• On en a plus besoin, on en a déjà beaucoup encaissé !!! Hélas, ça rentre tout seul !!!


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  • Landes : la Cour de cassation donne tort aux chasseurs d'ortolans

    Landes : la Cour de cassation donne tort aux chasseurs d'ortolans

    Les chasseurs d'ortolans du Sud-Ouest ne peuvent pas invoquer "la tradition" pour enfreindre la loi et capturer ces oiseaux protégés, a estimé mardi la Cour de Cassation.

     

     La cour de Cassation, la plus haute institution judiciaire statuait sur le cas de onze chasseurs landais d'ortolans, qui avaient été condamnés en appel à Pau, en octobre 2017, à des amendes de 1.000 euros chacun, en partie ferme.


     Les débats avaient alors tourné autour de la "tolérance" dont a fait preuve durant des années la préfecture --moyennant un nombre limité de pièges et de prises-- à l'égard de cette chasse traditionnelle, pratiquée à l'aide d'une "matole" (petite cage permettant de capturer les oiseaux vivants).


     L'un des avocats des chasseurs, Me Frédéric Dutin, avait ainsi souligné que "aucune poursuite n'avait été exercée avant 2015 concernant cette chasse dans les Landes".


        "L'administration en 2015 a changé son fusil d'épaule (...) Elle a décidé depuis deux ans que la loi était la loi, et qu'elle devait s'appliquer", lui avait rappelé l'avocat général.

     

    Aucune dérogation à l'interdiction de chasser

     La Cour de Cassation, qui avait été saisie par l'un des 11 chasseurs, tous ayant dépassé la soixantaine d'années, a rejeté son pourvoi. La Cour estime que le prévenu "ne justifie d'aucune dérogation" à l'interdiction de chasse de ce passereau protégé, soulignant que "la tolérance administrative à l'égard d'une pratique locale traditionnelle invoquée" n'est pas "de nature à mettre à néant une interdiction édictée par la loi".
     

    La LPO se réjouit de la fin de la "complaisance"

    "La complaisance des autorités locales, et jusqu'au plus haut sommet de l'État, était, est et restera injustifiable à l'avenir", s'est félicité dans un communiqué la Ligue de protection des oiseaux (LPO).
    Le Landais Jean-Jacques Langüe, président de l'Association départementale des chasses traditionnelles à la matole, a jugé l'arrêt "catastrophique".

     

    Une population d'ortolans en déclin

    La France avait été avertie à plusieurs reprises par Bruxelles, et renvoyée devant la Cour de justice européenne, pour la persistance de la chasse à l'ortolan, à la population en déclin de 20 à 30% entre 2000 à 2014, selon une étude scientifique de 2016.


    Mais en novembre 2017, la Commission européenne avait mis fin à la procédure d'infraction contre la France, estimant que Paris s'était finalement conformé à la législation européenne de la directive Oiseaux à propos du bruant ortolan, "Emberiza hortulana" de son nom scientifique.
     

    France info - .3 Nouvelle Aquitaine/Landes

    Landes : la Cour de cassation donne tort aux chasseurs d'ortolans


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  • Migrants en Méditerranée : deux instituts préconisent d'ouvrir un centre d'accueil en France

    Cela s’inscrirait dans une vaste refonte de l’accueil des demandeurs d’asile dans l’Union européenne.

    Ouvrir un centre en France pour les demandeurs d'asile arrivés par la Méditerranée. C'est l'une des 16 propositions lancées ce jeudi par deux instituts, alors que la France a refusé cet été de laisser accoster les navires remplis de migrants.

    «Le droit d'asile dans l'Union européenne est en danger», affirment dans un rapport conjoint le think tank Terra Nova (centre-gauche) et un autre laboratoire d’idées, l'Institut Montaigne (libéral), qui juge «urgent d'accélérer la refonte» d'un système «aussi injuste qu'inefficace».

