• Un drame aurait pu se nouer sans l’intervention d’un fonctionnaire de police, qui se trouvait au bon endroit au bon moment.

    Un policier municipal hors service a aperçu un enfant de 5 ans qui était en train de se noyer dans le lac de Prato-Plage, à Pernes-les-Fontaines (Vaucluse), ce dimanche après-midi, rapporte Le Dauphiné.

    Il était aux alentours de 16h30, lorsque le fonctionnaire a accouru vers le garçonnet. Il l’a sorti de l’eau et lui a prodigué les gestes de premiers secours en attendant l’intervention des pompiers et du SMUR.

     

    Ces derniers ont pris en charge l’enfant, toujours conscient, et l’ont transporté au service des urgences pédiatriques de l’hôpital Henri Duffaut à Avignon.

     

    ACTU 17

    Où étaient les parents ?


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  •  Une personne a été interpellée, d’autres agresseurs présumés sont en fuite

    Un chauffeur de bus du réseau de Bayonne, agressé dimanche soir par plusieurs personnes à un arrêt, est en état de mort cérébrale, a-t-on appris lundi de source policière.

    Une personne a été interpellée, d’autres agresseurs présumés sont en fuite, a précisé cette source. La victime, quinquagénaire, a été rouée de coups et grièvement blessée à la tête après avoir refusé d’admettre des usagers qui n’avaient pas de titre de transport et n’étaient pas porteurs de masques.

    Inconscient au moment de sa prise en charge par les secours

    Le conducteur de ce Tram'bus, long véhicule articulé, était inconscient au moment de sa prise en charge par les secours et a été transporté dans un état très grave au centre hospitalier de la Côte Basque, à Bayon

    Les chauffeurs ont fait valoir leur droit de retrait dès ce lundi matin, et le réseau est fortement perturbé depuis ce lundi matin, indique le réseau de transport Chronoplusqui dessert l'agglomération de Bayonne, Biarritz et Anglet.

    Une enquête a été confiée au commissariat de Bayonne.

    20 Minutes


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  • Un demandeur d’asile, soupçonné d’avoir poignardé l’un de ses colocataires, également demandeur d’asile, a été mis en examen dimanche 5 juillet. Un différend autour de l’occupation de la salle de bains serait à l’origine de la fatale dispute.

    Un demandeur d’asile somalien a été mis en examen dimanche 5 juillet pour meurtre et placé en détention provisoire, soupçonné d’avoir poignardé l’un de ses colocataires, demandeur d’asile afghan, dans leur appartement à Chaumont lors d’une dispute, selon une source judiciaire.

    Un différend entre eux autour de l’occupation de la salle de bains aurait éclaté vendredi après-midi dans leur logement situé dans une résidence sociale, a rapporté le parquet de Chaumont, confirmant une information du Journal de la Haute-Marne.

    Il s’est désigné comme l’auteur des coups

    Le mis en cause, né en 1993 et vivant en France depuis 2017, s’est désigné à l’arrivée de la police comme étant l’auteur des coups de couteau mortels. Il aurait eu un coup de colère contre son colocataire, avec lequel il ne s’entendait déjà pas, à propos de la salle de bains qu’ils voulaient tous les deux utiliser au même moment.

    La victime, de nationalité afghane et née également en 1993, aurait reçu une quinzaine de coups de couteau. Il était arrivé en France en janvier.

    Un autre colocataire était présent dans l’appartement -où ils vivent à six, deux par chambre- mais n’a pas vu la scène.

    Un hébergement d’urgence

    Le suspect et la victime habitaient ensemble depuis janvier dans cet appartement relevant de l’hébergement d’urgence pour les demandeurs d’asile (HUDA), selon l’association qui les accompagne et qui était présente tous les jours, week-end compris pendant le confinement.

    Les membres de l’association ne se sentaient pas en danger auprès du mis en cause et aucun des demandeurs d’asile ne les a alertés d’un risque de mise en danger ni n’a demandé à changer de logement, souligne l’association pour l’accueil des travailleurs et des migrants (AATM). Tous ont eu le Covid, la vigilance était encore plus renforcée , ajoute l’association.

    Selon la même source, cet appartement, situé dans un HLM, avait été rattaché à un centre d’accueil et d’orientation ouvert en 2016 pour accueillir les migrants de Calais au moment du démantèlement de la Jungle.

    Le suspect a été mis en examen par un juge d’instruction de Dijon. Une autopsie doit avoir lieu lundi.

