• Un bénévole de la Protection civile de Narbonne (Aude) est accusé de deux viols et d’agressions sexuelles commis sur des adolescentes qui suivaient des stages de secourisme, et sur de jeunes recrues.

    Un homme âgé d’une quarantaine d’années, qui exerçait en tant que bénévole à la Protection civile de Narbonne, est soupçonné d’être un prédateur sexuel, relate L’Indépendant. Durant plusieurs mois au cours de l’année scolaire 2019, le quadragénaire aurait violé, agressé sexuellement et harcelé plusieurs adolescentes dans le cadre de ses fonctions.

    Pas moins de deux plaintes pour viols et six plaintes pour agressions sexuelles ont été déposées à son encontre. L’enquête a conduit à sa mise en examen et son placement sous contrôle judiciaire. Le suspect a, par la suite, été placé en détention provisoire avant d’être de nouveau remis en liberté sous contrôle judiciaire, il y a quelques jours.

    Chantage et pressions

    Les enquêteurs en charge de ce dossier criminel ont déterminé que l’homme fréquentait des adolescentes qui suivaient des stages pour apprendre les gestes de premiers secours au sein de la Protection civile. Ces stages s’intégraient dans le cadre de leur formation au Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur (BAFA). L’homme aurait usé de chantage au diplôme et de pressions diverses pour obtenir des faveurs sexuelles et assouvir ses pulsions.

    Ces stagiaires de passage ne sont pas les seules plaignantes. De jeunes recrues de l’association, mineures également, disent avoir subi des agressions sexuelles et des faits de harcèlement de la part du bénévole. Elles dénoncent des gestes ou des agissements répréhensibles répétés, commis dans les locaux ou dans l’un des véhicules de la Protection civile qu’il utilisait pour aller récupérer les adolescentes dans un établissement scolaire de la ville.

    Bénévole depuis plusieurs années

    Le président de la Protection civile, Alain Lascombe, a assuré avoir été surpris par les faits dénoncés et avoir appris la nouvelle au moment de l’interpellation du bénévole. « Nous sommes tous tombés des nues. Il n’y avait jamais eu aucun souci avec ce bénévole qui était depuis 4 ou 5 ans à la Protection civile », a-t-il confié au quotidien local.

    L’enquête se poursuit pour tenter d’identifier d’éventuelles autres victimes. Les adolescentes qui se sont manifestées bénéficient d’un soutien psychologique.

    ACTU 17

    Elle est super notre justice !


    2 commentaires
  • Bénin : un bébé abandonné retrouvé vivant sous un pont, un "phénomène récurrent"

    Deux vidéos publiées sur les réseaux sociaux le 22 juin montrent la découverte d’un nourrisson d’à peine trois mois sous un pont à Kindonou, un quartier au nord de Cotonou. Vivant, l’enfant a été rapidement pris en charge par les autorités. Au Bénin, les abandons de nourrisson sont fréquents.

    Une première vidéo montre deux hommes en train de récupérer le bébé abandonné dans les herbes, alors que des dizaines de personnes regardent stupéfaites la scène du haut du pont. Dans la seconde vidéo, on voit le bébé  dans les bras de son sauveteur, enveloppé dans un pagne de tissu. "Quelle méchanceté" s’exclame une voix en fon, une des langues parlées à Cotonou. "Quelle irresponsabilité ! C’est une fille ?" questionne une autre.

     

    La scène s'est déroulée dans la matinée du 19 juin. Selon plusieurs médias en ligne, dont Bénin Web Tv, ce sont les pleurs du nouveau-né qui auraient alerté les populations. Le bébé, un garçon, a ensuite été conduit à l’hôpital de zone de Menontin, le centre de santé le plus proche. "Il y a reçu les premiers soins d’urgence avant d’être transféré vers le Centre hospitalier et universitaire de la mère et l’enfant (CHU Mel). Il présentait une gêne respiratoire et avait une saturation en oxygène”, confie à la rédaction des Observateurs un responsable de l’hôpital.

    Contacté, Félicien Fangnon, le chargé de communication du ministère des Affaires sociales et de la Microfinance a confirmé les faits. Il affirme que le bébé est en bonne santé : "Le bébé va bien. Il est dans un centre de prise en charge de Cotonou agréé par le ministère des Affaires sociales.

    On ne connaît pas ses parents. La police mène ses enquêtes pour les retrouver. Il faut qu’on arrive à savoir qui sont les mères qui ont accouché récemment et si elles ont toujours leur bébé. Cela va prendre du temps. C’est après cela que la justice sera saisie. Ce qui nous préoccupe maintenant, c’est la sécurité de l’enfant."

    Au Bénin, l’abandon d’enfant n’est pas un fait nouveau. Le phénomène est régulièrement documenté dans les médias locaux. Deux semaines après cet incident, le média en ligne "24 heures au Bénin", a annoncé la découverte d’un second bébé dans la nuit du 1er juillet dans le quartier Saint-Jean, au cœur de Cotonou. Un peu plus tôt dans l’année, en mars, c’était le média Bénin Web Tv qui rendait public la découverte du corps sans vie d’un bébé retrouvé dans les collecteurs d’eaux usées du marché Dantokpa à Cotonou.

    France 24

    Il faudrait leur apprendre à mettre des préservatifs !!!


    2 commentaires
  • Les faits se seraient déroulés dans la nuit de vendredi à samedi. Quatre personnes ont déposé plainte ce lundi à l'IGPN, accusant des policiers d'avoir commis des violences à leur encontre, a-t-on appris de sources concordantes.

     

    Cette nuit-là, les officiers sont intervenus après avoir été appelés pour tapage nocturne dans un appartement du XIXe arrondissement de Paris, où se déroulait une fête.

