• Quatre personnes - trois hommes et une femme - ont été interpellées et écrouées dans le cadre d'une enquête sur un important réseau de trafic de drogue dans la région lyonnaise, a indiqué mardi le parquet.

    De la drogue, des armes et des véhicules saisis

    Les quatre mis en cause ont été interpellés mercredi dernier, mis en examen puis placés en détention provisoire samedi, précise le procureur de la République de Lyon Nicolas Jacquet dans un communiqué. 

    Les perquisitions réalisées dans la foulée des interpellations ont notamment amené la saisie de seize armes de poing et cinq armes longues, de 238.500 euros et de plusieurs de kilos de cocaïne, résine et herbe de cannabis. Plusieurs véhicules et immeubles ont également été saisis, ou sont en voie de l'être, au titre des avoirs criminels. 

    Les mis en cause gardent le silence

    Une enquête préliminaire avait été ouverte dès début mars par l'antenne OCRTIS (les "stups") de Lyon sur la base de renseignements dénonçant un "criminel multirécidiviste" comme organisateur de ce trafic, explique le procureur.  Les premiers éléments de l'enquête avaient rapidement confirmé son implication ainsi que l'importance du patrimoine immobilier acquis par cet homme et sa compagne.

    Les investigations menées en collaboration avec le Groupe d'intervention régional de Lyon ont ensuite mis en lumière un important réseau rayonnant sur Lyon et Villefranche-sur-Saône (Rhône), particulièrement organisé et "étanche", "un trafiquant de cocaïne" jouant "un rôle prépondérant" en convoyant la drogue, ajoute Nicolas Jacquet.

    Entendus, les mis en cause ont gardé le silence ou démenti toute implication.

    BFM.TV


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  • USA : Après un meurtre commis ensemble, un père épouse sa fille

    Un père américain a reconnu avoir épousé l’une de ses deux filles après avoir commis un meurtre avec elle.

    Un meurtre en famille. Un homme a reconnu auprès des autorités américaines de Virginie avoir épousé l’une de ses deux filles après avoir commis un crime, tous ensemble. Le père et les deux filles, Amanda Michelle Naylor McClure et Anna Marie Choudhry, âgées de 31 et 32 ans ont tous les trois mis au point le meurtre de John McGuire. Ce dernier fréquentait alors Amanda Michelle Naylor McClure, indique le «New York Post».

    Les enquêteurs ont découvert que Larry Paul McClure et ses enfants ont passé à tabac la victime, l’assommant avec une bouteille de vin. Ils l’ont ensuite attaché, lui ont injecté deux doses de métamphétamine avant de l’étrangler à mort et de l’enterrer dans leur propre propriété.

    C’est dans une lettre adressée aux autorités que Larry Paul McClure a avoué les faits, affirmant que c’était l’idée de sa fille Amanda. «Je ne peux pas vous dire pourquoi Amanda le voulait mort», a-t-il écrit. Fait troublant, après le meurtre, Amanda Naylor McClure et son père ont eu une relation sexuelle. Ils ont ensuite voyagé ensemble pour se marier dans une église méthodiste. Larry Paul McClure était déjà connu de la justice et était inscrit en tant que délinquant sexuel. Tous les trois sont poursuivis pour meurtre.

    Paris Match

    J'espère qu'il y a la peine de mort dans cet Etat !


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  • Pont effondré à Mirepoix-sur-Tarn: Le poids lourd et son chargement pesaient « plus de 40 tonnes »

    Selon le maire de Mirepoix-sur-Tarn, le poids lourd et son chargement tombés dans la rivière après l’écroulement du pont, lundi matin, dépassaient largement les 19 tonnes autorisées

    Lundi matin, l'effondrement du pont de Mirepoix-sur-Tarn, à une trentaine de kilomètres au nord de Toulouse, provoquait la mort d’une adolescente de 15 ans, passagère d’une voiture, et du conducteur d’un poids lourd, tombés dans la rivière Tarn. Il se confirme que le second véhicule, propriété de l’entreprise Puits Julien Fondation, était bien plus lourd que la limitation de 19 tonnes appliquée à l’édifice.

    Selon le maire Eric Oget, avec son chargement, il pesait « plus de 40 tonnes », soit plus du double du poids maximal autorisé. Les plongeurs de la gendarmerie « ont reconnu l’engin et en faisant l’addition du poids du camion, de ce qu’il transportait, de la toupie, on estime à plus de 40 tonnes, largement. C’était un camion de gabarit hors norme, le pont a craqué », a précisé l’élu.