     

    «Une charge disproportionnée» sur la Grèce et l’Italie

    Le rapport préconise ainsi «la suppression de la règle du pays de première entrée» instaurée par le règlement de Dublin (Irlande). Cette règle régit le dépôt des demandes d'asile. Il doit être fait dans le pays où les demandeurs sont arrivés dans l’Union européenne (UE). Ce mécanisme fait peser sur la Grèce et l'Italie «une charge disproportionnée». A la place, chaque demandeur pourrait solliciter l'Etat de son choix.

    A l'heure où la crise se focalise sur la Méditerranée, le rapport préconise d'ouvrir des «Centres européens d'accueil et de traitement» des demandes d'asile sur les côtes des pays européens «ayant une façade sur la Méditerranée». A titre expérimental, «l'Espagne, la France, l'Italie et Malte seraient sollicitées» pour ouvrir «au minimum» un centre. La France a refusé cet été d'accueillir les navires humanitaires de migrants dont l'Italie n’a pas voulu, arguant du principe de «port sûr le plus proche».

     

    La menace de pénalités financières

    L'idée rappelle le projet européen de «centres contrôlés», où un premier tri serait fait entre demandeurs d'asile légitimes et migrants économiques à expulser. Sauf qu'il ne s'agirait pas de centres «fermés», précise le rapport. Chaque Etat y dépêcherait des agents pour examiner «en moins d'un mois» les demandes d'asile. A défaut, il s'exposerait à des pénalités financières. La mise en place serait financée par l'UE, «ainsi que les retours des déboutés», ajoute le rapport, qui chiffre à 57 millions d'euros ses propositions pour la France.

    Le rapport préconise aussi de conclure avec les pays de transit des accords «pour faciliter un accueil des migrants respectueux de la dignité humaine», mais il met en garde contre toute «sous-traitance» des demandeurs d'asile à des pays tiers sûrs, qui «augmenterait considérablement les risques de chantage» envers l'Europe.

    Il plaide enfin pour la création d'un «Office européen du droit d'asile» qui s'appuierait «sur des autorités nationales indépendantes», avec un «mécanisme de solidarité» pour répartir les demandeurs en cas de surcharge d'un pays, et suggère d'accorder aux réfugiés «un socle commun de droits», notamment celui de séjourner dans un autre pays de l'UE.

    Le Parisien - 18 10 2018


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  • Monsanto aurait créé des groupes de "faux agriculteurs" pour défendre le glyphosate !!!

    © Copyright 2018, L'Obs Les études qui affirment qu'il n'existe aucun lien entre le glyphosate et l'apparition de cancers ont bien souvent été rédigées par Monsanto.

    Un lobby de la société Monsanto a créé des groupes de "faux agriculteurs" chargés de se prononcer en faveur du glyphosate, révèle la cellule d’investigation de Greenpeace et du quotidien britannique "The Independent".

    Pour que des "agriculteurs" disent du bien de son glyphosate – cet herbicide classé cancérigène probable par le centre international de recherche sur le cancer –, la société Monsanto aurait créé, dans au moins sept pays, des groupes de faux professionnels.

    "Mosanto a piloté de faux groupes de fermiers contre l’interdiction du glyphosate en Europe. C’est ce que révèle une enquête de la cellule d’investigation de Greenpeace et du quotidien britannique 'The Independent'", que RMC dévoile ce mercredi.

     

    "Agriculture et Liberté", est le nom du groupe français de faux agriculteurs. Sur son compte Twitter, on peut lire :

    "Nous sommes un groupe d'agriculteurs français unis pour protéger notre mode de vie et nos moyens de subsistance".

    Mais ni ce Twitter ni le site internet, ne permettent de savoir qui sont les fondateurs de ce groupe, observe RMC. "Il est juste mentionné qu''Agriculture et Liberté' est soutenu par une 'coalition d'utilisateurs et de fabricants de produits agricoles'. Aucune trace d'un agriculteur parmi les fondateurs. Pourquoi ? Parce qu’en réalité, ce groupe a été créé par un lobby", accuse le site internet. 

    "Rétablir la vérité sur le glyphosate"

    C'est l'entreprise Red Flag Consulting, basée à Dublin et inscrite au registre de transparence de l'Union européenne, qui aurait organisé la supercherie, à la demande de Monsanto. L'entreprise qui a également pour client la British American Tobacco, aurait reçu entre 100.000 et 200.000 euros de Monsanto en 2017 !