    Sept jeunes ont alors été interpellés et placés en garde à vue au commissariat central du XIXe. Une enquête pour violences sur personne dépositaire de l'autorité publique a été ouverte, selon le parquet de Paris.

    Violences durant la garde à vue ?

    Les interpellés sont ressortis durant le weekend, l'un d'entre eux avec un simple rappel à la loi, un autre avec une procédure classée sans suite. Les gardes à vue de cinq autres ont été levées et ils ont à nouveau été convoqués lundi.

    Ceux-ci ne se sont toutefois pas présentés. En revanche, quatre d'entre eux sont allés porter plainte à l'IGPN, selon le parquet et leurs avocats.

    Les jeunes déclarent en effet avoir été victimes de violences policières pendant la soirée et lors de leur garde à vue.

    Selon Me Camille Vannier, qui défend l'un d'eux, une douzaine de jeunes ont été blessés lors de l'intervention des forces de l'ordre. Ceux qui ont été placés en garde à vue ont aussi affirmé avoir été victimes de coups et d'insultes au commissariat.

    D'autres plaintes dans la semaine

    Une source policière a pour sa part indiqué à l'AFP que les policiers qui avaient été appelés pour tapage avaient verbalisé la propriétaire. En repartant, ils ont aussi interpellé pour outrage dans le hall de l'immeuble une femme qui venait de les injurier.

    "A ce moment-là, ceux qui étaient dans l'appartement sont descendus et s'en sont pris aux policiers y compris physiquement", raconte cette source. "L'un d'eux a menacé de prendre l'arme du policier et de lui tirer une balle dans la tête, le véhicule des policiers a été dégradé."

    Des renforts sont alors appelés et sept personnes sont interpellées, tandis que deux policiers, blessés, sont emmenés à l'hôpital.

    Selon le parquet, le commissariat du XIXe a été dessaisi de l'enquête pour violences sur personne dépositaire de l'autorité publique, comme le demandait la défense des gardés à vue.

    "Nos clients sont tous extrêmement choqués de ce qui s'est passé", a déclaré à l'AFP Me Vannier. "Ils sont ravis que l'IGPN se saisisse aussi vite de leur dossier, on espère que la réponse pénale apportée à leurs plaintes sera du même ordre, que l'enquête sera effective et que nous aurons des réponses."

    D'autres plaintes devraient être déposées dans la semaine selon l'avocate.

    BFM.TV

    C'est le monde à l'envers !

    Me Camille  VANNIER est domiciliée à Bobigny, Seine-St-Denis !!! Elle défend les gentilles chances pour la France du 93 ! 


    4 commentaires
  • Nord. 20 000 poussins meurent dans un incendie

    20 000 poussins sont morts lundi 13 juillet dans l’incendie d’un élevage à Merville (Nord), près d’Hazebrouck, ont indiqué les pompiers, précisant que plus de 12 000 autres avaient été « sauvés des flammes »

     

    Quelque 20 000 poussins sont morts lundi 13 juillet dans l’incendie d’un élevage à Merville (Nord), près d’Hazebrouck, ont indiqué les pompiers, précisant que plus de 12 000 autres avaient été sauvés des flammes.

    70 % des poussins ont péri

    Lundi après-midi, les sapeurs-pompiers ont été appelés pour un feu dans un bâtiment agricole de 1 500 m2 contenant de la paille et plus de 32 000 poussins, a expliqué le service d’incendie et de secours (SDIS) du Nord dans un communiqué.

    Malgré une extinction rapide du sinistre, 70 % des petits animaux ont péri, ont déploré les pompiers, se réjouissant toutefois d’en avoir sauvé plus de 12 000.

    200 m2 de paille sont également partis en fumée, selon le SDIS. L’un des exploitants, exposé aux fumées et considéré par les pompiers comme blessé léger, a été transporté au centre hospitalier d’Hazebrouck.

    Les poussins vivants seront examinés par un vétérinaire et une décision sur leur sort sera prise par le vétérinaire et l’exploitant, a-t-on précisé de même source.

    Ouest-France

     


    2 commentaires
  • Un bus RATP a été brûlé dans la nuit du lundi 13 au mardi 14 juillet dans la préfecture des Hauts-de-Seine. Le chauffeur présent dans le véhicule a pu s’extraire à temps et est indemne. Les sapeurs-pompiers ont également été mobilisés par un important incendie qui s’est déclenché dans un gymnase de la ville.

    Plusieurs incidents ont eu lieu à Nanterre (Hauts-de-Seine) dans la nuit précédant le 14-Juillet. Un bus de la RATP a été notamment détruit par un incendie rue Pablo-Picasso, victime de projectiles lancés par plusieurs personnes selon  France Bleu .

    Le chauffeur présent au moment des faits a pu s’extraire et n’est pas blessé, rapporte France Info .

    Les sapeurs-pompiers ont également été mobilisés pour des feux de voitures à Drancy et à Pantin (Seine-Saint-Denis) à l’est de Paris.

    Ouest-France

    Je ne vois pas quel plaisir ont ces "jeunes chances pour la France" à mettre le feu à un bus et à un gymnase !

    Bien sûr, aucune arrestation, pauvre France !:


    2 commentaires
  • Chasse à l’homme au Québec : un père de famille recherché après la découverte des corps de ses 2 fillettes

    Un vaste dispositif de recherches a été mis en œuvre dans une zone boisée du Québec (Canada) pour tenter de retrouver un père de famille. Il est soupçonné d’avoir enlevé ses fillettes, dont les corps sans vie ont finalement été retrouvés samedi .

    Le Québec est en émoi après la découverte des cadavres de deux fillettes, Norah, 11 ans, et sa sœur Romy, 6 ans, samedi dans une zone boisée. Une chasse à l’homme a été déclenchée pour tenter de retrouver leur père, Marc Carpentier, 44 ans, qui a été vu en leur compagnie pour la dernière fois mercredi soir, relate Le Journal de Québec.

