchés à ceux qui les ont servis, des recasages qui ne manquent jamais de soulever de vives critiques. La ministre de la Santé Marisol Touraine en a récemment fait l'expérience, comme le relate Le Parisien ce mercredi 7 décembre. La ministre a souhaité voir nommé un conseiller de son cabinet à un poste de directeur adjoint de l'institut Gustave-Roussy (IGR), dans le Val-de-Marne.

    Fleuron européen de la recherche contre le cancer, cet établissement de prestige pourrait ainsi être dirigé par Frédéric Varnier, ancien inspecteur des finances. Une proposition qui s'est pourtant heurtée à l'opposition du patron de l'institut en question, Alexander Eggermont. Un avis outrepassé par Marisol Touraine qui a directement demandé au Préfet, président du conseil d'administration de l'établissement de convoquer un conseil d'administration extraordinaire le 14 décembre prochain pour entériner la décision. Frédéric Varnier bénéficierait ainsi d'un jeu de chaises musicales en remplaçant Charles Guépratte, opportunément transféré au CHU de Nice en août dernier. Une nomination si ardemment souhaitée que la ministre a rédigé par avance l'arrêté ministériel de nomination.

    Si ce genre de nomination se fait bien par un arrêté du ministre, l'usage veut que le directeur de l'IGR choisisse généralement lui-même ses adjoints. L'ingérence de Marisol Touraine dans cette affaire ne manque de soulever l'indignation au sein de l'établissement. Le ministère de la Santé explique que c'est le ministre qui nomme le directeur général adjoint de l'IGR, après avis (consultatif) du conseil d'administration, et soutient que «Frédéric Varnier faisait partie des candidats présélectionnés par le directeur général de l'IGR». Une version fermement contestée dans l'établissement concerné.

    Une pratique courante sous François Hollande

    Marisol Touraine n'est pas la seule à essayer de dépanner son entourage, Ségolène Royal, elle aussi, est inquiète pour l'avenir de ses collaborateurs. Au mois de novembre dernier, la dame du Poitou a ouvert les portes de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) à son ancien conseiller budgétaire Noam Léandri. Le poste de secrétaire général avait été laissé vacant pendant plusieurs mois pour préparer ce recasage. Elle a par ailleurs imposé son ancienne directrice de cabinet Elisabeth Borne à la direction de la RATP en 2015 .

    Si ces arrangements semblent tout à fait contraires à l'esprit de la République exemplaire promise par François Hollande, ce n'est pas la première fois que les cercles du pouvoir en place sont épinglés pour de telles pratiques. En ce qui concerne la présidence de la République, on retiendra notamment le placement de l'ancien secrétaire général de l'Élysée Pierre-René Lemas à la Caisse des dépôts et consignations, celui de l'ex-ministre Marie-Arlette Carlotti à la présidence du Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées ou encore la promotion de Sylvie Hubac, ancienne directrice de cabinet de Hollande, à la tête de la RMN-Grand Palais. Mais l'Élysée n'est pas seule à accorder ce genre de faveurs: Manuel Valls et Laurent Fabius ont également été épinglés pour des faits similaires au cours du quinquennat.

    Le Figaro

    Les politiques, un panier de crabes magouilleurs et profiteurs, à vomir !


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    Le référendum de Ménard sur les migrants à Béziers suspendu par la justice

    Le tribunal administratif de Montpellier a suspendu mardi l'exécution de la délibération de la ville de Béziers sur une "consultation" portant sur l'immigration. Controversée, cette délibération municipale était voulu par le maire Robert Ménard, proche du Front national.

    Elle avait été votée après l'annonce préfectorale de l'ouverture de 40 places supplémentaires dans un Centre d'accueil des demandeurs d'asile (Cada) de Béziers. La question était: "Approuvez-vous l'installation de nouveaux migrants, imposée par l'État, sans consultation du conseil municipal?"

    "Par une ordonnance du 6 décembre 2016, le juge des référés du tribunal a suspendu l'exécution de la délibération du 18 octobre 2016 par laquelle le conseil municipal de Béziers a décidé d'organiser, le 8 janvier 2017, une consultation des électeurs'", indique le tribunal dans un communiqué.

    Question imprécise, "doute sérieux sur la légalité"

    Dans son ordonnance, le juge des référés estime que "la question posée ne relève pas de celles qui sont autorisées" par le code des collectivités, qui "prévoit que les électeurs d'une collectivité territoriale peuvent être consultés sur les décisions que les autorités de cette collectivité envisagent de prendre pour régler les affaires relevant de la compétence de celle-ci."