    "Dans un document promotionnel, Red Flag se vante d'ailleurs d'avoir 'récemment remporté la plus grande campagne de réglementation et d'affaires publiques de l'Union européenne', grâce à des 'alliés non-traditionnels' afin de changer la position de cibles identifiées au sein du gouvernement français, mais aussi allemand, anglais, polonais, espagnol, néerlandais, italiens et roumains", précise RMC.

    Selon Greenpeace, repris par RMC, "il fait peu de doute que Red Flag fait ici référence à la campagne contre l'interdiction du glyphosate".

    "Free to Farm" en Angleterre, "liberta di Coltivare" en Italie...

    Ces groupes de faux agriculteurs chargés d'offrir une bonne presse à Monsanto n'existent pas qu'en France. Tous sont basés sur le même modèle, explique RMC. Greenpeace a identifié leur présence dans au moins 33 foires agricoles.

    "Agriculture et Liberté" a été notamment aperçu au dernier salon de l'agriculture. "Sur un stand, des hôtesses expliquaient qu'elles travaillaient pour un groupe d’agriculteurs. Aucune mention de Monsanto évidemment", assure RMC.

    De leur côté, les responsables de Red Flag, contactés par RMC, affirment "n'avoir jamais prétendu être un groupe de fermiers" et "n'avoir exercé aucun lobbying" mais seulement "cherché à rétablir la vérité sur le glyphosate auprès d'agriculteurs qui ont ensuite fait entendre leur propre voix" !

    L'OBS

    Quelle saloperie Monsanto !

    Quelle bande de menteurs chez Red Flag ! 


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  • L214 dévoile les images choquantes d’un élevage intensif de poules pondeuses

    Une association de défense de la cause animale rend publiques des images accablantes pour le groupe Avril, qui met en lumière les conditions d'élevage déplorables de ses poules pondeuses dans l'Essonne.

    L'association L214 dévoile ce jeudi matin de nouvelles images choquantes de maltraitance animale tournées fin septembre dernier dans un élevage de 150.000 poules pondeuses du groupe Avril, premier producteur d'oeufs français, près de Forges-les-Bains en Essonne. 

    L'enquête réalisée par l'association révèle un élevage intensif où des milliers de poules sont entassées dans des plusieurs centaines de cages grillagées. Les animaux n'y ont pas la possibilité d'étendre leurs ailes, ni de s'éloigner les uns des autres en raison de la densité des cages.

    Serrées les unes aux autres, déplumées, les poules sont agressives à cause de leurs conditions de détention. Parmi elles, certaines ne survivent pas et leurs cadavres se décomposent au milieu des autres.

    L'association L214, qui lance une campagne et une pétition contre les oeufs de poules en cage, prévoit de se rendre ce jeudi, de 12h à 14h, en délégation au pied de la Tour Montparnasse, près des locaux du siège du groupe Avril, afin d'interpeller le groupe et de réclamer l'exclusion des oeufs de poules en cage pour l'ensemble de ses activités.

    Aucune traçabilité de ces oeufs

    L'association L214 explique que le groupe Avril s'était pourtant engagé à cesser de produire des oeufs de poules élevées en cage, notamment à travers sa marque Matines, bien connue du grand public.

    Or cet engagement ne concerne pas les oeufs transformés par ses autres entreprises, telles qu'Ovoteam. Pour ces oeufs, le consommateur ne dispose donc d’aucune traçabilité, notamment quant au mode d’élevage, contrairement aux œufs coquille, qui eux sont marqués par un code. "Ces oeufs se retrouvent ainsi dans nos biscuits, cantines scolaires, maisons de retraite ou encore restaurants d'entreprises" rapporte L214. 

    "Si le groupe Avril prend en compte l’opinion des consommateurs comme il le prétend, il serait incohérent qu’il continue de commercialiser des œufs liquides provenant d’élevages en batterie. C’est pourquoi nous appelons le groupe Avril à lever cette ambiguïté en étendant son engagement à l’ensemble de sa production" déclare Brigitte Gothière, cofondatrice de L214.