    20 Minutes

    Le chauffeur du poids lourd n'aurait pas dû passer sur ce pont, il en est mort ! Hélas, une jeune fille de 15 ans aussi !


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  • Un homme de 27 ans a reçu un coup de couteau au niveau du ventre lundi soir, place Sainte-Anne, à Rennes, a-t-on appris auprès des pompiers. Grièvement blessé, ce dernier a été pris en charge par le SMUR qui l’a transporté au CHU Pontchaillou. C’est un témoin de la scène qui a alerté les secours peu après 18h.

    D’après nos informations, le coup de couteau a été donné au cours d’une rixe entre des personnes sans domicile fixe. Alertée, la police a interpellé un SDF suspecté d’être à l’origine du coup de couteau. Il a été placé en garde à vue.

    La place Sainte-Anne est régulièrement le théâtre d’altercations entre personnes en errance, qui s’installent souvent à la sortie du métro.

    20 Minutes


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  • Les policiers sont arrivés juste à temps. Un homme a été arrêté dimanche pour avoir tenté de violer une femme d'une cinquantaine d'années, dans 1er arrondissement de Lyon, rapporteLe Progrès.

     

    Les policiers guidés par le mari

    Cette femme se trouvait dimanche à l'aube en bas de la Croix-Rousse quand l'homme a commencé à la suivre. Inquiète, elle a tout de suite appelé son mari pour le prévenir. Le suspect lui a alors volé son portable avant de prendre la fuite. Décidée à récupérer son téléphone, la femme s'est lancée à sa poursuite. Mais l'homme s'est subitement arrêté et s'est retourné contre elle. 

    Alertés et guidés par le mari inquiet, les policiers ont réussi à retrouver la trace de la femme et de son agresseur. A leur arrivé, le suspect avait le pantalon baissé et était allongé sur la quinquagénaire. L'homme, sans papiers,  dit avoir avoir 17 ans et être sans-papiers. il a été placé en garde à vue. 

    BFM.TV

    Un sans papiers, une chance pour la France selon Mélenchon !

    A renvoyer immédiatement dans son pays d'origine !

    Pourquoi on ne dit pas la nationalité de ce salaud ?


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  • Un adolescent américain de 14 ans a plaidé coupable du meurtre de sa petite amie du même âge, qu'il croyait enceinte.

    Quand une rumeur conduit à l’impensable. Un adolescent de 14 ans, jugé par un tribunal pour mineurs dans l’Ohio, a plaidé coupable du meurtre de sa petite amie du même âge. Il a expliqué qu’il la pensait enceinte et qu’il pouvait être le père. Mais le 30 mars, lorsqu’elle a été tuée d’une balle dans la tête, la jeune Sylvia McGee n’était absolument pas enceinte, indique le «Canton Repository».

    Le jeune garçon a également plaidé coupable d’entrave à la justice pour avoir fourni des informations fausses et trompeuses à la police et de possession d’arme à feu. Dans le cadre de son accord passé avec la justice, ses charges de meurtre aggravées ont été réduites à un simple meurtre. Il devrait rester en prison jusqu’à ses 21 ans. Il a accepté de ne pas demander de libération anticipée.

    "Il a commis un crime d’adulte, il a pris une vie"

    «C’est une situation tragique pour toute notre communauté. Mais nous pensons qu’il s’agit de la meilleure option pour obtenir justice», a déclaré le procureur John Ferrero. Des propos qui ont mis la tante de la victime en colère. «Elle ne méritait pas ça. Ce n’était pas ce genre d’enfant. Elle était optimiste et drôle. Je n’arrive pas à croire qu’il ait fait ça», a-t-elle dénoncé. D’après elle, le garçon aurait dû être jugé comme un adulte : «Il a commis un crime d’adulte, il a pris une vie, une vie que l’on ne retrouvera jamais».

    L’adolescent n’est pas le seul poursuivi dans cette affaire. Un autre garçon de 14 ans, témoin du meurtre qui s’est déroulé à côté de chez lui, a lui aussi plaidé coupable, de son côté d’obstruction à la justice et destruction de preuves. Il connaîtra sa peine le 2 décembre. Il devrait faire au moins un an de prison. L’arme du crime n’a jamais été retrouvée.

