• Suicide de la petite Evaëlle, harcelée à l'école : une professeure en garde à vue

    Une enseignante de la petite Evaëlle, harcelée au collège, a été placée en garde à vue selon des informations du «Parisien».

    Victime de harcèlement scolaire, Evaëlle avait choisi de mettre fin à ses jours le 21 juin 2019. Pendant de longs mois, la jeune fille de 11 ans avait été victime des brimades de ses camarades, mais aussi de l’une de ses professeures. Les parents d’Evaëlle avaient porté plainte contre cette dernière qui, selon des informations du «Parisien», a été placée en garde à vue.

    Selon eux, l’enseignante du collège Isabelle-Autissier dans le Val-d’Oise a eu un rôle actif dans le harcèlement de leur fille. «Le Parisien» rapporte qu’elle a été entendue par les enquêteurs la semaine dernière. Le parquet de Pontoise a ouvert une information judiciaire pour homicide involontaire contre X le 8 novembre dernier, mais aussi pour «harcèlement sur mineur de 15 ans» visant nommément l’enseignante.

    "On nous prend au sérieux"

    «Nous avons le sentiment d’être vraiment entendus cette fois-ci. On nous prend au sérieux», a déclaré la mère d’Evaëlle au quotidien, précisant que les cours de cette professeure avaient été annulés cette semaine. Dans une lettre envoyée fin septembre à Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education nationale, les parents de la jeune fille déploraient que les élèves ayant harcelé leur enfant étaient toujours scolarisés dans le même établissement.

    Paris Match


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  • Un homme a été interpellé, jeudi 14 novembre, dans l'après-midi à Valenton (Val-de-Marne), pour tentative de viol sur une petite fille de sept ans, rapporte France Bleu Paris, confirmant une information du journal "Le Parisien".

    Des passants l'ont remarqué, le pantalon baissé, avec la fillette à l'arrière de sa voiture. Ils l'ont neutralisé en attendant l'arrivée des forces de l'ordre.

     

    Deux passants permettent l'interpellation de l'agresseur

    Jeudi après-midi, sur un parking de Valenton, ces deux passants remarquent de la buée sur la vitre arrière d'une voiture. Ils s'approchent et constatent la présence d'un homme, pantalon baissé sur les genoux, et à ses côtés une fillette dont le bouton du pantalon avait été arraché.

    Quand ils ouvrent la portière, la fillette leur saute dans les bras en pleurant. Les deux hommes ont ensuite neutralisé le pédophile présumé, et l'ont empêché de prendre la fuite, en attendant l'arrivée de la police.

    Selon les premiers élément de l'enquête, l'homme avait capturé la petite fille de sept ans en bas de son immeuble et l'avait poussée dans sa voiture.

    franceinfo


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  • Finistère ; : deux frères et une soeur décèdent dans une terrible collision entre une voiture et un poids lourd

    Ce vendredi 15 novembre, vers 12h45, un accident a fait trois morts, deux frères et leur soeur, sur la RD 770 à Ploudaniel. Une voiture se serait déportée sur la voie de gauche dans une courbe avant d'entrer en collision avec un camion transportant des porcs.

    Les trois victimes sont membres d'une même famille de la commune de Plouider. Elles sont décédées sur le coup. Le conducteur était le fils aîné de 21 ans. Son frère de 15 ans a été éjecté dans un fossé alors que leur soeur de 18 ans était à l'arrière du véhicule.

    C'est peu avant 12h45 que l'accident s'est produit au lieu-dit l’Auberge-Neuve. Selon le témoignage du chauffeur du poids lourd, la voiture qui circulait sur la RD 770 entre Ploudaniel et Saint-Eloi dans le sens Landerneau - Lesneven se serait déportée sur la voie de gauche. Le camion aurait alors serré sur le bas-côté avant de se coucher.

    Dans la collision, la voiture a été coupée en deux. L'avant du véhicule s'est retrouvé à 30 mètres derrière le camion, alors que l'arrière est resté coincé sous le poids lourd.

    La RD 770 a été coupée à la circulation dès 13h. Vers 17h30, le camion a été relevé par une grue après avoir été vidé. Il transportait des porcs sur trois étages. De nombreux cochons sont également morts dans l'accident. La route a été rouverte à la circulation en toute fin d'après-midi.