    BFM.TV

    Boycottez les œufs MATINES !

     Agir avec L214 sur : https://groupe-avril.stopcruaute.com/

    Images tournées fin septembre 2018 dans un élevage du groupe Avril en Essonne dans video ci-dessous

    Signez la pétition : https://groupe-avril.stopcruaute.com/


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  •  Saint-Martin: L'ex-braqueur photographié avec Macron condamné pour possession de drogue

    Un des deux jeunes hommes, qui avaient posé fin septembre avec Emmanuel Macron à Saint-Martin sur une photo controversée, a été condamné mercredi à huit mois de prison dont quatre avec sursis pour détention de stupéfiants et rébellion.

    Celui qui avait expliqué au chef de l’Etat qu’il sortait de prison pour un braquage, a été interpellé vendredi dernier en possession de 25 pochons de cannabis, soit environ 20 grammes.

    Récidive pour des faits similaires commis en février 2016

    Le 30 septembre, Emmanuel Macron s’était invité chez le jeune homme à Quartier d’Orléans à Saint-Martin, l’exhortant à trouver du travail « pour faire les travaux et reconstruire. (…) il ne faut pas rester comme ça, faire des bêtises. Les braquages c’est fini, ta mère mérite mieux que ça », lui avait-il recommandé.

    Le chef de l’Etat avait posé avec le jeune homme et son cousin, tous deux torse nu, pour un selfie. Sur la photo, le cousin avait fait un doigt d’honneur, créant la polémique en métropole. Emmanuel Macron avait ensuite assuré qu’il aimait « chaque enfant de la République, quelles que soient ses bêtises ».

    Mercredi, le jeune homme de 22 ans était également poursuivi pour rébellion et violences. Mais il a été relaxé pour les faits de violences. Selon les gendarmes, il s’est débattu lors de son interpellation, sans porter de coups. Le prévenu est reparti libre du tribunal correctionnel de Marigot mais est convoqué fin septembre devant le juge d’application des peines. Il a expliqué à l’audience qu’il gardait la drogue pour un ami et a assuré regretter son acte. Il était en état de récidive pour des faits similaires commis en février 2016.

    Le RN ironise

    Mercredi soir, le député RN Gilbert Collard a tweeté : « Visiblement, les leçons de Macron au petit ange de Saint-Martin n’ont eu aucun effet : il vient d’être arrêté pour possession de stupéfiants ».

    20 Minutes

    Saint-Martin: L'ex-braqueur photographié avec Macron condamné pour possession de drogue


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - JEUDI 18 10 2018


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  • Super !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 17 10 2018

     

    Passez une bonne soirée


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  • Les forces de l'ordre ont fait usage de tirs de flashball et de grenades lacrymogènes mardi soir dans le quartier de la Mare-Rouge.

     

    Une opération de police menée mardi soir après plusieurs interpellations et la saisie de plus de 200 kilos de cocaïne a provoqué des affrontements avec les habitants d'un quartier populaire du Havre (Seine-Maritime).

    «Suite à la saisie, dans la journée de mardi, de plus de 200 kilos de cocaïne dans l'agglomération du Havre par le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen, une perquisition a été diligentée dans la soirée dans une habitation du quartier de la Mare-Rouge au Havre.

    Les agents venus pour sécuriser les abords ont alors été pris à partie et les affrontements ont duré environ trois quarts d'heure», relate une source policière.

    «Les policiers ont dû faire face à des petits groupes, rassemblant plusieurs dizaines de personnes, qui jetaient des projectiles sur les fonctionnaires et leur véhicule. En réponse, les forces de l'ordre ont fait usage de tirs de flashball et de grenades lacrymogènes», a précisé une source judiciaire.

    «Le calme est revenu vers 22h. Il n'y a pas eu d'interpellation, mais une enquête pour ces faits de violences a été ouverte par le parquet du Havre», a poursuivi cette même source.

    Selon la source policière, plusieurs interpellations ont eu lieu mardi en lien avec la saisie de cocaïne. «Des gardes à vue sont en cours, l'enquête est pilotée par le parquet du Havre», a précisé ce même interlocuteur confiant «que la saisie n'avait pas eu lieu sur le port, mais qu'elle était forcément liée au port».

