• "Celui qui ne tabasse pas sa femme n’est pas un homme", déclare un chanteur marocain

    Adil El Miloudi, un chanteur populaire marocain, a fait l'apologie des violences conjugales à la télévision, en juin dernier.

    «Celui qui ne tabasse pas sa femme n’est pas un homme». Cette terrible déclaration a été prononcée par Adil El Miloudi, un chanteur populaire marocain, lors de son passage dans l’émission «Kotbi Night» sur la chaîne Chada TV le 29 juin dernier. À ses côtés, l’acteur Sami Naceri. La séquence choquante, remontée à la surface par des internautes sur Twitter, a été relayée dans le Huffington Post Maghreb.

    Visiblement fier de lui, Adil El Miloudi précise qu’il frappe toujours sa femme et que ces coups lui ont valu une garde à vue en Espagne. «Elle a dit aux flics que je ne lui aie rien fait, ils m’ont relâché 24 heures après», déclare-t-il avant d’ajouter qu’«au Maroc, cela est normal, chacun peut faire ce qu’il veut de sa femme, la frapper, la tuer». Les rires des spectateurs se font entendre.

    Sur les réseaux sociaux, les internautes ont appelé à ce que Adil El Miloudi soit banni des médias, tout en demandant à la justice d’intervenir.

    Le Huffington Post Maghreb rappelle qu’il ne s’agit pas du premier dérapage du chanteur. L’année dernière, il avait diffusé un live Facebook dans lequel il défendait Saad Lamjarred, un chanteur mis en examen pour la seconde fois pour viol en deux ans.

    Paris Match


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - DIMANCHE 08 09 2019

    Fleur Gingembre, jardin de Balata, Martinique


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  •  Accouchement : Une femme de 74 ans donne naissance à des jumelles

      Accouchement : Une femme de 74 ans donne naissance à des jumelles

    Une Indienne âgée de 74 ans a donné naissance à des jumelles, en Inde. Il s'agirait de la plus vieille mère du monde.
     

    Mariée avec Raja Rao en 1962, Erramatti Mangayamma, 74 ans, a donné naissance à des jumelles, jeudi 5 septembre 2019. Si son âge se confirme, elle deviendrait la plus vieille mère du monde. L’Indienne battrait ainsi le record de Maria del Carmen Bousada de Lara, une Espagnole de 66 ans qui a donné naissance à des jumeaux en 2006.

    La plus vieille maman au monde

    Originaire de Nelaparthipadu, un petit village en Inde, la septuagénaire a tenté de nombreuses années de tomber enceinte. Mais en vain ! Ainsi, même après être entrée dans la ménopause, elle s’est renseignée sur la fécondation in vitro. Les médecins ont alors obtenu les ovules d’une donneuse et les ont fécondés avec le sperme de son mari.

    Pendant sa grossesse, Erramatti Mangayamma a été hospitalisée et placée sous haute surveillance. Elle n’a souffert d’aucun problème de santé et la grossesse s’est déroulée normalement. L’accouchement a eu lieu par césarienne.

    Selon le site Magic Maman, l’hôpital a pris en charge la totalité des frais accompagnants la procédure de FIV, la grossesse et l’accouchement. Interviewée par les médias locaux, la « jeune » maman a déclaré :

    "Je ne trouve pas les mots pour exprimer ce que je ressens. Ces bébés me comblent. Mes six décennies d’attente sont enfin terminées et maintenant plus personne ne pourra dire que je suis infertile."

    Potins.net 


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 07 09 2019

     

    CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 07 09 2019


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  • 12 mois de prison pour avoir fichu une raclée aux voleurs ! On marche sur la tête, je vous dis…

    Caen : les voleurs appellent la police à la rescousse

     

    LIEN de l'article :

    http://resistancerepublicaine.eu/2019/09/03/12-mois-de-prison-pour-avoir-fichu-une-raclee-aux-voleurs-on-marche-sur-la-tete-je-vous-dis/


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  • Quel est ce  mystérieux « Institut des Cultures d’Islam »… financé par la Mairie de Paris ?

    Quel est ce  mystérieux « Institut des Cultures d’Islam »… financé par la Mairie de Paris ?

     

    Le saviez-vous ? La ville de Paris finance un certain « Institut des Cultures d’Islam ». En prétendant que la Loi de 1905 est respectée.