    Le chauffeur, légèrement blessé, a été transporté en état de choc sur Brest à l'hôpital de la Cavale Blanche.
     

    Une route accidentogène

    Ce secteur de route est connu pour être accidentogène. En mars 2018 un accident dans lequel trois enfants de 5, 6 et 12 ans étaient décédés, avait créé l'émotion.

    Par la suite, les collectivités territoriales avaient accéléré le processus de sécurisation de cette route dangereuse. Les travaux venaient d'être engagés et doivent se terminer d'ici 2022.

    franceinfo .3

    Bien triste pour les parents de perdre trois enfants à la fois.

    Honteux de transporter trois étages de porcs, ce ne sont pas des objets ! Certains sont morts avant d'arriver à l'abattoir ! Hélas, pour les humains, ce n'est que de la viande !


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  • 5,8 kg : c’était le poids du petit Gabin le jour de sa mort. Il avait presque deux ans, c’était le poids d’un enfant de trois mois. Ses parents ont été condamnés, ce vendredi, à 17 ans de réclusion criminelle devant la cour d’Assises de la Creuse.

    « Aujourd’hui, ma gorge est serrée. Nouée. En 29 ans de pratiques pénales, j’en ai vu des choses horribles mais ce dossier m’a bouleversé. Ces images, vous les garderez en tête jusqu’à la fin de votre vie. » L’avocat général ne masque pas son émotion quand il entame ses réquisitions, ce vendredi matin. Une émotion parfois teintée de colère même quand il revient sur cet « oublié », son « calvaire », ses « souffrances ».

    Gabin aurait-il pu être sauvé si...?

    Cet enfant de 22 mois, oublié, privé de soins et de nourriture jusqu’à la mort. « Le jour de son décès, son père est allé le voir dans sa chambre à 14 heures, poursuit Bruno Sauvage, l’avocat général. Il a vu qu’il n’était pas bien. L’enfant agonisait, peut-être était-il déjà mort ? Mais il n’a appelé la mère qu’à 16 h 15. Qu’a-t-il fait pendant ces deux heures ? Et s’il avait appelé les pompiers tout de suite, auraient-ils pu le sauver ? Comment est-il mort ? Dans une souffrance extrême. Peut-être que jusqu’à la fin, cet enfant de 22 mois a espéré quelque chose : que ses parents lui donnent à manger et à boire. »
    « Quelle peine ? Quelle peine juste ?» pour cet « oublié », son « calvaire », ses « souffrances » ? questionne alors l’avocat général avant de requérir une peine identique pour chacun des parents : 17 ans de réclusion criminelle, « qu’ils aillent enfin en détention ».

    Les parents avaient-ils conscience de qu'ils faisaient ?

    « Bien évidemment, nous avons tous été choqués, bouleversés, enchaîne l’avocate de la défense, Maître Émilie Bonnin. Nous avons tous été remués, pris aux tripes. Mais ces parents ont-ils privé de soins le petit Gabin de sa naissance à son décès ? » Une première question parmi tant d’autres posée alors aux jurés.

    Avant de dérouler le fil d’une vie bien cabossée dès le départ pour un père et une mère, également parents d’un autre petit garçon, aujourd’hui âgé de 13 ans et placé en famille d’accueil depuis la mort de Gabin. De mettre l’accent aussi sur cette « dégringolade début 2013 ». Cette « incompétence soulignée par la juge d’instruction est-elle pénalement répréhensible ? Ils avaient besoin qu’on les aide, qu’on les accompagne ».

    Et d’évoquer alors le rôle de la famille paternelle comme maternelle mais aussi celui du médecin. Une inconscience collective ? Une responsabilité commune ? La défense plaide alors pour un suivi socio-judiciaire plutôt qu’une peine de prison pour deux parents que les experts établissent comme « pas dangereux, curables et réadaptables ».
    Quelle peine pour la mort d’un enfant de 22 mois ? 17 ans, ont également estimé la cour et le jury ce vendredi, après en avoir délibéré pendant près de cinq heures. Édouard R. et Céline V. ont été reconnus coupables de privation de soins et d’alimentation. Ils ont été conduits directement en prison à l’issue de l’audience. Plus de six ans après la mort de Gabin.