    Le Parisien


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  • Allez voir les commentaires : https://www.youtube.com/watch?v=-lUKcs_x5y4


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  • Le nouveau « secrétaire d’État à la transition écologique » est un dirigeant et lobbyiste de Danone

    Plus c’est gros, plus ça passe ! En l’occurrence, c’est tout simplement énorme : suite au remaniement ministériel de ce mardi, Emmanuelle Wargon a été « nommée secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire ».

    Fille de Lionel Stoléru (ancien ministre de Valéry Giscard d’Estaing), Emmanuelle Wargon était à l’ENA, dans la même promotion qu’un certain Édouard Philippe… Nommée à la Cour des comptes après son cursus, elle devint par la suite conseillère technique dans le cabinet de son coreligionnaire Bernard Kouchner, à l’époque ministre de la Santé de Chirac. Passée par le Haut-commissariat aux Solidarités de Martin Hirsch sous Nicolas Sarkozy et le ministère du Travail sous François Hollande, elle est depuis 2015 « directrice générale des affaires publique et de la communication » (lobbyiste en chef) de Danone – géant mondial de l’agro-alimentaire (pour lequel Muriel Pénicaud, ministre du Travail, a exercé la fonction de directrice des ressources humaines). 
     

    CONTRE INFO.com


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  • Calais : une bénévole aidant les migrants violée par un clandestin

    « Le quotidien « La Voix du Nord » a signalé ce fait divers, mais il n’a pas été repris par les chaînes de télévision et nous l’apprenons par le média espagnol « Casoaislado ».

    Le 4 octobre, à Calais (Nord), une jeune femme bénévole et très engagée dans la défense de l’arrivée massive de migrants illégaux, a été violée par un migrant d’origine marocaine, également volontaire dans la même association d’accueil des migrants. Il l’a entraînée dans le camping « Les Palominos » et l’a forcée à avoir une relation sexuelle non consentie.

    L’association a confirmé avoir « expulsé » le volontaire et apporté toute son aide à la jeune victime qui a dénoncé ce viol. Le procureur, Pascal Marcouville, a déclaré que la plainte pour viol avait été enregistrée au commissariat de Calais. Ce n’est pas la première fois qu’une bénévole d’association, partisane d’une immigration massive, est violentée. « Casoaislado » signale également que le 3 octobre a comparu devant les magistrats de Viscaya (Pays basque espagnol), un migrant d’origine marocaine accusé d’avoir pratiqué un viol anal, avec l’aide d’un complice, sur une jeune fille de 14 ans, lors des fêtes d’Halloween, en 2016, dans la cité de Lejona. […] »

    CONTRE INFO.com - 17 octobre 2018


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  •  

    Castaner : « Cela n’a rien à voir avec l’islam, qui est une religion de bonheur, d’amour, comme la religion catholique »
    Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com

    LIEN : http://www.contre-info.com/castaner-cela-na-rien-voir-avec-lislam-qui-est-une-religion-de-bonheur-damour-comme-la-religion-catholique 


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  • Mort de Paul Allen : Le milliardaire fait don de sa fortune

    Paul Allen en 2013.

    Mort de Paul Allen : Le milliardaire fait don de sa fortune

    Paul Allen à la guitare, soirée à Cannes le 15 mai 2005

    Cofondateur de Microsoft, Paul Allen est mort des suites d'un cancer. Comme son ancien associé Bill Gates, il a décidé de donner la majorité de sa fortune à des oeuvres de charité dans l'espoir de changer le monde...

    Il était le frère ennemi de Bill Gates avec lequel il avait fondé Microsoft en 1975. Le milliardaire Paul Allen est mort lundi 15 octobre 2018 des suites d'un cancer du sang, un lymphome non hodgkinien. La nouvelle de sa disparition est annoncée par son entreprise Vulcan Ventures dans un communiqué cosigné par sa famille. Sa fortune est estimée à 20,3 milliards de dollars selon le magazine Forbes... Une somme dont la moitié doit revenir à des oeuvres de charité.