    Paris Match


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  • Un pont s'effondre au nord de Toulouse : au moins un mort

    Un pont s'est effondré lundi matin dans le Tarn. Une adolescente âgée de 15 ans a été tuée, deux personnes sont portées disparues.

    Une adolescente de 15 ans a été tuée et plusieurs personnes sont portées disparues après l'effondrement d'un pont enjambant un fleuve lundi matin à Mirepoix-sur-Tarn, au nord de Toulouse. Une camion, une voiture et peut-être une camionnette ont été précipités dans le Tarn, quand ce pont suspendu s'est effondré entre 8 heures et 8h20. La mère de l'adolescente de 15 ans, qui était avec elle dans la voiture, a pu être sauvée, notamment par des témoins. En tout, quatre personnes ont été secourues.  

    Il y a "probablement plusieurs disparus, potentiellement le chauffeur du camion" et, "peut-être", celui d'un éventuel troisième véhicule, a précisé le préfet Etienne Guyot. 

    Plus d'une centaine de secouristes sont sur place

    Le pont métallique reliait Mirepoix-sur-Tarn et Bessières. La structure, située sur la route départementale 71, a été construite en 1935 à la suite de la crue de 1930 qui avait emporté l'ancien pont de bois. Elle avait été rénovée en 2003. Le pont mesurait 152 mètres de long sur 5 mètres de large.

    "On a eu très peur, on a entendu une grosse déflagration, au début on a eu cru à un crash d'avion", a expliqué à La Dépêche le maire de Mirepoix-sur-Tarn, Eric Oget. Selon le journal, un bus scolaire avait franchi le pont quelques instants avant son effondrement. Plus d'une centaine de secouristes sont sur place : 80 pompiers, 50 gendarmes, le Samu, des plongeurs et des équipes cynophiles. 

    Le JDD.fr

    Ce pont était-il contrôlé et entretenu ?


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  • Un homme, âgé de 22 ans, a été tué par balles et cinq autres, âgés de 20 à 25 ans, ont été blessés dans une fusillade, hier soir, dans la cité des Rosiers, dans le 14e arrondissement de Marseille.

    Une trentaine de douilles

    Selon les premiers éléments de l'enquête, hier soir, vers 21h45, des coups de feu ont éclaté, devant un snack de la cité des Rosiers. Le ou les assaillants ont tiré sur une Volkswagen Golf en stationnement où se trouvaient trois personnes, a détaillé le procureur de la République, Xavier Tarabeux.

    Dans un immeuble situé à proximité, une mère de famille a eu très peur : "on était en train de manger, d'un coup, il y a eu de grosses rafales, la maison a tremblé. Ça a tiré trois fois, mais les kalaches, ça a au moins trente balles. Franchement, ça a été affolant, j'en tremble encore".

    Au sol, les enquêteurs ont retrouvé 28 douilles, de calibre 7.62, ce qui indique que le ou les tireurs étaient armés de kalachnikov.

    "On n'est pas sorti tout de suite parce qu'on avait peur. C'était très fort. On a vu des gens courir partout", raconte la mère de famille. "J'en ai pleuré, mes enfants tremblaient, criaient. On a dit que ce n'était rien, juste un camion qui passait et faisait beaucoup de bruit. Mais les enfants, ils comprennent vous savez".

    À bord de la voiture, un passager qui se trouvait à l'arrière, âgé de 22 ans, est mort. "Il était connu pour ses antécédents judiciaires", a précisé Xavier Tarabeux.

    L'homme qui a succombé à ses blessures aurait été touché au thorax, les autres victimes ont été blessées aux bras, à la fesse et au visage. Pris en charge par les marins-pompiers, les blessés ont été transportés dans plusieurs hôpitaux de Marseille, notamment à la Timone, Nord et Lavéran.

    Probable règlement de comptes

    Selon le procureur de la République, il s'agit d'un probable règlement de comptes sur fond de trafic de drogue. La police judiciaire de Marseille est chargée de l'enquête.

    Les auteurs présumés, en fuite, auraient été vus à bord d'une Renault Mégane. Un véhicule correspondant à ce signalement a d'ailleurs été retrouvé, brûlé, après les faits.

    La cité des Rosiers est cependant connue pour être un lieu important de trafic de stupéfiants et de guerre des territoires dans la cité phocéenne.

    "Il y a trois semaines, c'était le bordel ici. La vie dans ce quartier est devenue impossible", témoigne une habitante.