    Ouest-France


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  • Lot-et-Garonne : Une gendarme de 26 ans tuée par un chauffard, L’homme qui se nomme Yassine E.,  qui a refusé d’obtempérer

    Mélanie Lemée était une championne de judo âgée de 25 ans

    Une jeune femme gendarme âgée de 25 ans a été tuée ce samedi soir dans le Lot-et-Garonne. Elle aurait été percutée lors d’un contrôle routier par un chauffard qui a été interpellé.

    Les faits se sont produits ce samedi soir sur la commune de Port-Sainte-Marie, près d’Agen. « Tout part d’un refus d’obtempérer », a déclaré la substitut du procureur à nos confrères de La Dépêche, vers 22h30. Un contrôle routier au niveau de la route départementale 813 était réalisé par les gendarmes lorsque le drame s’est produit.

    Une jeune gendarme de 25 ans a été violemment percutée par un véhicule. La victime aurait eu la jambe arrachée tout ou en partie au niveau de l’aine, après le terrible choc, précise le quotidien. Prise en charge par les secours alors qu’elle était en arrêt cardio-vasculaire, la militaire est décédée

    Le chauffard interpellé

    Selon La Voix du Gendarme, le chauffard a été interpellé et va être placé en garde à vue. Il a été conduit à l’hôpital pour y subir des examens dans un premier temps.

    Le magazine spécialisé explique que les faits se sont produits peu avant 21 heures. Le conducteur en cause a d’abord refusé de s’arrêter lorsque les gendarmes lui ont ordonné, sur la RD 813, avant de faire demi-tour plus loin lorsqu’il a vu un contrôle de la police nationale.

     

    Le mis en cause est ensuite revenu à hauteur des gendarmes qui ont décidé de placer une herse pour le stopper. Le chauffard a mortellement percuté la jeune militaire qui se trouvait sur le bas-côté, en effectuant une « manœuvre » pour éviter de rouler sur la herse. Une enquête a été ouverte.

    « La gendarmerie est meurtrie ce soir avec la décès en service de notre camarade »

    « Une profonde émotion à l’endroit de la famille, des proches et de nos camarades du Lot-et-Garonne frappés durement en ces terribles circonstances. La gendarmerie est meurtrie ce soir avec la décès en service de notre camarade », a écrit la gendarmerie du Lot-et-Garonne sur Facebook, précisant qu’il n’y aurait « aucun commentaire sur l’enquête et les investigations en cours ».

    ACTU 17

     « Originaire du Lot-et-Garonne, sans profession », cet homme de 26 ans, Yassine E.  « a déjà été condamné à trois reprises, notamment pour des infractions à la législation sur les stupéfiants et (…) sur la circulation routière ».


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  • Un nouveau-né a été retrouvé sur un chemin de la commune de Pia, dans les Pyrénées-Orientales. Il a été pris en charge et hospitalisé.

    Les habitants de Pia se disent choqués par la découverte qui a eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi. Elle s’est produite sur un chemin près du cœur de cette commune de 9 000 habitants. Un nouveau-né se trouvait abandonné dans un carton, devant une clinique vétérinaire, rapporte 20 Minutes.

    Il s’agirait d’une fillette, qui a été rapidement emmenée vers le centre hospitalier de Perpignan pour y subir des examens approfondis. Le futur maire, Jérôme Palmade a dit ressentir de la tristesse et de l’effroi.

    Le nourrisson est en bonne santé

    « De nos jours, dans ma commune, une découverte comme celle-là est impensable », a déploré l’ancien maire Michel Maffre auprès de L’Indépendant.

    Une enquête a été ouverte par le parquet et confiée à la compagnie de gendarmerie de Rivesaltes. Les gendarmes devront déterminer les circonstances de l’abandon de ce bébé, qui est en bonne santé, ont-ils précisé.

    ACTU 17


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  • Une jeune femme gendarme âgée de 26 ans a été tuée ce samedi soir dans le Lot-et-Garonne. Elle aurait été percutée lors d’un contrôle routier par un chauffard qui a été interpellé.

    Les faits se sont produits ce samedi soir sur la commune de Port-Sainte-Marie, près d’Agen. « Tout part d’un refus d’obtempérer », a déclaré la substitut du procureur à nos confrères de La Dépêche, vers 22h30. Un contrôle routier au niveau de la route départementale 813 était réalisé par les gendarmes lorsque le drame s’est produit.