    Le juge considère en effet que "la question posée aux électeurs de Béziers ne précise pas les décisions qui pourraient être prises à l'issue de la consultation, notamment celles qui pourraient être adoptées par la commune de Béziers à la suite de l'extension d'un des centres d'accueil des demandeurs d'asile de la commune, extension décidée par les autorités de l'État et relevant de leur seule compétence."

    Constatant en l'état de l'instruction un "doute sérieux sur la légalité du projet soumis à consultation", le juge ordonne donc sa suspension jusqu'à ce que le tribunal statue sur le fond !

    "Les communes ont interdiction de consulter la population", déplore la municipalité de Robert Ménard, mardi, dans un communiqué. "On ne peut que regretter cette décision centralisatrice et technocratique", poursuit-t-elle.

    Intervention plus politique que juridique

    Robert Ménard avait pris l'initiative inhabituelle de défendre lui-même le 1er décembre devant le tribunal administratif de Montpellier sa "consultation" municipale sur "l'installation de nouveaux migrants", qui avait peu de chance de voir le jour.

    La commune est "compétente concernant les modalités d'installation de populations étrangères", avait-il assuré, dans ses interventions plus politiques que juridiques qui lui avaient valu plusieurs rappels à l'ordre de la juge.

    L'Express

    Les maires n'ont plus le droit de faire grand chose !

    Qui paie pour les migrants une fois qu'ils sont installés dans une ville ? L'Etat ou la ville ?

    Cela montre que l'Etat est pour l'installation de nouveaux migrants en France !


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  • Ségolène Royal critiquée pour son éloge sans nuances de Fidel Castro

    La ministre de l’environnement a salué « un monument de l’histoire », oubliant les atteintes aux droits de l’homme perpétrées par le régime cubain.

    La ministre de l’environnement, Ségolène Royal, a salué, samedi 3 décembre, à Santiago de Cuba, la mémoire de Fidel Castro, « un monument de l’histoire », rejetant les accusations de violations des droits de l’homme à son encontre.

    Mme Royal a estimé que l’ancien président, mort le 25 novembre à l’âge de 90 ans, était « le symbole d’une amitié très profonde entre Cuba et la France ». « Grâce à Fidel Castro, les Cubains ont récupéré leur territoire, leur vie, leur destin. Ils se sont inspirés de la Révolution française sans pour autant connaître la terreur qu’il y a eue pendant la Révolution française », a-t-elle estimé.

    Interrogée sur les violations des droits de l’homme reprochées par l’ONU et l’opposition au régime cubain, Ségolène Royal a dénoncé la « désinformation » et souligné au contraire l’existence sur l’île d’« une liberté religieuse » et d’« une liberté de conscience ». « Donc il faut savoir regarder les choses positivement même si ça dérange », a-t-elle ajouté, estimant que « la France n’a pas à donner de leçon » à Cuba.

    Des violations répétées des droits de l’homme

    Dans son rapport 2015-2016, l’ONG Amnesty International dressait pourtant un tout autre portrait du régime cubain, malgré son ouverture progressive et sa réconciliation avec les Etats-Unis :

    • les détracteurs du régime sont toujours « victimes de manœuvres de harcèlement, d’“actes de répudiation” (manifestations organisées par des partisans du régime avec le concours d’agents des services de sécurité), ainsi que de poursuites pénales motivées par des considérations politiques » ;
    • les arrestations politiques sont encore monnaie courante : la Commission cubaine des droits humains et de la réconciliation nationale (CCDHRN) en a dénombré 8 600 en 2015 ;
    • les autorités continuent de « contrôler l’accès à Internet, bloquant et filtrant certains sites, ce qui restreignait l’accès à l’information et les critiques antigouvernementales » ;
    • Amnesty « n’a pas été autorisée à pénétrer sur le territoire cubain depuis 1990 ».

    Un constat visiblement contesté par la numéro trois du gouvernement français, qui a expliqué qu’« il y a toujours du positif et du négatif dans les histoires, mais certains ne vont pas se rhabiller à bon compte au nom des droits de l’homme alors qu’on sait qu’ici, quand on demande des listes de prisonniers politiques, on n’en a pas ». « Et bien, fournissez-moi des listes de prisonniers politiques, à ce moment-là on pourra faire quelque chose », a-t-elle ajouté.

    Salve de critiques, jusqu’au PS

    Ces déclarations ont été vivement critiquées par l’opposition, de François Bayrou (MoDem) à Florian Philippot (FN) en passant par Roger Karoutchi, Thierry Mariani et Guillaume Larrivé (Les Républicains). Dimanche, le sénateur PS de Paris David Assouline a pris ses distances avec les propos de la ministre, en tweetant que « notre pays rayonne dans le monde parce qu’il a inventé la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, pas pour son soutien aux dictateurs ». Le candidat à la primaire de la gauche François de Rugy (ex-EELV) a demandé à l’Elysée de désavouer ces propos.