    Depuis le début de l'année, onze personnes ont été tuées dans des règlements de comptes, dans les Bouches-du-Rhône, dont huit à Marseille.

    franceinfo .3

    La police est donc impuissante à arrêter ces trafiquants de drogue ?


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  • Le corps d’une jeune femme, âgée d’une trentaine années, a été retrouvé samedi après-midi sur un chemin de la forêt de Retz, dans la commune de Saint-Pierre-Aigle (Aisne), rapporte l’Union.

     

    Le premier examen du médecin légiste, appelé sur les lieux, a révélé que des morsures de chiens seraient à l’origine du décès de cette femme qui effectuait une balade dans cette forêt avec son chien.

    Une autopsie doit être menée ce lundi pour confirmer ces observations et déterminer le type et le nombre d’animaux impliqués dans la mort de la trentenaire.

    Une enquête de gendarmerie est menée pour déterminer si ce drame est lié ou non à une chasse à courre qui avait lieu dans cette forêt domaniale au moment de la découverte du corps.

    D’autres hypothèses, comme l’attaque par un ou plusieurs chiens errants ou par son propre animal, sont également envisagées par les enquêteurs.

    Le Parisien

    Cela m'étonnerait que cela soit son chien qui l'ait attaqué !


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  • L’enquête concernant Joël Le Scouarnec, chirurgien digestif, révèle une affaire hors-norme avec 250 potentielles victimes de faits non prescrits qui sont aujourd’hui identifiées.

    L’affaire Joël Le Scouarnec pourrait bien être l’histoire de pédophilie la plus importante jamais vue en France. Ce chirurgien digestif de Jonzac (Charente-Maritime), incarcéré depuis mai 2017 et qui doit être jugé début 2020 pour des agressions sexuelles et des viols commis sur quatre fillettes, aurait fait un nombre impressionnant de victimes.

    Selon un communiqué de Laurent Zuchowicz, le procureur de la République de La Rochelle, les investigations menées dans le cadre de l’enquête préliminaire distincte des quatre premiers faits avérés ont permis de découvrir que « 250 potentielles victimes de faits non prescrits ont été identifiées, parmi lesquelles 209 ont pu être auditionnées ».

    Au total, selon le procureur de La Rochelle, « 184 personnes ont souhaité déposer plainte, parmi lesquelles 138 sont actuellement domiciliées sur le ressort de la cour d’appel de Rennes, dont 100 dans le Morbihan ». La plupart de ces personnes étaient mineures au moment des faits.

    Joël Le Scouarnec avait été arrêté suite aux déclarations d’une petite voisine âgée de 6 ans qui disait avoir été violée par ce chirurgien.

    Une perquisition au domicile du chirurgien, à Jonzac (Charente-Maritime), avait alors permis la découverte d’images pédopornographiques, de poupées cachées sous les lattes du plancher, de perruques et autres godemichés, mais surtout de carnets contenant près de 200 noms d’enfants. Le Scouarnec y racontait dans le détail ses errements sexuels, qu’il dessinait aussi.

    Le Parisien

    Mais pourquoi personne ne l'a dénoncé avant ?


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  • C'est un drame lié au monoxyde de carbone. Un couple de septuagénaires vivant en Isère, privé d'électricité à cause du dernier épisode neigeux, a été retrouvé mort ce dimanche matin à son domicile, intoxiqué au monoxyde de carbone émanant d'un groupe électrogène, selon le parquet.

    "Les pompiers qui sont intervenus ont relevé des taux très élevés de monoxyde de carbone", ce dimanche matin au domicile des victimes à Beauvoir-de-Marc, a indiqué le procureur de la République de Vienne, Jérôme Bourrier, qui s'est saisi de l'enquête.

    Âgé de 75 ans, le couple a été retrouvé inanimé par des proches et les secouristes, une fois alertés, avaient éprouvé de la "gêne dans leur respiration au bout d'un certain temps d'intervention", a précisé la sous-préfète de la Tour-du-Pin, Caroline Gadou.

    Quelque 33 000 foyers encore privés d'électricité

    Le groupe électrogène fonctionnait dans le garage de l'habitation, selon le parquet. "Ce que les gendarmes et les pompiers ont pu constater, c'est qu'effectivement ce moyen de chauffage avait été utilisé puisqu'il s'agit d'un secteur où l'électricité ne fonctionnait pas hier soir", a ajouté Caroline Gadou.