    Une jeune gendarme de 26 ans a été violemment percutée par un véhicule. La victime aurait eu la jambe arrachée tout ou en partie au niveau de l’aine, après le terrible choc, précise le quotidien. Prise en charge par les secours alors qu’elle était en arrêt cardio-vasculaire, la militaire est décédée.

    Le chauffard interpellé

    Selon La Voix du Gendarme, le chauffard a été interpellé et va être placé en garde à vue. Il a été conduit à l’hôpital pour y subir des examens dans un premier temps.

    Le magazine spécialisé explique que les faits se sont produits peu avant 21 heures. Le conducteur en cause a d’abord refusé de s’arrêter lorsque les gendarmes lui ont ordonné, sur la RD 813, avant de faire demi-tour plus loin lorsqu’il a vu un contrôle de la police nationale

    Le mis en cause est ensuite revenu à hauteur des gendarmes qui ont décidé de placer une herse pour le stopper. Le chauffard a mortellement percuté la jeune militaire qui se trouvait sur le bas-côté, en effectuant une « manœuvre » pour éviter de rouler sur la herse. Une enquête a été ouverte.

    « La gendarmerie est meurtrie ce soir avec la décès en service de notre camarade »

    « Une profonde émotion à l’endroit de la famille, des proches et de nos camarades du Lot-et-Garonne frappés durement en ces terribles circonstances. La gendarmerie est meurtrie ce soir avec la décès en service de notre camarade », a écrit la gendarmerie du Lot-et-Garonne sur Facebook, précisant qu’il n’y aurait « aucun commentaire sur l’enquête et les investigations en cours ».

    ACTU 17


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  • Il venait tout juste de sortir de prison lorsqu’il s’en est violemment pris à sa mère. Cet homme de 45 ans vient d’écoper d’une peine d’emprisonnement ferme, il est retourné derrière les barreaux.

    Frédéric D. a été jugé ce jeudi par le tribunal correctionnel de Compiègne (Oise). Il avait été arrêté par la police le 11 juin dernier au domicile de sa mère, pour des violences, alors qu’il venait de sortir de prison après 18 mois d’incarcération raconte Le Parisien.

    Ce jour-là, les forces de l’ordre avaient été alertées par un voisin de cette femme de 66 ans. Hébergé dans un foyer du SAMU social, Frédéric avait décidé de se rendre chez sa mère alors qu’il avait interdiction par la justice d’entrer en contact avec elle. Une fois sur place, l’homme de 45 ans lui a expliqué qu’il avait été renvoyé du foyer où il vit et qu’il était à la rue.

     

    Sa mère a décidé de l’accueillir. Elle s’est ensuite rendu compte que son fils était ivre. L’assistante sociale lui avait donné 100 euros la veille, une somme dépensée dans des bières et dans un demi-gramme de crack.

    Il se saisit de sa béquille et la frappe à la tête

    Lors de son jugement ce jeudi, Frédéric a raconté qu’il avait décidé de se mettre sur le balcon de l’appartement pour fabriquer « une pompe à crack » avec « une cannette vide de bière ». Sa mère qui n’était pas du même avis, lui a retiré la drogue et l’a mise à la poubelle.

    Un geste qui a provoqué la colère de son fils qui s’est saisi de sa béquille pour lui porter un coup à la tête avant de lui tirer les cheveux et de tenter de l’étrangler. La sexagénaire a aussi précisé qu’elle avait été menacée de mort lors de cette agression.

    Un an ferme

    Le prévenu en larmes, très affaibli, a fait part de ses excuses alors que sa mère avait décidé de ne pas assister au jugement. Le tribunal l’a condamné à une peine d’un an de prison ferme. Frédéric a été écroué.

    ACTU 17


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  • Le parquet de Saint-Étienne a ouvert une information judiciaire, ce vendredi, contre une femme de 29 ans suspectée d’avoir tué sa fille de 9 ans. Un drame qui serait arrivé alors que la suspecte l’aurait battue depuis plusieurs semaines.

    Une femme de 29 ans est suspectée d’avoir provoqué la mort de sa fille de 9 ans dans le cadre de violences qu’elle lui infligeait depuis plusieurs semaines, rapporte l’AFP.

    Une information judiciaire pour meurtre et violences volontaires habituelles sur mineur de moins de 15 ans a été ouverte. Le procureur, David Charmatz, a requis le placement sous mandat de dépôt de cette aide-soignante qui élevait sa fille seule.