    Ségolène Royal, envoyée à La Havane par François Hollande pour le représenter alors qu’il est en déplacement à Abou Dhabi, est la seule membre d’un gouvernement européen, avec le premier ministre grec, Alexis Tsipras, à avoir fait le déplacement à Cuba à l’occasion de la semaine de deuil national consacrée à l’ex-président cubain.

    Le Monde
     
    La Dinde du Poitou a t-elle parlé en son nom ou a t-elle dit ce que le Pingouin lui avait dit de dire ?
    Les socialistes feront du tort à la France jusqu'au bout !
    Le Premier ministre grec Alexis Tsipras et Ségolène Royal pour la France étaient les seuls représentants des pays européens à Cuba !

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    "L'Elysée n'apprécie pas": une journaliste de France 2 recadrée en direct

    © France 2 Maryse Burgot très mal à l'aise après avoir filmé Gaspard Gantzer à son insu.

    En diffusant des images de Gaspard Gantzer s'adressant en off à des journalistes, Maryse Burgot, journaliste de France 2, a provoqué la colère de la communication de l'Elysée.

    "Il vient de nous expliquer que... euh... je pense... euh... je pense que ce conseiller en communication n'apprécie pas que l'on fasse ses images donc on va revenir vers nous." Dire que Maryse Burgot, envoyée spéciale de France 2 jeudi soir, est mal à l'aise, est un euphémisme.

    Alors qu'elle est en plein direct devant l'Elysée pour commenter le discours de renoncement de François Hollande, le journaliste reporter d'image (JRI) qui l'accompagne dévie sa caméra pour la fixer sur Gaspard Gantzer, conseiller du président, en train de s'entretenir en off avec un petit groupe de journalistes massé autour de lui. Des journalistes qui se reculent très vite dès que la caméra s'approche d'eux.

    Des entretiens jamais diffusés

    Une séquence courte qui dévoile les coulisses des entretiens informels entre journalistes et communicants de l'Elysée, qui n'ont pas pour habitude d'être diffusés.

    Gaspard Gantzer, homme de l'ombre et "spin doctor", a toujours estimé que son rôle n'était pas d'intervenir face caméra.

    Bégayant, Maryse Burgot finit par faire revenir la caméra sur elle. Elle conclut rapidement son duplex en indiquant que "les gens de l'Élysée ne sont pas très contents que nous ayons montré cette image", faisant manifestement allusion à des personnes qui lui font des signe hors-champ de la caméra.

    Sur Twitter, de nombreux téléspectateurs ont confié leur étonnement face à l'agacement de l'Elysée et l'embarras de la journaliste de France 2. De retour en plateau, le présentateur David Pujadas a expliqué que Gaspard Gantzer préférait se tenir loin des micros et qu'il n'avait été prévenu de l'annonce de François Hollande qu'au dernier moment.

    L'EXPRESS

    Mieux vaut en rire


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Présidentielle 2017: François Hollande renonce...

    François Hollande a pris sa décision. Il n’est pas candidat à la présidence de la République, a-t-il déclaré ce jeudi soir peu après 20 h, dans une allocution depuis l’Elysée.

    Avant cette annoncé, le chef de l’Etat a vanté pendant plusieurs minutes son bilan et ses choix « assumés » pour redresser la situation économique du pays, lutter contre les discriminations ou le terrorisme.

    « Les résultats arrivent » !

    « Les résultats arrivent, plus tard que je ne l’avais imaginé (…) Depuis le début de l’année, le chômage diminue mais il reste à un niveau trop élevé », a notamment listé le président de la République.

    Il a ensuite déclaré : « J’ai décidé de ne pas être candidat à l’élection présidentielle ».

    Cette annonce est une première dans l’histoire de la Ve République.

    20 Minutes.fr 


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  • Primaire à gauche : Arnaud Montebourg ouvre le bal des candidatures

    Dès le premier jour de la période de dépôt des candidatures ce jeudi 1er décembre, Arnaud Montebourg a officialisé sa présence à la primaire de la gauche. «Je veux donner le pouvoir aux gens pour qu'ils puissent peser sur leur destin», a-t-il déclaré dans un discours rue de le Solférino, au siège de la haute autorité éthique en charge de l'organisation des primaires. 

    Et les autres ? 