    Interrogée par France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, Caroline Gadou, précisait qu'il ne faut absolument pas installer un groupe électrogène à l'intérieur d'une habitation, ni même dans un garage. Il faut le placer à l'extérieur et l'éloigner des fenêtres et des bouches d'aération pour éviter l'intoxication au monoxyde de carbone.

    Une enquête a été diligentée par le parquet de Vienne "en recherche des causes de la mort", selon Le Dauphiné Libéré.

    Cette intoxication mortelle au monoxyde de carbone en Isère s'ajoute à celles non léthales de huit autres personnes, samedi, dont un couple de 82 et 75 ans. Elles avaient été secourues en urgence absolue dans la nuit de vendredi à Lieudieu. En Ardèche et dans la Drôme, c'est près d'une vingtaine de personnes dont cinq enfants qui ont été hospitalisés pour maux de tête et vomissements après avoir essayé un moyen alternatif de chauffage par manque de courant.

    Dimanche en début de soirée, Enedis indiquait que quelque 33.000 foyers en Rhône-Alpes restaient privés d'électricité après les importantes chutes de neige qui ont touché jeudi six départements de la région, dont l'Isère.

    "Plus de 90% des foyers ont retrouvé l'électricité grâce à la mobilisation des équipes Enedis et d'entreprises partenaires de travaux et d'élagage de toute la France", a indiqué dimanche soir dans un dernier bulletin le gestionnaire de réseau d'électricité Enedis, qui a déployé 2.200 de ses agents et plusieurs centaines de groupes électrogènes.

    L'Express


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  • Un homme de 35 ans a été enlevé et battu à mort dimanche soir à Grigny (Essonne) et un suspect a été interpellé dans ce qui semble être un conflit autour d'une dette d'argent, d'après une source policière ce lundi.

    Un suspect en garde à vue  

    Les faits se sont déroulés en début de soirée dans cette ville de la grande couronne parisienne, a indiqué cette source. Vers 21H00, le principal suspect appelle les secours pour signaler la mort d'un homme. Il est interpellé dans la foulée et placé en garde à vue.

    Aux enquêteurs, il explique avoir enlevé, avec un complice, la victime et l'avoir "ramenée" à Grigny en voiture. C'est dans la voiture, où des traces de sang ont été retrouvées, que la victime aurait été battue à mort. Le complice présumé, qui a pris la fuite avant l'arrivée des secours, était toujours recherché lundi matin.

    Un conflit autour d'une dette d'argent

    Selon les premiers éléments de l'enquête, il ne s'agirait pas d'une rixe entre bandes rivales mais d'un conflit autour d'une dette d'argent. La victime comme les deux assaillants n'étaient pas originaires de la ville de Grigny. 

    Les raisons exactes du drame restent pour l'heure floues. L'enquête à été confiée à la sûreté départementale de l'Essonne.

    BFM.TV


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  • Le corps d’une quinquagénaire portant des traces de violences a été découvert dans une forêt à proximité d’Orléans, a-t-on appris dimanche auprès du parquet de la ville.

     

    Des promeneurs ont découvert le corps de cette femme dimanche, en milieu d’après-midi, en forêt de Chaingy. « Il s’agit d’un décès criminel, son corps portait des traces de violences », indique le procureur Nicolas Bessone.

    Reconnaissance « quasi formelle »

    Une autopsie doit être réalisée lundi. « À ce stade, nous avons une reconnaissance quasi formelle à partir des éléments physiques : sa corpulence, son âge, sa taille et même des tatouages », ajoute-t-il.

    Selon La République du Centre, il s’agirait vraisemblablement du corps d’une Orléanaise âgée de 52 ans dont la famille avait signalé la disparition samedi en début d’après-midi.

    Le Parisien


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  • Tarbes : Pris avec une alcoolémie de 4,88 g, il est convoqué à la gendarmerie… et arrive saoul

    Un Béarnais de 37 ans qui était convoqué à la gendarmerie après un contrôle d’alcoolémie au volant déjà hors normes s’est présenté en état d’ivresse avancée

    La simple convocation à la gendarmerie s’est muée, l’alcool aidant, en garde à vue puis en défèrement devant le parquet de Tarbes. Il faut dire que l’intéressé, un Béarnais de 37 ans, y a mis du sien selon le récit de La Dépêche du Midi.