    Le destin de Paul Allen est intimement lié à celui de Bill Gates. Sans leur association, pas de Microsoft ou d'informatique dans les foyers. Mais leur histoire est aussi celle d'un grand conflit. En 1982, Allen et Gates bataillent ferme. Le premier assure que le second essaye de profiter de son état de faiblesse – il souffre déjà d'un cancer – pour s'imposer comme l'unique homme fort de Microsoft. En 1983, Paul Allen claque la porte malgré une lettre excuses de six pages de son associé. Incapables de se mettre d'accord sur le prix de rachat des parts d'Allen, celui-ci quitte le navire avec 36% de Microsoft en poche et crée Vulcan.

    Microsoft entre en Bourse trois ans plus tard et fait la fortune de ses deux fondateurs. Avec cet argent, Paul Allen investit dans différents domaines comme l'aérospatial, le cinéma et les documentaires, la plateforme Ticketmasters, etc. Il achète également deux équipes deux sports : les Portland Trail Blazers (basket) et les Seattle Seahawks (football américain).

    Changer le monde

    En 2010, Paul Allen rejoint dès sa création The Giving Pledge, un mouvement lancé par Bill Gates et Warren Buffett. Il s'agit de milliardaires qui, à travers le monde, promettent de faire don d'une grande partie de leur fortune dans l'espoir de changer le monde. En 2018, ils sont 184 à avoir répondu à cet appel, comme Tim Cooke (Apple), Elon Musk (Space X), Mark Zuckerberg et Priscilla Chan (Facebook) ou encore Richard Branson (Virgin).

    En 2011, Paul Allen règle ses comptes avec Gates dans une autobiographie. Il concède cependant que, malgré leur brouille, leur lien est "indéniable". Pour l'instant, Bill Gates ne s'est pas exprimé sur la mort de Paul Allen.

    L'homme d'affaires n'était pas marié et n'avait pas d'enfant. Il aimait les volcans, jouer de la guitare (à un très haut niveau à en croire le producteur légendaire Quincy Jones) et les yachts. Sa soeur Jody, avec laquelle il dirigeait la société de production cinématographique, écrit dans le communiqué de Vulcan : "Mon frère était une personne remarquable à tous égards."

    Pure People

    L'argent ne préserve pas du cancer, une justice !


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  • Qui est Jacqueline Gourault, la nouvelle ministre de la Cohésion des territoires ?

    Qui est Jacqueline Gourault, la nouvelle ministre de la Cohésion des territoires ?

    Qui est Jacqueline Gourault, la nouvelle ministre de la Cohésion des territoires ?

    Jacqueline Gourault a été nommée ce mardi à la tête d’un grand ministère de la Cohésion des territoires - en remplacement de Jacques Mézard, qui quitte le gouvernement - et sera épaulée par Sébastien Lecornu et Julien Denormandie, a annoncé l’Élysée dans un communiqué.

    Jacqueline Gourault est connue pour être très proche du président du MoDem François Bayrou. Sénatrice MoDem du Loir-et-Cher entre 2001 et 2017, elle fut également vice-présidente du Sénat lors de ses trois dernières années de mandat. Après les législatives de 2017, elle a été nommée à un poste aux contours flous, « ministre auprès du ministre de l’Intérieur ».

    L’ex « super-adjointe » de Gérard Collomb

    Malgré son expérience de « super-adjointe » de Gérard Collomb au ministère de l’Intérieur, Jacqueline Gourault demeure peu connue du grand public. Son objectif était de « faire de la pédagogie » en évitant que le fossé d’incompréhension ne se creuse entre les élus de terrain et l’exécutif, que ce soit à propos des dotations globales de fonctionnement ou l’abaissement de la vitesse à 80 km/h.

    Son assise politique s’est en outre renforcée lorsque Matignon lui a demandé de prendre en charge le dossier corse, devenant l’interlocutrice privilégiée des turbulents présidents nationalistes de l’exécutif et de l’assemblée de l’île, Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni.