    Le juge d’instruction l’a entendue vendredi dans une chambre carcérale du CHU de Saint-Étienne, où elle a été placée en garde à vue en raison de son état psychique.

    La suspecte est inconnue de la justice

    L’autopsie a établi que le décès était dû à une péritonite causée par une déchirure de l’intestin à la suite d’un coup violent porté au ventre. L’enfant présentait par ailleurs deux fractures récentes du crâne et du nez, a précisé le parquet, pour qui des traces plus anciennes visibles au niveau des côtes et du sternum attestent qu’elle était victime de maltraitances depuis plusieurs semaines.

    La jeune femme, jusqu’alors inconnue de la justice et qui n’était pas suivie sur le plan psychiatrique, nie toute responsabilité dans le décès de sa fille, indiquant seulement qu’elle aurait fait une chute de vélo mardi après-midi. Elle avait appelé les secours vers 22 h après que l’enfant, selon ses dires, eut vomi et fut tombée par terre inanimée. Elle est morte à son arrivée à l’hôpital.

    Selon le parquet, le juge des enfants était saisi en assistance éducative depuis 2016 mais aucun des services qui sont intervenus n’avait constaté de faits de violence, ni le voisinage de la famille.

    Ouest-France

    Cette mort aurait donc pu être évitée !


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  • Le corps d'un homme porté disparu en Haute-Savoie a été retrouvé près d'un barrage sur le Rhône dans l'Ain, les pieds ligotés et avec des plaies par arme à feu, a appris l'Agence France Presse (AFP) ce vendredi de source judiciaire.

     

    La victime a été découverte mardi en amont du barrage de Génissiat lors d'une opération de déblayage de bois, a précisé cette source, confirmant une information du quotidien régional Le Progrès.

    L'homme était porté disparu

    Le corps qui flottait à la surface de l'eau était "très abimé, enflé" et outre les pieds ligotés, l'autopsie a révélé la présence d'"au moins" deux impacts de balles au niveau de la tête et du thorax, confirmant l'origine criminelle du décès, a précisé le parquet de Bourg-en-Bresse, qui s'est dessaisi vendredi au profit de celui de Lyon.

    La disparition de cet homme, dont l'âge n'a pas été précisé, avait été signalée par sa compagne il y a quelques jours en Haute-Savoie, où une enquête était ouverte pour disparition inquiétante. Il était connu des services de police pour des faits de grande délinquance et l'hypothèse d'une séquestration ou d'un règlement de comptes est envisagée.

    La police judiciaire de Lyon est chargée de l'enquête.

    BFM.TV


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  • Deux patrouilles de police sont tombées dans un guet-apens ce jeudi soir dans le XVIIe arrondissement de Paris. Un suspect bien connu des forces de l’ordre a été interpellé à son domicile ce vendredi matin.

    Il était environ 22 heures lorsque deux véhicules de police se sont dirigés vers la porte de Saint-Ouen à Paris, suite à un groupe de jeunes qui perturbaient la circulation. Les policiers ont remarqué une cinquantaine d’individus devant le parc André-Bréchet.

    Ces derniers étaient sur la chaussée et gênaient le passage des voitures. Les forces de l’ordre leur ont donc demandé de ne pas rester sur la route mais la situation s’est envenimée.

     Les policiers contraints de quitter les lieux

    Si quelques jeunes sont partis, la plupart sont restés sur place et l’un d’entre-eux a alors fait usage d’un imposant mortier d’artifice sur l’un des véhicules de police. Le fonctionnaire au volant qui était visé a tout juste eu le temps de fermer sa fenêtre précise une source policière. Le mortier a explosé sur le véhicule.

    Une pluie de projectiles s’est ensuite abattue sur les voitures des policiers qui ont préféré quitter les lieux, face aux nombreux agresseurs. Aucun blessé n’est à déplorer et les victimes ont déposé plainte

    Un suspect identifié et interpellé à son domicile

    Même s’ils n’ont pas été en mesure de procéder à une interpellation, les policiers ont tout de même réussi à identifier l’auteur présumé de ce tir tendu de mortier, puisqu’il est très connu de leurs services.

    Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat du XVIIe arrondissement ainsi qu’aux policiers de la sûreté territoriale (ST). C’est dans le cadre de ces investigations qu’une opération de police a été menée à 6 heures ce vendredi matin, avec l’appui des policiers de la Brigade anticriminalité de nuit (BAC 75N), dans le but d’interpeller l’agresseur présumé. Ce dernier a été arrêté à son domicile situé rue de l’Ourcq (XIXe), avant d’être placé en garde à vue.

