• Allez, on va voir ce qui se passe du côté de l'Elysée, encore un pastiche sur une superbe chanson de Charles Aznavour dont je suis un inconditionnel : "Comme ils disent"
    J'espère qu'il me pardonnera ce sacrilège, c'est plus fort que moi, je ne sais pas résister !

    Leumas


    6 commentaires
  • Aides au logement: Le Conseil d'Etat valide définitivement la baisse de cinq euros des APL

    La plus haute juridiction administrative française avait déjà rejeté, il y a un an, une requête qui demandait une suspension en urgence de la mesure...

    Cette fois, c’est définitif. Le Conseil d’Etat a rejeté, ce lundi, le recours du collectif « Vive l’APL » contre la baisse de cinq euros des aides au logement, validant ainsi cette réduction décidée en 2017 par le gouvernement et décriée par les associations de lutte contre le mal-logement. La plus haute juridiction administrative avait déjà rejeté, il y a un an, une requête déposée par ce collectif qui demandait une suspension en urgence de la mesure.

    Cette baisse touche sans distinction 6,5 millions de bénéficiaires depuis le 1er octobre 2017, une « mesure d’économie sur le dos des plus pauvres » avait dénoncé le collectif. Il regroupe autour de la Fondation Abbé Pierre des organisations de défense des mal-logés, des syndicats et des particuliers bénéficiaires de l’aide.

    Une réduction « compensée » par d’autres mesures

    Se prononçant cette fois-ci sur le fond de l’affaire, le Conseil d’Etat a considéré que la baisse de cinq euros des aides personnalisées au logement (APL) représentait « une réduction de l’ordre de 2 % ». Cette baisse avait été « compensée, pour certains des ménages en situation de grande précarité, par d’autres mesures », notamment par une revalorisation du revenu de solidarité active (RSA).

    Cette « revalorisation du montant forfaitaire du RSA de 1,62 % à compter du 1er septembre 2017 » correspond à « une hausse de 8,70 euros », soulignent les juges administratifs dans leur décision. Les requérants contestaient d’autre part la compétence du gouvernement à décider d’une baisse forfaitaire et estimaient qu’il avait contourné la volonté du législateur d’empêcher toute modification.

    Une décision « très décevante »

    Mais pour le Conseil d’Etat, « en modifiant le calcul des aides personnelles au logement afin d’introduire une réduction forfaitaire de leur montant, le pouvoir réglementaire n’a pas empiété sur la compétence du législateur qui porte sur la détermination des principes fondamentaux de la sécurité sociale (…)».

    «C’est une décision très décevante pour les milliers de personnes les plus modestes. C’est surtout inquiétant parce que c’est presque un blanc-seing pour le gouvernement », a réagi auprès de l’AFP Vincent Gury, l’un des avocats du collectif « Vive l’APL ». « Demain, le gouvernement pourra décider de modifier encore le montant, et cela pourra être 20 ou 30 euros de moins. Il pourra faire absolument ce qu’il veut », a regretté Me Gury.

    20 Minutes


    3 commentaires
  • Grigny : il renverse un policier avant d’en frapper deux autres

    Ce dimanche, trois policiers ont été blessés par un motard qui a tenté de fuir un contrôle.

    Son interpellation a été très mouvementée. Ce dimanche, trois policiers ont été blessés par un motard qui a tenté de fuir un contrôle. Le jeune homme, âgé d’une vingtaine d’années, circulait sur une moto-cross dans le quartier de la Grande-Borne de Grigny. Coincé par les agents dans une ruelle, il n’a pas hésité à foncer avec son véhicule sur l’un des fonctionnaires, le blessant au tibia. « Un de ses collègues, qui essayait de le menotter, a été frappé à coups de casque, raconte un policier. Ils ont dû faire usage du Taser pour le calmer. »

    Dans la voiture qui l’emmène au commissariat de Juvisy-sur-Orge, l’homme arrive à se dégager les pieds et frappe le conducteur. « Il a finalement été placé en garde à vue, qui vient d’être prolongée. Il pourrait être déféré ce mardi, poursuit une source proche de l’enquête. C’est un jeune homme connu des services de police, il avait déjà une interdiction de se rendre sur Grigny. »

    Au final, les trois membres des forces de l’ordre s’en sortent avec trois jours d’interruption totale de travail.

    Le Parisien


    4 commentaires
  • Maine-et-Loire: Il conduisait ivre avec sa fille de 14 ans à ses côtés

    Dans la nuit de vendredi à samedi, un père de famille de 36 ans a été contrôlé au volant de son véhicule avec 2,32 g d’alcool dans le sang (au lieu de 0,5 max autorisé), raconte ce lundi le journal Ouest-France. L’homme avait à ses côtés sa fille de 14 ans, qui était assise sur le siège passager.