    L'ancien ministre de l'Economie devrait lancer le bal des candidatures. Pierre Larrouturou, fondateur du parti Nouvelle Donne a d'ailleurs annoncé ce jeudi dans les colonnes du Parisien - Aujourd'hui en France être candidat à la primaire de la gauche. Benoît Hamon, Marie-Noëlle Lienemann, Gérard Filoche, Jean-Luc Bennahmias et François de Rugy devraient être les suivants à venir déposer leurs dossiers. Mais la liste des postulants n'est pas encore close, et d'illustres inconnus pourrait venir s'ajouter. Comme Maxime Legrand, jeune chef d'entreprise dont le programme propose que plus personne en France ne vive en dessous du seuil de pauvreté...

    Le mystère Hollande ?

    Entre interviews menaçantes et déjeuners «cordiaux», depuis plusieurs semaines, le chef de l'Etat et Manuel Valls se scrutent pour savoir qui fera le premier pas vers la présidentielle. Ira, ira pas ? Selon nos informations François Hollande devrait bien être candidat mais finalement il se passerait de la primaire à gauche.

    Le Parisien


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  • CHANTOUVIVELAVIE : L’imam Ali Juppé et la grande mosquée de Bordeaux

    La base géante des Frères Musulmans s’installera bientôt à Bordeaux grâce à Alain Juppé qui a fait acheter à la mairie un grand terrain pour construire une immense mosquée qui diffusera l’idéologie extrémistes et antisémites des Frères Musulmans…

    Ce projet de grande mosquée est enfin dévoilée par son architecte.

    Grande-Mosquée-de-Bordeaux.jpg

    L’information a été révélée par le quotidien portugais Público. C’est un cabinet d’architecte portugais qui a été choisi par les musulmans de Bordeaux, afin de construire le vaste centre islamique voulu par Alain Juppé dans le quartier de la Bastide. Alain Juppé a mis à disposition de l’imam un vaste terrain acquis à cet effet  par la mairie de Bordeaux.

    D’après Público, cette mosquée avoisinerait un coût de plus de 24 millions d’euros, pour une surface de 12 000 mètres carrés ! L’espace dédié au culte pourra accueillir plus de 4000 fidèles, soit le plus vaste local religieux de toute la région.

    L’imam de Bordeaux est Tareq Oubrou. Ce grand ami de Juppé auquel il doit la Légion d’honneur et l’estampillage républicain, est membre de l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF), fédération de mosquées des Frères Musulmans, qui diffusent  les ouvrages les plus radicaux de l’islamisme violent.  On ne sera  pas étonné d’apprendre qu’il sollicite le Qatar, base arrière idéologique et financière  des Frères Musulmans, pour financer la mosquée…

    EuroCalifat

    Les casseroles d'Ali Juppé :

     https://eurocalifat.wordpress.com/2016/11/23/les-casseroles-dali-juppe/


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Najat Vallaud-Belkacem est «en colère» après la candidature d'Emmanuel Macron

    Elle voit rouge.  La candidature d'Emmanuel Macron à la présidentielle «me met en colère», a déclaré  Najat Vallaud-Belkacem au quotidien Midi-Libre de samedi.

    La candidature de l'ancien ministre de l'Économie «n'aura pour effet que d'empêcher potentiellement la gauche d'être au second tour, estime la ministre de l'Education nationale. «La candidature d'Emmanuel Macron me met en colère», ajoute la ministre, interviewée par le quotidien régional avant une visite à Florensac (Hérault). Interrogée sur la campagne d'Emmanuel Macron, qui se présente comme un candidat «anti-système», la ministre de l'Education a répondu qu'il s'agissait d'une «posture facile dans le climat actuel».

    >> A lire aussi: Elus, patrons, médias... Qui sont les soutiens du candidat «hors système»?

    Hollande doit assumé «avec fierté» son bilan

    «C'est à François Hollande de continuer à défendre le projet qu'il a porté pendant cinq ans... Ce qui me semble parfaitement légitime, c'est que le président sortant qui a mené une bataille rude pour redresser le pays, puisse solliciter à nouveau les suffrages de nos concitoyens», a-t-elle ajouté. «Ce n'est pas à moi de dire» si le président sortant ira à la primaire de la gauche, juge la ministre. «Mais j'estime nécessaire que le président sortant assume, avec fierté, le bilan qui a été le sien » !!!!!!!!

    20 Minutes

    Les points d'exclamation, c'est moi !

    Quelle lèche-c. cette moukère !


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    CHANTOUVIVELAVIE : Interrogations autour de l'ancien préfet proche de Valls qui ne payait pas ses impôts

    Jean Daubigny, ancien directeur de cabinet de Manuel Valls, est visé par une enquête judiciaire pour ne pas avoir déclaré ses impôts entre 2011 et 2014. Les enquêteurs spécialisés se demandent pourquoi Bercy n'a pas signalé la fraude bien avant.