    Jeudi, une alerte Amber (dont s’est inspiré le dispositif Alerte Enlèvement en France, ndlr) avait été déclenchée après la disparition des fillettes. Leur père était soupçonné de les avoir enlevées, après un mystérieux accident de voiture survenu la veille sur l’autoroute 20, à Saint-Apollinaire.

    La Sûreté du Québec (SQ) a lancé un appel à témoins et mené de très importantes opérations de recherches pour tenter de retrouver cet homme. Une autopsie des victimes devrait permettre d’en apprendre plus sur la cause de leur mort.

    Les moyens mis en œuvre dans les recherches sont conséquents : véhicules tout-terrain, hélicoptère, drone, maître-chien. Malgré tout ces efforts, l’homme est toujours introuvable. Marc Carpentier exerçait en tant qu’animateur de scouts et semble rompu aux techniques de survie en forêt.

     

    Dans une récente vidéo, il apparaît en uniforme de scout avec sa fille aînée et tous deux évoquent le fait que leurs rendez-vous du mercredi leur manquent et disent garder espoir qu’un camp scout se tiendra durant l’été.

    Tristesse et consternation se sont mêlées au Québec lorsque la découverte des corps des deux fillettes a été rendue publique. Dans un tweet, le Premier ministre québecois, François Legault, a évoqué une « tragédie nationale ».

    Justin Trudeau, le Premier ministre du Canada s’est dit « bouleversé par cette nouvelle » et a présenté ses condoléances aux proches des victimes.

    Samedi soir, le groupe scout 128ème de Charny a organisé une veillée en hommage à leurs deux camarades et publié un message sur son compte Facebook.

    Tandis que le début du deuil s’amorce péniblement pour la famille des victimes, la Sûreté du Québec poursuit ses recherches, notamment dans une dense zone boisée de Saint-Apollinaire.

    Le père des deux fillettes ne semble avoir laissé aucun indice derrière lui, mis à part les corps de ses enfants et les signalements de riverains, dont aucun n’a été concluant.

    ACTU 17

    Ce type est à éliminer !


    2 commentaires
  • Gêné par la forte odeur de cannabis qui imprégnait les parties communes d’un immeuble, un habitant a alerté les policiers et leur a permis d’effectuer une belle prise.

    Un renseignement anonyme recueilli en fin de semaine a mis les policiers sur la piste d’un trafic de drogue, qui s’opérait dans un appartement situé dans la rue Auguste-Poullain à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), rapporte Le Parisien. Un habitant se plaignait d’une odeur de cannabis persistante. L’information s’est révélée exacte.

    Une opération a été élaborée à la suite de ce « tuyau » et l’intervention a eu lieu vendredi. Dans l’appartement ciblé, les policiers de la brigade territoriale de contact (BTC), assistés d’une unité canine, ont interpellé trois individus âgés de 19 à 23 ans, originaires du Val-de-Marne. Ils ont saisi 52 kg d’herbe et 43 kg de résine de cannabis.

    Interpellés en flagrant délit

    Les trois hommes étaient en train de découper et de conditionner de la résine de cannabis pour la revente au détail. Ils ont été placés en garde à vue et s’y trouvaient toujours ce dimanche. Cette mesure pourrait être prolongée.

    Le secteur d’intervention n’était pas inconnu des policiers. Le logement se trouvait à proximité immédiate de la cité Dourdin, haut lieu du trafic de drogue à Saint-Denis. À tel point qu’en 2017, le bailleur Logirep avait été contraint de faire condamner un parking souterrain devenu le territoire des dealers.

     

    Par ailleurs, une quinzaine d’interpellations avaient été opérées par les policiers locaux au terme d’un an d’enquête, au début de l’année 2019. Les fonctionnaires avaient saisi 33 kg de cannabis. Le trafic avait alors été déstabilisé temporairement.

    ACTU 17


    2 commentaires
  • Un homme âgé de 35 ans a été écroué à l’issue de son procès ce vendredi à Gap (Hautes-Alpes) pour trafic de stupéfiants. 

    C’est sa mère qui a alerté la police ce jeudi matin raconte Le Dauphiné. Elle a expliqué aux forces de l’ordre qu’elle venait de découvrir des produits stupéfiants en nombre dans la chambre de son fils, à son domicile situé dans le quartier des Toulouzannes, à Briançon.

    Les policiers se sont rendus sur place et ont trouvé cinq kilos de résine de cannabis en plaquette, une centaine de grammes en barrette, 100 grammes d’herbe de cannabis, ainsi que 80 euros en numéraire, des factures et des jeux de grattage.

     

    Abdeldjalil Habbar a été interpellé et placé en garde à vue. Il a ensuite été déféré et jugé dans le cadre d’une comparution immédiate au tribunal de Gap ce vendredi, pour trafic de stupéfiants, rébellion et incitation à la rébellion. Un policier a été blessé lors de son interpellation.

    « Je me suis fait attraper avec ma première marchandise »

    Lors de l’audience, le prévenu n’a pas hésité à faire de nombreuses confidences. « Depuis le confinement, les prix ont doublé. On parle de sommes astronomiques. Je voulais améliorer mon quotidien, ça m’a fait tourner la tête », a-t-il déclaré avant d’avouer : « Je ne suis pas très malin, je me suis fait attraper avec ma première marchandise. Je n’ai pas encore vendu » !

    La présidente lui a alors demandé pourquoi il avait quitté sa situation stable à Rouen (Seine-Maritime) pour venir s’installer à Briançon. « Pour voir du pays, voir si l’herbe est plus verte ailleurs », a rétorqué le prévenu de 35 ans.