    Une perquisition a également eu lieu dans son logement et les policiers ont mis la main sur une arme de poing de calibre 9 mm dans laquelle se trouvait une cartouche chambrée, ainsi que sur plusieurs mortiers d’artifice.

    L’enquête pour violences commises en guet-apens et port d’engin explosif se poursuit.

    ACTU 17

    Je plains les flics qui n'osent plus rien, faire, sinon on les traite de racistes et de violents

    Sûrement de gentilles chances pour la France !

    Pourquoi on ne donne pas les origines des voyous ?


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  • Affaire Epstein : arrestation de son ex-collaboratrice Ghislaine Maxwell

    Ghislaine Maxwell, l'ex-collaboratrice du financier new-yorkais défunt Jeffrey Epstein, accusé de multiples agressions sexuelles sur mineures, a été arrêtée aux États-Unis, a déclaré jeudi un porte-parole du FBI.

    L'ex-collaboratrice de Jeffrey Epstein, Ghislaine Maxwell, a été arrêtée aux États-Unis, a confirmé, jeudi 2 juillet, un porte-parole du FBI. Le bureau du procureur fédéral de Manhattan, en charge de l'affaire Epstein, a annoncé une conférence de presse à midi (16 h GMT) pour présenter les chefs d'accusation retenus contre la fille de l'ex-magnat britannique Robert Maxwell.

    L'arrestation dans l'État du New Hampshire de Ghislaine Maxwell, 58 ans, détentrice de plusieurs passeports, est un rebondissement majeur dans ce scandale retentissant.

    ccusé de multiples agressions sexuelles sur mineures, Jeffrey Epstein était une figure de la jet-set internationale, dont le carnet d'adresses comptait de nombreuses célébrités en Europe et aux États-Unis, y compris le prince Andrew ou l'ex-président américain Bill Clinton, avant d'être arrêté puis d'être retrouvé mort en prison à New York, en août 2019

    Accusée d'avoir joué un rôle dans "l'abus sexuel de mineures" par Jeffrey Epstein

    L'acte d'accusation visant Ghislaine Maxwell, rendu public, comporte six chefs d'inculpation, dont conspiration en vue d'inciter des mineures à se déplacer afin de se livrer à des actes sexuels illégaux et parjure.

    L'ex-collaboratrice du financier new-yorkais est formellement accusée d'avoir joué un rôle "dans l'exploitation et l'abus sexuel de multiples mineures par Jeffrey Epstein". Âgée de 58 ans, la fille du magnat des médias Robert Maxwell, mort en 1991, a été accusée dans plusieurs plaintes d'avoir fait venir des filles dans le luxueux appartement d'Epstein à Manhattan.

    Ancienne compagne du financier américain qu'elle a rencontré au début des années 1990 à New York, Ghislaine Maxwell était restée une proche associée. Dans un article paru en 2003 dans Vanity Fair, Jeffrey Epstein la présentait comme étant sa "meilleure amie".

    Après la mort du financier new-yorkais, le ministre américain de la Justice avait promis de poursuivre l'enquête et de traquer ses éventuels complices. Ghislaine Maxwell figurait en tête de liste.

    France 24


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  • Les policiers du commissariat de Nancy (Meurthe-et-Moselle) sont sous le choc après le suicide de l’un des leurs ce jeudi matin.

    Un brigadier-chef âgé de 49 ans s’est suicidé avec son arme de service dans l’hôtel de police de Nancy ce jeudi matin. Son corps sans vie a été retrouvé dans la salle faisant office d’armurerie vers 10 heures, par l’un de ses collègues.

    «La @PoliceNationale est une nouvelle fois endeuillée par le suicide d’un de nos collèges policiers. Nos pensées émues accompagnent sa famille, ses proches et tous les policiers @PoliceNat54», a tweeté la police nationale de Meurthe-et-Moselle.

     

    Ludovic, père d’une fille, venait d’être muté au service de renseignement territorial (RT) de Nancy indique une source policière. Il travaillait auparavant à la Formation motocycliste urbaine (FMU) de Nancy.

    Une enquête a été ouverte et confiée au service régional de police judiciaire (SRPJ) de Nancy qui s’est rendu sur place pour réaliser des constatations.

    « C’est une grande tristesse » a réagi Abdel Nahass, secrétaire départemental du syndicat Unité SGP Police FO.