    La Montagne


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  • Le corps d'un homme de 26 ans, tué à l'arme blanche, a été retrouvé dans la nuit de jeudi à vendredi dans une maison du centre-ville de Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

    Un appel à police secours a signalé le drame à 1 heure du matin. En arrivant sur les lieux, les fonctionnaires du commissariat local découvrent un logement en grand désordre. Un homme est assis, adossé contre un mur et gît dans son sang.

    Couteau ensanglanté dans l'évier

    Il présente plusieurs plaies au niveau du thorax. Malgré leurs efforts, les secours ne parviendront pas à le réanimer. Un couteau ensanglanté a été abandonné dans l'évier. La victime est seule dans l'appartement.

    Le cadavre a précisément été retrouvé dans une dépendance de cette propriété située au fond du jardin qui était proposée à la location sur le site du Bon Coin. La propriétaire, qui se trouvait dans la maison principale, a indiqué qu'elle avait loué cette annexe à un couple pour plusieurs jours. Or à l'arrivée de la police, ces occupants étaient absents.

    Le meurtrier activement recherché

    L'auteur du meurtre n'a pas été identifié à l'heure qu'il est. Il est activement recherché par la police. Le mystérieux interlocuteur qui a donné l'alerte n'a pas non plus été localisé, et le couple de locataires non plus.

    « Le service départemental de la police judiciaire (SDPJ) de Seine-Saint-Denis a été saisi pour une enquête portant sur un homicide volontaire », précise le parquet de Bobigny.

    Le Parisien

    Dommage que Poirot et Colombo ne soient plus là, eux auraient trouvé le coupable !


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  • Après cinq ans de voitures incendiées, pour un bilan de 900 véhicules détruits et 8,5 millions d’euros de dégâts, un homme, féru de courses à pied et plus habitué des pages Sports des journaux locaux, a été arrêté par la gendarmerie.

    Son bilan est impressionnant :  120 départs de feu, 900 véhicules brûlés et 8,5 millions d’euros de préjudice à lui tout seul ! "Lui", c’est "monsieur tout le monde". Après des années d’enquête, les gendarmes du Bas-Rhin ont interpellé mardi un homme de 33 ans suspecté d’être responsable de cette incroyable et mystérieuse série d’incendies qui touchait le centre-Alsace depuis 5 ans ! Un suspect, par ailleurs coureur de haut niveau, qui occupait plutôt (en tout cas jusqu’à présent !) "les pages sport" de la presse locale.

    "Les entraînements, quand je suis au top, ça peut être dix entraînements par semaine. Moi je marche beaucoup à l’adrénaline ", disait le suspect lors d’un reportage que lui avait consacré une télé locale l’an dernier. "Puissance et vitesse font de lui un athlète particulier. Son truc, ce sont les courses courtes et toniques", disait la journaliste. Des course courtes et toniques, de quoi se repérer dans le moindre chemin viticole du coin. De quoi, pour cet homme sans histoire, échapper longtemps aux gendarmes.

    "Ça l’aidait à déjouer éventuellement toute patrouille de gendarmerie"

    "C’est inhabituel parce que d’habitude, on peut s’attendre à des gens qui ont un profil psychologique déjà marqué ou un petit délinquant. Mais là, c’est l’incendiaire, l’acteur solitaire", admet le colonel François Desprets. "Il semblerait qu’effectivement ce monsieur a un très bon niveau (en course à pied), et qu’il connaissait bien la région, il connaissait très bien les lieux. Ça l’aidait à déjouer éventuellement toute patrouille de gendarmerie."

    Pour lui, finies désormais les pages Sports des Dernières nouvelles d’Alsace. La rubrique Faits divers indique aujourd’hui que l’incendiaire présumé est soulagé d’avoir été arrêté.

    Europe 1


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  • L’avocate générale avait requis 20 ans contre le père et 12 contre la mère, qui est ressortie libre du procès !

    Un verdict plus clément que les réquisitions. La cour d’assises de l'Isère a condamné ce jeudi les parents de la petite Hafsa, morte en mars 2017, à des peines de cinq et 18 ans de prison. La sanction la plus lourde a été prononcée à l’encontre de Sami Bernoui, le père contre lequel l’avocate générale avait demandé 20 ans ferme.

     

    Noémie Villard, la maman, qui risquait jusqu’à 30 ans de réclusion criminelle, a écopé d’une peine de cinq ans pour privation de soins et violences volontaires. Les jurés n’ont en revanche pas retenu les faits de « violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Ayant effectué déjà 19 mois de détention provisoire, la jeune femme de 22 ans ressort ce jeudi soir libre puisque la cour n’a pas prononcé de mandat de dépôt à son encontre. Elle reste sous bracelet électronique.