    Concernant la rébellion et l’incitation à la rébellion, deux des faits pour lesquels il est jugé, Abdeldjalil Habbar a expliqué que personne ne lui avait précisé pourquoi une perquisition était menée chez lui. « C’est normal que je me sois énervé ». Alors qu’il était dans la voiture, l’interpellé était sorti du véhicule en hurlant « On m’agresse ».

    « Même si le prévenu dit ne rien avoir vendu, il était quand même bien parti pour se lancer dans un trafic de stupéfiants », a rappelé le substitut du procureur de la République, Sébastien Bautian, qui a requis cinq ans de prison ferme contre Abdeldjalil Habbar, dont deux ans assortis d’un sursis probatoire.

    « Je préfère aller en prison »

    « Monsieur Habbar n’est pas à la tête d’un réseau. C’est juste une boucle de la chaîne. Les quantités ne doivent pas guider la peine », a tempéré l’avocate du mis en cause, Me Clément-Gabella. « Je préfère aller en prison. On m’a avancé les frais de la marchandise, je suis endetté maintenant. Je n’ai plus rien », a ensuite lancé le prévenu ajoutant que le fait que sa mère l’a dénoncé, « c’est du jamais vu dans l’histoire du trafic de stupéfiants ».

    Abdeldjalil Habbar a écopé d’une peine de quatre ans de prison ferme dont deux ans assortis d’un sursis probatoire. Par ailleurs, il a l’obligation de fixer sa résidence, de trouver un travail et de se soigner précise le quotidien.

    Le trentenaire devra également indemniser les trois policiers en versant 300 euros à celui qui a été blessé et 100 euros aux deux autres. Le prévenu a été conduit directement en prison à la fin de son procès puisqu’un mandat de dépôt a été délivré.

    ACTU 17


    1 commentaire
  • Un vaste dispositif de secours a été déployé ce vendredi à Sainte-Livrade-sur-Lot (Lot-et-Garonne), suite à un grave accident impliquant deux enfants.

    Les pompiers ont été avisés, ce vendredi peu avant midi, qu’un drame venait de se produire dans une résidence la rue du Docteur-Menaud, à Sainte-Livrade-sur-Lot près d’Agen. Deux sœurs âgées de 15 mois et 5 ans ont chuté de leur domicile situé au deuxième étage d’une maison de ville.

    « J’entendais des enfants jouer, puis j’ai entendu un choc important, et des enfants pleurer. […] Je suis sorti et j’ai vu les deux fillettes à terre, dans la rue » a déclaré un riverain auprès de Sud Ouest.

     

    « La plus jeune, un bébé, était allongée sur sa grande sœur. Elle bougeait. La plus grande avait le visage au sol, elle pleurait », d’après un autre témoignage recueilli par La Dépêche.

    Les deux victimes gravement blessées

    Une équipe du SMUR et les pompiers sont intervenus et ont pris en charge l’enfant de 5 ans, en urgence absolue. Elle a été héliportée vers le centre hospitalier Pellegrin à Bordeaux. Sa petite sœur a été hospitalisée avec elle.

     

    Les gendarmes se sont rendus sur place à leur tour et ont débuté une enquête pour comprendre avec précision ce qui s’est déroulé.

    « La maman était partie au marché avec son fils, un peu plus grand. Le papa était au travail apparemment. Les fillettes étaient seules à l’intérieur de la maison, et auraient basculé par la fenêtre, restée ouverte », a déclaré un autre témoin.

    La mère de famille serait revenue rapidement après cet accident domestique qui a laissé sous le choc les témoins. Les investigations se poursuivent.

    ACTU 17


    2 commentaires
  • Mort de Younes, 2 ans, à Mennecy : le beau-père écope de 20 ans de réclusion pour infanticide

    Younes, un petit garçon de deux ans et demi, est mort du syndrome du « bébé secoué » en 2017. Son beau-père et sa mère ont été condamnés suite à cet infanticide.

    Le procès concernant le décès de Younes Minguy, survenue en septembre 2017 alors qu’il était âgé de 2 ans et demi, s’est tenu cette semaine devant la cour d’assises de l’Essonne. Le beau-père et la mère de l’enfant décédé d’un traumatisme crânien ont été condamnés ce vendredi, relate Le Parisien.

    Williams, 26 ans, a été jugé coupable de « violences habituelles sur mineur de 15 ans ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Il a été condamné à une peine de 20 ans de réclusion criminelle.

    Son ex-compagne Melissa, mère de l’enfant, a écopé de 3 ans de prison ferme et d’un an avec sursis pour avoir commis des violences volontaires – des gifles et des fessées – sur le petit Younes. À l’issue de l’audience, elle a pu ressortir libre car elle venait de passer trois ans derrière les barreaux en détention provisoire.

    De graves sévices qui ont conduit à la mort de l’enfant

    L’affaire a débuté le 28 septembre 2017, lorsque les secours ont été appelés à intervenir dans un appartement au 3ème étage d’un immeuble de Mennecy (Essonne). Le petit garçon de 2 ans et demi était en arrêt cardio-respiratoire. Une fois son état stabilisé, il avait été transporté à l’hôpital Necker à Paris.

     

    Son beau-père, Williams, avait affirmé que l’enfant était tombé sur la tête en voulant quitter son lit parapluie. Younes est finalement mort quelques jours plus tard, le 1er octobre. L’autopsie a conclu à un décès causé par un traumatisme crânien et plusieurs hémorragies internes, caractéristiques du syndrome du « bébé secoué ».

    L’enquête a mis en lumière les nombreuses maltraitances subies par le petit garçon. Avant de mourir, il avait enduré pendant plusieurs mois des morsures, des coups et des brûlures provoquées par un shocker électrique. À l’audience, Williams a évoqué un « jeu », sans aucune remise en question.