    Réputée pour sa bonhomie et un certain franc-parler, Jacqueline Gourault s’est toutefois vu reprocher de mémorables bourdes. En juillet dernier notamment, elle parle de « prisonniers politiques » corses, avant de faire un spectaculaire rétropédalage.

    Engagement avec Giscard, adversaire de Jack Lang, figure du Modem

    Professeure d’histoire-géographie pendant plus de 20 ans, Jacqueline Gourault s’est d’abord engagée en politique auprès de Valéry Giscard d’Estaing. Elle deviendra ensuite maire de la commune de La Chaussée-Saint-Victor (Centre-Val de Loire).

    En 1993, elle se présente aux législatives, notamment face à Jack Lang - alors responsable politique de premier plan. Battue d’une courte tête, Jacqueline Gourault parvient « à faire invalider la réélection du député, coupable d’avoir dépassé le plafond de 500 000 francs de dépenses électorales autorisées de quelque 90 000 francs » comme l’explique L’Obs. Le ministre devient alors inéligible pendant un an et Jacqueline Gourault se fait un nom au niveau national, malgré sa défaite.

    Jacqueline Gouraud est également une figure historique du MoDem, faisant notamment partie de l’équipe dirigeante aux débuts du parti, en 2007. Enfin, lors de la dernière élection présidentielle, Jacqueline Gourault s’est engagée avec une petite dizaine de sénateurs centristes en faveur d’Emmanuel Macron.

    Opposée au mariage pour tous

    Catholique pratiquante selon l’Obs, Jacqueline Gourault est également connue pour s’être opposée au mariage pour tous. « Le mariage est un héritage de notre histoire qui, je crois, devrait être préservé en ce qu’il a de symbolique » déclarait-elle sur Radio Plus FM.

     

    Elle avait en outre laissé planer le doute lorsqu’elle était interrogée, en mars dernier, sur l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes, pourtant promesse de campagne du candidat Macron.

    Ouest-France


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  • Viol sur ses filles: «Il voulait faire mon éducation pour ne pas être nunuche avec les garçons», témoigne l'une d'elles

    Un père de famille est jugé devant la cour d'assises du Rhône pour avoir abusé de ses deux filles pendant dix ans...

    « Il nous a tout fait ». Une phrase ne mentionnant aucun détail mais qui en dit pourtant long. Pendant plus de deux heures, Lucie et Sandra (1), âgées respectivement de 23 et 21 ans ont raconté l’inénarrable, mardi après-midi devant les assises du Rhône. Le procès aurait dû se tenir à huis clos mais les deux victimes ont souhaité que les débats soient publics afin de témoigner ouvertement de leur calvaire. Deux heures pour résumer dix ans de sévices sexuels et de viols imposés par leur père.

    Sur le banc des accusés, l’ambulancier, les bras musclés et tatoués, lève les yeux au ciel, plisse le front d’un air étonné ou soupire « c’est faux » à l’oreille de son avocate. S’il admet fellations, masturbations et caresses, il nie en revanche toute pénétration.

    « Cette chose qui m’a créée »

    « Pourquoi ne dit-il pas la vérité ? Au moins pour que l’on essaie d’avancer, de survivre à défaut de vivre », sanglote Sandra. La jeune femme avoue être « complètement perdue ». « Je fais n’importe quoi », confesse-t-elle en pleurs, avouant se scarifier les bras et les jambes. « Je n’arrive pas à m’arrêter. J’ai envie de disparaître. On m’a tellement dit que je lui ressemblais physiquement ».

    Son cauchemar a débuté en 2002 (date que conteste l’accusé) lorsqu’elle avait 5 ans. Ce jour-là, son « géniteur », « cette chose qui l’a créée » lui demande de monter dans sa chambre avec sa sœur, pour que cette dernière lui montre ce qu’elle a l’habitude de faire, et qu’elle s’exécute à son tour dans le lit parental. Des pratiques bien rodées auxquelles l’aînée est déjà contrainte depuis deux ans. Parfois, son père lui fait visionner des films pornographiques en guise de guide pratique. « Dès que je rentrais de l’école, je savais ce qui m’attendait. Il me disait « ce soir, tu vas me faire plaisir »», témoigne douloureusement Lucie. Ses jambes tremblent. On lui apporte une chaise.