    Rappel des articles RR

    http://resistancerepublicaine.eu/2013/11/28/aujourdhui-delanoe-inaugure-linstitut-des-cultures-dislam-par-jarczyk/

    http://resistancerepublicaine.eu/2011/12/17/udcc-deuxieme-interpellation-de-delanoe-quid-du-financement-de-linstitut-des-cultures-dislam/

    Une salle de prière musulmane financée par le contribuable, cela ne gêne personne ?

    Voici comment l’ « organisme » se présente sur son site :

    https://www.institut-cultures-islam.org/lici-cest/

    L’Institut des Cultures d’Islam est un établissement culturel de la Ville de Paris.

    Ancré dans le quartier populaire de la Goutte d’Or et ouvert sur le monde, il est à la fois un centre d’art contemporain, une scène musicale, un lieu de dialogue et d’apprentissage.

    L’ICI organise toute l’année des expositions, concerts, conférences, cafés littéraires, projections-débats, activités culturelles, cours d’arabe, de wolof, de calligraphie, de chant, de cuisine…

    Un public d’une grande diversité vient y découvrir des artistes, universitaires et spécialistes des cultures d’Islam. L’ICI propose au jeune public une offre dynamique : ateliers artistiques et culturels, spectacles vivants, ciné-goûters et visites sur mesure des expositions pour les enfants, les familles, les écoles et les centres de loisirs.

    Les activités de l’ICI se répartissent sur deux bâtiments, qui comportent chacun des espaces d’exposition et des salles de cours. Le site de la rue Léon dispose également d’un patio, d’une scène à ciel ouvert et d’un restaurant (La Table Ouverte) tandis que l’on trouve un hammam dans celui de la rue Stephenson.

    Une salle de prière, gérée par une association cultuelle, occupe le premier étage de ce bâtiment, dans une configuration inédite et « respectueuse » de la loi de 1905.

    https://ripostelaique.com/institut-cultures-dislam-parisien-inflige-deroute-judiciaire-a-delanoe.html

    https://ripostelaique.com/institut-des-cultures-dislam-hidalgo-definitivement-condamnee.html

    Hidalgo et Delanoë condamnés pour avoir financé un lieu de culte, la salle de prière devant être modifiée etc. ce contribuable parisien est néanmoins obligé de lancer d’autres coûteuses initiatives pour les obliger à appliquer la décision du tribunal…  L’affaire est en cours. La justice n’est pas du côté du pékin moyen…

     

    Exposition de septembre…

    Du 19 septembre 2019 au 09 février 2020, l’Institut des Cultures d’Islam présente “L’œil et la nuit”, exposition curatée par Géraldine Bloch. Les œuvres de dix-huit artistes originaires d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Europe interrogent notre perception du monde de la nuit, entre profane et sacré, réel et imaginaire.

    L’Islam et la nuit

    L’Islam et la nuit cultivent des affinités particulières. De la science des astres à l’élan mystique, de la veille au rêve, du texte sacré aux rituels, des mots à la magie, le monde nocturne habite avec une prégnance remarquable l’imaginaire des cultures d’Islam. La nuit y est une expérience majeure et initiatique : dans le Coran c’est lors d’un voyage nocturne et céleste – l’Isra – que le prophète Mahomet reçoit le message divin ; et au cours de la nuit du doute chaque musulman est invité à observer le hilal, fin croissant de lune dont l’apparition annonce le mois de ramadan

    Résistance Républicaine

    La loi de 1905 est bien bafouée !


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  • Pesticides: la distance de protection des habitations fait bondir les écologistes

    Le gouvernement va proposer de fixer à 5 ou 10 mètres, selon les cultures, la distance minimale entre les habitations et les zones d'épandage de pesticides, un arbitrage dénoncé comme minimaliste par les écologistes et les associations.

    "Le gouvernement va soumettre à consultation lundi un projet de décret qui part des recommandations scientifiques de l'Agence nationale de sécurité sanitaire" (Anses), a indiqué samedi à l'AFP un porte-parole du ministère de l'Agriculture.

    Les distances proposées dans ce projet seront de 5 mètres pour les cultures dites basses comme les légumes et de 10 mètres pour les cultures hautes, telles que les céréales !

    L'Anses a recommandé en juin de mettre en place des distances de sécurité "au moins égales" à 3, 5 et 10 mètres entre les cultures et les bâtiments habités, selon le type de culture et le matériel utilisé pour la pulvérisation. Des distances "supérieures" devraient être respectées "par mesure de précaution, en particulier pour les produits classés cancérogène, mutagène ou toxique pour la reproduction".

    "C'est la première fois qu'on va mettre en place des distances minimales et on est un des seuls pays à le faire", a déclaré à l'AFP la ministre de la Transition Ecologique Elisabeth Borne, précisant que "des chartes seront discutées localement pour adapter ces distances".

    - Une distance "anecdotique" -

    Pour David Cormand, secrétaire national d'Europe Ecologie Les Verts, il s'agit d'une décision au "caractère historique": "c'est la première fois que l'Etat admet qu'il y a un danger grave pour les gens" après l'épandage. Mais "le problème, c'est le côté anecdotique de la décision qu'ils en tirent", a-t-il déclaré à BFMTV.

    "Cinq ou dix mètres de distances ne représentent absolument pas une distance susceptible de réduire de manière significative l'exposition des riverains aux pesticides", a abondé François Veillerette, directeur de l'ONG Générations Futures, cité dans un communiqué.

    "Je n'y crois pas, je pense que c'est un poisson d'avril", a déploré auprès de BFMTV le photographe Yann Arthus-Bertrand, fondateur et président de la fondation Good Planet. "C'est insultant pour les gens qui se battent depuis si longtemps contre les pesticides".

    En revanche, la mise en place de zones de non-traitement est une mauvaise nouvelle pour le syndicat agricole FNSEA. "Ce sont des retraits importants de terres agricoles, ce qui représente un manque à gagner très important, surtout dans les zones peri-urbaines", a commenté auprès de l'AFP Christian Durlin, administrateur de la FNSEA.

    "Nous pensons qu'il faut surtout se baser sur d'autres alternatives", a-t-il ajouté, précisant que le syndicat souhaitait voir le développement de chartes locales.

    Dans son avis, l'Anses recommande également de généraliser les dispositifs limitant la dérive des pesticides, comme des buses par exemple, et insiste sur l'importance des programmes de formation pour les agriculteurs.

    - Entrée en vigueur en 2020 -

    Le maire de Langouët (Ille-et-Vilaine) Daniel Cueff, qui a pris en mai un arrêté très médiatisé interdisant l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", a également fait part de sa surprise devant la décision du gouvernement.

    "Quand j'ai appris ça, je pensais que c'était une +fake news+ et que ce n'était pas sérieux! Cette proposition n'est pas croyable", a-t-il réagi samedi auprès de l'AFP. Son arrêté a été depuis suspendu.

    En marge d'un déplacement à Bordeaux, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a justifié ce choix de distance minimale: il s'agit "qu'on puisse avancer dans notre idéal écologique et qu'on soit aussi capable de prendre en compte la transformation que cela représente pour les agriculteurs, et qu'on soit capable de les accompagner dans cette transformation".

    La consultation durera 3 semaines et "le gouvernement tranchera en octobre-novembre pour que le texte entre en application au 1er janvier 2020", a détaillé le porte-parole du ministère de l'Agriculture.

    AFP

    Ferme la Si bête !


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  • Rappel de produits laitiers bio Durr après sept cas de listériose

    La ferme Durr et les autorités sanitaires invitent les détenteurs de produits laitiers bio de la marque à ne pas les consommer et à les rapporter.

     

    Sept personnes ont été infectées par une même souche de Listeria, identifiée dans des produits laitiers bio fabriqués par la Ferme Durr  dans le Bas-Rhin qui procède au rappel et au retrait de tous ses produits, ont annoncé samedi les autorités sanitaires.

    Rappel de tous les produits laitiers bio Durr à l'exception des flans

    "La Ferme Durr, en lien avec les autorités sanitaires, procède donc ce jour au retrait de la vente et à un rappel de tous ses produits laitiers bio de la marque Durr (yaourts nature et aux fruits, crèmes, fromages blancs et fromages) quelle que soit la DLC/DDM, à l'exception des flans", selon le communiqué de la Direction générale de la santé et du ministère de l'Agriculture. 

    La DLC est la "date limite de consommation" et la DDM la "date de durabilité minimale", qui a remplacé la "date limite d'utilisation optimale" (DLUO) depuis 2014, selon le site de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail. "Toute la production de cet établissement est à l'arrêt jusqu'à nouvel ordre", précise le communiqué.

    Ne pas consommer et rapporter les produits concernés

    Ces produits sont commercialisés en vente directe à la Ferme Durr, sur les marchés et en magasins dans toute la France. Outre les sept cas confirmés, une huitième personne pourrait aussi avoir été infectée par cette même souche de la bactérie Listeria.

    Les personnes qui détiendraient les produits laitiers concernés ne doivent pas les consommer et sont invitées à les rapporter. 

    La listériose est une maladie qui peut être grave et dont le délai d'incubation peut aller jusqu'à huit semaines, rappellent les autorités sanitaires.

    Europe 1

    Vive le bio !


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  • "Avec des salles mixtes on revient à l'Islam premier" : à Paris, une première mosquée mixte crée un débat au sein de la communauté musulmane

    C'est une mosquée d'un genre nouveau qui ouvre samedi 7 septembre au soir à Paris. Une salle de prière mixte, où hommes et femmes prient ensemble. Mais l'initiative ne trouve pas forcément grâce aux yeux de tous.

    "De ce côté ce sont les femmes, et là bas c'est les hommes". À la Grande mosquée de Paris, à l'heure de la prière, c'est chacun son espace. Entrées séparées et salles distinctes, il n'est pas question de prier juste à côté de quelqu'un du sexe opposé.

    Une fidèle détaille : "C'est un homme qui conduit la prière. Il est dans la grande salle des hommes et on l'entend avec des haut-parleurs. Nous sommes séparés mais ce n'est pas la faute des hommes, c'est la faute des femmes ! Elles crient, elles ramènent les enfants, c'est un peu l'anarchie. Alors que les hommes aiment bien être tranquilles."

    En tant que femmes on se retrouve reléguées à des lieux secondaires : des sous-sols, des garages...

    Kahina Bahloul

    Cette séparation, à la Grande mosquée de Paris, convient à tout le monde, ou presque. Mais elle agace profondément les initiatrices de salles mixtes. Que ce soit celle baptisée Simorgh et qui est inaugurée samedi 7 septembre, ou encore la mosquée Fatima que Kahina Bahloul espère ouvrir dans quelques mois.

    "Il y a un discours général qui ne répond plus aux défis de notre époque", analyse cette doctorante à l'Ecole pratique des hautes études : "En tant que femmes on se retrouve reléguées à des lieux secondaires. Des sous-sols, des garages... je l'ai déjà vécu et on considère que ce n'est plus acceptable."

    Kahina Bahloul a donc lancé un financement participatif pour la location d'une salle de prière où une femme pourra aussi conduire la prière devant les hommes. Cela ne pose aucun problème aux yeux de l'islamologue Éric Geoffroy, professeur à l'université de Strasbourg : "Le Coran ne parle pas du tout de cette question. Dans l'Islam, tout ce qui n'est pas interdit est permis. Dans l'histoire de l'Islam et jusqu'à des périodes assez récentes, il y avait des femmes muftis qui enseignaient aux hommes. Avec des salles mixtes on revient à l'Islam premier."

    Des menaces de mort à l'encontre de Kahina Bahloul

     Une analyse qui est pourtant loin d'être partagée par toute la communauté musulmane. Abdallah Zekri, délégué général du Conseil français du culte musulman, ne voit pas la mixité d'un bon oeil : "Quand vous avez une femme qui se prosterne devant vous et qui a le derrière en haut, pour l'homme qui est juste derrière ce n'est pas tellement esthétique, si j'ose dire. Les religions datent de plusieurs siècles et on ne peut pas modifier les choses comme ça du jour au lendemain."

    Abdallah Zekri doute du succès de ces initiatives. Pour autant il assure respecter la liberté de ceux et celles qui les portent. D'autres se sont déjà montrés plus virulents : Kahina Bahloul s'est vu qualifiée de "sale sorcière" et a même reçu des menaces de mort.

    franceinfo


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  • Patrick Sébastien évincé de France Télévisions : l’animateur prépare sa revanche

    En octobre dernier, Patrick Sébastien apprenait son éviction de France Télévisions. Près d’un an plus tard, le célèbre animateur compte bien se venger de son ancien employeur.

    Le 11 mai dernier, Patrick Sébastien rendait l’antenne après 23 ans de bons et loyaux services au sein du groupe France Télévisions. « Je voulais vous dire tout d’abord que je remercie vraiment le service public de m’avoir fait confiance […] que je n’ai pas de rancune sur ce qu’il se passe parce qu’il y a des choses bien pires dans la vie », déclarait-il dans l’ultime numéro des Années Bonheur. Sept mois plus tôt, le célèbre animateur était averti de son éviction par sa femme Nathalie, qui avait été convoquée à sa place pour prendre acte de cette décision brutale. Une sentence que la star du PAF garde, aujourd’hui encore, en travers de la gorge.

    Patrick Sébastien prépare un livre choc

    Selon les informations de Télé Star, « Patrick Sébastien prépare depuis plusieurs mois, dans le plus grand secret, sa revanche. » Et cette dernière n’est autre que l’écriture d’un livre intitulé Conversation intime avec Patrick Sébastien. Co-écrit par Marc Dolisi et François Darmigny, cet ouvrage reviendra sur les deux décennies que l’animateur du Plus grand cabaret a passées chez France Télévisions et bien évidemment sur son licenciement. Le sexagénaire « livrera un témoignage“sans filtre”, “une confession forte” émaillée de “révélations explosives” », écrivent nos confrères. Une sortie littéraire qui promet de faire du bruit !

    Voici

    Vive Patrick Sébastien !


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  • Un professeur des écoles des Vosges jugé pour détention d’images pédopornographiques a été condamné vendredi à Épinal à quatre mois de prison avec sursis et interdiction d’exercer une profession en lien avec des mineurs, a-t-on appris auprès de son avocate.

     

    Cet enseignant âgé de 50 ans avait été piégé en mai dernier par des lycéens qui avaient créé un faux compte sur un forum Internet en se faisant passer pour une fille de 15 ans, afin de démasquer des prédateurs sexuels.

    Après plusieurs échanges, l’enseignant avait accepté un rendez-vous, le 29 mai, « par curiosité ». Les jeunes l’avaient alors intimidé, puis dénoncé à la gendarmerie.

    29 fichiers montrant des mineurs

    Dans le cadre d’une enquête pour corruption de mineur par moyen électronique - toujours en cours -, les gendarmes avaient réalisé une perquisition à son domicile.

    Outre la consultation de sites pornographiques et de rencontres avec des recherches concernant des « lycéennes », l’exploitation de son téléphone et de ses ordinateurs a révélé la présence de « 29 fichiers mettant en scène des mineurs non formés s’adonnant à des pratiques sexuelles diverses », avait détaillé à l’audience la présidente du tribunal, Monique Thomas.

    Il cherche « à masquer une tendance à la pédophilie »

    À la barre, ce père d’une fille de 11 ans, soutenu par ses proches et ses collègues, avait réfuté toute attirance pour les mineurs et nié avoir vu les images à caractère pédopornographique. Selon un expert-psychiatre qui avait relevé son addiction à la pornographie, il cherche toutefois « à masquer une tendance à la pédophilie ».

    Le tribunal correctionnel a également prononcé à son encontre une mise à l’épreuve de deux ans et une obligation de soins. Son nom sera également inscrit au fichier des délinquants sexuels, a indiqué Me Nancy Risacher.

    « Pour l’appel, mon client et moi nous […] donnons le week-end pour réfléchir », a-t-elle ajouté.

    Cette peine est légèrement deçà des réquisitions du ministère public, qui avait réclamé huit mois avec sursis à l’audience le 27 août.

    Le Parisien

    Ces juges doivent aimer ce genre d'images aussi !


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  • Si vous êtes témoin de maltraitance animale

    Notez ces numéros près de votre téléphone !


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  • Kinder, 4 mois, abattu par un chasseur... car il aboyait trop fort !

    Il aurait abattu un chien car il aboyait et risquait de faire fuir le gibier. Telle est la version qu’un chasseur de 22 ans aurait donnée aux gendarmes pour expliquer son geste. Il sera jugé à Privas le 14 février.

     

    Kinder, border collie de 4 mois, est mort de deux coups de carabine, lundi 26 août, à Saint-Agrève. Le drame s’est tenu à Chavagnac, quartier excentré au sud-ouest de la commune. Soupçonné d’être le tireur, un chasseur saint-agrévois de 22 ans, aurait reconnu les faits. Il sera jugé le 14 février au tribunal de Privas.

    L’infraction retenue par la gendarmerie est "acte de cruauté envers un animal domestique", car il ne peut s’agir d’un accident de chasse (hors saison) d’après le récit fait par le jeune Ardéchois. Sa version de l’histoire est la suivante : il se baladait à pied dans le coin quand il a entendu un chien japper. Il serait alors rentré chez lui pour chercher sa carabine et l’utiliser pour le faire taire à tout jamais. Le chien aurait été tué car il risquait de perturber le gibier en aboyant, avant l’ouverture de la chasse, dimanche.

    Il entend son chien hurler à la mort et bloque le tireur avec son tracteur

    C’est le propriétaire du chien, un agriculteur à la retraite de 66 ans, qui a prévenu les gendarmes. Alors qu’il déchargeait du bois chez lui, il a entendu un coup de feu puis un chien, son chien, hurlant de douleur. Il a ensuite entendu le second coup de feu, puis le silence. Remontant jusqu’à l’origine des détonations, il a découvert le véhicule du jeune chasseur tandis que son épouse l’a intercepté un peu plus loin.

    Le sexagénaire a garé son tracteur au milieu de la route pour bloquer la voiture, en attendant l’arrivée des gendarmes. Les militaires ont trouvé une carabine dans la voiture et entendu le tireur présumé. Ce dernier aurait avoué être l’auteur des coups de feu, mais aussi d’avoir tenté d’effacer les traces de son acte, en déplaçant le cadavre de l’animal.

    En attendant le jugement, la carabine a été saisie. Mais le jeune Saint-Agrévois conserve son permis de chasse et son droit de porter une arme. Il pourra faire l’ouverture de la saison de chasse dimanche 8 septembre !!!

    le dauphiné.com
    C'est à vomir, on voit que les chasseurs ont tous les droits !
    J'aimerai que ce jeune con reçoive une balle !
    On devrait nous donner son nom et son adresse !

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  • Jouons avec les mots ... !

    Jouons avec les motsJouons avec les mots


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  • Alors qu’elle est état de mort cérébrale depuis 117 jours, une Tchèque de 27 ans a donné naissance à une petite-fille. Le bébé est en bonne santé a annoncé l’équipe médicale en charge de l’accouchement. La patiente souffre d’une malformation artério-veineuse dans le cerveau, et a été retrouvée inconsciente le 21 avril dernier.

     

    Elle s’appelle Eva Votavova, et est âgée de 27 ans. La jeune femme a donné naissance le mois dernier à une petite-fille. Fait rare : la mère est en état de mort cérébrale depuis 117 jours. La petite fille, Eliska de son prénom, est en bonne santé a annoncé lundi l’équipe médicale à Brno, ville située dans l’est de la République Tchèque.

    « Eliska est née par césarienne durant la 34e semaine de grossesse », a expliqué lors d’une conférence de presse Roman Gal, anesthésiste en chef à l’Hôpital universitaire de Bro, deuxième ville du pays.

    Eliska mesurait 42 centimètres et pesait 2,13 kilogrammes. « Il s’agit du poids et de la maturité du fœtus parmi les plus élevés obtenus pour un bébé né d’une mère en état de mort cérébrale selon les données mondiales », a ajouté Roman Gal.

    Dans le coma depuis le mois d’avril

    La maman d’Eliska, avait été diagnostiquée en 2016 comme souffrant d’une malformation artério-veineuse dans le cerveau. Le 21 avril, elle avait été retrouvée inconsciente chez elle, alors enceinte de 16 semaines.

    Après une importante hémorragie dans le cerveau, « elle a cessé de respirer dans la soirée puis […] a été déclarée en état de mort cérébrale », selon Roman Gal.

    Les médecins ont maintenu ses organes en fonction, en particulier son cœur, ses poumons et ses reins, tout en surveillant la croissance du fœtus.

    Durant toute la grossesse, les infirmières ont parlé au fœtus, sa grand-mère lui a lu des histoires et un thérapeute bougeait les jambes de la maman pour simuler la marche, a expliqué Roman Gal.

     

    Le système de maintien artificiel des fonctions vitales a été débranché après la naissance. Eliska est restée deux semaines supplémentaires à l’hôpital puis son père l’a ramenée à la maison où l’attendait son grand frère. Elle est actuellement nourrie au sein par sa tante paternelle qui a également eu un bébé.

    Ouest-France

     


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