    « De la cruauté », a répliqué l’avocate générale, qui a requis 30 ans de réclusion contre le beau-père, soulignant aussi la responsabilité de la mère de Younes, accusée d’avoir « laissé son enfant se faire violenter ». Des réquisitions qui ont sans doute pesé sur la sanction infligée au principal accusé.

     

    ACTU 17


    1 commentaire
  • Video : Najwa El Haïte, cambriolée en direct sur Sud Radio !

    Une adjointe au maire d’Évry-Courcouronnes, Najwa El Haïté, a été victime d’un cambriolage alors qu’elle se trouvait dans son appartement à Paris, en direct sur Sud Radio. L’auteur des faits a pris la fuite avec plusieurs biens lui appartenant

    L’émission de Sud Radio était diffusée en direct ce vendredi matin, notamment sur Facebook, en vidéo. Elle a pris une tournure peu croyable. Animé par la journaliste Valérie Expert, le débat était consacré à l’augmentation des violences en France, lorsque l’une des intervenantes, Najwa El Haïté, qui se trouvait dans son appartement du VIIIe arrondissement de Paris, a été agressée par un cambrioleur qui a fracturé sa porte.

    Adjointe au maire (PS) d’Évry-Courcouronnes, en charge de l’attractivité du territoire et des relations internationales, la victime s’est mise à crier en direct. « Hey ! Hey ! », la jeune femme s’écarte, alors que l’image bouge dans tous les sens. Le cambrioleur vient en fait de lui dérober son ordinateur portable dont elle se servait pour l’émission.

    « On parlait de racaille et bien il y a une racaille qui est entrée chez moi ! »

    Quelques minutes plus tard, Najwa El Haïté est contactée par téléphone, toujours en direct dans le programme qui a été interrompu. La jeune docteure en droit public encore essoufflée raconte ce qui vient de se produire : « Je suis vraiment désolée mais il m’est arrivée un truc de dingue. Un jeune que j’ai vu a défoncé ma porte, qui était fermée, à coups de marteau et de pieds. Cela a été d’une violence inouïe, il m’a volé mon portable, il m’a volé mon sac. On parlait de racaille et bien il y a une racaille qui est entrée chez moi ! ».

    « Mais comment c’est possible Najwa ? », lance Valérie Expert. « C’est hallucinant. Je peux vous dire que ma porte était bien fermée, d’ailleurs, à clef. J’entendais de manière intempestive quelqu’un qui sonnait, sonnait, sonnait. Et je me suis dit ‘bon j’attends personne donc je ne vais pas ouvrir’ et en plus j’étais en direct dans votre émission », raconte l’élue.

    « Je vois un colosse rentrer chez moi, voler mon ordinateur »

    « Et là, j’entends des coups de marteau et des coups de pieds mais d’une violence inouïe, et là je vois un colosse rentrer chez moi, voler mon ordinateur et vous avez pu le constater, ça a été brutal et il a fermé l’ordinateur. Et il m’a volé mon sac, ça s’est fait en une fraction de secondes quoi. Donc quand on dit qu’en France il y a des racailles, il y a bien des racailles et là je peux vous le dire », insiste-t-elle.

    « Je suis remontée, J’attends la police avec impatience. Parce que ce monsieur je vais le reconnaître, j’ai bien regardé son visage », termine l’élue.

    La jeune femme reçoit alors le soutien des autres participants de l’émission. L’auteur des faits a pris la fuite et n’a pas été interpellé pour l’heure précise une source policière. L’homme a emporté le sac à main de l’élue ainsi que son ordinateur, avant de disparaître.

    « Très choquée par l’agression dont a été victime @najwaelhaite ce matin en direct pendant mon émission », a réagi Valérie Expert sur Twitter un peu plus tard, en ajoutant le hashtag « sentiment d’impunité totale ».

    Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat du VIIIe arrondissement de Paris.

    ACTU 17


    3 commentaires
  • Un suspect bien connu des services de police a été interpellé peu après avant d’être placé en garde à vue.

    Un homme âgé de 46 ans, handicapé et en fauteuil roulant, sortait de la boulangerie La Mie câline située rue Saint-Aubin, à Angers (Maine-et-Loire), ce mercredi vers 11 heures, lorsqu’il a été victime d’un voleur. Ce dernier s’est d’abord approché pour lui proposer son aide raconte Ouest-France.

    Il s’agissait en fait d’une technique pour mettre en confiance sa victime. Celui qui venait de se faire passer pour un bon samaritain a alors arraché la sacoche du quadragénaire, avant de partir en courant. A l’intérieur, 65 euros se trouvait dans son portefeuille dérobé.

    En situation irrégulière en France

    La victime a immédiatement déposé plainte au commissariat. Les premières investigations ont permis d’identifier un suspect de 19 ans, déjà connu de la police dans le cadre d’une affaire d’agression sexuelle. L’homme a été interpellé trois heures plus tard avant d’être placé en garde à vue.

    Ce dernier est en situation irrégulière en France et a déjà fait l’objet de deux obligations de quitter le territoire français (OQTF). Le mis en cause a été déféré au parquet et doit être jugé en comparution immédiate ce vendredi pour vol sur personne vulnérable.

    ACTU 17

    En Suisse, quand une personne est expulsée, on la met dans un avion pour son pays d'origine !

    En France, c'est vraiment n'importe quoi !


    3 commentaires
  • Un jeune homme était jugé par la cour d’assises du Loiret, ce jeudi, pour le meurtre d’un trentenaire commis dans des circonstances très particulières.

    Devant la cour, l’accusé âgé de 23 ans n’a pas pu trouver les mots pour expliquer les raisons qui l’ont poussé à tuer un homme en 2018, tout en se filmant. Ce jeudi, la cour d’assises du Loiret a condamné le jeune homme au terme de deux jours d’audience, relate La République du Centre.