    Le père de famille a été contrôlé rue Pasteur à Segré dans le Maine-et-Loire à 1 h 30 dans la nuit de vendredi à samedi. L’homme a été mis en garde à vue. Et il a avoué que sa fille l’avait accompagné dans un bar toute la soirée… L’individu est convoqué devant le tribunal correctionnel d’Angers en mars.

    20 Minutes


    3 commentaires
  • Remaniement : ces tweets critiques contre Macron que les nouveaux ministres ont oublié d'effacer

    © Montage via Figaro Photos Didier Guillaume, Marc Fesneau et Franck Riester ne sont pas des macronistes de la première heure. 

    Souvent perçu comme un bon outil de communication, Twitter peut aussi avoir des inconvénients pour les personnalités politiques. Le réseau social n'oublie rien. Il ne suffit que de quelques clics pour retrouver d'anciens tweets égarés et parfois vieux de plusieurs années. En période de remaniement, certaines archives peuvent être cruelles. Nouvelle démonstration ce mardi. Pour composer sa nouvelle équipe de ministres, Emmanuel Macron a pioché à gauche, avec l'ancien sénateur PS Didier Guillaume, au centre, avec le député MoDem Marc Fesneau, et au centre avec le député Agir, ancien LR, Franck Riester. Les trois hommes ne sont pas des convertis au macronisme de la première heure. 

    Didier Guillaume narquois

    En pleine campagne présidentielle, Didier Guillaume lâchait ses coups contre le candidat d'En Marche. «Emmanuel Macron aurait dû faire le choix de la primaire de gauche. S'il était si sûr de lui, il l'aurait gagné», certifiait en novembre 2016 le président du groupe PS au Sénat et futur directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire de la gauche. Quelques jours plus tard, il enchaînait: «Si Emmanuel Macron continue dans son aventure personnelle, il fait le choix de la victoire de la droite». En janvier 2017, il n'hésitait pas à narguer le futur chef de l'État. «Le vainqueur de la primaire [de la gauche] fera plus de voix que de personnes aux meetings d'Emmanuel Macron», avait-il assuré. En janvier dernier, le vallsiste avait également annoncé qu'il «quittait la vie politique», en concluant: «Pour savoir où l'on va, il faut savoir d'où l'on vient». Savoureuse maxime aujourd'hui...

    Marc Fesneau pas convaincu

    Certains tweets de Marc Fesneau démontrent que le député du MoDem n'était pas forcément en phase avec la politique portée par Emmanuel Macron lorsqu'il était encore ministre de l'Économie. En septembre 2014, le centriste lui donnait même une «triste et désagréable impression de hors-sol». Avant de métaphorer: «quand les politiques manquent même jusqu'aux mots pour dire les maux...». Lors de l'examen de la loi Macron en avril 2015, Marc Fesneau ne semblait pas plus convaincu. «Ce texte n'est pas une révolution. Ce n'est pas la loi Macron qui libérera l'économie», avait-il déclaré.

    Franck Riester sévère

    Alors député LR, Franck Riester n'affichait pas non plus un grand enthousiasme après la promulgation de la loi. Il ne semblait pas non parier sur l'avenir du futur candidat En marche. «Emmanuel Macron c'est plutôt flou. Sa grande loi, on en retient la libéralisation des bus. Ce n'est pas extraordinaire», constatait-il fin octobre 2016. Franck Riester estimait par ailleurs que la démission d'Emmanuel Macron de son poste de ministre de l'Économie était «bien logique vu son bilan catastrophique comme conseiller et ministre».

    le Figaro.fr


    4 commentaires
  • Après Marine Lepen, au tour de Jean-Luc Mélenchon ! C'est bien le dictateur jupiter qui agit pour essayer de supprimer ses concurrents ! Il a peur !


    7 commentaires
  • Publié par :   ASVI - Association Suisse Vigilance Islam

    Marie-Thérèse Porchet, née Bertholet, est le personnage créé par le comédien et humoriste suisse Joseph Gorgoni


    4 commentaires

  • 5 commentaires
  • Bonjour à tous,
     
    Ce mardi soir, retrouvez Nicolas Dupont-Aignan sur BFMTV à 18:50 au micro d’Olivier Truchot.
    Réagissez avec le hashtag #BFMStory
     
    Ce mercredi 17 octobre à 7h50, NDA sera l’invité de la matinale de RFI animée par Jérôme Rivière.
    Réagissez avec le hashtag #RFIMatin
     
    Merci de votre fidélité.
     
    Amicalement, 
     
    L'équipe digitale de DLF

    3 commentaires
  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MARDI 16 10 2018

     

    Passez une bonne journée


    11 commentaires
  • Le choc des cultures !


    4 commentaires
  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 15 10 2018


    3 commentaires
  • Les secrets du poulet premier prix - Reportage choc

    Temps pour que l'animal puisse être mangé !