    Un haut fonctionnaire de l'Etat qui néglige de payer ses impôts. En soi, la situation n'est pas inédite mais le cas de Jean Daubigny comporte quelques zones d'ombre. Placé brièvement en garde à vue jeudi dans le cadre d'une enquête préliminaire pour fraude fiscale, l'ancien préfet de la région Île-de-France est soupçonné d'avoir omis de payer 190 000 euros d'impôts, révèle ce samedi Le Parisien.

    Le haut fonctionnaire, ancien directeur de cabinet de Manuel Valls lorsque celui-ci était ministre de l'Intérieur, n'aurait tout bonnement pas déclaré ses revenus au moins entre 2011 et 2014. Une période non prescrite par le délit. D'après le quotidien, Bercy aurait été alerté dès 2012 par l'administration fiscale du problème mais n'aurait dénoncé les faits auprès du parquet de Paris qu'à l'été 2015.

    Un délai qui interroge

    Pourquoi un tel délai? Y'a-t-il eu une manoeuvre en vue de retarder l'apparition d'un potentiel scandale? Les enquêteurs de la Brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF) tentent de savoir si Jean Daubigny, désormais retraité donc moins exposé, a bénéficié d'un traitement de faveur. D'autant que le quinquennat a déjà été éclaboussé par deux scandales successifs de fraude fiscale impliquant des ministres et secrétaires d'Etat en exercice: Jérôme Cahuzac et Thomas Thévenoud.

    Interrogé par Le Parisien, un fonctionnaire de Bercy émet toutefois l'hypothèse selon laquelle la justice a été saisie tardivement du cas Daubigny en raison de la procédure de relances du fisc. L'administration aurait d'abord voulu trouver un arrangement à l'amiable avec le contribuable, c'est-à-dire un paiement avec pénalités. C'est seulement une fois que les sommes en jeu ont atteint un certain plafond que le dossier serait devenu judiciaire.

    L'Express


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  • Alain Juppé évoque les magasins Prisunic

    Interrogé sur le revenu universel, Alain Juppé a demandé si cette mesure s'appliquerait à la "vendeuse de Prisunic". Une enseigne qui a disparu de France en 2002.

    Il semblerait que des candidats à la primaire à droite n'ont pas fait leurs courses depuis longtemps. Après les pains au chocolat à 15 centimes de Copé, voici "la vendeuse de Prisunic" d'Alain Juppé... près de quinze ans après la disparition de ces magasins en France.

    Invité de France 3, dimanche 13 novembre, le favori de la primaire à droite était interrogé sur le "revenu universel de base". A ce sujet, Alain Juppé a estimé qu'il fallait "étudier cette question", et se demandait : "Est-ce que tout le monde va le toucher, de madame Bettencourt jusqu’à la vendeuse de Prisunic ?" Une chose est sûre, aucun employé de l'enseigne Prisunic, disparue en 2002, n'en verra la couleur...

    Franceinfo


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  • CHANTOUVIVELAVIE : 11 novembre: Hollande s'érige en chef des armées et défend son bilan

    Le président de la République célèbre ce vendredi la dernière cérémonie de son quinquennat en hommage à l'armistice signé le 11 novembre 1918 entre les Alliés et les Allemands.

    Une dernière gerbe au pied de la statue du "Tigre". François Hollande préside ce vendredi, pour la dernière fois de son quinquennat, la cérémonie du 11 novembre. Au-delà de son discours, aucune nouveauté n'était attendue ce vendredi. Le président de la République s'est rendu, comme à l'accoutumée, place Clémenceau, avant de remonter l'avenue des Champs-Elysées jusqu'à la Place de l'Etoile, là où il a passé les troupes en revue, avant de raviver la flamme sur la tombe du soldat inconnu.

    Une flamme qui ne s'est jamais éteinte depuis 1920.Après avoir salué les membres du comité de la flamme ainsi que l'association des anciens combattants, François Hollande s'est rendu jusqu'à la tribune officielle, où l'attendaient plusieurs membres du gouvernement. Manuel Valls, Jean-Yves Le Drian, Bernard Cazeneuve, Najat Vallaud-Belkacem, Emmanuelle Cosse, mais aussi Nicolas Sarkozy ont assisté à la cérémonie.

    C'est la deuxième fois que l'ancien président, candidat à la primaire à droite, honore l'invitation du président de la République.Rompu à l'exercice, François Hollande a pris le temps, comme il aime le faire, d'aller serrer la main aux Français invités à la cérémonie. Au plus bas dans les sondages, l'événement représenterait presque pour le chef de l'Etat une parenthèse. "A l'année prochaine!" lui a même glissé une invitée.