    Le 19 avril 2018, l’accusé se trouvait dans un appartement, situé au premier étage d’un immeuble de Bonny-sur-Loire (Loiret), avec un homme de 38 ans et sa compagne. D’après les explications du jeune homme, peu après 4 heures du matin, une altercation aurait éclaté sur fond d’alcool avec le trentenaire, car la compagne de ce dernier avait échangé un baiser avec lui.

    Il chante « Bella ciao » devant le corps de la victime

    Les coups avaient succédé aux paroles et le jeune homme s’était déchaîné sur sa victime jusqu’à sa mort. Puis il s’était filmé devant cet homme qui gisait au sol avec le visage en sang, d’abord en hurlant de colère, puis hilare et chantant « Bella ciao ». La vidéo diffusée à l’audience atteste de cette scène surréaliste, que l’accusé s’est interdit de regarder.

    Au moment du drame, c’est lui-même qui avait alerté les secours et leur avait déclaré « Je l’ai éclaté. Je l’ai mis en sang. Je lui ai tout pété ! », indique Le Parisien. Lors de son interpellation, il présentait une alcoolémie de 1,30 g/l dans le sang et sa victime 3,07 g/l.

     

    Par ailleurs seule témoin de ce crime, la compagne du trentenaire est décédée en mai dernier. Alors que l’avocate générale avait requis 12 ans de réclusion criminelle contre lui, le jeune homme a été condamné à 11 ans de prison.

    ACTU 17

    Avec les remises de peine, il ne les fera pas en entier !

    A quand un référendum pour remettre la peine de mort ?


    5 commentaires
  • Un cambriolage d’opportunité a viré à l’abject lorsque la victime âgée s’est rebellée. Le malfrat l’a frappée et lui a maculé la tête avec ses excréments.

    Les faits jugés ce jeudi au tribunal correctionnel de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), particulièrement sordides, remontent au 29 mai dernier et se sont produits au Croisic.

    Cet après-midi là, lorsqu’il a vu la fenêtre d’une maison ouverte, le prévenu de 53 ans a décidé de la cambrioler, rapporte France Bleu. Sans difficulté, il a pénétré dans cette habitation appartenant à un octogénaire et s’est emparé de vêtements, d’un téléphone et de trois couteaux.

    Le cambrioleur revient sur les lieux du vol

    L’homme a pris la fuite avec autant de facilité qu’il était parvenu à entrer. Il est ensuite revenu sur le lieu de son méfait car il avait oublié ses chaussures. Entre-temps, l’habitant avait alerté les gendarmes.

    Lorsque son cambrioleur s’est présenté de nouveau chez lui, l’ancien responsable de cinéma au Croisic n’a pas eu froid aux yeux. Il a tenté de le bloquer avec son déambulateur et lui a attrapé le bras. Son calvaire allait débuter.

    Il menace les policiers au cri de « Allah Akbar »

    Le quinquagénaire a fait chuter l’homme de 85 ans et l’a frappé à de nombreuses reprises à la tête, notamment. À l’audience, le prévenu a contesté les violences, sans toutefois convaincre les magistrats. La scène a pris une tournure infâme lorsque le voleur a déféqué sur la victime, toujours au sol, et qu’il a étalé ses excréments sur sa tête.

    L’octogénaire « n’a dû son salut qu’à l’arrivée de la police municipale », a déclaré son avocat, Me Frignat, relate le quotidien. Ceux-ci ont été accueillis par une salve d’injures et des menaces de mort. « Allah Akbar, je vais revenir avec une voiture, tout défoncer, faire un carnage », avait lancé l’agresseur aux policiers.

    Déjà condamné 19 fois, dont une fois pour assassinat

    À l’audience, à laquelle l’octogénaire n’était pas présent en raison du traumatisme subi, le ministère public dénoncé le « comportement odieux » du prévenu. Celui-ci, avec déjà 19 condamnations au compteur dont une pour assassinat, s’est alors bouché les oreilles.

    Le tribunal l’a condamné à 24 mois de prison dont 6 mois avec sursis et mise à l’épreuve durant deux ans. Il a été maintenu en détention et s’est vu notifier une interdiction de s’approcher de la victime, ainsi que de se rendre au Croisic lorsqu’il sera libéré.

    ACTU 17

    Quelle belle justice on a en France ! La honte !

    ça plairait à Moretti qui ne veut pas trop de monde dans les prisons !


    3 commentaires
  • Le procès d’un septuagénaire et de deux cambrioleurs s’est tenu ce jeudi. Tous les trois ont été condamnés par la justice.

    Le tribunal correctionnel de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) a statué ce jeudi sur des faits plutôt singuliers commis en septembre 2018, sur la commune d’Yvignac-la-Tour, près de Dinan (Côtes-d’Armor). Ce jour-là, trois jeunes avaient tenté de cambrioler une maison, profitant de l’absence de son propriétaire qui se trouvait à l’étranger, rapporte France Bleu.

    Les voleurs avaient brisé le carreau d’une fenêtre de cette longère servant d’entrepôt d’objets, avant de constater que des pièges explosifs avaient été placés un peu partout. Contre toute attente, les trois cambrioleurs avaient alerté les gendarmes.

    La maison piégée de toutes parts

    Sur place, les militaires avaient constaté la présence de dispositifs explosifs installés aux fenêtres et aux portes. Ils avaient alors fait appel aux démineurs pour désamorcer les pièges tendus avec des morceaux de ficelle. Les spécialistes avaient œuvré sans incident, et le matériel, composé de grenades lacrymogènes, de canons avertisseurs, de cartouches et de Gomm-cogne, avait été saisi.