    Pour offrir dans le commerce du poulet à 3 euros le kilo, la manière de l'élever est rationalisée à l'extrême. Mais est-ce sans risques ? Ces volailles grandissent à plusieurs dizaines de milliers dans des espaces très restreints. Conséquence : cette promiscuité et le manque d'hygiène provoquent des infections à répétition. Pour les soigner, les éleveurs utilisent des quantités massives d'antibiotiques. En bout de chaîne, ces traitements mettent-ils en péril notre santé ? Ce poulet d'entrée de gamme, nous le consommons également beaucoup sous forme de nuggets, saucisses de poulet ou cordons bleus. Quelle viande mangeons-nous alors ? Avec ce document, nous vous proposons une enquête inédite sur ce produit que nous consommons en masse.

     

    J'espère vivement que vous regarderez entièrement cette video !

    Bon appétit ! Vive les antibiotiques (grand rire) et surtout les antibiotiques espagnols !!!

    Les secrets du poulet premier prix - Reportage choc

    Les saucisses de poulet, beurk, beurk, beurk !


    6 commentaires
  • Affaire Khashoggi: certaines entreprises prennent leurs distances avec l'Arabie saoudite

     

    La disparition du journaliste Jamal Khashoggi jette un froid sur les relations économiques de l'Arabie Saoudite. Ce journaliste, très critique à l'égard du régime du prince héritier Mohammed Ben Salmane, n'a plus donné signe de vie depuis son entrée au consulat d'Arabie Saoudite à Istanbul, le 2 octobre.

    Et le retentissement international de cette affaire inquiète les milieux d'affaires. Au point de perturber l'organisation de la deuxième édition du sommet Future Investment Initiative, qui doit se tenir du 23 au 25 octobre à Riyad. Cette conférence est la vitrine dont se sert Mohammed Ben Salmane pour vendre ses très ambitieux projets économiques censés moderniser son pays. Or depuis quelques jours, les annulations se multiplient.

    Parmi elles, celle du patron d'Uber, Dara Khosrowshahi, qui a annoncé qu'il n'irait pas à Ryad «à moins qu'une série de faits considérablement différents n'émerge» sur la disparition du journaliste. Le fonds souverain saoudien avait pourtant investi 3,5 milliards de dollars en 2016 dans sa société de VTC. Le PDG de la banque américaine JP Morgan, James Dimon, sera également absent. Son nom ne figurait plus dimanche soir sur la liste des participants. Ford Motor a pour sa part annoncé que son président, Bill Ford, avait annulé une visite en plusieurs étapes au Moyen-Orient, dont une apparition à cette conférence sur l'investissement saoudien.

    Même chose pour le milliardaire britannique Richard Branson, fondateur du groupe Virgin, qui a annoncé le gel de plusieurs projets avec le royaume. «Si ce qui a été rapporté à propos de la disparition du journaliste Jamal Khashoggi est véridique, cela changerait radicalement les perspectives d'affaires de tous les Occidentaux vis-à-vis du gouvernement saoudien», a-t-il déclaré dans un communiqué. L'Arabie saoudite lui avait pourtant donné un poste de conseiller dans le tourisme et lui avait promis un investissement d'un milliard de dollars dans Virgin Galactic, sa compagnie de tourisme spatial. L'événement est aussi boudé par des médias comme le Financial Times, le LA Times, le New York Times, The Economist, Bloomberg et CNN. 

    Panique sur les marché

    D'autres entreprises ont fait le choix de maintenir leur participation tout en faisant preuve de prudence. C'est le cas par exemple du géant allemand Siemens qui a fait savoir qu'il «surveillait la situation de près». Côté français, les dirigeants de BNP Paribas, Société Générale, Thales, EDF et AccorHotels restent pour l'instant annoncés. Pour rappel, environ 80 entreprises françaises, en majorité des sociétés du CAC 40, sont implantées en Arabie saoudite. «Si elles n'annulent pas purement et simplement leur présence à cette conférence, les entreprises pourraient choisir de se faire représenter à un niveau moindre. En s'affichant à cet événement, elles craignent une atteinte à leur image», précise au Figaro Didier Billion, directeur adjoint de l'Institut des relations internationales et stratégiques (Iris).

    Sur les marchés, certaines d'entre elles sont déjà sanctionnées du fait de leur exposition au marché saoudien. C'est le cas du géant japonais des télécoms SoftBank dont l'action a chuté en clôture de 7,26% ce matin à la Bourse de Tokyo. Il y a quelques jours, Mohammed Ben Salmane annonçait son intention d'investir 45 milliards de dollars dans Vision Fund 2, le futur fonds d'investissement de Softbank. Et dimanche, la Bourse de Ryad a accusé une baisse de plus de 7% à l'ouverture, sa plus grave dégringolade en trois ans, avant de terminer la séance à -3,5%.