    "La France peut décider seule"

    Interrogé par France 2, le président de la République a très clairement défendu son bilan en matière de Défense. Nettement positionné comme un chef de guerre, le président de la République a d'abord défendu le bien-fondé de l'intervention au Mali. "J'ai considéré en 2013 qu'il fallait intervenir. Nous avons gagné cette guerre", lance-t-il.

    Mais encore, le chef de l'Etat se félicite d'avoir augmenté les "moyens financiers" alloués aux militaires et aux policiers, dans le contexte de menace terroriste.François Hollande a également confirmé qu'il allait bel et bien s'entretenir ce vendredi par téléphone avec le nouveau président des Etats-Unis, Donald Trump.

    A son sujet, le président de la République prône la discussion, mais avec une nette prise de distance. "Mon devoir c'est que nous ayons des relations les meilleures avec les Etats-Unis, sur la base de la franchise, tranche-t-il. François Hollande a promis de demander des réponses de sa part sur la Syrie, l'Ukraine, mais aussi sur la lutte contre le terrorisme. "Nous devons nous parler franchement avec le souvenir que l'amitié est essentielle. La France peut décider seule, elle a cette possibilité", a-t-il conclu.

    L'Express

    Que du baratin. Il n'y a que lui qui est content de son bilan !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Quand François Hollande brocardait Donald Trump

    Après avoir félicité Donald Trump, François Hollande a évoqué mercredi matin une "période d'incertitude" qui s'ouvrait avec l'élection du républicain à la présidence des Etats-Unis. Une mise en garde plutôt prudente au regard des nombreuses critiques adressées par le chef de l'Etat français au milliardaire américain ces derniers mois.

    "Vigilance et franchise". Voilà, en deux mots, l'attitude de François Hollande quand il dialoguera avec la nouvelle administration de Donald Trump, à partir de janvier, comme il l'a affirmé ce mercredi matin lors d'une allocution officielle. Au cours des derniers mois, le président de la République s'est pourtant montré moins diplomate à l'encontre du candidat républicain, évoquant ainsi une "menace" et des "excès".

    La première flèche est décochée en juin dernier. A l'occasion d'un entretien aux Echos, François Hollande estime que l'élection de Donald Trump "compliquerait les rapports entre l'Europe et les Etats-Unis". "Oui", l'entrée du milliardaire républicain à la Maison-Blanche serait "dangereuse". Avant d'attaquer le candidat sur le fond de sa pensée : "Ses slogans diffèrent peu de ceux de l'extrême droite en Europe et en France : peur de la déferlante migratoire, stigmatisation de l'islam, mise en cause de la démocratie représentative, dénonciation des élites, alors même que Donald Trump, par sa fortune, en est l'incarnation la plus évidente".

    Il mettait également en garde contre le risque d'un résultat inattendu, après le vote d'un Brexit qui a surpris toute l'Europe : "Ceux qui affirment que Donald Trump ne peut pas être le prochain président des Etats-Unis sont les mêmes qui prétendaient que le Brexit ne serait jamais voté."

     

    "La campagne américaine indique des thèmes qui se retrouvent ensuite dans la campagne française"

    Début août, Donald Trump a violemment critiqué la famille d'un soldat américain musulman, mort en Irak. Réponse de Hollande : "Les excès finissent par créer un sentiment de haut-le-cœur, aux Etats-Unis même, surtout quand on s'en prend, en l'occurrence Donald Trump, à un soldat, à la mémoire d'un soldat." Et le président de faire le parallèle entre les thèmes abordés de chaque côté de l'Atlantique. L'élection de Trump "peut conduire à une droitisation très forte ou, au contraire, à une correction", selon lui, notant que "la campagne américaine indique des thèmes qui se retrouvent ensuite dans la campagne française".

    Mi-septembre, lors d'une visite à New York, François Hollande redoute une nouvelle fois un résultat que beaucoup considéraient alors comme improbable : "Ce n'est plus une hypothèse, ce n'est plus une éventualité, c'est une possibilité, c'est même pour certains une probabilité. (...) Aujourd'hui, on pense que ce n'est pas possible, quand on entend Donald Trump, les propos qu'il tient, la confusion qu'il fait de manière permanente entre l'immigration et le terrorisme, la manière avec laquelle il utilise l'islam, on se dit 'ce n'est pas possible qu'il soit élu aux Etats-Unis'".