    Trois suicides en quatre jours

    Il s’agit du troisième suicide dans les rangs de la police nationale depuis lundi. Deux Adjoints de sécurité (ADS) ont mis fin à leurs jours en début de semaine, l’un à Rouen, le second dans le commissariat de Noailles à Marseille.

    En outre, le suicide de ce gradé à Nancy ce jeudi serait le 20ème recensé dans la police nationale depuis le 1er janvier.

    En 2019, ce sont 59 policiers qui ont décidé de s’ôter la vie selon les chiffres officiels.

    Une cellule de soutien psychologique disponible 24h/24 a été mise en place par le ministère de l’Intérieur pour les forces de l’ordre, elle est joignable au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

    ACTU 17


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  • L’incident s’est produit vendredi 26 juin 2020, vers 23 h. Les pompiers et les policiers de Laval (Mayenne) ont été appelés pour porter secours à un homme : il était suspendu au balcon du huitième étage d’un immeuble du quartier Saint-Nicolas.

    Vendredi 26 juin 2020, les patrouilleurs de la police de Laval (Mayenne) sont appelés vers 23 h : un homme est suspendu au balcon du huitième étage d’un immeuble, rue Davout, dans le quartier Saint-Nicolas. Et il appelle à l’aide.

    Retenu par « ses bras et ses vêtements »

    Les trois patrouilleurs interviennent très vite. Grâce aux voisins, ils repèrent l’appartement. Puis retiennent l’homme en fâcheuse posture « par ses bras et par ses vêtements », en attendant l’arrivée des pompiers. Ces derniers sanglent l’individu, qui rejoint finalement la terre ferme, sain et sauf.

    Enfermé sur son balcon, il aurait décidé de descendre… à la force de ses bras

    Mais que faisait cet homme suspendu à un balcon ? « Ce n’était pas une tentative de suicide », balaye tout de suite la police. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme se serait retrouvé enfermé sur son balcon du dixième étage et aurait décidé de s’en sortir par ses propres moyens, c’est-à-dire en cherchant à descendre à la force de ses bras. « Sauf qu’au bout de deux étages, il s’est retrouvé à bout de forces. Il l’a vraiment échappé belle », souligne la police.

    Pour les policiers de Laval, « c’est une intervention qui sort de l’ordinaire ». Mais qui montre aussi « l’un des aspects méconnus de notre métier : intervenir pour aider des gens en grave danger et ainsi éviter le pire ».

    Ouest-France


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  • Chaque année, des dizaines de mineurs à la recherche de pierres précieuses trouvent la mort dans des accidents dus à des conditions de travail périlleuses, particulièrement en période de mousson.

    Dans le nord de la Birmanie, les corps de 113 mineurs ont été extraits de la boue après un glissement de terrain qui s'est produit dans des mines de jade à ciel ouvert d'Hpakant . Et les recherches ont du être suspendues en raison de pluies diluviennes, a déclaré la police locale.

    Jusqu'ici 113 corps ont été retrouvés, mais il se peut que le bilan soit plus lourd.

    Chaque année, des dizaines de mineurs à la recherche de pierres précieuses trouvent la mort dans des accidents dus à des conditions de travail périlleuses, particulièrement en période de mousson.

    Très prospère mais peu réglementée, l'industrie minière emploie de nombreux travailleurs non déclarés, et pèse plusieurs dizaines de milliards de dollars, selon l'ONG Watchdog Global Witness.

    Les glissements de terrain mortels dans la région sont fréquents, et les victimes sont souvent issues de communautés ethniques défavorisées qui opèrent quasi clandestinement dans d'anciennes mines laissées à l'abandon.

    Les abondantes ressources naturelles du nord de la Birmanie (dont le jade, le bois précieux, l'or et l'ambre) aident à financer les deux côtés d'une guerre civile qui dure depuis plusieurs décennies entre des insurgés de l'ethnie Kachin et les militaires birmans.

    Microsoft actualités


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  • Le montant de la cargaison, qui était destinée au marché international, est évalué à plus de 280 millions de dollars

    Les autorités de Colombie et des Etats-Unis ont saisi plus de 7,5 tonnes de cocaïne à proximité des eaux panaméennes, a annoncé ce mercredi le ministère colombien de la Défense. « Lors d’une opération de la police nationale et de la marine colombienne, en coordination avec les autorités des Etats-Unis, plus de 7,5 tonnes de chlorhydrate de cocaïne ont été saisies dans une embarcation sous pavillon colombien, près du Panama », selon un communiqué du ministère.