    Le premier épisode de cette affaire a eu lieu le 22 septembre dernier quand des amis du trentenaire se sont inquiétés en le croisant alors qu’il zigzaguait dangereusement au volant. Ils ont sagement prévenu les gendarmes. Ces derniers ont procédé à un alcootest dont le résultat s’est révélé positif et même hors normes : 4,88 grammes par litre de sang, selon le quotidien régional.

    C’est pour s’expliquer sur cette imprégnation que l’homme était convoqué jeudi 14 novembre à la gendarmerie. Et là, il a considérablement aggravé son cas en arrivant, accompagné d’un ami, en état d’ébriété manifeste. Pour ce deuxième éthylotest, le verdict a été de deux grammes. Le contrevenant, déjà condamné pour conduite en état d’ivresse, a opté pour une procédure de «plaider-coupable»​.

    20 Minutes

    Il faut lui faire faire une cure de désintoxication enfermé !


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  • Les pompiers vendéens rapportent ce samedi 16 novembre au soir le sauvetage d’une dame âgée, grâce à un pompier volontaire qui passait opportunément. Il était environ 19 h 30 lorsqu’il a aperçu une voiture, tombée dans un étier, dans la commune de Triaize, au lieu-dit Maison-Neuve.

    Ce volontaire du centre de secours de Sainte-Hermine a prévenu ses collègues par téléphone, « plongé et cassé un carreau » pour extraire la conductrice « âgée de 82 ans », raconte un pompier, d’après lequel l’automobiliste « va bien ».

    L’intervention des secours était toujours en cours vers 20 h 15.

    Ouest-France

    Elle a eu du bol d'être vue !

    Mémé, faut arrêter de conduire ! happy

    J'ai cherché : étier ;


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  • Une femme de 58 ans a été condamnée à une peine de prison par le tribunal correctionnel de Saverne (Bas-Rhin) pour escroquerie. Pendant plus de 10 ans, cette dernière a dissimulé le cadavre de sa mère décédée en 2006, pour continuer à toucher sa retraite.

    Durant plus de dix années, cette femme de 58 ans a perçu plus de 170 000 euros. La prévenue a caché le cadavre de sa mère dans le garage de la maison familiale à Erckartswiller, sous une dalle de béton, avec une importante quantité de prospectus publicitaires.

    C’est par l’intermédiaire de ces prospectus que les enquêteurs sont parvenus à déterminer en quelle année la défunte était décédée. Lors de son jugement ce jeudi au tribunal correctionnel de Saverne, la prévenue, Marie-Rose Meyer, n’a de son côté pas su donner la date exacte du décès de sa mère.

    Inquiète, sa petite-fille a signalé sa disparition

    Le décès de la victime a été découvert suite à l’alerte donnée par sa petite-fille qui cherchait à la revoir. Elle a alors signalé sa disparition à la gendarmerie de Bouxwiller raconte Les Dernières nouvelles d’Alsace. Une enquête avait alors été ouverte.

    Les causes du décès de la mère de famille restent indéterminées : « Un médecin légiste a réalisé une autopsie sur le corps de votre mère, mais n’a pu établir si elle était décédée de mort naturelle ou à la suite de mauvais traitements », a détaillé le substitut du procureur lors du jugement.

    Entre 2006 et 2017, la prévenue a perçu près de 170 000 euros en falsifiant la signature de sa mère, au préjudice de la CARSAT (Caisse d’assurance retraite et de la santé au travail). « J’étais prise dans un engrenage, je ne savais plus comment faire marche arrière », a-t-elle justifié à la barre.

    Quatre ans de prison

    Le parquet avait requis une peine de de trois ans d’emprisonnement, dont un an avec sursis contre la prévenue.

    Cette dernière a été condamnée à quatre ans de prison, dont deux ans avec sursis et une mise à l’épreuve de trois ans, avec obligations de travailler et de rembourser. Elle n’a pas été écrouée, sa peine va être aménagée.

    ACTU 17 - 16 11 19

    Donc, elle est libre !


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  • Un homme armé d’un fusil qui marchait le long de l’autoroute A62 à hauteur de Moirax (Lot-et-Garonne) s’est donné la mort après avoir ouvert le feu sur les gendarmes ce samedi matin. Un militaire a été blessé.

    Les motivations de cet homme restent à déterminer. Les gendarmes ont été alertés vers 08h30 ce samedi matin, qu’un homme armé d’un fusil marchait le long de l’A62 à Moirax. Les militaires se sont rendus sur place et ont tenté d’expliquer à cet individu qu’il ne pouvait pas rester ici explique La Dépêche.