    Quelques jours plus tard, la procureure de la République de Saint-Brieuc avait pris la décision d’engager des poursuites judiciaires contre le propriétaire des lieux pour « mise en danger de la vie d’autrui » ainsi que « détention d’un dépôt d’armes et de munitions »

    Certains explosifs auraient pu tuer un intrus

    C’est ainsi que le retraité, conservateur de musée à l’étranger, et deux des trois cambrioleurs se sont retrouvés au tribunal ce jeudi. À la barre, le septuagénaire, ancien militaire et garde du corps, a assuré avoir « un trop grand sens de la vie pour penser à tuer des gens ».

    Il a ajouté que cette maison, héritée de son père, n’a ni eau courante ni électricité. Par conséquent, il ne pouvait « pas mettre d’alarme » alors qu’il y entreposait des objets personnels.

    L’homme à la carrure massive a toutefois reconnu avoir été négligent. D’autant que d’après des expertises effectuées sur les engins explosifs récupérés, certains auraient pu tuer n’importe quel intrus. Le voisinage était au courant que la maison était piégée. Les trois jeunes aussi, et ils auraient tenté le cambriolage par défi.

    Des objets volés dans la maison

    D’ailleurs, quelques jours après leur première expédition permettant le retrait des pièges, ils étaient retournés sur place pour y dérober des montres, un revolver et de l’argent. Les deux prévenus qui comparaissaient pour ces vols ont été condamnés à deux et trois mois de prison avec sursis.

    Le propriétaire des lieux a, quant à lui, écopé d’une amende de 2 000 euros avec sursis et d’une interdiction de détenir des armes de catégories A et B durant trois ans.

    ACTU 17

    Du sursis, un encouragement pour ces jeunes à recommencer !


    4 commentaires
  • Indonésie : Soupçonné d’abus sexuels sur plus de 300 mineurs, un retraité français arrêté

    Un Français soupçonné d’actes pédophiles a été arrêté à Jakarta (Indonésie). Il encourt une lourde peine de prison mais peut-être aussi la peine capitale, selon la qualification des faits qui sera retenue.

    Les autorités indonésiennes ont annoncé ce jeudi l’arrestation d’un retraité français de 65 ans, menée fin juin à Jakarta, la capitale du pays. Il est soupçonné d’avoir abusé sexuellement de plus de 300 mineurs. Les policiers ont découvert qu’il avait monté un véritable studio photo dans sa chambre d’hôtel.

    François Camille Abello., originaire de la région parisienne, « attirait les mineurs en leur offrant de travailler comme modèles », a indiqué le chef de la police de Jakarta, Nana Sudjana, lors d’une conférence de presse, relate Sud Ouest.

    « Ceux qui acceptaient des rapports sexuels étaient payés entre 250 000 et un million de roupies (entre 10 et 60 euros, ndlr). Et ceux qui refusaient étaient battus par le suspect », a précisé le haut-gradé

    Des photos et vidéos de plus de 300 mineurs

    La police a indiqué avoir saisi sur son ordinateur portable des photos et des vidéos de plus de 300 mineurs, âgés de 10 à 17 ans. Les enquêteurs le soupçonnent d’avoir lui-même filmé ses actes sexuels.

    Le Français se trouvait sur le territoire indonésien avec un visa de touriste et s’y est rendu à plusieurs reprises au cours des cinq dernières années. Désormais entre les mains de la justice, le retraité risque une lourde peine de prison.

    Il s’expose également à la peine de mort, d’après la police, s’il est condamné pour une série d’accusations tombant sous le coup de la loi indonésienne sur la protection des enfants. Il a pu faire d’autres victimes qui n’ont pas encore été recensées, ont indiqué les autorités.

    Chaque année en Indonésie, environ 70 000 enfants sont victimes de tels crimes, d’après le réseau ECPAT International qui lutte contre l’exploitation sexuelle des mineurs. Le mois dernier, Russ Medlin, un Américain en cavale après une vaste escroquerie à la cryptomonnaie, a été interpellé à Jakarta à la suite d’accusations d’agressions sexuelles sur mineurs.

    ACTU 17

    Le retraité français soupçonné d’abus sexuels sur plus de 300 mineurs s’est suicidé en prison.


    2 commentaires
  • Deux adolescents ont été interpellés en flagrant délit à Tarbes (Hautes-Pyrénées) : ils venaient d’arracher très violemment le sac à main d’une femme de 70 ans en pleine rue.

    Les policiers ont été alertés vers 19 heures ce mardi soir. Une femme âgée de 70 ans venait d’être traînée au sol pour son sac à main sur le boulevard du Martinet. Les deux agresseurs étaient en fuite. Des témoins sont toutefois parvenus à donner une description précise de ces derniers, aux policiers.

    Dans le même temps, la victime qui était blessée et présentait une plaie saignante au niveau de la tête, a été prise en charge par les sapeurs-pompiers, puis conduite à l’hôpital de Bigorre à Tarbes. Ses jours ne sont pas en danger mais la sexagénaire était sous le choc.

    Les policiers retrouvent les agresseurs

    Les forces de l’ordre ont alors fait une patrouille dans le secteur, à la recherche des voleurs. Ils ont alors aperçu peu après deux jeunes qui correspondaient à la description donnée par les témoins : un jeune garçon et une jeune fille portant un maillot de football du FC Barcelone.

    Ces derniers ont fait l’objet d’un contrôle d’identité et les vérifications ont vite montré qu’ils étaient les deux agresseurs présumés, un témoin les ayant reconnus. Le jeune homme a avoué les faits et a expliqué qu’il avait abandonné le sac de la victime dans le cimetière, après avoir récupéré l’argent qui se trouvait à l’intérieur.

     

    Âgés respectivement de 15 et 14 ans, ils ont été placés en garde à vue. Les forces de l’ordre ont également retrouvé le sac à main.

    Ils écopent d’une composition pénale

    Les mis en cause qui sont domiciliés au foyer départemental de l’enfance, ont écopé d’une mesure de composition pénale à l’issue de leur garde à vue, avant d’être remis en liberté.