    La drogue était mélangée à un produit pour la construction. Le tout était transporté à bord d’un bateau parti de Carthagène des Indes, sur la côte caraïbe de la Colombie, à destination du port panaméen de Colon.

    Cargaisons destinées à l’international

    La cargaison, interceptée dans les eaux internationales, appartenait au Clan del Golfo, le principal gang de Colombie, formé par d’anciens paramilitaires d’extrême droite, membres de milices démobilisées en 2006, selon la même source. La cocaïne, dont la valeur est estimée à 286 millions de dollars, était destinée au marché international via des contacts pris par le Clan avec des bandes de narco-trafiquants en Amérique centrale et en Europe.

    La Colombie est le premier producteur mondial de cocaïne et de feuilles de coca, matière première de la drogue, selon l’ONU. Les Etats-Unis en sont le premier consommateur.

    20 Minutes

    Cette drogue va t-elle être bien détruite ?


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  • En intervenant pour une enfant dans un état critique après une chute, les pompiers ont constaté des traces de coups sur son corps et ont alerté la police.

    Une mère de famille a appelé les secours en leur déclarant que sa fillette de 10 ans n’allait « pas bien du tout » ce mardi soir, relate Le Progrès. Vers 22h45, les sapeurs-pompiers sont arrivés dans le logement familial situé rue de l’Arzelier à Rive-de-Gier (Loire) et ont immédiatement pris en charge l’enfant qui était dans un état grave.

    Ils ont rapidement constaté que son corps supportait des traces de coups et ont alerté les policiers. L’enfant a fait un arrêt cardio-respiratoire, et le SAMU a été dépêché sur place à son tour. Son cœur est reparti dans un premier temps, mais la fillette est finalement décédée peu avant minuit.

    La suspecte affirme que l’enfant a fait une chute

    Aux policiers, la mère de famille a assuré que sa fillette avait chuté durant l’après-midi, alors qu’elle était sous la garde d’une autre personne, en dehors du domicile familial. Des explications qui n’ont pas convaincu les forces de l’ordre. Elle a été interpellée et placée en garde à vue au commissariat de Saint-Chamond.

    Au lendemain de son interpellation, les enquêteurs ont fait appel à un psychiatre pour l’examiner. Cette dernière a finalement fait l’objet d’une hospitalisation d’office en service psychiatrique

    Le père est activement recherché

    Même si les traces de violences présentes sur le corps de la petite fille ne font aucun doute pour le parquet et les policiers, « nous n’avons pas beaucoup d’éléments, l’enquête étant interrompue par l’état de santé de la maman », a déclaré le procureur-adjoint auprès du quotidien régional.

    « On est plutôt sur une maman un peu isolée. Pour l’instant, on recherche toujours le compagnon de cette dame », a ajouté le magistrat. Le père de la fillette, domicilié dans le secteur, vit séparé de la mère. Par ailleurs, celle-ci n’aurait jamais eu de comportement violent envers sont enfant jusque-là.

    ACTU 17


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  • L’arnaque était aussi simple qu’efficace. Durant près d’un an et demi, une équipe de malfaiteurs est arrivée à détourner des dizaines de milliers d’euros à l’entreprise de commerce en ligne Cdiscount.

    Les investigations ont débuté en décembre 2018, quelques semaines après que l’entreprise de commerce en ligne Cdiscount a repéré une manœuvre suspecte de plusieurs clients domiciliés sur Avignon (Vaucluse). Entre juillet 2017 et décembre 2018, ces derniers se sont fait rembourser de manière systématique leurs commandes, selon une source policière.

    La plupart concernaient des téléphones portables ou du matériel électronique. Les prétendus clients assuraient à chaque fois au commerçant que la livraison n’avait pas été effectuée. Au total, ils ont ainsi agi à 90 reprises. Le service dédié à la sécurité de l’entreprise a alors entamé une enquête interne auprès des sociétés en charge de livrer la marchandise.

     

    Elles ont toutes assuré, preuve à l’appui, avoir mené à bien les livraisons. Les doutes d’une possible fraude d’ampleur se confirmaient. Les commandes suspectes ont continué à affluer durant le mois de novembre 2018, mais cette fois elles étaient bloquées par le commerçant.