    « Je n’ai jamais su aimer ma fille comme je devais l’aimer »

    Hafsa est décédée le 1er mars 2017 à l’âge de 15 mois, des suites du syndrome du bébé secoué et d’une péritonite. Ses parents, enfermés dans un islam radical, n’avaient pas jugé utile de la conduire à l’hôpital.

    La fillette leur avait déjà été retirée quelques mois après sa naissance, à la suite de suspicions de mauvais traitements. Des médecins du CHU de Grenoble, qui l’avaient examiné à l’âge de deux mois, avaient découvert huit fractures costales et signalé les faits à la justice. Mais le parquet avait préféré classer le dossier sans suite et l’enfant a été rendu à ses parents vers ses 10 mois !

    A noter que la cour a également prononcé le retrait total de l’autorité parentale du père sur son deuxième enfant, un petit garçon placé en famille d’accueil. Au dernier jour du procès, Sami Bernoui, 26 ans, a reconnu les violences, considérant que ce drame était « entièrement de (sa) faute ». « Je n’ai jamais su aimer ma fille comme je devais l’aimer et je n’ai pas su lui donner l’amour dont elle avait besoin », a-t-il déclaré avant que les jurés ne se retirent pour délibérer. Noémie Villard a aussi l’interdiction d’entrer en relation avec son « mari » mais elle pourra continuer de voir son fils.

    20 Minutes

    Donc cette sale bonne femme a fait que 19 mois de prison sur les 5 ans !

    Après 8 fractures costales, la justice a classé le dossier ... Quelle justice de merde ! C'est elle qui est responsable de la mort de cette petite fille !


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  • Un touriste français, qui se prenait en selfie, est mort après être tombé dans une chute d'eau sur l'île thaïlandaise de Koh Samui, a appris l'AFP vendredi auprès de la police locale.

     

    L'accident s'est produit jeudi après-midi dans ce haut-lieu touristique, célèbre pour ses plages de sable blanc et ses randonnées dans la jungle.

    Le jeune homme de 33 ans est tombé dans la cascade de Na Mueang 2, au même endroit qu'un touriste espagnol, décédé en juillet. "Il a fallu plusieurs heures pour récupérer le corps car le terrain est très glissant et abrupt", a indiqué le lieutenant Phuvadol Viriyavarangkul. "Son ami nous a raconté qu'il essayait de prendre un selfie, a glissé et est tombé".

    Selon une étude du All India Institute of Medical Sciences de 2018, les accidents de selfies ont fait 259 morts dans le monde entre octobre 2011 et novembre 2017.

    Paris Match

    Se mettre à un endroit dangereux pour se prendre en photo, faut être stupide !

    Il en a eu du selfie !


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  • Le parquet de Nancy a ouvert une enquête concernant la prise en charge par le Samu nancéien d’un patient décédé le 6 novembre, rapporte l’Est Républicain.

     

    Selon une amie de ce patient, âgé de 54 ans, le Samu a raccroché à trois reprises en l’espace d’un quart d’heure alors qu’elle-même et le malade, résidant à Dombasle-sur-Meurthe (Meurthe-et-Moselle), à une quinzaine de kilomètres de Nancy, tentaient d’obtenir de l’aide.

    Au terme d’un quatrième appel, les pompiers, qui avaient transmis les trois premiers au Samu, se sont eux-mêmes déplacés, selon le quotidien régional.

    Le patient souffrait de fortes douleurs à la poitrine et son état de santé ne cessait de se dégrader. Il a fait un arrêt cardiaque et n’a pu être ranimé, en dépit de l’arrivée d’une équipe du Samu, venue en renfort.

    Procédure judiciaire et enquête administrative

    Confirmant l’ouverture d’une « procédure de recherche des causes de la mort », le procureur de Nancy a précisé que « dans ce cadre, une autopsie a eu lieu qui a conclu à un décès dû à une rupture de l’aorte ».

    « Il a été demandé au service d’enquête de procéder à la saisie et à l’exploitation de l’enregistrement de la régulation du Samu », a ajouté le magistrat, François Pérain.