    Subitement, l’homme qui refusait de partir s’est retourné et a tiré à au moins deux reprises sur les gendarmes restés à distance. L’un a été blessé au bras sans que ses jours ne soient en danger.

    Le tireur âgé de 46 ans s’est ensuite suicidé avec son arme à feu. Les motivations de cet homme qui ne serait pas originaire du département restent inconnues à ce stade. Une enquête a été ouverte. Le gendarme blessé a été évacué à l’hôpital d’Agen.

    ACTU 17 - 16 11 19


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  • Refus de paiement : Il découvre qu’il est à découvert de près de 100 milliards d’euros

    Lorsqu’il a voulu utiliser sa carte bancaire, il a fait face à un refus de paiement de sa banque.

    Un entrepreneur belge envisageait de payer un sandwich avec sa carte bancaire, lors de sa pause déjeuner, lorsqu’il a été confronté à un imprévu. Impossible de payer pour cause de solde insuffisant.

    Il en était pourtant sûr : son solde était positif, rapporte le quotidien La Dernière Heure. Il s’est alors empressé de se connecter à son compte pour trouver l’origine du problème.

    -99 999 996 509, 16 EUR

    Stupeur. L’homme a constaté que son solde atteignait un découvert de près de 100 milliards d’euros ! Il a assuré avoir pris l’affaire à la rigolade, mais a reconnu avoir eu « un gros coup de stress ».

    Le client a rapidement téléphoné à sa banque qui a évoqué « un bug », mais sans toutefois régler le problème. Car ses paiements étaient toujours refusés. « Il a fallu que je fasse des pieds et des mains pour faire bouger les choses, notamment via mon avocat », a-t-il témoigné.

    Finalement, son solde est revenu à son état normal. L’origine de ce bug n’a toutefois pas été expliquée précisément.

    ACTU 17 - 16 11 19


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  • Les pirates de la route dévalisaient les poids lourds en circulation, plus de 3,5 millions d’euros de préjudice

    Ces malfaiteurs chevronnés prenaient de gros risques mais sont parvenus à piller de très nombreux poids lourds circulant à pleine vitesse.

    Les voleurs acrobates repéraient d’abord leurs proies à la sortie des entrepôts. Ils suivaient ensuite le poids lourd ciblé durant des kilomètres. Au moment opportun, ils grimpaient sur le capot de leur voiture pour fracturer la porte arrière du camion et le piller en pleine circulation.
    Les cartons étaient jetés par dessus bord puis récupérés par un complice.

    Les chauffeurs routiers ne s’apercevaient du vol que plusieurs centaines de kilomètres après sa commission, une fois arrivés à destination.

    3,5 M€ de préjudice

    Les gendarmes de l’office central de lutte contre la délinquance itinérante (OCLDI) viennent de procéder à un vaste coup de filet. Ils ont interpellé dix malfaiteurs constituant cette équipe de voleurs expérimentés originaires de Roumanie. Le préjudice est estimé par les enquêteurs à plus de 3,5 millions d’euros, avec une vingtaine de pillages de ce type à leur actif.

    Une enquête au long cours

    Les investigations ont débuté au printemps 2018. Les gendarmes de l’OCLDI ont découvert ce mode opératoire plutôt singulier et ont débuté une enquête en collaboration avec leurs camarades de la section de recherches d’Orléans. Leur zone géographique étant particulièrement touchée par des vols de fret.

    Rapidement, grâce à une entraide avec d’autres services de police européens, les gendarmes ont établi que leur équipe de voleurs acrobates avait agi en Espagne, en Allemagne, en Grande-Bretagne et dans toute l’Europe du Nord, relate Le Parisien.

    420 000 € de marchandises saisis

    Ils ont interpellé les dix suspects domiciliés à Saran (Loiret), après une nuit de filature entre la Somme et l’Indre-et-Loire. Les enquêteurs ont saisi 420 000 euros de marchandises, dérobés la nuit même… Cinq véhicules utilisés pour ces vols ont été également appréhendés.

    La Juridiction Interrégionale Spécialisée (JIRS) a instruit l’information judiciaire dans le cadre de laquelle les dix suspects ont été mis en examen et écroués.

    ACTU 17

    Une belle bande d'acrobates roumains !


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