    Deux mois plus tard, Donald Trump s'apprête à entrer à la Maison-Blanche, à la surprise quasi-générale. "Certaines positions de Donald Trump doivent être confrontées aux valeurs et aux intérêts que nous partageons avec les Etats-Unis, a déclaré François Hollande mercredi. (…) L'amitié et notre histoire commune nous y aiderons". Après plusieurs sorties faisant du candidat républicain une menace, le président français se montre désormais plus prudent dans ses déclarations.

    Le JDD.fr


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Une onde de choc après le triomphe de Trump

    Etats-Unis

    Le républicain a réussi à capter la colère et les frustrations d'une partie de l'électorat.

    Donald Trump, dont l'élection surprise a fait l'effet d'une bombe, a tenté dès son premier discours de président élu d'atténuer l'immense onde de choc provoquée en Amérique et dans le monde par son triomphe électoral.

    Les centaines de partisans venus fêter avec lui sa victoire sur Hillary Clinton ont pu entendre un Donald trump au ton posé, au geste apaisé et porteur d'un message de réconciliation.

    Si l'exercice est convenu pour tout président élu, il a surpris chez le milliardaire populiste, dont la violence du ton et des propos pendant la longue campagne ont contribué à fissurer un peu plus encore une société américaine déjà très divisée.

    Donald Trump a reçu un coup de téléphone de félicitation de Barack Obama qui l'a invité jeudi à la Maison Blanche afin de préparer la transition, a annoncé la présidence américaine. Les formes et la tradition sont ainsi respectés.

    Un résultat sans appel

    «Je m'engage à être le président de tous les Américains», a promis l'homme d'affaires de 70 ans. «L'heure est venue pour l'Amérique de panser les plaies de la division», a-t-il ajouté.

    Le choc du résultat - sans appel - a jeté les marchés dans la tourmente et précipité les investisseurs vers les valeurs refuge. Il a aussi semé le trouble dans nombre de capitales, l'ébauche de politique étrangère du candidat Trump ayant suscité plus de questions qu'elle n'a apporté de réponses.

    Huit ans après l'élection de Barack Obama, qui devait marquer l'avènement d'une Amérique post-raciale, force est de constater que les électeurs américains ont choisi un homme taxé de sexisme, de xénophobie, de mensonge, d'isolationisme et d'incompétence par ses adversaires.

    Ses partisans - des électeurs blancs souvent modestes - voient en lui l'homme au parler vrai, qui sait nommer les problèmes qui les affligent: chômage, déclassement social, absence de reconnaissance, condescendance de l'establishment, ras-le-bol d'une certaine manière de faire de la politique et défenseur de leurs valeurs sociales conservatives.

    «Nous avons un bon programme économique», a affirmé M. Trump, qui avait fait campagne comme l'outsider déterminé à mettre fin à la corruption des élites politiques. «Nous allons de nouveau rêver de grandes choses pour notre pays».

    «Nous allons nous mettre au travail immédiatement pour le peuple américain», a-t-il ajouté.

    Les «homologues» du président Trump ont eu des réactions mitigées.

    Pour le président français François Hollande, «cette élection américaine ouvre une période d'incertitude». La chancelière allemande Angela Merkel a averti qu'une future «coopération étroite» devrait se fonder sur les valeurs communes démocratiques et elle rappelé au président élu sa «responsabilité» au niveau mondial.

    En revanche, Vladimir Poutine l'a félicité et a dit espérer une amélioration des relations russo-américaines, très mal en point à cause de l'Ukraine ou de la Syrie.

    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, dont les relations avec l'administration Obama sont notoirement difficiles, s'est lui aussi félicité mercredi de l'élection de Donald Trump, «véritable ami de l'Etat d'Israël».

    Le président chinois Xi se dit «impatient» de travailler avec lui

    Sa victoire surprise est une gifle pour le président Obama qui avait joué de tout son charisme pour pousser la candidature de son ancienne secrétaire d'Etat. Elle était la garantie de la continuité, là où M. Trump, fort d'une majorité au Congrès, a promis de démonter pièce par pièce l'édifice législatif de M. Obama.

    Un travail de démolition encore décuplé par le pouvoir qu'il aura, dans les prochaines années, de rendre la Cour suprême encore plus conservatrice.

    Colère et frustrations

    Plus de 60% des Américains pensent que Donald Trump n'avait pas le caractère pour devenir président. Mais il a réussi à capter la colère et les frustrations d'une partie de l'électorat.

    Hillary Clinton a reconnu sa défaite dans un appel téléphonique à son rival mais n'a pas voulu paraître devant ses partisans réunis eux aussi à New York.

    Elle doit s'exprimer mercredi matin, selon l'une de ses collaboratrice.

    L'homme d'affaires, en qui personne ne croyait lorsqu'il a lancé sa candidature en juin 2015, n'a jamais occupé le moindre mandat électif mais a su lire mieux que quiconque la frustration d'une partie de la population et fabriquer sa propre marque de populisme.