    Les investisseurs voient d'un mauvais oeil la récente escalade verbale entre Washington et Ryad. Bien qu'opposé à une limitation des ventes d'armes, Donald Trump a promis au royaume un «châtiment sévère» si sa responsabilité dans la disparition du journaliste était avérée. Celui-ci a répondu qu'il se tenait prêt à répondre par de «plus grandes» sanctions, laissant planer la menace d'une action sur les marchés pétroliers. Face à cette perspective, le baril de Brent grimpait déjà ce matin à 81,46 dollars et le WTI à 72,13 dollars. «Il faut relativiser ces tensions entre les États-Unis et l'Arabie Saoudite», assure toutefois Didier Billion. «Il pourrait y avoir des sanctions mais on ne peut pas imaginer que le soutien total et inconditionnel des États-Unis va se dissoudre prochainement», affirme le spécialiste. D'après ce dernier, la possibilité de voir l'Arabie Saoudite utiliser le pétrole comme arme de représailles semble aussi peu probable sur le long terme: «L'Arabie Saoudite peut agir sur ce levier, mais cela n'ira pas loin. Nous ne sommes pas dans la même configuration que lors du choc pétrolier des années 1970. Les autres membres de l'Opep l'empêcheront de prendre ses décisions seules. Et pour Mohammed Ben Salmane, les enjeux sont trop importants».

    Le prince héritier cherche à convaincre les grands patrons et investisseurs mondiaux de le suivre dans son ambitieux programme de transformation du pays. Baptisé Vision 2030, ce plan doit faire de l'Arabie Saoudite un géant du numérique et du tourisme, via des projets pharaoniques. «MBS» doit aussi convaincre les investisseurs de bien accueillir la mise sur le marché de 5% du géant pétrolier Aramco, qui pourrait rapporter pas moins de 100 milliards de dollars. Un temps envisagée pour cette année, cette opération a déjà été repoussée à fin 2020. «Les enjeux de ces projets sont colossaux pour de nombreux secteurs comme l'armement, le bancaire, le transport, l'agroalimentaire. Les entreprises veulent se positionner sur cet énorme marché. C'est la raison pour laquelle dans cette crise, la réalité économique va l'emporter. Ces groupes savent que la politique d'ultimatum ne fonctionne pas. S'ils s'en vont, d'autres prendront leur place», résume Didier Billion. «Malgré tout, Mohammed Ben Salmane va peut-être comprendre que le sentiment d'impunité qui le caractérise peut lui jouer des tours».

    Le Figaro.fr


    3 commentaires
  • Seine-Saint-Denis: un homme grièvement blessé par un individu criant «Allahou Akbar»

    Grièvement blessée au cou, la victime a été transportée dans un état critique à l’hôpital. Le suspect a été interpellé sans difficulté.

    Un homme a été poignardé à la Courneuve, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de dimanche à lundi par un individu criant « Allahou Akbar », a-t-on appris de sources concordantes, confirmant une information de BFMTV. Le suspect, inconnu des services de police, était semble-t-il alcoolisé au moment de l’agression.

    Les faits se sont déroulés vers 2h20, à proximité de la gare RER de la ville. L’agresseur présumé a d’abord tenté d’escalader le portail d’un pavillon. Repoussé par son propriétaire qui a prévenu la police, il s’en est ensuite pris à un homme, le blessant à plusieurs reprises au cou avec une paire de ciseau. La victime est parvenue à prendre la fuite et à donner l’alerte au commissariat. Son pronostic vital est engagé.

    Interpellé sans résistance

    L’auteur présumé des faits a été interpellé avec les mains ensanglantées sans opposer de résistance par des effectifs de la brigade anticriminalité. Devant eux, il a à nouveau proféré « Allahou Akbar ». La paire de ciseaux a été retrouvée à proximité des lieux, derrière un véhicule en stationnement. Une enquête pour « tentative d’homicide volontaire » et «apologie du terrorisme », a été ouverte et confiée au commissariat local.

    20 Minutes

    Son nom ? (rire)

    Est-ce un musulman, un français converti ou un "malade psychiatrique" comme il y en a tant aujourd'hui !!!


    3 commentaires

  • 3 commentaires
  • Cette vidéo a débuté par hasard il y a 6 mois après un appel de l'Office de Tourisme du Pays de Mormal, souhaitant travailler avec moi sur une vidéo promotionnelle de leur territoire. C'est ainsi qu'est née cette vidéo, un mini Trésors en Nord présentant en condensé le Pays de Mormal, ses villes, ses territoires et ses lieux ...

    Je suis très fier de vous présenter le résultat aujourd'hui par Valootre


    4 commentaires
  • Ce que je mange deux à trois fois par semaine

    Ce que je mange deux à trois fois par semaine

    Accompagné de petits légumes, c'est très bon !


    4 commentaires