    « Il me disait qu’il voulait être le premier »

    « Il me disait qu’il voulait être le premier et que c’était normal de faire mon éducation. Histoire de ne pas être nunuche avec un garçon ». Un scénario qui se répète « deux à trois fois par semaine ». A l’époque, elle n’en parle à personne. Seulement à sa cadette. « A nos âges, on ne pensait pas au sexe. On ne savait pas ce que c’était. C’est bien plus tard que j’ai compris ce qu’il me faisait », appuie cette dernière, se souvenant de l' « atroce douleur qui la transperçait ».

    « J’avais trop honte. Je pensais que maman ne me croirait pas ou qu’elle ne m’aimerait plus. En tout cas, c’est ce qu’il voulait me faire croire », enchaîne Lucie. Du chantage psychologique en somme. Surtout à l’égard de Sandra, l' « enfant rebelle ». Une gâterie contre la promesse de récupérer ses peluches confisquées la veille ou le matin même. Du chantage affectif également. « Une fois, il m’a montré une corde dans la cave en disant qu’il allait se pendre », détaille la cadette. A chaque fois les mêmes menaces de suicide si les fillettes brisent l’omerta.

    « Je n’ai pas su protéger mes enfants »

    A la barre, la mère, qui s’est constituée partie civile, laisse échapper sa souffrance et sa culpabilité, de n'« avoir jamais rien vu ». « Je n’ai pas su protéger mes enfants, je n’ai pas su les écouter ni les entendre », martèle-t-elle dressant le portrait d’un mari violent, « addict au sexe », lui imposant plusieurs rapports par jour. Un époux jaloux qui ne supportait pas que sa femme refuse les ébats conjugaux. Elle l’a connu à 16 ans. Lui était déjà marié et plus âgé qu’elle.

    « J’ai été happée dans cette relation d’emprise », se justifie-t-elle. Pas de relation sociale, pas d’amis, hormis quelques relations dans la communauté des Témoins de Jéhovah, qu’elle fréquentait à l’époque. « Il parlait de l’amour qu’il avait pour ses enfants. Je savais qu’il était intéressé par les femmes, je le voyais se montrer. Mais jamais, je n’ai pensé qu’il aurait pu toucher des enfants… Nos enfants ».

    Elle pense partir mais elle « a peur ». « A l’extérieur, il était un homme sympathique, souriant, serviable. On faisait tous bonne figure. On donnait l’image d’une famille parfaite. Personne n’aurait compris », ajoute-t-elle. Il faudra attendre 2011 pour qu’elle divorce et que les sévices cessent. Et 2012 pour que Sandra écrive une lettre dans laquelle elle déballe tout, qu’une tierce personne trouvera dans son sac.

    « Il a volé mon enfance et mon futur »

    Depuis, les deux victimes tentent de se reconstruire difficilement. « Il a volé mon enfance et même mon futur », pleure Lucie. La jeune femme avoue être en proie régulièrement aux crises de panique et a longtemps « répugné les hommes », surtout « ceux de 40 ans ». Elle ne parvient toujours pas à passer des entretiens d’embauche lorsqu’elle sait qu’elle va se retrouver seule avec une personne de sexe masculin.

    Sandra a laissé tomber la coiffure pour s’engager dans l’armée et quitter la région. Un défi pour se prouver qu’elle n’a « rien à craindre dans un milieu d’hommes ». « Je ne sais pas quoi faire d’autre de ma vie », glisse-t-elle. Elle a enchaîné quelques relations sans lendemain « pour se laver ou peut-être se rajouter encore plus de crasse ». « C’est comme si mon cerveau buguait quand je me mets avec quelqu’un. J’ai l’impression de devenir folle », confesse-t-elle.

    Leur « géniteur » doit être entendu ce mercredi sur les faits qui lui sont reprochés, notamment ceux qu’il conteste. Le verdict est attendu jeudi.

    (1) Les prénoms ont été modifiés

    20 Minutes

    Ce salaud mérite la prison à vie !

    Les filles ont été longues à réagir !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MERCREDI 17 10 2018


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