    Il s’agit d’une procédure qui permet au procureur de proposer à une personne qui a commis certaines infractions, une ou plusieurs sanctions pour mettre un terme aux poursuites. Parmi les sanctions possibles, qui dépendent de l’âge des coupables : un stage, une formation, une interdiction de se rendre dans certains lieux, ou encore un travail non rémunéré d’une durée maximale de 60 heures.

    ACTU 17

    Donc, quand on est mineur, on peut tout se permettre !


    2 commentaires
  • Nantes : Trois policiers sauvent un homme en le menottant au pont de Cheviré

    Les fonctionnaires de police ont enjambé le parapet et réussi à menotter le quadragénaire au pont pour éviter qu’il saute dans le vide

    Un sauvetage spectaculaire. Trois policiers ont réussi à sauver un homme qui menaçait de se jeter du pont de Cheviré, mardi, vers 21 h 35, à Nantes. A leur arrivée, l’individu, âgé de 41 ans, était penché dans le vide et se tenait les bras en croix, rapporte la police.

     

    Les trois policiers ont alors enjambé le parapet et saisi l’individu par le col, les épaules, les bras pour le ramener brusquement en arrière sans qu’il n’ait le temps de chercher à se dérober.

    Menotté au pont pour l’empêcher de basculer dans le vide

    Ils ont ensuite tenté de saisir le quadragénaire par les aisselles pour le faire basculer du côté sécurisé du parapet. En vain. N’arrivant pas à le faire basculer du côté sécurisé du pont, l’individu se débattant violemment, les policiers ont eu le réflexe de menotter le quadragénaire au pont pour l’empêcher de basculer dans le vide.

    Sauvé, le quadragénaire a été pris en charge par les pompiers. Sa compagne, qui venait de se présenter au commissariat pour signaler la disparition, a été avisée.

    20 Minutes


    3 commentaires
  • "J'ai crié, il n'y avait personne": oubliée 17 heures au parloir, une femme enceinte raconte son calvaire

    Comme chaque semaine, Mabéré est allée rendre visite dimanche dernier à son conjoint, incarcéré à la prison de Liancourt, dans l'Oise. Mais la dernière entrevue de cette femme de 43 ans à son compagnon ne s'est pas passée comme à l'ordinaire.

     

    Lorsque la visite se termine, son compagnon est emmené comme d'habitude en dehors du parloir en premier. Mais personne ne revient ensuite ouvrir à Mabéré. Il est alors 17 heures, et c'est un cauchemar qui commence pour cette habitante d'Aulnay-sous-Bois, enceinte de huit mois et demi.

    "J'ai vu qu'il n'y avait personne, j'ai commencé et j'ai continué à taper. Il n'y avait personne", assure Mabéré. "J'ai crié, il n'y avait personne. J'ai sonné, fatiguée. Il n'y avait personne."

    Elle sonne, hurle, frappe aux portes. En vain. Elle craint pour son bébé. Impossible pour elle d'utiliser son téléphone, resté dans son casier, comme l'exige le règlement. Seule, lumière coupée, clim à fond et sans personne pour lui ouvrir, Mabéré, frigorifiée, tente alors de s'occuper comme elle peut.

    "Je me suis couchée sur la table, mais elle était dure, j'avais mal partout", raconte-t-elle. "Je me suis assise dans la chaise, puis je me suis levée et j'ai commencé à me balader parce qu'il n'y avait pas d'autre chose à faire."

    Un avis de recherche lancé par la police

    Ne voyant pas sa mère revenir à la maison, sa fille Massita, 20 ans, donne l'alerte. La jeune femme, inquiète, appelle le centre pénitentiaire et se voit confirmer que sa mère a bien quitté les lieux.

    "Ils leur ont dit que je n'étais pas là, qu'on était sortis à 17 heures", explique la femme enceinte. "Pourtant, j'étais là. Pourtant, il y avait ma pièce d'identité avec eux, mes papiers. Il y avait mon sac complet dans le casier."

    Malgré l'appel des enfants de Mabéré, personne ne vient vérifier que la maman n'est pas restée dans le parloir après la visite.

    Pensant qu'elle avait peut être accouché, Massita décroche alors son téléphone et appelle les hôpitaux. Autour de 3 heures du matin, elle décide de se rendre au commissariat. Les fonctionnaires tentent alors d'appeler le centre pénitentiaire mais leurs appels restent sans réponse. Ils dressent enfin un avis de recherche pour retrouver Mabéré. Ce n'est que vers 10 heures, lundi matin - soit 17 heures plus tard - que Mabéré est finalement "libérée" par une femme qui passait dans le couloir, alertée par ses cris. Une chance pour Mabéré, alors qu'aucune visite au parloir n'était prévue le lundi.

    "On peut dire que c'est une séquestration"

    La femme enceinte sera finalement raccompagnée chez elle après s'être vu offrir un petit-déjeuner. Une maigre consolation. Ses proches, qui ont passé la nuit à appeler le commissariat et les hôpitaux alentours, se disent choqués et réclament des sanctions.

    "On peut dire que c'est une séquestration", déclare Massita, la fille de Mabéré, à BFM Paris. "Elle n'avait pas mangé depuis 13 heures, ça fait peur quand même. Je ne le souhaite à personne. Surtout que si c'est arrivé à ma mère, ça peut très bien se reproduire."

    La direction pénitentiaire n'a pas souhaité s'exprimer, mais a tout de même reconnu des manquements graves et un dysfonctionnement interne. Une enquête admnistrative a été ouverte.

    BFM.TV

    Déjà, il n'y a pas à être fière d'avoir son mari en prison !

    De plus, elle a une fille de 20 ans et elle est encore enceinte !

     


    3 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique