• Besançon : trois individus placés en garde à vue après une bagarre à l'hôpital

    Deux hommes ont fait irruption dans le bâtiment et ont aspergé de gaz lacrymogène trois autres personnes, déjà hospitalisées.

    Trois individus ont été placés en garde à vue après une bagarre dans la nuit de vendredi à samedi au CHU de Besançon (Doubs), rapporte France Bleu Besançon samedi 15 septembre.

    Trois personnes, hospitalisées suite à une attaque au couteau sans gravité, ont été aspergées de gaz lacrymogène dans l'hôpital, par deux individus. Les trois patients ont été placés en garde à vue pour "violences aggravées réciproques". Les deux assaillants, qui sont entrés dans l'hôpital, sont eux toujours en fuite. Le hall des urgences a dû être temporairement évacué.

    Craignant un risque de réitération des violences, la police a préféré garder sous surveillance les trois individus, ceux-ci se montrant "très peu coopératifs", selon une source policière. Les forces de l'ordre n'ont pour le moment communiqué aucun motif pouvant éclairer sur les circonstances de cette rixe et cherchent actuellement à identifier les deux protagonistes en fuite ayant fait usage de gaz lacrymogène.

    franceinfo

    Juste un petit règlement de comptes entre truands !

    C'est ça la France de maintenant !


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  • Marseille : braquage raté au marché aux puces, quatre blessés légers

    Un braquage a mal tourné samedi soir au marché aux puces de Marseille, avec pour bilan un des braqueurs tabassé par les "zonards" de ce quartier sensible, le butin volatilisé et quatre blessés légers, a indiqué une source policière.

    Un braquage du Lidl.

    Les deux braqueurs sont arrivés vers 20 heures sur les lieux, dans le 15ème arrondissement de Marseille, dans une BMW faussement immatriculée. Ils se sont d'abord fait remettre trois fonds de caisse, au supermarché Lidl du marché aux puces, sous la menace de leurs armes : un fusil à pompe pour l'un, un pistolet pour l'autre, a précisé la DDSP des Bouches-du-Rhône (Direction de la sécurité publique), confirmant une information initiale donnée par La Provence.

    Des braqueurs pris à partie.

    Puis, toujours sous la menace, ils ont contraint un des caissiers à leur ouvrir le coffre du magasin et à en vider le contenu dans plusieurs sacs. C'est en tentant de charger le butin dans leur voiture que les deux braqueurs ont "été pris à partie par des gens qui 'zonaient' là, des gens du cru, une cinquantaine au moins", a expliqué la commissaire de permanence à la DDSP des Bouches-du-Rhône.

    Deux blessés dans la bagarre.

    En tentant de se libérer de leurs agresseurs, dans l'échauffourée, les braqueurs ont tiré, sans doute vers le sol, avec pour bilan une personne blessée par un petit plomb à une jambe, deux autres écorchées par des éclats, et "un papy" touché d'un coup de crosse à la tête.

    L'un des malfaiteurs tabassé.

    Le plus sérieusement atteint a en fait été le braqueur finalement interpellé par les policiers arrivés sur les lieux, qui était "en train de se faire tabasser et qui s'est fait en prime rouler dessus par son complice qui a lui réussi à prendre la fuite".

    Un butin disparu dans les poches de habitants ! 

    Quant au butin, dont le montant était encore inconnu samedi soir, il s'est en très grande partie volatilisé dans les poches des riverains en question : "Le butin a été en grande partie pillé, ça grouillait de partout quand nous sommes arrivés, tout le monde s'est servi", précisait-on samedi soir de source policière.

    "La délinquance galope" dans ce quartier.

    Dans un communiqué, la sénatrice socialiste Samia Ghali, maire honoraire de l'arrondissement, a dénoncé les avancées "à saut de puce" du projet EuroMéditerranée, sensé permettre à ce quartier défavorisé de se redresser. Pendant ce temps, "la délinquance elle galope, apportant son lot de trafics, d'infractions, de délits, de misère et de violence", a dénoncé Samia Ghali, parlant d'un "secteur livré aux marchands de sommeil, à la délinquance et aux commerces de la misère".

    Europe 1

    Elle est pas belle la France !!!


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  • Australie : une récompense pour découvrir qui cache des aiguilles dans les fraises

    Plusieurs habitants ont signalé avoir acheté des fraises contenant de petites aiguilles en métal plantées à l'intérieur.

    Mais qui place des aiguilles à coudre dans les fraises vendues au supermarché ? L'Etat australien du Queensland offre une forte récompense pour toute information susceptible de faire avancer l'enquête sur ce "crime très vicieux", selon les mots du ministre fédéral de la Santé.

    L'affaire est apparue au grand jour la semaine dernière avec l'hospitalisation d'un homme souffrant de douleurs d'estomac après avoir mangé des fraises achetées dans un supermarché du Queensland. Depuis, les habitants postent sur les réseaux sociaux des photos de fraises contenant de petites aiguilles en métal plantées à l'intérieur.

    Les consommateurs se sont vus conseiller de couper en deux les fraises avant de les manger. Plusieurs qualités de fraises cultivées dans le Queensland ont été retirées des supermarchés. D'autres cas ont été signalés dans les Etats de New South Wales et Victoria.

     

    100 000 dollars de récompense

    "Quiconque se trouve derrière cela met en danger non seulement les familles du Queensland et du reste de l'Australie, mais aussi toute une industrie", a déclaré samedi 15 septembre la Première ministre du Queensland, Annastacia Palaszczuk. "Je demande à toute personne disposant d'une information qui pourrait être liée à cette affaire de quelque manière que ce soit de contacter la police aussitôt que possible".

    Son gouvernement a offert une récompense de 100 000 dollars australiens (71 500 dollars américains, soit 61 500 euros) pour toute information susceptible d'aider à l'arrestation et au jugement des responsables.

    La contamination des fraises, vendues en barquettes de plastique, vise "manifestement à blesser quelqu'un", a expliqué la police du Queensland à la radio-télévision nationale ABC. Les mobiles de l'attaque restent inconnus mais l'Association des producteurs de fraises du Queensland a évoqué la piste possible d'un ancien employé du secteur mécontent.

    franceinfo


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  • Les éleveurs en alerte face au risque de peste porcine

    L'arrivée dans les élevages français de ce fléau repéré en Belgique entraînerait notamment l'interdiction de l'exportation de la viande de porc.

    Les porcheries du nord-est de la France étaient vendredi en état d'alerte maximale, au lendemain de la découverte de deux cas de peste porcine africaine (PPA) sur des sangliers retrouvés morts près de la commune wallonne d'Etalle, à 10 kilomètres de la frontière française. «La situation est préoccupante, nous sommes en France dans une zone de risque majeur», insiste le président de la Fédération nationale porcine (FNP), Paul Auffray. Bien que ce virus ne soit pas contagieux pour l'homme, ce dernier peut le transmettre soit directement, soit par l'intermédiaire de denrées alimentaires. Ainsi, en Belgique, parmi les hypothèses envisagées, les sangliers contaminés auraient mangé un reste de sandwich jeté par un ouvrier forestier venu de l'est de l'Europe, où le virus de la PPA est très présent.

    L'arrivée en France de la PPA aurait des conséquences économiques extrêmement graves pour la filière porcine, notamment l'interdiction des exportations. Pour éviter un tel scénario catastrophe, le ministère de l'Agriculture a élaboré autour de la Direction générale de l'alimentation (DGAL) un plan d'action. Il l'a présenté aux professionnels du secteur (éleveurs, transporteurs, abatteurs, vétérinaires mais aussi chasseurs), ce vendredi après-midi. Son objectif: empêcher l'entrée dans l'Hexagone de ce virus mortel pour les sangliers mais surtout pour les cochons d'élevage. Il comprend deux volets: l'un destiné à élevage et l'autre à la faune sauvage. «Tous les acteurs concernés doivent être en ordre de marche», indique Loïc Evain, directeur général adjoint de la DGAL.

     

    «Un manque de stratégie européenne»

    Par exemple pour le volet faune sauvage, les pouvoirs publics ont interdit la chasse en forêt dans une zone d'observation renforcée recouvrant 130 communes bordant la frontière belge et traversant trois départements: les Ardennes, la Meuse et la Meurthe-et-Moselle. «Il faut éviter des déplacements d'animaux éventuellement contaminés. Par ailleurs, nous avons demandé aux chasseurs de mettre en place une action de surveillance de l'état de santé des sangliers, précise le fonctionnaire de la DGAL. En parcourant les forêts, ils doivent nous signaler la présence éventuelle de sangliers morts dont nous pourrons analyser les causes.» En ce qui concerne les élevages, Loïc Evain a rappelé les règles de biosécurité élémentaires afin d'éviter l'introduction du virus. Les éleveurs devront également veiller à isoler les bâtiments pour éviter des contacts avec les animaux sauvages, les sangliers en particulier. Les réactions des acteurs concernés sont mitigées.

    «Nous regrettons le manque de stratégie européenne pour tenter de repousser le front de la maladie, alors que nous alertons sur le risque depuis plusieurs années», déplore Paul Auffray. «Les chasseurs, véritables sentinelles sanitaires, apporteront tout leur soutien aux éleveurs porcins ainsi qu'aux services sanitaires du pays afin d'aider à stopper la propagation de la maladie», assure pour sa part Willy Schraen, président de la Fédération nationale des chasseurs.

    Le Figaro.fr

    Dommage que ce virus ne se transmette pas à l'homme. Ce serait bien de voir disparaître tous ces éleveurs de pauvres cochons !

    Je vous rappelle que le porc est aussi intelligent que le chien !

    Les éleveurs en alerte face au risque de peste porcine

    Elevage intensif de porcs !!!

    Les éleveurs en alerte face au risque de peste porcine Petits porcelets tétant leur mère à travers des barreaux !

    Vous avez vu la place de la maman pour bouger !

    Les éleveurs en alerte face au risque de peste porcine

     

    Alors, si les éleveurs de porcs pouvaient avoir des problèmes, cela me réjouirait ! Ils peuvent tous crever ! Point barre !

    Pensez à la souffrance de ces animaux en mangeant votre rôti de porc ou votre jambon !!!


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  • Etats-Unis : un homme de 26 ans tué par un grand requin blanc

    Attaqué à Cape Cod, dans le Massachusetts, le nageur, âgé de 26 ans, est décédée à l’hôpital des suites de ses blessures.

    Un homme est mort des suites d’une attaque de grand requin blanc, ce samedi, à Cape Cod, dans le Massachusetts (nord-est des Etats-Unis). Selon la presse locale, la victime, âgée de 26 ans, était originaire des environs. Elle est décédée dans l’hôpital où elle avait été transportée.

    « J’ai vu un cauchemar se dérouler devant moi », raconte un témoin interrogé par le Cape Cod Times. « C’était une journée calme, tout le monde profitait des vagues ». Et puis, « une éruption géante est sortie de l’eau ».

    L’homme repère alors une queue d’animal s’agiter autour d’un nageur. « On pouvait voir à son langage corporel que quelque chose n’allait pas », se remémore-t-il, précisant que l’animal devait mesurer entre quatre et cinq mètres.

    Un témoin de l’attaque de requin raconte

    « Des gens se sont mis à courir », certains « à crier comme des fous qu’il y avait eu une attaque de requin ». Le jeune homme a ensuite été pris en charge sur la plage par des secouristes, souffrant de graves blessures aux membres inférieurs. « Il avait définitivement l’air de souffrir le martyre », ajoute le témoin.

    Le 15 août, un sexagénaire américain avait déjà été attaqué par un grand requin blanc dans le Massachusetts. Il avait survécu à l’attaque. La dernière attaque fatale dans cet état américain baigné par l’océan atlantique remonte à 1936.

    Le Parisien

    Le requin était chez lui, dans son élément !

    Et puis, quand on pense à tous les poissons et animaux marins tués et bouffés par les humains, ce n'est rien !


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  • L’abattoir de Mauléon à la barre

    Maltraitances, sévices graves, actes de cruauté : les dérives de l’abattoir de Mauléon-Licharre seront au cœur du procès qui s’ouvre lundi à Pau.

    Les images diffusées en mars 2016 par l’association L214 avaient choqué la France entière. Tournées juste avant Pâques en caméra cachée dans l’abattoir de Mauléon-Licharre (Pyrénées-Atlantiques), ces vidéos dévoilaient des mises à mort d’agneaux de lait, de veaux et de bovins. On y voyait des animaux frappés sur la tête avec un crochet, recevant des coups de pied ou d’aiguillon électrique, mais aussi des animaux «étourdis» à plusieurs reprises, saignés trop tardivement, égorgés en pleine conscience… Sans parler de ces images terribles d’un agneau écartelé.

    195 infractions

    «La viande de ces agneaux de lait était encensée par des chefs étoilés ainsi que par de célèbres bouchers comme Yves-Marie Le Bourdonnec, qui se présente comme un carnivore responsable, dénonce Brigitte Gothière, cofondatrice de L214. L’abattoir de Mauléon-Licharre est certifié bio et met en avant le Label rouge et l’indication géographique protégée (IGP). Mais quels que soient les labels, les méthodes de mise à mort sont identiques : toutes génèrent d’intenses souffrances pour les animaux

    Forte de ces enregistrements, l’association L214 avait porté plainte contre cet abattoir auprès du procureur de la République de Pau pour maltraitances, sévices graves et actes de cruauté ; 195 infractions avaient été retenues dans le cadre de cette enquête qui devait conduire à la mise en cause de l’ancien directeur de l’abattoir et de quatre de ses employés.

    Vidéosurveillance

    «En 2016, après la diffusion de nos vidéos tournées dans les abattoirs d’Alès, du Vigan et de Mauléon-Licharre, le ministre de l’Agriculture de l’époque, Stéphane Le Foll, avait ordonné un audit dans les abattoirs français, rappelle Brigitte Gothière. Les résultats étaient sans appel : 80% des chaînes d’abattage présentaient des non-conformités. Pourtant, aucun procès n’est venu sanctionner ces infractions

    Une commission d’enquête sur les conditions d’abattage des animaux de boucherie avait également été créée en 2016 au sein de l’Assemblée nationale. Après six mois d’auditions, cette instance présidée par Olivier Falorni, député de Charente-Maritime, avait notamment prôné l’installation dans les abattoirs d’un système de vidéosurveillance. «Même le directeur de l’abattoir de Mauléon-Licharre avait estimé, durant son audition devant notre commission, que la vidéosurveillance était la seule réponse possible à d’éventuelles dérives, raconte Olivier Falorni. Je rappelle aussi que durant la campagne présidentielle, Emmanuel Macron s’était engagé auprès des associations de défense animale à mettre en place une telle vidéosurveillance…»

    L’installation obligatoire de caméras dans les abattoirs est pourtant restée lettre morte, rejetée par la majorité parlementaire lors des débats sur la loi alimentation en mai.

    Libération

    Il semble que la majorité parlementaire ne soit pas touchée par la souffrance animale !

    Une promesse de plus de macron non tenue !

    Tout cela devrait vous inciter à manger moins de viande, enfin si vous aimez les animaux !!!


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - DIMANCHE 16 09 2018

     

    Passez un bon dimanche


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  • Marine Le Pen était l'invitée politique de RTL avec Elizabeth Martichoux 

    Quelle conne cette journaliste, encore pire que l'autre !


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  • Ce journaleux pose des questions et coupe sans cesse la parole à Dupont-Aignan quand il veut répondre, quel grossier personnage ! 


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  •  Emmanuel Macron a reconnu jeudi 13 septembre que la France était responsable dans la disparition de Maurice Audin. "Il n'a pas reconnu un fait historique, il reconnaît la responsabilité de la France, c'est pas la même chose, il n'y avait aucune responsabilité de la France" selon Éric Zemmour.


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 15 09 2018

     

    Passez une bonne soirée


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    Béarn : un prêtre mis en examen pour agressions sexuelles sur mineurs

    Un prêtre de l'agglomération de Pau, dans les Pyrénées-Atlantiques, a été mis en examen pour agressions sexuelles sur mineurs de moins de 15 ans, des faits anciens qui pourraient toutefois faire l'objet d'une prescription, a indiqué une source judiciaire.

    Des faits "très anciens", selon la procureure.

    Le prêtre, dont l'âge n'a pas été précisé, a été mis en examen et "placé sous contrôle judiciaire avec l'interdiction de fréquenter des mineurs", a indiqué Cécile Gensac, procureure de la République de Pau, confirmant une information de France Bleu Béarn. "Les faits sont très anciens et l'enquête déterminera s'ils ne font pas l'objet d'une prescription", a ajouté la magistrate, sans plus de précisions sur ces événements, survenus dans l'agglomération de Pau, et qui ont donné lieu à au moins une ou plusieurs plaintes. L'enquête a été confiée à la police judiciaire.

    Le délai de prescription porté à 30 ans l'année dernière.

    Le délai de prescription des crimes sexuels commis sur des mineurs était jusqu'à récemment de 20 ans à compter de la majorité de la victime, mais un projet de loi adopté en août dernier par le Parlement a porté ce délai à 30 ans. L'évêché de Bayonne, Pau et Lescar, n'a pu être joint dans un premier temps vendredi.

    Europe 1


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  • Calvados : un jeune footballeur de 26 ans décède après un malaise cardiaque

    Un jeune footballeur de 26 ans est décédé vendredi soir à Mondeville, dans la banlieue de Caen (Calvados) suite à un malaise cardiaque, rapporte Tendance Ouest.

    Le drame s’est produit vendredi aux alentours de 20 heures alors que le jeune homme était présent sur la pelouse du stade lors de l’entraînement de son club, l’Union Sportive de Mondeville.

    Les pompiers du Calvados ont été alertés immédiatement pour intervenir au stade Jean Tocquer mais ils ne sont pas parvenus à réanimer le jeune footballeur. La victime a été déclarée décédée par le médecin du Smur.

    Le Parisien

    Je trouve que cela arrive souvent !


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  • OUNA, chaton : On lui a tranché la patte…

    Ouna n'est qu'un bébé qui déjà a connu la cruauté humaine.

    Elle a été trouvée en bord de route par une dame qui a prévenu l'association Les Ailes de Mitzie.

    Au moment de sa prise en charge, Ouna n’est qu’une toute petite boule de poils déshydratée par une violente diarrhée, décharnée, d'une faiblesse extrême.

    Elle est conduite chez le vétérinaire qui la met sous antibiotique et anti-inflammatoire.

    Aussi, Ouna n'a que 3 pattes. En effet, sa patte arrière-droite a été tranchée. Il s'agit d'une coupure franche et nette, qui a clairement été faite avec un objet tranchant.

    ............

     

    LIEN : http://www.clicanimaux.com/chevaux/collecte-5281-ouna-on-lui-a-tranche-la-patte

    Comment peut-on faire ça à un si petit être sans défense ?  Encore une saloperie d'humain !


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  • Glyphosate : l'Assemblée rejette à nouveau l'interdiction dans la loi

    Au terme d'un long débat enflammé, les députés ont rejeté les amendements visant à graver dans le texte l'engagement présidentiel d'interdire le glyphosate.

     

    Nouveau débat enflammé à l'Assemblée sur le glyphosate, mais résultat inchangé : l'interdiction de l'herbicide controversé d'ici trois ans ne sera pas inscrite dans la loi, ont décidé les députés dans la nuit de vendredi à samedi 15 septembre.

    Au terme d'un long débat en nouvelle lecture du projet de loi agriculture et alimentation, les députés ont rejeté au petit matin l'ensemble des amendements visant à graver dans le texte l'engagement présidentiel d'Emmanuel Macron d'interdire la substance, "au plus tard dans trois ans" !!!

    Le scrutin le plus serré a porté sur un amendement du "marcheur" François-Michel Lambert, rejeté par 42 voix contre 35, les autres amendements, défendus notamment par l'ex-ministre de l'Ecologie Delphine Batho ou les Insoumis étant rejetés plus largement.

    Tous ces amendements avaient le soutien de l'ensemble de la gauche, plaidant pour un "signal fort" sur ce sujet.

    "La position de la France est désormais connue"

    En mai, lors de la première lecture du texte, des députés, y compris certains "marcheurs", avaient déjà plaidé en vain pour sanctuariser dans la loi l'engagement présidentiel. Ils avaient eu le soutien de Nicolas Hulot, alors ministre de l'Écologie.

    Comme au printemps, le ministre de l'Agriculture Stéphane Travert s'est opposé aux amendements mettant en avant la "méthode" du gouvernement : "task force", mobilisation de la recherche pour développer des solutions agronomiques, mission parlementaire...

    "La position de la France est désormais connue", et "nous souhaitons être au rendez-vous dans les trois ans" pour "répondre à l'objectif présidentiel, mais surtout à la demande de la population", a-t-il affirmé.

    Il a obtenu l'appui du rapporteur Jean-Baptiste Moreau (LREM) pour qui inscrire l'engagement dans la loi sur cette substance jugée "cancérigène probable" par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) "ne sert à rien" !

    Jean-Baptiste Moreau s'est aussi appuyé sur les déclarations de Matthieu Orphelin (LREM), un des fers de lance du combat contre le glyphosate en mai, qui avait expliqué jeudi dans l'hémicycle avoir pris note de toutes les "avancées obtenues depuis" et ne pas vouloir "refaire le match".

    "Pourquoi refuser d'inscrire dans la loi ?"

    D'autres élus LREM ont mis en avant "la responsabilisation des acteurs" et leur refus de voir l'opposition essayer de "préempter" l'engagement présidentiel.

    "Dès lors que vous êtes confiant dans la méthode qui est la vôtre, pourquoi refuser d'inscrire dans la loi ?", a questionné de son côté Guillaume Garot (PS).

    "Si la France ressemblait à tous les engagements successifs pris par les présidents, ça serait le paradis", a ironisé de son côté François Ruffin (LFI), son collègue Alexis Corbière promettant à la majorité un "effet dévastateur".

    Les députés, ont adopté dans la foulée vers 5 heures du matin l'ensemble du projet de loi. Le texte reviendra en nouvelle lecture au Sénat le 25 septembre, marquant le début de la session extraordinaire à la chambre haute.

    L'OBS

    Que les députés et leurs familles qui ont refusé l'interdiction du glyphosate crèvent tous d'un cancer !

    Encore un engagement de macaron qui n'est pas tenu !


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  • Affaire Ramadan: un témoin contre Henda Ayari poursuivi pour viol, vols et faux *

    © Copyright 2018, L'Obs Henda Ayari

    Un témoin qui avait affirmé avoir été menacé d'une plainte pour viol par Henda Ayari, accusatrice de Tariq Ramadan, vient d'être condamné à dix mois de prison ferme et doit être jugé dans une autre affaire en 2019, a-t-on appris samedi 15 septembre de source policière.

    Ce témoin, un fonctionnaire assermenté, avait raconté, dans une attestation datée du 27 novembre 2017 transmise à la justice, avoir rencontré Henda Ayari en mars 2013, alors qu'elle cherchait à obtenir des conseils juridiques dans le cadre de problèmes professionnels.

    Celle-ci lui aurait alors fait des avances, et l'aurait menacé quelques jours plus tard de porter plainte pour viol contre lui s'il ne consentait pas à avoir une relation sexuelle avec elle.

    Mis en cause dans une affaire de viol

    Selon une source policière, qui a confirmé partiellement des informations d'Europe 1 et Paris-Normandie, ce témoin, un ancien douanier de 44 ans, vient d'être condamné à 10 mois de prison ferme pour faux.

    Il est par ailleurs mis en cause dans une affaire de viol ainsi que dans une affaire de séquestration et d'extorsion de fonds en compagnie d'un ancien mercenaire.

    Arrêté par la police judiciaire de Rouen en 2015, il doit être jugé pour ces faits aux assises en 2019.

    Tariq Ramadan, 55 ans, est incarcéré depuis sa mise en examen le 2 février pour "viol" et "viol sur personne vulnérable", après les plaintes de Henda Ayari, une militante laïque et ancienne salafiste, ainsi que d'une autre femme surnommée Christelle dans les médias. Une troisième femme, Mounia Rabbouj, l'accuse également de viols et l'islamologue a été placé sous le statut de témoin assisté dans ce volet.

    En Suisse, une quatrième femme a déposé plainte pour viol contre lui.

    Ces accusations ont fait chuter cette figure populaire et controversée de l'islam en Europe

    L'OBS


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  • Une hausse de la taxe foncière se profile

    Dans les faits, pour l’instant, la taxe d’habitation va disparaître seulement pour les résidences principales (mais pas les autres biens, résidence secondaire ou investissement locatif). Et ensuite, il va bien falloir compenser le manque à gagner de 26,3 milliards d’euros...

     

    "Injuste" selon Emmanuel Macron, la taxe d’habitation est vouée à disparaître dans les prochaines années. La loi de finances 2018 a prévu son extinction pour 2022 ou presque. Car dans les faits, pour l’instant, la taxe d’habitation va disparaître seulement pour les résidences principales (mais pas les autres biens, résidence secondaire ou investissement locatif). Et ensuite, il va bien falloir compenser le manque à gagner de 26,3 milliards d’euros, selon le rapport remis en mai au Premier ministre par le sénateur du Val-d’Oise Alain Richard et l’ancien préfet Dominique Bur, dont pas moins de 24 milliards d’euros pour les collectivités locales !

    Les propriétaires pourraient bien être mis à contribution via la taxe foncière, qui, elle, rapporte déjà près de 45 milliards d’euros, contribution foncière des entreprises et taxe d’enlèvement des ordures ménagères comprises. Rien qu’entre 2011 et 2016, la taxe foncière a déjà augmenté de 14 % en moyenne, selon l’Observatoire des taxes foncières sur les propriétés bâties de l’Union nationale des propriétaires immobiliers. La hausse de 2017 avait été relativement modérée, à 1 % environ, contre près de 4 % entre 2015 et 2016. Mais la flambée pourrait être très rapidement ravivée : 2018 constitue quasiment la dernière année de forte augmentation possible avant les élections municipales de 2020 et certains départements s’y sont déjà engagés : les Hautes-Alpes ont annoncé relever leur taux de 24,8 %, le Lot-et-Garonne de 20,8 % et la Lozère de 16 %.

    Tous les leviers sont bons pour les collectivités, qui pourraient aussi faire grimper la taxe d’aménagement, due par les ménages qui font construire leur maison. Elle aussi peut se révéler particulièrement injuste selon les communes concernées. Par exemple, dans deux villes voisines de l’Essonne, pour une même maison neuve, le coût des taxes varie de 6 000 à 9 000 euros à Arpajon, contre 18 000 à 20 000 euros à Ollainville.

    Challenges


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  • Au restaurant, par mégarde, un vieil homme met une pièce de monnaie dans sa bouche et l’avale.

    La pièce reste coincée dans sa gorge. 

    Son épouse se lève et essaye de lui  faire cracher la pièce en lui tapant dans le dos, mais rien n'y fait.  

    Le vieil homme commence déjà à donner des signes d'asphyxie et l'épouse, désespérée, crie pour demander de l'aide.

    Un monsieur se  lève d'une table voisine et avec un calme étonnant, sans dire un mot, baisse le pantalon du vieil homme, saisit fermement ses testicules et les  tire vers le bas. 

    Dans un hurlement terrifiant, le vieil homme sous la douleur irrépressible recrache la pièce.

    L'homme avec le  même calme étonnant qu'il avait en arrivant, retourne à sa table sans dire un mot.

     

    Revenue de sa  peur et de son étonnement, l'épouse maintenant rassurée, se lève pour remercier cet homme qui a sauvé la vie de son mari.
       

    Elle lui demande :   "Vous êtes médecin ?"

    "Non Madame je suis un élu de la République en Marche."

     A ce titre, mes collègues et moi pratiquons cette opération tous les jours :

     

     Attraper les retraités par les couilles jusqu’à ce qu’ils crachent leurs derniers sous : c'est notre spécialité".


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  • PAS dans certaines GRANDES SURFACES  Visionner la vidéo puis……..

    Après avoir vu cela, n'oubliez pas de vérifier le poids lors de votre achat !.. enfin AVANT.

    On est vraiment pris pour des pigeons....voire des cons! Excellente arnaque que j'étais loin d'imaginer !

    Dorénavant, faisons peser directement nos sachets dans le rayon fruits et légumes et 

    demandons une explication à la direction, en alertant au passage quelques clients... ça devrait bien marcher !

    Faites le test de la pesée la prochaine fois que vous achèterez les fruits ou légumes déjà emballés dans votre supermarché !!!

      Après les prix moins chers, Casino invente le "poids moins lourd" 

    La répression des fraudes a évidemment été saisie de ce dossier 


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