    Interrogée, l’Agence régionale de santé (ARS) Grand Est a indiqué avoir ouvert de son côté une enquête administrative qui donnera lieu « à une inspection dans les prochains jours ».

    « Une enquête interne, en lien avec l’ARS est en cours », devant permettre « d’analyser les conditions de prise en charge du patient », a également indiqué le Centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Nancy.

    L’amie du patient décédé a raconté à L’Est Républicain ses appels au Samu. « On me demande alors si je suis médecin avant de m’entendre dire : « Vous n’allez pas faire le diagnostic à ma place ». On m’explique qu’il s’agit d’une grippe et qu’il faut l’emmener chez son médecin traitant. Et puis ça raccroche », a-t-elle relaté au sujet du premier appel.

    Fin 2017, Naomi Musenga, 22 ans, était décédée aux urgences de l’hôpital de Strasbourg, après avoir été raillée au téléphone par une opératrice du Samu. Deux enquêtes, judiciaire et administrative avaient été ouvertes.

    Cette affaire, qui avait suscité une immense émotion en France, avait entraîné une réforme de la formation des assistants de régulation médicale du Samu.

    Le Parisien


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  • Le corps d'Oliver Tony a été retrouvé, annonce jeudi 14 novembre, le parquet de Bobigny à France Bleu Paris. Le jeune adolescent était porté disparu depuis une semaine. Il avait été lynché sur les berges du canal de l'Ourcq à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis).

     

    Le parquet ne donne pas plus de précisions en l'état sur les circonstances de la découverte mais explique toutefois que le corps n'était pas dans le canal. Dans cette affaire, deux nouvelles personnes ont été placées en garde à vue après avoir été interpellées mardi et mercredi. Deux autres suspects, âgés de 17 ans, sont déjà mis en examen. L'un a été placé en détention provisoire, le deuxième libéré sous contrôle judiciaire.

    Depuis la disparition de l'adolescent, des appels à la vengeance ont circulé sur les réseaux sociaux. L'enquête est menée par la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.

    franceinfo


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  • Une enquête a été ouverte pour homicide aggravé. Ce jeudi, une octogénaire a été mortellement poignardée à Nîmes (Gard). Selon une source judiciaire, son fils de 46 ans, qui s’est accusé du meurtre, a été placé en garde à vue.

     

    « Ce matin un homme a appelé la police pour indiquer qu’il avait tué sa mère. Il a été immédiatement placé en garde à vue », a indiqué le vice-procureur de Nîmes, Patrick Bottero, confirmant une information de France 3.

    Un examen médical en cours

    Le corps de l’octogénaire a été retrouvé dans l’appartement et « présente de nombreux coups », a-t-il ajouté. Les pompiers arrivés sur place n’ont rien pu faire pour la victime, mortellement poignardée et lardée de coups de couteau.

    L’homme placé en garde à vue « a des antécédents psychiatriques et fera l’objet d’un examen médical pendant le temps de la garde à vue », a précisé le vice-procureur Bottero.

    Le Parisien

    Il aurait dû être enfermé dans un hôpital !


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  • Une docteure de SOS Médecins a été agressée par trois individus dans le quartier des Moulins. D'après les premiers éléments, l'altercation se serait déroulée vers 23h30, ce jeudi 7 novembre.

    Pauline Foti, 37 ans, sort de l'immeuble de son patient. Trois individus lui tendent un guet-apens, ils tentent de lui arracher son sac et ses bijoux. Mais la victime résiste, ses agresseurs la maîtrisent pour l'empécher de se débattre. "Je suis médecin, je suis médecin !", leur crie-t-elle.

    Dans la confusion, Pauline Fito est blessée : deux cotes félées, une entorse au genou, ainsi que quelques égratignures aux mains. La victime doit faire des examens complémentaires dans les prochains jours.

    "J'essaie de ne pas y penser"

    D'après la victime, ses agresseurs ne l'ont pas prise pour cible car elle était médecin : "Je n'ai pas été rouée de coups, précise-t-elle, contrairement à ce qui avait été relaté précédemment dans la presse. Je pense qu'ils étaient vraiment là pour voler mes affaires."

    Les trois individus repartent après lui avoir dérobé sa montre, quelques bijoux et son sac à main. "C'est sûr que lorsqu'on se fait agresser comme ça, en pleine nuit, ça laisse des traces", raconte-elle. "Mais j'essaie de ne pas y penser. Cela amène à se poser des questions, mais j'essaie de passer outre."