    Deux suspects interpellés

    L’entreprise a déposé plainte au mois de décembre 2018, déclenchant l’ouverture d’une enquête judiciaire. Les policiers ont réussi à localiser de nombreux suspects, originaires du quartier Saint-Chamand à Avignon. Ils ont déterminé que les malfrats agissaient sur le modèle d’une équipe « à tiroirs », permettant un roulement des personnes impliquées.

     

    Au final, le préjudice a été estimé à près de 190 000 euros. Les policiers ont interpellé deux suspects, ce mardi. Il s’agit un homme de 31 ans et d’une femme 29 ans, originaire du Maroc. Les perquisitions menées à leurs domiciles ont été fructueuses et des objets résultant de l’escroquerie ont été saisis. Les investigations se poursuivent.

    ACTU 17


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  • Un couple venait de passer une nuit festive lorsqu’en arrivant à leur domicile de Marseille, il a été braqué et ligoté par deux individus armés.

    Ils n’ont rien pu faire face à leurs agresseurs. Deux époux rentraient d’une longue soirée tôt ce dimanche matin vers 05h30, lorsqu’une fois arrivés devant leur villa située dans la traverse de la Serviane, un quartier résidentiel de Marseille (12e), ils ont été braqués par deux individus encagoulés et gantés, chacun muni d’une arme de poing.

    Ces derniers avaient visiblement bien préparé leur coup et attendaient le retour du couple. Le calvaire de cet homme et son épouse a alors débuté.

    Bijoux, cartes bancaires et téléphones portables dérobés

    Menacés, ils ont été contraints d’ouvrir leur maison aux deux malfaiteurs. Les victimes ont ensuite été ligotées et séquestrées, tandis que leurs agresseurs fouillaient leur habitation. Ces derniers se sont emparés de bijoux, de téléphones portables ainsi que des cartes bancaires du couple avant de prendre la fuite.

    Peu après, la femme ligotée âgée de 42 ans est parvenue à se défaire de ses liens et a alerté la police. Cette dernière, tout comme son mari de 39 ans, étaient sous le choc. Ils n’ont pas été blessés. Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire. 

     

    ACTU 17

    Marseille ou le maghreb !

    Il est loin le Marseille de Camus !


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  • Le drame a eu lieu au domicile familial d’un couple qui vivait avec leurs trois enfants, à Erquelinnes, une commune belge frontalière avec la France située près de Maubeuge (Nord).

    Un père de famille a fait une macabre découverte en rentrant chez lui après son travail, ce mardi, à Erquelinnes. Les corps de ses deux enfants de 22 mois et 7 ans, se trouvaient là sans vie. Sa compagne et son troisième enfant, âgé de 9 ans, étaient aussi présents, dans un état grave, relate RTL Belgique.

    Le plus jeune enfant « a été noyé et les deux autres enfants ont subi des blessures par arme blanche au niveau du cou », a indiqué Sandrine Vairon, procureure de division de Charleroi. D’après les premiers éléments de l’enquête, c’est la mère qui aurait commis le double infanticide avant de tenter de se suicider.

     La mère se serait tailladé les veines

    Une autopsie des deux enfants décédés doit avoir lieu ce mercredi soir. Le pronostic vital de Thibald, 9 ans, est toujours engagé même si son état est jugé satisfaisant. L’état de santé de la mère de famille s’est amélioré après une intervention chirurgicale. Elle devrait être auditionnée dans les prochaines heures.

    Cette dernière, qui se serait tailladée les veines, doit subir une analyse toxicologique pour notamment déterminer la présence ou non de médicaments dans son organisme. Le père de famille a été entendu une première fois sur les faits, « mais son audition ne nous apprend pas grand-chose », a précisé la magistrate. Le couple n’était pas connu de la police, ni de la justice jusqu’ici.

    Elle était « fusionnelle » avec ses enfants

    La mère de famille, institutrice, ne travaillait plus et aurait mal vécu le confinement lié à la pandémie de Covid-19. Pour le bourgmestre David Lavaux, cette femme qui avait aussi été contrainte de mettre un terme à une grossesse, pourrait souffrir de dépression.

    « Elle ne sortait plus et ses enfants n’étaient pas retournés à l’école. Mais rien ne laissait présager çaElle était fusionnelle avec ses enfants, en particulier avec le dernier », a-t-il indiqué. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes de ce drame.

    Une cellule de soutien psychologique est mise en place pour le père, ainsi que pour les secours qui sont intervenus. Les camarades de classe des victimes vont également être pris en charge pour une aide psychologique.

     ACTU 17

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