    Sans attendre la confirmation de sa victoire, la présidente du Front national (extrême droite française) Marine Le Pen a adressé mercredi matin sur Twitter ses «félicitations au nouveau président des Etats-Unis Donald Trump et au peuple américain, libre».

    Le Britannique Nigel Farage, un des champions du Brexit, l'a aussi félicité sur Twitter. «Je passe le relais à Donald Trump», a-t-il écrit.

    «J'y ai toujours cru. Je pense que Donald Trump est un type très intelligent», jubilait Brendon Pena, 22 ans, supporteur de Trump, dans l'hôtel new-yorkais où l'équipe de campagne du milliardaire avait organisé «une fête de victoire».

    Le président le plus âgé

    «C'est incroyable!», soulignait de son côté Glenn Ruti, 54 ans. «Le pays veut du changement».

    Plus de 200 millions d'Américains avaient été appelés aux urnes mardi pour choisir le successeur de Barack Obama, extrêmement populaire, qui quittera la Maison Blanche le 20 janvier après huit années au pouvoir.

    Sa première élection, en 2008, avait nourri l'espoir d'un pays plus uni. La campagne 2016 l'a profondément divisé.

    Donald Trump sera le président le plus âgé à jamais entrer à la Maison Blanche. Il a brisé le rêve de trente ans de Hillary Clinton.

    Celle qui a été tour à tour Première dame, sénatrice de New York puis chef de la diplomatie américaine, présentait un CV impressionnant, mais sa personnalité suscitait peu d'enthousiasme, la majorité des Américains doutant de son honnêteté.

    Elle était détestée par une partie des républicains, qui scandaient jour après jour «enfermez la» quand Donald Trump dénonçait sa corruption présumée dans ses meetings.

    Les Américains ont aussi voté mardi pour renouveler 34 des 100 sièges du Sénat à Washington et la totalité de la Chambre des représentants. Les républicains ont gardé leur majorité dans les deux chambres du Congrès, une très bonne nouvelle pour Donald Trump.

    Douze des 50 Etats américains élisaient aussi de nouveaux gouverneurs, et des dizaines de référendums locaux étaient organisés. La Californie est ainsi devenue le cinquième Etat américain à légaliser la marijuana à usage récréatif. 

    24 Heures.ch 


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Macron s'en prend au Front national, "un parti qui salit la République"

    Oui, ferme là !

    Il n'a pas encore officialisé sa candidature mais a déjà son avis sur 2017. Emmanuel Macron s'en est pris au Front national ce samedi lors d'un rassemblement à Paris des animateurs de son mouvement En Marche! L'ancien ministre de l'Economie a dit ne pas pouvoir "accepter" de voir le parti d'extrême-droite accéder au second tour de la présidentielle, déplorant une certaine inaction face à sa montée dans les sondages.

    "Nous n'avons rien fait depuis le 21 avril 2002", a-t-il lancé, "nous avons donné des leçons de morale au pays, nous n'avons tiré aucune leçon pour nous-mêmes". 

    "Les somnambules et les cyniques"

    Depuis cette date, selon lui, depuis que Jean-Marie Le Pen s'est retrouvé face à Jacques Chirac au second tour, il y a "d'une part, les somnambules, celles et ceux qui continuent à marcher dans la nuit, qui parlent dans le vide, et ne voient rien de ce qui se passe autour d'eux, et puis de l'autre, les cyniques, qui savent, et qui s'accommodent de cette vilaine affaire". 

    "Je ne veux pas, je ne peux pas accepter que, dans mon pays, les symboles de notre histoire commune puissent diviser la société, parce qu'on les a laissés en quelque sorte se faire prendre par le FN", a-t-il poursuivi. "Je ne veux pas que, dans mon pays, une colère, qui est parfois justifiée, devienne le monopole d'un parti qui salit la République".

    La promesse d'un engagement

    Face à ce constat, Emmanuel Macron, qui prévoit de se déclarer au plus tard en janvier sur une éventuelle candidature, a en tout cas promis de s'engager. "Dans cette bataille, maintenant, il y a les engagés, celles et ceux qui doivent prendre la relève, c'est vous!" s'est-il exclamé devant une salle conquise, d'où jaillissaient des "Macron président". "Je serai aussi pleinement engagé", a-t-il assuré.

    "Aucun républicain ne peut s'habituer à la présence d'un candidat d'extrême droite au second tour à chaque élection présidentielle", a conclu l'ancien ministre.

    BFM.TV

    Et bien, moi, je m'habitue très bien !


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