    La jeune femme, qui avait rejoint SOS Médecins une semaine auparavant, a préféré reprendre le travail ce matin.

    La police a réagi très rapidement et de manière très efficace", estime Pauline Fito. Cependant, Joëlle Martinaux, présidente de SOS Médecins Nice, a annoncé que les interventions des médecins sont "suspendues jusqu'à nouvel ordre et nous demandons à ce que nos interventions soient sécurisées".

    Des mesures devraient être mises en place pour assurer la sécurité des médecins lors de leurs consultations. Des annonces que salue Pauline Fito : "On ne va pas travailler pour se faire agresser. Si les conditions sont remplies, je serais contente d'y retourner le plus rapidement possible."

    Un quartier encore victime de sa mauvaise réputation

    En attendant que les équipes de SOS Médecins puissent travailler en toute sécurité, les habitants des Moulins qui ont besoin d'un médecin devront contacter le 15.

    Ce nouveau fait divers vient donc encore ternir l'image du quartier des Moulins, déjà classé comme zone de sécurité prioritaire (ZPS). Au marché, ce samedi matin, les habitants ne cachaient pas leur lassitude : "Ils ne font que des conneries, grince un riverain. Qu'est-ce que vous allez attaquer un médecin ou des pompiers ?"

    Cela nuit au quartier, regrette Djamila. Le quartier des Moulins, c'est autre chose que la drogue, les bagares, c'est pas vrai !" Denise, une autre habitante des environs, s'inquiète déjà des conséquences d'une telle mauvaise publicité : "C'est embêtant si on manque de médecins dans le quartier... ça va être grave !"

    franceinfo .3

    On ne sait pas si la police a arrêté ces trois pourris ?


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  • Conséquences des fortes pluies de ce jeudi 14 novembre, vers 14h30, les sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône ont été mobilisés pour des infiltrations dans un immeuble, rue des poilus, à La Ciotat.

    À l'arrivée des secours, ils constatent des infiltrations importantes dans la toiture. Rapidement, la décision est prise d'évacuer huit personnes, dont deux enfants, de cet immeuble de trois étages.

    Peu de temps après, la toiture s'est effondrée, Il n'y a eu heureusement, aucun blessé.

    Les secours sont toujours sur place.

    franceinfo .3


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  • Annecy: l'Hôtel de ville touché par un spectaculaire incendie

    Un impressionnant incendie s'est déclaré à l'heure du déjeuner ce jeudi dans la mairie d'Annecy, en Haute-Savoie. Le feu se serait déclaré accidentellement sur une armoire électrique au troisième étage et se serait propagé à d'autres locaux selon nos informations, ravageant la toiture du bâtiment.

    D'après la préfecture, l'origine serait "accidentelle", une thèse "confirmée" pour le maire Jean-Luc Rigaut (UDI): "des agents qui travaillaient à côté ont vu le court-circuit et l'armoire se mettre à fumer", a-t-il raconté à l'AFP.

    Le feu s'est rapidement propagé à la toiture et a causé d'importantes flammes, ainsi qu'une épaisse fumée visible de plusieurs kilomètres, comme le rapporte France Bleu Pays de Savoie. Un important dispositif de sapeurs-pompiers a été déployé ainsi qu'une cellule d'assistance respiratoire pour veiller à leur sécurité, selon La Dépêche.

    Au total, 90 sapeurs-pompiers, 6 engins de lutte contre les incendies et 4 grandes échelles sont engagés, en attendant l'arrivée d'un bras élévateur de Genève et 2 engins de la Savoie et de l'Ain. Une enquête sera conduite par la brigade de sûreté urbaine du commissariat d'Annecy, dès le feu maîtrisé.

    Des évacuations mais pas de blessé

    L'alarme a retenti à "l'heure du déjeuner", alors "qu'environ 150 personnes" se trouvaient dans les bureaux. Tous les occupants ont été mis en sécurité à l'extérieur, a expliqué le directeur général des services de la ville, Dominique Huot de Saint-Albin. Une école et une crèche voisines ont été fermées et les 350 enfants transférés dans un autre établissement scolaire, a aussi indiqué la préfecture de Haute-Savoie, qui ne déplorait aucun blessé dans cet incendie.

    Au moment de l'alarme, "environ 150 personnes" se trouvaient dans les bureaux de la mairie, selon un communiqué de la préfecture, qui ne déplore aucun blessé dans cet incendie. Christophe Castaner a aussi exprimé son soutien aux sapeurs-pompiers qui "luttent courageusement contre l'incendie" à Annecy.

    "La toiture est détruite à 90%, les pompiers essaient de préserver les deux premiers étages où sont les salons protocolaires" et le bureau du maire, a précisé la préfecture. 

    "Consterné" devant le sinistre qui endommage cet édifice des années 1850 -- construit du temps où la Savoie appartenait au Royaume italien de Piémont-Sardaigne -- , le maire a déploré la mise hors service du centre de vidéosurveillance et de télécommande de la zone piétonne , situé au 3e étage. La circulation automobile était interdite dans une partie du centre-ville et le ramassage scolaire perturbé dans l'ensemble du bassin annécien, avec des retards de bus à prévoir, a prévenu la préfecture.

    BFM.TV

    Encore un incendie !


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  • Une femme a été poignardée à mort dans son appartement de Montfermeil (Seine-Saint-Denis), et son conjoint, qui a succombé à des blessures à l’arme blanche, est soupçonné de l’avoir tuée devant leurs deux filles, a-t-on appris mercredi 13 novembre de sources proches de l’enquête.

    Selon ces sources, le père de famille a porté plusieurs coups de couteaux à son épouse dans la cuisine de l’appartement, à la suite d’un « différend ». La victime a essayé de se défendre, en le poignardant également.

    Les cris des fillettes ont donné l’alerte

    Selon le « Parisien », les cris des fillettes, sortis se réfugier chez un voisin, ont donné l’alerte. Ce dernier a contacté la police. Sur place, trois couteaux ont été découverts, maculés de « beaucoup de sang », selon une source policière.

    L’homme, éviscéré, a été transporté à l’hôpital Bichat à Paris, et a succombé à ses blessures dans la nuit, selon une autre source.

    Choquées, mais non blessées, les fillettes ont été prises en charge par l’Aide sociale à l’enfance (ASE) et par une aide psychologique.

    La police judiciaire de Seine-Saint-Denis a été saisie. Contacté, le parquet de Bobigny n’avait, à ce stade, pas d’informations à communiquer.

    L'OBS


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  • Un adolescent de 17 ans est soupçonné du meurtre par balles de deux femmes dans la nuit de mercredi à ce jeudi à Montauban (Tarn-et-Garonne), rapporte Europe 1. Placé en garde à vue, le jeune homme est actuellement interrogé sur ce double homicide par les enquêteurs de la police judiciaire.

     

    Selon les premiers éléments de l’enquête, les faits sont survenus dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 4 heures du matin. Un adolescent âgé de 17 ans a alerté la police en déclarant avoir été réveillé par des détonations, (c'était le jeune meurtrier) !

    Sur place, les policiers ont découvert les corps sans vie d’une mère de famille de 38 ans et d’une autre jeune femme de 18 ans, tuées par balles, selon toute vraisemblance par les tirs d’un fusil de chasse.

    Les enquêteurs se sont très rapidement rendu compte que les déclarations du jeune homme ne correspondaient pas avec les premières constatations techniques et scientifiques. Le jeune suspect a aussitôt été placé en garde à vue.

    On ignore pour le moment l’origine de ce double drame mais les deux victimes seraient la petite amie et la mère du suspect.

    Le Parisien


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  • Un homme est mort à Toulouse (Haute-Garonne) après avoir été agressé dans la nuit de lundi à mardi. La Dépêche du Midi explique que les faits se sont produits vers 2h30, rue Gabriel-Péri, et que la victime était âgée de 51 ans.

    Un individu a frappé le quinquagénaire après une altercation. Celui-ci est tombé, se cognant la tête sur la chaussée. L’agresseur de 38 ans a alors fouillé la victime, lui prenant son argent, son téléphone portable et son sac avant de s’en aller.

    Un passant et un employé du quartier ont tenté de venir en aide à l’agressé quelques minutes après. Après un massage cardiaque et après que les secours sont parvenus à le réanimer il a été hospitalisé. Mais il n’a pas survécu à ses blessures.

    Connu de la justice pour différentes affaires, notamment une tentative d’homicide en 2005, l’agresseur a rapidement été interpellé grâce à la vidéosurveillance. Plusieurs fois condamné, sans-domicile fixe, alcoolisé au moment de son arrestation, il aurait reconnu les faits.

    Le Parisien


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  • Une factrice de Tulle a écopé ce mardi 12 novembre d’une mise à pied d’un mois sans salaire pour avoir signé un colis à la place d’une usagère qui lui avait demandé de le faire en son absence. Une sanction qui a suscité l’émoi de nombreux habitants et des syndicats.

    Une factrice sanctionnée... pour avoir été trop serviable ! C'est ce qui est arrivé à une femme de 59 ans travaillant à Tulle, en Corrèze. La salariée vient d'être mise à pied un mois sans salaire par La Poste selon Le Parisien. Le journal précise que cet avis rendu par le conseil de discipline ce mardi 12 novembre au matin, devrait être validé ces prochains jours par la direction de La Poste. La raison de cette sanction ? La factrice a signé un colis à la place d'une usagère habituée, qui lui avait demandé de le faire en son absence.

    L'habitante en question réside à Favars, une commune corrézienne d'un millier d'habitants. "Lors de ma convocation, on m'a signifié qu'une telle attitude pouvait aller jusqu'à trois mois de mise à pied. J'étais quelque part soulagée car au début, je craignais surtout le licenciement", a confié la factrice sanctionnée au Parisien. La femme de 59 ans est employée à La Poste depuis 27 ans et avait l'habitude de signer des colis à la place de cette usagère lorsqu'elle était absente. Une pratique "répandue dans les campagnes" selon Karine Lavaud, secrétaire de la CGT FAPT, afin d'éviter aux personnes de se déplacer dans les bureaux de poste.

    Problème, c'est la fille de l'usagère qui s'était plainte auprès de la direction de voir la factrice signer en lieu et place de sa mère. La Poste assure de son côté "avoir conscience de l'émoi suscité par la situation de la factrice". En effet, une pétition a été lancée et a réuni 7.500 signatures. Le hashtag #TousAvecSylvie a également émergé sur les réseaux sociaux. Pourtant La Poste assure que la factrice a "dérogé à sa mission et à sa prestation de serment" et qu'elle "se devait de réagir".

    "La sanction est lourde au regard de la faute commise"

    La secrétaire de la CGT FAPT estime pour sa part que "la sanction est lourde au regard de la faute commise". "Elle a simplement voulu rendre service, a reconnu son erreur, s'est excusée plusieurs fois auprès de la direction", déplore Karine Lavaud. Quant à la factrice, qui a hâte de reprendre bientôt le travail, elle assure qu'elle restera "humaine dans sa démarche", mais qu’elle respectera désormais les règles à la lettre. "Pour les périodes de Noël, il y aura un flux de paquets que les gens devront aller chercher s'ils ne sont pas chez eux… Ils seront certainement très embêtés mais ce ne sera plus mon problème. Je serai bien obligée de scrupuleusement respecter les règles, de ne pas signer à leur place. Et de ne plus leur rendre service", a-t-elle confié, résignée, au Parisien.

    Capital

    Pas très sympa la fille de l'usagère !


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  • Tarn-et-Garonne : un adolescent meurt percuté par un TGV

    Un adolescent de 14 ans qui se trouvait sur la voie ferrée est mort lundi, percuté par un TGV, selon les services de secours. Le train s’est immobilisé aussitôt près de Pompignan (Tarn-et-Garonne), avec environ 500 passagers à bord.

     

    L’accident est survenu aux alentours de 18 h 25, sur la ligne qui effectuait la liaison Bordeaux-Toulouse. Trois heures plus tard, le train était toujours arrêté sur la voie et le trafic interrompu dans les deux sens, pendant que les gendarmes effectuaient les premières constatations. Il reprenait progressivement dans la soirée.

    Selon nos confrères de La Dépêche, le garçon, prénommé Mathéo, rentrait à son domicile situé à Pompignan. Il n’était plus qu’à quelques centaines de mètres de chez lui lorsque l’accident s’est produit.

    Une vingtaine de sapeurs-pompiers ont été dépêchés sur place, ainsi qu’une équipe du SAMU, pour tenter de réanimer l’adolescent, en vain.

    Le Parisien

    Mais que faisait-il là ?


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